Analyse) to Kill a Mockingbird Sainte-Marie Éleuthère

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Analyse) to Kill a Mockingbird Sainte-Marie Éleuthère Document generated on 09/26/2021 9:20 p.m. Séquences La revue de cinéma Du Silence et des ombres (analyse) To Kill a Mockingbird Sainte-Marie Éleuthère Cinéma américain Number 37, May 1964 URI: https://id.erudit.org/iderudit/51865ac See table of contents Publisher(s) La revue Séquences Inc. ISSN 0037-2412 (print) 1923-5100 (digital) Explore this journal Cite this article Éleuthère, S.-M. (1964). Du Silence et des ombres (analyse). Séquences, (37), 41–46. Tous droits réservés © La revue Séquences Inc., 1964 This document is protected by copyright law. Use of the services of Érudit (including reproduction) is subject to its terms and conditions, which can be viewed online. https://apropos.erudit.org/en/users/policy-on-use/ This article is disseminated and preserved by Érudit. Érudit is a non-profit inter-university consortium of the Université de Montréal, Université Laval, and the Université du Québec à Montréal. Its mission is to promote and disseminate research. https://www.erudit.org/en/ G*- DU SILENCE ET DES OMBRES (TO KILL A MOCKINGBIRD) JI. 2),ocumenlaiio ta tic n 1. Générique Megna (Dill Harris), Brock Peters (Tom Robinson), Frank Overton (Le shérif), Américain 1962 — Real. : Robert Mulli­ Rosemary Murphy (Miss Maudie), Robert gan — Seen. : Horton Foote d'après le Duvall (Boo Radley), Paul Fix (le iuqe roman de Harper Lee — Phot. : Russell Taylor), Collin Wilcox (Mayella Ewell), Harlan — Mus. : Elmer Bernstein — Int. : James Anderson (Bob Ewell), Estelle Gregory Peck (Atticus Finch), Mary Bad­ Evans (Calpurnia), Ruth White (Mme ham (Scout), Philip Alford (Jem), John Dubose) — Dish : Sovereign Film». MAI 1964 41 2. Le réalisateur que ses souvenirs d'enfance. L'action se situe dans une petite vil­ Né à New York, le 23 août 1925, le du sud des Etats-Unis en 1932. A Robert Mulligan appartient à une fa­ cette époque, Scout vivait heureuse a- mille modeste. Il fréquente une école vec son père l'avocat Atticus Finch et primaire du Bronx et se voit à 14 ans son frère Tem. La mère était morte offrir une bourse par un Institut d'art. alors que Scout n'avait que deux ans Mais il refuse, car il préfère acquérir et lem. six. d'abord une formation plus générale. Le scénario découpe deux étés de la Un autre idéal se dessine à ses yeux et vie de Scout. Le premier raconte la vie il rêve de la prêtrise. Après des études de tous les jours. Le portrait du père à l'Académie Sainte-Anne, il entre au qui donne de la tendresse pour deux séminaire. Puis c'est la guerre. Il déci­ et assure à ses enfants une éducation de d'interrompre ses études de théolo­ solide est délicatement dessiné. Dill Har­ gie pour s'engager ; il sert dans la ris, neveu d'une voisine est devenu l'a­ marine. mi de Scout et de lem, l'instigateur ou Démobilisé en 1946, il travaille pour le complice des escapades chez les voi­ le New York Times. Puis il s'inscrit à sins avec le cortège de peurs que se la faculté des lettres de Fordham. La crée l'imagination enfantine. L'exploit radio l'intéresse toujours et il est un de l'été est accompli par le père qui, des premiers à suivre les cours du dé­ sous les veux admiratifs de ses enfants, partement de la radio créé à Fordham. tue d'un seul coup de fusil un chien Ses études achevées, il cherche de l'em­ enragé. Le drame est amorcé, car At­ ploi et devient garçon de courses dans ticus Finch a accepté de défendre un les studios de la Columbia Broadcasting noir. L'entrée en classe de Scout mar­ Society. Il gravit tous les échelons jus­ que la fin de cette étape paisible. qu'à ce qu'il devienne l'un des réalisa­ Le second été ramène Dill et l'en­ teurs les plus haut cotés de la télévision chantement des jeux. C'est aussi l'épo­ américaine. que du procès de Tom Robinson accu­ De la télévision, il passe à la réali­ sé d'aboir abusé d'une blanche, Mayel- sation cinématographique en 1957. Son la Ewell. Atticus Finch, selon sa pro­ premier film avec Anthonv Perkins et messe, défend le Noir. Le déroulement Karl Maiden s'intitule : Fear Strikes du procès attire invinciblement les en­ Out (Prisonnier de la peur). Le ciné­ fants qui, à l'insu du père, v assistent. ma lui doit cinq autres films : Corne De lourdes menaces pèsent sur Atti­ September (Le Rendez-vous de sep­ cus Finch et ses enfants, car Bob Ewell tembre). The Great Impostor (Le Roi ne pardonne pas qu'on puisse mettre des imposteurs), The Spiral Road en doute sa parole pour croire un "nè­ (L'Homme de Bornéo), To Kill a Moc­ gre". L'été est vécu dans un climat kingbird (Du Silence et des ombres). lourd et tendu. Malgré le plaidoyer enfin Love with the Proper Stranger. convaincant d'Atticus Finch. Tom Ro­ binson est reconnu coupable par le 3. Le scénario jury. Sa mort, alors qu'il tente de s'en­ fuir, l'attentat sur les deux enfants, la Le scénario est tiré d'un roman en protection mystérieuse de Boo Radley partie autobiographique de Harper Lee. et l'assassinat de Bob Ewell constituent Le ton subjectif est respecté et celle qui les événements tragiques de ces der­ fut leanne-Louise Finch dite Scout évo­ niers jours de vacances. 42 SEQUENCES 1. Les personnages l'intimité des autres et essaie de le fai­ re comprendre aux enfants curieux. D'es­ Comme ces coffrets gardés jalouse­ prit libéral, il n'hésite pas à défendre ment avec leur contenu de vieux jouets un Noir, malgré les préjugés raciaux (générique), les souvenirs d'enfance ti­ de son milieu. Fidèle à ses principes, il rent leur prix d'un passé habité par la réclame la justice au nom de Dieu et présence d'êtres chers. Dans le film, la du droit de tout homme à être jugé narratrice Scout évoque le visage de honnêtement. son père et la tendresse jointe à l'ad­ b) Les enfants. miration commande le récit. Les enfants sont au coeur du film. a) Le père La narratrice Scout, Jem le grand frè­ re. Dill le compagnon de jeux, vivent Atticus (Scout elle-même le nomme sous nos yeux. Aucune fausse note dans ainsi avec toute la ville), père attentif, leur comportement et leur conduite. avocat intègre, voisin paisible, incarne Ce sont des enfants normaux qui se l'homme simple, honnête et juste qui sont créé un monde à la mesure de constitue l'humanité moyenne. C'est le leur imagination. Ils inventent des aven­ courage du réalisateur d'avoir choisi ce tures palpitantes dans les jardins du personnage peu romanesque. Comment voisinage qu'ils remplissent de fantô­ rendre attachant un homme tellement mes. Ils jouent à se faire peur et c'est ordinaire ? Si Robert Mulligan a réus­ passionnant. Les rapports qu'ils établis­ si, c'est qu'il a misé sur deux forts sent avec les grandes personnes indi­ atouts: la psychologie fine et nuancée quent nettement que l'univets adulte du personnage et une interprétation hors n'est pas le leur et quand ils y pénè­ pair. trent c'est pour y causer des perturba­ Atticus Finch comble le spectateur à tions. Atticus est le grand héros et ils toutes les séquences. Avec ses enfants, prêtent aux voisins le visage qu'ils leur il se montre compréhensif et bon. Le imaginent. Ils savent à l'occasion pro­ seul chagrin qu'il leur cause c'est de noncer des paroles d'une vérité trou­ refuser de prendre part à leuts jeux blante. parce qu'il veut les laisser tout entiers Entre eux, ils jouent des rôles com­ à l'enchantement de l'enfance. L'obéis­ me le font tous les enfants. Les accents sance qu'il exige n'est pas tatillonne et protecteurs de lem vis-à-vis de Scout, il sait revenir sur sa parole quand il le le "Ce que tu peux être fille" qu'il lui juge opportun. Louons les auteurs d'a­ décoche, la conscience qu'il éprouve de voir su hausser cet homme ordinaire à protéger son père en l'accompagnant la taille des héros par des moyens sim­ sont des traits d'une finesse indénia­ ples : le coup de fusil infaillible et la ble. Tustes aussi la gêne de Scout à défense d'une cause juste mais perdue porter une robe, sa répugnance de l'é­ d'avance. cole au premier jour de classe, ses intui­ Homme de bon voisinage, il respecte tions féminines sous des dehors garçon- MAI 1964 niers. Peut-être v a-t-il quelque exagé­ facilité les bonnts intentions de l'au­ ration à propos du rôle qu'elle croit teur. Le shérif met fin au problème de avoir joué dans le départ des paysans conscience posé à Atticus par la mort ameutés à la porte de la prison gardée violente de Bob Ewell. Poursuivre Boo par Atticus. Cette exagération même Radley l'innocent, ce serait un crime et appartient à la psychologie enfantine. Scout a le mot de la fin: "Ce serait L'enfant croit à l'importance de son comme tuer un rossignol." personnage et de ses actions et cette croyance peut survivre dans le souve­ 2. Réalisation nir. Le citadin Dill Harris qui prend des Pour le film Du Silence et des om­ airs supérieurs et se donne une situa­ bres, Robert Mulligan a adopté un style tion privilégiée en fabulant sur son simple, désuet, qui se veut tout près de père constitue une pièce essentielle du la réalité qu'il décrit.
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