W ANNEE, — N° 35, .VENDREDI 20 MARS 1936. ■■■■■■■ —— ri
SFARTEMENT les Mercredi, Vendredi et Dimanche
Abonnements I^éclaetiorî. «S? Administration IPnolioité 3 mois 6 mois 1 an CAHORS. - 1, RUE DES CAPUCINS, 1. - CAHORS ANNONCES JUDICIAIRES 1 fr. 70 LOT et Départements limitrophes llfr. 50 21 fr. 38 fr. ANNONCES COMMERCIALES (la ligne ou son espace). 1 fr. 70 Autres départements 12 fr. 22 fr. 40 fr. A. COUESLANT, Directeur RÉCLAMES 3= page ( „ d* — ) 2 fr. 75 page TÉLÉPHONE 31 COMPTE POSTAL : 5399 TOULOUSE Rédacteurs ; Emile LAPORTE, Louis BONNET, Paul GARNAL ( 4 fr. 50 ^ Les abonnements se paient d'avance Les Annonces judiciaires et légales peuvent être insérées dans le Joindre 1 franc à chaque demande de changement d'adresse Les Annonces sont reçues au bureau du Journal. Journal du Loi pour tout le département.
penser. Que Hitler triomphe et ils meure la même. LES ÉVÉNEMENT, peuvent prévoir le sort qui les at- Le gouvernement français consentira tend [ a entrer en pourparlers avec le Reich * Informations seulement après que le Conseil de la Devant le danger extérieur, il faut RURALES S.D.N. aura prononcé le constat de la que les Français soient unis et 11 Il est beau et bon de vouloir la Au Sénat (Suite et fin) n'y a pas d'autre centre d'union contravention allemande aux traités de paix ! Mais si on la veut vraiment, il Dans sa séance de mardis le Sénat a Versailles et de Locarno, et après que que le gouvernement qui puisera faut être en mesure de la faire res- voté un projet de loi tendant à accor- les puissances garantes du traité de Lo- dans l'attitude résolue de la nation pecter par ceux qui n'en veulent der aux mineurs âgés de 50 ans et carno (Grande-Bretagne et Italie) se se- 55 fr. en 1709. à 49 fr, en 1712 ; la force de défendre les grands in- comptant 30 ans de services dont 20 ans 4. — Misères de jadis pas ! ront mises d'accord avec les Etats ga- à Gastelnau-Montratier il atteignit térêts du pays et la cause sacrée Il est beau et bon de prendre en- au fond, une allocation temporaire de rantis (France et Belgique), sur la nou- 5.000 francs de retraite. En dehors des maux de la guerre 57 fr. 60 en 1723 et à partir de 1777 de la paix. vers ses amis et partisans l'engage- velle organisation de leur assistance Le Sénat adopte le projet tendant à as- éventuelle ; des modifications profondes qui furent particulièrement terribles ne fut guère inférieur à 35 et 40 fr. La tâche de nos ministres à Lon- ment d' « imposer » la paix. Mais surer la sauvegarde de l'industrie natio- e étant désormais rendues nécessaires au xiv siècle en raison de la longue Epidémies. — Débilités par une dres rencontre assez de difficultés alors, à moins d'être un imposteur, nale des pâtes de cellulose et la révalo- pour l'application du pacte de Locarno, chez les Anglais pour que les Fran- il ne faut pas faire une politique qui risation des bois français de papeterie. par le fait que l'Allemagne a cessé d'y lutte contre les Anglais, nos ancêtres nourriture insuffisante et parfois mê- çais s'abstiennent de leur en susciter donne la maîtrise du monde à ceux A la Chambre adhérer. eurent encore à souffrir maintes fois me nocive, les individus offraient une qui veulent la guerre ! quelques-unes de surcroît. Ils de- Dans la séance de mardi, la Chambre L'Italie et ia d'une organisation éconeïaiqite par moindre résistance aux maladies et Il sst beau et bon d'avoir « le vraient pouvoir compter sur l'appui a voté le principe de la création de la trop rudimentaire. toute disette accentuée s'accompa- droit pour soi ». Mais à moins d'être Caisse des pensions, création qui était L'attitude hostile à la S.D.N. du gou- unanime de nos compatriotes ! Disettes. — Faute de bons che- un traïre à cette juste cause, il faut combattue par le ministre des finances. vernement se précise de jour en jour. Si, gnait d'une période de « mortalité » Ne serait-il pas possible d'obtenir en effet, le gouvernement italien con- se mdtre en mesure d'imposer le Elle Vote un crédit de 20 millions pour ] mins, les échanges de marchandises que nos plus, ardents nationalistes damne tacitement par un silence absolu dont les registres de « sépultures » secours destinés aux sinistrés nécessi- ! veuillent bien ajourner à quelque respeci de ce droit aux forces qui veu- les violations des textes internationaux lourdes — tel le blé — étaient rendus font foi. Parfois même c'était une vé- lent le détruire ! teux victimes des calamités publiques \ temps leurs violences et leurs injures? depuis le 1er janvier 1935. commises par l'Allemagne, il semble évo- bien difficiles, sinon impossibles, mê- itable épidémie : en 1311, il n'y eut Nous sommes présentement, ne l'ou- Ce smt là des vérités élémentaires luer de plus en plus nettement vers la me entre des régions voisines ; cha- ^uère dans la région de Figeac « de blions pas, « devant l'étranger ». qu'on s beaucoup de peine à faire ad- Les négociations de Londres conception d'un retour aux alliances. cun se trouvait réduit à se suffire avec Quels que soient leurs noms ou leurs mettre par certains esprits qui ren- Lundi, au Conseil de S.D.N., après une j Le conflit italo-éthiopien maison où l'on ne pleurât un mort » ; partis, nos délégués représentent la dent ua culte platonique au droit, à offensive du Danemark en faveur de l'Al- ce qu'il produisait ou ce qu'on pro- en 1348, « l'année de la mortalité, la paix et à la justice. Ils sont péné- lemagne, devant la réserve de M. Grandi, Suivant des renseignements de sour- nation française parmi les nations ce éthiopienne, mais qui n'ont pas enco- duisait autour de lui, et, comme en 1361, 1411, 1481, 1501, 1508, 1527, trés d'un tel amour pour ces divinités et l'impassibilité de M. Eden, M. Flan- assemblées. îl ne faut pas qu'on puis- din, ministre des Affaires étrangères de re reçu de confirmation officielle de la de tous les besoins le plus pressant 1589 où il ne demeura lieu ni bourgade se les soupçonner d'être en désac- qu'ils les laisseraient tuer plutôt que part des milieux gouvernementaux, une France s'est levé et a déclaré : « Si vous est celui de se nourrir, le problème du où ne parût le mal contagieux », en cord avec l'opinion publique et leur de les défendre ! Quelqu'un qui grande bataille serait engagée près de vous inclinez devant la thèse allemande, pain, base de leur alimentation, fut objecter des attaques qui, en affai- compta pourtant parmi les pacifistes vous acceptez le fait accompli. Faut-il l'Amba Alagi. 1622, au cours de laquelle « presque blissant leur autorité, affaibliraient les plis pacifistes a fini par compren- que je mette le monde, comme l'Allema- Les troupes éthiopiennes seraient sous toujours le plus grand souci de nos tous les gens de travail périrent ». En dre céa et par oser le dire ! Oui ! Ro- le haut commandement du Négus. la cause nationale... gne devant un fait accompli, et que je pères. 1652, la vallée du Lot et le Bas-Quer- main Rolland lui-même a vu et senti revienne à Londres avec un décret de On ajoute que les pertes seraient lour- Combattre le gouvernement, c'est des des deux côtés. Bien rares étaient les privilégiés cy devaient être encore décimés. risquer de provoquer entre Français le péril allemand et il le dénonce. Et mobilisation en poche pour que l'on il réc^fne qu'on prenne contre lui les m'entende ? » Le Négus prendrait le commandement consommant le pain de pur froment : des divisions et des disputes et favo- d'une armée de 300.000 hommes. précaitions de salut. Il a compris M. van Zeeland est intervenu pour de- dans les années normales il entrait 5. — Conclusion riser les desseins de Hitler, lequel en | mander à M. Eden quand il pensait que espère un secours précieux. Et com- qu'il pt'y a pas de prêche qui tienne ordinairement dans la composition de Ces périodes calamiteuses contre confcn Hitler suranné et menaçant et [ la S.D.N. aurait le « courage d'appeler ment nous étonnerions-nous de trou- une chaise une chaise, et un crime un EN PEU DE MOTS... cet aliment essentiel du froment, du lesquelles on se trouvait à peu près il dit leur fait à ceux qui n'osent pas ver l'Angleterre réticente s'il y avait crime ». seigle, de l'orge, du millet, du sarra- désarmés mises de côté, on peut se en France des gens et des partis qui vouloi- les moyens de ce qu'ils veu- lent. Les entretiens de mardi matin — On annonce la mort de Mme Mar- ï sin et plus tard du maïs ; pour l'éco- demander quelle fut la part de bien- travaillent à faciliter le succès de guerite Durand, ancienne directrice du Qu'tet-ce que vous proposez, leur L'événement important de la matinée ■ nomiser, on utilisait le fruit du châ- être dont jouirent nos aïeux ? l'entreprise hitlérienne ?... a été la réunion des puissances signatai- journal féministe « la Fronde » et du réponi-i! dans Vendredi, qu'est-ee journal 1rs i Nouvelles ». Elle est mor- Dans la grande querellé d'allemand res du pacte de Locarno : Angleterre, taigne — cet arbie à pain de nos Nous ne devons pas nous laisser que vois proposez contre lui : la ré- te subitement, en arrivant à son bureau. qui nous est cherchée, les Français Italie, France et Belgique. pays — dont l'aire de culture était ja- frapper par le montant infime de la ont de quoi occuper leur ardeur de probation et le boycottage ? Çà va... M. P. E. Flandin, M. Yan Zeeland et Elle était bibliothécaire de la mairie du 5» arrondissement. Elle était née en dis beaucoup plus étendue que de nos rémunération des salariés au cours discussion et. leur pouvoir de résis- « Mais, ajoute-t-il, dès que les M. Eden ont échangé des notes précisant 1865. | jours. tance. Des événements où le sort de « sanctions menacent les œuvres vi- les points de vue respectifs' des trois des siècles antérieurs : les quatre « ves de l'agresseur, celui-ci menace gouvernements en ce qui touche l'adap- — A Przitik, non loin de Varsovie, des | Mais dès que la récolte menaçait de la nation est en jeu ne doivent pas manifestations d'une violence inouïe sous reçus par le journalier de 1636, être exploités dans un intérêt de par- « de h. guerre et, précipitamment, tation nécessitée par la dénonciation de se trouver déficitaire, et en raison des équivalant à 1 fr. d'avant-guerre, lui Locarno des engagements des puissances se sont produites. Plus de 100 juifs ti. Ni à l'extrême droite ni à l'extrê- « les augures de Genève retirent garantes : Grande-Bretagne et Italie, en- ont été saccagés. Il y a eu 9 tués et intempéries cela arrivait chaque an- permettaient de s'acheter cinq litres me gauche, personne assurément ne « leur, propositions. Que reste-t-il ? 19 blessés graves. « Réprobation... » Un blâme moral ? vers les Etats garantis : la France et la i née en quelques points de la région de blé, au prix moyen de 20 francs vise à encourager la fureur revan- Belgique. — Le gouverneur général de l'Algé- — le prix du « grain » s'élevait pour charde de Hitler et c'est, pourtant, ce « Urà prière à Dieu ? Une minute de Avant de procéder à une discussion rie a présenté, mardi matin, au prési- l'hectolitre, tandis que les huit sous qu'on risque de faire. « silçice ? Allons, messieurs, soyez détaillée de ce problème capital, les dent du Conseil, les membres de la Com- atteindre trop souvent un niveau qui de l'ouvrier de 1780, ne représentant « sérieux ! Si vous ne voulez pas mission interministérielle des Affaires Les Allemands ne croiront jamais trois ministres ont voulu se donner le le rendait prohibitif pour les pau- que 0 fr. 80 — ne lui permettaient « agi:, retirez-vous de l'action ! — temps de les examiner à loisir séparé- musulmanes. Le Khalifat Djelloul, doyen qu'on leur cède autrement que par de la délégation a, en termes élo- vres gens ; on se rabattait sur l'avoi- guère plus que l'acquisition de deux peur. Toute faiblesse ne fera qu'aug- « Poir que des sanctions soient ap- ment. Le fait que le représentant britanni- quents, formulé les sentiments d'inalté- ne, on ne séparait plus le son, obte- litres et demi de blé au cours de 30 menter leurs exigences et que surexci- « pliqiées, il faut être forts et déci- rable dévouement des populations mu- « dés, Il faut s'allier et se lier contre que a cru devoir remettre à M. Flandin nant un pain « dont la vue et le goût francs. A ce point de vue, le salarié ter en eux la certitude de leur supé- un mémorandum détaillé précisant com- sulmanes algériennes à l'égard dé la riorité. Nous les connaissons. Nous « toue infraction à la sécurité euro- France. i attendrissent le cœur », gémissaient du temps de Louis XIII était deux « pé«xne. Cette sécurité étant le bien ment la Grande-Bretagne concevait doré- les avons assez vu agir. Ils ne conçoi- navant son devoir d'assistance prouve 1 les habitants d'Artix ; à défaut de fois plus aisé que le salarié du temps « de MUS, le pacte doit être ouvert à vent pas qu'on n'ailie pas jusqu'au qu'elle est convaincue de la continuation pommes de terre — encore inconnues de Louis XVI et même que le travail- bout de sa force. Ils n'imaginent pas « tous. Si l'un des Etats s'y refuse, de la validité de ses engagements de Lo- | NOS ÉCHOS '! « ce n'est pas nous qui le mettons, carno en dépit de la dénonciation alle- i — on se nourrissaient de raves, de leur du règne de Louis-Philippe. qu'on règle sa conduite suivant une ■" " i M n inim.n»in i ^ « c'est lui qui se met hors de la sé- mande. TT wl>wl | « choux, de « racines » et « d'her- volonté de justice ou de-raison. Non. Chez le grand couturier. Tous les propriétaires qui recueil- D'après eux, on n'accorde que ce « curité. Et nous n'en devons que Il va de soi que, dans l'opinion plus bes » notaient les chroniqueurs. laient un excédent de récolte avaient « plus fermement resserrer le pac- empirique que juridique des dirigeants La Vendeuse. — Entrez, Madame, la qu'on ne peut pas retenir et quand anglais, ce devoir-de coopération inter- Il nous est bien difficile aujour- I vu au contraire leur situation s'amé- on s'arrête d'exiger, c'est par impuis- « te.,. Tenons- nous les mains. For- collection commence juste à passer. De nationale ne peut être fixé qu'en fonc- quel genre de robes avez-vous besoin ? ; d'hui de nous représenter jusqu'à liorer, leur prospérité augmentant sance' d'aller au-delà ! « mens h ronde l La ronde de la « paix. Et gare à qui g touche ! » tion de la bonne volonté plus ou moins La Grosse Dame. — Il me faut beau- • quel point les malheureux arrivaient avec la hausse du prix des denrées ; Sir Austen Chamberlain, ancien certaine du Reich, dont le peuple anglais coup de choses. Je n'ai plus rien à me ministre britannique des Affaires Ce conseil que Romain Rolland ne veut pas encore douter. mettre. l à se restreindre : en septembre 1696 la période qui va de 1775 à 1789, très Etrangères, qui les connaît bien lui adresse aux nations qui voulant vrai- Les représentants de la France, au ! La Vendeuse. — Tant mieux, tant \ le sieur Jean Souléry de la paroisse dure pour les classes inférieures, fut ment la paix sont résolues à la défen- aussi et qui les a vus de près, le rap- contraire, ont acquis la conviction, par mieux. Tenez, pour le matin, voiià Fas- de Cambes achetait d'une femme des plus avantageuses pour les pro- pelait l'autre jour à ses compatriotes. dre, ce conseil d'être forts et unis, toute une succession d'expériences con- I cisme qui arrive, charmant et trotteur ciliantes sans résultat, que la dernière î Delcros une pièce de terre et une vi- priétaires ; dans tous nos villages, Les Allemands, disait-il, se plaignent nous voudrions qu'il fût entendu et avec la chemisette noire comme l'indi- violation allemande sur le Rhin n'est \ gne « amiablement estimées entre nombre d'entre eux signalèrent leur de l'injustice de la paix qu'on leur a suivi d'abord dans notre pays par que son nom. Je vous vois dans cette qu'une étape dans la voie de ses reven- chemisette noire. Vous seriez une vraie « dictée », mais celle qu'ils auraient tous les Français. Et, devant le dan- les parties à vingt-deux livres », la- nouvelle aisance par des améliora- ger extérieur, il n'y a pas d'autre cen- dications et que, devant son mépris des poupée I « dictée » aux Alliées on peut s'en engagements les plus solennels, il appar- quelle somme de vingt-deux livres tions apportées à leur demeure, les tre dunion que le gouvernement au- La Grosse Dame. — Oui, c'est assez faire une idée quand on relit les clau- tient avant tout aux nations pacifiques mon genre. Quel chapeau faut-il porter ? I spécifiait l'acte « la dite venderesse uns la faisant « hausser » d'un éta- ses du traité qu'ils avaient imposé en quel il faut dtaner la force de défen- d'organiser leur sécurité et, par elle, La Vendeuse, dégoûtée. — Oh 1 pas \ a dit avoir reçue ci-devant en blé, fro- ge ou « agrandir » d'une chambre, 1937 à la Roumanie vaincue, vérita- dre IÎS grands intérêts du pays et la d'éviter la guerre à l'Europe. ; de chapeau pour la promenade. C'est si cause sacrée de la paix ! ble charte d'égorgenient et de brigan- La réunion de mardi matin | vieux jeu un chapeau ! Vous vous fe- \ ment et légumes pour sa nourriture et les autres la faisant reconstruire en dage, d'esclavage et de spoliation !... Emile LAPORTE. On apprend que, au cours de la réu- \ riez remarquer. Voyons pour l'après- entreténement les trois dernières an- entier Et les socialistes de France au- , ,.... , , .0-0-0 . . . - I midi. Que diriez-vous de ce joli ensem- nion de mardi matin, MM. Eden, Flan- ble multicolore ? nées, à son contentement ». Cela re- Cette bourgeoisie campagnarde raient-ils oublié le traitement que din et Van Zeeland ont fait échange de UN PETIT MOT D'ECRIT. Le Manequin, annonçant. — S.D.N. présentait une dépense journalière remplira les cahiers de 1789 de ses Hitler triomphant fit subir aux socia- propositions écrites que chacun d'eux a La Vendeuse, énervée. —■ Oh 1 il faut de cinq deniers, à peine sept centi- doléances et la révolution se fera listes allemands ? Est-ce qu'il les a accompagnées de quelques explications verbales. que je vous fasse voir S.D.N. C'est le suc- mes de notre monnaie d'avant-guerre épargnés ? Non ! Il est allé jusqu'au Anecdote cès de « Mademoiselle ». presque à son seul profit : les biens bout de son droit, c'est-à-dire de sa Elle a porté surtout sur la communi- — le quart de ce qu'on estimait alors nationaux passeront entre ses mains cation faite mardi matin, par le minis- La Grosse Dame. — Qui est « Made- Puhque Labiche, on ne sait pourquoi, moiselle » ? force ! Pouvant les anéantir, il n'a tre des affaires étrangères du Reich à représenter la nourriture d'une femme « pour un morceau de pain » ; les pas hésité un instant : il les a anéan- est subitement redwenu « d'actualité », La Vendeuse. — Mais notre directri- rappelons une anevdote de lui, qui fut l'ambassadeur d'Angleterre à Berlin. à la journée. censives et les dîmes seront suppri- tis. — Et ceux-ci ont-ils élevé la Le gouvernement allemand insiste une ce : la « Grande Mademoiselle » ! Mi- célèbrt. reille, venez montrer S.D.N, à Mada- La disette pésentait parfois un ca- mées, mais le métayer n'y gagnera moindre protestation, ont-ils tenté la La toici : fois de plus, on le sait, pour obtenir l'as- me. Regardez comme c'est « amusant » ractère général ; le prix moyen de rien : sa part sera ramenée au tiers moindre résistance ? Non. Ils ont dis- Mmi d'Aubernon {redoutable bas-bleu surance qu'une négociation internationa- le s'engagera le plus tôt possible sur les ce pointillé noir. paru ou bien ils sont tombés à ge- à qui Pailleron a pris beaucoup de mots La Grosse Dame. — On dirait du ca- l'hectolitre de blé fut de 64 fr. (mon- de la récolte, pendant près d'un demi- noux. Un geste du vainqueur a suffi pour ion Monde où l'on s'ennuie), don- offres faites le 7 mars, par le Fùhrer, viar. mais M. Eden n'a pas qualité pour pren- naie de 1914) en 1608, de 74 fr. en siècle, et de longtemps, non plus, le pour les faire évanouir. Au fond nait volontiers à dîner, mais avait établi dre un tel engagement si ce n'est au nom La Vendeuse. — Justement, c'est une 1624, de 85 fr. en 1631, de 70 fr. en journalier ne verra son pouvoir d'eux-mêmes ils trouvaient légitime pour & table une discipline étrangement de la Grande-Bretagne. attention pour les Soviets à cause du sévère, Elle n'y tolêmil ni colloque par- Pacte. 1636 et 1637, de 56 fr. en 1660, 1661 d'achat s'élever. et juste qu'étant les plus faibles ils Au contraire, la position française de- soient supprimés. Ils se sont courbés ticultet, ni conversation générale. Cha- La Grosse Dame. — Est-ce une robe et 1662. A Figeac, ce prix s'éleva à L. SAINT-MARÏY. docilement sous la loi du plus fort et, cun dtvait parler à son tour et tout haat. IIIIIIIMIlillllillllillllllllllllllilllllHillilllllllllll chère ? liiuiiiiiinii iiiiiiiiiiuiiiiHimmiiiiiiiii uni » KIIIIIIIIIIII iimtmit tendant le col, ils ont endossé son Je me hâte d'ajouter que ses invités jus- — Non ! non ! Après M. Renan ! Con- La Vendeuse. — Ah ! Dieu ! Ne nous ilmm tifiaient généralement cette mesure un tinuez, monsieur Renan ! joug... occupons pas de ces détails. neux : Ver luisant si pratique pour les roles du dieu allemand Wotan qui, dans peu draconienne, mais qui permettait du Et Renan continua. Et quand il eut La Grosse Dame. — N'est-ce pas un promenades nocturnes. Odette vous met- l'Or du Rhin, s'écrie : Aujourd'hui, au dire même de Hit- moins de ne rien perdre de leur éloquen- fini de parler et que le murmure élo- peu « grossissant » ? trez aussi cet amour de sarreau qui s'ap- « Arrière la violence, ma lance protè- ler, sa dictature n'a pas de serviteurs ce ou ie leur esprit. Tfn soir qu'elle rece- gieux que soulevait toujours ce grand La Vendeuse. — Pour certaines fem- pelle : Président du Conseil. ge les pactes. » plus disciplinés, plus fidèles et plus vait è sa table quelques convives de charmeur eut cessé : mes, mais pas pour vous si gracieuse. « Garde la foi des traités, ce que tu ardents que les ci-devant sozial- choix,Renan avait la parole depuis quel- — Maintenant, à vous, monsieur La- J'ai fait cet ensemble à la marquise de Richard Wagner contre Hitler. es, tu ne l'es que par les traités », y dit- démokrates. que tfflps déjà, et il était en plein mo- biche, reprit la dame. Babord-Atribord qui a bien deux fois vo- on ailleurs, à Wotan lui-même. nologfi, quand Labiche, profdant d'une — Mon Dieu, c'est que... tre volume. Quant au soir, j'ai votre af- Le Tag, de Vienne, suscite au chance- Le Tag demande si à Berlin, où l'on se Voilà quelques traits de l'âme al- lier Hitler un adversaire inattendu': lemande. Les peuples sont comme ils accàlitie, entre deux phrases, fit un ges- —■ Si ! si l nous vous écoutons. Vous faire : Addis-Abeba dans un tissu im- moque des traités, on affrontera sans te : aviez une observation à faire tout à c'est tout simplement Richard Wagner, sont et la plus grande folie, la plus primé de petits négrillons. C'est le grand sourciller, même sur la scène, ces allu- — lardon, dit-il timidement... l'heure, une objection peut-être !.,. peintre Duâfl qui l'a composé (en exclu- dont on sait que l'Allemagne hitlérienne sions anticipées de Wagner à la politi- grande source d'erreurs est de vou- — f interrompez pas ! s'écria la da- — Moi ! oh ? sivité, bien entendu) pour Mademoisel- se réclame et dont le Fûrher, en parti- que actuelle. loir agir avec eux comme s'ils étaient culier, fait si grand cas. me, M, Renan n'a pas fini.., Après M. Re- — Alors, que vouliez-vous dire ? le. De plus, Odette va vous « passer » LE LISEUR, ce qu'ils ne sont pas. nan 1 — Je voulais... je voulais redemander un ravissant tailleur de minuit : l'Heure Ce journal cite, en effet, à propos de des petits poi$ !>,. la violation du traité dç Locarno, les pa- Nos socialistes feraient bien d'y ~- fais,,, du fantôme et un autre en satia luroi- -OKO-
/ ESCRIME stïHU 11 a atma uuuuuu Le Cercle d'Escrime Cadurcien a ren- M. de MONZIE contré, samedi dernier, dans la splendi- de salle du Palais des Fêtes, l'équipe du Lercle d'Escrime de Tulle. hroniaue du quitte Les Tullistes ont produit une impres- sion excessivement favorable, tant par arrivent ! leur technique que par leur grande LE DESTIN DE CLAIRViVRE LE MOUVEMENT la politique sportivité. Office départemental DE LA POPULATION Devant des adversaires aussi redou- ET LE MINISTRE DES PENSIONS Enfin, 21 mars. C'est l'arrivée offi- tables que sympathiques, le Cercle Ca- DANS LE LOT Telle est la nouvelle qui arrive de durcien s'est brillamment défendu, rem- d'Hygiène Saint-Céré et que publie ce matin cielle du printemps. Elle est, impa- portant au fleuret la décision par 14 vic- Nous lisons dans « l'Action pharma- tiemment, attendue, car, il n'est pas ceutique » : Les chiffres du mouvement de la po- notre confrère, Le Courrier du Centre. toires à 11 et succombant dans le match La section permanente de l'Office dé- Le Chef des Services de la Fédéra- pulation en 1935 ne seront publiés que M. de Monzie, paraît-il, avait déjà douteux, espérons-le, qu'il sera ac- d'épée par 8 victoires à 17. partemental d'hygiène s'est réunie le tion nationale des Blessés du poumon dans quelques semaines, mais on sait, exprimé à diverses personnes de l'ar- compagné par un temps plus clé- Nous félicitons les tireurs des deux mardi 17 mars- 1936, sous la présidence camps, de cette belle soirée, et tenons à et des chirurgicaux vient d'adresser un dès à présent, que le nombre des nais- rondissement de Figeac, son peu d'en- ment que celui que depuis octobre de M. Jacquier, préfet du Lot, assisté de sances n'a pas dépassé 650.000 (en di- rendre hommage au Président du jury communiqué à la Presse annonçant la thousiasme à entreprendre, dans les 1935, nous avons subi. M. le Docteur Fuminier, inspecteur dé- transformation du Village sanitaire de minution de plus de 25.000 sur 1934) et dont l'impartialité fut vivement applau- circonstances angoissantes où nous Dans tous les cas, depuis une se- die. partemental d'hvgiène, secrétaire géné- Clairvivre en Hôtel pour touristes et que la mortalité a été aussi élevée que la maine, environ, la température s'est natalité. — 1936 se présente malheureu- vivons, une campagne électorale où ral. pour amateurs de villégiatures. bien améliorée. Les journées sont su- Banquet des classes [email protected] Etaient présents : Mmes Calmejane- C'est avec plaisir que nous le publions sement plus mal encore, en. raison de la les compétitions locales et les préoc- Course, Doux, Barreau ; MM. Chanoine diminution rapide des mariages, qui se cupations personnelles prendraient perbement ensoleillées. Sans doute, Le banquet des classes 1910-1911-1912 dans ce numéro. durant ces dernières matinées, le Dablanc, Docteur Rougier, Docteur Cal- *** produit depuis quelques années, et qui forcément le pas sur les grands inté- a été définitivement fixé au samedi 21 vet, Manhiabal, Maître Tassart,, avocat, influera défavorablement sur le nombre rêts nationaux. thermomètre est descendu à 1 degré mars, à 19 heures 30. Il aura lieu à l'Hô- « La Cité sanitaire de Clairvivre, tel Laroche, près de la gare et son prix Mme Serieys, M. Garnal. des naissances. Les exemples de dépopu- Cette impression, nous avons pu la au-dessous de zéro ; en revanche, il M. le Docteur Fuminier, communique « création de la Fédération Nationale est de 25 francs. Un menu particulière- « des Blessés du poumon, construite et lation et de dénatalité constatés dans recueillir personnellement il y a quel- a marqué, dans la journée, 12 à 17 à l'Assemblée un projet d'organisation certains départements montrent combien ment soigné a été préparé pour ce dîner ques jours. Ayant rencontré l'ancien au-dessus. t de l'Inspection médicale des. Ecoles, « aménagée selon les données les plus il est urgent de porter remède à la crise fraternel. Les camarades peuvent encore « modernes, peut, dans son grand hô- Aussi bien, les travaux agricoles dans les chefs-lieux de canton, et dans des naissances, qui ne cesse de s'ag- Ministre sur les boulevards de Cahors .se faire inscrire chez M. Teil, aux « Da- les principales communes, avec la col- « tel, immense bâtiment possédant 210 en compagnie de M. le Docteur Penda- sont poussés avec activité et l'état des mes de France », Boulevard Gambetta. « chambres avec le confort le plus corn- graver. laboration du Syndicat Médical. Il pré- En 1860, la populatoin du Lot était de ries, la conversation s'engagea tout cultures, disent les propriétaires, est Rendez-vous le samedi 21 mars, à voit pour l'organisation et le fonctionne- et plet, vous accueillir et vous permet- naturellement sur les terribles incer- satisfaisant. Il faut "espérer qu'il en 18 heures 30, pour l'apéritif au café du « tre la cure d'air et de repos nécessai- 295.000 habitants, elle n'est plus que de Champ de Mars. Dépôt d'une gerbe de ment de ce service un budget de 70.000 166.000 habitants en 1934. titudes de la situation européenne. soit ainsi jusqu'à la récolte. Dam ! « re à votre santé ébranlée par les du- fleurs au Monument aux Morts. francs, dont les crédits devront être Le nombre des naissances qui attei- M. de Monzie nous disait ses craintes c'est que les consommateurs viennent ce res nécessités de l'existence. votés par le Conseil général. gnait annuellement le chiffre de 7.000 est i « Cette réalisation n'étant pas une en- et combien l'avenir lui semblait som- d'apprendre une nouvelle qui ne les Affaire à débrouiller M. le Docteur Rougier mis en cause tombé en 1934 à 2.171. ce treprise purement commerciale cher- bre. I p pas réjouis. A la date du 20 mars, le M. d'Hébrail Hubert, inspecteur dans un article de M. le Docteur Bénech Allons-nous attendre, pour réagir, que — Comment, nous disait-il, peut-on prix du pain sera augmenté et depuis paru dans le Courrier du Centre fait re- ce chant seulement des bénéfices, met à d'assurances, à Soturac, avait échan- tous les départements en soient-là ? être préoccupé d'autre chose en ce plusieurs jours, le cours des vins a su- marquer qu'à Cahors l'Inspection médi- « votre disposition les moyens de faire La diminution de la natalité française gé son auto, d'une valeur de 5.000 cale des écoles a été oragnisée en 1929 « un séjour fort agréable pour un prix et le vieillissement de la population qui moment ? C'est ce que je n'arrive pas . bi une légère hausse. Raison de plus, francs, contre une auto de même mar- par la municipalité de Monzie-Tassart, « des plus réduits. en est la conséquence sont d'autant plus à comprendre !... i n'est-ce pas, pour souhaiter que le que, d'une valeur de 6.000 francs, à et que contrairement aux affirmations de « En effet, cet établissement — dont inquiétants que la natalité allemande Et comme je lui répondais qu'en beau temps continue ! ce l'aménagement et la cuisine peuvent un représentant de voitures d'occa- M. le Docteur Bénech, la question ne vient d'augmenter de plus de 300.000 effet îa lutte électorale, cette fois, lais- sion. ce soutenir la comparaison avec les pa- en deux ans. Le Reich a enregistré, en s'est trouvé jamais posée de la nomina- sait indifférente une partie du public... Ce dernier devait payer à la fin du tion de MM. les Docteurs Calvet et Pein- ce laces à 60 ou 80 francs pour la jour- 1935, près de 1.300.000 naissances, soit Et certes, il est, actuellement, de ce née — vous recevra pour le prix de — Pas tout le monde, nous dit-il. Il mois les 5.000 fr. à M. d'Hébrail qui, darie pour le fonctionnement de ce ser- deux tois plus que nous, et l'excédent y en a qui continuent à ne penser toute nécessité. Depuis 5 mois, les « 27 francs par jour, nourriture, bois- des naissances sur les décès a dépassé par contre, avait accepté une traite de vice. L'Inspection a été organisée par qu'à leurs petites affaires parti.culiè- \ pluies, les bourrasques ont provoqué suite d'un accord entre la municipalité et ée sons, service compris. 500.000. G.000 francs, res ! Quant à moi, je vous ayoue que des dégâts, même des désastres, sur le corps médical de Cahors. Il fait re- ce C'est dire que les bourses les plus Sans vouloir s'engager dans une eow~ Mais le représentant ne paya pas et ce modestes pourront bénéficier d'avan- i divers points de la région. Des répa- marquer que l'Inspection médicale des se aux naissances avec d'autres nations, je ne réussis pas à détacher mon esprit fit présenter sa traite. Celle-ci était à ce tages certains et inconnus jusqu'à ce rations urgentes s'imposent. Ainsi, à écoles à Gourdon et à Figeac a été orga- la France, si elle veut éviter une dépo-' des tragiques possibilités internatio- l'en-tête d'un garagiste. M. d'Hébrail « jour. pulatioa rapide, doit adopter d'urgence Cahors, il est des endroits qui sont nisée sur l'initiative du Docteur Bénech, nales et à le fixer sur les éventualités refusa de payer, exigeant d'être rem- avec facilité à Gourdon, où il n'y avait « Réparties sur 7 étages, toutes les une politique familiale comportant un d'une lutte arrondissementière.,. dans un état déplorable. ce chambres exposées au Midi possè- boursé du montant de sa voiture. Il qu'un médecin, avec plus de diliiculté sérieux effort de péréquation des res- C'était ï:aveu d'un état d'esprit bien | Les promeneurs qui longent le quai ce dent : terrasse, installation hydrothé- sources aux charges de famille : c'est a porté plainte. à Figeac en raison du nombre des mé- compréhensible. Ce n'était pas l'an- ! de Regourd, dès lé Port-Bulber, ne « rapique complète (douche, lavabo, bi- pour elle une question de vie ou de manquent pas d'être un tantinet — Plainte decins. « det, etc.). nonce d'une résolution prise. Et nous Il fait remarquer que la question a été mort. ph ;! oui ! — surpris, en passant de- ce Le splendide panorama offert à vos C'est ainsi que la question trouve pensions que M. de Monzie surmonte- Mme veuve Mariel, propriétaire à examinée par le Conseil général en 1929 se ce yeux vous enchantera. posée dans La France militaire, n° 16-17, rait §on peu d'entrain et entrepren- vant le chemin qui part de la route et Asfaux (commune de Sénaillac-La- et que la question financière, exige de ce Un lac très poissonneux offre aux février 1936. drait tout de même la campagne conduit au Lot, près du pont. Fi n'est trpnquière), a porté plainte pour les recourir aux mesures les plus économi- ce amateurs une distraction calme et re- Paul GARNAL. imminente ! j pas possible et surtout peu prudent de laits'suivants. En août 1835; elle re- ques. Il faut tenir compte de ce fait » >K< qu'autrefois l'administration préfecto- cc posante. & ! vouloir descendre à la rive, à l'endroit çut la visite d'un agent d'assurances ce Un service médical dévoué et corn- rale et le service des enfants assistés dé- Comment en est-il venu à décider jadis fréquenté par les pescofis. et d'un employé de banque de Fi- ée pétent fonctionne dans la Cité. Fédération des Combattants signaient des médecins de leur choix, qu'il ne solliciterait pas le renouvel- Poursuivant leur route, les prome- geac qui lui proposèrent de leur con- ce Cette création, se plaçant au-dessus du Front tandis qu'à l'heure actuelle il est d'usage lement de son mandat ?.,.' neurs font une constatation îdgntjr ce des hommes et des partis, est une œu- Les tournées de propagande entre- fier des fonds qu'ils se chargaient de de tenir compte de l'opinion et des in- que sur les berges en face de la rue ec vre profondément humaine. prises par la Fédération des Combat- Le correspondant saint-céréen du placer. térêts des médecins. Il se déclare dispo- Dévia : des décombres de toutes sor- ce Distraire, soigner, soulager, guérir, tants du Front continuent dans le Courrier du Centre écrit que, mercre- Mme Mariel leur confia 3 litres de sé à solliciter le concours des membres di soir, M .de Monzie, rentré à sa de- tes et malodorantes. Les promeneurs du Syndicat des médecins du Lot. ce C'est là la seule ambition de ceux Lot, encouragées d'ailleurs par l'em» rente de 1.000 fr. Mais depuis, elle ce qui ont voulu et créé Clairvivre. meure champêtre de Rèvery, appela passent rapidement ; lé ceniraire ? M. le Docteur Calvet à son tour fait pressement des camarades à assister n a rien reçu. En janvier, elle se ren- ce Tous renseignements, brochures, au téléphone plusieurs personnalités remarquer que l'organisation de l'Ins- aux réunions et les adhésions nom- étonnerait. Mais les habitants qui lo- dit chez l'agent d'assurances, à Sous- ce menus, etc., etc., seront envoyés sur de Saiht-Céré et du canton pour leur pection médicale des écoles à Cahors breuses au grand Banquet qui clôtu- gent dans les immeubles en bordure ceyrac qui fit une réponse évasive. ce simple demande à l'Administration ou donner connaissance de sa décision. a été faite avant son administration, et rera le Congrès National du 31 mai. de ce quai peuvent se plaindre du La gendarmerie de Latronquière a ce au Grand Hôtel de Clairvivre (Dor- Et voici ce qu'ajoute notre confrère ; que si elle présente les défectuosités que Dimanche, 22 mars, les communes manque absolu de salubrité. ouvert une enquête. lui attribue, à tort ou à raison, M. le Doc- ée dogne). » « Le 16 courant, conformément à suivantes seront visitées par les dé- Salis doute, tout n'a qu'un temps : teur Bénech, la faute ne saurait lui en ee un usage consacré, il assistait à la r Vol de choux voués propagandistes, aux heures ei- on finira bien pair ènteh.(l e Jeun, récla- incomber, puisque la paternité de cette Simple question e< ivlr-; de Figeac. M. Loubet, retenu mations. Mais voici les beaux jours M. Legi-'os, propriétaire au Visan, au Ministre des Pensions après. organisation en revient à M. le Docteur ee à Paris pour des raisons de santé, qui arrivent et dès lors, à bientôt, le eut le regret dé constater que des ma-' Bénech. Il ajoute que contrairement aux 1° Canton de St-Céré Maintenant, il n'est plus question d'ex»- e< n'était pas là pour recevoir sa part nettoyage complet de ces dépotoirs raudeurs avaient pénétré dans sa pro- affirmations de M. le Docteur Bénech périence sanitaire et d'expérience socia- e V tournée : Bio, 10 h. ; Lagineste, « 4$ clientèle électorale. M. de jpMte malsains. priété et avaient emporté 2.000 plants l'inspection médicale des écoles fonc- le organisée avec les crédits de l'Oflice 11 h. ; Mayiïnhac, 14 h. 30. ee 2ig assuré seul la tâche formidà- de choux. Une enquête est ouverte. tionne régulièrement à Cahors depuis national du Combattant au profit des e L. B. 2 tournée : St-Médard-de-Presque, ee ble de ?.pJlectioï;ripr toutes les re- 1930, comme en font foi les fiches indi- anciens militaires mobilisés et réformés I Vélo contre auto viduelles qu'il remet à M. le Préfet, pour tuberculose. 10 h. ; Autoire, 11 h. ; Loùbressae, « clamations ordres Rjendiants. Comme M. le Docteur Rougier, il re- Est-ce dans ce but que l'Office natio- 14 h. 30. ee Deux cents électeurs ?ui sbûmirérii Inspection Le jeune ~ Caminàd'e," de Barbazat grette l'absence de M. le Docteur Bé- nal du Combattant a attribué 08 millions 3° tournée : St-Jean-Lespinasse, 10 e< leurs multiples requêtes : il né" fut Mercredi, le général Bucheton est (commune de Montfaucon), circulait nech, car ils auraient facilement mis au à la Fédération nationale des Blessés heures ; St-Laurent-Crayssac, 11 h. ; ee question ni des bruits de guerre, ni à bicyclette, lorque sur la route de point, en accord avec lui, les erreurs arrivé à Cahors'et a inspecté ]§ bri- du Poumon ? St-Céré, 14 h. 30. e< de Locarno, ni de Stresa, ni de Labastide-Murat, il heurta une auto. renfermées dans son article, N'était-ce pas uniquement pour l'hos- gade de gendarmerie. 4° tournée : Bannes, 10 h. ; St-Vin- ee sanctions, mais seulement d'aug- Projeté sur lp sol, Je jestng cycliste a M. Garnal fait remarquer qu'en pu- pitalisation et le traitement des réfor- cent-du-Pendit, 11 h. • St-Paul-de- et mentation de pensions, de rappel Nécrologie été assez sérieusement eonfUsîonné. bliant sa lettre dans la presse, M. le més de guerre pour tuberculose ? Vern, 14 h. 80. Docteur Bénech a entendu affirmer sa Les crédits de l'oeuvre ne se trouvent- ee de traitements, de chemins ruraux, Nous avons appris avec m vif re- tournée : Lacamdourcet, 10 h. ; présence à la réunion. Il termine sa let- ils pas, l'un et l'autre, détournés de leur 5" ee de lavoirs communaux, de remises gret la mort de M. Boudier, commis- tre en mettant le comité en demeure véritable affectation ? Latouille-Lëntillac, 11 h. ; Frayssi- e< de procès-verbaux, etc.. Ce fut us- saire de police à Bordeaux, décédé à kef Sport? « de savoir pourquoi le programme Va-t-on transformer la Cité Sanitaire nhes, 14 h. 30. ée vrant ! » Page de 4,9 ans, f j Sonac. 14 h. 30 ; As. de cette séance transforma en résolu- souvenirs et dg nombreux amis. Aus- Désprats sera encore le témoin ' cl'une Il estime que l'Office doit répondre à des dures nécessités de la mobilisation sier, 15 h. 30. grande rencontre de rugby. cette mise en demeure et préciser « ce ou de la guerre. 7° tournée : Issepts, 10 h. ; Reyre- tion prise ce qui n'étaif encore qu'une si bien, M. Boudier se faisait un plai- G'est la vaillante équipe du Toulouse- a qui dans la vie administrative dans II n'est plus question que d'offrir le vignes, 11 h, ; C.ambes, 14 h. 30 ; Li- tendance. sir de venir, de temps â autre, dans Bùnhoure-Sports qui viendra donner la «t le Lot ressemble beaucoup à la Cour confort moderne le plus complet aux vernon, 15 h. 80. Ce vice de la subordination des in- noire cité où il savait trouver, fou- réplique à l'équipé 1 de FAviron Cadur- a du roi Pétaud ? » cien. amateurs de cure d'air et de repos pour Nous avons l'assurance de trouver térêts généraux aux petits intérêts jours, Je meilleur accueil. Il tient tout d'abord à rendre homma- Très belle partie de beau jeu, à la- une santé ébranlée par les dures néces- tcus les camarades combattants réu- particuliers est inhérent au régime du La nouvelle de sa mon a provoqué ge à M. le Préfet dont l'administration sités de l'existence. scrutin d'arrondissement. Nous l'avons une vive émotion parmi tous ceux quelle sont conviés tous les sportifs ca- se trouve ainsi injustement mise en cau- nis avec le même esprit de solidarité dtirciens. " Que pensent, de tout cela; l'Office na- assez vigoureusement dénoncé pour qui ont connu le regretté disparu se dans cette affaire, ët à montrer que qui s'est manifesté dans les commu- ' ^'équipe visiteuse fait parler d'elle tional du Combattant et le Ministre des n'avoir pas à nous étonner de ses dé- a la Pétaudière risque dans ce domaine de Pensions ? nes déjà visitées. — Le Bureau. dont nous prions la famille de vou- dans le championnat régional, et nos plorables résultats. loir bien trouver ici l'expression de se trouver limitée aux termes de l'arti- Paul GARNAL, ■ >$2< . joueurs auront une tâche difficile s'ils Mais, précisément, nous regret- nos vives sympathies et de nos sin- veulent remporter la victoire. cle. Membre du Conseil Supérieur Intendance militaire Il est exact que le Conseil général du de l'Assistance Publique. tons beaucoup que ceux-là se retirent cères condoléances. A FIGEAC. Lot a voté un crédit de 12.000 francs, M. Manouvrier, directeur du servi- de la lutte qui voyaient le mai et —— >«< ~-— Championnat de France (1/4- de fina- mais ce crédit n'était pas destiné à la ce de l'intendance de la 17e région, étaient résolus à le combattre. Nous En jouant création d'un service départemental, le). — C'est par 10 points (2 essais, 1 Légion d'Honneur est promu au grade d'intendant géné- voulons nous borner aujourd'hui à Le jeune Yves ïeysséçtou, 5 ans, drop), à 6 points (J essai, 1 but sur coup mais uniquement à subventionner les Nos compatriotes. MM. Thomas, ral de la 2e classe. rapporter ici urie information deve- demeurant au Bourg, s'était placé'' a franc) que'Ie G.S.'Figeacois a triomphé communes de Cahors, -de Figeac et de nue publique espérant encore que M. cheval sur le timon d'un tombereau à de l'Avenir Saint-Cyprien Toulousain.' Gourdon, si elles organisaient un service ancien caporal, et Maury, ancien sol- Enseignement primaire de Monzie cédera aux instances faites bœufs qui était levé en arrière, Tout Disputée sur le stade du football-club communal. L'administration préfectorale dat au 20* d'infanterie (régiment de M. André Miquel, surveillant à Montauban), titulaires d'une pension auprès de lui et reviendra sur une à coup le tombereau tomba en avant. Carmausin, cette rencontre fut suivie n'avait à intervenir que pour mandater l'école primaire supérieure de Cahors, par un nombreux public. De nombreux les crédits aux communes. d'invalidité de 100 pour 100, à titre décision trop hâtivement annoncée. Le jeune enfant fut pris entre l'ai- est nommé instituteur à Varzy (Niè- guille du tombereau et le timon. Il amis figeacois avaient accompagné les Dans le programme soumis et adopté définitif chevaliers de la Légion vre). Apiculture joueurs ' rouge et ngîp. par le Conseil général du Lot il n'était d'honneur, sont promus officiers de fut tué sur le. coup. La partie fut duré. Les Figeacois n'ont pas question de l'organisation par les Commissariat de police Notre compatriote, M. Brel, pro- la Légion d'honneur. SîiîRide amusement cesse de la dominer contre des adver- Dispensaires, mais bien avec la colla- M. Beaumont, commissaire de po- priétaire à Bélinac-Livernon, prési- saires qui usèrent de tous les coups dé- Médaille Militaire boration du Syndicat des Médeins du lice de 1" classe à Marmande (Lot-et- dent de la Société d'apiculture du M. Larnaudie, ingénieur des Tra- fendus, si bien que l'arbitre est obligé Lot. La médaille militaire est décernée à Garonne) est nommé à Chatou (Seine- Lot, a obtenu un premier prix de vaux publics à Figeac, avait fait pla- d'expulser plusieurs joueurs toulousains. Or le Syndicat des Médecins n'a pas notre compatriote, M. Vilhès, de Cam- ee miel de montagne et miels aroma- cer des balises sur la route Nationale Le publie neutre de Carmaux a mani- et-Oise). e été consulté. A Cahors, à Figeac et à burat. tiques », à la 27 Exposition d'Apicul- n° 2. Des individus ont cru s'amuser festé sa réprobation unanime et accueilli Gourdon, l'inspection a été organisée par Nos félicitations à M. Beaumont 1:; victoire de Figeac par une belle ova- M. Vilhès a été, pendant la guerre, qui, par son mariage à Puy-l'Evêque, ture qui a eu lieu à Paris. Félicita- en détériorant plusieurs de ces bali- des accords individuels ou collectifs, tions. tion. avec les médecins de la localité. Et M. le cité deux fois à l'ordre du jour. Féli- est devenu notre compatriote. ses. Plainte a été portée. Le Comité d'Auvergne n'a plus main- citations. iiiiiiuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiHiiiiiiiiin Docteur Bénech déclare dans la lettre Incendie tenant que le G.S. Figeacois comme re- qu'il demandait aux maires des autres La cambriole présentant dans le championnat des séries Un violent incendie a éclaté dans M. Ribeyrol, propriétaire à Fontal- communes de lui désigner un médecin Parmi les militaires des réserves inférieures. En 1/2 filiale il sera vrai- de leur choix. C'était là l'affirmation les établissements de M, Paul Fau, bas (commune de Belmont), s'était semblablement opposé aux huiliers de auxquels la médaille militaire vient d'un divorce avec le Syndicat des Mé- entrepreneur de charronnerie à Va- rendu, ces jours derniers dans une Courtras sur terrain neutre à désigner. d'être attribuée, par décret en date decins. ,raire. Tout l'immeuble a été détruit. maison qu'il n'habite plus, car il s'est LE LOT A PARIS du 28 février 1936, nous relevons les JEUDI 19 Il ajoute que contrairement aux af- Les pertes sont très élevées. Elles retiré chez son gendre, M. Lassalle. noms suivants des soldats du recrute- SAMEDI 21, DIMANCHE 22 MARS U.S. Quercy bat Stade St-Germain, par firmations de M. le Docteur Bénech le iSont couvertes par une assurance. On En pénétrant dans l'immeuble, il 6 points (deux essais) à 3 points (un rôle de l'Inspecteur des écoles n'est pas ment de Cahors : (en soirée à 21 heures) ignore les causes du sinistre. constata que les armoires étaient ou- essai). d'envoyer les enfants aux dispensaires, Soulié Emile, soldat, 26 ans de DIMANCHE (matinée à 15 heures) Favorisé par le vent St-Germain do- mais de signaler aux parents l'état sa- services, 5 campagnes. A été cité. «imtmtittiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii) vertes et que les tiroirs étaient sur Un chef-d'œuvre le plancher. Les cambrioleurs efit erh- minera iei-ritorialement la première mi- nitaire de leurs enfants et la nécessité Florentin François, sergent, 23 ans temps. Le Quërcy' joue mollement et ANNABELLA et Jean GAB1N porté des titres de rente, un sap en de leur faire donner des soins par le mé- de services, 5 campagnes. A été bles- cela par la faute d'un arbitre bénévole decin choisi par la famille. DANS toile contenant 430 francs sé et cité. incompétent. Privé du ballon en mêlée, H fait remarquer le danger des dési- En 1934, un veï d'une somme de Coldefy Louis, caporal, 23 ans de JEUDI — SAMEDI mais dominant à la touche, le Quercy gnations officielles et des abus qui peu- La Bandera S.000 francs a été commis, à Belmont, f.ura quelques réactions dangereusès. Sur services, 5 campagnes. A été blessé et DIMANCHE (en soirée) vent en être fait. C'est le médecin de fa- Inspiré du roman de Pierre Mac Orlan dans les mêmes conditions. Plainte a touche jouée dans les 22 de St-Germain, et cité. DIMANCHE (matinée) mille qui doit choisir le traitement et les VOILA été portée. deux joueurs s'échappent et le porteur moyens d'investigation. Il rend homma- Trégou Ernest-Célestin, caporal, 22 UN SUPERBE PROGRAMME du ballon brûlant 1 arrière marque en ge aux qualités et au dévouement de M. Un film qui écrase tout ce qui a été ans de services. A a été blessé et cité. Deux grands films parlants fait à ce jour. Voi de pièces d'auto moyenne position un essai non converti le Docteur Fuminier, Inspecteur dépar- Petit Félix Pierre, soldat, 22 ans et la mi-temps sera sifflée peu après, 7 temental d'hygiène, Médecin chef ^des TRAM EL Un film bouleversant, chaud, âpre, dur. M. Manet, popriétaire à Souillac, de services, 5 campagnes. A été blessé Un film viril, un dialogue strict, des minutes avant le temps réglementaire. dispensaires et directeur du seul labora- DANS avait garé son auto dans un jardin personnages qui ne s'analysent pas... Après le repos, le Quercy se réveille et toire présentant les garanties de quali- et cité. lui appartenant. Ces jours derniers, mais qui vivent. domine à son tour. Devant l'arbitre pa- fication. On ne saurait étendre abusive- (IlIUllllUIIIIIlUlIlllllllllIlIllIlillillIllillllIlillHI Crainquebille * il ' constata que .différentes pièces ternel, talonneurs, demis et troisièmes ment ses qualifications à d'autres éta- noine Dablanc sur le fonctionnement du -X* avaient été enlevées, notamniertt 1Q lignes des deux camps épuisent toute la d'après l'œuvre célèbre d'Anatole France f blissements qui disposent pour tout ma- Carnet sanitaire, M. le Docteur Rougier BIENTOT .dyiiamo et la magnéto. II a porté gamme du truquage. D où jeu confus, tériel d'un microscope. propose l'établissement de deux projets et un joyeux vaudeville toutes les attaques étant ' étouffées dès le plainte, Il demande au Comité d'approuver le à soumettre au Conseil général du Lot ; départ. Après toute une série de hors rapport présenté par M. le Docteur Fu- l'un prévoyant une inspection annuelle La Rosière des Halles Contravention jeu, St-Germain marque un essai non uiisimmiiiiiimiiuiiimiimmiiimimiiiimnit transformé. Le Quercy refoule de nou- minier, au nom de l'Administration dé- et l'autre deux. AVEC Pour excès de vitesse en moto, les i partementale. Ces projets seront soumis au Conseil LEGUMES ALAYRAC veau St-Germain dans ses buts, une bel- Alice FIELD, Pierre LARQUEY, AZAIS gendarmes de Salviac ont dressé Après une discussion à laquelle pren- d'adminisration de l'Office avant d'être ET rue Mar'-Foch Ip ouverture sur cafouillage permettra Paillette DUBOST et Raymond CORDY contravention à M. Attalcs, cultiva- j nent part Mme Barreau, MM. Tassart, transmis au Conseil général du Lot, lors aux trois-quarts de partir franchement, f)octeur Rougier, Docteur Calvet, Cha- de sa prochaine session. Un film vivant, mouvementé, gai PRIMEURS CAHORS teur à Champagnac-les-Quercy. et une belle combinaison de passes croi-
' JL sées entre le centre et l'ailier aboutira à e l'essai marqué en coin qui ne pourra f Combattant » est sans cesse menacée ments, 83 suivant le nombre des li- ment le siècle où son intelligence a dis- ces assurés, de feuillets intercalaires. être transformé. A la stupéfaction géné- dans son existence, M. Andrieu expo- vrets, 78" suivant le rapport entre les cerné dès le premier jour qu'il y avait Les intéressés reçoivent des feuillets ; sa avec chaleur la nécessité de mon- livrets, et la population, 86e suivant rale, l'arbitre siffle la fin alors qu'il reste tanttd'erreurs à redresser. » trimestriels comportant une partie encore 10 minutes à jouer. En résumé, trer la force qu'a le mouvement le solde dû aux déposants L'influence que ce maître de la pensée cette partie exempté de tout geste incor- détachable, destinée à l'apposition des ; « Combattant ». Le 31 mai, un La Caisse d'épargne de Figeac pos- contemporaine a exercée, il est encore timbres. rect aurait été un bel entraînement si les j congrès national doit tenir ses assi- sédait au 31 décembre 1933, 7.855 li- trop tôt pour en mesurer toute la profon- règles les plus élémentaires du rugby ses à Cahors. Il faut que les Anciens deur, mais déjà, au lendemain d6 sa mort, HIHIIUUIIHIIIIIItmilUmilHMmiHtMdllHHHI avaient été respectées. vrets contre 7.827 en 1932. Dimanche 22 mars : U.S. Massif Cen- Combattants fassent impression par Celle de Gourdon, 2.744. en 1933 °n a pu voir les plus grands écrivait s 5V ■' tral contre U.S. Quercy, à Boligny. le nombre. Plus de 6.000 y participe- contre 2.769 en 1932. •te notre temps rendre hommage au ront. Ce jour-là ils montreront à la Celle de Souillac, 1.661 en 1933 disparu. m ulIlIiUllUIIIIIIIUIlIllIlllllllHllllllllllllillllllllil France et à ses représentants que contre 1.685 en 1932. Il faut louer la Bibliothèque reliée Pion pour réclamer le maintien de leurs Celle de Saint-Céré, 685 en 1933 d avoir, pour une large part, contribué à Arrendissemeat de Cahors droits acquis, la conquête de leur contre 629 en 1932. répandre les plus fameux romans de Paul Paris, 11 h. 45. idéal, la sauvegarde de la paix, ils sa- Le solde dû aux déposants de la «ourget en offrant, pour un prix modique Castelnau-Montratier vent, comme par le passé, s'unir et Caisse d'épargne est de : des ouvrages de bibliothèque. Faut ilrap- Les négociations de Londres manifester dans le calme. Cahors : 15.430.594 fr. en 1933 peler que ce fut le Danseur Mondain qui Carnet blanc. — Jeudi, 19 mars, a 'inaugura cette collection qui devait, par De Londres. — Le Conseil des Qua- été célébré, à Castelnau-Montratier, Les adhésions au banquet qui clô- contre 14.533.352 fr. en 1932. tre réuni, cette nuit, est parvenu à un turera cette grande journée ayant été a suite, connaître le succès le plus méri- le mariage de M. Daniel-Clément Figeac : 24.182.368 fr. en 1933 con- té? Ensuite vinrent le Démon de midi, accord de principe entre l'Angleterre Maury, préparateur en pharmacie à recueillies, nos Anciens Combattants tre 23.302.581 fr. en 1932. et la France. Cet accord prévoit : 1 ° le se séparèrent. Un drame dans le monde, la Geôle, le Dis- Cahors, avec Mlle Marie-Louise-An- Gourdon : 8.866.893 fr. en 1933 ciple, Un Divorce, Cruelle énigme, Un recours au tribunal international de toinette Bernadou, à Castelnau, contre 8.443.689 fr. en 1932. -rime d'amour, le Sens de la mort, André La Haye ; 2° des mesures provisoires Nous adressons aux jeunes et char- Souillac : 3.851.361 fr. en 1933 'ornélis, Cœur pensif ne sait où il va, de sécurité pendant la période des né- mants époux nos vœux bien sincè- contre 3.843.282 francs en 1932. Lazarine, l'Emigré, pour ne citer que les gociations eî, notamment, l'occupation res de bonheur et d'heureux avenir Saint-Céré : 2.945.204 fr. en 1933 principaux. par les troupes internationales de la et à leurs familles nos bien vives fé- Voyageurs, Touristes contre 2.631.897 fr. en 1932. Aujourd'hui c'est avec Némésis, un des zone démilitarisée, en territoire alle- romans les plus significatifs de l'art de licitations, Mouvement des vins mand ; 3° la préparation d'une négo- Montgesty Compatriotes Paul Bourget qui sont offerts aux lecteurs. ciation générale avec l'Allemagne, con- Les Anciens du 342, — M. Jules Del- Voici le mouvement des vins dans Némésis, c'est la déesse du destin qui formément à la demande du Fuhrer. fort, ancien sous-officier du 342° Régi- descendez à l'hôtel MALHER le Lot pendant le mois de février doit s'accomplir, c'est la déesse de la Condamné en droit, le Reich gagne ment d'infanterie territoriale, vient de 5, ma Malher, 5 (me de Rivoli) 1936 : mesure qui défend d'abuser de la victoire, en fait. recevoir la lettre suivante de M. René Métro ; Saint-Paul Quantités de vins enlevées des chais la déesse de la fatalité qui fait pencher Besse, Ministre des Pensions : PARIS (■*•) des récoltants : 18.018 hectolitres. le plateau de la balance tantôt vers le Le chômage aux Etats-Unis « Mon cher Compatriote, TOUT LE DERNIER CONFORT Antérieurs à la campagne : 51.295 bonheur, tantôt vers le malheur. Autour De Washington. — D'après les sta- l'une statue de Némésis, découverte dans « Vous avez bien voulu appeler mon SALLES DE BAINS hectolitres. Total : 69.313 hectolitres. tistiques de l'Office du travail, le un pnre des environs de Sienne, par nombre des chômeurs, en Amérique, attention, d'une façon toute spéciale, sur RECOMMANDÉ AUX FAMILLES Quantités de vins soumises au droit la situation des anciens militaires ayant de circulation : 15.299 hectolitres. un vieil abbé archéologue, se tisse un atteint 9 millions. lrame poignant et rapide. appartenu au 342° Régiment d'infanterie CHAMBRES h UN LIT Antérieurs à la campagne : 49.956 En Ethiopie er Dans un des plus beaux sites d'Italie que territoriale, au regard du décret du 1 15 à 24 fraies par joeir hectolitres. d« Paul Bourget décrit avec amour — l'Italie ilii m.'iiii'iili' çj.1 D'Addis-Abeba. — L'usage de la juillet 1930. Stock commercial existant chez les « Je m'emppesse de vous faire connaî- " IrXOiRAC rélipH**. fut bien souvent son inspiratrice — un T.S.F. est interdit à Addis-Abeba. tre que les renseignements recueillis sur A GmES marchands en gros : 10.694 hectoli- officier français de l'armée d'Afrique a Pour empêcher la réception des nou- les services accomplis, pendant la Gran- ^oTitâ^ * tres. retrouvé son ancienne maîtresse. Mais HmirujuiMi velles tendancieuses, les propriétai- de Guerre, par cette formation, n'avaient o
Feuilleton du « Journal du Lot » 3Q quqy m'a demandé de l'aller voir à la porte. Elle le rejoignit en deman- bonheur. Et elle attendait avec une ciedj, qui est tout à fait sûr et fidèle. voyage de six cents kilomètres. Mais Paris-Plage, mais il doit me fixer le dant d'un air soupçonneux : secrète impatience l'arrivée de cet Et je gagnerai la chapelle par votre j les paroles perfides lui donnèrent L'HERITAGE jour par téléphone. Alors, il se peut — Que faisais-tu là ? îlenryx Wienkiewicz, dont Karol lui mystérieux passage, chère Magdale- ! néanmoins un petit coup au cœur et que ce soit précisément celui-là que — Je venais voir si vraiment il ne avait montré le portrait, qui était ce- na, j'irai délivrer Saint-Michel de son ce fut avec une mine un peu altérée yoiis choisissiez, sans le savoir. pleuvait plus, lui l'un homme vigoureux, bien dépôt. A bientôt donc. » qu'elle accueillit l'au revoir de Karol, DE CENPRÏSLLÛN — Eh bien, tu nous téléphoneras., — Qu'est-ce que ça peut te faire ? charpenté, aux traits un peu rudes, Magdalena lut et relut ce billet plu- accentué d'une manière particulière, par DEIXY. — Oui, si j'ai le temps. Vous s.avez., — Ça me fait que je vais pouvoir mais au regard plein de bonté. sieurs fois avant de le brûler. La joie appuyé d'un regard dont elle seule je n'aime guère les complications, Et aller faire ma petite promenade de Karol fit faire encore des excur- chantait en son cœur. Puis tout à pouvait comprendre la signification. après tout, vous n'avez pas besoin de l'après-midi, comme me l'a recom- sions à ses hôtes, ce jour-là et le len- coup, une angoisse la saisit. N'était-il Le jeune homme l'attribua à XVIH moi ? mandé le docteur, puisqu'à Versailles demain. Mme de Ojeda avait offert à pas possible que le papier eût été dé- l'anxiété bien compréhensible qu'elle — Nous ne nous en. plaindrons pas, — Non, pas que je sache. Alors, la pluie m'en a empêché. Magdalena une délicieuse toilette couvert par quelqu'un ? Ou bien une devait éprouver, dans l'attente de ce dit Vincente avec suavité. Clairefon- fais comme tu voudras, nous ne nous — Ah ! bien ! dit Fernande avec blanche, qui la rendait plus jolie en- des énormes pierres de la voûte, en que contenait le testament. Lui-mê- taine est vraiment un Eden ! occuperons pas de toi. indifférence. core. Fernande, lorsqu'elle regardait se détachant, n'avait-elle pu jeter à me la sentait grandir en son cerveau — Tout à fait ! appuya Fernande. — Très bien, cela vaut mieux. Et elle ne vit pas le regîurô per- sa cousine, avait dans les yeux un terre la statue, et en ce cas, le pré- maintenant que la démarche décisive — Il manque peut-être le dancing Et sur ces mots, il sortit du salon, plexe, up peu anxieux, dont la suivait éclair de haine, que surprit à un mo- cieux papier, gisant à terre, n'aurait- allait se faire. Ah ! ils joueraient sur pour vous, mademoiselle ? dit ironi- suivi de sa sœur. son jaune * frère, tandis qu'elle ren- ment Karol, il pas été détruit par les rats ? du velours, si M. de Norhac avait eu quement Karol. Je suis certain que — Eh bien, où yas-tn, Fernande ? trait dans le salon où Karol, délivré « J'ai hâte, de plus en plus, d'en- « Non, non pensa la jeune fille avec la bonne idée d'accuser sa nièce ! vous faites un grand sacrifice en y de- demanda Mme de Movis. de Thibaut, se mettait à causer avec lever ma hien-aimée à ces gens-là ! ferveur. Je vous l'ai confié, saint Mi- Il partit sans appréhension, mais, meurai] L — J'accompagne Thibaut à sa voi- son esprit habituel, pensa-t-il, le cœur serré d'inquiétude. chel, et je sais que vous me l'avez en véritable amoureux, souffrant à " y'qùs VOUS trompez, monsieur. ture. l'idée de ne pas voir pendant quel- XVIII Fernande la hait, par jalousie féroce, gardé ! » Lps mondanités ne sont pour moi — Mais tu vas te faire mouiller. Thibaut, s'est pris de passion pour Au déjeuner, Karol annonça qu'il ques jours celle que déjà, dans le se- qu'un passe-temps dont je me prive- — Non, il ne pleut plus. Karol reçut le lendemain, par T.S.F. elle... et leur mère, doit souhaiter de ne serait pas là le lendemain, une af- cret de son âme, il appelait sa fiancée. rais sans peine, répondit Mlle de Mo- C'était vrai, en effet. Près de la des nouvelles de son père qui s'était toute son âme la voir disparaître de faire le retenant à Paris. C'était la Mme de Movis, après son départ, vis avec aplomb. voiture, en affectant de montrer à embarqué sur son yacht dix jours au- sa route. Il faut que j'aille dès main- première fois qu'il manquait de ve- décida qu'elle se rendrait le lende- Comme ces gens-là savent mentir ! Fernande le nouveau bouchon de son paravant pour regagner la France, tenant chercher le testament de M. de nir à Clairefontaine. Fernande ne main à Paris et chargea Fernande de pensa Karol, dont le mépris se mêlait radiateur, Thibaut lui adressa enco- j Le jeune homme trouva le moyen de Norhac. », manqua pas cette occasion d'essayer téléphoner à son père pour l'en aver- de colère, car il songeait à tous les re quelques recommandations. Elle j glisser à l'oreille de Magdalena en Par un mot que remit à Magdalena une vengeance contre la rivale triom- tir. Magdalena, toute mélancolique, dédains, les injustices dont Magdale- acquiesçait de la tête. Puis elle de- ! sortant de l'atelier : Mme de Ojeda, il informa la jeune phante et, entre haut et bas, elle glis- alla s'asseoir près de l'étang, où elle na, si loyale, de conscience si délica- manda : j — Nous ne tarderons plus beau- fille de son projet. sa à sa mère, de façon que Magdalena fut bientôt rejointe par Louis. Le jeu- te, avait souffert par ces êtres hypo- — Tu auras l'argent nécessaire j coup à voir arriver, maintenant, «... Je partirai demain et m'arrête- seule pût. l'entendre : ne garçon n'avait pas pris meilleure crites. pour payer Célinie ? car ie « Sphirjx » est très rapide. rai à Pau, où je coucherai. Le lende- — Une affaire ?... A cette époque mine, depuis son séjour à Clairefon- Thibaut prit congé peu après, Karol — Oui, Fauquoy me Fa prêté, Magdalena se sentit tout heureuse, I main, de bonne heure, je gagnerai ■ où il n'y a plus personne à Paris ? taine. Il semblait miné par quelque serra à peiné la main qu'il }ui ten- — Alors, entendu ? Dans deux à cette nouvelle. Plusieurs fois, en Dreuzès. Laissant ma voiture assez Allons donc ! Mais je sais que la bel- mal, physique ou moral. Mais jamais dait. Sa mère lui dit : jours ? ! lui parlant du retour de son père hors loin du village, je ferai le reste du tra- le miss Hortner est en ce moment à il ne se plaignait." Magdalena s'était =r- A bientôt. J'irais sans doute à — Entendu... à moins d'un contre- \ de la présence des Movis, Karol avait jet à pied, afin de ne pas attirer l'at- ' Fontainebleau... et il en est toujours prise d'affection pour lui, en Je voyant Paris dans deux ou trois jours, et ordre de part ou d'autre. | paru lier à ce retour la fin de la dé- i tention à cause de cette Célinie de- j amoureux certainement. toujours si doux, si triste, et assez j'espère que nous ne nous manque- Et ils se serrèrent la main. En se pendance en laquelle la tenait Vin- | meurée au château. J'irai aussitôt en | Magdalena savait fort bien que Ka- souvent ils causaient ensemble, rons pas cette fois. détournant pour rentrer Fernande cente. Il semblait lui promettre pour reconnaissance du côté de la cascade, ■ roi n'irait pas voir miss Hortner et quand ils se trouvaient hors de la pré- i ~- Ce n'est pas sûr du tout. Fau- aperçut Louis qui passait le seuil de i ce moment-là, quelque mystérieux en me faisant accompagner de Voj- ' que c'était pour elle qu'il ferait un sence de Vincente et de Fernande, avec auto, sérieux et L'Agriculture et les Chemins de fer le plus sûr, le plus économique et le lTe et 2« classes entre Paris-Quai d'Orsay Nous rappelons que le Livret-Gui- REPRESENTANT très actif est demandé le plus régulier, et Port-Vendres-Ville et wagons-res- de Officiel du Réseau P.-O.-Midi est pour vente HUILES AUTOS. 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Un volume de 114 pages : 10 francs puis le 26 décembre 1935, de 400 k. à La voie la plus rapide entre Paris el Tomes I et II, avec horaires des 800 k., par mètre superficiel, le riiini- LIVRET-GUIDE OFFICIEL Etudes historiques des pays restaurés Alger est celle de Paris-Quai-d'Orsay- trains, 7 fr. 50. mum de chargement des wagons de du Réseau P.-O.-Midi Publications Silvestre par les traités : Pologne, Tchécoslova- Toulouse-Port-Vendres. Envoi par le service de la Publici- 7, Place Bellecour, LYON quie, Yougoslavie, Roumanie, Albanie paille et de fourrage pressés. 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Tome I, avec horaire des trains Paraissent chaque année Juilian, de l'Académie Française, et de duire par une économie sensible pour nées et à la Méditerranée. l'auteur. Dans le sens France-Algérie, ils cor- 6 fr. 25. en octobre-novembre les expéditeurs de pailles et de four- respondent à un train-paquebot partant Un indicateur complet des trains En présence de velléités révisionnistes Tome II, avec horaire des trains, FORMAT DE POCHE (9 Editions) rages, quel que soit le mode d'envoi. de Paris-Quai-d'Orsay les mardis et sa- P.-O.-Midi, formant annexe, est ven- 6 fr. 45. N° 1 : Agenda des Agriculteurs et des qui se manifestent, cet ouvrage expose Le chemin de fer s'aflirme ainsi medis soirs, à 19 h. 25 (toutes classes, du avec les 2 tomes ou avec l'un ou Tomes I et II, avec horaire des Viticulteurs. les raisons techniques qui ont guidé les une fois de plus le mode de transport couchettes de 1" classe, wagon-lits de l'autre des tomes. N° 2 : — des Viticulteurs et Négo- négociateurs dans ta reconstitution des trains, 9 fr. 55. ciants en Vins. frontières assurant l'équilibre général N° 3 : — des Agriculteurs et In- des races ancestrales. dustries Agricoles. It émet, cependant, certaines critiques N° 4; — des Horticulteurs. dont il justifie le bien-fondé. N° 5 ; — des Syndicats Agricoles. Une documentation historique très N° 6 : <— des Eleveurs. poussée sur les origines des agglomérats N° 7 ; «— de l'Industrie Laitière. de races ayant fait l'objet des traités N" 8 : des Colons de l'Afrique du Nord. consécutifs à la grande tourmente ; un N° 9 i de la Ménagère Agricole. styie très alerte, sachant rendre attrayant LÀ PHOSPHIODE GARNAL un sujet en lui-même abstrait, telle est Elégants carnets à reliure souple et solide, fermoir élastique et pochette in- l'œuvre soumise au jugement du grand remplace avantageusement l'HUILE DE FOIE DE MORUE et les préparations iodotanniques phosphatées térieure. 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Le D' ORTEL, Ancien Externe dea Hôpitaux de Paris, Docteur en Médecine de la Faculté de Paris, écrit s Remises spéciales aux Associations Que faut-il penser de la remilita- agricoles, Ecoles d'Agriculture, Groupe- risation de la zone du Rhin ? Com- « Le RECONSTITUANT et le DÉPURATIF le plus énergique et le plus La PHOSPHIODE GARNAL fortifie les enfants faibles, fait ments, pour commandes globales. ment conçoit-on l'égalité au pays des agréable est sans contredit la PHOSPHIODE GARNAL. C'est de l'Huile disparaître les engorgements ganglionnaires, fortifie les os. Soviets ? Si la guerre avait lieu en de Foie de Morue concentrée et débarrassée des corps gras qui'la rendent indigeste C'est le grand remède contre l'Anémie et les 1938 ? Voilà quelques questions trai- et désagréable à prendre. Pâles couleurs. tées par les Annales du 10 mars. On y Son action réconfortante sur le système nerveux en fait un spécifique contre la Chaque flacon de PHOSPHIODE GARNAL. ren- neurasthénie. parle aussi de Minuit, de Julien L'ART «VIVANT ferme les principes jy& iPo-^i® èk. Toulouse ipojr Cahors jy& Toulouse in ï*auri® par OaJfciors OMNIB. OMNIB. âxs. & (Sa, EXP. MIXTE RAPIDE EXP. RAPIDE EXP. OMNIB. OMNIB. OMNIB.(2) EXP. RAPIDE OMNIB. EXP. EXP. RAPIDE t-.2-.3- «t.i-.r.r d. i",r,s*d.«-,r,3-«- i-,r,a*et. 1", 2-, 3- et. i", f, S* el. «". i*, r et. v, r, r et CAHORS 6 29 15 20 9 18 41 PARIS (Orsay) dép » » U 10 15 » 19 25 — 22 » — 9 TOULOUSE.... d. 50 8 40 8 30 13 25 15 51 20 8 ! 21 3 i 23 11 Mercuès 6 43 15 .4 9 18 55 PARIS (Aust.) dép » 7 55 10 27 9 » 19 55 22 12 22 40 MONTAUBAN. d. 11 9 53 9 11 14 6 16 43 20 50 | 21 48 j 23 51 Douelle (Arrêt).. 6 47 15 3< 9 18 59 » » 9 — (1) 15 48 » 0 1 1 27 3 3 5 26 Caussade 6 50 10 27 9 30 17 17 21 10 Parnac 6 54 15 46 9 LIMOGES g*™ 19 7 » » » 15 57 » 0 4 1 35 3 8 5 42 Lalbenque 7 26 11 5 — — 17 52 Luzech 7 » 15 52 » 19 13 BRIVE... i arrivée >\ » 15 28 17 31 » 1 29 3 4 4 31 7 22 » Cieurac 7 34 11 13 — — 18 » Castelfranc 7 12 16 3 19 24 ( départ 7 48 12 33 lu 55 17 37 18 10 1 35 3 14 4 37 7 33 » Sept-Ponts 7 44 11 22 — — 18 10 Prayssac (Arrêt). 7 16 6 7 » 19 28 I Gignac-Cres sensac. 8 24 13 9 16 29 — 19 13 — — — 9 7 50 11 28 16 5 14 58 18 16 21 50 22 47 0 43 Puy-l'Evêque 7 24 16 15 17 22 19 36 SOUILLAC. aep. 8 46 13 36 16 48 18 16 19 41 _ — 5 14 8 16 9 CAHORS... | d7p; 8 1 — 10 9 is a 18 24 21 54 22 51 0 47 Duravel 7 31 16 22 17 34 19 43 — — —i 9 CAZOULES 8 53 13 43 16 54 19 50 _ _ Espère 8 15 — — 18 35 Soturac-Touzac. 7 38 16 29 17 46 19 se — — La Chap.-d-Mareuil » — 9 — — 8 58 13 48 16 58 _ St-Denis-Catus... 8 28 — 18 47 Fumel 7 48 16 40 18 13 20 11 — — — — » —■ Lamothe- Fénelon 9 7 13 57 17 7 20 9 _ Thédirac-Peyril... 8 41 — — 19 9 LIBOS. 7 53 16 45 18 19 m — — — — 9 9 16 14 6 17 16 » Dégagnac 8 50 — — 19 8 — 9 GOURDON.. dép. 9 29 14 19 17 26 18 40 20 33 4 20 _ 8 44 Saint-Clair 8 58 — — — 19 16 — — — — 9 Saint-Clair 9 38 14 28 17 34 9 GOURDON (1) d. 9 11 — 10 47 — 19 27 22 33 — — — — 9 >os à Ca: Dégagnac 9 48 14 38 17 44 » Nozac 9 18 — — — 19 34 hors — — — — 9 Thédirac-Peyrilles 9 58 14 48 17 54 Lamotbe-Fénel. .. 9 26 — — — 19 42 — — — Saint-Denis-Catus. 10 8 14 58 18 3 » _ _ » La Chap.-de-Mar . 9 33 — — — 19 49 LIBOS. dép„. 6 34 9 24 13 24 m ai — — — — Espère 10 16 15 6 18 10 — CAZOULES 9 39 — — — 19 55 Fumel. 6 42 9 31 13 31 18 10 25 15 15 18 19 19 16 » 3 7 4 59 6 11 9 24 » SOUILLAC.. dép. 9 53 — 11 8 — 20 6 Soturac-Touzac ..... 6 58 9 41 13 41 18 19 » 7 27 — 11 51 17 56 19 20 » 3 11 5 3 6 15 9 30 Gignac-Cressens.. 10 21 — — 20 34 Duravel 7 9 9 48 13 48 18 26 — » — — 7 38 Sept-Ponts 12 2 18 7 _ _ 10 46 — 11 46 16 33 20 59 23 44 0 29 2 15 Puy-l'Evêque 7 25 9 56 13 55 18 33 Cieurac 12 17 18 22 — ■ » — _ _ — 7 53 BRIVE j J- » 11 54 16 39 » 23 51 0 39 2 21 Prayssac (Arrêt). 7 39 10 4 34 3 18 41 Lalbenque 12 24 18 29 » — » _ _ — 8 » PARIS.. (A.)arr! » 18 58 23 23 » 6 43 8 11 8 39 Castelfranc 7 46 10 9 14 3 18 46 Caussade 12 52 18 59 20 1 » _ 5 46 _ 10 14 8 27 PARIS.. (O.)arr. » 19 10 23 35 6 55 8 23 8 50 Luzech 8 7 30 20 14 19 18 56 MONTAUBANarr. 13 23 19 30 » 20 22 » 4 7 6 7 7 10 10 35 8 59 Parnac 8 20 10 29 14 28 19 6 TOULOUSE.. arr. 16 43 » 21 6 4 50 7 » 8 » 11 57 11 8 DoueSIe (Arrér) » » 10 34 14 33 19 11 (1) Un train mixte part de Gourdon le matin è 5 h. 4 et arriva â Brïvs à 7 h. 18. Mercuès (2) N'a lieu que les samedi, dimanche, lundi, jours de fête et jours de fetre de Cah«rs. 8 35 30 39 14 38 19 17 (1) Os Paris à Brive-Périgueux «t Toulouse par Capdeaae. CAHORS 8 53 10 51 14 59 19 La Buisson h St-D©ais-près-Marteî Toulouse à Capdenao, Brive et Paris 8t-Denis-près-Martel et Aurillao 9 19 42 Le Buisson, dép. 6 46 10 41 TOULOUSE, dép. * ! » 10 li 14 48 17 41 gt-Denis-près-Martel. 4 47 13 35 » 17 13 13 46 18 1i i 21 43 Sarlat » 7 53 11 45 17 46 20 46 CAPDENÀC. j |; » I Vayrac 4 55 13 43 17 21 » 2 Î8| 17 11 17*20 13 r8 18 38J 22 5 ]Os3 Caliors «3.o.e.o Bétaille (arrêt) ... 5 1 13 47 17 26 » 9 8 23 12 20 19 18 21 21 FIGEAC .' 2 33) 31 11 17 2^ 34 13 18 5! 22 16 Pnybrun 5 10 13 55 17 34 8 36> 12 28 EL Le Pournel » i 50 12 » 14 32 19 12! » CAHORS 8 2 10 14 16 11 18 36 Bretenoux-Biars.... 5 21 14 6 17 44 8 19 19 31 1 9 Cabessut 8 11 10 25 11 18 12 44 15 s Assîer 3 35i 14 4;i 19 23122 41 16 22 18 47 Port-de-Ga^nac 5 28 14 12 17 51 » -o Flaujac (halle)... > 1 8 10 12 27 x 14 52|19 32 j » Arcambal 8 20 10 41 16 31 19 Le Pigeon 8 31 11 42 12 57 oJS 15 20 » Laval-de-Cere 5 39 14 20 » 17 59 «g- Graniat 8 23 12 47 9 15 5| 19 45! 23 » Vers 8 28 10 59 16 39 19 11 Lamativie 1 14 37 18 20 £ 25 8 35 12 59 9 Saint-Géry 8 35 U 14. 6 Baladou. Arrêt. 8 35 11 49 13 1 3 c ^ 15 24 Rocaiiiadour 5 ii>! Ï5 15119 56 23 10 16 44 19 19 Siran (arrè!) 6 17 14 51 18 37 lia Montvalent 5 37; i9!13 18 » 15 28'20 10! » Conduché 8 46 11 43 16 55 19 36 15 31 La Roquebrou 6 32 15 4 » 18 53 8 42 12 14 13 8 St-Denis-p.- ( arr. 5 8 58iî3 27 35 37120 19 23 30 Saint-Cirq-ia-Popie. 8 52 11 53 17 1 19 44 » 19 37 m S t-Marti n-Labouval. 8 59 AURILLAC. .arrivée. 7 13 15 42 S*-Denis-p.-M.ar. 8 51 12 26 13 17 15 40 Martel l dép. o 55 9 6|13 32 15 47) 20 ^8;23 34 12 17 17 8 20 » Quàtre-Routes 6 71 9 Î6|13 43 » 15 56 20 33 » Calvignac 9 5 32 27 17 14 20 9 Aurillae à St-Denis-près-Martel St-Denis-près-Martel au 1 lisson Tureime 6 19 9 26 13 54i 9 16 8120 47 » Cajarc 9 36 32 44 17 26 20 26 BRIVE ar. 6 50 9 4Sj 14 21 j » 16 26121 Montbrun 9 25 A titre 17 35 S'-Denis-p.-M. » 7 31 9 14 13 41 16 44 7 0 8 20 39 AURILLAC.. départ. 5 » 11 22 17 17 » d. PARIS (Orsay) ar. 19 10! 9 Toirac 9 33 essai 37 ■ I 5 39; 3 23 jours de 43 20 51 La Roquebrou 5 35 11 S8 17 55 9 7 44 9 27 13 54 17 13 Lamadeleine 9 44 foire 17 54 21 6 Siran ( nrèt) 5 46 » 12 9 18 6 Paris à Brivs, Cf&p&en&e et Toulouse CAPDENAC 9 55 à Cajarc 18 5 21 20 » 7 50 14 » 17 23 Lamativie 6 » 12 23 18 21 > Baladou. Arrêt. 9 33 (Orsay) Laval-de-Cère 6 16 12 88 18 30 » 7 53 9 37 14 3 17 38 PARIS (Aust.) d 120 37 22 401 » 55110 15 9 9 Capdeiiao èa Oo.lioir® Port-de-Gagnac 6 23 » 12 45 18 44 » Brive dép. 49 8 13152 42 15 43! 38 24 » 9 8 2 9 46 14 12 17 49 3 Bretenoux-Biars 6 39 » 12 54 19 » 6 52 Turenne 4 10 8 38 13 7 16 7 L'js 1 » CAPDENAC.. 7 11 11 49 19 8 54 14 21 19 55 1 » Puybrun 6 48 9 13 1 19 8 » Quatre-Routes... 4 18 8 47113 1' 16 15| 19 13 » Lamadeleine. 7 23 12 5 19 11 7 1 9 2 14 29 20 3 » Bétaille (arrêt) 6 57 9 13 8 19 15 St-Denis-p.- t arr 4 2") 8 54; 13 24 Î6 22119 23 Toirac 7 34 32 19 19 20 » Vayrac 7 12 » 13 13 19 20 3 20 MO Sarlat... 9 37 1T53 15 4 20 38 Martel j dép.. 4 9 2:13 31 1S 27 h 9 43 * Montbrun.... 7 42 12 30 19 27 » St-Denis-près-Martel. 7 19 13 20 19 27 » 9 5 24 Montvalent » 9 13 13 m 16 39:20 » Cajarc 7 52 12 45 19 37 9 Le Buisson, ar. 6 9 » 18 39 15 54 » Rocamadour 4 56 9 30! 14 3 16 56! 20 41 9 Calvignac.... 8 2 12 58 19 46 9 Gramat 5 8 9 42j14 17 17 9 21 3 9 St-Mârtin-Labouvâl.. 8 9 13 7 19 54 9 : De Sarlat à Gourdon De Gourdon à Sarlat Flaujac (halte).. » 9 , .5 14 30 17 '-41 » » SaMt-Cirq-la-Popie.. 8 17 13 17 20 1 9 SARLAT 8 26 17 36 GOURDON 5 58 16 34 9 Aissier 5 10 5 14 42 17 : 6:21 34 » Conduché 8 23 13 25 20 7 9 Carsac 8 36 17 47 » Payrignac (arr.). 6 5 16 42 » Le Pournel 10 14 14 51 17 46!21 4G Saint-Gérv 8 38 13 41 20 19 9 Grolejac 8 43 18 4 » St-Cirq-Madelon 6 13 36 50 9 FIGEAC dép 5 51 10 34 15 12 18 8 22 9 » 9 8 43 13 48 20 24 9 St-Cirq-Madelon. 8 49 18 11 Grolejac 6 31 16 56 » (ar 6 10 43 15 20 18 18:22 22 9 ! Arcambal. 8 50 13 59 20 31 9 CAPDENAC 18 » Carsac 6 42 17 7 9 . i 24 11 20 18 34 52 » 9 ! Cabessut.. 8 59 14 14 20 41 9 Payrignac(arr.). 8 56 18 19 ! GOURDON 9 6 18 29 » SARLAT 6 56 1 17 28 > TOULOUSE . 10 s U 2? 20 31 56! » 9 » ! GAHORS., 9 6 14 23 20 48 »