Nouvelles Du Jour Ct Des Forces Éleclriqara De 1880 À 1910
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lui aussi , contre Varioexion de l'Alsace-Lor- toujours eu sur ,1e» bra» de grandes entreprises Jotzrnêe 0a 20 saut 'uli'::é publi raine. Ceux qui pensaient ainsi avaient déjà d que, comme celle des chemins de Communiqué français du 20 août, ,\ ïï bea- 1er alors le sentiment dii droit des peuples de , de 1800 à 1880, puis celles de l'université res du soir : Nouvelles du jour ct des forces éleclriqara de 1880 à 1910. i.' , ad- choisir leur destinée, -fis n'étaient pas enne- Au sud dé VAvre, nous nous sommes empa. niinislralion s'est vue tlajis la nécessilé de sim- mis de la .grandeur àe l'Allemagne; iis la réi dc Beunraljue ' aprèi un combat acharné. ' plifier sea rouages pour faire converger Jes Nouvelle avance française au nord de voulaient, au contraire, plus grande, par Au cours dc notre avance d'hier, enlre ressources publiques vêts les œuvres ; aussi en- la l'union avec l'AulriclSs au lieu que les te- Matz et f Oise nous avons fait 500 prisonniers. , tendait-on des jxlainles sur le manque de places , l'Aisne. 8000 prisonniers. À l' esl de l'Oise, nos troupes ont attaqué M nants dc la politique jyussienuc ont rapetissé ot l'insuffisance des IraUeuienls, car il y en a Les opérations que le maréclial Foch a en- les prochains conflits ei horribles qu'ils fe- midin les lignes allemandes,' tar un 'front dt l'idée nationale. toujours beaucoup qui trouvent plus facSe " de gagées dépuis samedi' entreTOisê et l'Aisne ront pâlir le souvenir de ceux auxquels nous 25 kilomètres environ depuis la région dt Les rédacteurs de la 'Gazette de Francfort vivre d'une fonction publique que dc se suffire , ris Bailly Jusqu'à l'Aisne. En dépit de la résis- oui p , hier; leur développement maximum. assistons. » réclamaient que Chamberlain fût condamné par l'initiative privée. Au fond 'était une belle , c tance opposée par Ccni-icmi, nous avons alteinl Les Iroupes du général Mangin onl attaqué Cc sonl là des paroles sensées auxquelles époque celle où lout -progressait ct qui mar- pour diffamation préméditée, ce qui eût cu , sur notre gauche les lisières sud' de la forêt les positions allemandes sur une étendue dc on ne peut qu'applaudir. quera dans ixustrâre ; it seratt luclicux de la pour conséquence son 'emprisonnement. Mais d'Ourscamps les abords de Carlepont et da vingt-cinq kilomètres et les ont profondc- ' voir se Clore. Précisément parce <p:e les abus , le tribunal a bien vouïii admettre qu'ilavait Caisnes. ment ébréchecs. L'allaquc élait parlie d'une s'étaient moins produits et que l'Etat faisait de • « parié ù la légère. « Ce grand écrivain, dont la A' M centre nous avons enlevé Lombray ri ligne "jalonnée de l' grandes choses, ou n'éprouvait pa3 le besoin , ouest à l'est par les loca- 11 vient de se juger, à Francfort, un pro- compétence passait pour encyclopédique est . BlérancourdcIIe cl pris pied sur le plateau ua , d'inlroduire les droils populaires ; sous ce rap- , lités de Bailly, Tracy-le-Val, Nampccl, Au- cès de presse qui offre un intérêt polilique nord de VasscrxS. donc un homme qui ment sans le savoir », port , nous nous laissions devancer 'par le reMt dignicourt, Vassens, Morsain, Nouvron, Fon- Sur noire droite les villages de Vezaponin de. premier ordre. Les-rédacteurs de la Ga- concluent la Gazette dç Francfort ct les au- de la Suisse ; mais ie rclard n'était qu'apparent. , , tenoy. Lc terrain est très accidenté ; il sc ' Tarlicrs Cuisy-eu-Almoiil cl Osly-Couiill tont zette de Francjor! avaient porlé plainte pour tres journaux qui l'ont- soutenue. El voilà le C'est dire que les droits populaires, emprun- , compose d'une snceessionj de collines qui enlre nos mains. diffamation contre l'écrivain, pangermaniste paladin du pangermanisme jugé; , tés A la démocralie directe, sonl destinés à s'élèvent Nous avons réalisé sur toul lé front d'atta- enlre l'Aisne et l'Ailette : du côlé de Houston Slewart Chamberlain, qui avait écrit corriger, en y mcUant un -frein, les dcfauls de , l'Oise, que, une avance moyenne de quatre kilomè- le pays est couvert de grandes forcis que I Q journal francfortois soutenait' une la démocratie indirecte, défaits dont les p;us ' tres et fait plus de SOOf) prisonniers. Lc chiffre qui ont xendu l'entreprise plus malaisée, saillants, tels quil *se revoient surtout dans ies polilique anlfallemandc, dans l'intérêt de la DémoGcatië md/recte dc ces derniers depuis le 18 entre l'Oise tl L'assaillant a atteint, dans ce seeleur, les li- grands ¦pays, sont, avec -une centralisation ex- , , «autofinance anglo-américaine, avec laquelle VA Une dépasse 10 000 sières de la foret d'Ourscamps le développement du fonctionnarisme et , , et les appro- il avait partie lice ; il affirmait même que cessive, ches do Carlepont. A partir de cc point , C'est la forme ie fiounrrncmcnt qui. chez de la bureaucratie, un accroissement dc charges * * * les actions du journal se trouvaient cn mains Comuruniqia; anglais du 20 au soir " l'avance réalisée a été beaucoup pius consi- nous connue dans ' .m grand Do.'iibre '-le canton», pour le pays ct îa falsification du suffrage uni- : ennemies. 'apercevoir, chez Pendant la journée, des combats locaux oni dérable." En effet , les troupes françaises ont a succédé au palriciat ei est rwîrë en vigueur versel. On vient iiiémc <ie s Il doit paraître étrange de voir l'épilliète dci«iis 1S30. Le peuple est souverain ; mais, <Ic surtout dans le domaine fédéral, que le eu lieu sur les deux rives de la Scarpe. Au sud gagné la ligne de faite entre l'Aisne et l'Ai- nous, de « pangermaniste » accolée au nom même que le roi dans'la monarchie constitu- fonctionnarisme est devena une menace par se* de la rivière, les atlaques tentées par l'ennemi klle, ct se sont établies dahs BlérancourdcIIe , de Chamberlain ct d'entendre un écrivain tionnelle, s'il règne,'si on lui fai; la cour, il nc accointances avec Je socialisme, dont il pré- sur certains postes que nos troupes avaient sur la cole 160 , au nord de Vassens, et à Ve- porteur d'un patronyme si évidemment bri- gouverne pas : son rôle se borne à nommer pé- pare le irioinphe. IS Jf a là un fait qu'on était réussi'à établir à l' est de son ancienne ligne zaponiu,' sur la route de Coucy-lc-Cliàlcau. tannique dénoncer un journal allemand com- riodiquement des représentants, IJU î, eux , ' une Join de prévoir -et qn'il vaut la vexue d'éludicr ont éic rciioussécs: A l'aile droile à la suite d' , leprogrès a élé plus modeste : me anglophile. foi» installés; gouvernent effectivement, sans à pari. '*• . Au nord dc lit Scarpe, un vif le nouveau front passe à Tartiers combat, ou cours 'duquel nous avons fait des , Cuisy cl M. Houston Slewart Chamberlain est An- pouvoir cire rappelés stl'ordre ni révoqués pen- Osiy, où il rejoint l'Aisne. Il ne s' dant li durée-tlu feilt" -mandai co qui montre que prisonniers, notre li{/nc a élé légèrcjiieitt avan- aligne pas glais d'ori gine, cn effet; il est même fils d'uu , encore sur le front de la Vesle ; les Allemands Ja-souveraineté a passé dans lours mains, Peu européenne cée à l'est de Ftunpoux. ' amiral tuilaunique ; mais son admiration Là guerre continuent de tenir les hauteurs au nord- nombreux et pris dam une-catégorie- restreinte Au cours de la journée, nous avons réallti pour le musicien Wagner l'a attiré en. Alle- do citoyens, ces élus du suffrage -populaire cher- vri nouveau gain de terrain dc partel d'autre ouest dc Soissons. Ils ont "hier perdu; , magne et il est devenu archiallcmand ; cn de la Lys. Nos troupes sc sont ' emparées dt 8003 prisonniers. client ensuile à se maintenir au pouvoir en offensive franco-anglaisa 1915, il a renié sa patrie et s'est fait natura- usant des moyens qoe terr donne icxtr situation. L' i'Epincttc el se trouvent à l'est de Merville. Lcs opéralions qufsc succèdent' enlre l'Oise liser comme ciloyen de l'empire; il a épousé 11 est permis d'y voir, non pas précisément une Au nord de Merville, nous avons pris Vier. et l'Aisne paraissent avoir pour but à la fois la cause de l'Allemagne avec uu lei feu qu'il oligarchie quelconque, irtnis -une oligarchie gref- Joaniés âo 10 soât fioucl: ct la Couronne. l'investissement de Noyon ct la préparation L'ennemi a tenté ce matin au nord-ett dti est devenu un des dieux du >ValIialla pan- fée sur une souche dénincraliquc. -<2uant ix cc 20 août, à 3 heures , d'une attaque contre le fronl dc l'Oise, suc la ' f Communiqué français du 3-Mcre un raid qui a élé repoussé. germaniste. ..- -. — -> - --.- Mg.SéVdS\t:'tLS!a -Sa».3 P"à»-si. -de ...aèrooEraUe : ' , Çàliche de l'armée Hulier, dont la droile est gouvernement du peuple ba par le peuple, ta après midi : m a La rédacliou de la XiazeUe de Francforl, Bombardement réciproque dans la région de • déjà soumise à une lourde pression démocratie indireele ne- l'est que tri-s 'peu. sur le inculpée de trahison par ce renégat Communiqué allemand du 20 au soir i ' , a de- Comme transition <.'¦» -palriciat au gouverne- Lassi'jnu cl Dreslincourt. fronl Lassigny-Royc-Chaulhes, 'Aisne les troupes françai ses Entre VOlse et' l'Aisne, a commencé la forte mandé aux tribunaux de ia venger. Elle a nieijl populaire, ce nï-.'.iil ipo -d' autant mieux Entre l'Oise et l , la soirée le village de Vassens, attaque attendue depuis quelques fours.