Focus Pontoise, Berceau De L'impressionnisme

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Focus Pontoise, Berceau De L'impressionnisme FOCUS PONTOISE, BERCEAU DE L’IMPRESSIONNISME CIRCUIT DÉCOUVERTE 1860 1862 Arrivée du train à Pontoise SOMMAIRE 1863 1866 à 1869 1872 1873 3 Pontoise, Berceau Pissarro Pissarro s’installe Pissarro séjourne rue rue Malebranche s’installe au de l’Impressionnisme du fond de (rue de l’Hermitage) 26 rue de L’impressionisme l’Hermitage et accueille l’Hermitage (rue Maria- Cézanne, Béliard Berthe Morisot Deraismes) et Guillaumin pour 5 Pontoise et les peintres séjourne dans peindre en plein air Camille Pissarro le quartier Les lieux où a vécu du Chou à Pontoise Pissarro à Pontoise 8 La gravure impressionniste, Cézanne Cézanne installé à à Pontoise et dans sa région rend visite Auvers-sur-Oise rejoint à Pissarro Pissarro à Pontoise 10 Plan à Pontoise pour peindre 12 Les amis de Pissarro Paul Cézanne Paul Gauguin Monet tenté par Pontoise Ludovic Piette Edouard Béliard Armand Guillaumin William Thorney 16 Les sites Pontoisiens qui ont inspiré les Impressionnistes 19 Lexique Couverture : Camille Pissarro “Vue de l’Hermitage, côte des Grattes- Coqs”, 1967 Collection privée Ci-contre : Claude Monet “Impression, soleil levant” 1873 © Musée Marmottan, Paris. 1885 1874 Première exposition impressionniste à Paris 1873 à 1877 1874 à 1881 1875 à 1882 1879 1881 1882 1883 1884 Pissarro s’installe Pissarro s’installe au Pissarro Pissarro quitte au 18-18bis 85 quai du Pothuis séjourne à Osny Osny pour rue de l’Hermitage (21 quai Eugène Eragny-sur-Epte (36 rue de Turpin à Pontoise) Piette séjourne l’Hermitage) régulièrement chez les Pissarro Premier séjour Gauguin Dernier séjour de Gauguin retourne chez de Gauguin chez les les Pissarro chez les Pissarro. Pissarro Ils travaillent en compagnie Cézanne travaille de Cézanne Cézanne régulièrement s’installe au avec Pissarro 31 quai du à Pontoise Pothuis à et à Auvers Pontoise Pontoise, berceau de l’impressionnisme L’IMPRESSIONNISME Le courant impressionniste naît à la fin Le groupe expose pour la première des années 1860. Il se caractérise par fois sous le nom de “Société anonyme un choix de sujets contemporains, le de peintres, sculpteurs et graveurs”, goût du travail sur le motif, notamment à Paris, du 15 avril au 15 mai 1874. en plein air et une "touche" (coup de Trente artistes dont Eugène Boudin, pinceau) qui utilise les couleurs pures et Alfred Sisley, Edgar Degas, Claude reste visible. Les peintres qui élaborent Monet, Auguste Renoir, Paul Cézanne, ce style se rencontrent à Paris au début Berthe Morisot, Armand Guillaumin des années 1860. Ils fréquentent alors et... Camille Pissarro y présentent près les mêmes bistrots comme le café de 160 œuvres. Entre 1874 et 1886, huit Guerbois. Ils se retrouvent également expositions impressionnistes ont lieu à dans les mêmes ateliers de formation, Paris, elles ont un rôle majeur dans la notamment celui du peintre Gleyre découverte de ce style moderne. ou du Père Suisse, où se rencontrent à Camille Pissarro est le plus fidèle de partir de 1863, Camille Pissarro, Claude tous, il présente des œuvres à chacune Monet, Frédéric Bazille, Alfred Sisley et de ces manifestations. Auguste Renoir. Ils forment le “groupe des Batignolles” du nom de la rue où Le tableau de Claude Monet, “Impres- se situe l’atelier de travail de Renoir et sion, soleil levant” (1873, Musée Mar- Bazille. mottan, Paris) fait sensation. Le critique Louis Leroy, dans un article cinglant du journal "Le Charivari", en fait le symbole de cette nouvelle peinture qui s’oppose aux canons esthétiques de la peinture classique. Le terme “impressionnisme*” est né. 3 Si le nom de Pontoise est connu dans le monde entier, c’est à Camille Pissarro que la ville le doit. 1 Les Pissarro, Camille, Ludovic-Rodo, Lucien 1 et Félix vers 1893. © Musées de Pontoise 2 Camille Pissarro, “Le tribunal de Pontoise, vu depuis la place Saint-Louis”, 1873 Collection privée. 3 Camille Pissarro, “Maison de Pissarro, quai du Pothuis”, 1881 Collection privée. 4 Edouard Béliard, “Boulevard des Fossés”, 1872, 1873, © Musées de Pontoise. 4 2 3 4 Pontoise, et les peintres Si le nom de Pontoise est connu dans le L’arrivée du train transforme l’image de monde entier, c’est à Camille Pissarro la ville. La gare est inaugurée en 1862, que la ville le doit. Une visite au Museum Pontoise n’est plus qu’à trente minutes de of Modern Art ou au Guggenheim de Paris. Avec le développement de nouvelles New-York et au Ohara Fine Art Museum techniques comme la peinture en tube, de Kurashiki au Japon, vous permet de plus facilement transportable, les artistes, retrouver les paysages de Pontoise qu’il leur matériel sous le bras, peuvent quitter a immortalisés. Que ce soit ses rues, ses la capitale pour une journée de travail à la collines et ses bois, les bords de l’Oise et campagne. Pontoise devient ainsi un site ses habitants à leur dur labeur, Pissarro très attractif pour les peintres de plein air nous offre un large panel de la ville à la fin qui y séjournent occasionnellement ou s’y du XIXème siècle. installent plus durablement. Aujourd’hui, à Pontoise, un musée, une De plus, de nombreux peintres séjournent rue à proximité de l’hôpital et un lycée de déjà dans la région, notamment Charles- la ville, portent son nom. François Daubigny, installé à Auvers-sur- Mais procédons tout d’abord à un bref Oise depuis 1860. Cet artiste de la généra- retour en arrière. Pontoise est, au 19ème tion de 1830, ami de Jean-Baptiste Camille siècle, une ville pittoresque, avec ses nom- Corot et de Théodore Rousseau, invite breux marchés, ses champs, et ses bords souvent ses collègues à venir travailler de l’Oise. Cependant, peu d’artistes ont auprès de lui dans son bateau sur l’Oise, le exploité ces paysages avant la deuxième Bottin, ou dans sa maison-atelier d’Auvers- moitié du XIXème siècle. Le célèbre peintre sur-Oise. anglais William Turner réalise, en 1832, un dessin du panorama de la ville, mais il est peu diffusé. Les artistes s’intéressent alors d’avantage aux bords de Seine et à la forêt de Fontainebleau. 5 1 2 CAMILLE PISSARRO LES LIEUX OÙ VÉCU (1830-1903) PISSARRO À PONTOISE Camille Pissarro est le premier des De 1866 à 1872, Pissarro ne loue A Pontoise, Pissarro a pour projet Impressionnistes à s’installer à qu’épisodiquement à Pontoise la d’inviter des amis peintres à vivre Pontoise. Son séjour est à l’origine maison du père Colomban au 1, près de lui pour travailler à une de la venue de nombreux autres rue du Fond de l’Hermitage (actuel nouvelle peinture, tout comme le peintres. 5, rue Maria-Deraismes). Pissarro fait son ami Monet à Argenteuil. possède en effet une maison à Il conçoit à ce moment l’idée Il arrive avec sa famille à Pontoise Louveciennes. Il y vit avec l’an- de l’association des peintres en 1866. Outre le train, cette cienne bonne de ses parents, Julie indépendants en s’inspirant des ville présente plusieurs attraits : Vellay. En 1870, l’armée prussienne statuts de la guilde des boulangers des paysages fluviaux, ruraux et réquisitionne et pille sa maison de Pontoise. Il accueille ainsi urbains variés, et la possibilité de Louveciennes. Pissarro s’exile Béliard, Guillaumin et Cézanne. Ils d’avoir une maison avec jardin à à Londres où il retrouve Monet, peignent en plein air, de nombreux des conditions avantageuses. Sisley et Daubigny qui le présente à paysages et scènes rurales. Une Paul Durand-Ruel. Il y épouse Julie, partie de ces œuvres sont pré- Il y a aussi la proximité de son le couple a déjà deux enfants. sentées à la première exposition ami Daubigny et des paysages Pissarro admire, à Londres, les pay- impressionniste de 1874. qui n’ont jamais été ou très peu, sages de Turner et de Constable. De peints. Très attaché à l’Hermitage, retour en France, en 1872, Pissarro Cette même année, le collection- quartier de maraîchers dans les touche de maigres dommages de neur d’art Georges de Bellio achète faubourgs immédiats de la ville, guerre et décide de s’installer plus au marchand de tableaux Paul Pissarro en fait une représentation durablement à Pontoise, toujours Durand-Ruel, “Rue de l’Hermitage complète. Attiré par les bords de dans le quartier de l’Hermitage, à Pontoise”, pour 300 francs. Un l’Oise, il y trouve une illustration d’abord au 16, rue Malebranche an plus tard, Bellio fait la connais- de l’activité humaine, industrielle, (actuel 18, rue Revert, près du jar- sance de Pissarro qui rencontre de dans un paysage fluvial et végétal. din public) puis au 26, rue de l’Her- nombreuses difficultés financières mitage (la maison existe toujours mais travaille beaucoup. au 54 et 54 bis, rue de l’Hermitage). Le 11 octobre 1873, il écrit alors au docteur Gachet : “C’est pas gai mais c’est propre et il y a beaucoup de place.” 6 Camille Pissarro, 3 1 “Vue de Pontoise” 1873 Collection privée. 2 Camille Pissarro “Le Pont de Pontoise” 1878 © Yamagata Museum. 3 Camille Pissarro “Le marché aux chevaux, Foire saint-Martin”, 1883 © Musées de Pontoise. 4 Camille Pissarro “Rue de l’Hermitage”, 1874 Collection privée. En avril 1876, Durand-Ruel Camille. Il s’installe ensuite au 85, plus. Cependant, sa situation accueille la deuxième exposition quai du Pothuis, actuel 21, quai financière ne s’améliorant pas, du groupe impressionniste. Eugène-Turpin, mais la maison Pissarro doit se résoudre à quitter Pissarro y présente 12 tableaux. n’est plus la même. Dans une lettre Pontoise et sa région pour aller Lors de la troisième exposition du 4 mars 1881, Pissarro propose plus loin dans le Vexin, en louant du groupe, en 1877, Pissarro à son marchand Durand-Ruel, puis en achetant une maison avec expose “Le Jardin des Mathurins”, d’exposer des œuvres peintes un atelier à Eragny-sur-Epte.
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