Février 2000 ·No 86

~ EDITORIAL

Montigny a souffert quand Je vent s'est levé.

800 arbres craquaient, pliaient, vrillai~ cassaient

Les tuiles S1envolaient, les tôles s'arraebaient. La fac voyait son toit chuteJ: sut le pavé.

Dès la première heure, les services teçhiliques sillonnaient la ville et faisaient le bi]an. Les pompiers débordés paraient au plus urgent.

la police i nfo~t et calmait la panique.

Certains lgnymontains escaladaient les toits, installaient des bâches, dans le petit matin, n!p1açaienl des tuiles chez eux, chez les voisins ; les tronçonneuses des autres coupaient le bois.

n reste un message dans nos coeurs perturbés : Que l'entraide était belle, quand le vent est tombé !

~ur la culture VotTe dévoué maire Nicolas ABOUT NOTRE DOSSIER PAGES 9 À 12 Les voeux cie Ma iournée Le Pas du Lac au centre LA DIRE S'INSTALLE Nicolas ABOUT DANS SES MURS page8

CentreCommerdal Régional L'ESPACE SAINT QUENTIN A UL'ESPRIT D'ACCUEIL· page 6

Rugby le Sénateur-Maire de Montigny Nicolas About formait ses voeux le 13 janvier à la LES JUNIORS DE L• ASMB Ferme du Manet. l'occasion d'un retour IMPRESSIONNENT sur l'éclosion du village devenu ville, avant le saut dans le J• millénaire. PAGE 5 page 16

Hôtel de Ville - 66, rue de la mare aux carats Montigny le Bretonneux - Tél. : 013930 3132 - fax: 0139303133 - Mel: [email protected] retrouvez cl1aque mois le journal de Monligny en ligne sur le site internet de la ville http://www.mairie-montighy78.fr 1 - • L ~ r~- ~qm~~4i&~~iEi_~.:~·· .·:- ~ l 1a9enda page 3 L' ACTU : La suite du compte-rendu du dernier Consei l municipal du 15 décembre- Un nouveau Î9n1Jmontain lieu d'accueil pour les enfants et les parents. page 4 L' ACTU : Retour sur les conséquences de la tempête à FÉVRIER 2000 à MontiiJniJ Montigny. DANS LA VILLE ~()IR[( SP[UAI I: du \nncref \ lumup..el dl'' Jeunes page s L' ACTU : Les voeux du Sénateur-Maire Nicolas About ­ au prolil l! drrniè>re (l }.lttfVI'' l.lœl-lOh Espace Saint Quentin joue l'esprit d•accueil 01 4 \l 12 ~ --lS page 7 L' ACTU : L'épiphanie des associ ations- Le Forum des Fxrx,..itic•n Bt'rn.1dene SP(CJAK \!.lison Feli~ · \ 'erntssagt: le .J nw; ,i.lOir Nouvelles Technologies les 1 0 et 11 mars­ JL'SQL: '4U fJ MAl Les activités pour les vacances d'hiver. f\I)

Février est traditionnellement le mois du carnaval, en France comme dans les autres pays. l'histoire 11ous apprend que les fêtes du carnaval dérivent de très uciens rites magiques de danses et d'orgies, par lesquels les hommes pensaient stimuler la fécof!dité de la nature. les carnavals que 11ous connaissons aujourd'hui rappellent ces pratiques : c'est e11 février que, de Niee à Munich, de Dunkerque à Rio, de Binche à Cologne, les carnavaÏiers préparent costumes de déguiseme11t, masques et confettis pour faire la fête dans toute la ville.

Saurez-vous reconnaître ces carnavals célèbres ?

1- les gilles u coilt~nt fe r ch1peall - 1 et • t tl nr r:c crtngK. 2- ltrc ~e ce eun nf, i td Il 1 e Fr u (atut e !294), le e rso f1utl Ju ! la 3- Diha t e errf.c, aille-Hu ~f ~' t ie C n t . 4- les pere nnagec " la C~mmedi1 efl'arte difilent Ptn leia .ec t&tttetfi H du g nflelec.

Mais, pour ne pas faire comme tout le monde, le carnaval de Montigny aura 'lieu ... en juin ; il n'y a rien de tel pour fêter l'an 2000 1 Cependant, si vous ne pourrez admirer les splendides chars que le samedi 17 juill 2000, cela fait déjà quelques mois que quelques lgnymontains enthousiastes, dynamiques et débrouillards bouillonnent d'idées et s'activent pour vous préparer cette" millenium-parade". fai avez-"o s êj ' e sé ... v re ég ise enf ?

Pour tout renseignement, vous pouvez contactar le Service Evenementiel - Démocratie locale à l'hôtel de ville. 01 39 30 31 3S

' 2 ... 86 • Fèwler 2000 ' ctu . •.•-.. : ~ ~~,;. ~.•:•:;Jo .;.:l :»~ " ~i~~- ""'A•_...':_ ·~::::... •-- ,,. • r o ' , •: ~ • au dernier Conseil (suite)

le au sujet des engagements de 14 classes pourront partir en 2000 sions et les fonctions des trois mai­ votes posilifs, 6 abstentions el Le Conseil Munici­ l'Etat en la matière. Celui-ci rend au lieu de 10 en 1999. sous de quartier (Louis Jouvet, refus de participer au vote. pal du 15 décembre en effet. obligatoire l'enseignement L a délibération est adoptée à André Malraux et Henri Malisse) dernier recelait un d'une langue vivante en CM2 sàns runanimit:é. ainsi que leurs projets de fonction­ en assumer l'intégralité du finan­ Séjour de Pâques 2000 nement en vue d'un agrément de la Culture Caisse d'Al locanons Familiales. ordre du jour im­ cement. A l'unanimité, le Conseil Munici­ Subventions 99/20001mx portant. Dans notre De cet entretien, U resson que si la pal adopte le principe d'un séjour à Le débat porte alors sur le contenu ville ~efusalt de prendre à sa char­ Pâques 2000 à Crocq (Creuse) des projets. Emmanuel Videcoq associations culturelles dernière édition, .ge la majorité du llnancemenl né­ destiné aux jeunes âgés de 6 à 12 pour le groupe Oxygène estime Madame Thareau propose l' attri­ nous avons évoqué cessaire. il n'y aurait pas d'ensei­ ans. Un quotient familial sera ap­ que l'on insiste sur les devoirs des bution des subventions aux asso­ gnement des langues en CM2. pliqué pour fixer la participation jeunes et non sur leurs droits. ciations culturelles pour un mon­ le point d'orgue de Les enseignants sont soit les insti­ des familles. Muriel Montcro rappelle ·les tant total de 293.037 F. la réunion, à savoir tuteurs(-trices) des écoles pri­ grands axes du projet éducatif qui Le débat pane ensuite sur le carac­ maires sur leurs horaires de travail, Secteur musique dans les sont : la proximité, la laïcité. la ci­ tère culturel de cenames associa­ l'examen du budget soit des intervenants extérieurs maisons de quartier toyenneté, les liens intergénérn­ tions subventionnées, notrtmment tions, la démocratie ct l'épanouis­ celles qui se consacrent plus à des primitif 2000. Voici proposés par l'Education Nationa­ Le projet "Répèt'Live" est destiné . sement personneL loisirs ou la relaxation. L'adjoint le ou La ville mais toujours agréés à remplacer Je Tremplin Rock et à en détail les autres Christine Sauvage pour le groupe à la Culture Armelle Aubrict ré­ par l'Etat. Après un débat sur le consiste des répétitions à organiser Montigny Demain estime positif points examinés par devoir de ne pas privilégier une mensuelles en public la Maison pond que, parmi les a$sociations à de disposer de projets différents, langue par rapport à une autte. Je de Quartier Louis Jouve4 et une de re laxation. certaines ayant des l'assemblée munici­ mais de mande de veiller à ré­ poinr est adopté à l'unanimité. semaine de diffusion de différents activités à dominante sportive, ont pondre aliX besmns réels en adap­ pale. genres musicaux dans le cadre de été rattachées au secteur sp0rtif. tant les horaires d'ouverture no­ "Fesliv'Zik". Nicolas About préci­ La délibérauon est adoptée par 3 1 Classes d'environnement tamment. La délibération est se qu'un renouvellement de la for­ vote~ positifs et. 6 abstentions. Une délibération aborde la mise en finalement adoptée par 34 votes mule de départ permet de relancer Jeunesse • scolaire place de séjours en classe d'envi­ positifs ct 2 absrent ions. ronnement selon de nouvelles mo­ l' inté rêt des jeunes pour les guestions diflerses Cours de langues dalités. A savoir diminuer le groupes de musique. "Le Tremplin pour les CM2 nombre de jours minimum de 10 à Rock était une bonne formule mais Attribution de le nombre de grr>upes éwit trop li­ Petite enfance Les cours de langues en CM2 ne 7 soit 6 nuitées, maintenir à 260 F subventions mité". La délibération a été adop­ sont plus une initiation mais un par jour et par enfant le prix mui­ tée à J'ulllUlimité. Une structure accueil Le Conseil Municipal accepte à véritable enseignement Cette an­ mum du séjour, déterminer la par­ enfants-parents l'unanimité d'attribuer des subven­ née, la ville financera 26 groupes ticipation des familles selon l'ap­ Maisons de Quartier : Elisabeth Lefèvre, adjoint chargé tions de respectivement 10.000 F par semaine partagés entre J'an­ plicaLion d' un quotient fixant la de la petite enfance, présente le et 7.000 F aux associations des lo­ glais et l'allemand cr l'Education charge rcstWll aux parems à 20 %. Projet éducatif reglemcnt intérieur de la structure cataires "Dcscartes-Batigère" (ex-· Nationale prendru 10 groupes à sa 30 %, 50 % ou 60 % du coût réel Est présenté ensuite par Muriel d'accueil enfants-parents qui est Seimacoise), e t à l'association ré­ charge. Le Sénateur- Maire a ren­ du séjour. Jean-Paul BOlSTEAU, Montero le projet éducarif de la ouverte gratuitement lous les mar­ cemment créée "Bien Vivre au Pas contré l'Inspectrice départementa- adjoint à la Jeunesse. précise que ville fixant les objectifs, les mis- dis de 9 H à 12 H, dans les locaux du Lac·· (lire également notre ar­ de J'ancien centre de lo isirs Jtùcs ticle en page 8) füuvert depuis le début de l'année aux Prés Perry aux Prés. Elle propose ensui­ tc une délibération indiquant que Intercommunalité le nombre mrutimum d'enfants ac­ Jean-Pierre Pluyaud. adjoint à l'Ln­ cucilli.s sur 4 jours par semaine est tercommunalité, propose que la fixé à 90 dont 10 en crèche collee­ ville délègue au SAN dans le cadre ti ve. Ces délibérations sont adop­ le lieu de rencontre d'une convention les études et tra­ tées à l' unanimit:é. vaux relatifs à l'enfouissement du réseau aérien de lélécom.munica­ Sport lion. Sa proposirion est adoptée à l'unanimité. enfants--parents Centre aquatique de Montigny et Voisins Classement d'espaces pri­ & lecture, des coins-cuisine, de.s Du haut de leur 1 mois. Eva et J' objectif de cette nouvelle initiati­ L'adjoint aux Sports Pierre Paillas vés dans le domaine public Lou ne sont pas dépaysées. Elles coins-câlins, mais en plus, et ça ve proposée par le service munici­ expose que la convention signée Antoine Herboux propose de clas­ viennent de passer leur matinée au c'est super. maman reste. Eva et pal de la Petite Enfance. "C'est un entre les villes de Montigny et ser les espaces communs des rési­ nouveau point d'accueil enfants­ Lou ont de la c hance. Bientôt, lieu grantit, ouvert pour l'instant Voisins concernant la future pisci­ dences "Les Demeures de Wind­ parents ouvert par la municipalité quand l'endroit sera plus connu, une fois par semaine chaque mar­ ne doit être modifiée pour tenir sor". "Le Village Saint-Martin", en partenariat avec la CAF près de elles pourront aussi jouer avec des di de 9h à 12h, qui se vell/ avant compte notamment de J'cxreosion "Le Village au Plan de T roux", la Matson de la Réussile, dans les nouveaux copains, des nouvelles tout convivial", précise Elisabeth souhaitée de 3.000 m: à 5.000 m1 après enquête publique. La délibé­ locaux de l'ancien centre de loisirs copines. Et avec leur maman qui Lefèvre, adjoinl au maire chru·gé des plages extérieures du futur ration est adoptée par 31 votes po­ Jules Ferry aux Prés. Ça res­ rencontrera eUe aussi d'antres ma­ de la petite enfance. "On accueille équipement. semble un peu à la halte-garderie. mans. et pourquoi pas même des les enfants et leurs parents. Avec Après un débat portant sur la né­ sitifs, 3 abstentions et 2 refus de partictpcr au vote. On a des coins-jeux, des coins- papas. Car c'est le principe et le succès qu'a renco11tré le congé ces~ité de créer plus de terrains paremal d'éducation, le ftlit aussi '·d·aveotures" à Montigny, la déli­ 1 qu'à Momigny, w1 nombre signiji­ bération est tlnalement adoptée par Durée du temps de travail cat(f de mamans ont décidé d'ar­ 35 votes positifs ct 2 abstentions. Le Sénateur-Maire Nicolas About rêter leur travail pour les pre­ expose que le Conseil Municipal, mières années de leurs enfants. Subventions 99/2000 dans sa séance du 6 février 1984, a cet accueil enftJnts-parents auquel approuvé les horaire~ d'ouverture il rrouver esr rme aux a..(lsociations sportives faudra un nom des équipements communaux dans par­ Muriel Montera propose l' attribu­ opporruniié de rencomre, de le cadre d ' une semaine de 38 tage, d'une COIIU/IttlliCatiOII privi­ tion des subvenlions aux. associa­ heures sans qu'une délibération ne légiée." Le lieu. dirigé tour à tour tions sponi v es réparties e.ntre matérialise celte décisiou. LI pro­ par des éducatrices volontaires ùu l' ASMB pour 608.000 f et les pose donc de confirmer la durée service, esr ouvert aux enfants de autres associations pour 242.000F. du temps de travail fix.ée à 38 0 à 4 uns. n est fermé pendant les Emmanuel Vidccoq s'étonne de la heUies pour le personnel commu­ vacances scolaires. mais les édu­ disproportion existWlt entre ce qui nal. Interrogé alors par Emmanuel catrices espèrent bien rencontrer est versé à 1' ASMB et aux autres Videcoq sur le pnssagc il 35 heures leur public dè-s la renrrée. Le po­ associations. Pierre Paillas .répond 1 tenûel existe, reste il le mobiliser. que l' ASMB regroupe presque des employés communaux., il ré­ Avec le café, les petits gât-eaux et tous les sports collectifs et repré­ pond que ce dossier a été évoqué 1 quelques sourires, l'entreprise de­ sente les 213 des effectifs âgés de en CAP-CTP et que les services y 1 Pour fa première de l'accueil enfants-parents fe 18 janvier dernier, moins de 16 ans. n précise qu'il y travaillent. Ll ajoute q~u ' il est très Anne Ucuong et ses jumelfes Eva et Lou ont accueillies par vrait bien aboutir. été Ma­ a 4_728 adhérents à I'ASMB. La attentif à ce que l'Etat va décider rle (à droite) Re11s. : 01 39 30 30 50 délibération est adoptée pat 30 pour ses propres agems. ~\ ----~----~------N ' 86 • Février 2000 3 ~ctu . . . . Retour sur une tempête

La ville conserve en­ core en ce début fé­ vrier les stigmates de la tempête de fin d'année. Et il faudra en-core des se­ maines, voire des mois pour faire dis­ paraître les cica­ trices dans les rues ou les bois, où plus d'un millier d'arbres Encore aujourd'hui, les traces du passage de la tempête sont impressionnantes dans la ville. Il faudra des semaines, voire des mols, aux ont été arrachés. séNices de l'Etat et aux collectivités locales pour remettre en état le domaine public. Heureusement, aucune victime ou blessé n'est à déplorer à Montigny, dont les réseaux élsctrique et de télécommunication majoritairement enfouis ont prévenu les coupures. Chez les parti culiers Sur le domaine public Arbres et toitures Des mois de remise en état

Le dimanche matin, après la tem­ ont dû faire face eux-mêmes. Heu­ pête noctume, les agcms des Ser­ reusement. les équipements publics vices Techniques mu n• cipaull: ont été relativement épargnés par la n'ont pas attendu d'être appelés tempête. Une rois les voiries re­ pour sc mobiliser d'eux-mêmes. Le m•sc.~ en ordre, les agents ont com­ constat d'urgence avait été vite éta­ me les particuliers passé beaucoup bli d:tn ~ l'esprit de chacun. Premiè­ de temps sur les rolts il remettre en re mission, dégàgcr ct nctwyer les pl:lce des toitures endommagées, nombreuses votes de circulation cummc à la Ferme du Manet. au obstruées par les arbres armchés et centre de lms1rs du ManeLou e nco­ couchés. Les service~ de sécurité re à l'église Saint Martin. Du côté civile (pompiers, DDE ... ) étant oc­ des écoles, excepté les arbres tom­ Le domaine forestier mettra cupés sur les grands axes ou les bés dans ce rtaine ~ cours, seul e du temps à se remettre. établissements importants (hôpi· Verlaine a subi quelques dégâts à taux. ). en ayant qui plus est mo­ la Sourderie. "Certains équtpe­ le gymrwse Roger R1vière, ont bilisé de nombreuses enLreprises ment:. lponifs, comme les terrains connu d'Importants dommages", Difficile du côté des Services plorer, un pavillon à la Sourderie privées, les services municipaux de tennis couverts des 4-Pavés 011 explique le Sénateur-Maire Nicolas Techniques municipaux d'établir et deux ou trois voitures om subi About, qui précise également que précisément l'étendue globale des avec plus ou moins de dommages "l'ensemble des réparmions sern à dégâts chez les particuliers. Cc des chutes d ' arbres, et seules la charge de.f assurances, et q•,'au­ sont essentiellement les quartiers que l qu e~ maisons du Village ont cun équipemelll n'a ité fermé, à pavillonna•rcs qui ont souffert. été privées d'électricité pendant l'exception des terrains de tenms". Dès le lendemain de la tempête, plusieurs heures. Un mvcntnire "Nos Service$ Technrques ont tra­ beaucoup d' lgnymontains colma­ heureusement modeste eu égard il vai/11 d'arrache-pied pour que la mient tant bien que mal les trous d'autres régious, ou mêllle ù cer­ situation .ff! normalise le plui rctpl­ dans les toitures avec des bâches. tains endroits des Yvelines. demell/ poss1ble. Bien que mobili­ en attendant le p:!!>sagc hypothé­ sés sur l'espctce public. ilf ont nus­ tique d u couvreur s'ils avaient si dom1 i "" coup de main aux réussi à e n capturer un. L ' aulfe particuliers désemparés, Oflt diSTri­ souct fut dans un second temps de bué uvee les Elus du Conseil une débiter les arbres couchés ou arm­ cenlaine de b/Jches. Après l'urge/l­ chés dans les jardins. Depuis près ee, il a aussi fallu organi~er l'éva ­ d'un mois. la ville a mis en place cuation des déchets verts. Un bon une collecte e~tceptionnellc de dé­ millier d'arbres a dispam du pay­ chers verts en porte-à-porte (voir sage ignymomain.. Il hommes sont article ci-contre) qui permet aux Le parl

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Nicolas About formulait ses voeux le 13 janvier 11Monti1JniJ s•est faite au 2Qe siècle et non en t•An 200011

En celle année de millenium, le .le remercie éga/emeJU ltts élus de sans faire de socialisme." Bt Ni­ Sénateur-Maire Nicolas About re­ mflll équipe municipale qui 0111 colas About de s'appuyer ~ur Je prenait une vieille tr.id.ition en for­ sillonné pendaf/1 plusieurs jours plus faible laux de chômage du mulant ses voeux aux officiels le les rues de Mollligny pour propo­ secteur (4,78%). sur la création de 13 janvier dernier à la Ferme du ser des bâches, des solutions de la Maison de la Réussite, de la Manet. Face à 700 invités et ac­ relogement ou coordonner f'imer­ boutique alimentaire. de la Confé­ compagné de nombreux élus ct re­ vention des entreprises. Je remer­ re nce Communale du Logement. présentants officiels du Départe­ cie enfin tous les services de "Notre polilique privilégie égale· ment et de la Région. il est tout l'Etal dans le dtpartement, de la men/ ft1 prevention, grâce à la Dl­ d'abord revenu s ttr,les consé­ Ville Nouvelle el les emreprises RE. la Police Municipale. la télé quences de la tempête de fin d'an­ privées assurant une mission de et la vidéosurveillance, elle est née. ''A Montigny, nous avons pu service public qui ont su Jaire fa­ ambitieuse dans ses prestations .faire plusier1rs constats. Les lgny­ ce. .le souhaite que twu.v conser­ pour les habitants, et assure tous montains se sont montrés remar­ vions ce comportement d 'entraide les services sans lwussefiscale." quables. Je gardua/ de ces lende­ et de cordialité pour de longues Nicolas About revenait alors sur mains d e tempê le, non pas la années encore." plusieurs décisions entérinées vision du ravage de II()S arbres, de dans le cadre du budget 2000 de la 1 • 110s éqtlipements ou de nos toits : commane, soulignant que l'effort L a(lentr. .. fi scal des lgnymo ntains est 25% je !l'oublierai jamais cette elltrai­ Entouré de son Conseil Municipal, Nicolas About accueillait notam­ plus faible que celui des habjmnts de entre amis, entre voisins, cette du 2~ siècle ment le député de Rambouillet Christine Boutin, de nombreux des communes voisines. "Monti­ aide spontanée aux plus tor1chés, Abordant ensuite l'avenir, Nicolas maires des communes environnantes, fe président du SAN Robert gny-le-Bretonneux a le plus faible même en leur absence. Le dewâè• Cadalbert. About imputait ensuite les boule­ taux de taxe d 'enlèvement des or­ me consrat est aussi très significa­ versements pour la vi Ile"an 20' dures ménagères. Pour l 'an 2000. tif C'est vers la mairie que se vran! les meilleures terres à blé Le Sénateur-Maire rendait ensuite siècle et non ll l'an 2000. Pensez­ la municipalité a décidé de bais­ tounu:rrl les habilaJIIS en cas de voriS que les ouvriers agricoles de rec·ouverres de routes, d'im­ hommage aux. Elus et aux. em­ ser les tarifs des services indis­ difficultés même les plus graves. meubles et de maisons ? ployés communaux qui J'accom­ la ferme du Manet auraienl pu pensables aux familles : restaura­ Je remercie les Services Tech­ Que décideraii fe Conseil Mwlici­ pagnent depujs 23 ans, adressant imaginer en 1900 que cette gran­ tion scolaire, garderies et cemres niques de la ville qui ont œuvré pal de 1910, fui qui a 1•oté une au passage un accessit au tissu as­ ge unique en so11 genre, de plus de de loisirs. Le gain pour les Jwbi­ avec célérilé et efficacité, tron­ subvention de 100 jra11cs pour \'C· sociatif. "Et pourtant ceux qui de­ 8000 m', vous accueillerait ce tants est de 1.000.000 de F. " çonnant arbres et brwtches, répa­ soir pour celle cérémonie des nir en aide aux sinistrés des ilwn­ vaient légalement nous aider ne Pour aborder brièvement ensuite ralll les toitures, faant les pàlis• vœux ? datiom de Pari.~ ? l'ont pas /oujours fail quand il le le )• nù!Jénaire, le maire évoquait sades, apport.allt leur assistance Quel choc resse/Uiraienl les agri­ Que penserait fa socilté Sud-Lu­ fallait. Quelques exemples. La fer­ les 600 logements const.ruits pro­ arLr lgnymontairiS er1 difficulté. culteurs el les bergers en décou- mière qui en 1910 installait l'élec­ me du Manet, équipemelll phare tricité dans trois rue.t de la com­ de Momignv a été sauvée de la chainement au s ud du village, le /Une plaquette largement diffusée mune pour 5500 F, elu démolition, réhabilitée et financée centre aquatique cons truit avec dé1·eloppemen1 d'EDF et de ses par fa vilt'e. La pi.vcine don/ nnu.r Voisins sur le quartier de la Sour­ tarifs ? avons besoin deptds 20 ons sera derie, le mttltiplexe de 16 salles de Que penserait Mme Guérin qui fit construite dwrs fa plus peTite et la cinéma ct un p ôle ''loisirs" avec don d'une cite1ne publique pour plw excentrée dt?S communes de bowling c t discothèque s ur le 1Monti9niJ : une quartier Saint Quentin, l'école, les recueillir les eau.x de pluie de la la vif/e nouvelle à Ma,r.: nv-les-Ha­ toiture de l'église en aper<'evant meau.x... E.~l · ce refa /'intercom­ enlreprises. les logements ct les les deux chûteaux d'eaulfe Momi­ mwrafité ? Nous ,{iiWfJCerO!l.\ donc conullCI'CCS sur le Pas du Lac. a(lenture urbaine gny ? nous-mêmes m•ec la participa/ion S'ensuivait alors la formu.lation Que pensertût le maire de 1937 de fa commune de Voisins noire des voeux aux différents corps of­ Découvrir Montigny en 1900 qui avait limité la traversée de la piscine. Nous flOUs pa.çserons du lï c i c l ~, aux autorités civiles ct mi­ comme un vi llage rural, agricole, commune à 20 km/h, en clécou­ syndicat comme nous l'avons fait litaires et "ù tous ceux qui ont le ou un domaine à la limite du Pure vranl le tra.tïc sur nos avenues? pour le gymnase Pierre de Cou­ courage d'entreprendre el de de Versailles et découvrir cette Que pense·raii le maire Vincent bertin, if y a 12 ans : mais arusi créer des emplois pour les même ville en 2000 comme une No11a, lui qui jura obéissance au pour le 1ermln de base-ba/J, pour autre.1'... ville à part entière. une vi lle dite président Napolécm, et, quelques les couns de tenn is, pour fe "\los élus. quel que soi/ feur bord. nouvelle mais assurément proche mois plus tard, jiddfité au même Conservatoire des Arts, l'annexe som tle.1· gen~ bien. A 11-delà des des lgnymontains, européenne et devenu Empereur, de voir a u­ de l'Hôtel de ville ou encore le engagemenls de chacun, je sais le internationale, c'est l'aventure ur­ jourd'lwi, i11stalfé dans son chü• Club fe Village ... pour ne parler dévouemellt qu'exige tm mandat bai no que vous re trouvez dans teau et dans son fauteuil, le prési­ que de:; bûtimenls. C 'est certaine­ local el pour cela je veux dire à cette revue à l'initiative de la Mu­ de/Il Cac/albert ... Quel choc ! ment cela l'imercommwwlité. rou ~ les élus mon admiration etwt nicipalité ct di$lribuée récemment La meilleurl! terre à blé de France Pendam 20 ans nous avons ac­ grand merci. dans vos boîtes aux lettres. t1 laissé pousser du béron eu lieu cueilli 1700 hahitmtls nouveaux La meilleure réforme à engager Les lieux historiques et traditions el place de ses épis. En moins de chaque année. ouvert plus d'une serait d'ailleurs. d'interdire l'ac­ 1 du Village vo us emmèneront au 30 ans lu vague déferlante des ur­ école chaque année. 1111 collège cès UIIX 1/lGl!daTS 1/.lltlOIIGUX à TOIIS milieu du s1ècle vers la gestalion banistes er des politiques btfton­ lOus les 3 ans el un lycée tous les ceux qui n. 'o/11 pas au moins don­ 1 et la création des 8 quartiers de neurs a englowi ce que la nawre 5 ans." né fa preLII'e de leur générosité en Montigny le Bretonneux. Vous y tur centre aquatique, ct Je pôle de er nos C1Îné.1· allaient mis plusieur.l' assumant rm mandat /occrl. découvrirez c:omrl:lent la cotrunu­ loisi r ~ Fiesta avec son mullipl~xe de cinéma. siècles à présen·er. La 1•ille nou­ J'adresse tout pnrliculièremenl ne s'esr organisée contre les pro­ velfe. c'esr comme rm cyclone, on Les initiati(les mes 1•œux aux jeu11.es élus du jets démesurés de l'Etat pour pré­ satt qu'elle an·i!'e, qu'elle va tolll communales Conseil Municipal des Jeunes car server un cadre de vie L'histoire en expo englow ir el IJII'on ill/ra beaucoup ils SOifl cle.s modèles de cil'isme harmo ni eux. Vous découvrirez Le prenùer magistrat revenait cn­ En marge de la revue, une exposi­ de mal à s'en présuver. A Mollli­ pour f'enseml>/e de notre jeunes­ aussi la vi lle comme une commu­ tion photographique est également gny, nous avons tom j'ait depuis ~uire~ m l ~i ~ri~v~~mm~ st•. ne accueillante, solidaire, jeune ou nales qui ont contribué à la qualité visible à l'}iôtel de ViUe ju~qu 'à 23 rms pour que l'on tie nOLIS im­ Enfin ... Bonne et heureuse année le patrimoine économique, culm­ aboutie du cadre de vie et d'une l'été. Conçue par la ville en parte­ pose pa.ç /out el n'importe quoi. ir tous ceux qui m' aimenl ... et à rel et la vie associative témoi­ vie sociale acti ve à Montigny. nariat avec I'EPA, I'Ecomusée et Nous 1101/S sommes efforcés de ce11x qui ne m 'aiment pas (il doit gnent de la richesse des activités "Vivre à Montigny le Brelonne/Lr, les archives départementales. elle contribuer à ce qrt 'elle soit, sur le bien y en avoir quelques-1/ll.f). At1 et du dynamisme des bénévoles c'est wr choix souvem basé sur la illustre l'hisloire du vi ll age deve­ territoire de Montigny, éq(lilibrée nom de l 'ensemble du Conseil associatifs. politique miS'€ en œuvre par 1 nu ville en un quart de siècle. et chaleureuse, ouverte à lous Municipal et de l'administration Enfin, les grands projets sont évo- l'équipe municipale. Cette poli­ mais sare, moderne mais humai­ cormmmale, bonne el heureuse qués comme la construction du Horaires d'ouverture tique est originale à plus d'un /I.e. u année à routes les lgnymontaines gymnase du Plan de Troux, le fu- de l'Hôtel de Ville titre. Elle es/ vraiment sociale er ù tous les Jg,ymontains." ~------H '· 86 • Février 2000 : 5

1 ' ~ ctu · . . -~-~~--;,or. "'' '' " • • ,'Ltr',• ' • • •• • _-'>,..JI •• v'é rd irt au proces des ()rres L'espace St Yuentin Une décision qui atlitle joue t'esprit d'accueil la douleur des familles Le verdict rendu Le 13 janvier der­ clémence de ce qu'avaient argu­ nier au Tribunal de Gap dans le menté les défenseurs des prévenus. drame de J'avalanche des Orres. qui Il faut snvoir que l'UCPA avait coûta rappelons-le ln vie à Il per­ sanctionné dès le jour de la catas­ sonnes dont 9 collégiens de Saint trophe ses trois c;alariés et que le François d'Assise en janvier 1998. collège Saint François d'Assise ravive les douleurs au sein de l'as­ s'était résolu tardivement à sanc­ sociation des familles victimes du tionner le professeur de gymnas­ drame (A VAL 78). Parmi les 4 tique, convaincu de la responsabili­ prévenus. seul le guide Porté est té qu'il avait prise dans l'affaire. condamné à une peine (deux ans de On a l'impression qu'il s'agit d'un prison avec sursis, 8000 F d'amen­ verdict d'une justice d'un au tre de) légère au regard du réquisitoire pays. On a l'impression que c'est Jean-Jacques Menge/le­ de l'avocat général. un mauvais film de Costa Gavras Touya préside l'association ni Une semaine après la commumca­ et qu'il ne répond en rien à la vé­ des Victimes de l'avalanche Le nouveau directeur du centre Serge Blanc-Co/Iomb (à dro1te) pré­ rité, ni à la JUstice. tion du verdict, te Journnl a rencon­ de la créte du Lauzet (AVA L sente à Michel Laugier, directeur de cabinet de Nicolas About. le tré Jean-Jacques Mengelle-Touya, 78). nouvel espace Oursons qui garde vos enfants pendant te shopping. son président, qui revient sur les Le Journal : quelles sont désor­ C'est l'efferve.scence pour ce début Srunt Quentin. ''Nous a11ons voulu insuffisances de ce verdict ct sur mais les intentions de votre osso· d'Appel de qui peut faire d'année au centre commercial Es­ renforcer largemefll la signalé· les recours possibles. CÎatiOII ? un appel général sur le procès. J,-J, Mengelle-Touya : il fâut sa­ Nous n'avons pour ce qui nous pace Saint Quentin. Tout d'abord tiqul' .wr l'ensemble du centre,.}' avec l'arrivée d'une nouvc:Jie éqw­ compris dans les parkings. Nous 1.4! Journal : quel sernùnent a pro­ voir que ce verdict ôte LOute possi­ concerne plus aucun moyen d'ac­ pc de gestionnatrcs 1:-sue de la so­ a1•ons aussi récemment 011\'l!l't une vnqué le }'erdict au sein de l'usso­ bilité d'appel par les acteurs trad!­ tion dans Je cadre du procès. donc ciété Hammerson ct dirigée depuis série d'e.1puces de services ; e.rpa­ cwtwn des familles 'l!ictimes de ùonnels. Habituellemem. cc sont nous sommes devenus des témoins le début de l'année par Serge cr consmmrrateur.s, espace.f Our­ /'avala11clre ? les prévenus qui font appel d'une passifs et désabusés. Blanc-Collomb. Hammerson est en SOIH pour les cnftmls et wr c.rpace J,-J , Mengelle-Touya : les fa. condamnation. s'ils la jugent trop Qu'est-ce qui nous reste 'l Certaine­ sévère. Dans cc cas. les prévenu~ fnit propriétaire d.:h lieux dl:puis repo.f. Sans oublier les nouveUes milles ont pris comme un coup de ment à faire savoir à J'en~emblc des plu.-.tcurs années. mais a déciùé de zorlettes très soignées er Rrn· poignard ce verdict qui n était ab­ sont ravis car trois d'entre eux sont familles de France que leurs en­ relaxés et Je guide Daniel Foné reprendre le centre en gestion di­ witf'J " Le directeur compte l-Ur solument pas attendu, au moins a fants courent des n~ques aggravés rccLc, en relais de la société Espace ce~ cspnce~ nou,•eaux pour déve­ pour cinq raisons. Ce verdiCt ne une peine symbolique. Les voies llUJOUni'bUI. puil>que le jugcm.:nt de recours qu1 restent. c'est tout Ex pan~ ion. lopper une nouvelle façon d'appré­ tient pratiquement pru; compte de~ qui vient d'étre rendu affranchll les d'abord le Procureur de la Répu­ hender le centre. "Aujourd'luu. on élémen t ~ de l'instruction qui mon­ organisateurs. les accompagna­ blique de Gap qui peut faire appel 11 pc111 par exemple laisser ,çes en­ traicm clai remem les rcsponsabili · teurs, des responsabilités qu'i ls d'une pnnie des condamnations ct L'e sprit d'accueil" fants SOI/.1 la .mn•eillance dt• pro­ tés prises par chacun de~ quatre prennent. même s'il y a 11 mons ct le Procureur Général de la Cour En ~ccond lieu, l'effet H&M donne fe.tsù·nmt'ls pertda/11 le.r couru.1 ou prévenus. 15 blessés. ~cs prenùers effets posiUf\ sur le les truno~portt'r dwu de.s caddie' Dcuxiêmc fait non pris en compte. secteur orù du centre. "Celle ar­ ludiqut>s, st' jaiu prêter de.1· pous­ le débat qu1 au cours du procès a Nicolas About· riW!e drame indéninblt'ment tllte sellts ou des parapluie.t, 011 pl'lll clairement montré les msuffisances 11n11velle cliemèle, el çon implwrta· .~-e faire livrer ses courses à domi­ de J'organisation et les négligences tion ne s'est pas traduite par tlllf' cile, faire reptiçer ou repa.w!r st>11 commises. Cenaines d~clnrations ''affirmer fe sens /wij\1'1' d'"ctivité dr.\ alltref en· lin~e . " I .e gl!stlonnaJrc attend éga­ même de témoins remettaient en sri,~11es de ce secteur. " Serge· lement l'extension prochaine de cause le.~ rappons versés au dossier Blanc-Collomh a aussi voulu pas­ l'hypermarché (NDLR : h1 CDEC d'instruction. Le troisième fait non ser à l'offensive avec une cam­ étudiera Je dos!: ier Je 7 mars) et pri~ en compte concerne les réqui­ ides responsabilités .. pagne de communication signée tm\ aille a~~· ~ur la dcns1fi~:aùon Sition-. du Procureur de la Répu­ Le Sénateur-Maire Nicolas quand bien même eru.-mêmer s'en "l'esprit d'accueil", Une démarche de la puni.: Sud du centre commer­ blique. qui lui avait une connais· About. qui était pani avec les fu· remel/ent en.wile il de:, spéria· qui s'accompagne de plusieurs réa­ cial, aprè~ le Nord. Une cffcrvcs­ sance très précise des circonl>1ances milles sur les lieux au moment du listes. Un verdict plus proporlion­ üsmions rrès concrèrcs axées ~ur Je ~.:encc synonyme de promesses qui du drame puisqu'il s'y était n.mdu drame, avait été cité comme té­ né aurait sans dort/l' permis de ù~vcloppemcn t de nouveaux ser­ n'est pas pour déplaire au nouveau dès la première heure. Le quauiè­ moin par les parties ctvtles au conforter chacun dans son sell.f vices aux usagers du centre E:.-pace directeur. mc élément est que ce \erdict ne procès à Gap. Il sc déclare égale­ des respo11sabilitt!s. Sagi.rsant des 1 !>'appu1c p~ sur la jurisprudence de ment meurtri par le rendu du juge- enfant$. celle-ci ne del'rait pas ci la Cour d'Appel de Grenoble à pro· Illuminations de Noël ment, "qui aurait dû selon moi mon wr.f .te dllégun. u Tribunal l pos de l'affaire du Drac. qui ne re­ réaffimrer le principe de re.rpon­ de Gap n'a ras rn1du de jugement monte pounnnt qu'au 12 juin 1998. .l'llbilité dt•s professionnels qui se dans ce sen.t, (''e .~t () l'ivide/lceJ cc pas Enfin, ct n'est le moins éton· voien/ confier les enfOJrtJ d'autrr11, une voie périlleuse." nant. ce verdict va au-delà dan.~ sa ' On attendait mieux Notn: information opumme. pa­ Nouveau bus au lycée Breteuil et au collège Bergson rue dan~ notre dernière édition. 1 L3 ~oeiéu! Phébus a cro!c la ligne Y qu1 concernait l'effort particulier Exprc.~ pour desscrv1r Ver~uilh: !-­ engagé par la ville pour les illumi­ univcrsité tlcpui~ Montigny Gar.:. nations de Noël dnns les rues de la Cctrc tigne fonctionne toute l'unnC:e. Recherchons vi lle, a un peu sonné creux. Même du lundi uu vendredi. Qu:ur.: départ~ si Je dispositif a globalement été le matin de lu gan· SNCF de Saint­ équivalent à J'année pa~sée, Mon­ Quentin-en-Yvelines (o.55· 7 .35· ugny n 'appros:hait pas Je "scin­ 8.-10 Cl 9.35) penneuem de regagner anciens élèt!es tillement" exceptionnel attendu et /lous a a1•mté tardivement sa dé· Vcr~nille~ et quatre retours le soir sont proposés aux voyageur.. ( Ver­ évoqué dans no~ colonnes. La rai­ faillarrce totale et nous 01'0/IS été saiUcs· Universit~ : 16.10- 17.35-18.10 Les 10 ans du lycée Emilie de Le collège Bergson (la Sourderie) son en est simplement la dé­ comroint,f de nous retourner vers e1 19.10) . Pour utiliser ce nouveau Breteuil (Saint Quentin) sc fêtent sollicite également les anciens de faillance du prestataire retenu. les fournisseurs qui détenaielll en· service au déptlrl de la gare SNCF de le samedi 25 mars. A ceue occa­ l'établissement, pour venir éclai­ "La Mwrlcfpalité avait bien déga­ core 1111 sto<·k de décoratio11. Nous Saim-Qucnun-en-Yveline>. l'arrêt de sion. le lycée lance un appel à rer les actuels collégiens de 3• sur gé 1111 budget spécial pour 1111 ren­ avons alors da revoir nos ambi­ de.cente et de montée se situe à la gu· rous les anciens élèves. Ce 10 leurs orientations possibles. L'ex­ forcement général des illumina­ tions à la baisse". Partie remise re SNCF après la passerelle. cûh~ CD mars également, les portes de péri ence des anciens esL toujours tions", explique Jean-Luc pour 2001 ? C'est en tout cas l'in­ 10 (direcûon Trappes-RrunbouiUet). te ntion de Jean-Luc Ourgaud de La ligne Y Express dessert le Parc l'établissement seront largement intéressante pour provoquer des Ourgaud, adjoint au cadre de vie. défendre à nouyeau ~on projet d' Aclivit~s du Pas du Lac (proximité ouvertes pour présenter notam­ aspirations professionnelles pré­ "et comme le veut la loi, une en­ Sovcda) 11.1nst que le collège-lycée ment les ateli ers. les clubs cises. La rencontre e~>t prévue le treprise spécialisée avait été si­ pour les prochaines fêtes de fin Saint-Exupéry. d'élèves. ve ndredi 25 févner de 18h à 20h.' lectiomtée dès l'été dernier par rm d'année, qul seront au~$Î celles de Les lloroires l'Ont disponibles auprès appel d'ojfre.'i. Malheureusement, la lin du siècle et de l'entrée dans Rens. : M. Gratien, proviseur Rens. : Mme Ambielle, principal du conducteur, a-t-elle été trop ambitieuse ? Elle le nouveau millénaire. ou au 01.39.20./6.20. adjoint au 01 30 57 JJ 33 adjoint au 01 19 44 14 80. 6 1 L :\s 10 Pt 11 n1 1r ~ p n.1ch~1in" ll'~ \'~"' KhHÎOil' pat t ~era pré~enté le chaine à Montigny du congrè!> dé­ Un salon adapté pour le uHome Cinéma •. réalisée par la société fran­ mo1s procham. partemental de~ Anciens Portes--outlertes cilienne lnt'elec DomotiQue, présente au Forum des 10 et 11 mars. www.mairle-montigny78.fr/ Combattants que la section locnlc en mars de I' UNC sc c harge de préparer Armelle Aubriet n'a pas manqué teune~· e sous la houlette de Raymond Le­ de souscrire à cette initiative, ct bon. de rappeler l'édition prochaine de la ~em ai ne culture lle " Paroles Des actiflités pour les flacances A la maison L. DeloiJ. d' Lgnymontains·· qui Impliquera toutes les associations culturelles Les services municipaux et/es as­ des percussions. ùe la fabrication J J février pour JOO P. ln semoine. aflec le Radio ~ Ciub sociations proposent des activités d' instruments, du 14 au 18 févner. ii 6• : rnnth et françoiS (le mtltm). 5• : de Montigny-le-Bretonneux dans de lots1rs diverses pour les va­ la Maison des Chorales (rue de Plou­ math et français (l'uprès-midi), 4' : A la même heure. cc sont encore de cadre de journées portes ou­ callces scolaires d'hiver. gastel au Manet). Le tarü est de 565 math et Mglnis (le matin). 3l' : math les radio-amateurs du Radio-Club vertes. Pour ceux qui veulent dé­ F. Nadine Clatot au 0 J 30 57 16 S 1. et anglais (le matin). Seconde : math f6KRK qw sc réunissaient pour couvrir l' univers pru>:,ionné des de ISh Il 17h. Rens. et inscriptions : l'Epiphanie à la Maison Léon De­ radio-amateurs, le rendez-vous est 013043 43 39 De l'art, de l'art Et du sport•. .. toy. En présence d' Am1c lle Au­ donc déjà programmé à la Maison Côté Direction de la Culture, plu­ briet, adjoint au maire chargé de La Direction des Sports annonce pour Léon De lay le moi~ prochain. SICIUS stages sont propos~ du 7 au Il dans les maisons la Culture. le président Dumur Nous en reparlerons plus en détail févner autour de la pmtique d' un on sa pan ses traditionnels (car fruc­ dressait un bilan posttif de la vie dans notre prochaine édition. plastique. Au Conservatoire des Ans. tueux) stnges du 7 au 18 ftvrier au cenlre Couberun. Stage omnisports de quartier les 7-1 1 ans pourront d~couvrir J'œuvre de Chagall (9b à 12h- 480 F pour les 9- l5 ans de 13h30 à 17h30 Les programmes sont aussi établis (190 F.), et stages de tennîs pour les pour les acuvi~s quotidiennes dans Igny.). Les 5-6 ans réali ~> eront une fresque murale (9b à 12h - 480 F 10-13 ans de 13h30 Il 16h30 (370 F.) les maisons de quartier. A Jouvet (la 1 Igny.). Enfin. les 13-18 ans s'initie­ et pour les 13-16 ans de 9h30 à 12h30 Sourderie). le ft1 sera arustiquc pour ront il la prauque du dessin. mjne de (370F.). les 8115 ans, qui pourront sc lancer plomb. pastel sec ... (14h à 17h - 480 Rens. et inscription on mairie ou au dans de multiples tnitintions (Hip PIgny.). Du 7 au Il février tOUJOurs. 01 39 30 31 80. Hop, dMse afro. percu$sions, café- ~ deux ~tnges · de t,hélitre impliqueront théltre, graphisme), en vue du spec­ tout d'abord les 13-15 ans autour tacle WlDUcl de la rruùson le 20 mai. d'un proje ~ de court-mé1ruge vidéo Les rétlisions et A ln uuùson de quanier Mnlraux (les 1 (9b à 12h - 480 F Igny.), et l e.~ 8-10 Pn~:~). le~ an imations quotidiennes ans pour Ul)e irulÏJ11ion au th~tre (Du l'in formatit(ue pour les 8/12 3115 donneront lieu à di­ 14 au 18 févner 13h30 à 15h30- 323 Les révisions scolaires et les stages verses visites (musée de la paléonto­ l' lgny .). Pour tous ces SUl ge>. les ins­ d'informatique ont leur lieu Lrad.ition­ logie, par.inQ!Je de l'Hôtel de Ville de criptions sont prises au Com;ervatoire ncl d~is à ta Maison de la Rfus. Paris. c1rque Moreno. jardm d'accli­ des Ans. 1 parvis des Sources au sit~ Si les stages combinés infonna­ mawoon) el le tMme retenu par l'lita· centre ville. 'f€1 : 01 34 52 07 41 ti que et sports sont d'ores et déjà bli~ment esti'Afnque. la Compagnie des Polissons organise complets, les tl~ de col.l~ge et !y­ Un u ul m~miro pour u dlUlils dt$ un stage-atelier musical pour les en­ ete peuvent suivre un stage de révi­ a.ctivill$, l11•rviu ]taMs.ft 1111 : Les Seniors du Club de l'Amitié ont reçu la visite de Nicolas About à fants de 6 à Il ans, autour du chllllt, sioo de deux heures par jour du 7 au 0139 3030 70 l'heure de la trang1pane. Ils n'ont pas non plus oublié de danser.

N ' 86 • Février 2000 1 7 Yuartiers

1 1 LE PAS .DU LAC 1 LE PLAN DE L EGLISE La DIRE est installée Le conseil de quartier prend date Le conse1l de quanier présente ses partie au niveau des quartiers. dans ses murs meilleurs voeux aux habitants du Le conseil de q uartier a donc Plan de l' Eglise et aux lecteurs de monté un group~de travail dyna­ Près de l'école primaLre d11ns des ce journal, voeux bien nécessaires mi4ue (Danièle Halbutier, Xavier locaux indépendants, la DIRE a après une diflicile fin d'année. Plassard, Marie Toussaint, Nicole emmênagé dan~ son pied-à-terre au Le quanier à l'instar de beaucoup Duros ct Jot!lle Osanno) pour or­ Pas du Lac depuis le début de l'an­ d'autres a été sérieusement touché ganiser l'animation sur le quartier née. Après Les Prés, la Sourderie. par la tempête de lin d'année. Cer­ le l>amedi matin, la décoration du St Qucnun et le Manet, l'assocta­ tains foyers ont vu leur toit perdre quartier ct la participation au défi­ tion de prévention ouvre à cette oc­ quelques tu iles et leur cheminée, lé de l'après-midi. casion sa 5' antenne éducattvc dans ct le centre commercial ayant lui Le travail de groupe est d'abord un quartier de la commune. Pour perdu une grande partie de ~cs de déCim r un U1ème propre en res­ Pierre Carrière, J'êducau:ur qui di­ arbreN. Serait-ce un signe alors pectant le thème général de la fête rige l' mitiative sur le terrain, cette même 4ue le conseil de quartier él q ue "O nt lo!s quatre couleurs de antenne va fonctionner sur un mo­ remis en chantier en septembre Montigny. de un peu ~péciCiquc . "Nous n'al­ dernier l'étude d'une restructura­ Les couleurs de notre q uartier lon.s pas organiser de plan d'aide tion des places ct du carrefour de sont rouge et vert. aux devoirs pour l'instant en fa­ ce centre 'l Ce groupe de travail est ouvert à t•eur des enfan/S car. de l'avis mi­ Cela encourage la réflexion du tous les volontaires du quartier me dt!s usagers, le clisposilif mis en groupe de travail ml!né par Jean­ qui sont assurés de monter un pro­ place à la maison de quarlier H. Luc Gras ~e t, auprès de qui vous jet réjouissant et dans une bonne Matisse remplit parfaitement cet pouve~ vou~ manifester pour faire arnbtanee. Pierre Carrière (à droite), ici avec Afexandre Sissoko de l'association objectif." part de vos idées. C'e~t une occasion rêvée de faire "Bien Vivre au Pas du Lac", dirige cette nouvelle antenne de la DIRE vivre votre quartier et de meure à Des missions sur le quartier. L'année 2000 jour son âme ! ! ciation, ou en encadrant les jeunes bitants. Son aJilennc accueille les en rou9e et flert... Avec un groupe scolaire dyna­ éminement sociales en quête d'tm projet personnel ou jeunes le soir. S1 vous y voyez la mique et des commerçants moti ­ vés. ct avec la participaL.ion des En réalité, pour son directeur Ro­ professionnel. Il est certain que lumière aUumée. n'hésitez pas à Après fe sérieux, fa féte associations. nou·s avons les dolphe Dorée, la DIRE s'installe au Pierre va notamment travailler franchir le palier. L'an1enne de la Alors que les autres communes meilleu.rs chances d'y arriver ! Pas du Lac pour un triple objectif. avec les jeunes du quarrier. y com­ DIRE est Le Lieu d'accueil de tout offrent des fe t e~ !>pectacles à leurs N'hésitez pas une seconde à parti­ Il s'agit d'abord d'assurer l'accom­ pris bien entendu les jeunes en dif­ Je monde. habitants en cene symbolique an­ ciper à ce projet sympathique et pagnement soctal des babirants en ficulté, dans l'optique d'irûtier des née 2000, noire municipalité a contactez le groupe de travail au­ faisant le lien entre leurs demtllldcs projets personnalisés." C'est par lancé la préparation d'une fête des Les travaux sont lancés près de Danièle Halbutier au 01 en matière sociale et le suivi auprès exemple déjà bien engagé avec la fgnymontains prévue pour la sa­ 30 43 44 59, ou auprès du Service des administr.ttions concernées. En nouvelle association Bien Vivre au à Ja MQ Matisse medi 17 juin 2000 sur toute la vil­ Evènementiel au Ol 39 30 31 38 partenariat avec la cellule de Mon­ Pas du Lac créée par huit jeunes du C'esl parti pour 5 mois de travaux le. ou auprès de l'un des membres du rigny de SOS victimes 78, la DIRE quartier pour développer plus de de réhubililntion de ln maison de L'idée maîtresse est que les habi­ groupe de travail. s'attachera également à l'aide aux convivialité entre les habitants, quartier Matisse, sous l'égide du tants quels qu'ils soient préparent Nos autres rendez-vous victimes de toute nature. "En qu'ils convieront d'ailleurs pro­ cabinet d'architecte ignymontain et organisent la tète au travers des chainement à une réunion d'infor­ en 2000: sillonnant le terrain et ~ la ren­ Atelier Cr~ . Mats rassurez-vous structures associatives, conseils contre des habitan/S du quartier, mation. car pendant les travaux, les activi­ de quartier ct écoles ou indivi­ - le 23 ou 30 septembre aux jeux Pierre Carrière a commencé à ar­ Pierre Carri~re va égalemem s'at­ tés coottoucnt sous l'autorité de duellement. En effet, réaliser un Erik Satie pour La fête de quartier racher à fa1·oriser er 1•alonser l'ini­ pemer son terrain, dans les mails et Joël Valier, le directeur de la mai­ projet e n commun tisse des liens - le 28 octobre pour Halloween à tiative locale. en aidant par les sentes. au pied des immeubles. son de quartier, ct de son équtpe bénéfiques pour tous. la Marc Catllon exemple à la création d'une osso- pour connaitre et rencontrer les ha- d'animation. Une partie de cette fête s'organise - le 16 décembre pour Noël à la au niveau de la ville et une autre Marc Caillon.

I LES PRÉS 1 1 LA SOURDERII Abatta9e pro9rammé à la Maison de quartier jouvet pour le quartier les animations Des arbres. c'est bien . Trop pour {étlrier d'arbres, ça étouffe. C'est en tout ens 1' avis de beaucoup de ri v c­ Les évènements vont s'enchainer lier à 20b accueille le groupe Ar­ rains des sentes des Chardons, du cc moi!l-~i à' la maison de quamer kaniendo (rock circus) Serpolet et de l'allée du Plantin. Louis Jouvet pour tous les pu­ Pour p lus de détails sur l'en­ La ville a été amenée à faire ce büc~ . semble des ces évènements. constat à la suile de plusieurs Le vendredi 18 de 1Oh à 17h, tous adressez-vous direcrement à l'ac­ courriers de ~;ollicita t ion en ce les footeux ont ·rendez-vous au cueLI de la maison de quartier ou sens. notamment de syndics de stade Roger Couderc pour un appelez le 01 30 64 05 76. copropriété. Lors de sa constnJc­ tournoi de foot inteT-quartier. Lion dans les années 70. on en a L'établissement annonce égale­ L'histoire de la commune effet beaucoup planté ~ur le quar­ men! une soirée Ciné-quartier exposée en mairie tier des Prés qui était naturelle­ pour le rnême jour. ment dépourvu d'essences. Cene Le amcdt 26, Jouvet réédite sa Le hall de l'Hôtel de Ville ac­ cueille JUSqu'au mois de juin une générosité d'autrefois se traduit fameuse soirée Casino, toujours exposition photographique évo­ aujourd'hui par une masse exces­ très populaire, avec en prime un quant la construction progressive sive, ce qu'a révélé une étude spectacle musical orchestré par le de la commune e n une trentaine réaltsée à la demande des ~er­ ct occultent la lumière dans les panneaux d'information sont ac­ groupe Yemada La Banda et sa d'années. l'urbanisation des quar­ vices municipaux récemment. appartements des étages infé­ tuellement appo~és pour prévenir salsa cubaine. Par leur densité trop importante, rieurs. Les copropriétés concer­ les riverains, et dans un mois Eolïo, le mardi 29, la deuxième tiers. l'éclosion des grands chan­ tiers alors que Montigny était en­ les arbres engendrent des pro­ nées, le conseil de quarlier ont commencera l'intervention. Elle soirée Répèt'Livc ouverte à tous blèmes aux entrées d' immeubles avalisé le projet d'abattage. Des durera deux semaines. dans le hall de la maison de quar- core un petit village agricole. 8 : N <· 80 - Fevrier 2000 ----~------~------~ Où cultiver votre jardin ? S'initier à une activité artistique, c'est un appel plus qu'un choix. C'est aussi un plaisir doucement conquis dans l'effort per­ sonnel. C'est encore cultiver sa personnalité et e.xplorer ses pay­ sages intérieurs jusqu'à une certaine plénitude. Vouloir être un artiste est l'apanage de chacun, et ils sont nombreux à ressentir cette inclination au sein des écoles d'art de la ville ou au sein des associations. Ce dossier dresse plus prosaïquement un inven­ taire des lieux où se cultivent ces passions à Montigny, et de quelques personnages qui par leurs efforts et leurs talents ren­ dent ces espaces vivants. --- Armelle Aubriet, adjoint chargé de la Culture "nous répondons aux 11 attentes des lgnymontains ; pliant Jacques Brel annonce la programma­ compositi on de la Commission culturelle. tion cinéma de la salle du même nom et la Il e~t important de les soutenJT sans les programmation culturelle mise à jour. qui rendre financièrement dépendantes. Nous 1 sont aussi reprises dans votre journal. Ains.i menons à leur disposition. par convention cette année outre les deux film.o,; heblloma­ annuelle. les locaux nécessaires à l'exercice daücs, les programmes de Connai~sa nce du de leurs activités. Monde, nous progrnmmerons au minimum Nous leur allouons une ~ubven tion qui leur 18 spectacles, 21 expositions et 6 manifesta­ permet généralement d'mvestîr dans le ma­ tions. Nous proposons du théâtre. des vnrié­ tériel communautaire spécifique à leur acti­ tés, de la musique amplifiée, des comiques. vité. Cette subvention votée par le Conseil de la musique clns~ique, de l'improvisation, Municipal dépend de critères proposés par du tango ... invitant des artistes de renom que la Commission Culturelle qui tiennent nous voyons "à la TV". des jeunes créa­ compte du nombre d'lgnymontains adhé­ Le Journal : Armelle AUBRIET. quelles teurs, des anistes internationaux ou des rents, des formations données par J'associa­ les gmndes lignes de lu polilique muni­ lgnymontains. Plus de 60.000 entrées, sans lion à ses intervenants, des manifestations cipale développée e11 faver«r des publics tenir compte de la fréquentation des mani­ générées, du montant de la cotisation, des ignymontains ? festations, nous permettent de penser que heures d'activités ... AnneUe Aubriet : notre priorité c'est de ré­ nous répondons aux attente$. Nous les aidons dans leur vje journalière en "Les conservatoires muniivpaux ac­ aux besoins exprimés par les lgny­ réalisant des photocopies, en les aidant pour cueillent envirion 1600 élèves enfants et rnonlains en proposant des spectacles el des Le Journal : quelles sont les priorités de la leur communication et leurs manifestations adultes." animations et en leur offrant la possibililé municipalité en matière crtlturelle ? ponctuelles : prêt de la salle Jacques Brel, d'être un acteur culturel. Armelle Aubriet : Pour être acteurs cultu­ de la Ferme du Manet, affiches, prêt de ma­ "public d'initiés. Chaque année, comme cer­ Ces offres évoluent en fonction des de­ rels, les Jgnymontains out à leur disposilion tériel.. .. Elles apprécient le Forum des Asso­ taines associations. écoles, collèges et ly­ mandes, des besoins et s'adaptent à l'évolu­ one palette d'activités très large. C'est vers ciations. Cette année, la semaine culturelle cées, nous répondons aux propositions qui tion de la ville et de son environnement. ces activités que vont nos priorités, en parti­ "Paroles d.'Ignymontains", à partir d.u 18 nous som faites pour que les élèves du Nous rencontrons les Ignymont.ains lors des culier au travers de l'aide aux soixante dix mars 2000, permettra à chacun de les ren­ Conservatoire de Musique puissent rencon­ manifestations, lors des spectacles et surtout associations qui sont très présentes et offrent contrer en s'essayant à la pratique de leur trer des grands musiciens, assister à des ré­ des Commissions Culturelles. En taru la possibijité de pratiques très diverses : le activité au cours des portes ouvertes ou en pétitions. Le Conservatoire d'Arts Plas­ que Municipalité nous nous devons de ré­ théâtre, les jeux, la chevalerie. le bien-être, les admirant durant leur représentation à la tiques effectue des visites guidées. parfois aux besoins quotidiens. aux choix la musique et les chorales, les langues, les salle Jacques Brel. par l'artiste, des expositions programmées. académiques et à J'envie de loisirs culturels. arts manuels, la danse de salon, les tradi­ Toutes ces participations sont construites C'est pourquoi notre offre très large s'enri­ tions, le scoutisme, les technologies, les ba­ Le Journal : quelles relations entretenez­ dans des rencontres courtoises avec Je direc­ chit tous les ans et s'adresse à un public al- · lades et voyages, les collections... Plus de vous a~·ec le Théâtre de Saint Quentin, teur de la Scène Nationale, et l'équ1pe en lant de la maternelle au quatrième âge. des 3600 personnes en sont des adhérents pas­ I'Ecomusée et la Médiathèque du Canal au charge des relations pédagogiques. Arts aux activités scientifiques en passant sionnés et passionnants. cemre ville, qui sont de gestion intercommu­ par les langues, la chevalerie, la balade cul­ Trois conservatoires municipaux : Ans plas­ nale ? turelle .... Nous veillons à l'accessibiliré par tiques, Musique, Théâtre accueillent environ tous en pratiquant des tarifs dégressifs fami­ 1600 personnes. 220 autres personnes prati­ Armelle Aubriet : en tant qu'adjoint chargé liaux. La saison quent l'art floral , la poterie, l'encadrement. de la Culture, j'ai. peu· ou pas de relations culturelle est pré­ la couture, le cartonnage. Les outils mis à avec ces structures puisque ·la gestion inter­ sentée chaque disposition bénéficient des dernières possi­ communale fait qu' elles sont directement année, en Sep­ bilités techniques. Ainsi au Conservatoire gérées par le SAN. Je ne peux pas être tembre, dans Je des Ans Plastiques, un atelier Photo permet, membre de leurs conseils d'administration guide "Sortir à entre autres, de pratiquer la photo numé­ puisque je ne suis pas nommée par le SAN. Montigny". Ce rique et son traitement sur ordinateur ct, au Notre offre culturelle est construite comme guide en contient cours d'Infographie. les participants s'ini­ complémentaire des propositions faites par r ossature qui est tient à la création artistique sur ordinateur. ces structures : l'Ecomusée qui fait un ex­ complétée en cellent travail de mémoire, nécessaire à cours d ·année Le Journal : les associations proposent une notre histoire et à notre enracinement, méri­ ·par les nouvelles offre très (/.ivcrsifiéc d'activités et som des te d'ètre mls plus en valeur. La Média­ propositions des partenaires indüpensables. Gemment s'ot1i­ thèque, très utile, serait encore plus appré-­ lgnymomains, de culenl les relations avec elles ? ciée si ses heures d'accès au public étaient "Nous programmerons leurs amis, des plus nombreuses surtout pendant les pé­ au minimum 18 spec­ écoles et des Armelle Aubriet : les associations sont ef­ riodes de vacances scolaires. tacles, 21 expositions villes jumelées. fectivement des partenaires essentiels. Leur La Scène Nationale favorise les résidences "Les associations sont des partenaires et 6 évènements cette Une édition place importante a été positionnée dans mes d'artistes el les créations, ce qui la conduit à essentiels et constituent le coeur de la jsaison." mensueJie du dé- propos précédents. EUes sont le cœur de la avoir une programmation qui attire plutôt un commission culturelle". ------~~~------

- N" 86 • Fôvrler 2000 9 La Ferme du Manet Les lieux ''Que ,.e soit pfmr des specwcles Un e passion, on aime tout d'abord tions sont aussi à cc titre de, ac­ de l•clriété. de rhéâtre ou de mu­ l'assouvir, mais on aime aussi la trices indispensables pour la dif­ sique, c'esT a l'a nt Tout pour moi faire partager, La falrc découvrir il l'U$ÎOn de cet art de vi vre. de cet an excellent outil de travail. d'autres qui viendront enrichir an de vie que représente l'appren­ C'esr un lieu doté d'une équipe noue propre cxp~nencc , nous tissage d'un art. de cechrticiens très professior(J!els confronter à de nouvelles pers­ Mais pour exister et s'exprimer. et disponibles, d'rm excelfent vo­ pccti ves, de nouveaux horizons. elles ont avant tour besoin de lume pour le son. En püts. là sal­ En marge mais pas en retrait de lieux où se retrouver et de sub­ le est belle, ce qui ne gâte rien. " l'offre municipale, c'est celte pas­ sides pour organ~ er les activités. Pierre Lumbroso, producteur de sion conjuguée et capitalisée qui C'est à cc moment qu'entre en spectacles habitué aux salles pa­ est le ressort de la vie associative. scène la collectivité. A Montigny, risiennes. sait à l'évidence de Et c'est encore plus vrai pour les plus de 75 as!>ociations offrent quoi il parle quand il s'agit de disciplines c uJLUrcllcs et artis­ une p11lette de loisirs culturels son métier. Sa parole n' en a que tiques où la notion d'initiation. de d'une dchesse sans égal. Voulez­ plus de valeur, en particulier lors­ travail et de lente progression vous revisiter l'époque médiévale, qu' il évoque les sentiments qu'il prend mut son sens. Les associa- ses joutes et ses coutumes, trois a partagés sur la Ferme du Manet avec les nombreux artistes (Guy Les plus grands artistes (ici Liane Foly en 1999) se produisent à la Bedos. Smaïn, Michel Delpech. Ferme du Manet. Liane Foly , Dan y Brillant ... ) qui de la chanson, des pièces de s'y sont produits. se prêtant aux enLrCpriscs pen­ théâtre de la salle parisienne, des La Ferme du Manet oc doit son dant la semaine, pour être mieux concerts, des soirées spéciales. briUant pré$ent qu'à la volonté de à la disposition des fgnymontains Les anciennes écuries accueillent , ta ville de la faire revivre. Celle le week-end. Les séminaires et régulièrement des expositions qui fut pendant plusieurs sièc.les congrès d'entreprise financent d'arts plabliques. Plusieurs asso­ le fer de lance des exploitations l'entretien du site. Ainsi, les ciations comme les amateurs agricoles de la région avait som­ salles à louer ou les spectacles ré­ d'échecs de la Dame Noire ou bré corps (de bâtimenl'l) et âme guliers peuvent être ajustés au encore Montipateh y ont trouvé (du passé) depuis t'arrêt de son plus juste pour les familles et les un refuge de choix pour vivre exploitation en 1976. A la fin des spectateurs. La Ferme du Manet pleinement leur activité. La Fer­ années 80, la ville récupérait les accueille également un hôtel-res• me du Manet est enfm le Lieu de ruines et engageait une réhabili­ taurant de qualité, un relais-natu­ gravitation principal des grandes tation ambitieuse pour loi redon­ re, un poncy-club, ct des salles li­ fêtes populaires comme la Ves­ ner ses habits de patrimoine iden­ vrées aux associations culturelles prée ou la Cavalcade en juin pro­ titaire de la commune, avec une de Montigny. Elle est donc deve­ chain. mission nou veIl e . En 1991, nue au fil des années un équipe­ Concentraüon et joutes cérébrales sont de mise dans les nouveaux Jacques Chirac signalait cette re­ ment polyvalent au service des locaux ouverts récemment prés de l'école Daudet, où se retrouvent naissance en inaugurant un lieu à appétits culturels des lgnymon­ Ferme du Manet régulièrement les btidgeurs du Hérisson et les amateurs de jeux de vocation polyvalente. Schémati­ tains. Dans l'ancienne grange 61, avenue dll Manet réflexion de Queimada. quement. la Perme est un lieu qui monumentale, une salle de 800 TeL : 01 JO 12 30 30 génère ses propres ressources en places accueille de grands artistes [email protected] La Maison Félix Le Conservatoire d1Arts Plastiques

"Après avoir arrêté de travailler, chemin du Conservatoire des neux, qui perrnet de décliner les j'ai eu envie de m'initier à l'art Arts Plastiques cr~é par la viiJe cours et les ateliers. A la pei.ntu­ , plastique. Le cours que je suis en 1995. De prime abord, on dé· re, la sculpture, le dessin et le pour la deuxième année est bien couvre un superbe vaisseau ancré mode·lage se sont vire ajoutés les adapté à mon niveau et me per­ dans l'immeuble le Grand Pavois initiations à l' infographie et ré­ met d'explorer le de.fsin, la pein­ au centre ville. face à l'église St cemment à la prise de vue. photo­ lllre, la sculpture. .l' aime aussi Quenrin les Sources. Quand on graphique. "Le Consen•atoire ac­ les ret1contres, les rapports qr1e pénètre à l'intédeur, on devine le cueille aujourd'hui 500 élèves je peux nouer avec les autres lieu qui donne envie d'apprendre. encadrés pur 7 professeurs. Il re­ "J'y ai exposé en mars 98. C'esT son Félix est le lieu d' cxposuion éfë,,es. Je participe ainsi rm peu Conçu sur les deux premiers ni­ çoit les élèves dès trois ans. Nous un endroit très tOmlil•ial eT char­ des artistes locaux, en devenir ou à fa vie de la commune". Chaque veaux d.u bâtiment, il recèle un sommes w1 peu victimes de notre manr, qui subissait némm1oim 1m tout simplement passionnés. Elle semaine, Marie-Claude prend le vaste espace moderne et lumi- succès puisqu' a1•ec des effectifs problème de signaléTique et wr est gérée par la Direction munici­ en ùolution comlanll.', f' équipe­ éclairage ù pcufairt!. Depuis, Ci!.\' pale de la Culture qui y conçoit menr fonctionne prariquemem à choses ont été améliorées. ez un chaque année une saison imégra­ plein régime. Ce qui n'exclut pas l1011 coup de pinceau'a même le en répondant aux sollicttations lo nécessiTé de proposer des in-· donné un thtlrme .\llpplémemaire croissantes des exposants poten­ /IOI•atiOIIS en permanence m •ec fi/lx saffes d'e\1JOsirion". Ronan tiels. Chaque mois, nos colonnes par exemple l'acqttisition réceme Jacq est lgnymontain. photo­ se font l'écho de l'c;qmsitlon pro­ d'une presse de grt.ll•ure et d'un graphe amateuf. ct sillonne ln grammée, dont la vnte est parte­ aérogMpile, afin d'offrir de llnrt­ planèt~ en organisant des trcks. Il nam~ en aidant à la communica­ veauA moyens d'expression. " Ar­ ramène des mi llier~ d'images de tion et en organisant le melle Aubriet. adjoint chargé de se!> périph:s, tju'il ~ · es t décidt.! à vernissage. Séduit par :-;a premiè­ la Culture. ajoute que le Conser­ exposer car la Maison r élix lui re expérience. Ronan est sur les vatoire a une vocation de loisir. en donnait l'opportunité. lJ rangs pour exposer à nouveau la "L'atelier préparatoire aide ce­ ~ ·agissait de sa première exposi­ saison prochaine. En deu.x ans. il pendant les élèves qui veulent tion en solo. Car c'est là l'origi­ a réalisé de nouveaux clichés au préparer l'entrée dans des écoles nalité de cene maison que le.s an­ Kilimandjaro ou clans les parcs cf an." ciens propriétaires auj ourd'hui américains, qu'il aimerait parta­ disparus, les Félix, voulaient ab­ ger. "Deux an,v, c'est parfait pour Olnsen•atoire municipal solument que la ville récupère ct mesurer IllOn évolution sur le d 'Arts Plastiques fas~ e vivre comme lieu culturel. plan anistique ;<. Et quand le pu­ Le Conservatoire d'Arts Plastiques accueille 500 élèves. jeunes 1, parvis des Sources Er~gée dans le cœur du quartier blic y trouve aussi son compte, ln ou adultes, et offre une palette très variée d'activités. TéL : 01 34 52 07 41 du Village, rue Mazière, la Mai- Maison Félilt a rempli sa mission.

10 N ° 86 • Février 2000 associatifs La salle Jacques Brel ''Pour IIOIIS. il y a 1111e odeur spé­ ciale dans reue salle. t'ertuine­ mem liée ù 110s suul'l!llirs de ré­ péTition. dt scètu•. de peur... " 1Emilie ct Julien sont panni les in­ conditionnc:ls de la salle Jacques Brel. A h.:ur décharge, ils sont tombés dedans tout petits, en fai­ san! très tôt leurs premiers pas sur les planches à l'école de théâtre municipale. "C'est d'ailleurs après avoir découvert J. Brel comme une salle de rlu!litre que IIOIU avons pris L'ha­ biwde d'y \'enir au ciné. Jacques Brel, c'est rm peu cirez twus. On y a beaucoup de souvenirs, comme Ouverte en 1983 alors que Montigny comptait 15000 habitants, la notre première rcpré.fentaJion de salle Jacques Brel fui la première salle de spectacle créée sur la La municiplaité a créé la Maison des Chorales depuis la rentrée au Srarmania au Fes rival des Racine commune. Manet, pour réunir les nombreux groupes de chants, comme la du Jeune tlriâtre e11 /997." Pour chorale des Alysées ci-dessus) dans une saine émulation. d'autres qu Emilie ct Julien, la diversité de public qui donne son Refaite à neuf salle Jacques Brel est avant tout âme à la salle. Le lieu est hab1té associations vous y invitent. Voo­ cis. Chaque quartier recèle sc<~ d'aspirations communes ou diffé­ La mumcipalité a consenti des et­ lez-vous apprendre une langue lieux où la lumière est allumée le cinoche de quanicr qui assure rentes, mais il vit quotidienne­ fons tmportants ces dernières an­ étrangère, découvrir l'arne sud­ chaque soir. Vous pourrez une programmation équilibrée, ment. Chaque ~<>ir. la ~alle nées pour améliorer le confort américaine, africaine ou asia­ d'ailleurs les découvrir ou les re­ entre sorues nationales et projec­ Jacques Brel accueille son public, des spectateurs. Son Dolby sté­ tique? Des associations sont à découvrir à l'occasion de la sc­ tions pour cméphiles, tout en pra­ pour une répétition. un lilm, une réo, climati sation ou encore fau­ votre disposition. Voulez-vous maine culturelle ''Paroles d'Igoy­ tiquant des tarifs singulièrement représentation. Un public de fi­ teutls flambant neuf depuis le dé­ chanter, jouer la comédie. danser? montalns·' du 18 au 26 mars inférieurs au complexe cinémato­ dèles qui plus est. Car 4uand on a but de la saison, rien n'a été laissé Réfléchir, vous exalter, tour­ prochains, lors des journées graphique du centre ville. goOté au ciném!l à la sall e au hasard pour qu'on se sente billonner. méditer. fabriquer? Un portes ouvertes qui permettront Jacques Brel. on devient en règle bien à Jacques Brel. Bien sûr, coup d'oeil dans le guide de Mon­ aux associations de se montrer et une salle plurielle générale un adepte. l'écran est plus petit, l'ambiance tigny ou sur le site Internet, et la de séduire. Quelques lieux com­ Pour d'autre<; e ncore, la salle "co~y· · ne correspond pas au goût longue liste des associations vous me la Maison Léon Deloy au Plan Jacques Brel est une salle de ~'un public consommateur de en montrera toujours plus. Ce dy­ de l'Eglise . ou la Maison des Ch o­ spectacle de 300 places, Idéale produits aseptisés. Mais comme namisme, les associations se l'au­ rel! es au Manet sont dédiés à des pour la saison de spectacles desti­ le souligne Armelle Aubriet. ad­ torisent parce qu'elles ont l'espace activités spécifiques. D'autres éta­ nés au jeune public, ou encore joint chargé de la Culture, "la ct les moyens de l'offrir. Muni­ blissements comme les maisons La pour les spectacles mi> sur pied salle Jacques Brel est SOill'elli le cipalité verse chaque année une de quartier ou les salles de la Fer­ ou proposés par les a~.sociations premier cinéma que les parents enveloppe de subventions d'envi­ me du Manet sont plus polyva­ ou le Conservatoire de musique. permeuent de fréqrtellter à leur ron aux as ociarions lents et favorisent L'échange par­ 300.000 F Il arrive même que la salle se progéniture". Et quand on a mê­ culturelles selon des critères pré- delà les univers de chacun. transforme en heu de réunion. me la conliance des parents.. Cene polyvalence bien as~un1ée Emilie et Julien ont découvert fai t que les public.~ les plus divers la salle J. Brel grâce à l'école Salle Jacques Brel gravitent autour de la salle de théâtre municipale et en 4, rue de la Mare aux Carats + Jacque~ Brel. Et c'est au~si cette apprécient la polyvalence. Tél. : 01 30 44 10 11 Le Conservatoire Agréé de Musique "Che:. nous, la mu tique, c'est une pense un enseignement musical fesscurs diplômés qui animent ré­ hwoire de famille. Les enfants y riche et diversifié, dont l'un des ob­ gulièrement la vie anistique de la sont. j'y suis, el je ne désespère pas jectifs principaux est l'épanouisse­ VIlle par des concerts, des anima­ Avec plusieurs autres associations, /es amateurs d'échecs de la Da­ que mon mflri y soit rur jnur. '' ment de l'enfant à lnlver~ la pra­ tions. mc Nofre peuvenr compter sur un lieu de choix pour pratiquer leur Comme Chrisune et sa famille. si tique d'un instrument. Sten sOr, Conservaloire municipal agréé de passion. Ils se réunissent dans les salles réseNées à leur usage à la vous voulez vraiment apprendre la l'enseignemem. égalemem ouven Musique: 0/ 30 64 JS 73 Ferme du Manet. musique. voul. ave1.. frappé à la aux adultes. est assuré par 36 pro- pklce Jacques Coeur. bonne porte. Vous gratouillez d'un mstrumcnt ~ans conv1cuon. passez votre chemm. Au Conservatoire municipal de Musique, la musique Les autres écoles est chose sérieuse et rigoureuse. L'éqotpement a pour vocauon de former les musiciens et s'y attache. municipales L'nppcllauon "agré~" accordée par le minhtèrc de la Cultllre a Deux autres écoles municipale' école "nomade", celle qui fédè­ d'ailleurs pour objet de bien mar­ n'ont pa~ (encore) leur lieu d'ex­ re les activités manuelle~ el artis­ quer œuc volomt ct cene crédibili­ pression con<:acré. mais cela ne tiques proposées sous la banniè­ té. ChrisTine Cadours. directrice de retire rien il leur vi talité. Le~ 230 re municipale. qui propose de Jo Culture, ahonde dans ce sens. élèves d.: l'école municipale de l'art .floral, du canonnage, de la "Quel qru.' wit ltmr lige, 110s 700 thé11tre se partagent entre la salle coutur·e el de l'c ricadrcmcnl. Les élè1•es sont initit!.ç par des profes­ Jacques Brel, le Conservatoire ateliers se déroulent chaque se­ SI!tlrs ltauremcm qualifiés. La répu­ des Art~ et la maison de quartier mrunc dans les maisons de quar­ talicm de sérieux du Conservatotre Louis Jouvet. Elle accueille les tier Malraux ct Jouvet. ct n'tst plus à faire pamri .res uragers enfants dès 5 ans. ct s'illustre concloent chaque saison par une et nous 110us attachons à tenir chaque année lors des "Racine exposition des travaux au 1101re rang." Avec ses Il classes du jeune théâtre'' et des spec­ Conservatoire des Arts. équipées d'un parc instrumental Dans la famille Michel, on pratique tous /es percussions au Conser­ tacles de fin de saison. Autre Ren.. : 01 39 30 3/ 70 conséquenT, le Conservatoire dis- vatoire, sauf le père. Mais là aussi, l'espotr demeure ...

N ° 86 • Février 2000 11 r~ • . 6JOSSter . _ -.... _.. _. ... : ' ... ·.. -. . ~ >· . . . '.. ·. :~ ~:~) ..... ~ -~· ~~: ~:-- ... . ~~·!'":'' . ·_..:::~. ~~.. ,~, Christine Cadours, Directri ce. de la Culture les équipements 11 1 communautaires / art collectif de savoir travailler ensemble 11 Le théâtre- ter, échanger. discourir sur les évé­ de la Culture développe un parte­ nements passés afin d'évaluer les nariat quotidien, en metant à dis­ médiathèque difficultés rencontrées et mesurer position des locaux, en soutenanl les prochaines.lJ n'y a pas un pro­ leurs actions. Notre mission est U faudrait bien sûr plus que ces me est diffusé chaque mois en pa­ blème spécifique lié à un événe~ d'ouvrü le plus grand nombre quelques lignes pour décrire dans ge 14 de votre journal) et ac­ ment., ce sont des contraintes liées d'activités possibles et d.iverses, le détail ces deux équipements­ cueille des artistes en résidence. JI phares de la pratique culturelle lo­ accueille égaleme nt des exposi­ aux métiers de Ja culture. que ce soit en arts plastiques. en C'est donc grâce à ce travail de cale, qui s'adressent plus large­ tions de plasticiens dans sa gale­ musique, ou en l11éâtre et là aussi communication que la cohésion ment aux Saint-Quentinois qu'aux rie. La Médiathèque du Canal est nous sommes à J'écoute de cc qui existe au sein de la Direction de la seuls lgnymontains. Créé par le le vaisscau-:.miral d'un réseau est offert dans d'autres communes. Culture. Travai]]ant de conccn, en SAN en 1993, l'imposant bâti• d'équipements composé en fait de Le Journal : vous dirige:. une privilégiant l'interaction entre les meru rayonne à La fois sur Ja place 7 établissements répartis dans les équipe d'une soixamaine de colla­ personnes. l'équipe culturelle opti­ Le Journal : votre travail consisle Pompidou qui présente la façade communes de La ville nouvelle. borateurs au service de projets et mise les opémtions pour "une en­ à mettre en auvre la polilique cul­ et l'entrée du théâtre, eL le quai qui récèle plus de. 450000 docu­ des ense/gneme/1/S culwrels. Com­ volée" sur la scène lgnymontaine. wrelle déterminée par les Elus du (piétonnier) François Truffaut ments livres, CD, vidéo ou CD ment 1rouvez-vous la cohésion. Conseil Municipal. Comment si­ dans le centre commercial, depuis Rom. en/re ces personnalités afin qu'ils Le Journal : commetll appre11CII· tuez-vous \'OTre rt}le ? lequel on accède à la média­ Médiathèque du Canal : rrm•aillem sur le même tempo ? dez·vous l'offre culturelle dans thèque. qu.ai F. Tmffaui une ville comme Montig11y, qui ac· Christine Cadours : mon rôle est Le Théâtre propose chaque semai­ Tél. : 01 30 96 00 00 Christine Cadours : la Direcrion cueille notammenl une scène na­ de proposer et de coordonner l'en· ne d~s spectacles et des créations TllétiJre de Saint Quentin : de la Culture articule son travail axés sur la musique, le chant et la place Georges Pompidou uonale ? semble des actions de la Direction nutour de différentes compétcnccli danse contemporaine (le program- Tél. : 0130 96 99 00 de la Culture. A ce ûtre. je suis à la mises au service d'tm art commu­ C hristine Cadours : chaque éta­ fois l'initiatrice ct l'interprèrc nautaire. Ellie regroupe des savou­ blissement a ses propres objeclli~ d'une politique culturelle défmle faiœ de divers univers profession­ et missi()OS. La ville de Montigny par l'équipe municipale de la com­ 1 nels. Quatre corps très différents accueille une scène nallonnle. Il est mune. Je ra.is le lien entre les aspi­ cohabitent ct sc complètent lors de bien évident que la programmation L Ecomusée rations du public ig'nymontaio ct Ja mise en place de la politique de la salle Jacques Brel e.t de la Les écomusées som nés en France culturelle de la ville : les al1istes. Ferme du Manet proposée par les choix de programmation que dans les années 70. avec pour mis­ les personnels administratifs, les l'équipe municipale tient compt~ feront ensuite les Élus. La gestion sion déclarée de sauvegarder les techniciens ct les communicateurs. des programmations des différents des 3 écoles municipales d'an ct cultures qui leoclent à dispara1tre, Et ce, qu'il s'agisse de la program­ des cours d' ac~ivités manuelles, qui théâtres. D s'agit donc d'avoir une en particLtlier dans l'univers rural. + mation annuelle en matière de accuei lient plus de 1600 élèves est offre culturelle complémentaire Sans revendiquer totalement cene spectacle, du suivi de nos écoles pour permettre aux lgnymontains également une grosse entreprise profession de foi, Julie Guiyot­ d'art, sans oublier J'aide aux asso­ d'avoir un Jarge panoramique en quotidienne. Enfin, et ce n'est pas ConeviIle , conservateur de t·Eco­ ciations culturelles. matière de spectacle vivant. Mon la moindre de mes missions, je musée de Saint Quentin, ne J'élude C'est un lra:vail d'équilibriste. tou­ travail consiste à faire différentes m'efforce de répondre au mieux pourtant pas. "Lorsque les élus et jours sur uo fù étroit. de faire tra­ propositions aux élus de la com­ aux besoins des associations eultu­ les aménageurs de la ville nouvelle vailler ensemble des individus aux mune, qui répondent à leur souhait reiJes dans Je cadre de la politique om décidé de créer twtre établis­ compétences spécialisées, mais de programmation culturelle. Pour contractuelle que nous élaborons seme/Il à la Commanderie de la surtout complémentaires. U s'agit cela. je me dois d 'êlre J'écoute à avec chacune d'elles. Villedieu en 1977, il s'agis.vait de motiver cette grande équipe, de du public ignymontain, de me tenir Mon travail consiste en définitive avanl tnul de forger la mémoire de l'impliquer, de .réunir les énergies informée de la diffusion des salles à coordonner une succession d'ini- cet espace en construction et de le de rous pour les concrétiser sur un environnantes, de voir un maxi­ 6atives communes qui donnent un voir évoluer. L'originalité pour cet projet collectif, celui d'être au ser­ mum de spectacles afin de présen­ écomusée a alors éré de travailler choix aux aspirations culturelles vice de la culture pour les Igny­ ter un projet de programmation attlanT sur le présent que sur le des lgnymonrains. C'est en ce sens nu d'un exposé scolaire, d'une élu­ montains. C'est un art collectif de aux Élus. Mais l'offre culturelle, passé. Un concept perturbant pour que la Direction de la Culture tra­ de sur le rerritoire. savoir travailler ensemble de fa~n c'est aussi celle des écoles d'art, cenains de mes collègues mais qui Mais l'écomusée est à J'étroit dans complémentaire, et pour le même accueillant les Ignymontains en re­ vaille, et comme .l'a dit Paul KJee, fo,de notre spécificité de ville ses locaux de la place R. Schuman. objectif. Pour faire vibrer à l'unis­ cherche de pratiques culturelles, et "l'oeuvre est chemin". A Monti­ nouvelle." Un tournant significatif Stratégique, l'endroit est aussi trop .son, les personnes doivent se ren­ bien entendu celle des associations gny, elle est vaste er toujours en pour l'écomusée a été engendré co exigu pour valoriser et exposer un contrer régulièrement : pour écou- au service desquelles la Direction devenir. 1995 par son installation au cœur fond permanent. Aussi Julie du centre commercial St Quentin. Guiyot-Corteville voit-elle très fa­ "Même exigu, 11ous avons alors vorablement le transfert prochain hérité d'un espace d'exposition de l'écomusée dans un espace plu.s qui nous permet aujourd'hui de spacieux près de la médiathèque toucher un plus large public. Mais du Canal. "Ces locaux qui ac­ l'écomusée est ailssi un vrai musée cueillaient l'exposition ,permanen­ qui a des missions classiques liées te de l'EPA nous permettront de à la préservation du patrimoine. renforcer l'approprialion de l'éco­ Nous constituons des collee/ions, musée par le public. " Le déména­ nous diffusons des exposiTions, des gement est prognunmé pour l'été catalogues er 110Tre tmvaii est tour ou septembre prochain. D'ici là, e111ier axé .mr l'histoire du territoi­ l' actualité immédiate de l'écomu­ re, celle qui passe ou celle qui est sée concerne l'exposition "C'est passée. " Le sourire émergeant vo­ pas tous les jours dimanche<', qui lontiers sous un regard tranquille, explore ce que les habitants des Julie Guiyot-Corteville masque à quartiers du Manet et de la Clé St peine une détermination et des Pierre d'Elancourt font de leurs di­ idées bien précises sur sa mission. manches. L ·exposition est visible Elle veut son musée largement ou­ jusqu'au 30 j uin prochain (voir ven sur le public. Chaque exposi­ également en page 15). tion est conçue avec originalité el Ecomusée est aussi prétexte à accueillir les différents publics par des anima­ 3, place Robert Schumm1 tions, des concours. Les enfants Centre Commercial fréquentent régulièrement l'éta­ Tel. : 01 34 52 28 80 blissement pour y glaner le conte- Mel : [email protected]

12 N ° 86 • Février 2000 1lu côté -Ju Sénat - - • ·- • - •• • • • • ~... • 1 Dissolution des sectes Le rapport About a été adopté

problème de façon plus globale, le 16 décembre dernier, n'existe pas pour toutes les in­ fractions pénales. A ce jour. le~ en meuant l'accent sur la préven­ le Sénat a adopté à l'una­ tribuoaUlt n'ont prononcé que de~ tion (sensibilisation des magis­ nimité Je rapport de Nico­ peines d'amende. trats, meilleure informa, tion du las About sur la dissolu­ public). tion des groupes sectaires. Or, Nicolas About a inruqué que. Pour rappel, ce texte a dans certains cas d ' urgence, la pour objectif d'élargir les dissolution de groupements dan­ lnterflention de Jean­ pouvoirs de dissolution du gereux pouvait s'avérer nécessai­ Prés ide nt de la Ré pu­ re. D'où l'intérêt de confier au Jack {lUEYRANNE, blique. Il vise les associa­ chef de l'Etat le pouvoir de rus­ Secrétaire d 1Etat à soudre ces groupements, par un tions ou les groupes qui, décret pris en conseil des mi­ f'Ouue-mer condamnés à plusieurs re-­ nistres. La dissolution pourra dé­ prises par la justice, met­ sormais être prononcée contre Le Secrétaire d'Etat. s'exprimant tent en danger l'ordre pu­ tout groupement condamné à plu­ au nom du Gouvernement, a rap­ pour règle la loi du silence ct de à faire La part du relig~eux ct de blic ou fa sécurité de sieurs reprises par la Justice pour pelé la rufficulté de définir jundJ­ l'intimidation. l'exploitation financière. de la li­ l'Etat, ou bien constituent cenaines infractions. Parmi eUes quemcnt une secte. n a également berté de pensée et de l'avilisse­ un pé ril maje ur pour la figurent naturellement les at- indiqué qu'il juge inopportune L'infiltration de:. pouvoirs publics ment moral. C'e~t une mubilba­ . teintes à la personne (violences, une législation spécifique sur les personne humaine. Soute­ mérite en particulier toute notre lion de tous ct à tout moment qui aneintes sexuelles), mais aussi les sectes. Au-delà des restrictions nu par la Mission Intermi­ attention c·c~l une menace im­ doit avoir lieu contre l'emprise atteintes aux biens (e~c roquerie. aux hbcnés de culte ct d'associa­ nistérielle de Lutte contre portante qu'il faut considérer -;ans sectaire. abus de faiblesse, exercice illégal tion, une telle législation pourrait les Sectes d'Alain Vivien, parunoul excessive. mais sans lé­ Malgré se~ réticences sur la for­ de la médecine). selon lui conduire l'Etat à devenir le texte de Nicolas About gèreté non plus, car ces sectes me, et non pa' sur le fond. le puissantes ne poursuivent rien groupe socialiste a donc auopté lu l'arbitre emre des cultes ident ifiés a progressivement rallié à Considérant qu'en général "on re­ d'autre qu'un but antidémocra­ proposition de loi de Nicola~ ct des croyances s'en démarquant. fui l'ensemble des groupes connaît. L'arbre à ses fruits", le tique. M. Vivien. président de la About. n a en effet considéré qbc Une telle option pourrait porter politiques du Sénat. Re­ Sénateur About a donc opté pour MILS, déclarait au mois de sep­ le débat autour de ce texte faisait atteinte au principe de laïcité. Re­ une procédure de dissolution qui tour sur les débats qui ont tembre : "Quand une orgatùsation partie de cette nt!ccssuire prise de jeter une législation spéciale ne animé le Parlement. s'appuie sur des condamnations milite pour remplacer le système conscience. signifie pas l'inaction. Les pou­ pénales déjà subies. Toutes les républicain par une élite et voirs publics se sont efforcés de croyances sont en effet respec­ cherche l\ meure la main sur des donner à la société les moyens de lnterflention de tables, à condition qu'elles services de l'Etat. elle doit être se défendre et de protéger cer­ s'exercent dans le respect de la Intervention de Nicolas ABOUT dissoute" 0 n ne s'agil pas d'inter­ tains de ses membres. D'où la loi. Le mouvement sectaire coupe dire toutes les sectes, mais bien Tlrierr~J FOUCAUD création de la mission interminis­ l'individu de lui-même. de ses de dissoudre les sectes les plus térielle de lutte contre les sectes, Nicolas About a rappelé, en pré­ biens, de sa famille qw constitue (tJroupe communiste) dangereuse-.. présidée par M . Vivien. ambule. que notre République pourtant sa protection naturelle. Il respecte de manière absolue 2 coupe également l'individu de la Le groupe communiste a décidé Or, aujourd'hui, le constat est Le Gouvernement s'est déclaré principes fondamentaux : la liber­ société qu.i a pour mission de lui d'adopter le texte de Nicolas alarmanL Aucune personne mora­ réservé sur ccrtarnes disposiuons té de croyance et la libené d'as­ assurer Je respect de sa liberté el About. M. Foucaud a toutefois + le représentant un mouvement de la proposition de loi, qu.i lui sociation. Or, des groupements de sa sécurité. Cela n'a plu_~ rien souhaité se faire J'écho d'un cer­ sectaire n'a été dissoute depuis paraissent inappropriées et diffi­ très dangereux, que l'on qualifie à voir avec des convictions reli­ 1994. L'intérêt principal de la tain nombre d'interrogations no­ communément de sectes, s'np­ ciles à meure en oeuvre. La loi de gieuses. Ce texte est donc respec­ proposition de loi réside donc tammenJ sur les modalités préco­ 1936 permet de supprimer une li­ plient sur cc~ libertés fondamen­ tueux des libertés. [J a pour méri­ dans l'institution d'un 3' outil : la nisées dan~ la lutte antisectes et tales pour prospérer en tome berté constitutionnelle, dans des te de ne pénaliser aucune dissolution par décret du Prési­ sur son efficacité. cas bien précis : une aueinte gra­ qujétude. S'il n'est pas aisé dll croyance, mais de pénaliser la dent de la République. Une telle ve à l'existence même de l'Etat, à définir une secte, on peut néan­ violation des lois de la Répu­ décision concernant une secte Il s'est d'abord interrogé sur l'op­ sn forme républicaine ou à ses moins utiliser le faisceau d'in­ blique. C'est pourquoi il doit fai­ puissante et étendue serait un si­ portunité d'un renforcement de principes fondamentaux. Or, le dices, énumérés en 1995 par la re l'objet d' un consensus natio­ gnal fon en direction des adeptes notre ·arsenal juridi4ue. Notre comm.issio11 d'enquête de l'As­ nal. el de l'opinion publique. L'inter­ droit pénal comporte un large pa­ texte proposé ajoute comme exi­ semblée nationale : la déstabilisa­ diction par certain$ Ll:indcr alle­ nel de dispositions permeuanl de gence l'accumulation de sanc­ tion mentale, les exigences fman­ mands de ln Scientologie a ruvisé sanctionner les dérives sectaires. tions pénales, ce qui introduit une cières exorbitantes. les arteintes à en quelques années par trois le Les nouvelles rusposilions propo­ rupture de conception dans l'éco­ 1' intégrité physique, l'embrigade­ lnterflention de nombre de ses adcpt~. La russo­ sées seront-elles mieux apph­ nomie générale de la loL De plus. enfant~. ment des etc. Dinah DERYCKE lul!on, déci~Ho n poli tique, présen­ quées ? Le Pré~idenl de la Répu­ cela ne permenra pas de faire fa­ (tJroupe sociafiste) te également l'avantage de ne pas blique sera-t-il en mesure d'être ce à des situations d'urgence. En­ Depuis quelques années, la lulle emprunter les voies judiciaires plus vigilant que l'autorité judi­ fin, M. Queyranne s'est interrogé contre le~ scctcl> s'organise un dan~ lesquelles les sectes savent ciaire dans la lune contre le phé­ ~ur l'appréciation juridique qui peu mieux dans notre pays. Notre Mme Dinah Deryckc a rappelé manoeuvrer ct faire durer les pro­ nomène sectaire ? Par ailleurs ln sem donnée à 1' cxpre~sion "péril que la France était devenue une arsenal pénal est tmportanl mats cédures. diabolisation du phénomène sec­ majeur pour la personne humai­ il permet sunout de poursuivre référence en matière de lune taire pew s'avérer contre-produc­ ne". Selon lui. il serait plus effi­ les dtrigcants de cc~ organisa­ contre les sectes. Toul en garan­ Dinah Derycke a cependant souli­ tive en offrant à ces mouvements cace de viser les menaces à la sé­ tions, et non de s· attaquer à ln tissant les libcné:. de conscience. gné que celle proposition de loi . le luxe de s'ériger en martyrs. En­ curité intérieure, à la sécurité structure meme d'une ~cele. Des de culte et de réunion, elle ruspo­ suite, la référence à plusteurs ne suffirait pas. à elle seule, à ré­ économique ou à la sécurité des textes e~istent : la loi de 1901 sur se d'un arsenal législal!f permet­ condamnations ne semble pus gler le problème des <>ecles dan­ pero;onnes. les associations prévoit que des tant de sanctionner les infracuons gereuses. Légiférer ne suffit pas. opérationnelle. car elle se base associations ayant un objet illicite commises par ces groupements, sur un critère quan'titatif (au Il faut aussi mieux informer, pré­ Le Gouvernement s'e-st toutefois peuvent être dissoutes, le nou­ même lorsqu'ils se réf-ugient der­ moins deux condamnation~) . En­ venir, mieux éduquer, apprendre déclaré favorable aux autres dis­ veau code pénal de 1994 permet à rière le paravent religieux. Pour­ fi n. le texte ne tradu.il qu'w1c vi­ positions du texte, notamment la Justice de rechercher la respon­ tant, le rapport de forces paraît sion parcellaire du phénomène sabilité des personnes morales, el souvent inégal entre le pouvoir sectaire :eUe ne concerne que les concernant la responsabilité pé­ dans certains cas, de prononcer judiciaire et les ~ectes, lesquelles associations, alors que les sectes nale des personnes morales, en 1 leur dissolution. Mais tm pra­ n hésitent pus à faire trainer Cil ont parfois le statut de parti poli­ cas d'exercice illégal de la méde­ tique. aucune dissolution n'aja­ longueur les procédures. Par tique ou d'ONG. On peut craindre cine. Reconnaissant tout l'intérêt mais été prononcée. Les sectes aiTicurs, les déci!>ions judiciaires que le texte ne fasse que déplacer de l'arme de la russolution, dans n'annoncent généralement pas ne rendent pas complètement le problème, les groupements la lutte contre les sectes, il a déci­ leur intention de nuire dans leurs compte des multiples dangers que trouvant refuge dans des ~> truc ­ dé d'entamer une rénexion ap­ statuts. De plus. elles n'ont pas font courir les sectes. Le seul ture.<; parallèles. Enfin. il a fonnu­ profondie sur ce thème. Adoptant .toujours le statut JUridique de per­ pouvoir reste la vigilance, même lé 2 souh.aits : sauvegarder avant une position "réservée". il s'en est sonnes morales. Enfin. la respon­ si celle-ci est parfois difficile à tout les libertés d'association et donc remis à la sagesse de l'as­ sabilité des personnes morales exercer, tant ces mouvements ont de conscience ; appréhender le semblée, pour le vote du texte. N o 86 • Février 2000 13 ll)Jl ~ ' cœur de Hu9ues AufraiJ 1acques Brel 1999 (ZBOO), com6dic dramatique iranierJDe. de Abbas Kiaroslami, avec Beuzad Dourani. et les habitants de Siah Dareh. Au KUldislan iranien, dans levillage de Siah Oareh, des bOmmes venus de T6- atlant t•otiJmpia hétan foot aux habitan~ qu'ils so~t à la retherche d'un &raor. Ds t1lncol un peu partout mais swt()Ut dans le ci­ metière. Ds reparteat sans avoir, apparemment, rle:A On veut croire !:lugue.' Aufray de l'Olympia quelques jours plus tard. retour, alors qu'il ne nous a jamais Le c he mi n urtislique d ' Hug ues trouv~ Uoeœuvœ poétique. MER Ol/OZ (18h30/20h45), SAM quittés. On s'excuse presque de Aufray plaide po ur l' hom ml! Cl conjuguer il 1ï mparfait l'auteur parle pour lnl . En 1959, il dé­ 0!/œ (18b30120h45), DIM 06,1)1 tant chanté et freJ onné (Santiano, croche son premier conln ll chez. (13h30/20h45), LUN Hasta Lucgo ... ), Je chanteur buma­ Barclay. Très vite, après avoir ren­ 07102 (lOfJJO). niste et précurseur. parce que le contré un jeune inconnu nommé sbow biL avait voulu te perdre de à New York, il impose­ vue. Mais lui regarde nssis sur sa ra ce style fo lk-song qui sc·ra sa colline les marionnettes éphémères voie cl marquera les années 60. En du PAF (paysage artistique fran­ 1966, il se produit e n vedette à et celle dl.l che\!al , il sc donne à sem çah;). Ses fans ne l'ont jamais per­ I' O l ympi:~ . Bruno Coquarrix voit méti er d'auteur. compositeur c l du de vue. co mme lui ne les a ja­ en lui "le tournant de la chanson 11 chanteur, conime il se prête à seh ma i~ perdus non plus, 4ui le ur Crançab e". ce qu'Hugues Aufray passions en montam des spectacles Le monde en tlrac orfrail par exemple 6 a lbu m~ ct au s·cmpfcssc de justifier là même équcsLres ou en se ressourçant en moin~ autant de toumée.s dans les année en chantant pour Martin Lu­ Camargue. lui le troubadour nati f amules 90. Le denùer dale d.: mm'S ther King au cours d'un gala pour de Neuilly. Aujnurd'hui. Tlugucs 99. s'appelle "Chacun sa mer". ct lu luuc contre le racisme. où pour A ufray n 'entre plus dans les H ugu e~ AufTay ne ~· y refail pus. 11 la première fois la chanson se me t normes. Tl est Hugues Aufmy. trop ~.:han t e la mer. la paix. le mal de au service d·une cause humanitai­ fredonné pour ë!tre éliqucté , qui a vivre el l 't!:> p ~ru n..: .: !ll' ann ée~ 70 ct R ens. pour ri~·uva tiOIIS : toire>. Seulement voi là : Capucine bell.: comédie mus icale. avec des avan t de rutil-:r au frQ nl CHI ùe 80 . Enrre sn passion de la chanson 01 39 303170 lit "de !Tavers". Dans sa houchc, l e.~ mo t:, , de s ch anson !> c L des dan­ lettres .~'ento rti ll ent et les m ot~ sc seuses. déforment. Et c · e~ l j uswment un pur le Théâtre du Li ~eron . mot de travers qui pmjette Capuci­ ne dans le monde-des K. Drôles de 20/r - salle j acques Brel gcn~. descendants du Gmnd K ligu- spectacle à partir de 6 ans Eros Pert!ira Galvuo, Laurl' Pen1akov, Maxi;,, OPÉRA Pen•akov, 1!./Jdeliazide Sm lwdji, Eric Sriejfurrt , LE COURONNEMENT DE POPJ>EE Beno/1 Tagu f!l, Jo:on-8(JpTÏSU! Tag11et, Karrin De Claudio Monteverdi Wolf, Akhni Yam.aucht-Fnntt:mamscL Tout le monde cOJUllÛl l'tllstoiru du jeune sa­ 1 Notr1•1!ile praducthm. Ln Grmrde EL·uril' et la Aa eioéma ]«cques Brel VLU!t Frankenstein quî. nprès de brillantes Chambre r,lu ~ay /)lret·til~ll musit-ale : Jean­ Claude Malgoire, mi.1t' en scène : Nicolas Ri· études de médecine, vem créer un être en as­ 1 LE MONDE NE SUFFIT PAS (2808) L'OMBRE D' UN SOUPCON 1999 semblant de ~ morceaux de cadavres. Cc thème wmq. t.'o.\llmres : Chri.~ IÙU! Rubot Pù1svn , lu­ 1999, film d'aventures américain de Mic­ (2910), policier amé_ricain de Sydney Pol­ inspira de nombreux fi lms. L'équipe du Cirque mièr't!S : .lac.h- Lamem kaëf Apted, avec Pierce Brosnan, Sophie lack, avec Harrison Ford. Kristin Scott Baroq ue s'est emparée de certe histoire pour L' action se s i!Ue à R ome, sous le-règne de Né­ Marceau et Robert Carlyle. Une jeune fem­ Thomas et Charles S. Donon. Un accident ron. épris de Poppilc, aimée d'Olbon : l'impéra­ faire un spectacle "total". Apprenti sorc1er. sa­ me dont 'le père magnat du péttole est as- d' ~vion réuhlt ùn déteGtive e l ûne femme vant fou. Victor F!ranl:cnstei n nous fait vivre. !:r:Îce Octavie, ll él<~i ssée , cherche un appu i au­ sassiné, hérite d' un empire et devient la membre du congrès en campagne pour sa 1 près de Sénèque. Néron lvi ordonne de sc ruer. grâce à la mag;., d'effets spéciaux el de la gran­ cible d'un tueur. James Bond es[ là el prêt à réélection. Leurs conjoint:.'i onl trouvé la de ill us ion, sa 11évreuse recherche créatrice. 1 Dans une ~ène imenoe. S~nèq u e prend congé défendre l~ jolies f~punes . mort J o~ de cet;te tragédie. Chacun essaie Virtuose. magJque, inventif, le Cirque ~aroque 1 de ses d i s c ipl e ~ et am~s. tandi. qu' au cvlii'S MER 01102 (13b30/I6h00), VEN 04/02 alors de découvrir ce qui a pu les réunir et d'une orgie Néron fête sa mort. Octavie persua­ sait aborder des sujeŒtrè s variés quj font de lui (20h30), SAM 05/02 (13h30/16h00),DIM le~ faire bascUler dansJ' adultère. Mystè~s. une ''troupe" majeure du ~ pectacJ e contempo­ de Othon de wer Poppée, mais l'Amour cm­ 06102·(16b00/18b30). secrets et affrontements sont les orgal)es pêcbe le meurtre. Néron pardonne à Othon. ruin. majeurs de ce film. mais décrète son banoissement à vie. Néron Vemlredî 25 el samedi 26 f ivrier 2iJh30 LA FIN DES TEMPS 1999 (lROS),lilm MER 16/02 (18h00/20h30), SAM 19101 prononce J'exil d' O<:tllvie, épouse Poppéè et ln d ' aventures amédcain de Peter Hyams, (18b00/l0~)t D.IM 20/0~ couronne impératricè. Avec cet.ul time opéra avec Arnold Schwarzenegger, Gabriel Byr­ (t3h30/1Cili00), LUN 21102 (20h30). Monteverdi inaugure de oouvcJlcs coocoptiOM MUSIQUE ET CHANTS . ne et !CUt atte:, aussi ~elle que prennent lo. guita re portugaise Manuel Rat:lra, 1•iolon. (2Qb30), SAM 12102 (18b00/20h30), DIM SQr le cOlll du crane tro1s sœurs d'une fa­ DANIEL PROPPER Le Fado c'est la nostalgie. ln fatalité, cette fu­ 13102 18b00120b30), LUN 14102 (20h30). nillle bourge(>ise décoôyrant quelques Schum.a1w, Mendelssohn. Stenhammar, en mei.ISc •saudade" : mélange de nostalgie et d'in· secrets defamille. Brahms, Grieg. satisfaction, mais aussi d'exil. La voix qu.i LE GEANT DE FEJt 1999 (~,dessin MER 23102 (14h00118b00), SAM 26102 Daniel Propper a cboi&i de nous emmener à la chante le fado est singulière. Elle possède ses anù:n~ américain de Brad Bint O.n enfant - (14h00/18h00)~ DJM 1.7Kr2 rencontre d ' Edvard Gncg dont le génie mélo­ propres modtllations el i nflexi on~ assez prOches c)écouvre, au co:ur de la forêt, un géant de (14h00/18h00), LUN 28/02 (20h30). dique. l'écriture pianisùque. foDL de lui. une sor ­ d' une forme de cbanl atabe, ElleeJt:prime le t.ra­ fer tombé d' une' gal a:xie. Une histoife Le de Chopin scandinave. n nous fair qécouyrir gique. nne vic auprès d'espaces mythiques et d'amitié va naître mais en cette période de te suédois Wilhelm Stenhammar . .r ecberclmnt incléments. Argentin.a Santos passe pour l' une guerre froide, le géant •est un ennemi pour DANS LA PEAU DE JOHN MALKOVI­ les sources cjui l'ont inspirées. ct nQU$ donne à c,les demlères grarules voix du fado à l'ancioo­ F ~ .T. CB 1999 (l BSO), film fantas.tique amtri­ e.oleodre Schuman, Mendelssohn ct Briibms. le 1 . ne. Ce concert présente quatre facettes diffé­ MEl( 09.m {l4b00/1~00), S~M 12/0l" cain de Spite Jonb, avec John Cusack. Ca­ Mardi 22 février à 20h30 rentes du cbani de Lisbonne. (14h0006bOO),DIM 13102 meron Diaz et John Malkovkb. Un Mardi 29 fivrier à 20h30 (14h00/16h00), ,LUN 14/92 marionnettiste découvre dans son bureau CIRQUE (t4h00116b00). wte porte ouvrant dans 1e cerveau de John EXPOSITION Malk\1vicb. Etrange l FÎ.Im original qui a ra­ FRANKEN STEIN ,JUJ1: MARRiliD (OU PRESQUE) 1999 flé, le gr1ind prix indépendant du cinéma Direction artistique : Christian Tag u ~:t. Mise IVAN~IGG (lH55). comédie am.tricaine de Oàny Mar­ en scênè : Agu.ttitJ ùtelit!r, Créatinil décors et L·ensemblc des œuvres choisies dans l'atelier· shall. avec Julia Roberts, Richard Gere et ~cain~~~~:~~ costumes : En~o /orio, Création mu.rique : pennectra au public d'appréhender sa démart:he 10bn Cusack. Une jeune (einme qui a la fâ• (20Jl3(t), SAM 26102 (l~00/201130) , DIM l'Orchestr~ du Cirque Baroque, Création /u­ dans son foisonnement et s ~ diversité. ~ ren­ cheuse habitude de laisser ses 'fiancés au 1.110'1. (1Cilioonoh30). mièré . l éan-Manè · Prou veze, a;fSistl de Serge contres seront organisées avec Ivan dans les ga­ pied de l'autel. affronte un journaliste miso­ Bollyer. A \lee : Mielle / Arias. Anja, Dietricdl, leries (où son atelier sera momentanément ins­ gyne et cynique. Le trio de "Pret~ Wo­ PriX- tin pillçea : 30F plein tari/, ~OF ta. Clft:llia Hermosillo l'alma, Aurélie 'Horde-Ri­ t,allé), et des pistes de travail pour les scolaires man" se reforme, l,)ODr une comédte toul rif rlduil. Film longue durée ( + de 2h) : e/aorte , Yannick JavoùdiJl, Anne Jouqineuwc, sont d' ores et déjà tracées. aussitom.antique. 32F·J'kin tarif, 22F ltlrif rlthlil. C4nJet Agus(in J4telier, Camila O.vorio Ghiglo rro, 1 }USf/.U t!fl mai 2900 MER l~ (14h0()/l~bl5), VEN 18102 JOJ1lll«! .• iOOF. (20h30), SAM 19102 (14laœtl~15) , DIM Bnu. :>1)130. 4410 U (dporulevr) 0 11 au Réservations : Théâtre de St Quentin au 01 30 96 99 00 .20101 (18h30(20Jl30).• 01 39 30 31 70 (DirediM d•-14 Cultrlre)

14 N ~ 86 • Fév1'ier 2000 1 Le 1., Concours de piano de Montigny L'école de Musique du Manet et la ville o rganisent Je premier concour de piano les 1 1 ct 12 Expo à l'Écomusée mncs prochains il l'École de mu­ sique du Manet sous la présiden­ Au r1Jthme du ce du Sénateur-Maire Nicolas uc•est pas tous tes About cl dont le comité d'hon­ neur sera composé d'artistes et de 11 professeurs confirmés. Ce 11 '1oueur de Ffûte concours intégrant tous les ni­ jours dimanche vcau.x est ouvert à tous les instru­ mentis tes. Il ne reste que quelques jours pour s'inscrire. Le di mrufche 12 mars. le concours se conclura par le Concert des Lau­ réats à 17h à la salle Jacques Brel. Nous y reviendrons dans notre prochaine édition. Rens. : Nicole Du ros Ecole de Musique du Manet 10, rue de l'Armori4ue TéL: 01304312 88

Les prochaines conférences d'histoire de l'art Dans le cycle des confé rences C'est mardi 18 Janvier à la salle meur du spectacle en matinée et l' Ecomusée. Un atelier de décou­ d'histoire de l'arr proposées L 'Ecomusée (voir égalemenr page Jacques Brel que le public est ve­ ont ~u récompenser les acteurs par 12) présente actueUcmenl une ex­ verte original accompagne l'cxpo­ chaque mois par la ville au nu nombreux applaudir le spec­ des• bravo~· lancés à tuc-tête. Un siuon. Il intéressera notamment le Conservatoire des Arts Plastiques position qui mérile une visite pla­ tacle du théâtre Je la Girandole, !>pectacle poétique où se mêle la public scolaire. Un jeu de fa­ et présentées par Chantal Voyer, ce Schuman (dans le centre com­ 8 '1-e joueur de Flûte". compltci t~ d'un musicien et d'une les prochaines soirées aborderont mercial). milles brosse de manière ~c héma­ Les enfants des écoles de l:1 ville comédienne réunis dans une mise rique des portraits de Saint-Quen­ les autoportraits le mardi 22 fé­ Pours uivant l'exploration de' enthousiasrcs avaient cu la pri- en scêne rythmée. modes de vic des Saint-Qucnti­ linois dans leurs préoccupations vrier. pui~ l'oeuvre de C laude dominicales. De la famille Plein­ Monel le mardi 29 février. nois, il a choisi cette fols de s'in­ 20h30 art Co11servatoire des Arts téresser à leurs dimanches, en champ à lu famille Ça pinne, ce jeu perme! de visiter le territoire à tarif: 27 F. parüculicr dans deux qurutiers de Sur les cimaises ... Re11S. : Directiotr de la Culture la ville nouvelle, le Manet à Mon­ traver' sc~ li eux d'intimit~ et ùe au 01 39 30 31 70. ugny et la Clé Saint Pierre à Elan­ lobirs. cou ri. Mission a été confiée au En marge de l'<:xposition. l'Eco­ photographe Rafael Traplet er à mu~ée e'>t partenaire du Pnsme Les Garde-Fous l'ethnologue Agnès Snitcr le som pour une pière diffusée dans le d'aller explorer les deux quartiers cadre du Fe~tival Polar le 4 fé­ reprennent "Sami Raadi '' et rencontrer leurs habitant.,. Tous ~. cement et le dimanche acuf. voire comprc-:. Toute ressemblance troi~ jeunes comédiens de la trou­ ultra-actif. Une carte intimi)te de ovec les habitants du Manet ou de pc offrent à nouveau celle pièce à la ville se détache alor,, axée sur la Cl Arout s'y associait Au chapeau Centrée libre avec q ue figuratives. alors que Bricia volonùers en soulignant "le râle n participation à la sortie). Valette-Rcmborte exposau ses ~u­ fe mérite des a111stes lfembellir et de Saint Uuentin pcrbt.-s "Errances" d'huiles. d'aqua­ lfenrichir lu 1·ille e11 prêtwrr leurs relles et de gouaches. oelll'res à l'oeil d11 public." Le Retrouvez Le Théatre de Saint - Quenùn pré­ pour le plaiJir de chercller et de Autre lieu d'exposition prisé. Ni maire y trouvait aus~i l'oc-easion les programmes sente une exposition d' Ivan Sigg dicouvrir. J'ai 1ïntuitiofl que la ri­ colas About ct Armelle Aubriet de souhaiter une excellente année de cinéma sur le site baptisée '·Oeuvres en chanuer". du clte.lse à dlcouvrir est mtérieurc... accueillaient au Conservatoire des aux femmes artistes et aux 18 Janvier au 6 mai prochain dan~ Dans la galene du théâtre, l'artiste Arts plastiques les troi~o femmes femmes bl!nC:voles des associa­ internet de Mootigoy les galeries du théâtre. ouvrira un atelier pour deux opéra­ arthte:. Aïva, Dan er Océane pour tions Pour connaîrre le. programmes 11 réalise des fresques géantes à lions très paniculières. La premiè­ de cinéma de l'Espace Sain! quatre mains, des d~cors de ballet~> re consistera à peindre. au ru des Quentin er du cmé Jacque:; Brel, el de cinéma. Ivan Sigg élabore mois une toile, qui blanche le soir vou~ pouvez désormais vous depuis une dizaine d'années une du vernissage, se construira peu à connecter sur le site internet offi­ oeuvre originale qui emprunte peu par les interventions succes­ ciel de Montigny. Un si1nple clic toutes sortes de chemins. Sa pein­ sives du crénteur. La seconde opé­ depuis la page d'accueil du site ture est un an exalté et dynamique. ration verra ~·i nsta ll er daM les ga­ web vous permet d'accéder non Il se nourrit du moment vécu et du leries au fur et à mesure de leur seulement au programme et a ux lieu où ilpeint, et l'humour colore achèvement, une série d'oeuvres horaires, mais également aux ré­ ce travail surprenant. "Je suis créées en relation avec quelques sumés et aux photos des films peintre avant tout mais j'ai une spectacles choisis par Ivan Sigg programmés. Vo~ pouvez aussi fonnation de groplrisre qui nra.rque dans la programmation. réserver vos places pour les elle-même tme ambltio11 enfantine Ces deux op~ra ti ons de "mise en séances de votre choix dans les de paléontologue contranie au image" seront doublées d'une "mi­ six salles de l'Espace Cinéma départ. Je me suis aperçu que ~e en son". rtalisée par Christopbe Gaumont du centre ville. j'avais besoin de creuser, non pas Eveillard, compositeur de mUJ;ique Guy Pierre, icl félicité par Armelle Aubriet lors du vernissage, expo­ www.mairie-montigny78fr pour trouver des fossiles mois de ballet contemporain. sait ses oeuvres début janvier à la Maison Félix. N ° 86 • Février 2000 15 . . Sport · 1

Rugby Tennis Les juniors inflaincus Le TCI frappé par et ambitieu}( la tempête Leur début de saison est un sans­ faute mais ils attendent déjà avec impaùcncc Je plat de résistance. Invaincus depuis le début de sai­ son, les juniors de I'ASMB Rug­ by enfilen't les victoires comme des perles et visent une seconde partie de saison. royale. Au club du président Charles. on Slùt les minots avec fierté, car ils ont des ambitions el sur!Out les moyens de leurs ambiùons. Le 16 janvier dernier, ils onl trllnquWemenl atomisé leurs adversaires, J'enten­ te Antony-Clamart-Plessis et Meudon, par un 55 à 0 sans ap­ Si la tempête n'a pas provoqué sement bien dorte en terrains de pel, avant de remettre ça une se­ de catastrophe sur la commune, tennis couverts. Nous avons llonc maine _plus tard face à Neuilly (31 eUe a tout de même fait quelques pu rapideme111 attribuer des cré­ à 8). C'est presque la rouline pour malheureux parmi les sportifs de neaux d'm/lisation exceptionnels leur dynamisme, finissent par attendent donc avec "des ambi­ cette équipe qui n'a laissé que Montigny. Les équipements ùe au club au centre SportiJCouher­ payer." Si le propre des entraî• tiOn$' raiso11nablement impor­ quelques points à ses opposants couverture des terrains de tennis till, de mêm.e qu'au Club le Villa­ neurs est d'être perfectionnistes et tantes" les choses sérieuses. à su­ depuis le début de la saison ( 13 des 4-Pavés n'ont en effet pas pe­ ge. Dans son infonune, le TCJ exigeants, il faut avouer que ceux matchs et 13 victoires par plus de voir les matchs-couperets qui sé lourd face à la violence des ra­ pe111 néanmoins continuer les des juniors de Montigny sont sou­ points d'écart), en attendant de se débutent avec les l/64e de fmale fales. cours et les compétitiom·, ce qui vent comblés depuis la touche. Le frotter à l'élite nationale lors des du championnat de France du Pour le Tennis Club Ignymon­ n'est pas forcément le cas pour jeu es1 fluide, spectaculaire, les pbases ftnales prévues au prin­ challenge Phliponneau. Si toul va taio. cela signifie que les lieux de tous les clubs de la région". enchaînements bien huilés et les temps. "Les joueurs jouent en­ bien, les juniors sont partis pour pratique habituels sont provisoi­ En ce qui concerne les répara­ joueurs exigeants avec eu·x­ semble depuis qu'ils sont benja­ passer p lusieurs tours. Et quand rement condamnés. sauf à jouer tions sur le site d·cs 4-Pavés, la mins. A 85%, ils sortent de mêmes et leur collectl f. L •élat on demande leurs objectifs aux en extérieur. Face aux éléments, balle. est aujourd'hui dans le l'écolè de n1g~ de Montigny ou d'esprit idéal pour un sport d'en­ entraîneurs. c'est s

Tir à l'arc les 22 et 23 janvier à Coubertin judo à Ladoumègue Le marathon des la fête entre amis archers IJflelinois vin montent sur la deuxième marche. En junior eL en vétéran, Frédéric Schoumacbcr (déjà quali­ fié pouJ les Régionaux prévus dans 15 jours) et Martine Defrance prennent une 3' place.

Rapide retour en une image 300 judokas inscrits au club · sur I'ASMB Judo qui faisait sa ignymontain de s'opposer fête interne le 8 janvier dernier amicalement sur le tatami tout au gymnase Jules Ladou­ en maintenant la bonne am­ mègue. L'occasion pour les biance de la section.

Handball Céline Bonnet, de Montigny, seconde du championnat en catégorie minimes, est félicitée par le Sénateur-Make Nicolas About et Pierre 11 11 Paillas son adj/nt aux Sports. Reprise moâerato Les arcbers d~s Yvelines ont jouê êtai,t instaurée à cette occasion. Sur les prolongations les 22 et 23 jane­ les 41 clubs yvcHnois, 30 avaient Depuis la reprise, et avec l'acces­ au leader. Pour elles, le maintien vier derniers à Coubertin, ail le fait le déplacemenr. alignant près sion des moins de 18 ans. les hand­ n'est toujours pas acquis. Les club du président Fleuntnce était de 300 participants. Les deux jours baneurs de l'ASME sont sur deux moins de 18 ans ont pour leur part chargé d'accueillir les champion· parfaitement organisés par les ar­ En cadette et pour sa 1"• année fronts nationaux. Côté féminines, abordé leur poule de championnat 11a1s départementaux en salle à chers de Montigny ont égalemenL de compétition, l'fgnymontaine la reprise n'a pas soulevé les incer­ de France un peu timidement en 18m. St les archers ont fini tard le engendré quelques lauriers pour Mélanie Poitevin accède égale- titudes sur le potentiel de l'équipe. concédant deux défaites, avant de dimanch~ c'est que la formule de nos locaux. .En minime et en cadet­ . ment à la seconde marche des qui a enchainé deux défaites, dont l'emporter brillamment en Bre­ finale par duel. plus spectaculaire, te, Céline Bonnet el Mélanie Poile- Départementaux. une à domicile ct de justesse face tagne à Rezé Je 23 janvier.

16 N ° 86 • Février 2000 Ma journée au centre

Une journée au centre de loisirs, vous la fe­ riez, vous ? Voici le. re­ portage largement illus­ tré d'une journée ty.pe telle que la vit votre en­ fant dans l'un des centres de loisirs muni­ cipaux ouverts le mer­ credi et pendant les va­ cances scolaires. Ce n'est pas le Club Med peut-être, mais la canti­ Tenu, preno11s par elntple la ceatre ~~ loltirt Dumu i la Sourderia. Qu'i font-alles toit au lons d'un mercredi d'hiver, vos chères petites têtes blondes 7 Pur lu plus mtti11ux, l1 jourde dibote i 7htt. hure d'ouverture dea cutres de loitin at des utunu d'accueil de 1uartlar, ii partir des1uellas les enfuh saro11t ne est accueillante et acher~i1is 111 bws Vert le cantre de dutiutiu. C'11t l'~nre dat pra11ien jeux. a ~ c'est auuite la moment d• petit déjeuur en petit comité. la majorité dos l'ambiance est plutôt enfenh arrive a1 effet ntra 8htS at 8~4S, et les lts raj•iSIIIIIt leur ctlllra i 8h~O. A a lr4S. toet le 1101da est li, let uimateurs (-tricat) opirut tlors ua sympa. •. regroupe111ut pu ige et c~a~ue groupe sa dirige ven •• nlla reapeetive, ai sa déroule l'appel. le te111ps de retrouver sas eopai11s et copius, de plonger dau su

toi•s-jaux préférés (laso, di~atta, voituras, jeux de sooiété...), Il est diji tll1S u 91lf0, l'heure où les uimataurs présutut la pro~ramme d'acti~ith du jm. Oes acti~itét tour i tour sporti~es, artisti~ues, manuelin 101 lu enfantt choisineftt librement. UUO marque e11 général l'heure du premier urvice du déjeuner. las plus petits peuvent ensuita ali ar à la sieste i la demude des ptruls. Après déjeu11er, fer ntrat peu~ent s'i~tttra tran1uillemut dtns laur ulla 01 dans la cour. "Ils sut déji suHisammut llreués pendant la tetuine d'école, alors IIOut esuyens de hire en sorte qt'ils se ditudent le mercredi", priche Catharl11 Guilhot, coordinatrice des centres. t41l 11ar•u• lt reprise des utivitis pour cht ~ue groupe, ur le mima principe ~ue le malin, avec capendu! un décloisonument des groupes ea primaire. les + enfa11ts chisiuant tlors permi les activités proposees, eu euul permi lears uimateurs prifiris ... " sig11lfie l'haure du goûter, toujours très prisé. ln groupes d'aefuts returnent unite ven leurs ullet respeotiwas où les paruts peuvewt venir les chercher. A tri~, les eus ramènent leurs pasugers verr let antennes d'sccuaif de qurtier. Partout de nouvelles séries de jeux s'orgnis811t uns cloisonumut. A

1tt.. on peut éteindre la lu111iire, car les centres et let a11tunes ferment laurs portet, lon~ue tout le mon4e est re"tré au bercail. Ll journée au centre n'a fof'iment p11 la mima uveur lorsqu le soleil brille. les activités de pfeie 1ir r'i111posut alan et les sorties (u gédnl trimestrielle$ vers un zoo, Ull parc ou ue bue de loisirs, etc.) sont plu nombre~tu.

'"' 7 outres de loltlrt fuctlonaent ohtqle lletote4i. Certahlt ,fetlltlllt.. , .. ,.. pendlllt l11 ~acanc" scolairu où la friq•••tati.oe ut • 6SO nfanb tollt aoueillh e11 liOfUU c•aque mercredi, en­ udris par ISO 111Î111feurs muleipan 11 pur 12 t~~fuh an pri­ m•ira, 1 potr 8 '" 11aterujla) ~ let animateQrt en lne rhnio11 d'équipe ch1qu.è telllaine po11r Reportage photo (au centre de loisirs Dumas - Janvier 2000} : Isabelle Thiolet co11ce~oir let pro,rammet d'utivltés définit •• mtris i l'avuce.

------·-·------" ~ 80 • F'é'W"ler 2000 • 1

1 ' r ILE

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1 INDRI KERMES BARDOT MULARD TACON NEPE COATI TAON

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5-/-f-/-/--f···f·--f---/---/-/---f--f-·-f-/-/- /-/--f--/-f ...... D•~ robuiKIO PTI ;'1 6-l···l-1-·-l--l-·-l-/---/--/-/-/--l---/-/-/-/--/--l--l---l Téléphone :...... ISSN: 1241-6053 L_____ ..___ :~~!~~OOO~IICSsurp;per.·_ _lt'C)1:~1P-· . ______.

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NAISSAI\:CES Le 20 Décembre 1999 Le 30 Décembre 1999 Le 11 janvier 2000 DÉCÈS Elëa BELUOT CéliJ BARRAS Victor ROUX enquête INSEE Le 29 Novembre 1999 Le 10 D écembre 1999 Marc LEJEUNE Kenza GACEM Manon DALLE Jean RODRIGUES­ Pierre LORET Le 12 janvier 2000. Du 28 février et jus­ MARTINS Le 21 Décembre 1999 Rémi PASQUET Ra yan ABDALLAH qu'au 26 mars, l'iNSEE Le 08 Décembre 1999 Albert SCHMITT Vanessa BARBARA réalisera une étude sur Lucas GENIPA Le 01 janvier 2000 Le 13 janvier 2000 l'emploi, les conditions Edith HARLÉ Le 21 Décembre 1999 Le 23 Décembre 1999 Armand TJBERIO Eloise LEPAGE générales dee travail et Nadine JACOB , Lilian JOUVET le chômage. Quelques Le 09 Décembre 1999 familles de la commune Alexandre RIBEIRO Le 02 Janvier 2000 Le 15 Janvier 2000 Maëlle BERTRAND Le 30 Décembre 1999 recevront la visite d'un Charlotte TINARD juliette AUTRET Cédric PILLOY collaborateur de l'insti­ Le 24 Décembre 1999 Le 10 Décembre 1999 tut, muni d'une carte Messaouda HABES Le 03 Janvier 2000 Gaëlle GÉRARD Le 02 janvier 2000 officielle l'accréditant. Claire KERVFRN jean-Luc !.ARDAIS Le 25 Décembre 1999 Le 11 Décembre 199 1. Al. YI. BI. SI. BI. Marie-Gabrielle DE- Le 04 Janvier 2000 Andréas CAIRON Le 05 janvier 2000 p L uv r o ME T R E LA NOE Claire MASSON . L 1• E N N U y E u x Matthieu COUZ/NET MA RIAGES Christian BOISSEAUX Valentin LE GUEVEL- 0 u R S ON .A L T 0 Le 27 Décembre 1999 Il R EIii 1 N s u1. LOU Le 08 Janvier 2000 p L u• N T Le 12 Décembre 1999 lvlichaël PATEAU et Le 20 janvier 2000 R E 1 A •sA Manon ROCHER Clémentine ClOT R E s 1 DE R • c Alice CHA BONNAT Hélène VIEL Philippe f