RÉUNION DE PRÉSENTATION DU PROJET D’AMÉNAGEMENT FONCIER ENVIRONNEMENT POUR L’EAU BASSIN VERSANT DE MIRELOUP ET LANDAL

RÉUNION AVEC LES AGRICULTEURS / PROPRIÉTAIRES – 1ÈRE RÉUNION 17 OCTOBRE 2017 À 20H30 MAIRIE DE L'AMÉNAGEMENT FONCIER ENVIRONNEMENTAL / LES ÉCHANGES PARCELLAIRES

LES DIFFÉRENCES

Réunion du 17 octobre 2017 à Bonnemain : Réunion du 29 novembre 2017 à : Présentation aux agriculteurs et exploitant de Présentation aux agriculteurs des échanges l’aménagement foncier environnemental pour l’eau parcellaires amiables

Sur un territoire de bassin versant : Mireloup et À l’échelle d’une commune : Epiniac Landal, près de 5000 ha

Après classement des terres, discussion et revue Accord entre agriculteurs sur la base du volontariat, globale des parcellaires pas de classement officiel des terres

Procédure longue Procédure courte Bassin versant de Mireloup Bassin versant de Landal MIRELOUP LES BASSINS VERSANTS CONCERNÉS LANDAL Communes concernées :

Bassin versant de Mireloup : Le Tronchet, , Lanhélin, Saint-Pierre de plesguen, , Bonnemain, Tressé

Bassin versant de Landal : Broualan, Épinac, , , , Tréméheuc L’AGRICULTURE

L’agriculture sur ces bassins versants est de type polyculture-élevage, avec : • Une majorité d’exploitations bovines, élevages laitiers, avec souvent un atelier bovin viande, • Une part importante de SFP (47% de prairie et 73% de SFP), • Des exploitations de taille moyenne, 89 ha.

La répartition des assolements sur les bassins versants se fait comme suit :

Nombre Prairies Prairies d’exploitations SAU Céréales Maïs Autres permanentes temporaires agricoles

Mireloup 50 32,3% 10,1% 37,4% 24,4% 26,5% 1,6% Landal 64 57,6% 10,3% 36,1% 19,6% 33,2% 0,8%

Source : enquête bassin versant EPSM 2016 – réalisé par le Chambre d’agriculture DISPERSION PARCELLAIRE MIRELOUP

50 agriculteurs sur le bassin versant

927 ha de SAU

Taille moyenne des parcelles : 3,2 ha avec 6% de parcelles de plus de 10 ha

Densité bocagère : plus de 100 m/ha DISPERSION PARCELLAIRE LANDAL

64 agriculteurs sur le bassin versant

1 322 ha de SAU

Taille moyenne des parcelles : 2,2 ha dont 3 % de parcelles de plus de 10 ha

Densité bocagère : 90 m/ha LA VULNÉRABILITÉ AUX TRANSFERTS

Un petit bassin versant de 28 km²

Malgré un réseau bocager important bocage et de nombreux espaces naturels (bois, zones humides etc.) qui représentent 60% de la surface

Un réseau de cours d’eau et fossés circulant important : 22 km de cours d’eau 13,5 km de fossés circulants 21 km de fossés non circulants

Une vulnérabilité aux transferts qui se ressent dans la qualité de l’eau :

Matières Nom de la masse d'eau Nitrates Phosphore total Bactério Pesticides organiques

LE MELEUC LA VULNÉRABILITÉ AUX TRANSFERTS

Un petit bassin versant de 20 km²

Malgré un réseau bocager important bocage et de nombreux espaces naturels (bois, zones humides etc.) qui représentent 38% de la surface

Un réseau de cours d’eau et fossés circulant important : 19 km de cours d’eau 15 km de fossés circulants 13,5 km de fossés non circulants

Une vulnérabilité aux transferts qui se ressent dans la qualité de l’eau :

Matières Phosphore Nom de la masse d'eau Nitrates organiqu Bactério Pesticides total es

Affluent 1

LE LANDAL

Affluent 2 Ce qu’était un remembrement et ce que n’est plus un aménagement foncier environnemental :

Exemple de remembrement à Plumelec en 1965 : http://fresques.ina.fr/ouest-en-memoire/fiche-media/Region00257/le-remembrement-a- plumelec.html DISCUSSION AUTOUR DU PROJET

• DE NOMBREUX AVANTAGES : • REGROUPER LE PARCELLAIRE AGRICOLE AUTOUR DES SIÈGES D’EXPLOITATION • OPTIMISER LA TAILLE DES PARCELLES ET LE POSITIONNEMENT DU BOCAGE • FAVORISER LES REMISES EN HERBE ET GÉRER AUTREMENT LES PARCELLES PEU PRODUCTIVES • REALISER DES AMÉNAGEMENTS DE PROTECTION DE L’EAU PARTOUT OÙ C’EST NÉCESSAIRE • REVOIR LES CHEMINS ABANDONNÉS : LES ENLEVER DU PATRIMOINE COMMUNAL, OU LES RÉHABILITER • UNE CHANCE UNIQUE • UN BUDGET ALLOUÉ IMPORTANT ET UNE PRISE EN CHARGE DES FRAIS DES ÉTUDES ET DES TRAVAUX • RESTE À FIXER : • LES IMPLICATIONS EN TEMPS DE CHAQUE COMMUNE DANS LE PROJET • LE CALENDRIER QUE L’ON SE DONNE