Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS DE LA PREFECTURE DE LA - MARITIME - Recueil des Actes Administratifs du 11 décembre 2014 - Tome 2 - Date de publication le 11/12/2014

SOMMAIRE

1. ARRETES ...... 8555

1.1. Préfecture de la Charente-Maritime - Direction des activités réglementées et des Libertés Publiques...... 8555 Arrêté portant renouvellement de l'habilitation d'une entreprise privée de thanatopraxie LYOEN SOINS FUNERAIRES à ECHILLAIS...... 8555 Arrêté portant renouvellement de l'habilitation d'une entreprise privée de pompes funèbres POMPES FUNEBRES CIEL ET TERRE DAVID SOULETsise à SAINT AIGULIN ...... 8555 1.2. Préfecture de la Charente-Maritime - Direction des Relations avec les Collectivités territoriales et de l'environnement...... 8556 Arrete prefectoral portant prescription du plan de prevention des risques technologiques pour le site du Fief de la Repentie exploite par la societe SDLP a ...... 8556 portant déclaration d'utilité publique des travaux d'aménagement de la ZAC de la Tourasse...... 8557 arrete 2014-2886 fixant pour l annee 2014 la liste des communes susceptibles de beneficier du concours particulier de la dotation generale de decentralisation pour l etablissement et la mise en oeuvre des documents d urbanisme et fixant le bareme destine a compenser les depenses materielles et les depenses d etudes et de conduite de l operation...... 8558 1.3. Préfecture de la Charente-Maritime - Services du cabinet...... 8560 Arrete 14-2662 en date du 23 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection a ZARA a La Rochelle ...... 8560 Arrete 14-2663 en date du 23 octobre 2014 portant modification d'un systeme de videoprotection aux MUSEES DES AUTOMATES ET DES MODELES REDUITS MUSEES DE L'ATLANTIQUE a La Rochelle...... 8561 Arrete 14-2664 en date du 23 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection a la SARL LES GRAINS D'ARGENT a Saint Martin de Re...... 8562 Arrete 14-2665 en date du 23 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection au CAMPING DE LA GERES a Surgeres ...... 8564 Arrete 14-2666 en date du 23 octobre 2014 a SNC DU THOU O TOUT au Thou ...... 8565 Arrete 14-2667 en date du 23 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection a EURL MASSE MELANIE CORDONNERIE CLES MINUTES a Saint Pierre d'Oleron ...... 8567 Arrete 14-2668 en date du 23 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection a la SARL DOMAINE DU SEPHYR aux Mathes...... 8568 Arrete 14-2669 en date du 23 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection a la BOULANGERIE ANTOINE a ...... 8570 Arrete 14-2670 en date du 23 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection au BAR RESTAURANT LE FRANCAIS a Pons...... 8571 Arrete 14-2671 en date du 23 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection au CAMPING VAL DE BOUTONNE a Saint Jean d'Angely ...... 8573 Arrete 14-2680 en date du 24 octobre 2014 portant renouvellement d'un systeme de videoprotection a la BANQUE POPULAIRE AQUITAINE CENTRE ATLANTIQUE a Surgeres...... 8574 Arrete 14-2681 en date du 24 octobre 2014 portant modification d'un systeme de videoprotection a LA PARFUMERIE BEAUTY SUCCESS a Surgeres ...... 8575 Arrete 14-2682 en date du 24 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection a LA POSTE POITOU CHARENTES OUEST a Aigrefeuille d' ...... 8577 Arrete 14-2683 en date du 24 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection a LA POSTE POITOU CHARENTES OUEST a Medis ...... 8578 Arrete 14-2684 en date du 24 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection au TABAC LE NARVAL a Fouras...... 8580 Arrete 14-2689 en date du 27 octobre 2014 au BUFFALO GRILL RESTAURANT a Bourcefranc le Chapus ...... 8581 Arrete 14-2690 en date du 27 octobre 2014 portant renouvellement d'un systeme de videoprotection a LA POSTE au Gua ...... 8583

8552 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Arrete 14-2691 en date du 27 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection a PROMOCASH a Medis...... 8584 Arrete 14-2692 en date du 27 octobre 2014 portant renouvellement d'un systeme de videoprotection a la BANQUE POPULAIRE AQUITAINE CENTRE ATLANTIQUE a ...... 8586 Arrete 14-2693 en date du 27 octobre 2014 portant renouvellement d'un systeme de videoprotection au RESTAURANT L'ARCHE a Pons...... 8587 Arrete 14-2694 en date du 27 octobre 2014 portant renouvellement d'un systeme de videoprotection a la BANQUE POPULAIRE AQUITAINE CENTRE ATLANTIQUE a Saint Jean d'Angely...... 8589 Arrete 14-2695 en date du 27 octobre 2014 portant renouvellement d'un systeme de videoprotection a la BANQUE POPULAIRE AQUITAINE CENTRE ATLANTIQUE a Matha ...... 8590 Arrete 14-2696 en date du 27 octobre 2014 portant renouvellement d'un systeme de videoprotection a la BANQUE POPULAIRE AQUITAINE CENTRE ATLANTIQUE a ...... 8592 Arrete 14-2697 en date du 27 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection a la SELARL PHARMACIE DE ROMPSAY a Perigny...... 8593 Arrete 14-2698 en date du 27 octobre 2014 portant renouvellement d'un systeme de videoprotection a la BANQUE POPULAIRE AQUITAINE CENTRE ATLANTIQUE a Rochefort...... 8595 Arrete 14-2725 en date du 30 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection au CAMPING LES TROIS COUPS aux Mathes...... 8596 Arrete 14-2726 en date du 30 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection a VENTE A EMPORTER CONFISERIE aux Mathes...... 8598 Arrete 14-2727 en date du 30 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection au CAMPING AU PIGEONNIER au Chateau d'Oleron...... 8599 Arrete 14-2762 en date du 5 novembre 2014 portant modification d'un systeme de videoprotection au CREDIT MUTUEL OCEAN de Perigny ...... 8601 Arrete 14-2877 en date du 20 novembre 2014 conferant l'honorariat a M. Jean-Francois DOUARD, ancien maire de ...... 8601 Arrete 14-2878 en date du 20 novembre 2014 conferant l'honorariat a M. Michel LANDRET, ancien adjoint au maire de Surgeres...... 8602 1.4. Préfecture de la Charente-Maritime - SOUS-PREFECTURE DE ROCHEFORT...... 8602 arrêté préfectoral n°14-257 reconnaissant les aptitudes techniques de M. Philippe DUHÂA pour exercer les fonctions de garde particulier ...... 8602 arrêté préfectoral n°14-258 portant agrément de M. Philippe DUHÂA en qualité de garde chasse particulier...... 8603 arrêté n° 14-262 en date du 20 novembre 2014 modifiant l'arrêté n° 14-243 du 14 octobre 2014 portant agrément de M. Christophe VIGNEAUD en qualité de garde chasse particulier...... 8604 arrete 14-274 du 25 novembre 2014 relatif a une manifestation sportive appelee "Trail sable et foret Patrick Fougere" sur les communes de St Palais sur Mer et Saint Augustin sur Mer, le dimanche 7 decembre 2014 dans le cadre du TELETHON 2014 ...... 8604 1.5. Agence Régionale de Santé ...... 8607 Arrêté n°1485/2014 du 6 novembre 2014 Fixant la composition du Conseil Pédagogique de l'Institut de Formation en Soins Infirmiers du Centre Hospitalier de Rochefort sur Mer ...... 8607 Arrêté n°1486/2014 du 6 novembre 2014 Fixant la composition du Conseil Technique de l'Institut de Formation d'Aide- soignant de Rochefort sur Mer...... 8609 Arrêté n°1575/2014 du 17 novembre 2014 Fixant le montant des recettes d'assurance maladie dû au GCS urgences du pays royannais au titre de l'activité déclarée au mois de septembre 2014...... 8610 Arrêté n°1576/2014 du 17 novembre 2014 Fixant le montant des recettes d'assurance maladie dû au Groupe Hospitalier de La Rochelle Ré Aunis au titre de l'activité déclarée au mois de septembre 2014 ...... 8611 Arrêté n°1577/2014 du 17 novembre 2014 Fixant le montant des recettes d'assurance maladie dû au Centre Hospitalier de Jonzac au titre de l'activité déclarée au mois de septembre 2014 ...... 8612 Arrêté n°1578/2014 du 17 novembre 2014 Fixant le montant des recettes d'assurance maladie dû au Centre Hospitalier de Saintonge au titre de l'activité déclarée au mois de septembre 2014...... 8613 Arrêté n°1579/2014 du 17 novembre 2014 Fixant le montant des recettes d'assurance maladie dû au Centre Hospitalier de au titre de l'activité déclarée au mois de septembre 2014 ...... 8614 Arrêté n°1580/2014 du 17 novembre 2014 Fixant le montant des recettes d'assurance maladie dû au Centre Hospitalier de Rochefort au titre de l'activité déclarée au mois de septembre 2014 ...... 8615 Arrêté n°1581/2014 du 17 novembre 2014 Fixant le montant des recettes d'assurance maladie dû au Centre Hospitalier de au titre de l'activité déclarée au mois de septembre 2014...... 8616 Arrêté n°1587/2014 du 17 novembre 2014 Fixant le montant des recettes d'assurance maladie dû au Centre Hospitalier de Saint Jean d'Angély au titre de l'activité déclarée au mois de septembre 2014 ...... 8617 Décision tarifaire n°1643/2014 du 25 novembre 2014 Modifiant, pour l'exercice 2014, le prix de journée applicable à la section 24 bis internat et semi-internat du Centre Hélio-Marin à St Trojan les Bains géré par l'ATASH - n°170791933 à compter du 1er décembre 2014 ...... 8618 Decision tarifaire n 573 portant fixation de la dotation globale de soins pour l'annee 2014 de l'EHPAD - Les Jardins de l'Ocean (ORPEA) - 170805790 du 25 novembre 2014 ...... 8619 Decision tarifaire n 588 portant fixation de la dotation globale de soins pour l'annee 2014 de l'EHPAD - Residence l'Oceane - 170795660 du 25 novembre 2014 ...... 8621 Decision tarifaire n 644 portant fixation de la dotation globale de soins pour l'annee 2014 de l'EHPAD - Residence Le Louvois - 170803118 du 25 novembre 2014...... 8622

8553 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Decision tarifaire n 647 portant fixation de la dotation globale de soins pour l'annee 2014 de l'EHPAD Spec. Brumenard (CH SAINTONGE) - 170783567 du 25 novembre 2014...... 8624 1.6. Direction Départementale de la Cohésion Sociale de la Charente-Maritime...... 8625 Arrete n? 141716S en date du 26 novembre 2014 portant agrement des associations sportives...... 8625 Arrete n°141715S en date du 24 novembre 2014 portant agrement des associations sportives...... 8626 1.7. Direction Départementale des Finance Publiques...... 8627 PRS de Charente-Maritime - délégation de signature en matière d'AMR et AMD...... 8627 1.8. Direction Départementale des territoires et de la mer...... 8627 Arrêté n° 14-2891 du 21/11/2014 rendant obligatoire la délibération n°29-2014 du 20 octobre 2014 du Comité régional de la Conchyliculture Poitou-Charentes relative au cahier des charges des filières du pertuis breton...... 8627 Arrete portant composition de la Commission locale de l'eau du Schema d'Amenagement et de Gestion des Eaux "Estuaire de la Gironde et milieux associes"...... 8628 Modification partielle de la Commission ...... 8628 Convention du 24 novembre 2014 passée entre l'Etat et la commune des Mathes pour la remise en gestion de l'ouvrage de défense contre la mer - Digue de La Palmyre...... 8633 1.9. Direction Départementale protection des populations...... 8636 arrêté N° 14-94-DDPP/SPC du 13 novembre 2014 portant autorisation d'organiser une épreuve sportive pédestre empruntant la voie publique sur la commune de " 5 et 7 km de Puilboreau", le 6 décembre 2014...... 8636 arrêté N° 14-95-DDPP/SPC portant autorisation d'organiser une manifestation sportive pédestre empruntant la voie publique - 24ème Marathon de La Rochelle- Serge Vigot, 14ème semi-marathon handisport fauteuil, 10ème marathon non et malvoyants, 4ème édition du 10 km, 3ème marathon en duo, 1ère édition du challenge entreprises, le 30 novembre 2014 ...... 8637 arrêté N° 14-96-DDPP/SPC en date du 25 novembre 2014 portant autorisation d'organiser une manifestation automobile dénommée " baptêmes de voitures de rallye", sur la commune de Forges, le 29 novembre 2014...... 8639 arrêté N° 14-97-DDPP-SPC en date du 25 novembre 2014 portant autorisation d'organiser une manifestation automobile dénommée " Baptêmes de voitures de rallye" sur la commune de St Georges du Bois, le 6 décembre 2014...... 8641 arrêté N° 14-98-DDPP-SPC du 25 novembre 2014 portant autorisation d'organiser une épreuve sportive pédestre empruntant la voie publique sur la commune de Marans " les Foulées Marandaises", le 14 décembre 2014 ...... 8642 1.10. Direction Interdépartemental des Routes Atlantique ...... 8644 RN2150...... 8644 PR 52 480 AU PR 53 640 ...... 8644 Reglementation de la police de circulation...... 8644 Limitation de vitesse a 70 km/h ...... 8644 Commune de , ...... 8644 lieu dit "Le Bourg de Pessines" ...... 8644 (hors agglomeration) ...... 8644 1.11. Direction régionale entreprises concurrence consommation travail emploi - UT 17 8645 Recepisse de declaration d'un organisme de services a la personne (PRO JARDINS SERVICES 17)...... 8645 R?c?piss? de d?claration d'un organisme de services ? la personne (FOUCHIER SERVICES)...... 8646 R?c?piss? de d?claration d'un organisme de services ? la personne (SAP PATRICK SERVICES)...... 8647 Recepisse de declaration d'un organisme de services a la personne (AVS GESTON) ...... 8648 R?c?piss? de d?claration d'un organisme de services ? la personne (Karine VEILLET)...... 8648 Recepisse de declaration d'un organisme de services a la personne (AE ENTRETIEN FLORE ET MASSIFS A DOMICILE SERVICE)...... 8649 R?c?piss? de d?claration d'un organisme de services ? la personne (SARL SOLUTIA)...... 8650 Arr?t? portant agr?ment d'un organisme de services ? la personne (SARL SOLUTIA) ...... 8651 Decision relative a l'organisation de l'inspection du travail dans le departement de charente-maritime...... 8653

2. AVIS...... 8655

2.1. Préfecture de la Charente-Maritime - SOUS-PREFECTURE DE SAINT-JEAN-D'ANGELY 8655 Decision de la CNAC du 23 octobre 2014 de rejeter le recours et d'autoriser la creation d'un SUPER U et d'un U Drive a Saint-Savinien...... 8655

8554 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

1. Arrêtés

1.1. Préfecture de la Charente-Maritime - Direction des activités réglementées et des Libertés Publiques

Arrêté portant renouvellement de l'habilitation d'une entreprise privée de thanatopraxie LYOEN SOINS FUNERAIRES à ECHILLAIS

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L'entreprise "LYOEN SOINS FUNERAIRES – LSF" sise 15, rue de la Chagnée - 17620 ECHILLAIS, représentée par Monsieur Loïc LYOEN, est habilitée à exercer sur l’ensemble du territoire national les activités funéraires suivantes :

Jusqu'au 16 novembre 2015

- les soins de conservation

ARTICLE 2 : Le numéro de l'habilitation est - 14- 17 - 333

ARTICLE 3 : Tout changement dans les indications prévues à l'article R.2223-57 du code général des collectivités territoriales doit être déclaré dans un délai de 2 mois auprès du représentant de l'Etat ayant délivré l'habilitation.

ARTICLE 4 : La présente habilitation peut être suspendue pour une durée maximum d'un an ou retirée, après mise en demeure, par le représentant de l'État dans le département où les faits auront été constatés, pour les motifs suivants : - non-respect des dispositions du code général des collectivités territoriales auxquelles sont soumises les régies, les entreprises ou associations habilitées conformément à l'article L.2223-23; - non exercice ou cessation d'exercice des activités au titre desquelles elle a été délivrée, - atteinte à l'ordre public ou danger pour la salubrité publique. Dans le cas d'un délégataire, le retrait de l'habilitation entraîne la déchéance des délégations.

ARTICLE 5 : Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime et dont une copie sera adressée au Maire de ECHILLAIS.

LA ROCHELLE, le 17 novembre 2014 LA PRÉFÈTE Pour la Préfète Et par délégation Le Secrétaire Général Michel TOURNAIRE

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Arrêté portant renouvellement de l'habilitation d'une entreprise privée de pompes funèbres POMPES FUNEBRES CIEL ET TERRE DAVID SOULETsise à SAINT AIGULIN

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

8555 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

ARTICLE 1 : L'entreprise "POMPES FUNEBRES CIEL ET TERRE DAVID SOULET" sise 68 B rue Victor Hugo - 17360 SAINT AIGULIN, représentée par Monsieur David SOULET , est habilitée à exercer sur l’ensemble du territoire national les activités funéraires suivantes :

Jusqu'au 23 novembre 2020

- l'organisation des obsèques - le transport de corps avant mise en bière - le transport de corps après mise en bière, - la fourniture des housses, des cercueils et de leurs accessoires intérieurs et extérieurs ainsi que des urnes cinéraires,

ARTICLE 2 : Le numéro de l'habilitation est - 14- 17 - 329

ARTICLE 3 : Tout changement dans les indications prévues à l'article R.2223-57 du code général des collectivités territoriales doit être déclaré dans un délai de 2 mois auprès du représentant de l'Etat ayant délivré l'habilitation.

ARTICLE 4 : La présente habilitation peut être suspendue pour une durée maximum d'un an ou retirée, après mise en demeure, par le représentant de l'État dans le département où les faits auront été constatés, pour les motifs suivants : - non-respect des dispositions du code général des collectivités territoriales auxquelles sont soumises les régies, les entreprises ou associations habilitées conformément à l'article L.2223-23; - non exercice ou cessation d'exercice des activités au titre desquelles elle a été délivrée, - atteinte à l'ordre public ou danger pour la salubrité publique. Dans le cas d'un délégataire, le retrait de l'habilitation entraîne la déchéance des délégations.

ARTICLE 5 : Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime et dont une copie sera adressée au Maire de SAINT AIGULIN.

LA ROCHELLE, le 24 novembre 2014 LA PRÉFÈTE Pour la Préfète Et par délégation Le Secrétaire Général Michel TOURNAIRE

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté à la "Préfecture de la Charente-Maritime - Direction des activités réglementées et des Libertés Publiques") ______

1.2. Préfecture de la Charente-Maritime - Direction des Relations avec les Collectivités territoriales et de l'environnement

Arrete prefectoral portant prescription du plan de prevention des risques technologiques pour le site du Fief de la Repentie exploite par la societe SDLP a La Rochelle

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : M. Philippe DUHÂA, né le 2 mai 1960 à SAINTES (17), demeurant : 1 rue du Souillat à 17570 SAINT AUGUSTIN, EST AGREE en qualité de garde-chasse particulier pour constater tous délits et contraventions dans le domaine de la chasse prévus au code de l'environnement qui portent préjudice aux droits de chasse de l'association communale de chasse agréée de SAINT AUGUSTIN.

ARTICLE 2 : La liste des propriétés ou des territoires concernés est précisée dans la commission et la carte annexées au présent arrêté.

8556 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

ARTICLE 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de CINQ ANS.

ARTICLE 4 : Préalablement à son entrée en fonction, M. Philippe DUHÂA doit prêter serment auprès du tribunal d’instance de ROCHEFORT.

ARTICLE 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, M. Philippe DUHÂA doit être porteur en permanence du présent agrément et doit le présenter à toute personne qui en fait la demande.

ARTICLE 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la sous-préfecture de ROCHEFORT en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

ARTICLE 7 : Le présent arrêté peut faire l'objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d'un recours gracieux auprès du préfet ou d'un recours hiérarchique auprès du ministre de l'écologie, du développement durable et de l’énergie, ou d'un recours contentieux devant le tribunal administratif de Poitiers (15 rue de Blossac – BP 541 – 86020 Poitiers cedex). L'exercice d'un recours gracieux ou hiérarchique proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

ARTICLE 8 : La sous-préfète de ROCHEFORT, le maire de la commune de SAINT AUGUSTIN, le commandant de la compagnie de gendarmerie de ROCHEFORT, le juge du tribunal d'instance de ROCHEFORT, le président de la fédération départementale des chasseurs de la Charente-Maritime, le chef du service départemental de l'office national de la chasse et de la faune sauvage, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'application du présent arrêté, qui sera notifié à l'intéressé et publié au Recueil des Actes Administratifs de l'Etat.

A Rochefort, le 20 novembre 2014 La sous-préfète de Rochefort Magali SELLES

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portant déclaration d'utilité publique des travaux d'aménagement de la ZAC de la Tourasse

La Préfète de la Charente Maritime Officier de la Légion d'Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1: Sont déclarés d'utilité publique les travaux d'aménagement de la ZAC de la Tourasse sur la commune d'Échillais, conformément au principe général d'aménagement annexé au présent arrêté.

Article 2: La commune d'Échillais est autorisée à acquérir à l'amiable ou par voie d'expropriation les parcelles nécessaires dans un délai de 5 ans à compter de la publication du présent arrêté.

Article 3: Le présent arrêté sera affiché en mairie d'Échillais et publié par tous autres moyens en usage dans cette commune. Un certificat établi par le Maire attestera de l'exécution de cette formalité.

Article 4: Toute personne intéressée qui désire contester la décision peut saisir le Tribunal Administratif de Poitiers (15 rue de Blossac - BP 541 - 86020 - Poitiers cedex ) d’un recours contentieux dans les deux mois à partir de la publication de la décision attaquée. Elle peut également saisir d’un recours gracieux l’auteur de la décision. Cette dernière démarche prolonge le délai du recours contentieux qui doit alors être introduit dans les deux mois suivant la réponse, l’absence de réponse au terme d’un délai de deux mois valant rejet implicite.

Article 5 : Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime, le Maire d'Échillais, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture par les soins du Préfet.

8557 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

La Rochelle, le 21 novembre 2014

La Préfète, pour la Préfète et par délégation, Le Secrétaire Général

Michel TOURNAIRE

Nota: Un document exposant les motifs de la décision est mis à la disposition du public. Il peut en être pris connaissance à la Préfecture (Bureau des Affaires environnementales), et à la mairie de Dompierre sur Mer.

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arrete 2014-2886 fixant pour l annee 2014 la liste des communes susceptibles de beneficier du concours particulier de la dotation generale de decentralisation pour l etablissement et la mise en oeuvre des documents d urbanisme et fixant le bareme destine a compenser les depenses materielles et les depenses d etudes et de conduite de l operation

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1er : Les communes ou les établissements de coopération intercommunale susceptibles de bénéficier pour l'année 2014 du concours particulier créé au sein de la dotation générale de décentralisation destinée à compenser les charges qui résultent de l'élaboration ou la révision de plans locaux d'urbanisme, de cartes communales ou de règlements locaux de publicité sont : Élaboration ou révision de plans locaux d'urbanisme : Communauté d’agglomération de La Rochelle, élaboration prescrite le 27 février 2014 Bignay, révision prescrite le 20 juin 2014 Courant, révision prescrite le 25 avril 2014 Fontaine-Chalendray, élaboration prescrite le 20 juin 2014 Fontaines-d’, élaboration prescrite le 20 juin 2014 , élaboration prescrite le 25 juillet 2013 Landes, révision prescrite le 30 juin 2014 , élaboration prescrite le 6 mai 2014 , révision prescrite le 17 avril 2014 , élaboration prescrite le 24 juin 2014 , révision prescrite le 26 juin 2014 Puy-du-Lac, révision prescrite le 26 juin 2014 , révision prescrite le 21 juin 2014 , révision prescrite le 21 octobre 2013 , révision prescrite le 6 mars 2014 , révision prescrite le 30 juin 2014 , révision prescrite le 21 novembre 2013

Élaboration ou révision de cartes communales : Saint-Eugène, élaboration prescrite le 20 juin 2014

Élaboration ou révision de règlements locaux de publicité : Communauté d’agglomération de La Rochelle, élaboration prescrite le 27 février 2014

ARTICLE 2 : La dotation du concours particulier de la dotation générale de décentralisation destinée à compenser les dépenses matérielles et les dépenses d'étude et de conduite de l'opération pour l'élaboration ou la révision de plans locaux d'urbanisme est fixée pour l'année 2014 à :

8558 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Situations Barème

Établissement public de coopération intercommunale dont certaines communes sont 172 529,61 € concernées par un ou des risques naturels, et par les dispositions particulières au littoral

Commune dont la population est inférieure à 1000 habitants, et concernée par un risque 7 864,03 € naturel

Commune dont la population est inférieure à 1000 habitants, concernée par un risque naturel 8 194,46 € et par l'application de l'article L. 111-1-4 du code de l'urbanisme

Commune dont la population est inférieure à 1000 habitants, concernée par deux risques 8 194,46 € naturels

Commune dont la population est inférieure à 1000 habitants, concernée par deux risques 8 524,88 € naturels et par l'application de l'article L. 111-1-4 du code de l'urbanisme

Commune dont la population est inférieure à 1000 habitants, concernée par trois risques 8 524,88 € naturels

Commune dont la population est inférieure à 1000 habitants, concernée par trois risques 8 855,30 € naturels et par l'application de l'article L. 111-1-4 du code de l'urbanisme

Commune dont la population est comprise entre 1000 et 2000 habitants, concernée par deux 9 637,30 € risques naturels et par l'application de l'article L. 111-1-4 du code de l'urbanisme

Commune dont la population est comprise entre 2000 et 5000 habitants, concernée par un 10 132,93 € risque naturel

ARTICLE 3 : La dotation du concours particulier de la dotation générale de décentralisation destinée à compenser les dépenses matérielles et les dépenses d'étude et de conduite d'opération pour l'élaboration ou la révision de cartes communales est fixée pour l'année 2014 à 1 000,00 euros. ARTICLE 4 : La dotation du concours particulier de la dotation générale de décentralisation destinée à compenser les dépenses matérielles et les dépenses d'étude et de conduite d'opération pour l'élaboration de règlements locaux de publicité intercommunaux est fixée pour l'année 2014 à 20 000,00 euros. ARTICLE 5 : Le secrétaire général de la préfecture de la Charente-Maritime et le directeur départemental des territoires et de la mer sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont une mention sera insérée au recueil des actes administratifs du département.

La Rochelle, le 21 novembre 2014

La Préfète, Pour La Préfète, Le Secrétaire Général, Michel TOURNAIRE

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté à la "Préfecture de la Charente-Maritime - Direction des Relations avec les Collectivités territoriales et de l'environnement") ______

8559 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

1.3. Préfecture de la Charente-Maritime - Services du cabinet

Arrete 14-2662 en date du 23 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection a ZARA a La Rochelle

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Jean-Jacques SALAÜN est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 16 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014/0245.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

La déclaration de sa mise en service devra être effectuée auprès du Préfet.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. Jean Jacques SALAUN Directeur .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Les fonctionnaires des services de police, de gendarmerie, de douanes et/ou d’incendie et de secours dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article R252-12 du Code susmentionné, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées à l’article 1er.

Article 8 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

8560 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 13 – Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique Le Maire de LA ROCHELLE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Jean-Jacques SALAÜN , 80 avenue des Terroirs de 75012 PARIS

La Rochelle, le 23 octobre 2014

La Préfète, signé : Béatrice ABOLLIVIER

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Arrete 14-2663 en date du 23 octobre 2014 portant modification d'un systeme de videoprotection aux MUSEES DES AUTOMATES ET DES MODELES REDUITS MUSEES DE L'ATLANTIQUE a La Rochelle

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Thierry GAILLARD est autorisé à modifier à l’adresse sus-indiquée l’installation de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le n° 2013/0095.

Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral n° 2013- 758-CAB/BC du 10 avril 2013 susvisé.

Article 2 – Les modifications portent sur le nombre de caméras : 1 caméra intérieure et 1 caméra extérieure

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

8561 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Article 7 – Les fonctionnaires des services de police, de gendarmerie, de douanes et/ou d’incendie et de secours dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article R252-12 du Code susmentionné, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées à l’article 1er.

Article 8 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 13 - – Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique Le Maire de LA ROCHELLE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Thierry GAILLARD , 1214- rue La Désirée 17000 LA ROCHELLE.

La Rochelle, le 23 octobre 2014

La Préfète, signé : Béatrice ABOLLIVIER

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Arrete 14-2664 en date du 23 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection a la SARL LES GRAINS D'ARGENT a Saint Martin de Re

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Eric VIGNOT est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 3 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014/0241.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

8562 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

La déclaration de sa mise en service devra être effectuée auprès du Préfet.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. Eric VIGNOT Gérant .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Les fonctionnaires des services de police, de gendarmerie, de douanes et/ou d’incendie et de secours dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article R252-12 du Code susmentionné, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées à l’article 1er.

Article 8 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 13 – Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime Le Colonel Commandant le Groupement de Gendarmerie Le Maire de SAINT MARTIN DE RE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Eric VIGNOT , 23 avenue du Général de Gaulle 17410 SAINT MARTIN DE RE

8563 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

La Rochelle, le 23 octobre 2014

La Préfète, signé : Béatrice ABOLLIVIER

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Arrete 14-2665 en date du 23 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection au CAMPING DE LA GERES a Surgeres

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Madame STEPHANIE RULLIER est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 1 caméra intérieure et 1 extérieure conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014/0215.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Autres (prevenir des risques d'agressions au comptoir, lutter contre les formes de délinquances, incivilités, malveillances, permettre une levée de doute vidéo).

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

La déclaration de sa mise en service devra être effectuée auprès du Préfet.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Mme Stéphanie RULLIER Gérante .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Les fonctionnaires des services de police, de gendarmerie, de douanes et/ou d’incendie et de secours dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article R252-12 du Code susmentionné, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées à l’article 1er.

8564 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Article 8 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 13 – Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime Le Colonel Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime Le Maire de SURGERES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Madame STEPHANIE RULLIER , 10 rue GERES 17700 SURGERES

La Rochelle, le 23 octobre 2014

La Préfète, signé : Béatrice ABOLLIVIER

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Arrete 14-2666 en date du 23 octobre 2014 a SNC DU THOU O TOUT au Thou

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Madame Sandrine BRILLAUD est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 3 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014/0324.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

La déclaration de sa mise en service devra être effectuée auprès du Préfet.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

8565 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Mme Sandrine BRILLAUD Gérante .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 10 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Les fonctionnaires des services de police, de gendarmerie, de douanes et/ou d’incendie et de secours dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article R252-12 du Code susmentionné, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées à l’article 1er.

Article 8 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 13 – Le Secrétaire Général de la Charente-Maritime Le Colonel Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime Le Maire de sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Madame Sandrine BRILLAUD , rue du Château de Cigogne 17290 LE THOU

La Rochelle, le 23 octobre 2014

La Préfète,

8566 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

signé : Béatrice ABOLLIVIER

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Arrete 14-2667 en date du 23 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection a EURL MASSE MELANIE CORDONNERIE CLES MINUTES a Saint Pierre d'Oleron

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Madame MELANIE MASSE est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 2 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014/0305.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

La déclaration de sa mise en service devra être effectuée auprès du Préfet.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Mme Mélanie MASSE Gérante .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 28 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Les fonctionnaires des services de police, de gendarmerie, de douanes et/ou d’incendie et de secours dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article R252-12 du Code susmentionné, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées à l’article 1er.

Article 8 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

8567 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 13 – Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime Le Colonel Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime Le Maire de SAINT PIERRE D'OLERON sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Madame MELANIE MASSE , route DES MIROUELLES 17310 ST PIERRE D'OLERON

La Rochelle, le 23 octobre 2014

La Préfète, signé : Béatrice ABOLLIVIER

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Arrete 14-2668 en date du 23 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection a la SARL DOMAINE DU SEPHYR aux Mathes

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Madame Caroline BRABANT est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 1 caméra intérieure et 2 caméras extérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014/0327.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

La déclaration de sa mise en service devra être effectuée auprès du Préfet.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

8568 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Mme Caroline BRABANT Directrice .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Les fonctionnaires des services de police, de gendarmerie, de douanes et/ou d’incendie et de secours dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article R252-12 du Code susmentionné, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées à l’article 1er.

Article 8 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 13 – Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime Le Colonel Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime Le Maire de sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Madame Caroline BRABANT , 22 avenue de la Coubre 17570 LES MATHES

La Rochelle, le 23 octobre 2014

La Préfète, signé : Béatrice ABOLLIVIER

8569 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

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Arrete 14-2669 en date du 23 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection a la BOULANGERIE ANTOINE a Chaniers

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Jean-Michel ANTOINE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014/0242.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

La déclaration de sa mise en service devra être effectuée auprès du Préfet.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. Jean-Michel ANTOINE Gérant .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Les fonctionnaires des services de police, de gendarmerie, de douanes et/ou d’incendie et de secours dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article R252-12 du Code susmentionné, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées à l’article 1er.

Article 8 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

8570 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 13 – Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime Le Colonel Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime Le Maire de CHANIERS sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Jean-Michel ANTOINE , 30 rue Aliénor d'Aquitaine 17610 CHANIERS

La Rochelle, le 23 octobre 2014

La Préfète, signé : Béatrice ABOLLIVIER

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Arrete 14-2670 en date du 23 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection au BAR RESTAURANT LE FRANCAIS a Pons

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Romuald PETEAU est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 1 caméra intérieure conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014/0326.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

La déclaration de sa mise en service devra être effectuée auprès du Préfet.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

8571 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. Romuald PETEAU Gérant .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Les fonctionnaires des services de police, de gendarmerie, de douanes et/ou d’incendie et de secours dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article R252-12 du Code susmentionné, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées à l’article 1er.

Article 8 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 13 – Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime Le Colonel Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime Le Maire de PONS sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Romuald PETEAU , 1 place de la République 17800 PONS

La Rochelle, le 23 octobre 2014

La Préfète, signé : Béatrice ABOLLIVIER

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8572 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Arrete 14-2671 en date du 23 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection au CAMPING VAL DE BOUTONNE a Saint Jean d'Angely

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Michel PALUZZANO est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 2 caméras extérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014/0321.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

La déclaration de sa mise en service devra être effectuée auprès du Préfet.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. Michel PALUZZANO Gérant .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Les fonctionnaires des services de police, de gendarmerie, de douanes et/ou d’incendie et de secours dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article R252-12 du Code susmentionné, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées à l’article 1er.

Article 8 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

8573 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 13 – Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime Le Colonel Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime Le Maire de SAINT JEAN D'ANGELY sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Michel PALUZZANO , 56 quai de Bernouët 17400 SAINT JEAN D'ANGELY

La Rochelle, le 23 octobre 2014

La Préfète, signé : Béatrice ABOLLIVIER

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Arrete 14-2680 en date du 24 octobre 2014 portant renouvellement d'un systeme de videoprotection a la BANQUE POPULAIRE AQUITAINE CENTRE ATLANTIQUE a Surgeres

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral n° 09-845-DIR1/B1 du 5 mars 2009 au Directeur de la Conformité et des Risques Opérationnels de la Banque Populaire est reconduite, pour une durée de cinq ans renouvelable, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n° 2014/0283.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du Directeur de la conformité et des risques opérationnels de la Banque Populaire.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 28 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place.

8574 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime Le Colonel Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime Le Maire de SURGERES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à M. le DIRECTEUR de la CONFORMITE et des RISQUES OPERATIONNELS , 10 quai DES QUEYRIES 33072 BORDEAUX CEDEX.

La Rochelle, le 24 octobre 2014

La Préfète, Pour la Préfète, par délégation Le secrétaire général signé : Michel TOURNAIRE

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Arrete 14-2681 en date du 24 octobre 2014 portant modification d'un systeme de videoprotection a LA PARFUMERIE BEAUTY SUCCESS a Surgeres

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Mademoiselle Malika MOQUET est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à l'adresse sus-indiquée, à modifier l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le n° 2011/0171.

8575 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral n° 2011- 3638-CAB/BC du 2 décembre 2011 susvisé.

Article 2 – Les modifications portent sur le nombre de caméras : 4 caméras intérieures

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Les fonctionnaires des services de police, de gendarmerie, de douanes et/ou d’incendie et de secours dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article R252-12 du Code susmentionné, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées à l’article 1er.

Article 8 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 13 – Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime Le Colonel Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime Le Maire de SURGERES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Mademoiselle Malika MOQUET , 14 rue Bersot 17700 SURGERES.

La Rochelle, le 24 octobre 2014

La Préfète, Pour la Préfète, par délégation Le secrétaire général

8576 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

signé : Michel TOURNAIRE

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Arrete 14-2682 en date du 24 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection a LA POSTE POITOU CHARENTES OUEST a Aigrefeuille d'Aunis

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Jean-Charles ANDRE / Responsable Sûreté Territorial est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 4 caméras intérieures et 1 extérieure conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014/0261.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

La déclaration de sa mise en service devra être effectuée auprès du Préfet.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du bureau d’analyse et de coordination opérationnelle .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Les fonctionnaires des services de police, de gendarmerie, de douanes et/ou d’incendie et de secours dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article R252-12 du Code susmentionné, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées à l’article 1er.

Article 8 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

8577 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 13 – Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime Le Colonel Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime Le Maire de AIGREFEUILLE D'AUNIS sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Jean-Charles ANDRE / Responsable Sûreté Territorial , 24/30 rue DU BASTION SAINT NICOLAS 17004 LA ROCHELLE CEDEX 1

La Rochelle, le 24 octobre 2014

La Préfète, Pour la Préfète, par délégation Le secrétaire général signé : Michel TOURNAIRE

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Arrete 14-2683 en date du 24 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection a LA POSTE POITOU CHARENTES OUEST a Medis

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Jean-Charles ANDRE / Responsable Sûreté Territorial est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 3 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014/0300.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

La déclaration de sa mise en service devra être effectuée auprès du Préfet.

8578 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du Bureau d’analyse et de coordination opérationnelle .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Les fonctionnaires des services de police, de gendarmerie, de douanes et/ou d’incendie et de secours dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article R252-12 du Code susmentionné, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées à l’article 1er.

Article 8 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 13 – Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime Le Colonel Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime Le Maire de MEDIS sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Jean-Charles ANDRE / Responsable Sûreté Territorial , 24/30 rue du BASTION SAINT NICOLAS 17004 LA ROCHELLE CEDEX 1

La Rochelle, le 24 octobre 2014

8579 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

La Préfète, Pour la Préfète, par délégation Le secrétaire général signé : Michel TOURNAIRE

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Arrete 14-2684 en date du 24 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection au TABAC LE NARVAL a Fouras

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Raoul JOUINOT est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 2 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014/0251.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

La déclaration de sa mise en service devra être effectuée auprès du Préfet.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. Raoul JOUINOT Gérant .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Les fonctionnaires des services de police, de gendarmerie, de douanes et/ou d’incendie et de secours dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article R252-12 du Code susmentionné, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées à l’article 1er.

Article 8 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

8580 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 13 – Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime Le Colonel Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime Le Maire de FOURAS sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Raoul JOUINOT , 1 avenue de la Gare 17450 FOURAS

La Rochelle, le 24 octobre 2014

La Préfète, Pour la Préfète Le secrétaire général signé : Michel TOURNAIRE

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Arrete 14-2689 en date du 27 octobre 2014 au BUFFALO GRILL RESTAURANT a Bourcefranc le Chapus

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – L’autorisation précédemment accordée par arrêté préfectoral n° 08-2393 DIR1/B1 du 26 juin 2008 modifié au Président du directoire, désormais Monsieur GILLES DOUILLARD, est reconduite, pour une durée de cinq ans renouvelable, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n° 2014/0308 et dans les conditions précisées ci-dessous.

Le système est composé d' 1 caméra intérieure et de 4 extérieures

Le système considéré répond aux finalités prévues par le Code :

Sécurité des Personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

8581 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du Responsable du site.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Les fonctionnaires des services de police, de gendarmerie, de douanes et/ou d’incendie et de secours dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article R252-12 du Code susmentionné, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées à l’article 1er.

Article 8 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 13 – Le Secrétaire Général de la Préfecture Le Colonel Commandant le Groupement de Gendarmerie Le Maire de BOURCEFRANC LE CHAPUS sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur GILLES DOUILLARD , ROUTE NATIONALE 20 - 91630 AVRAINVILLE.

La Rochelle, le 27 octobre 2014

La Préfète, Pour la préfète le secrétaire général

8582 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

signé : Michel TOURNAIRE

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Arrete 14-2690 en date du 27 octobre 2014 portant renouvellement d'un systeme de videoprotection a LA POSTE au Gua

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – L’autorisation précédemment accordée par arrêté préfectoral n° 09-861 DIR1/B1 du 5 mars 2009 est reconduite, pour une durée de cinq ans renouvelable, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n° 2012/0453 et dans les conditions précisées ci-dessous.

Le système est composé de 3 caméras intérieures.

Le système considéré répond aux finalités prévues par le Code :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du Bureau Analyse Coordination Opérationnelle – DSE – 44 boulevard de Vaugirard – 75015 PARIS CEDEX 15.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

8583 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture Le Colonel Commandant le Groupement de Gendarmerie Le Maire de LE GUA sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’au Responsable Sûreté Territorial, 24/30 rue DU BASTION SAINT NICOLAS 17004 LA ROCHELLE CEDEX 1.

La Rochelle, le 27 octobre 2014

La Préfète, Pour la préfète le secrétaire général signé : Michel TOURNAIRE

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Arrete 14-2691 en date du 27 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection a PROMOCASH a Medis

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur CEDRIC VENDE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 6 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014/0303.

Le système considéré répond aux finalités prévues par le Code :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

La déclaration de sa mise en service devra être effectuée auprès du Préfet.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

8584 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. VENDE, directeur.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Les fonctionnaires des services de police, de gendarmerie, de douanes et/ou d’incendie et de secours dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article R252-12 du Code susmentionné, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées à l’article 1er.

Article 8 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 13 – Le Secrétaire Général de la Préfecture Le Colonel Commandant le Groupement de Gendarmerie Le Maire de MEDIS sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur CEDRIC VENDE, impasse du Bois de Belmont 17600 MEDIS

La Rochelle, le 27 octobre 2014

La Préfète, Pour la préfète le secrétaire général signé : Michel TOURNAIRE

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8585 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Arrete 14-2692 en date du 27 octobre 2014 portant renouvellement d'un systeme de videoprotection a la BANQUE POPULAIRE AQUITAINE CENTRE ATLANTIQUE a Saujon

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – L’autorisation précédemment accordée à la Banque Populaire, représentée par le Directeur de la conformité et des risques opérationnels, par arrêté préfectoral n° 08-2420 du 26 juin 2008 est reconduite à l'adresse ci-dessus mentionnée, pour une durée de cinq ans renouvelable, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n° 2014/0282 et dans les conditions précisées ci-dessous.

Le système est composé de 3 caméras intérieures.

Le système considéré répond aux finalités prévues par le Code :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du Directeur de la conformité et des risques opérationnels de la Banque Populaire – 10 quai des Queyries – 33072 BORDEAUX Cedex.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 28 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

8586 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime Le Maire de SAUJON sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’au DIRECTEUR CONFORMITE ET RISQUES OPERATIONNELS, 10 quai DES QUEYRIES 33072 BORDEAUX CEDEX.

La Rochelle, le 27 octobre 2014

La Préfète, Pour la préfète le secrétaire général signé : Michel TOURNAIRE

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Arrete 14-2693 en date du 27 octobre 2014 portant renouvellement d'un systeme de videoprotection au RESTAURANT L'ARCHE a Pons

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – L’autorisation précédemment accordée à HRC – Eliance Autoroutes, représentée par M. CAZELLES, directeur, par arrêté préfectoral n° 98-746 DIR1/B1 du 20 mars 1998 modifié est reconduite, pour une durée de cinq ans renouvelable, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n° 2014/0237 et dans les conditions précisées ci-dessous.

Le système est composé de 6 caméras intérieures,

Le système considéré répond aux finalités prévues par le Code :

Sécurité des Personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

8587 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du directeur de l'établissement.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Les fonctionnaires des services de police, de gendarmerie, de douanes et/ou d’incendie et de secours dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article R252-12 du Code susmentionné, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées à l’article 1er.

Article 8 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 13 – Le Secrétaire Général de la Préfecture Le Colonel Commandant le Groupement de Gendarmerie Le Maire de PONS sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur DIDIER CAZELLES, AIRE DE SAINT LEGER 17800 PONS.

La Rochelle, le 27 octobre 2014

La Préfète, Pour la préfète le secrétaire général signé : Michel TOURNAIRE

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8588 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Arrete 14-2694 en date du 27 octobre 2014 portant renouvellement d'un systeme de videoprotection a la BANQUE POPULAIRE AQUITAINE CENTRE ATLANTIQUE a Saint Jean d'Angely

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – L’autorisation précédemment accordée à la Banque Populaire, représentée par le Directeur de la conformité et des risques opérationnels, par arrêté préfectoral n° 08-3186 DRLP/B1 du 4 août 2008 est reconduite à l'adresse ci- dessus mentionnée, pour une durée de cinq ans renouvelable, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n° 2014/0285 et dans les conditions précisées ci-dessous.

Le système est composé de 6 caméras intérieures.

Le système considéré répond aux finalités prévues par le Code :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du Directeur de la conformité et des risques opérationnels de la Banque Populaire – 10 quai des Queyries – 33072 BORDEAUX Cedex.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 28 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

8589 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime Le Maire de SAINT JEAN D'ANGELY sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’au DIRECTEUR CONFORMITE ET RISQUES OPERATIONNELS, 10 quai DES QUEYRIES 33072 BORDEAUX CEDEX.

La Rochelle, le 27 octobre 2014

La Préfète, Pour la préfète le secrétaire général signé : Michel TOURNAIRE

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Arrete 14-2695 en date du 27 octobre 2014 portant renouvellement d'un systeme de videoprotection a la BANQUE POPULAIRE AQUITAINE CENTRE ATLANTIQUE a Matha

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – L’autorisation précédemment accordée à la Banque Populaire, représentée par le Directeur de la conformité et des risques opérationnels, par arrêté préfectoral du 28 décembre 2007 est reconduite à l'adresse ci-dessus mentionnée, pour une durée de cinq ans renouvelable, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n° 2014/0279 et dans les conditions précisées ci-dessous.

Le système est composé de 4 caméras intérieures.

Le système considéré répond aux finalités prévues par le Code :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

8590 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du Directeur de la conformité et des risques opérationnels de la Banque Populaire – 10 quai des Queyries – 33072 BORDEAUX Cedex.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 28 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime Le Maire de MATHA sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’au DIRECTEUR CONFORMITE ET RISQUES OPERATIONNELS, 10 quai DES QUEYRIES 33072 BORDEAUX CEDEX.

La Rochelle, le 27 octobre 2014

La Préfète, Pour la préfète le secrétaire général signé : Michel TOURNAIRE

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8591 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Arrete 14-2696 en date du 27 octobre 2014 portant renouvellement d'un systeme de videoprotection a la BANQUE POPULAIRE AQUITAINE CENTRE ATLANTIQUE a Jonzac

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – L’autorisation précédemment accordée à la Banque Populaire, représentée par le Directeur de la conformité et des risques opérationnels, par arrêté préfectoral n° 08-3186 DRLP/B1 du 4 août 2008 est reconduite à l'adresse ci- dessus mentionnée, pour une durée de cinq ans renouvelable, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n° 2014/0275 et dans les conditions précisées ci-dessous.

Le système est composé de 5 caméras intérieures.

Le système considéré répond aux finalités prévues par le Code :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du Directeur de la conformité et des risques opérationnels de la Banque Populaire – 10 quai des Queyries – 33072 BORDEAUX Cedex.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 28 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

8592 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime Le Maire de JONZAC sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’au DIRECTEUR CONFORMITE ET RISQUES OPERATIONNELS, 10 quai DES QUEYRIES 33072 BORDEAUX CEDEX.

La Rochelle, le 27 octobre 2014

La Préfète, Pour la préfète le secrétaire général signé : Michel TOURNAIRE

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Arrete 14-2697 en date du 27 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection a la SELARL PHARMACIE DE ROMPSAY a Perigny

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Alexandre FABRE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 5 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014/0246.

Le système considéré répond aux finalités prévues par le Code :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

La déclaration de sa mise en service devra être effectuée auprès du Préfet.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

8593 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. FABRE, pharmacien gérant.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Les fonctionnaires des services de police, de gendarmerie, de douanes et/ou d’incendie et de secours dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article R252-12 du Code susmentionné, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées à l’article 1er.

Article 8 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 13 – Le Secrétaire Général de la Préfecture Le Directeur départemental de la Sécurité Publique Le Maire de PERIGNY sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Alexandre FABRE , 32 rue des Ecoles 17180 PERIGNY

La Rochelle, le 27 octobre 2014

La Préfète, Pour la préfète le secrétaire général signé : Michel TOURNAIRE

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8594 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Arrete 14-2698 en date du 27 octobre 2014 portant renouvellement d'un systeme de videoprotection a la BANQUE POPULAIRE AQUITAINE CENTRE ATLANTIQUE a Rochefort

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – L’autorisation précédemment accordée à la Banque Populaire, représentée par le Directeur de la conformité et des risques opérationnels, par arrêté préfectoral n° 08-2420 du 26 juin 2008 est reconduite à l'adresse ci-dessus mentionnée, pour une durée de cinq ans renouvelable, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n° 2014/0264 et dans les conditions précisées ci-dessous.

Le système est composé de 7 caméras intérieures.

Le système considéré répond aux finalités prévues par le Code :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du Directeur de la conformité et des risques opérationnels de la Banque Populaire – 10 quai des Queyries – 33072 BORDEAUX Cedex.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 28 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

8595 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture - Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime - le Maire de ROCHEFORT sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’au DIRECTEUR CONFORMITE ET RISQUES OPERATIONNELS, 10 quai DES QUEYRIES 33072 BORDEAUX CEDEX.

La Rochelle, le 27 octobre 2014

La Préfète, Pour la préfète le secrétaire général signé : Michel TOURNAIRE

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Arrete 14-2725 en date du 30 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection au CAMPING LES TROIS COUPS aux Mathes

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Gérard TRAMBLE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 3 caméras extérieures pour la partie ouverte au public conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014/0325.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

La déclaration de sa mise en service devra être effectuée auprès du Préfet.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

8596 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. Gérald TRAMBLE, Gérant .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Les fonctionnaires des services de police, de gendarmerie, de douanes et/ou d’incendie et de secours dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article R252-12 du Code susmentionné, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées à l’article 1er.

Article 8 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 13 – Le Sous-Préfet Directeur de Cabinet de la Préfecture de la Charente-Maritime Le Colonel Commandant le Groupement de Gendarmerie Le Maire de LES MATHES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Gérard TRAMBLE , impasse Trois Coups 17570 LES MATHES

La Rochelle, le 30 octobre 2014

La Préfète, Pour la Préfète, par délégation Le sous-préfet, directeur de Cabinet signé : Bruno CRUCHANT

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8597 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Arrete 14-2726 en date du 30 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection a VENTE A EMPORTER CONFISERIE aux Mathes

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur BRUNO VANCRAEYENEST est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 1 caméra intérieure pour la partie ouverte au public conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014/0304.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

La déclaration de sa mise en service devra être effectuée auprès du Préfet.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. Bruno VANCRAEYENEST , Gérant .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Les fonctionnaires des services de police, de gendarmerie, de douanes et/ou d’incendie et de secours dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article R252-12 du Code susmentionné, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées à l’article 1er.

Article 8 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles

8598 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 13 – Le Sous-Préfet Directeur de Cabinet de la Préfecture de la Charente-Maritime Le Colonel Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime Le Maire de LES MATHES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur BRUNO VANCRAEYENEST , rond-point DE LA PLAGE 17570 LES MATHES

La Rochelle, le 30 octobre 2014

La Préfète, Pour la Préfète, par délégation Le sous-préfet, directeur de Cabinet signé : Bruno CRUCHANT

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Arrete 14-2727 en date du 30 octobre 2014 portant autorisation d'un systeme de videoprotection au CAMPING AU PIGEONNIER au Chateau d'Oleron

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Fabrice MIGNE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection comportant 2 caméras intérieures pour la partie ouverte au public et 1 caméra extérieure conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014/0223.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Autres (Vidéosurveillance (vol notamment)).

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

La déclaration de sa mise en service devra être effectuée auprès du Préfet.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

8599 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

- l’affichette mentionnera les références du Code susvisé et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. Fabrice MAGNE Propriétaire .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Les fonctionnaires des services de police, de gendarmerie, de douanes et/ou d’incendie et de secours dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article R252-12 du Code susmentionné, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées à l’article 1er.

Article 8 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 11 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 13 – Le Sous-Préfet Directeur de Cabinet de la Préfecture de la Charente-Maritime Le Colonel Commandant le Groupement de Gendarmerie Le Maire de LE CHATEAU D'OLERON sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Fabrice MIGNE , 73 avenue d'Antioche 17480 La Chateau d'Oléron

La Rochelle, le 30 octobre 2014

La Préfète, Pour la Préfète, par délégation Le sous-préfet, directeur de Cabinet signé : Bruno CRUCHANT

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8600 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Arrete 14-2762 en date du 5 novembre 2014 portant modification d'un systeme de videoprotection au CREDIT MUTUEL OCEAN de Perigny

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Le Chargé de Sécurité du Crédit Mutuel Océan est autorisé à modifier à l'adresse sus-indiquée, dans les conditions fixées au présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le n° 2013/0049.

Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral n° 13- 761/CAB/BC du 10 avril 2013 susvisé.

Article 2 – Les modifications portent sur :

- Le nombre de caméras.

Article 3 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions du Code de la Sécurité Intérieure (articles L253-5, R253-1 et R253-4 notamment).

Article 4 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L251-1 à L255-1 et R252-11 du Code de la Sécurité Intérieure, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard du Code de la Sécurité Intérieure. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 5 – La présente modification sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 6 – Le reste des dispositions prévues par l’arrêté n° 13-761/CAB/BC du 10 avril 2013 demeure applicable.

Article 7 - – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet Le Directeur départemental de la Sécurité publique Le Maire de PERIGNY sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’au Chargé de Sécurité du Crédit Mutuel Océan, 34 rue Léandre Merlet – BP 17 - 85001 LA ROCHE SUR YON Cedex.

La Rochelle, le 5 novembre 2014

La Préfète, Pour la Préfète, par délégation Le sous-préfet, directeur de Cabinet signé : Bruno CRUCHANT

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Arrete 14-2877 en date du 20 novembre 2014 conferant l'honorariat a M. Jean-Francois DOUARD, ancien maire de Lagord

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

8601 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

ARRETE

ARTICLE 1er : M. Jean-François DOUARD, ancien maire de la commune de Lagord, est nommé maire honoraire.

ARTICLE 2 : Le secrétaire général de la Préfecture est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs, et dont une copie sera notifiée à l’intéressé.

LA ROCHELLE, le 20T novembre 2014 LA PRÉFÈTE, signé : Béatrice ABOLLIVIER

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Arrete 14-2878 en date du 20 novembre 2014 conferant l'honorariat a M. Michel LANDRET, ancien adjoint au maire de Surgeres

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1er : M. Michel LANDRET, ancien adjoint au maire de la commune de Surgères, est nommé adjoint au maire honoraire.

ARTICLE 2 : Le secrétaire général de la Préfecture est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs, et dont une copie sera notifiée à l’intéressé.

LA ROCHELLE, le 20 novembre 2014

LA PRÉFÈTE, signé : Béatrice ABOLLIVIER

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté à la "Préfecture de la Charente-Maritime - Services du cabinet") ______

1.4. Préfecture de la Charente-Maritime - SOUS-PREFECTURE DE ROCHEFORT

arrêté préfectoral n°14-257 reconnaissant les aptitudes techniques de M. Philippe DUHÂA pour exercer les fonctions de garde particulier

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1: M. Philippe DUHÂA, né le 2 mai 1960 à SAINTES (17), domicilié à 1 rue du Souillat 17570 SAINT AUGUSTIN, est reconnu techniquement apte à exercer les fonctions de garde particulier.

ARTICLE 2 : Il est en outre reconnu techniquement apte à exercer les fonctions de garde-chasse particulier.

8602 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

ARTICLE 3 : Le présent arrêté peut faire l'objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d'un recours gracieux auprès du préfet ou d'un recours hiérarchique auprès du ministre de l'écologie, du développement durable et de l’énergie, ou d'un recours contentieux devant le tribunal administratif de Poitiers (15 rue de Blossac – BP 541 – 86020 Poitiers cedex). L'exercice d'un recours gracieux ou hiérarchique proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

ARTICLE 4 : La sous-préfète de Rochefort est chargée de l'application du présent arrêté, qui sera notifié à l'intéressé.

A Rochefort, le 20 novembre 2014 La sous-préfète de Rochefort, Magali SELLES

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arrêté préfectoral n°14-258 portant agrément de M. Philippe DUHÂA en qualité de garde chasse particulier

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : M. Philippe DUHÂA, né le 2 mai 1960 à SAINTES (17), demeurant : 1 rue du Souillat à 17570 SAINT AUGUSTIN, EST AGREE en qualité de garde-chasse particulier pour constater tous délits et contraventions dans le domaine de la chasse prévus au code de l'environnement qui portent préjudice aux droits de chasse de l'association communale de chasse agréée de SAINT AUGUSTIN.

ARTICLE 2 : La liste des propriétés ou des territoires concernés est précisée dans la commission et la carte annexées au présent arrêté.

ARTICLE 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de CINQ ANS.

ARTICLE 4 : Préalablement à son entrée en fonction, M. Philippe DUHÂA doit prêter serment auprès du tribunal d’instance de ROCHEFORT.

ARTICLE 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, M. Philippe DUHÂA doit être porteur en permanence du présent agrément et doit le présenter à toute personne qui en fait la demande.

ARTICLE 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la sous-préfecture de ROCHEFORT en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

ARTICLE 7 : Le présent arrêté peut faire l'objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d'un recours gracieux auprès du préfet ou d'un recours hiérarchique auprès du ministre de l'écologie, du développement durable et de l’énergie, ou d'un recours contentieux devant le tribunal administratif de Poitiers (15 rue de Blossac – BP 541 – 86020 Poitiers cedex). L'exercice d'un recours gracieux ou hiérarchique proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

ARTICLE 8 : La sous-préfète de ROCHEFORT, le maire de la commune de SAINT AUGUSTIN, le commandant de la compagnie de gendarmerie de ROCHEFORT, le juge du tribunal d'instance de ROCHEFORT, le président de la fédération départementale des chasseurs de la Charente-Maritime, le chef du service départemental de l'office national de la chasse et de la faune sauvage, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'application du présent arrêté, qui sera notifié à l'intéressé et publié au Recueil des Actes Administratifs de l'Etat.

A Rochefort, le 20 novembre 2014 La sous-préfète de Rochefort

8603 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Magali SELLES

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arrêté n° 14-262 en date du 20 novembre 2014 modifiant l'arrêté n° 14-243 du 14 octobre 2014 portant agrément de M. Christophe VIGNEAUD en qualité de garde chasse particulier

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : l’article 1 de l'arrêté 14-243 du 14 octobre 2014 est modifié comme suit : … La liste des terrains de l'association intercommunale de chasse agréée de la Presqu'île d' a été modifiée par arrêté n° 2008-278 du 4 mars 2008, et se compose des Associations Communales de Chasse Agréées suivantes : Etaules, , Les Mathes, Royan, Saint-Augustin, Saint-Palais- sur-Mer et Vaux-sur-Mer. Le reste sans changement.

ARTICLE 2 : La sous-préfète de Rochefort Le commissaire de police chef de la circonscription de sécurité publique de ROYAN, Le juge du tribunal d’Instance de ROCHEFORT, Le président de la fédération départementale des chasseurs, Le chef du service départemental de l'office national de la chasse et de la faune sauvage, M. DENIS, Président de l'AICA de la presqu'île d'ARVERT, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera notifié à l’intéressé et publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture.

Rochefort, le 20 novembre 2014 Pour la sous-préfète de Rochefort et par délégation L'adjointe à la secrétaire générale Céline BAILLY

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arrete 14-274 du 25 novembre 2014 relatif a une manifestation sportive appelee "Trail sable et foret Patrick Fougere" sur les communes de St Palais sur Mer et Saint Augustin sur Mer, le dimanche 7 decembre 2014 dans le cadre du TELETHON 2014

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1 : M. Thierry PAILLASSA, organisateur et représentant l’association « Athlétique Club Saint Palais sur Mer », reçue en sous-préfecture de Rochefort le 15 octobre 2014, est autorisé à faire disputer une course pédestre appelée « Trail Sable et Forêt -Patrick Fougère- », le dimanche 7 décembre 2014, dans le cadre du TELETHON 2014, sur le territoire des communes de Saint Palais sur Mer et de Saint Augustin sur Mer, suivant l' itinéraire joint en annexe.

Deux parcours sont proposés sur des chemins forestiers et routes goudronnées :

- Les cadets, nés en 1998 et avant, doivent parcourir 14 km.

8604 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

- Les juniors, nés en 1996 et avant, doivent parcourir 21 km.

Les départs des deux parcours sont fixés, à 10 h 00, à la base nautique, Parc Raymond Vignes, sur la commune de Saint Palais sur mer et les arrivées se situent au même endroit.

Les signaleurs sont présents aux carrefours avec un téléphone portable et l'itinéraire est balisé.

Article 2 : Cette autorisation est accordée sous réserve de la stricte observation des dispositions des décrets et arrêtés précités, ainsi que des prescriptions spécifiques émises par :

● M. le commissaire de police, chef de la circonscription de sécurité publique de Royan

➢La manifestation doit se dérouler dans le strict respect de la réglementation en vigueur, en conformité avec le code de la route et les règles nécessaires à la protection du public.

● M. le commandant de la communauté de brigades de La Tremblade-Royan

➢Les signaleurs sont en nombre suffisant et doivent à la fois protéger les compétiteurs à l'approche de la route de l'îlot et jalonner le parcours. De même, il faut s'assurer de l'absence de chasseurs sur le secteur.

● M. le directeur des infrastructures départementales

➢La sécurité routière doit être assurée à proximité ou à distance du lieu de l’épreuve en raison de la traversée des RD 25 et RD 141 par la présence impérative des signaleurs. Pour la traversée de la RD 25, la présence de la gendarmerie est requise.

➢Les marques à la peinture sur la chaussée sont interdites et aucune publicité ne peut être fixée sur les panneaux de signalisation verticale ainsi que sur tout support du domaine public routier départemental.

● M. le responsable du conservatoire du littoral

➢Les participants empruntent une faible portion de chemin appartenant au conservatoire du littoral en limite de la forêt des Combôts d'Ansoine.

➢Une grande vigilance est demandée au personnes qui participent à cette manifestation, elles doivent respecter le site et ne pas sortir des voies existantes. Il convient d'informer les participants et les encadrants des interdictions dont fait l'objet le massif qui est classé en forêt de protection. Aucun matériel (panneaux jalons, balisage...) ne doit être fixé aux arbres ou arbustes.

Les signaleurs sont identifiables à leur tenue définie à l’article A.331-39 du code du sport. Ils doivent porter le gilet de haute visibilité, mentionné à l’article R.416-19 du code de la route, de couleur jaune. Les fédérations sportives délégataires et les organisateurs peuvent notamment faire figurer sur ces gilets la mention « course » clairement visible, accompagnée éventuellement d’une mention relative à leur identification, voire de publicités.

Les signaleurs nommément désignés doivent être en possession d'une copie du présent arrêté. Tous les signaleurs doivent être majeurs et titulaires du permis de conduire en cours de validité. Chaque signaleur doit être en possession des piquets mobiles à deux faces, modèle K 10 réglementaire, prévus à l’article A 331-40 du Code du Sport. Ces piquets comportent une face rouge et une face verte et permettent donc aux usagers de savoir si la route est libre ou non. En outre, des barrières de type K2, présignalées, sur lesquelles le mot « course » sera inscrit, pourront être utilisées, par exemple, lorsqu’un signaleur « couvre » un carrefour à plusieurs voies.

La présence des signaleurs est autorisée entre une demi-heure et un quart d’heure avant le passage théorique de la course. Ils devront avoir quitté les lieux au plus tard un quart d’heure après le passage du véhicule annonçant la fin de la course.

Les équipements devront être mis en place une demi heure et un quart d’heure avant le passage théorique de la course et retirés un quart d’heure après le passage de celle-ci.

Aux termes de l’article A.331-40 du code du sport, et le cas échéant, les voitures ouvreuses doivent être surmontées d’un panneau signalant le début de la course et les voitures balais, d’un panneau du même type signalant la fin de la course.

SERVICE D’ORDRE : Trente neuf personnes sont prévues par l’association. Chaque signaleur est équipé d'un portable.

8605 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

SURVEILLANCE MEDICALE : Elle est assurée par les services de la Croix-Rouge Française avec une unité à Saint Augustin sur Mer (lieu dit Papéricaud) et une unité à l'arrivée, à Saint Palais sur Mer, avec la présence d'un médecin et d'un défibrilateur.

Article 3 : Les réparations des dégradations éventuelles du domaine public seront à la charge des organisateurs, ainsi que tous les frais du service d'ordre exceptionnel nécessaire pour assurer la sécurité du public et de la circulation à l’occasion du déroulement de la manifestation.

Article 4 : La fourniture du dispositif de sécurité est à la charge de l'organisateur. La zone d’arrivée sera protégée, de part et d’autre de la chaussée (et par une distance convenable) par des barrières de protection assemblées, voire des cordages tendus par des piquets.

Article 5 : L'autorisation de l'épreuve pourra être rapportée à tout moment par M. le commissaire de police, chef de sécurité publique de Royan et par M. le commandant de la compagnie de gendarmerie de Rochefort ou son représentant agissant par délégation de l'autorité administrative, après consultation de l'autorité sportive compétente, s'il apparaît que les conditions de sécurité ne se trouvent plus remplies ou si les mesures prévues pour la protection du public ou des concurrents par le règlement particulier de l'épreuve ne sont pas respectées.

Article 6 : Le jet de prospectus, journaux, imprimés, tracts, échantillons et produits quelconques sur la voie publique par les organisateurs, les concurrents ou leurs accompagnateurs, est rigoureusement interdit, ainsi que l'affichage de placards ou de flèches de direction sur les bornes kilométriques et poteaux indicateurs, les arbres, les parapets.

Article 7 : Faute par les organisateurs de s'être conformés aux prescriptions du présent arrêté, il sera mis obstacle à l'épreuve.

Article 8 : En aucun cas la responsabilité de l'administration ne pourra être engagée et aucun recours ne pourra être exercé contre elle.

Article 9 :Voies et délais de recours Tout recours contentieux à l'encontre du présent arrêté pourra être porté devant le tribunal administratif de Poitiers (15 rue de Blossac - BP 541 – 86020 Poitiers cedex) dans un délai de deux mois suivant sa notification. Dans ce même délai, un recours administratif (soit gracieux, auprès de l'auteur de la décision, soit hiérarchique auprès du ministère de la ville, de la jeunesse et des sports) peut être présenté. Dans ce cas, le recours contentieux pourra alors être introduit dans les deux mois suivant la réponse (le silence gardé pendant les deux mois suivant le recours administratif emporte le rejet de cette demande).

Article 10 : - Mme la sous-préfète, - MM les Maires de Saint Palais sur Mer et de Saint Augustin sur Mer, - M. le commissaire de police, chef de la circonscription de sécurité publique de Royan, - M. le commandant de la compagnie de gendarmerie de Rochefort, - M. le directeur des infrastructures départementales, - M. le responsable du conservatoire du littoral, - M. le responsable de l’unité territoriale de la Charente Maritime de l’ONF, - M. le directeur des archives départementales - 17000 La Rochelle, - M. Thierry PAILLASSA, 7 Allée Arsène Chollet – 17420 Saint Palais sur Mer sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente Maritime et dont une copie sera adressée à l’organisateur

A Rochefort, le 25 novembre 2014 P/la sous préfète de Rochefort Et par délégation, la secrétaire générale Stéphanie BOUDET-BEYLIER

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté à la "Préfecture de la Charente-Maritime - SOUS-PREFECTURE DE ROCHEFORT")

8606 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

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1.5. Agence Régionale de Santé

Arrêté n°1485/2014 du 6 novembre 2014 Fixant la composition du Conseil Pédagogique de l'Institut de Formation en Soins Infirmiers du Centre Hospitalier de Rochefort sur Mer

LE DIRECTEUR GENERAL de l’Agence Régionale de Santé de Poitou-Charentes

ARRETE

ARTICLE 1er : Le Conseil pédagogique de l’Institut de Formation en Soins Infirmiers du CH de Rochefort Sur Mer est composé des membres suivants :

MEMBRES DE DROIT

Le Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé, M. François MAURY, ou son représentant, président ;

Le Directeur de l’Institut de Formation en Soins Infirmiers, Mme VIGE-MARCHAND Roselyne ;

Le directeur de l’établissement de santé ou le responsable de l’organisme gestionnaire, support de l’Institut de formation, ou son représentant, M. DIEUMEGARD Pierrick ;

Le conseiller pédagogique régional en soins infirmiers, ;

Le directeur des soins coordinateur général, M. CARTRON Michel ;

Un infirmier désigné par le directeur de l’institut de formation exerçant hors d’un établissement public de santé :

- Titulaire : Mme LAURANT Ghislaine, infirmière libérale,

- Suppléant : Mme ALDALAH, infirmière libérale ;

Un enseignant de statut universitaire désigné par le président de l’université, Mme LAFFAY-CHEBASSIER Claire ;

M. le Président du Conseil Régional de Poitou-Charentes ou son représentant ;

MEMBRES ELUS

Représentant des étudiants :

Représentants des étudiants de 1ère année :

- Titulaires : M. PELLERIN Samuel et Mme SCHMITT Camille,

- Suppléants : Mme CATHELINE Perle et M. LACORNE Brice ;

Représentants des étudiants de 2ème année :

- Titulaires : Mme LAURENT Marion et Mme BOUYER Pauline,

- Suppléants : M. INCANA Willys et Mme LATCHOUMANE Marie-Pierre ;

Représentants des étudiants de 3ème année :

8607 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

- Titulaires : Mme GALLEN Maëlys et Mme PAUPLIN Marie,

- Suppléants : Mme BORE Anne-Sophie et M. ZAMIT Frédéric ;

Représentants des enseignants élus par leurs pairs :

Représentant des enseignants de l’Institut de formation :

- Titulaires : Mme PACAUD Nathalie, Mme BIDAULT Marie-Christine et M. FEMENIAS Alain ;

- Suppléants : Mme RENAULT Mélanie, Mme KUEHN Hélène et Mme RORRISON Madeleine ;

Personnes chargées d’encadrement dans des établissements de santé :

Etablissements publics de santé :

- Titulaire : Mme DENIZE Valérie, cadre de santé, CHS de La Rochelle,

- Suppléant : Mme DUPONT Elisabeth, cadre de santé, CH de Rochefort S/ Mer ;

Etablissement privé de santé :

- Titulaire : Mme HERY Colette, cadre de santé, maison de retraite Les Bégonias à Rochefort,

- Suppléant : Mme LAMBERT Nelly, cadre de santé, Résidence Valpastour Saint Médard ;

Un médecin :

- Titulaire : M. le Docteur DELBOY Hervé, praticien hospitalier, CH de Rochefort,

- Suppléant : Mme le Docteur PAQUEREAU Evelyne, praticien hospitalier, CH de Rochefort ;

ARTICLE 2 : Un recours administratif (gracieux ou hiérarchique) ou un recours contentieux auprès du tribunal administratif peut être exercé dans un délai de deux mois à compter de la notification de la décision ou à l’égard des tiers à compter de sa publication.

ARTICLE 3 : Le directeur général adjoint de l’agence régionale de santé est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime.

Poitiers, le 06 novembre 2014 Par délégation, La Responsable du Service Ressources Humaines en Santé, Signé

Nathalie FOUCHE-CAILBAULT

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8608 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Arrêté n°1486/2014 du 6 novembre 2014 Fixant la composition du Conseil Technique de l'Institut de Formation d'Aide-soignant de Rochefort sur Mer

LE DIRECTEUR GENERAL de l’Agence Régionale de Santé de Poitou-Charentes

ARRETE

ARTICLE 1er : Le Conseil technique de l’Institut de Formation d’Aide-soignant de Rochefort Sur Mer est composé des membres suivants :

Le Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé, M. François MAURY, ou son représentant, président ;

Le Directeur de l’Institut de Formation d’Aide-soignant, Mme VIGE-MARCHAND, directrice par intérim ;

Le représentant de l’organisme gestionnaire, M. DIEUMEGARD, directeur du centre hospitalier de Rochefort, ou son représentant ;

Le conseiller pédagogique régional en soins infirmiers, ;

Le coordonnateur général des soins de l’établissement, M. CARTRON ;

Un infirmier, formateur permanent de l’institut de formation :

- Titulaire : Mme BASSE Brigitte, - Suppléant : Mme GOSSELIN Nathalie;

Un aide-soignant d’un établissement accueillant des élèves en stage :

- Titulaire : Mme GORICHON Nathalie, aide-soignante, centre hospitalier de Rochefort ;

- Suppléant : Mme DAUNAS Séverine, aide-soignant, EHPAD Les Bégonias Rochefort ;

Représentants des étudiants :

- Titulaires : Mme GREENGOLD Magali et M. BRAULT Jefferson,

- Suppléants : Mme QUERON Emilie et Mme GARREAU Laurianne.

ARTICLE 2 : Un recours administratif (gracieux ou hiérarchique) ou un recours contentieux auprès du tribunal administratif peut être exercé dans un délai de deux mois à compter de la notification de la décision ou à l’égard des tiers à compter de sa publication.

ARTICLE 3 : Le directeur général adjoint de l’agence régionale de santé est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Région Poitou-Charentes ainsi qu’au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime.

Poitiers, le 06 novembre 2014 Par délégation, Responsable service Ressources Humaines en Santé, Signé

Nathalie FOUCHE-CAILBAULT

8609 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

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Arrêté n°1575/2014 du 17 novembre 2014 Fixant le montant des recettes d'assurance maladie dû au GCS urgences du pays royannais au titre de l'activité déclarée au mois de septembre 2014

LE DIRECTEUR GENERAL de l’Agence Régionale de Santé de Poitou-Charentes

ARRETE

ARTICLE 1er : Le montant dû au GCS urgences du pays royannais par la caisse désignée en application des dispositions de l’article L.174-2 du code de la sécurité sociale au titre de la valorisation de l’activité déclarée au mois de septembre 2014 est égal à 388 455,82 € (trois cent quatre-vingt-huit mille quatre cent cinquante-cinq euros quatre-vingt- deux cents).

Ce montant se décompose de la façon suivante :

1°) La part tarifée à l’activité est égale à 388 455,82 € soit :

. 93 257,20 € au titre des forfaits ″accueil et traitement des urgences ″ (ATU) ;

. 295 198,62 € au titre des actes et consultations externes (ACE) ;

2°) La part des spécialités pharmaceutiques mentionnées à l’article L.162-22-7 du code de la sécurité sociale est égale à 0,00 €.

3°) La part des produits et prestations mentionnés au même article est égale à 0,00 €.

ARTICLE 2 : La présente décision peut faire l'objet d'un recours contentieux, auprès du tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale de Bordeaux dans un délai d'un mois à compter de sa notification.

ARTICLE 3 : Le directeur de la Mutualité Sociale Agricole des Charentes en tant que caisse pivot, le chef du pôle établissements de santé de la DOSMS et le directeur de l’établissement sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime.

POITIERS, Le 17/11/2014 Le Directeur Général SIGNE François MAURY

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8610 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Arrêté n°1576/2014 du 17 novembre 2014 Fixant le montant des recettes d'assurance maladie dû au Groupe Hospitalier de La Rochelle Ré Aunis au titre de l'activité déclarée au mois de septembre 2014

LE DIRECTEUR GENERAL de l’Agence Régionale de Santé de Poitou-Charentes

ARRETE

ARTICLE 1er : Le montant dû au Groupe hospitalier de La Rochelle Ré Aunis par la caisse désignée en application des dispositions de l’article L.174-2 du code de la sécurité sociale au titre de la valorisation de l’activité déclarée au mois de septembre 2014 est égal à 11 576 111,56 € (onze millions cinq cent soixante-seize mille cent onze euros cinquante-six cents).

Ce montant se décompose de la façon suivante :

1°) La part tarifée à l’activité est égale à 10 173 808,42 € soit :

. 9 413 904,08 € au titre des forfaits ″groupes homogènes de séjours ″ (GHS) et leurs éventuels suppléments ;

dont 9 401 814,49 € hors AME au titre des soins de l'année 2014; dont 12 089,59 € en AME ;

84 861,20 € au titre des forfaits ″accueil et traitement des urgences ″ (ATU) ;

. 348 358,01 € au titre des forfaits ″ groupes homogènes de tarifs ″ (GHT) ;

. 27 291,00 € au titre des forfaits d’interruptions volontaires de grossesse (IVG) ;

. 240 326,97 € au titre des actes et consultations externes (ACE) ;

. 45 205,95 € au titre des forfaits ″prélèvements d’organes ″ (PO) ;

. 13 861,21 € au titre des forfaits ″sécurité et environnement hospitalier ″ (SE).

2°) La part des spécialités pharmaceutiques mentionnées à l’article L.162-22-7 du code de la sécurité sociale est égale à 1 019 135,60 €.

dont 984 462,29 € pour la partie MCO hors AME au titre de l'année 2014 ; dont 34 725,22 € pour la partie HAD au titre de l'année 2014 ; dont -51,91 € en AME ;

3°) La part des produits et prestations mentionnés au même article est égale à 383 167,54 €.

ARTICLE 2 : La présente décision peut faire l'objet d'un recours contentieux, auprès du tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale de Bordeaux dans un délai d'un mois à compter de sa notification.

ARTICLE 3 : Le directeur de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie de la Charente-Maritime en tant que caisse pivot, le chef du pôle établissements de santé de la DOSMS et le directeur de l’établissement sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime.

POITIERS, Le 17/11/2014 Le Directeur Général SIGNE François MAURY

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8611 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Arrêté n°1577/2014 du 17 novembre 2014 Fixant le montant des recettes d'assurance maladie dû au Centre Hospitalier de Jonzac au titre de l'activité déclarée au mois de septembre 2014

LE DIRECTEUR GENERAL de l’Agence Régionale de Santé de Poitou-Charentes

ARRETE

ARTICLE 1er : Le montant dû au Centre hospitalier de Jonzac par la caisse désignée en application des dispositions de l’article L.174-2 du code de la sécurité sociale au titre de la valorisation de l’activité déclarée au mois de septembre 2014 est égal à 1 510 227,42 € (un million cinq cent dix mille deux cent vingt-sept euros quarante-deux cents).

Ce montant se décompose de la façon suivante :

1°) La part tarifée à l’activité est égale à 1 472 575,27 € soit :

. 1 264 345,87 € au titre des forfaits ″groupes homogènes de séjours ″ (GHS) et leurs éventuels suppléments ;

. 20 325,89 € au titre des forfaits ″accueil et traitement des urgences ″ (ATU) ;

. 1 687,84 € au titre des forfaits d’interruptions volontaires de grossesse (IVG) ;

. 184 604,53 € au titre des actes et consultations externes (ACE) ;

. 0,00 € au titre des forfaits ″prélèvements d’organes ″ (PO) ;

. 1 611,14 € au titre des forfaits ″sécurité et environnement hospitalier ″ (SE).

2°) La part des spécialités pharmaceutiques mentionnées à l’article L.162-22-7 du code de la sécurité sociale est égale à 18 265,30 €.

3°) La part des produits et prestations mentionnés au même article est égale à 19 386,85 €. dont 19 363,21 € hors AME ; dont 23,64 € au titre des actes et consultations externes (ACE)

ARTICLE 2 : La présente décision peut faire l'objet d'un recours contentieux, auprès du tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale de Bordeaux dans un délai d'un mois à compter de sa notification.

ARTICLE 3 : Le directeur de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie de la Charente-Maritime en tant que caisse pivot, le chef du pôle établissements de santé de la DOSMS et le directeur de l’établissement sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime.

POITIERS, Le 17/11/2014 Le Directeur Général SIGNE

François MAURY

8612 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

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Arrêté n°1578/2014 du 17 novembre 2014 Fixant le montant des recettes d'assurance maladie dû au Centre Hospitalier de Saintonge au titre de l'activité déclarée au mois de septembre 2014

LE DIRECTEUR GENERAL de l’Agence Régionale de Santé de Poitou-Charentes

ARRETE

ARTICLE 1er : Le montant dû au Centre hospitalier de Saintonge par la caisse désignée en application des dispositions de l’article L.174-2 du code de la sécurité sociale au titre de la valorisation de l’activité déclarée au mois de septembre 2014 est égal à 7 193 670,90 € (sept millions cent quatre-vingt-treize mille six cent soixante-dix euros quatre-vingt-dix cents).

Ce montant se décompose de la façon suivante :

1°) La part tarifée à l’activité est égale à 6 686 748,95 € soit :

. 5 988 380,95 € au titre des forfaits ″groupes homogènes de séjours ″ (GHS) et leurs éventuels suppléments ;

dont 5 978 492,76 € hors AME au titre des soins de l'année 2014; dont 9 888,19 € en AME ;

. 47 980,50 € au titre des forfaits ″accueil et traitement des urgences ″ (ATU) ;

. 180 577,06 € au titre des forfaits ″ groupes homogènes de tarifs ″ (GHT) ;

. 14 253,60 € au titre des forfaits d’interruptions volontaires de grossesse (IVG) ;

. 448 784,80 € au titre des actes et consultations externes (ACE) ; dont 441 119,61 € hors AME au titre des soins de l'année 2014 dont 7 665,19 € au titre des soins de l'année 2013

. 0,00 € au titre des forfaits ″prélèvements d’organes ″ (PO) ;

. 6 772,04 € au titre des forfaits ″sécurité et environnement hospitalier ″ (SE).

2°) La part des spécialités pharmaceutiques mentionnées à l’article L.162-22-7 du code de la sécurité sociale est égale à 349 976,32 €.

3°) La part des produits et prestations mentionnés au même article est égale à 156 945,63 €.

ARTICLE 2 : La présente décision peut faire l'objet d'un recours contentieux, auprès du tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale de Bordeaux dans un délai d'un mois à compter de sa notification.

ARTICLE 3 : Le directeur de la Mutualité Sociale Agricole des Charentes en tant que caisse pivot, le chef du pôle établissements de santé de la DOSMS et le directeur de l’établissement sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime.

POITIERS, Le 17/11/2014

8613 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Le Directeur Général SIGNE

François MAURY

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Arrêté n°1579/2014 du 17 novembre 2014 Fixant le montant des recettes d'assurance maladie dû au Centre Hospitalier de Royan au titre de l'activité déclarée au mois de septembre 2014

LE DIRECTEUR GENERAL de l’Agence Régionale de Santé de Poitou-Charentes

ARRETE

ARTICLE 1er : Le montant dû au Centre hospitalier de Royan par la caisse désignée en application des dispositions de l’article L.174-2 du code de la sécurité sociale au titre de la valorisation de l’activité déclarée au mois de septembre 2014 est égal à 1 837 924,31 € (un million huit cent trente-sept mille neuf cent vingt-quatre euros trente et un cents).

Ce montant se décompose de la façon suivante :

1°) La part tarifée à l’activité est égale à 1 656 424,27 € soit :

. 1 561 646,30 € au titre des forfaits ″groupes homogènes de séjours ″ (GHS) et leurs éventuels suppléments ;

. 0,00 € au titre des forfaits ″accueil et traitement des urgences ″ (ATU) ;

. 0,00 € au titre des forfaits d’interruptions volontaires de grossesse (IVG) ;

. 84 653,36 € au titre des actes et consultations externes (ACE) ;

. 0,00 € au titre des forfaits ″prélèvements d’organes ″ (PO) ;

. 10 124,61 € au titre des forfaits ″sécurité et environnement hospitalier ″ (SE).

2°) La part des spécialités pharmaceutiques mentionnées à l’article L.162-22-7 du code de la sécurité sociale est égale à 151 244,22 €.

3°) La part des produits et prestations mentionnés au même article est égale à 30 255,82 €.

ARTICLE 2 : La présente décision peut faire l'objet d'un recours contentieux, auprès du tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale de Bordeaux dans un délai d'un mois à compter de sa notification.

ARTICLE 3 : Le directeur de la Mutualité Sociale Agricole des Charentes en tant que caisse pivot, le chef du pôle établissements de santé de la DOSMS et le directeur de l’établissement sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime.

POITIERS,

8614 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Le 17/11/2014 Le Directeur Général SIGNE

François MAURY

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Arrêté n°1580/2014 du 17 novembre 2014 Fixant le montant des recettes d'assurance maladie dû au Centre Hospitalier de Rochefort au titre de l'activité déclarée au mois de septembre 2014

LE DIRECTEUR GENERAL de l’Agence Régionale de Santé de Poitou-Charentes

ARRETE

ARTICLE 1er : Le montant dû au Centre hospitalier de Rochefort par la caisse désignée en application des dispositions de l’article L.174-2 du code de la sécurité sociale au titre de la valorisation de l’activité déclarée au mois de septembre 2014 est égal à 4 077 848,24 € (quatre millions soixante-dix-sept mille huit cent quarante-huit euros vingt-quatre cents).

Ce montant se décompose de la façon suivante :

1°) La part tarifée à l’activité est égale à 3 898 075,84 € soit :

. 3 471 056,95 € au titre des forfaits ″groupes homogènes de séjours ″ (GHS) et leurs éventuels suppléments ;

. 38 493,50 € au titre des forfaits ″accueil et traitement des urgences ″ (ATU) ;

. 9 522,62 € au titre des forfaits d’interruptions volontaires de grossesse (IVG) ;

. 364 970,47 € au titre des actes et consultations externes (ACE) ;

. 0,00 € au titre des forfaits ″prélèvements d’organes ″ (PO) ;

. 14 032,30 € au titre des forfaits ″sécurité et environnement hospitalier ″ (SE).

2°) La part des spécialités pharmaceutiques mentionnées à l’article L.162-22-7 du code de la sécurité sociale est égale à 100 908,59 €.

3°) La part des produits et prestations mentionnés au même article est égale à 78 863,81 €.

ARTICLE 2 : La présente décision peut faire l'objet d'un recours contentieux, auprès du tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale de Bordeaux dans un délai d'un mois à compter de sa notification.

ARTICLE 3 : Le directeur de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie de la Charente-Maritime en tant que caisse pivot, le chef du pôle établissements de santé de la DOSMS et le directeur de l’établissement sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime.

8615 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

POITIERS, Le 17/11/2014 Le Directeur Général SIGNE

François MAURY

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Arrêté n°1581/2014 du 17 novembre 2014 Fixant le montant des recettes d'assurance maladie dû au Centre Hospitalier de Boscamnant au titre de l'activité déclarée au mois de septembre 2014

LE DIRECTEUR GENERAL de l’Agence Régionale de Santé de Poitou-Charentes

ARRETE

ARTICLE 1er : Le montant dû au Centre hospitalier de Boscamnant par la caisse désignée en application des dispositions de l’article L.174-2 du code de la sécurité sociale au titre de la valorisation de l’activité déclarée au mois de septembre 2014 est égal à 113 121,75 € (cent treize mille cent vingt et un euros soixante-quinze cents).

Ce montant se décompose de la façon suivante :

1°) La part tarifée à l’activité est égale à 113 121,75 € soit :

. 112 012,02 € au titre des forfaits ″groupes homogènes de séjours ″ (GHS) et leurs éventuels suppléments ;

. 0,00 € au titre des forfaits ″accueil et traitement des urgences ″ (ATU) ;

. 0,00 € au titre des forfaits d’interruptions volontaires de grossesse (IVG) ;

. 1 109,73 € au titre des actes et consultations externes (ACE) ;

. 0,00 € au titre des forfaits ″prélèvements d’organes ″ (PO) ;

. 0,00 € au titre des forfaits ″sécurité et environnement hospitalier ″ (SE).

2°) La part des spécialités pharmaceutiques mentionnées à l’article L.162-22-7 du code de la sécurité sociale est égale à 0,00 €.

3°) La part des produits et prestations mentionnés au même article est égale à 0,00 €.

ARTICLE 2 : La présente décision peut faire l'objet d'un recours contentieux, auprès du tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale de Bordeaux dans un délai d'un mois à compter de sa notification.

ARTICLE 3 : Le directeur de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie de la Charente-Maritime en tant que caisse pivot, le chef du pôle établissements de santé de la DOSMS et le directeur de l’établissement sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime.

8616 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

POITIERS, Le 17/11/2014 Le Directeur Général SIGNE

François MAURY

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Arrêté n°1587/2014 du 17 novembre 2014 Fixant le montant des recettes d'assurance maladie dû au Centre Hospitalier de Saint Jean d'Angély au titre de l'activité déclarée au mois de septembre 2014

LE DIRECTEUR GENERAL de l’Agence Régionale de Santé de Poitou-Charentes

ARRETE

ARTICLE 1er : Le montant dû au Centre hospitalier de Saint-Jean-d'Angély par la caisse désignée en application des dispositions de l’article L.174-2 du code de la sécurité sociale au titre de la valorisation de l’activité déclarée au mois de septembre 2014 est égal à 1 512 013,90 € (un million cinq cent douze mille treize euros quatre-vingt-dix cents).

Ce montant se décompose de la façon suivante :

1°) La part tarifée à l’activité est égale à 1 512 013,90 € soit :

. 1 331 334,36 € au titre des forfaits ″groupes homogènes de séjours ″ (GHS) et leurs éventuels suppléments ;

. 14 918,30 € au titre des forfaits ″accueil et traitement des urgences ″ (ATU) ;

. 2 072,36 € au titre des forfaits d’interruptions volontaires de grossesse (IVG) ;

. 159 826,59 € au titre des actes et consultations externes (ACE) ; dont 157 742,29 € hors AME au titre des soins de l'année 2014 dont 2 084,30 € au titre des soins de l'année 2013

. 0,00 € au titre des forfaits ″prélèvements d’organes ″ (PO) ;

. 3 862,29 € au titre des forfaits ″sécurité et environnement hospitalier ″ (SE).

2°) La part des spécialités pharmaceutiques mentionnées à l’article L.162-22-7 du code de la sécurité sociale est égale à 0,00 €.

3°) La part des produits et prestations mentionnés au même article est égale à 0,00 €.

ARTICLE 2 : La présente décision peut faire l'objet d'un recours contentieux, auprès du tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale de Bordeaux dans un délai d'un mois à compter de sa notification.

ARTICLE 3 : Le directeur de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie de la Charente-Maritime en tant que caisse pivot, le chef du pôle établissements de santé de la DOSMS et le directeur de l’établissement sont chargés, chacun en ce qui

8617 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014 le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime.

POITIERS, Le 17/11/2014 Le Directeur Général SIGNE

François MAURY

______

Décision tarifaire n°1643/2014 du 25 novembre 2014 Modifiant, pour l'exercice 2014, le prix de journée applicable à la section 24 bis internat et semi-internat du Centre Hélio-Marin à St Trojan les Bains géré par l'ATASH - n°170791933 à compter du 1er décembre 2014

LE DIRECTEUR GENERAL de l’Agence Régionale de Santé de Poitou-Charentes

ARRETE

ARTICLE 1 : Pour l’exercice budgétaire 2014, les recettes et les dépenses prévisionnelles de la section 24 bis du Centre Héliomarin (170791933) sont modifiées et autorisées comme suit :

Groupes fonctionnels Montants

DEPENSES Groupe I Dépenses afférentes à l’exploitation courante - dont CNR 576 364,12 € Groupe II Dépenses afférentes au personnel - dont CNR 2 192 307,94 € Groupe III Dépenses afférentes à la structure - dont CNR 274 773,67 € 35 000,00 € Intégration résultat : déficit TOTAL dépenses 3 043 445,73 €

RECETTES Groupe I dont Crédits non reconductibles - dont CNR 3 028 249,69 € 35 000,00 € Groupe II dont Forfait journalier Autres produits relatifs à l’exploitation 15 196,04 € Groupe III Produits financiers et produits non encaissables 0,00 € Intégration résultat : excédent 0,00 €

8618 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

TOTAL recettes 3 043 445,73 €

ARTICLE 2 : Pour l’exercice budgétaire 2014, la tarification des prestations de la structure est fixée à :

Prix de journée à compter du 1er décembre 2014 : 355,59 € (internat – semi-internat)

ARTICLE 3 : Les recours contentieux dirigés contre la présente décision doivent être portés devant le Tribunal Interrégional de la Tarification Sanitaire et Sociale de BORDEAUX [Sis 17, Cours de Verdun – 33074 – BORDEAUX Cedex], dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles elle sera notifiée, à compter de sa notification.

ARTICLE 4 : En application des dispositions de l’article R.314-36-III du CASF, le tarif fixé à l’article 2 de la présente décision sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de Charente-Maritime.

ARTICLE 5 : Le Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé Poitou-Charentes est chargé de l’exécution de la présente décision qui sera notifiée à l’association ATASH et au Centre Héliomarin.

Fait à Poitiers, le 25 novembre 2014

Le Directeur Général

Signé

François MAURY

______

Decision tarifaire n 573 portant fixation de la dotation globale de soins pour l'annee 2014 de l'EHPAD - Les Jardins de l'Ocean (ORPEA) - 170805790 du 25 novembre 2014

LE DIRECTEUR GENERAL de l’Agence Régionale de Santé de Poitou-Charentes

ARRETE

8619 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

8620 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Fait à Poitiers, Le 25 novembre 2014 Le Directeur Général, Signé

______

Decision tarifaire n 588 portant fixation de la dotation globale de soins pour l'annee 2014 de l'EHPAD - Residence l'Oceane - 170795660 du 25 novembre 2014

LE DIRECTEUR GENERAL de l’Agence Régionale de Santé de Poitou-Charentes

ARRETE

8621 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Fait à Poitiers, Le 25 novembre 2014 Le Directeur Général, Signé

______

Decision tarifaire n 644 portant fixation de la dotation globale de soins pour l'annee 2014 de l'EHPAD - Residence Le Louvois - 170803118 du 25 novembre 2014

LE DIRECTEUR GENERAL de l’Agence Régionale de Santé de Poitou-Charentes

ARRETE

8622 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

8623 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Fait à Poitiers, Le 25 novembre 2014 Le Directeur Général, Signé

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Decision tarifaire n 647 portant fixation de la dotation globale de soins pour l'annee 2014 de l'EHPAD Spec. Brumenard (CH SAINTONGE) - 170783567 du 25 novembre 2014

LE DIRECTEUR GENERAL de l’Agence Régionale de Santé de Poitou-Charentes

ARRETE

8624 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Fait à Poitiers, Le 25 novembre 2014 Le Directeur Général, Signé

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Agence Régionale de Santé")

______

1.6. Direction Départementale de la Cohésion Sociale de la Charente-Maritime

Arrete n? 141716S en date du 26 novembre 2014 portant agrement des associations sportives.

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME

8625 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’association : UNION SPORTIVE ALERTE SAINT AIGULIN

Siège social : 17360 SAINT AIGULIN

Ayant pour objet la pratique des activités physiques et sportives du Football est agréée comme association sportive sous le n° 14 17 16 S

ARTICLE 2 : Le Directeur départemental de la cohésion sociale est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à La rochellle le 26 novembre 2014

P. la Préfète et par délégation, P. le Directeur départemental, Le Chef de service

Meidhi VERMEULEN

______

Arrete n°141715S en date du 24 novembre 2014 portant agrement des associations sportives.

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’association : GYMNASTIQUE VOLONTAIRE DE BOURGNEUF

Siège social : 17220 BOURGNEUF

Ayant pour objet la pratique des activités physiques et sportives de l’Education Physique et Gymnastique Volontaire est agréée comme association sportive sous le n° 14 17 15 S

ARTICLE 2 : Le Directeur départemental de la cohésion sociale est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à La rochellle le 24 novembre 2014 P/ la Préfète et par délégation, P/ le Directeur départemental, Le Chef de service Meidhi VERMEULEN

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Direction Départementale de la Cohésion Sociale de la Charente-Maritime")

8626 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

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1.7. Direction Départementale des Finance Publiques

PRS de Charente-Maritime - délégation de signature en matière d'AMR et AMD.

LE DIRECTEUR DEPARTEMENTAL DES FINANCES PUBLIQUES DE LA CHARENTE-MARITIME

ARRETE

Portant délégation de signature

Le comptable du Pôle Recouvrement Spécialisé de Charente-Maritime Vu le livre des procédures fiscales, et notamment son article L. 257 A ;

Arrête :

Art. 1er . – Délégation de signature est donnée à l’effet de signer et rendre exécutoire les avis de mise en recouvrement et de signer les mises en demeure de payer, au nom du comptable, aux agents exerçant leurs fonctions au Pôle Recouvrement Spécialisé dont les noms suivent : -Mme BURTIN Justine, Agente des Finances Publiques

Art. 2 . – Le présent arrêté sera publié au registre des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

A La Rochelle, le 09 décembre 2014 Le Comptable du Pôle Recouvrement Spécialisé M GUILGAULT Vincent

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Direction Départementale des Finance Publiques")

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1.8. Direction Départementale des territoires et de la mer

Arrêté n° 14-2891 du 21/11/2014 rendant obligatoire la délibération n°29-2014 du 20 octobre 2014 du Comité régional de la Conchyliculture Poitou-Charentes relative au cahier des charges des filières du pertuis breton

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 :

La délibération n° 29-2014 du 20 octobre 2014 du Comité Régional de la Conchyliculture Poitou-Charentes, annexée au présent arrêté, portant approbation du cahier des charges des filières du Pertuis Breton est rendue obligatoire à compter de la date de la signature du présent arrêté.

ARTICLE 2 :

8627 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Cette décision peut être contestée dans les deux mois qui suivent sa notification : - par recours gracieux auprès de l’auteur de la décision ou par recours hiérarchique adressé au Ministre chargé des transports, de la mer et de la pêche. - par recours contentieux devant le tribunal administratif.

ARTICLE 3 :

Le secrétaire général de la Préfecture de la Charente-Maritime, le directeur départemental des territoires et de la mer de la Charente-Maritime, le directeur départemental de la protection des populations de la Charente-Maritime, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

ANNEXE

Le Comité Régional de la Conchyliculture Poitou Charentes adopte le cahier des charges ci-dessous modifiant l’arrêté du 20/02/2006 :

MATERIELS AUTORISES : L’article 6 de l’arrêté n° 06-633 est modifié de la façon suivante :

Seules sont autorisées les filières du type surface et subsurface. Le concessionnaire est tenu d’assurer notamment un entretien permettant d’assurer la flottabilité de la structure et la sécurité de la totalité des installations hors système d’ancrage.

Les matériels mis en place doivent respecter les normes techniques suivantes : La profondeur des filières subsurface sera au maximum de 1,5 mètre sous l’eau. La longueur de chaque filière est limitée à 100 mètres, orientées Nord-Ouest, Sud-Est. Chaque extrémité est fixée au fond à deux blocs de 2,5 tonnes chacun. Les blocs sont enfouis. De chaque bloc partira une chaîne de 3,4 centimètres de diamètre et 4 mètres de long.

Filières mytilicoles : La filière de 100 mètres devra comporter au maximum 100 supports d’élevage d’une longueur inférieure ou égale à 4 mètres placées exclusivement sur l’aussière principale. L’aussière, les jambettes et les porteuses n’étant pas considérées comme des structures d’élevage, ces dernières ne doivent en aucun cas être garnies de boudins ou cordes de moules et devront être nettoyées au moins une fois dans l’année. Chaque filière de 100 m pourra recevoir 6000 m de cordes sur des structures légères de captage. Cette longueur de 6000 m , suivant le nombre de filières du concessionnaire, est cumulable sur une seule filière à condition de déclarer, sur l’imprimé joint ( annexe 1 ), le numéro de la filière dédiée au captage et la durée de cette exploitation, auprès du service cultures marines de la DDTM gestionnaire des concessions concernées , au plus tard le 14 avril de chaque année.

Filières ostréicoles : Les filières de 100 mètres seront installées selon la technique utilisée conformément au tableau joint ( annexe 2 ). Au maximum deux techniques d’élevage référencées à l’annexe jointe seront utilisées sur une filière de 100 mètres.

Les filières ostréicoles devront être nettoyées (enlèvement des moules quel que soit leur stade de développement) au moins une fois dans l’année.

______

Arrete portant composition de la Commission locale de l'eau du Schema d'Amenagement et de Gestion des Eaux "Estuaire de la Gironde et milieux associes"

Modification partielle de la Commission

LE PREFET DE LA REGION AQUITAINE, PREFET DE LA GIRONDE OFFICIER DE LA LEGION D’HONNEUR

8628 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

OFFICIER DE L’ORDRE NATIONAL DU MERITE

ARRETE

ARTICLE PREMIER – La commission locale de l'Eau du Schéma d'Aménagement et de Gestion des Eaux « Estuaire de la Gironde et milieux associé » est constituée comme suit :

1 – Collège des représentants des collectivités territoriales, de leurs groupements et des établissements publics locaux :

Collectivités Représentants Conseil Régional d'Aquitaine M. Jean-Jacques CORSAN Conseil Régional Poitou-Charente Mme Régine JOLY Conseil Général de la Gironde Mme Nathalie JUNIN

Conseil Général de la Charente-Maritime M. Bernard LOUIS JOSEPH Communauté Urbaine de Bordeaux M. Kévin SUBRENAT

8629 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Syndicat Mixte du Pays Médoc Mme Chrystel COLMONT Syndicat Mixte du Pays de la Haute Gironde M. Jean-Michel RIGAL Communauté d'Agglomération Royan Atlantique M. Michel CAILLON Communauté de Communes du Pays de la Haute Saintonge M. Daniel ROUSSEAU Communauté de Communes de l’Estuaire M. Bernard GRENIER Syndicat Mixte pour le Développement de l'Estuaire M. Philippe PLISSON Syndicat Intercommunal d'Aménagement des Bassins Versants de la M. Alain BOUCHON Pointe Médoc Syndicat Mixte des Bassins Versants Centre Médoc Gargouilh M. Jean-Marie FERON Syndicat Mixte du Bassin versant des Jalles du Cartillon et de Castelnau M. Claude GANELON Syndicat Mixte des Bassins versants de l’Artigue et de la Maqueline Mme Véronique SABACA Syndicat Intercommunal des Jalles de Landes à Garonne M. Jean-Marie DELUCHE Syndicat Intercommunal pour l'aménagement du ruisseau du Gua M. Hubert LAPORTE Syndicat Intercommunal d'Aménagement des bassins versants du Moron M. Michel GAILLARD et du Blayais, et Communauté de Communes de Bourg Syndicat Intercommunal d'Aménagement du bassin versant du Taillon M. Jean-François MAZZOCCHI Syndicat Intercommunal du bassin versant de la Livenne M. Michel LALANDE Syndicat Mixte pour la Protection contre les inondations de la Presqu’ile Mme Josiane ZAMBON d’Ambès Syndicat Mixte d’Etudes pour la Gestion de la Ressource en Eau du M. Jean-Pierre TURON Département de la Gironde

M. Pierre DUCOUT maire de Cestas

M. Pierre JOLY maire de Bourg

M. Florent FATIN maire de Pauillac

Mme Anne-Marie VERIT maire de Pleine- Selve Mme Fabienne CABRERA conseillère municipale de Bègles Mme Béatrice DE FRANÇOIS maire de Parempuyre Association des Maires de la Gironde M. Hervé BLANC adjoint au maire de Soulac

M. Alain TABONE maire de Cubzac-Les -

Ponts

M. Christophe BARBOT adjoint au maire d’Arcins

M. Bernard ESCHENBRENNER conseiller municipal du Verdon-sur-Mer M. Segundo CIMBRON maire de Saint- Yzans de Médoc

M. Claude BERNIARD maire de Margaux

Mme Valérie DUCOUT maire de Saint Ciers-sur-Gironde M. Christian THOMAS maire de Listrac Médoc Mme Anne WALRYCK conseillère municipale de Bordeaux

8630 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

M. Didier QUENTIN Député maire de Royan M. Jean-Pierre GERVEAU maire de Saint-Fort-Sur-Gironde M. Robert MAIGRE maire de Barzan

Association des Maires de la Charente-Maritime M. Jean-Louis FAURE maire de Mortagne-Sur-Gironde Mme Véronique PIASECKI maire de Saint-Sorlin-de-Conac M. Pierre ROZE maire de Salignac-de-Mirambeau Mme Elisabeth MARTIN maire d'Epargnes

2 – Collège des représentants des usagers, des propriétaires riverains, des organisations professionnelles et des associations :

Représentants

Chambre de Commerce et d'Industrie de la Gironde M. Jean-Daniel CAILLET Chambre d'Agriculture de la Gironde M. Xavier de SAINT LEGER Chambre d'Agriculture de la Charente-Maritime M. Michel AMBLARD UNIMA (marais de Charente-Maritime) M. Christophe CHASTAING UNICEM M. Michel PERROT SEPANSO Mme Elisabeth ARNAULD Conseil Départemental des Associations Familiales Laïques M. Serge LOPEZ Association des Pêcheurs Professionnels en eau douce de Gironde Mme Jacqueline RABIC Collectif Estuaire M. Gilbert MIOSSEC Syndicat des Sylviculteurs du Sud-Ouest M. Jean PERAGALLO Centre Nucléaire de Production d'Electricité du Blayais M. Didier LUNDY Association Vivre avec Le Fleuve Mme Colette ARNAUD Union des Associations des Navigateurs de la Charente-Maritime M. Jean-Marie THOMAS Fédération des Chasseurs de la Gironde M. Jacky JONCHERE Fédération de Pêche et de protection des milieux aquatiques de la Gironde M. Serge SIBUET LAFOURMIE

Association Syndicale Autorisée des Marais de Duchatel M. Philippe PERDRIAUD

8631 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Association Syndicale Autorisée des Marais de Bardecille M. Louis HERVOUET

Comité Régional des Pêches Maritimes de Poitou-Charentes M. Eric BLANC Comité Départemental des Pêches Maritimes de Gironde M. J-M LABROUSSE Fédération de Pêche et de protection des milieux aquatiques de la Charente- M. Jean-Paul RICHE Maritime Fédération des Chasseurs de la Charente-Maritime M. Christophe BOUYER Union Maritime et Portuaire de Bordeaux M. Henri-Vincent AMOUROUX Association CURUMA M. Patrick LAPOUYADE Association Terre et Océan M. Eric VEYSSY

Association Conservatoire de l’Estuaire M. Claude LATOUCHE

Association des Plaisanciers de Royan M. Bernard FEYTE

3 – Collège des représentants de l'Etat et de ses Etablissements Publics :

représentants Le Préfet Coordonnateur du Bassin Adour Garonne ou son représentant 1 Le Préfet de la Gironde coordonnateur du SAGE ou son représentant 1 La Préfète de la Charente-Maritime ou son représentant 1 Le Directeur de l'Agence de l'Eau Adour-Garonne ou son représentant 1 La Directrice Régionale de l'Environnement de l'Aménagement et du Logement d'Aquitaine ou ses représentants 2 Le Directeur Régional de l'Environnement de l'Aménagement et du Logement de Poitou-Charentes 1 ou son représentant Le Directeur Départemental des Territoires et de la Mer de la Gironde ou ses représentants 2 Le Chef de la Mission Interservices de l'Eau et de la Nature de la Gironde ou son représentant 1 Le Directeur Départemental des Territoires et de la Mer de la Charente-Maritime ou son représentant 1 Le Chef du Service de l'ONEMA de la Gironde ou son représentant 1 Le Chef du Service de l'ONEMA de la Charente-Maritime ou son représentant 1 Le Directeur Inter-régional de la Mer Sud-Atlantique ou son représentant 1 Le Directeur du Grand Port Maritime de Bordeaux ou son représentant 1 La Déléguée Régionale du Conservatoire de l'Espace Littoral et des Rivages Lacustres ou son 1 représentant Le Directeur Départemental de Protection des Populations de la Gironde ou son représentant 1 Le Directeur Départemental de Protection des Populations de la Charente-Maritime ou son 1 représentant

ARTICLE 2 : En cas d’empêchement les membres désignés pourront donner mandat à un autre membre du même collège et dans ce cas, chaque membre ne pourra recevoir qu’un seul mandat.

ARTICLE 3 : La présente désignation des membres de la commission locale de l’eau est valable pour la durée du mandat restant à courir soit jusqu’au 24 août 2018. Les personnes cessent d’être membres si elles perdent les fonctions en considération desquelles elles ont été désignées.

ARTICLE 4: Tout recours à l'encontre du présent arrêté pourra être porté devant le tribunal administratif de Bordeaux dans le délai de deux mois suivant sa publication.

8632 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

ARTICLE 5 : Les arrêtés du 12 octobre 2012 et du 13 juin 2013 sont abrogés.

ARTICLE 6 : Publication et exécution : Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs des Préfectures de la Gironde et de la Charente- Maritime. La liste des membres de la Commission locale de l’eau est mise en ligne sur le site internet http://www.gesteau.eaufrance.fr.

Les Secrétaires Généraux des Préfectures de la Gironde et de la Charente-Maritime sont chargés de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur le Président de la Commission Locale de l'Eau du SAGE "Estuaire de la Gironde et milieux associés".

Fait à Bordeaux le 21 novembre 2014 LE PREFET, Pour le Préfet , Le Secrétaire Général, Jean-Michel BEDECARRAX

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Convention du 24 novembre 2014 passée entre l'Etat et la commune des Mathes pour la remise en gestion de l'ouvrage de défense contre la mer - Digue de La Palmyre

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

La présente convention passée entre l’État et la commune de Les Mathes a pour objet la gestion administrative et technique de l' ouvrage de défense contre la mer indiqué ci-dessous :

- Les Mathes - La Palmyre -

Cette dépendance du domaine public maritime est délimitée sur les plans annexés à la présente convention.

La gestion de l' ouvrage, après travaux réalisés par le Conseil Général de la Charente-Maritime comprend : la surveillance de l'état des ouvrages ; l'entretien et les réparations des ouvrages ; des renforcements ultérieurs, si nécessaire, ou des aménagements ; les travaux d'urgence sur l' ouvrage pris en gestion par la commune de Les Mathes.

Article 1.2 – Consistance et nature des ouvrages

Les Mathes - La Palmyre - digue en enrochements calcaire d'une longueur de 120 m avec blocs de 1 à 3 T - pente 2/1

Article 1.3 – Compétences de gestion conservées par l’État

Sur les dépendances du Domaine Public Maritime concernées par cette convention, l’Etat demeure compétent pour tout autre acte de gestion du domaine, en particulier pour toutes occupations domaniales y compris sur l’ouvrage.

L’État ou tout bénéficiaire d'un titre domanial devra recueillir l’avis préalable de la commune de Les Mathes, gestionnaire de l'ouvrage de défense contre la mer, préalablement à toute intervention où la délivrance d'actes d'occupation du DPM est susceptible d'affecter lesdits ouvrages.

Article 1.4 - Consécration du transfert de gestion

8633 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

La remise en gestion de l' ouvrage de défense contre la mer sera effective dès réception des travaux.

Des procès-verbaux constatant l’état général de l 'ouvrage après exécution des travaux, en cohérence avec les DIG, seront établis. Ces PV consacreront la prise en gestion de ces ouvrages par la commune de Les Mathes.

T I T R E II

Entretien des ouvrages et exécution de travaux Surveillance - Entretien et réparations – Renforcements – Aménagements -Travaux d’urgence

Article 2.1 – Intérêt général des ouvrages, et de leur entretien

Lorsque des travaux sur les ouvrages de protection ont nécessité une DIG, cette DIG a étendu l’intérêt général aux travaux de surveillance, d’entretien et de réparations assurés par la commune de Les Mathes après remise de ceux-ci en gestion.

Article 2.2 – Bilan annuel de la gestion des ouvrages

Ce bilan de gestion des ouvrages notamment sur le DPM, sera établi chaque année par la commune de Les Mathes.

Contenu : bilan des opérations de surveillance, travaux d’entretien et réparations, renforcements éventuels, et travaux d’urgence, réalisés dans l’année, actions particulières prévues pour l’année à venir, dépenses effectuées dans l’année, prévisions budgétaires année à venir.

Ce bilan annuel sera transmis chaque année au représentant de l’État avant la fin du 1er trimestre. Article 2.3 – Surveillance, entretien et réparations des ouvrages

Le dispositif de gestion des ouvrages basé sur la régularité et la qualité de l'entretien est le garant du maintien des ouvrages à un niveau de sécurité satisfaisant et doit répondre à deux objectifs: assurer une surveillance active des ouvrages permettant une détection précoce des amorces de désordre et de programmer les interventions ; réaliser les interventions d'entretien préventif ou curatif permettant de prévenir ou de limiter les réparations plus lourdes ultérieures.

Moyens:

La commune met en place les moyens en personnels et de fonctionnement nécessaires pour assurer la surveillance, la programmation, les études et le suivi des travaux d'entretien. Pour ces opérations, l'intervention de prestataires extérieurs peut être envisagée pour assister la commune.

Surveillance des ouvrages:

Ces opérations de surveillance font l'objet d'un suivi formalisé permettant d'établir avec précision les constats réalisés et les suites données.

Si des problèmes particuliers sont révélés par cette surveillance, la commune de Les Mathes met en œuvre en tant que de besoin une expertise spécifique.

La structuration du recueil de données sera établie en concertation avec le Conseil Général et l’État.

Entretien et réparations des ouvrages de protection dans un état conforme à leur destination:(Recouvre: entretien courant préventif, et entretien curatif yc réparations.)

La commune, chargée de la gestion des défenses contre la mer, élabore la programmation des travaux sur la base des constats réalisés dans le cadre de la surveillance, assure la préparation de la dévolution des travaux à l'entreprise ou des organismes habilités.

Article 2.4 – Renforcements éventuels, aménagements des ouvrages

La commune est tenue de soumettre à l’État ( DDTM ), en vue de leur approbation, les projets de modification de l' ouvrage, sans que cet agrément puisse en aucune manière engager la responsabilité de l’État. Ces projets doivent

8634 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014 comprendre les plans, dessins, mémoires explicatifs nécessaires pour déterminer les modifications sur les ouvrages et préciser leur mode d’exécution ainsi que les devis estimatifs correspondants. L’État ( DDTM ) peut prescrire des modifications nécessaires à la bonne utilisation du domaine public maritime.

La commune devra maintenir, hors circonstances exceptionnelles, le passage des piétons sur le littoral.

Article 2.5 – Contrôle de la gestion des ouvrages

L’État (DDTM) effectue une mission de contrôle sur les ouvrages afin d'assurer au titre de la gestion du Domaine le respect de la présente convention.

Ce dernier contrôle pourra comporter en particulier des visites régulières du service chargé de la gestion du Domaine.

De plus, un bilan technique contradictoire de l’état des ouvrages, de leur surveillance et de leur entretien, ainsi que des impacts environnementaux, devra être établi tous les 5 ans.

Ce bilan comporte une vérification, sur la base des dépenses constatées sur la période, de l'adéquation entre le budget annuel prévu et celui nécessaire pour assurer de façon satisfaisante la gestion des ouvrages. Le bilan propose, le cas échéant, une révision du ratio permettant la détermination du budget travaux d'entretien.

Un tel bilan pourra aussi être effectué en tant que de besoin suite à des événements exceptionnels.

Article 2.6 – Réparation des dommages causés au domaine public maritime

Au fur et à mesure de l’achèvement de tous travaux (d’entretien, de renforcement ou d’aménagement,..), la commune est tenue d’enlever les dépôts de toute nature ainsi que les ouvrages provisoires, et de réparer immédiatement les dommages qui auraient pu être causés au domaine public ou à ses dépendances, en se conformant aux instructions qui lui sont données par la DDTM. En cas d’inexécution, il peut y être pourvu d’office et à ses frais et risques. La présente convention tient lieu d'autorisation au titre de l'article L.321-9 du Code de l'environnement pour les véhicules en charge des travaux.

T I T R E III

Vie de la convention et dispositions financières

Article 3.1 – Durée de la convention

La présente convention est établie pour une durée de 30 ans, renouvelable par tacite reconduction.

Article 3.2 – Dépenses d'entretien et de conservation en bon état des ouvrages

Les dépenses d'entretien et de conservation en bon état des ouvrages correspondant à la présente convention ont un caractère obligatoire ( article L.211-7 du Code de l’environnement, articles L.151-40 et L.151-36 à L. 151-39 du Code rural).

Un suivi des ouvrages sera réalisé par les services techniques de la commune de Les Mathes afin d'évaluer l'efficacité et la pérennité des protections. La commune de Les Mathes aura à sa charge toutes les dépenses pouvant résulter de la présence des ouvrages pris en gestion.

Article 3.3 – Redevance

Compte-tenu de l'intérêt général, le montant de la redevance d'occupation du domaine public maritime est fixée à zéro euro.

T I T R E IV

Dispositions particulières

Article 4.1 – Mesures de publicité

La convention sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Charente-Maritime et affichée à la mairie de Les Mathes.

En outre, mention de cet acte sera insérée, par les soins de la Préfète, dans deux journaux diffusés dans le département.

8635 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Les frais de publicité et d'insertion de la présente convention seront à la charge de la commune de Les Mathes.

La Rochelle, le 24 novembre 2014 La Préfète de la Charente-Maritime Pour la Préfète et par délégation Le Secrétaire Général

Michel TOURNAIRE Le 25/06/2014 Le Maire de la commune de Les Mathes Philippe GADREAU

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Direction Départementale des territoires et de la mer")

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1.9. Direction Départementale protection des populations arrêté N° 14-94-DDPP/SPC du 13 novembre 2014 portant autorisation d'organiser une épreuve sportive pédestre empruntant la voie publique sur la commune de Puilboreau " 5 et 7 km de Puilboreau", le 6 décembre 2014

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : M. Stéphane ROBINET, Président de l’association «Courir contre la maladie», est autorisé à faire disputer une épreuve pédestre, sur la commune Puilboreau, dénommée «5 et 7 km de Puilboreau », le samedi 6 décembre 2014, suivant le parcours ci-annexé.

Le(s) document(s) annexé(s) est/sont consultable(s) à l’adresse suivante : Direction Départementale de la Protection des Populations Service de la Protection du Consommateur 2 av. de Fétilly CS 40263 17012 LA ROCHELLE Cédex 1 courses : enfants : boucles de 500 m et 1000 m - Départ : 14h00 place Filippi - Arrivée : place Filippi

parcours de 5 et 7 km - Départ : 15h00, place Filippi - Arrivée : 16h30 environ, place Filippi

ARTICLE 2 : Cette autorisation est accordée sous réserve de la stricte observation des dispositions réglementaires précitées, ainsi que des mesures suivantes : - Afin de signaler aux autres usagers de la route le passage de la course et la priorité qui s’y attache, les organisateurs devront prévoir la présence de signaleurs, fixes ou mobiles, nommément désignés en annexe. Ceux-ci doivent être identifiables au moyen d'un gilet de haute visibilité et être à même de produire, dans de brefs délais, une copie de l’arrêté autorisant la course. - les signaleurs doivent être majeurs et titulaires du permis de conduire.

8636 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

- chaque signaleur doit être en possession d'un piquet mobile à deux faces, modèle K10. En outre, les barrières modèle K2, pré signalées, sur lesquelles le mot "course" sera inscrit, pourront être utilisées afin de signaler un obstacle de caractère temporaire. - la présence des signaleurs et la mise en place des équipements sont autorisées entre une demi-heure et un quart d’heure avant le passage théorique de la course. Les signaleurs quitteront les lieux et les équipements seront retirés, au plus tard un quart d’heure après le passage du véhicule annonçant la fin de la course. - Des signaleurs devront être présents à tous les carrefours et points dangereux situés sur le parcours. - le cas échéant, les voitures ouvreuses doivent être surmontées d’un panneau signalant le début de la course et les voitures-balais d’un panneau du même type signalant la fin de la course. Les signaleurs occupant ces véhicules peuvent utiliser des porte-voix. L’organisateur devra être très vigilant sur l’ensemble du parcours. - la circulation sera réglementée par les autorités territoriales compétentes.

Mesures de sécurité et secours - secouristes + VPSP : Croix-Blanche - médecin : joignable au 05.46.68.08.88, Cabinet médical – 10 rue des grands champs à Puilboreau Les mesures de sécurité et de secours seront conformes aux règles techniques et de sécurité de la discipline.

ARTICLE 3 : La fourniture du dispositif de sécurité est à la charge de l’organisateur.

ARTICLE 4 : L’autorisation peut être suspendue ou rapportée à tout moment s’il apparaît que les conditions de sécurité ne se trouvent plus réunies ou que l’organisateur, malgré la mise en demeure qui lui en est faite par l’autorité administrative, ne respecte plus ou ne fait plus respecter par les participants et les spectateurs les dispositions prévues par le règlement particulier de la manifestation en vue de leur protection.

ARTICLE 5 : Les réparations des dégradations éventuelles du domaine public seront à la charge des organisateurs, ainsi que les frais du service d'ordre exceptionnel mis en place à l'occasion de la manifestation.

ARTICLE 6 : Le jet de tracts, journaux, prospectus, objets ou produits quelconques sur la voie publique est rigoureusement interdit. Aucune publicité ni indication ne pourront être fixées sur les panneaux de signalisation verticale . Le marquage au sol au départ et à l’arrivée devra avoir disparu soit naturellement, soit par les soins des organisateurs, 24 heures après l’épreuve.

ARTICLE 7 : En aucun cas la responsabilité de l'administration ne pourra être engagée et aucun recours ne pourra être exercé contre elle.

ARTICLE 8 : le Directeur départemental de la protection des populations, le Maire de Puilboreau, le Directeur Départemental de la Sécurité Publique, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime et dont une copie sera adressée à l'organisateur de la présente course.

La Rochelle, le 13 novembre 2014

La Préfète, Pour la Préfète et par délégation, Le Directeur Départemental,

Jean Michel EMERIQUE

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arrêté N° 14-95-DDPP/SPC portant autorisation d'organiser une manifestation sportive pédestre empruntant la voie publique - 24ème Marathon de La Rochelle- Serge Vigot, 14ème semi-marathon handisport fauteuil, 10ème marathon non et malvoyants, 4ème édition du 10 km, 3ème marathon en duo, 1ère édition du challenge entreprises, le 30 novembre 2014

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur

8637 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : M. Jean Michel DAUCHEZ, Président de l’association «Marathon de La Rochelle», est autorisé à faire disputer les épreuves pédestres, dénommées 24ème Marathon de La Rochelle Serge Vigot, 14ème semi-maraton handisport fauteuil, 10ème Marathon non et malvoyants, 4ème édition du 10 km, 3ème Marathon en duo, 1ère édition du Challenge entreprises, le dimanche 30 novembre 2014, suivant le parcours ci-annexé.

Le(s) document(s) annexé(s) est/sont consultable(s) à l’adresse suivante : Direction Départementale de la Protection des Populations Service de la Protection du Consommateur 2 av. de Fétilly CS 40263 17012 LA ROCHELLE Cédex 1

COURSES : * Semi handisport fauteuil ( 1 boucle) Départ : 8h55 - Quai Maubec, Arrivée : à partir de 9h50 - Quai Valin, * Marathon non et malvoyants :(2 boucles de circuit, soit 42,195 km) Départ à 8h55 - Quai Maubec, * Marathon (2 boucles de circuit, soit 42,195 km) Départ : 9h00 - Quai Maubec, pour les Seniors et Vétérans 1 Hommes - Quai Louis Prunier, pour les Femmes et Vétérans Hommes 2,3 et 4 * Marathon en duo ( passage du témoin après 19,7 km, sur le plateau nautique ) Départ à 9 h 00 Quai Louis Prunier * Challenge entreprises :(2 boucles de circuit, soit 42,195 km) Départ à 9h00 - Quai Louis Prunier, 4 relais entre 9 et 11 km à parcourir par coureur. Relais effectués place de verdun, et au plateau nautique. Arrivée Marathon : à partir de 11 h 10 - parking St Jean d’Acre, * 10 km Départ : 9h 00 – rue Albert 1er Arrivée : à partir de 9 h 30 quai Valin

ARTICLE 2 : Cette autorisation est accordée sous réserve de la stricte observation des dispositions réglementaires précitées, ainsi que des mesures suivantes : - Afin de signaler aux autres usagers de la route le passage de la course et la priorité qui s’y attache, les organisateurs devront prévoir la présence de signaleurs, fixes ou mobiles, nommément désignés en annexe. Ceux-ci doivent être identifiables au moyen d'un gilet de haute visibilité et être à même de produire, dans de brefs délais, une copie de l’arrêté autorisant la course. - les signaleurs doivent être majeurs et titulaires du permis de conduire. - chaque signaleur doit être en possession d'un piquet mobile à deux faces, modèle K10. En outre, les barrières modèle K2, pré signalées, sur lesquelles le mot "course" sera inscrit, pourront être utilisées afin de signaler un obstacle de caractère temporaire. - la présence des signaleurs et la mise en place des équipements sont autorisées entre une demi-heure et un quart d’heure avant le passage théorique de la course. Les signaleurs quitteront les lieux et les équipements seront retirés, au plus tard un quart d’heure après le passage du véhicule annonçant la fin de la course. - Des signaleurs devront être présents à tous les carrefours et points dangereux situés sur le parcours. - le cas échéant, les voitures ouvreuses doivent être surmontées d’un panneau signalant le début de la course et les voitures-balais d’un panneau du même type signalant la fin de la course. Les signaleurs occupant ces véhicules peuvent utiliser des porte-voix. L’organisateur devra être très vigilant sur l’ensemble du parcours. - la circulation sera réglementée par les autorités territoriales compétentes.

SERVICES DE SECOURS (répartis sur 7 postes de secours, au PC régulation et à l’antenne principale basée à l’arrivée, Place St Jean d’Acre avec un Poste médical avancé, sous contrôle de la Société Le Cœur de l’Evènement ( L.C.E.) - responsable médical : Dr Eric BERNUCHON (tél : 06.10.26.29.93) - médecins urgentistes ( 3 ), infirmièrs ( 3 ) - secouristes ( 88 ) : Croix Rouge, UDPS 17 et Société Le Cœur de l’Evènement - ambulances ( 4 ) : Croix Rouge, UDPS 17 Numéro des secours : 05.46.42.61.63

ARTICLE 3 : La fourniture du dispositif de sécurité est à la charge de l’organisateur.

ARTICLE 4 : L'autorisation de l'épreuve pourra être rapportée à tout moment par le Directeur Départemental de la Sécurité Publique, ou son représentant, agissant par délégation de l'autorité administrative après consultation de

8638 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014 l'autorité sportive compétente, s'il apparaît que les conditions de sécurité ne se trouvent plus remplies ou si les mesures prévues pour la protection du public ou des concurrents pour le règlement particulier de l'épreuve ne sont pas respectées.

ARTICLE 5 : Les réparations des dégradations éventuelles du domaine public seront à la charge des organisateurs, ainsi que les frais du service d'ordre exceptionnel mis en place à l'occasion de la manifestation.

ARTICLE 6 : Le jet de tracts, journaux, prospectus, objets ou produits quelconques sur la voie publique est rigoureusement interdit. Aucune publicité ni indication ne pourront être fixées sur les panneaux de signalisation verticale .

ARTICLE 7 : En aucun cas la responsabilité de l'administration ne pourra être engagée et aucun recours ne pourra être exercé contre elle.

ARTICLE 8 : le Directeur départemental de la protection des populations, le Maire de La Rochelle, le Directeur Départemental de la Sécurité Publique, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime et dont une copie sera adressée à l'organisateur de la présente course.

La Rochelle, le 20 novembre 2014

La Préfète, Pour la Préfète et par délégation, Le Directeur Départemental,

Jean Michel EMERIQUE

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arrêté N° 14-96-DDPP/SPC en date du 25 novembre 2014 portant autorisation d'organiser une manifestation automobile dénommée " baptêmes de voitures de rallye", sur la commune de Forges, le 29 novembre 2014

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : M. Gérard RENOU, Président de l’Amicale Laïque de Forges est autorisé à organiser une manifestation automobile consistant à effectuer des « baptêmes en voitures de rallye » afin d’accéder aux sensations procurées par la pratique du rallye automobile, le samedi 29 novembre 2014, sur la commune de Forges, suivant le parcours ci-annexé. Le(s) document(s) annexé(s) est/sont consultable(s) à l’adresse suivante : Direction Départementale de la Protection des Populations Service de la Protection du Consommateur 2 av. de Fétilly CS 40263 17012 LA ROCHELLE Cédex 1

ARTICLE 2 : Cette autorisation est accordée sous réserve du respect des éléments figurant au dossier et de la stricte observation des mesures suivantes : a) déroulement des baptêmes Le samedi 29 novembre 2014 de 10 h 00 à 12 h 00 et de 14 h 00 à 19 h 00 b) dispositif de sécurité : - Des « commissaires de course » en nombre suffisant, munis de brassards et de drapeaux, auront la charge d'assurer la sécurité des participants et des spectateurs.

8639 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

- L’organisateur devra vérifier auprès de chaque participant que le véhicule présent sur la manifestation est couvert par une assurance « Responsabilité Civile ». - Les véhicules subiront un contrôle mécanique avant le lancement de la manifestation. - Toute personne désirant effectuer un baptême à bord d’une voiture de rallye devra être âgée de 16 ans minimum et présenter une morphologie lui permettant d’être installée dans le siège baquet en toute sécurité. - Les pilotes et passagers de chaque voiture de rallyes devront respecter les mesures de sécurité inhérentes à la conduite de voitures de rallye ( casques, harnais…) - Le parcours « sensation » devra être fermé à la circulation et délimité par de la rubalise. En aucun cas la vitesse ne devra excéder 90 km /h sur ce parcours. - Les organisateurs mettront en place un dispositif efficace pour empêcher l’accès sur la voie fermée à la circulation. - Sur le parcours non fermé à la circulation, le Code de la route sera formellement respecté. - Le stationnement des véhicules devra être assuré en dehors du domaine routier communal et départemental. - La circulation sera réglementée par les autorités territoriales compétentes. c) dispositif de secours : - MEDECINS : Dr Arnaud DOUBLET de St Georges du Bois ( de 9 h à 12 h ) Dr Jean FESSART de Ciré d’Aunis ( de 14 h à 19 h ) - SECOURISTES : ( 4) UDPS 17 et 1 VPSP - EXTINCTEURS : 1 par commissaire

Les numéros d’appel des secours 15-18 ou 112 devront être affichés Le SAMU 17et le Centre Hospitalier de Rochefort devront être avertis par les organisateurs du déroulement de la manifestation.

ARTICLE 3 : La fourniture du dispositif de sécurité et de protection du public sera assurée par l’organisateur.

ARTICLE 4 : M. Fernand KAMP, organisateur technique ou son représentant dûment mandaté en cas d’empêchement, procédera le 29 novembre 2014 avant le début de la manifestation à une reconnaissance du parcours et attestera de sa conformité tant au regard du règlement particulier qu’aux prescriptions du présent arrêté. Un exemplaire de l’attestation jointe en annexe sera remis ou adressé à la Gendarmerie Nationale et l’autre exemplaire sera transmis directement à la Direction Départementale de la Protection des Populations ( service de la protection du consommateur).

ARTICLE 5 : L’autorisation peut être suspendue ou rapportée à tout moment s’il apparaît que les conditions de sécurité ne se trouvent plus réunies ou que l’organisateur, malgré la mise en demeure qui lui en est faite par l’autorité administrative, ne respecte plus ou ne fait plus respecter par les participants et les spectateurs les dispositions prévues par le règlement particulier de la manifestation en vue de leur protection.

ARTICLE 6 : L’organisateur est débiteur envers l’Etat et les collectivités territoriales des redevances représentatives du coût de la mise en place du service d’ordre particulier nécessaire pour assurer la sécurité des spectateurs et de la circulation lors du déroulement de la manifestation ainsi que, le cas échéant, de sa préparation et des essais.

ARTICLE 7 : La distribution ou la vente d’imprimés ou d’objets à l’occasion d’une manifestation ne peut se faire que dans les conditions et dans les lieux fixés par les autorités administratives compétentes avec l’accord de l’organisateur et du ou des propriétaires des lieux.

ARTICLE 8 : L’organisateur a l’obligation de remettre en état les voies ouvertes à la circulation publique et leurs dépendances dont il a obtenu l’usage privatif à l’occasion de la concentration ou de la manifestation. Aucune publicité ne pourra être fixée sur les panneaux de signalisation verticale ainsi que sur tout support du domaine public.

ARTICLE 9 : En aucun cas la responsabilité de l’administration ne pourra être engagée et aucun recours ne pourra être exercé contre elle.

ARTICLE 10 : Le Directeur Départemental de la Protection des Populations , La Sous-Préfète de Rochefort, Le Président du Conseil Général , Les Maires de Forges et de Chambon, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie Départementale de la Charente-Maritime, Le Directeur Départemental du Service Incendie et Secours, Le Directeur de la Santé Publique- ARS Poitou-Charentes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime et dont une copie sera adressée à l'organisateur.

La Rochelle, le 25 novembre 2014

8640 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

La Préfète, Pour la Préfète et par délégation, Le Directeur Départemental,

Jean Michel EMERIQUE

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arrêté N° 14-97-DDPP-SPC en date du 25 novembre 2014 portant autorisation d'organiser une manifestation automobile dénommée " Baptêmes de voitures de rallye" sur la commune de St Georges du Bois, le 6 décembre 2014

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : M. Eric JAULIN, Président de l’Association « R’THON VOYACAIS », est autorisé à organiser une manifestation automobile consistant à effectuer des «baptêmes en voitures de rallye» afin d’accéder aux sensations procurées par la pratique du rallye automobile, le samedi 6 décembre 2014, sur la commune de Saint Georges du Bois, suivant le parcours ci-annexé. Le(s) document(s) annexé(s) est/sont consultable(s) à l’adresse suivante : Direction Départementale de la Protection des Populations Service de la Protection du Consommateur 2 av. de Fétilly CS 40263 17012 LA ROCHELLE Cédex 1

ARTICLE 2 : Cette autorisation est accordée sous réserve du respect des éléments figurant au dossier et de la stricte observation des mesures suivantes : a) déroulement des baptêmes Le samedi 6 décembre 2014 de 9h 00 à 12 h 00 et de 14 h 00 à 18 h 30 b) dispositif de sécurité : - Des « commissaires de course » en nombre suffisant, munis de brassards et de drapeaux, auront la charge d'assurer la sécurité des participants et des spectateurs. - L’organisateur devra vérifier auprès de chaque participant que le véhicule présent sur la manifestation est couvert par une assurance « Responsabilité Civile ». - Les véhicules subiront un contrôle mécanique avant le lancement de la manifestation. - Toute personne désirant effectuer un baptême à bord d’une voiture de rallye devra être âgée de 16 ans minimum et présenter une morphologie lui permettant d’être installée dans le siège baquet en toute sécurité. - Les pilotes et passagers de chaque voiture de rallyes devront respecter les mesures de sécurité inhérentes à la conduite de voitures de rallye ( casques, harnais…) - Le parcours « sensation » devra être fermé à la circulation et délimité par de la rubalise. En aucun cas la vitesse ne devra excéder 90 km /h sur ce parcours. - Les organisateurs mettront en place un dispositif efficace pour empêcher l’accès sur la voie fermée à la circulation. - Sur le parcours non fermé à la circulation, le Code de la route sera formellement respecté. - Le stationnement des véhicules devra être assuré en dehors du domaine routier communal et départemental. - La circulation sera réglementée par les autorités territoriales compétentes. c) dispositif de secours : - MEDECIN : Dr HOSTEIN - AMBULANCE : (1) Ambulance ADPC - SECOURISTES : (5) ADPC 17 - EXTINCTEURS : 1 par commissaire

Les numéros d’appel des secours 15-18 ou 112 devront être affichés Le SAMU 17et le Centre Hospitalier de Rochefort devront être avertis par les organisateurs du déroulement de la manifestation.

8641 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

ARTICLE 3 : La fourniture du dispositif de sécurité et de protection du public sera assurée par l’organisateur.

ARTICLE 4 : M. Sébastien VERBOIS, organisateur technique ou son représentant dûment mandaté en cas d’empêchement, procédera le 6 décembre 2014 avant le début de la manifestation à une reconnaissance du parcours et attestera de sa conformité tant au regard du règlement particulier qu’aux prescriptions du présent arrêté. Un exemplaire de l’attestation jointe en annexe sera remis ou adressé à la Gendarmerie Nationale et l’autre exemplaire sera transmis directement à la Direction Départementale de la Protection des Populations ( service de la protection du consommateur).

ARTICLE 5 : L’autorisation peut être suspendue ou rapportée à tout moment s’il apparaît que les conditions de sécurité ne se trouvent plus réunies ou que l’organisateur, malgré la mise en demeure qui lui en est faite par l’autorité administrative, ne respecte plus ou ne fait plus respecter par les participants et les spectateurs les dispositions prévues par le règlement particulier de la manifestation en vue de leur protection.

ARTICLE 6 : L’organisateur est débiteur envers l’Etat et les collectivités territoriales des redevances représentatives du coût de la mise en place du service d’ordre particulier nécessaire pour assurer la sécurité des spectateurs et de la circulation lors du déroulement de la manifestation ainsi que, le cas échéant, de sa préparation et des essais.

ARTICLE 7 : La distribution ou la vente d’imprimés ou d’objets à l’occasion d’une manifestation ne peut se faire que dans les conditions et dans les lieux fixés par les autorités administratives compétentes avec l’accord de l’organisateur et du ou des propriétaires des lieux.

ARTICLE 8 : L’organisateur a l’obligation de remettre en état les voies ouvertes à la circulation publique et leurs dépendances dont il a obtenu l’usage privatif à l’occasion de la concentration ou de la manifestation. Aucune publicité ne pourra être fixée sur les panneaux de signalisation verticale ainsi que sur tout support du domaine public.

ARTICLE 9 : En aucun cas la responsabilité de l’administration ne pourra être engagée et aucun recours ne pourra être exercé contre elle.

ARTICLE 10 : Le Directeur Départemental de la Protection des Populations , La Sous-Préfète de Rochefort, Le Président du Conseil Général , Le Maire de Saint Georges du Bois, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie Départementale de la Charente-Maritime, Le Directeur Départemental du Service Incendie et Secours, Le Directeur de la Santé Publique- ARS Poitou-Charentes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime et dont une copie sera adressée à l'organisateur.

La Rochelle, le 25 novembre 2014

La Préfète, Pour la Préfète et par délégation, Le Directeur Départemental,

Jean Michel EMERIQUE

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arrêté N° 14-98-DDPP-SPC du 25 novembre 2014 portant autorisation d'organiser une épreuve sportive pédestre empruntant la voie publique sur la commune de Marans " les Foulées Marandaises", le 14 décembre 2014

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

8642 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

ARTICLE 1 : M. Philippe BRIATTE, Président de l’association Courir en Pays Marandais, est autorisé à faire disputer une épreuve pédestre, sur la commune Marans, dénommée « Les Foulées Marandaises », le dimanche 14 décembre 2014, suivant le parcours ci-annexé. Le(s) document(s) annexé(s) est/sont consultable(s) à l’adresse suivante : Direction Départementale de la Protection des Populations Service de la Protection du Consommateur 2 av. de Fétilly CS 40263 17012 LA ROCHELLE Cédex 1

courses : circuit de 5 km ou 10 km - Départ : 14h00, rue de Bordeaux - Arrivée : 16h00 environ, rue de Bordeaux

ARTICLE 2 : Cette autorisation est accordée sous réserve de la stricte observation des dispositions réglementaires précitées, ainsi que des mesures suivantes : - Afin de signaler aux autres usagers de la route le passage de la course et la priorité qui s’y attache, les organisateurs devront prévoir la présence de signaleurs, fixes ou mobiles, nommément désignés en annexe. Ceux-ci doivent être identifiables au moyen d'un gilet de haute visibilité et être à même de produire, dans de brefs délais, une copie de l’arrêté autorisant la course. - les signaleurs doivent être majeurs et titulaires du permis de conduire. - chaque signaleur doit être en possession d'un piquet mobile à deux faces, modèle K10. En outre, les barrières modèle K2, pré signalées, sur lesquelles le mot "course" sera inscrit, pourront être utilisées afin de signaler un obstacle de caractère temporaire. - la présence des signaleurs et la mise en place des équipements sont autorisées entre une demi-heure et un quart d’heure avant le passage théorique de la course. Les signaleurs quitteront les lieux et les équipements seront retirés, au plus tard un quart d’heure après le passage du véhicule annonçant la fin de la course. - Des signaleurs devront être présents à tous les carrefours et points dangereux situés sur le parcours. - le cas échéant, les voitures ouvreuses doivent être surmontées d’un panneau signalant le début de la course et les voitures-balais d’un panneau du même type signalant la fin de la course. Les signaleurs occupant ces véhicules peuvent utiliser des porte-voix. L’organisateur devra être très vigilant sur l’ensemble du parcours. - la circulation sera réglementée par les autorités territoriales compétentes.

Mesures de sécurité et secours - secouristes + VPSP : Croix-Blanche - médecin : Dr Olivier LESIEUR Les mesures de sécurité et de secours seront conformes aux règles techniques et de sécurité de la discipline.

ARTICLE 3 : La fourniture du dispositif de sécurité est à la charge de l’organisateur.

ARTICLE 4 : L’autorisation peut être suspendue ou rapportée à tout moment s’il apparaît que les conditions de sécurité ne se trouvent plus réunies ou que l’organisateur, malgré la mise en demeure qui lui en est faite par l’autorité administrative, ne respecte plus ou ne fait plus respecter par les participants et les spectateurs les dispositions prévues par le règlement particulier de la manifestation en vue de leur protection.

ARTICLE 5 : Les réparations des dégradations éventuelles du domaine public seront à la charge des organisateurs, ainsi que les frais du service d'ordre exceptionnel mis en place à l'occasion de la manifestation.

ARTICLE 6 : Le jet de tracts, journaux, prospectus, objets ou produits quelconques sur la voie publique est rigoureusement interdit. Aucune publicité ni indication ne pourront être fixées sur les panneaux de signalisation verticale . Le marquage au sol au départ et à l’arrivée devra avoir disparu soit naturellement, soit par les soins des organisateurs, 24 heures après l’épreuve.

ARTICLE 7 : En aucun cas la responsabilité de l'administration ne pourra être engagée et aucun recours ne pourra être exercé contre elle.

ARTICLE 8 : le Directeur départemental de la protection des populations, le Maire de Marans, le Colonel, commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime et dont une copie sera adressée à l'organisateur de la présente course.

La Rochelle, le 25 novembre 2014

8643 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

La Préfète, Pour la Préfète et par délégation, Le Directeur Départemental,

Jean Michel EMERIQUE

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Direction Départementale protection des populations")

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1.10. Direction Interdépartemental des Routes Atlantique

RN2150

PR 52 480 AU PR 53 640

Reglementation de la police de circulation

Limitation de vitesse a 70 km/h

Commune de Pessines,

lieu dit "Le Bourg de Pessines"

(hors agglomeration)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 À compter du 15 novembre 2014, la vitesse est limitée à 70 km/h sur la RN2150 entre les PR 52+480 et 53+640, dans les 2 sens de circulation.

Tout arrêté antérieur relatif à la limitation de vitesse sur cette section est abrogé.

ARTICLE 2 La signalisation réglementaire correspondante est mise en place et entretenue par la DIR Atlantique – district de Saintes.

ARTICLE 3 Le présent arrêté est affiché dans la commune de Pessines par les soins de monsieur le maire.

ARTICLE 4 . Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Charente-Maritime, . Monsieur le commandant du groupement de gendarmerie nationale de Charente-Maritime, . Monsieur le maire de Pessines, . Monsieur le directeur interdépartemental des routes Atlantique, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié et affiché conformément à la réglementation en vigueur.

8644 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Fait à la Rochelle, le 7 novembre 2014 P / La préfète, Le Secrétaire Général Signé : Michel TOURNAIRE

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Direction Interdépartemental des Routes Atlantique")

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1.11. Direction régionale entreprises concurrence consommation travail emploi - UT 17

Recepisse de declaration d'un organisme de services a la personne (PRO JARDINS SERVICES 17)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

DECLARE

Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - Unité Territoriale de la Charente-Maritime le 7 juillet 2014 par Monsieur Jean Marie VILAR en qualité de gérant de l’organisme PRO JARDINS SERVICES 17 dont le siège social est situé 2 impasse de la Poste – 17290 –ARDILLIERES et enregistrée sous le numéro SAP N°513657346 pour les activités suivantes :

- PETITS TRAVAUX DE JARDINAGE

Ces prestations sont effectuées en qualité de mandataire

Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative préalable.

Sous réserve d'être exercées à titre exclusif, ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L.7233- 2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces articles.

Les effets de la déclaration courent à compter du jour de la demande de déclaration, conformément à l'article R.7232-20 du code du travail.

Toutefois, en application des articles L.7232-1 et R.7232-1 à R.7232-17, les activités nécessitant un agrément (I de l'article D.7231-1 du code du travail) n'ouvrent droit à ces dispositions que si la structure a préalablement obtenu l'agrément ou le renouvellement de cet agrément.

Sous cette réserve, le présent récépissé n'est pas limité dans le temps.

L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-22 à R.7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Fait à La Rochelle, le 26 octobre 2014

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises,

8645 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, L’Attaché Principal d’Administration, Adjoint chargé de l’Emploi, Signé : Paul-Henri JUTANT

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R?c?piss? de d?claration d'un organisme de services ? la personne (FOUCHIER SERVICES)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

DECLARE

Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - Unité Territoriale de la Charente-Maritime le 29 octobre 2014 par Madame Caroline FOUCHIER en qualité de dirigeante de l’entreprise FOUCHIER SERVICES dont le siège social est situé 28 rue de l’Enclouse 17120 – FLOIRAC et enregistrée sous le numéro SAP N°517443784 pour les activités suivantes :

- Petits travaux de jardinage - Travaux de petit bricolage

Ces activités sont effectuées en qualité de prestataire.

Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative préalable.

Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L.7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces articles.

Les effets de la déclaration courent à compter du jour de la demande de déclaration, conformément à l'article R.7232-20 du code du travail.

Toutefois, en application des articles L.7232-1 et R.7232-1 à R.7232-17, les activités nécessitant un agrément (I de l'article D.7231-1 du code du travail) n'ouvrent droit à ces dispositions que si la structure a préalablement obtenu l'agrément ou le renouvellement de cet agrément.

Sous cette réserve, le présent récépissé n'est pas limité dans le temps.

L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles

R.7232-22 à R.7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture

Fait à La Rochelle, le 3 novembre 2014

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, L’Attaché Principal d’Administration, Adjoint chargé de l’Emploi, Signé : Paul-Henri JUTANT

8646 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

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R?c?piss? de d?claration d'un organisme de services ? la personne (SAP PATRICK SERVICES)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

DECLARE

Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - Unité Territoriale de la Charente-Maritime le 29 octobre 2014 par Monsieur Patrick CHAUVET en qualité de dirigeant de l’organisme SAP PATRICK SERVICES dont le siège social est situé 10 rue de Passy – 17180 – PERIGNY et enregistrée sous le numéro SAP515131498 pour les activités suivantes :

- ENTRETIEN DE LA MAISON ET TRAVAUX MENAGERS - PETITS TRAVAUX DE JARDINAGE - PRESTATIONS DE PETIT BRICOLAGE - LIVRAISON DE COURSES, A DOMICILE, A LA CONDITION QUE CETTE PRESTATION SOIT COMPRISE DANS UNE OFFRE DE SERVICES COMPRENANT UN ENSEMBLE D’ACTIVITES EFFECTUEES A DOMICILE - MAINTENANCE, ENTRETIEN ET VIGILANCE TEMPORAIRES, A DOMICILE, DE LA RESIDENCE PRINCIPALE ET SECONDAIRE - ASSISTANCE ADMINISTRATIVE - SOINS ET PROMENADES D’ANIMAUX DE COMPAGNIE, A L’EXCLUSION DES SOINS VETERINAIRES ET DU TOILETTAGE, POUR LES PERSONNE DEPENDANTES

Ces prestations sont effectuées en qualité de PRESTATAIRE.

Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative préalable.

Sous réserve d'être exercées à titre exclusif, ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L.7233- 2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces articles.

Les effets de la déclaration courent à compter du jour de la demande de déclaration, conformément à l'article R.7232-20 du code du travail.

Toutefois, en application des articles L.7232-1 et R.7232-1 à R.7232-17, les activités nécessitant un agrément (I de l'article D.7231-1 du code du travail) n'ouvrent droit à ces dispositions que si la structure a préalablement obtenu l'agrément ou le renouvellement de cet agrément.

Sous cette réserve, le présent récépissé n'est pas limité dans le temps.

L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-22 à R.7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Fait à La Rochelle, le 3 novembre 2014

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, L’Attaché Principal d’Administration, Adjoint chargé de l’Emploi, Signé : Paul-Henri JUTANT

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8647 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Recepisse de declaration d'un organisme de services a la personne (AVS GESTON)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

DECLARE

Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - Unité Territoriale de la Charente-Maritime le 3 novembre 2014 par Madame Karine LENOIS en qualité de gérante de l’organisme AVS GESTION dont le siège social est situé 4 rue du Collège 17170 – COURCON et enregistrée sous le numéro SAP N°807412952 pour les activités suivantes :

- ASSISTANCE ADMINISTRATIVE A DOMICILE

Ces prestations sont effectuées en qualité de PRESTATAIRE.

Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative préalable.

Sous réserve d'être exercées à titre exclusif, ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L.7233- 2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces articles.

Les effets de la déclaration courent à compter du jour de la demande de déclaration, conformément à l'article R.7232-20 du code du travail.

Toutefois, en application des articles L.7232-1 et R.7232-1 à R.7232-17, les activités nécessitant un agrément (I de l'article D.7231-1 du code du travail) n'ouvrent droit à ces dispositions que si la structure a préalablement obtenu l'agrément ou le renouvellement de cet agrément.

Sous cette réserve, le présent récépissé n'est pas limité dans le temps.

L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-22 à R.7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Fait à La Rochelle, le 17 novembre 2014

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, L’Attaché Principal d’Administration, Adjoint chargé de l’Emploi, Signé : Paul-Henri JUTANT

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R?c?piss? de d?claration d'un organisme de services ? la personne (Karine VEILLET)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

8648 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

DECLARE

Unité Territoriale de la Charente-Maritime le 13 novembre 2014 par Madame Karine VEILLET représentant l’organisme Karine VEILLET dont le siège social est situé 57bis rue Rondeau – 17220 - et enregistrée sous le numéro SAP N°514358738 pour les activités suivantes :

- Entretien de la maison et travaux ménagers - Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage - Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » - Garde d’enfants à domicile de plus de trois ans - Accompagnement d’enfants de plus de trois ans - Préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - Collecte et livraison à domicile de linge repassé - Livraison de courses à domicile - Soins et promenades d’animaux de compagnie, à l’exclusion des soins vétérinaires et du toilettage pour les personnes dépendantes - Maintenance, entretien et vigilance temporaires de la résidence principale et secondaire - Assistance administrative à domicile - Livraison de repas à domicile

Ces prestations sont effectuées en qualité de PRESTATAIRE.

Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative préalable.

Sous réserve d'être exercées à titre exclusif, ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L.7233- 2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces articles.

Les effets de la déclaration courent à compter du jour de la demande de déclaration, conformément à l'article R.7232-20 du code du travail.

Toutefois, en application des articles L.7232-1 et R.7232-1 à R.7232-17, les activités nécessitant un agrément (I de l'article D.7231-1 du code du travail) n'ouvrent droit à ces dispositions que si la structure a préalablement obtenu l'agrément ou le renouvellement de cet agrément.

Sous cette réserve, le présent récépissé n'est pas limité dans le temps.

L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-22

à R.7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Fait à La Rochelle, le 17 novembre 2014

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, L’Attaché Principal d’Administration, Adjoint chargé de l’Emploi, Signé : Paul-Henri JUTANT

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Recepisse de declaration d'un organisme de services a la personne (AE ENTRETIEN FLORE ET MASSIFS A DOMICILE SERVICE)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur

8649 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Officier de l’Ordre National du Mérite

DECLARE

Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - Unité Territoriale de la Charente-Maritime le 8 novembre 2014 par Monsieur Alexis LUCA représentant l’auto-entreprise ENTRETIEN FLORE ET MASSIFS A DOMICILE SERVICE dont le siège social est situé 14 impasse des vallées – L’ILE D’ALBE - 17430 et enregistrée sous le numéro SAP N°807397369 pour les activités suivantes :

- Petits travaux de jardinage - Maintenance et vigilance de résidence

Ces prestations sont effectuées en qualité de PRESTATAIRE.

Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative préalable.

Sous réserve d'être exercées à titre exclusif, ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L.7233- 2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces articles.

Les effets de la déclaration courent à compter du jour de la demande de déclaration, conformément à l'article R.7232-20 du code du travail.

Toutefois, en application des articles L.7232-1 et R.7232-1 à R.7232-17, les activités nécessitant un agrément (I de l'article D.7231-1 du code du travail) n'ouvrent droit à ces dispositions que si la structure a préalablement obtenu l'agrément ou le renouvellement de cet agrément.

Sous cette réserve, le présent récépissé n'est pas limité dans le temps.

L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-22 à R.7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Fait à La Rochelle, le 17 novembre 2014

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, L’Attaché Principal d’Administration, Adjoint chargé de l’Emploi, Signé : Paul-Henri JUTANT

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R?c?piss? de d?claration d'un organisme de services ? la personne (SARL SOLUTIA)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

DECLARE

Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - Unité Territoriale de la Charente-Maritime le 18 novembre 2014 par Monsieur Jean-Claude GILBERT, en qualité de gérant de l’organisme SOLUTIA ROCHEFORT dont le siège social est situé 51 rue de – 17320 - HIERS BROUAGE et enregistrée sous le numéro SAP507407807 pour les activités suivantes :

- Entretien de la maison et travaux ménagers

8650 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

- Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage - Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » - Garde d’enfants à domicile de plus de trois ans - Accompagnement d’enfants de plus de trois ans - Préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions - Collecte et livraison à domicile de linge repassé - Livraison de courses à domicile - Soins et promenades d’animaux de compagnie, à l’exclusion des soins vétérinaires et du toilettage pour les personnes dépendantes - Maintenance, entretien et vigilance temporaires de la résidence principale et secondaire - Assistance administrative à domicile - Assistance informatique à domicile - Soutien scolaire à domicile - Cours particuliers à domicile - Soins esthétiques pour les personnes dépendantes - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Accompagnement des enfants de moins de trois ans - Assistance aux personnes âgées - Garde malade à l’exclusion des soins - Aide à la mobilité et au transport de personnes ayant des difficultés de déplacement - Accompagnement hors domicile des personnes âgées ou handicapées

Ces prestations sont effectuées en qualité de PRESTATAIRE.

Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative préalable.

Sous réserve d'être exercées à titre exclusif, ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L.7233- 2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces articles.

Les effets de la déclaration courent à compter du jour de la demande de déclaration, conformément à l'article R.7232-20 du code du travail.

Toutefois, en application des articles L.7232-1 et R.7232-1 à R.7232-17, les activités nécessitant un agrément (I de l'article D.7231-1 du code du travail) n'ouvrent droit à ces dispositions que si la structure a préalablement obtenu l'agrément ou le renouvellement de cet agrément.

Sous cette réserve, le présent récépissé n'est pas limité dans le temps.

L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-22 à R.7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Fait à La Rochelle, le 21 novembre 2014

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, L’Attaché Principal d’Administration, Adjoint chargé de l’Emploi, Signé : Paul-Henri JUTANT

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Arr?t? portant agr?ment d'un organisme de services ? la personne (SARL SOLUTIA)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Officier de la Légion d'Honneur

8651 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1 : L’agrément de la SARL SOLUTIA, dont le siège social est situé 51 rue de Beaugeay – 17320 – HIERS BROUAGE est renouvelé pour une durée de cinq ans à compter du 18 novembre 2014. La demande de renouvellement devra être déposée dans les conditions fixées par l’article R.7232-9 et, au plus tard, trois mois avant la fin de cet agrément.

Article 2 : Cet agrément couvre les activités suivante sur le territoire de la Charente-Maritime : - Garde d’enfants à domicile de moins de trois ans - Accompagnement des enfants de moins de trois ans - Assistance aux personnes âgées - Garde malade à l’exclusion des soins - Aide à la mobilité et au transport de personnes ayant des difficultés de déplacement - Accompagnement hors domicile des personnes âgées ou handicapées

Article 3 : Les activités mentionnées à l'article 2 seront effectuées en qualité de Prestataire

Article 4 : Si l'organisme envisage de fournir des services ou de fonctionner selon des modes d'intervention autres que ceux pour lesquels il est agréé ou de déployer ses activités sur un territoire autre que celui pour lequel il est agréé, il devra solliciter une modification préalable de son agrément. La demande devra préciser les modifications envisagées et les moyens nouveaux correspondants dans les conditions fixées par la réglementation. L'ouverture d'un nouvel établissement ou d’un nouveau local d’accueil dans un département pour lequel il est agréé devra également faire l'objet d'un signalement préalable auprès de l’Unité territoriale compétente.

Article 5 : Le présent agrément pourra être retiré si l’organisme agréé • cesse de remplir les conditions ou de respecter les obligations mentionnées aux articles R.7232-4 à R.7232-10 du code du travail cas de retrait de l’autorisation, le présent agrément est retiré • ne respecte pas les dispositions légales relatives à la santé et à la sécurité au travail • exerce d’autres activités ou sur d’autres départements que ceux mentionnés dans le présent arrêté • ne transmet pas au préfet compétent avant la fin du premier semestre de l’année, le bilan quantitatif et qualitatif de l’activité exercée au titre de l’année écoulée

Article 6 : Cet agrément n’ouvre pas droit aux avantages fiscaux et sociaux fixés par l’article L. 7233-2 du code du travail et L. 241- 10 du code de la sécurité sociale. Conformément à l’article L.7232-1-1 du code du travail, pour ouvrir droit à ces dispositions, l’organisme doit se déclarer et n’exercer que les activités déclarées, à l’exclusion de toute autre.

Article 7 : Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Fait à La Rochelle, le 21 novembre 2014

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, L’Attaché Principal d’Administration, Adjoint chargé de l’Emploi, Signé : Paul-Henri JUTANT

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8652 Recueil des Actes Administratifs - Mois de décembre - Date de publication : 11/12/2014

Decision relative a l'organisation de l'inspection du travail dans le departement de charente-maritime

LE RESPONSABLE DE L’UNITE TERRITORIALE DE LA CHARENTE-MARITIME DE LA DIRECTION REGIONALE DES ENTREPRISES DE LA CONCURRENCE DE LA CONSOMMATION DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI

DECIDE

Article 1 - Au sein des unités de contrôle de Charente-Maritime, le contrôle des établissements d’au moins cinquante salariés à l’exception de ceux dont la liste est fixée en annexe, des entreprises sous-traitantes , quelle que soit leur taille, installées sur leur site et des chantiers du BTP de quelque nature que ce soit ouverts sur leur site, est confié à : - Rébecca BEN-ABED, inspectrice du travail affectée à la section 1-9, pour les établissements des sections 1-2, 1-10 et 1-11. - Martine TURPEAU, inspectrice du travail affectée à la section 1-3, pour les établissements des sections 1-4 et 1-1. - Madame Florence VIGNAU, inspectrice du travail affectée à la section 1-8, pour les établissements des sections 1-5, 1-6 et 1-7. - Carine ALTUNA, inspectrice du travail affectée à la section 2-8, pour les établissements de la section 2-6. - Vanessa MÈGE, inspectrice du travail affectée à la section 2-3, pour les établissements de la section 2-2. - Laurent PERRIN, inspecteur du travail affecté à la section 2-1, pour les établissements de la section 2-4. - Antoine POUZET, inspecteur du travail affecté à la section 2-7, pour les établissements de la section 2-5.

Article 2 - Monsieur William VITEK, inspecteur du travail affecté à la section 1-12, assure le contrôle : - Des établissements et exploitations agricoles d’au moins cinquante salariés des sections 2-9 et 2-10, à l’exception de ceux dont la liste est fixée en annexe, des entreprises sous-traitantes, quelle que soit leur taille, installées sur leur site et des chantiers du BTP de quelque nature que ce soit ouverts sur leur site, - Des établissements affiliés au régime général des sections de l’unité de contrôle 1 (La Rochelle), dont la liste est fixée en annexe.

Article 3 – Pour l’ensemble de ces sections et suivant la même organisation, les inspecteurs du travail désignés prennent les décisions concernant les demandes d’autorisation de licenciement de salariés protégés et les contestations d’avis du médecin du travail. Pour les sections dont le titulaire est un contrôleur du travail, les autres décisions prévues par les dispositions législatives ou réglementaires seront prises par le responsable de l’unité de contrôle, sur rapport d’enquête du titulaire de la section.

Article 4 - En cas d'absence ou d'empêchement temporaire d'un agent de contrôle de l’unité territoriale de Charente Maritime, son remplacement est assuré par un inspecteur ou un contrôleur du travail affectés dans les unités de contrôle du département, dans le cadre de leurs compétences respectives, sur désignation d’un des responsables des unités de contrôle.

Article 5 – La présente décision annule et remplace les décisions du 26 septembre 2014. Elle sera publiée au Recueil des Actes Administratifs du département de Charente-Maritime.

ANNEXE

1- Liste des établissements d’au moins cinquante salariés dont le contrôle est confié au titulaire de la section d’inspection dans laquelle ils sont situés : Unité de Section Raison sociale Adresse Contrôle UC1 SUPER U ST PIERRE D'OLERON La Rochelle ALLEZ & INDUSTRIE 35 Avenue Lous Bachelar ROCHEFORT 1-2 ALLEZ & CIE Av. Dulin ROCHEFORT EIFFAGE Bassin N°3 ROCHEFORT SAMAT OUEST ZA les Rivauds LA ROCHELLE SUPER U SAS TODIAL ZA de la Varenne TONNAY-CHARENTE AADAIRC Rue Maurice Mallet ROCHEFORT 1-4 HERVE THERMIQUE Rue Maurice Mallet ROCHEFORT LES PLATANES Rue de la Casse aux Prêtres ROCHEFORT GALVATLANTIQUE Rue de Québec LA ROCHELLE 1-5 CASINO 96 bd. De la république CHATELAILLON-PLAGE CIPECMA Av. Gal de Gaulle CHATELAILLON-PLAGE EIFFAGE T.P. Rue Christophe Collomb AYTRE SNEE ENTREPRISE Rue Jacques Cartier AYTRE

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Unité de Section Raison sociale Adresse Contrôle PIANAZZA ET FILS Place de la République EHPAD LES PETITES VIGNES Rue du Fief Cluzeau LA JARNE AFAD 53 Avenue. Jean Guiton LA ROCHELLE 1-6 ATLANTIQUE AMENAGEMENT 9 avenue Jean Guiton LA ROCHELLE S.A. SAPAGE Place du 8 mai 1945 AIGRE FEUILLE D'AUNIS GAUDISSARD ZI du Fief Girard AIGRE FEUILLE D'AUNIS SODISUR Rue Jean Philippe Rameau SURGERES METRO Av. Paul Langevin PERIGNY 1-7 CARL ZEISS MEDITEC Avenue Paul Langevin PERIGNY COMPTOIR AUTOMOBILE Avenue Jean Moulin LA ROCHELLE ROCHELAIS CLARA AUTOMOBILES Avenue Jean Moulin LA ROCHELLE SAS L'AUBE 6 rue de Fontenay le Comte ST CYR DU DORET BRICO DEPOT Bel air ANDILLY 1-10 ESAT TREUIL MOULINIER Rue Moulin des Justices PUILBOREAU CONFORAMA France ZC Beaulieu est PUILBOREAU COOP ATLANTIQUE TOQUENELLE Galerie marchande Beaulieu PUILBOREAU 1-11 SYPAVER INTERMARCHE Fief Arnaud NIEUL S/ MER TIPIAK Route de Charron MARANS UC1 BILLARD Rue du château LA ROCHELLE 1-11 La Rochelle GITONNIERE Rue du château LA ROCHELLE LE RAYON D'OR 31 rue de la Butte LAGORD RENAUD CHAMPIGNONS 61 route des Carrières AVY ZOO FAUNE TROPICALE SAS LES MATHES UC2 Saintes 2-10 ESAT JONZAC (ADEI) 46 bis rte de St Genis SAINT GERMAIN DE LUSIGNAN APAGESMS FERME DE MAGNE 1 route de Marennes STE GEMME

2- Liste des établissements d’au moins cinquante salariés des sections de l’unité de contrôle 1 (La Rochelle), dont le contrôle est confié au titulaire de la section 1-12 : Unité de Section Raison sociale Adresse Contrôle SAS DISTRIMIR Avenue du Pdt Kennedy LA ROCHELLE BANQUE DE France Rue Réaumur LA ROCHELLE

UC1 1-6 SEBA 7 rue St Jean du Pérot LA ROCHELLE La Rochelle Ateliers DIAGONALES 41 avenue Danton LA ROCHELLE SOFEC rue Champ des Vergers ST GERMAIN DE MARENCENNES ANETT 14 rue de la Blanchisserie VANDRE 1-5 CARREFOUR SOGARA ANGOULINS

Fait à La Rochelle, le 25 novembre 2014 Le Responsable de l’unité territoriale de Charente-Maritime, Signé : Marc DUFAU

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Direction régionale entreprises concurrence consommation travail emploi - UT 17")

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2. Avis

2.1. Préfecture de la Charente-Maritime - SOUS-PREFECTURE DE SAINT- JEAN-D'ANGELY

Decision de la CNAC du 23 octobre 2014 de rejeter le recours et d'autoriser la creation d'un SUPER U et d'un U Drive a Saint-Savinien

LA COMMISSION NATIONALE D'AMENAGEMENT COMMERCIAL

A D E C I D E

La Commission Nationale d'Aménagement Commercial a décidé de rejeter le recours déposé par la S.A.S. PATECY contre la décision de la Commission Départementale d'Aménagement Commercial du 4 juin 2014 autorisant la SA COOP ATLANTIQUE à créer un ensemble commercial d'une surface de vente totale de 2 130m2 composé d'un SUPER U de 2 070 m2 et de deux boutiques de 30 m2 chacune, et d'un U DRIVE de 15 m2 de d'emprise au sol et doté de trois pistes à SAINT-SAVINIEN (17350) route de Saintes.

Le projet présenté par la S.A. COOP ATLANTIQUE est autorisé.

Le 23 octobre 2014

Le Président de la commission nationale d’aménagement commercial, Michel VALDIGUIE

Conformément aux dispositions de l'article R.752-25, au 2° du décret n°2008-1212 du 24 novembre 2008, cette décision a été transmise au maire de la commune d'implantation concernée en vue de son affichage pendant une durée d’un mois.

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté à la "Préfecture de la Charente-Maritime - SOUS-PREFECTURE DE SAINT-JEAN-D'ANGELY") ______

Imprimé à la Préfecture de Charente-Maritime Date de publication le 11/12/2014

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