ANNEXE n° 14 COMMISSION D’ENQUÊTE Jean-Pierre GUILLAUMAT-TAILLIET PVS 05 03 René ROUSTIDE SAGE aval Daniel BLANCHARD Décision du Président du Tribunal Administratif de Clermont-Ferrand du 20 juin 2014

PROCES-VERBAL DE SYNTHESE (article R 123-18 du code de l’environnement)

Observations recueillies lors de l’enquête publique ouverte du 19 janvier au 27 février 2015 sur le projet de schéma d’aménagement et de gestion des eaux du bassin de l’Allier aval

L’enquête publique s’est déroulée normalement. Les registres ont bien été clôturés à la fin de leur mise à la disposition du public dans les mairies des dix-sept communes concernées ; les commissaires enquêteurs ont assuré les trente-quatre vacations prévues.

1 - Aucune observation n’a été recueillie dans les lieux suivants

Mairie de , les 19/01 et 13/02 ; Mairie de Riom, les 04/02 et 13/02 ; Mairie de Randan, 30/01 et 25/02 ; Mairie de Besse–et-Saint-Anastaise 03/02 et26/02

2 - Observations, propositions et contre-propositions formulées oralement, dans les registres ou par courrier déposé en mairie • Les lieux d’enquête sont classés du Sud au Nord. • Les sujets principaux sont indiqués en rouge . • Les propositions et contre-propositions sont indiquées en bleu. • Les remarques, informations et observations sans lien avec le sujet ou n’appelant pas de réponse, sont indiquées en italique.

BRIOUDE 43 Commissaire enquêteur : René Roustide

M. Pierre CHEVALLIER est venu s'informer et consulter le dossier. Il s'intéresse à un petit affluent de l'Allier, le Courgoux qui passe en bordure du terrain sur lequel est sa résidence.

M. Laurent SAGNOL et son collègue de l'ONEMA Haute Loire sont venus prendre connaissance du dossier et plus particulièrement du document "Bilan de la consultation des Assemblées". Ils n'ont pas fait d'observations écrites. Ils ont fourni quelques informations relatives à des travaux projetés sur des barrages sur l'Allier à Brioude et Vieille Brioude.

Mme Marie-Christine DEGUI, première adjointe au maire de Brioude, en charge de l’environnement demande que les observations émises par le conseil Municipal par délibération du 4 juillet 2014 soient prises en compte. (Cf. P8 relevé des réserves et remarques des assemblées)

Mr Thierry DUMAZEL exprime trois remarques ou souhaits : - l’importance d’avoir des relevés réguliers et aussi complets que possible sur l’aspect qualitatif de l’air et de l’eau. Assurer une bonne information/diffusion des résultats ; - la nécessité de réaffirmer et de rendre réel la notion de pollueur/payeur. Cela passe par le non classement des procédures. - l’importance des mesures de restrictions hydriques lors des périodes de sècheresse pour assurer un minimum de civisme en ne permettant pas à certaines professions de transgresser les règlements

M. Maurice PAGES, vice-président de la communauté de communes du BRIVADOIS, membre de la CLE a remis un mémoire de 5 pages issu de la lecture du document et de la réflexion des élus de la commission de développement durable de la communauté de communes.

Observations de portée générale : renvois aux textes de lois appréciés ; documents écrits explicatifs et pédagogiques ; cependant difficulté à travailler sur les documents en ligne ; difficulté à cibler les dispositions prioritaires sur un territoire ; difficultés d'interprétation des aspects qualité de l'eau qui se recoupent avec la qualité des milieux aquatiques.

Observations sur les 8 enjeux du SAGE :

Enjeu 1 : Clarifier la compétence GEMAPI que doivent prendre les collectivités locales : mise en place, délégation ? 2

Enjeu 2 : Les réserves en eau faites en amont (Naussac) impactant les territoires devraient donner lieu à des compensations de solidarité aval-amont . Les réserves de substitution pour stocker l'eau l'hiver devraient être favorisées. Les coûts environnementaux (ex : diminution de la biodiversité) de la régulation des débits sont insuffisamment pris en compte. Les réserves de substitution devraient pouvoir servir de compensation à l'assèchement des zones humides de faible intérêt écologique. L'incitation aux récupérations d'eaux pluviales ou aux ressources autonomes sont contradictoires avec le calcul de la taxe d'assainissement basée sur l'eau potable consommée. Les fuites des réseaux d'alimentation en eau potable sont insuffisamment prises en compte (mesure 2.4.1).

Enjeu 3: Les élus s'inquiètent de l’ ensablement du lit de l'Allier à hauteur de Brioude, Lamothe, Cohade. La digue de Cohade (non repérée dans le descriptif du lit majeur) s'est vue débordée par l'aval lors des dernières crues. Un GEMAPI est souhaité dans la Limagne de Brioude pour gérer l'espace de divagation.

Enjeu 4: Le SAGE préconise d'étudier le classement de l'intégralité des masses d'eaux souterraines Allier amont et Allier aval en zones vulnérables lors de la prochaine révision. Les élus locaux sont d'accord pour étudier cette opportunité.

Enjeu 5: Conscients des améliorations à apporter aux collecteurs et aux stations d'épuration, les élus demandent que les aides tiennent compte du rapport effort consenti/potentiel fiscal. La restauration des masses d'eau doit s'appuyer sur un diagnostic plus fin pour définir les zones prioritaires. Les collectivités seront désarmées pour faire face à l'interdiction des désherbants sur les espaces verts en 2018.

Enjeu 6 : La mise en place d'une solidarité aval amont est appréciée.

Enjeu 7: En se référant aux difficultés de financement des mesures agro-environnementales en zone Natura 2000, les élus proposent de ne créer que des ZSGE présentant un réel intérêt pour la gestion de l'eau et pour lesquelles le financement sera assuré.

Enjeu 8: Demande la création d’un outil de suivi et de connaissance et de suivi de l'évolution de la morphologie du lit de l'Allier, préalable à tout programme d'actions concernant la dynamique sédimentaire . La contradiction entre la DREAL et les élus concernant les conséquences de la zone d’extension des crues sur la recharge du lit en sédiments, montre une incertitude manifeste en matière d’évolution morphologique. Les élus soutiennent la disposition 8.2.1-2, qui recommande la recherche d'un impact minimum sur les terres agricoles, impact qui devra faire l'objet d'une compensation globale.

M. Jean-Pierre BELMONT a noté 3 remarques sur le registre : A Jumeaux la présence d'un égout en provenance d'une station de délestage (qui ne fonctionne pas) se déverse directement dans l'Allier. Un coup de pelle mécanique permettrait de remettre en eau des zones humides actuellement drainées. Il serait utile d'éliminer toutes les retenues collinaires non utilisées pour l'irrigation et de ne pas en autoriser de nouvelles.

M. Bernard MAZIN a noté 2 remarques sur le registre : Une réunion publique pour avoir des explications sur un sujet aussi complexe aurait été utile. Les mesures semblent aller dans le bon sens à condition qu’elles soient appliquées.

M. Pierre FAUCHER, président du Syndicat des sylviculteurs du Puy-de-Dôme, vice-président de l’Union régionale des forêts d'Auvergne, conseiller du CRPF a noté au registre qu’il confirme les remarques formulées par le Président du CRPF (voir exploitation des avis des assemblées), en particulier sur la valeur de la distance minimale de15 m. entre le bord du cours d'eau et la première rangée de plantation et sur l’identifications des zones humides réelles et non potentielles. Il se demande si la disposition 7.1.2.3 va entrainer une accélération de la mise en place de la réglementation des boisements .

Mr Gérard BONJEAN, maire d'Azerat, membre de la CLE a remis une délibération de la commune d'Azerat et précise sur le registre que cette délibération émet de vives réserves et de très grosses inquiétudes sur la version actuelle du SAGE. Il indique que ce SAGE va mettre en péril, l'économie de la zone rurale. Les contraintes imposées aux territoires ruraux aboutiront à mettre sous cloche les territoires sans tenir compte des habitants et au détriment de l'économie. Il insiste sur la nécessité d'une exploitation durable mais dynamique de la forêt, la gestion forestière devant s'adapter au morcellement du foncier. Il précise que dans sa commune la libre divagation du lit de l'Allier va conduire rapidement à mettre en danger des bâtiments et des habitations du village de Lindes.

COMMUNE D’AZERAT Délibération du 14/02/15 (postérieure à la consultation des assemblées) .

Le conseil municipal réaffirme et complète son avis défavorable formulé par délibération du 04/07/14 :

- La gestion raisonnée des besoins en eau est préférable à une réduction qui ne tient pas compte de la réalité du terrain. - L’entretien des cours d’eau est indispensable pour réduire l’érosion et la disparition des terres agricoles. - Le principe de libre divagation de la rivière et le classement en zone vulnérable sont inacceptables. - Les mesures concernant la forêt vont conduire à une régression et à une aggravation de la situation d’un secteur déjà en crise. - Les têtes de bassin doivent être aidées pour appliquer des mesures contraignantes dont bénéficieront l’aval. 3

- Les mesures préconisées vont conduire à la mort des activités agricoles et forestière qui sont les seules économies des communes rurales du secteur.

M. Philippe FAIDIT « Les Amis de la Fontaine d’Ouillandre », a indiqué que le dossier est très complexe et qu’Il aurait fallu indiquer précisément les coûts et les budgets mobilisables pour les actions prévues. En outre, il a l’impression : - que quelques grandes villes de l’aval se sont protégées en bétonnant et que les communes autour de Brioude allaient devenir des déversoirs en laissant inonder leurs plaines agricoles - qu’on va supprimer ce qui marchait un peu en remplaçant les digues âgées d’une centaine d’année et qui ont un coût restreint par des mesures coûteuses et pénalisantes pour l’agriculture.

Mme Danielle GILBERT maire de Cohade se propose d’intégrer la commission « dynamique fluviale et nappe alluviale de l’Allier ». Elle précise dans la note qu’elle a remise que sa commune a engagé les actions suivantes :

- protection contre les crues : Cohade dispose d’un PPRPi dont le but est la protection des biens et les personnes principalement à Cohade et à Crispiat. Cette protection repose sur la digue de Cohade qui joue son rôle en cas de crue basse et moyenne (quinquennale) depuis une centaine d’années La digue est entretenue par la commune.

- amélioration de la qualité de l’eau. Dans le cadre de la disposition 5.1.1, la commune réalise une conduite de refoulement des effluents industriels de la zone Sydec de Largelier et va engager rapidement les travaux à sa station d’épuration pour être en conformité avec la loi.

-suppression des produits phytosanitaires. Dans le cadre de la disposition 5.1.9, la commune s’engage à ne plus faire l’achat de désherbants et insecticides. Les bords des ruisseaux (Vendage, St Ferreol et Ouillandre), sont traités mécaniquement ou manuellement.

La commune souhaite :

- la mise en place d’aides spécifiques par le Bassin Loire Bretagne pour la protection des biens : La commune a usé de son droit de préemption pour acheter et démolir des habitations en mauvais état. Ce qui a dégagé des espaces pour l’écoulement des eaux en cas de crues.

- la mise en place, sur la communauté de communes du Brivadois et sur celle de l ’Auzon, d’un programme d’actions préventions inondations (PAPI) qui irait de Vieille Brioude à Vezezoux.

- la mise en place d’une action commune portée par la communauté de communes du Brivadois et facilité par le Bassin Loire Bretagne pour améliorer la qualité des eaux de la Vendage (une des rivières les plus polluées de Haute Loire) ; ce qui a amené le classement des 6 communes riveraines en zones vulnérables. Pour cela la commune de Cohade s’engage à communiquer avec ses agriculteurs, à entretenir les berges et à replanter des haies et des arbres sur les terrains communaux.

Sont disponibles : La note de M. PAGES La délibération du conseil municipal de la commune d’AZERAT remise par le maire M. BONJEAN. La note de la maire de COHADE, Mme GILBERT, déposée par M. FAIDIT

BRASSAC-LES-MINES 63 Commissaire enquêteur : René Roustide

M. Jean-François MARTIN agriculteur (céréales et plantes aromatiques biologiques) à Brassac en bordure de la rivière, craint que des mesures préconisées deviennent ultérieurement des mesures réglementaires. En particulier, il redoute que le SAGE n’impose de nouvelles règles contraignantes pour les agriculteurs . Il ne comprend pas la raison pour laquelle un espace de mobilité maximal a été défini et cartographié .

Mme Madeleine BRUN est propriétaire d'une maison à Brassac, située dans le périmètre de l’ espace de mobilité maximal . Elle s'interroge sur la portée juridique de cet espace et sur les conséquences directes ou indirectes qui peuvent en résulter pour sa propriété. Le PPRNPi a classé sa propriété en zone rouge, Au cours de l'enquête PPRNPi elle avait fait des observations qu’elle exprime à nouveau en remettant le plan topographique de sa parcelle AR 259, rue de Mégecoste.

Sont disponible : La requête de Mme BRUN Le plan topo. concernant les parcelles AR n° 259-375 de Mme Brun

ISSOIRE 63 Commissaire enquêteur : René Roustide

M. Bernard RIEUF membre de l'association des Biefs d'Issoire, est propriétaire du moulin de Guillard situé sur un bief rive gauche de la Couze Pavin. Ses observations portent sur le devenir du barrage "Pavin 3" fondé en titre qui alimente ce bief. Ce barrage situé juste en amont de la ville d'Issoire permet d'alimenter plusieurs moulins ainsi qu'une multitude de petits canaux (aujourd'hui peu visibles) qui irriguent la ville. Le barrage fait partie de ceux qui entrent dans les projets d'effacement des ouvrages pour retrouver la continuité écologique .

Mme CAILLAT-RICHARD et M. René DESMAS, résidents dans le village de Varenne-sur-Usson, souhaitaient savoir si le projet prévoit des travaux sur l'Eau-Mère. Il leur a été précisé que les projets de travaux sur un site particulier n'était pas défini dans le dossier

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M. André FOURNIER habite la commune de Moriat. La commune est pour 99,99% de son territoire sur le bassin de l'Alagnon (référence site du SAGE Alagnon). Etant propriétaire d'une petite parcelle de forêt alluviale en bordure de l'Alagnon, il venait s'informer sur les dispositions qui pouvaient s'appliquer à cette parcelle. Il lui a été précisé que ce territoire était en dehors périmètre du SAGE Allier aval.

M. Jean Pierre de MULDER vice-président d'Issoire Communauté, conseiller municipal d'Issoire et M. Philippe GODARD directeur, sont porteurs, au nom de la ville d'Issoire et d'Issoire Communauté, de deux demandes et propositions : - proposition de modification du tracé de l'espace de mobilité optimal à l'amont du pont de Parentignat - proposition de modification du tracé de l'espace de mobilité maximal au droit de la zone de Lavaur- Labéchade reportée sur carte

Après avoir explicité ces deux demandes un dossier a été remis pour être versé au registre ; il comprend le courrier d’Issoire communauté daté du 18/02/2015 qui indique : - Les deux collectivités, Ville d’Issoire et Issoire communauté, sont fortement impliquées dans les domaines de l’eau et les thématiques abordées dans le projet de SAGE - La ville d’Issoire a toujours participé à la recherche de solutions qui permettent de répondre à l’objectif principal du SAGE : trouver un équilibre durable entre les besoins des activités socio-économiques du territoire et la préservation des milieux aquatiques et des ressources en eau. Des représentants de la ville d’Issoire ont participé à la CLE ce qui montre l’intérêt porté par les élus en matière de politique de l’eau. - Issoire communauté collabore à la mise en œuvre d’actions profitant à tout le bassin hydraulique aval : protection de l’étang Nord des Mayères, suppression d’enrochements l’aval, étude hydraulique et travaux de protection contre un risque de capture des plans d’eau par l’Allier, etc… - Issoire communauté a une politique de développement économique en particulier sur le site du Parc de Lavaur Labéchade. Pour poursuivre ce développement la collectivité doit prendre en compte les objectifs et les règles du SAGE mais aussi les règles du PPRNPi. Ce dernier en cours négociation avec les services de l’Etat doit être mis en parallèle avec le SAGE notamment en ce concerne l’espace de mobilité de la rivière. De nombreuses études ont été réalisées sur ce point depuis une dizaine d’années concernant le parc d’activités. - Les deux collectivités demandent la prise en compte des arguments développés dans le cadre des négociations en cours sur le PPRI, pour déterminer sur deux secteurs l’espace de mobilité optimal et maximal par de nouveaux tracés qui prennent en compte différents enjeux économiques et hydrauliques

Ce courrier est accompagné de 6 annexes ; • Annexe 1 : - proposition du tracé de l’espace de mobilité optimal au niveau de la base nautique et des circuits - proposition du tracé de l’espace de mobilité maximal au niveau de la zone de Lavaur Labéchade. - photo aérienne sur laquelle est reporté le tracé actuel de l’espace de mobilité maximal au niveau de la zone de Lavaur Labéchade.

• Annexe 2 : Une copie de la délibération de la ville d'Issoire du 26 juin 2014 qui formule un avis favorable assorti de réserves :

COMMUNE D’ISSOIRE délibération du 26/06/14 (non traitée dans le bilan de la consultation des Assemblées)

La commune demande que le document final prenne en compte les réserves et remarques suivantes :

- Prise en compte de la notion de territoire à risque important d’inondation (TRI) pour le bassin issoirien qui n’est pas dans la liste de la directive inondation. Le PPRNPi montre que des entreprises majeures peuvent être impactées, comme Constellium, Issoire Aviation et des entreprises du parc d’activités de Lavaur-Labéchade. - Modification des espaces de mobilité optimal et maximal au droit des Mayères, des circuits automobiles et de l’aérodrome. Les documents du SAGE montrent qu’il n’y a pas de correspondance entre l’espace de mobilité maximal et la zone inondable au sens du PPRNPi. Il semble opportun pour la commune d’Issoire de contenir la divagation de l’Allier afin de ne pas laisser la rivière s’approcher des zones stratégiques de développement économique, des circuits automobiles et de l’aérodrome. - Prise en compte du rôle des plans d’eau et qui doivent être préservés et protégés. Notamment les Mayères constituent un secteur tampon qu’il faut préserver pour éviter une capture des plans d’eau par l’Allier Le fait qu’une partie du plan d’eau Nord et que le circuit de terre soient inclus dans l’espace de mobilité optimal de la rivière est contradictoire avec le fait que le lit de l’Allier s’enfonce. En effet le plan d’eau, s’il est repris par l’Allier, se comportera comme un piège à sédiments qui accentuera le phénomène de creusement du lit en aval.

• Annexe 3 : une carte extrait de l’étude hydraulique Merlin Nouvel aléa théorique au droit de la zone Lavaur Labéchade • Annexe 4 : une carte extrait de l’étude hydraulique Merlin Gain de la zone Rouge au droit de la zone Lavaur Labéchade • Annexe 5 : une étude du CETE intitulée Incidences des lignes d’eau de l’Allier de l’extension de l’aérodrome d’Issoire-Le Broc • Annexe 6 : une Etude du CETE intitulée Extension de la ZAC Issoire-Le Broc du 22/09/2005

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M. André BEAL et Pierre ROUCHY ont exprimé par note plusieurs observations :

- Elles estiment que l’examen du dossier s’apparente à un catalogue d’idées générales plutôt qu’à une étude complète et exacte des différents travaux, interventions et actions à mener sur les divers cours d’eau. Une telle énumération ne permet pas de connaître ce qui va être réellement fait et ce qui se cache derrière ces énoncés.

- Ils indiquent que le dossier soumis à l’enquête publique devrait permettre aux intéressés de connaître la nature et la localisation des actions envisagées, voire imposées, ainsi que les principales caractéristique des travaux.

- Ils demandent à la commission d’enquête de s’assurer que l’étude du dossier fournit une information exhaustive et suffisamment précise pour se prononcer en toute connaissance de cause.

- Indiquent que l’administration, sous couvert d’une enquête tronquée, aura la possibilité de gérer la totalité des problèmes concernant l’eau et d’imposer des mesures contraignantes sans que quiconque puisse s’y opposer.

Sont disponibles :

La lettre du président d’Issoire Communauté La délibération de la commune d’Issoire Les annexes 1, 2, 3,4 (les deux études CETE n’ont pas été reproduites) La note de MM. ROUCHY et BEAL

VIC-LE-COMTE 63 Commissaire enquêteur : René Roustide

M. Paul BARNOLA, ancien professeur de faculté est président de l'Association de Défense et Valorisation de l'Environnement et du Patrimoine. Sa contribution verbale et sa note « Les eaux de surface de Vic le Comte: ruisseaux-rivière Allier » présentent un état des lieux alarmant des ruisseaux de Vic le Comte et de l'Allier.

- Dans le ruisseau de Gourou : disparition des écrevisses à pied blanc ; dégâts provoqués par les déversoirs d’orage et le ruissellement des routes ; proximité de deux décharges privées ; usage des ruisseaux empêchant la libre circulation des sédiments et de la faune piscicole.

- Quant à l'Allier, très dégradée : régénération de la ripisylve mise à mal par la renouée ; disparition des vols d'éphémères, Diminution du nombre de pêcheurs. Contamination par des micropolluants, sédiments avec métaux lourds, pesticides ; risques consécutifs à l'aménagement très près du lit mineur de la route à 4 voies Issoire-Coudes.

M. Paul BARNOLA souhaite que les bilans des stations d'épuration des entreprises industrielles soient publics. Il a souligné que les coûts nécessaires à une remise en état de la rivière seraient très importants et que dans ces conditions la notion de trames verte et bleu était bien artificielle.

Pour autant, Il affiche sa satisfaction pour le travail réalisé dans le cadre du SAGE.

M. Jacques ROCHETTE responsable de l'urbanisme de la commune représentant le maire M. Blanchet, remet un courrier qui concerne l'enjeu 8 et la délimitation des deux espaces de mobilité.

Concernant l’ espace de mobilité optimal le maire considère que cet espace qui est inclus dans de la zone inondable du PPRNPi, n'apporte pas de contraintes supplémentaires.

Concernant l’ espace de mobilité maximal , le maire note que la règle n° 3 ne s’y applique pas et que cet espace ne relève que d’une veille et d’une animation foncière. Il relève qu'à l'intérieur de ce périmètre on trouve, sur sa commune, deux quartiers habités, et des terrains appartenant à la Banque de susceptibles d'être concernés par le développement industriel de l'entreprise (plan joint). Il estime que cet espace est incohérent avec le tissu urbain existant et le projet de la Banque de France et qu’il laisse planer un doute sur le devenir de ces secteurs. Il demande que le périmètre de mobilité maximal soit revu de façon à exclure les quartiers déjà construits ou qui le seront prochainement. Les cartes correspondantes sont jointes au courrier du maire.

Sont disponibles : Le courrier du maire du 25/02/15 avec le plan de situation des 3 sites de Vic-le-Comte La contribution de M. Barnola

CLERMONT-FERRAND 63 Commissaire enquêteur : Jean-Pierre Guillaumat-Tailliet

M. et Mme BRIGNOLI ont fait part d'un certificat d'urbanisme de 2013 classant leur terrain en zone constructible (UG) du PLU de Beaumont. Le PPRNPi approuvé le 4 novembre 2013 situe le terrain en zone inondable. La question ne relevant pas des dispositions du SAGE, il a été conseillé aux requérants de s'adresser aux services urbanisme de la mairie de Beaumont.

M. Julien NORE, chargé de mission, a remis et le courrier de l’UNICEM du 16/02/15 repris § 4 ci-dessous. M. Gérard Attia a remis le courrier de Mme le maire de Saint-Germain-des-Fossés repris § 4 ci-dessous.

LEZOUX 63 Commissaire enquêteur : Jean-Pierre Guillaumat-Tailliet

M BERNARD évoque sur le registre le problème de l’ épandage des boues d'épuration de la station d'Aulnat autorisé sur 99 communes du Puy-de-Dôme et qui va engendrer des pollutions importantes des cours d'eau 6 et des zones humides par ruissellement. Il demande si ces risques sont pris en compte par le SAGE et que soient précisées les modalités des analyses de contrôle prévues tous les 10 ans.

M. GRANGEON, président du SIEAP Basse-Limagne et M. RANCLARET, technicien regrettent que le syndicat de Basse-Limagne n’ait pas été désigné pour siéger à la CLE. Ils demandent son intégration lors du prochain renouvellement. Ils demandent à être auditionné et souhaitent être invités aux réunions de la CLE et recevoir les comptes rendus correspondants (cf., délibération du 24/06/15),

Ils soulignent l’absolue nécessité de protéger par un enrochement les puits de captage de la Boucle du Buisson à Pont-du-Château , mais s'opposent à toute mesure de compensation qui serait imposée en contrepartie.

Ils souhaitent réaliser des puits supplémentaires (puits fusibles) à Joze pour augmenter la ressource et la sécuriser par de nouvelles extensions des interconnexions sur les secteurs de Cournon et de Riom.

Ils précisent que certaines entreprises de la zone de Ladoux déversent leurs effluents sans traitement dans le ruisseau du Rif provoquant des pollutions importantes. La réalisation du réseau de collecte de ces effluents est donc urgente.

RIOM 63

M.PECOUL, maire de Riom, président de Riom Communauté, fait trois observations :

La mise en œuvre des objectifs du SAGE va être freinée par le manque de précisions sur l’organisation de la gouvernance. Des mesures concrètes de rationalisation de la gouvernance locale auraient dû être précisées.

Il n’existe pas de lien entre le SAGE et les documents de planification : les besoins en eau des 50 000 habitants supplémentaires d’ici à 2030 prévus par le SCoT du Grand- Clermont auraient dû être étudiés dans le cadre du SAGE.

L’absence de toute indication concernant la localisation des zones humides va rendre difficile leur recensement par les collectivités.

Est disponible : Le courrier du maire du 05/02/15

COMBRONDE 63 Commissaire enquêteur : Jean-Pierre Guillaumat-Tailliet

MM. TARDIF, FOURTIN, THORE, MONTPIED, ONZON Batiste, ONZON Etienne, ESPAGNOL et BOROT ont exprimés collectivement leurs craintes de voir s'accroitre encore les multiples contraintes qui pèsent sur les agriculteurs . Ils sont dans une attitude de méfiance ou, pour le moins de grande prudence, vis-à-vis de prescriptions dont ils mesurent mal les conséquences sur leurs exploitations. Les points spécifiques évoqués concernent principalement : - les capacités d'irrigation souvent liées à des petits ouvrages de retenue qui sont indispensables ; - le libres accès aux ruisseaux pour l’ abreuvement du bétail ; - le maintien indispensable des gués (routiers ou non-aménagés).

Le maire, M. Bernard LAMBERT, n'a pas formulé d'observation particulière mais souligne la difficulté de prise de connaissance du dossier .

M. François TARDIF, conseiller municipal, demande le maintien des accès à l'eau du bétail pour les agriculteurs locataires de ses terrains et le maintien des conditions actuelles d'exploitation, sans nouvelles contraintes. Il signale que l'entretien des berges des ruisseaux est difficile à assurer par les propriétaires riverains, Il demande une cartographie à une échelle plus grande.

Mme Mireille MONTPIED signale que certaines de ses parcelles ne sont accessibles qu'en traversant la rivière. Elle s'inquiète du maintien des gués existants et demande comment assurer l’ accès des bêtes à l'eau.

M. Éric FOURTIN espère continuer à abreuver ses bêtes et souhaite que l'entretien des ruisseaux soit maintenu.

M. David THORE indique sur le registre qu’il estime que le dossier est trop vaste et peu précis et que les situations sont très variables d'une région à l'autre. Il considère que l'agriculture n'est pas la seule activité polluante et que la profession a déjà fait beaucoup d'effort, Il signale l'importance de l'abreuvement du bétail dans les ruisseaux et la nécessité de répartir les charges d'entretien des berges sur tous.

MM. Christian MONTPIED et Bernard CHATEAU, au nom de l'AAPPMA, indiquent sur le registre qu’ils contestent l'utilité de supprimer les écluses et les digues qui alimentaient les moulins , éléments du patrimoine et qui constituaient des réserves à truites. Ils estiment que les digues n'ont jamais empêché les poissons de remonter la rivière dans la mesure où il y a assez d'eau.

Concernant la renouée du Japon dont l'extermination est impossible, Ils préconisent de la couper avant sa floraison.

Ils signalent la pollution de Laize (qui se jette dans la Morge affluent de l'Allier) due aux rejets de boues de lavage de la carrière de Chavanon dont la station d'épuration manquerait d'entretien. La municipalité et l'ONEMA sont pourtant alertées chaque année.

M. Batiste ONZON indique sur le registre qu’il s'inquiète des conséquences de ces nouvelles lois sur les pratiques et la gestion de son exploitation . Il précise que ses bovins s'abreuvent dans les ruisseaux dans des endroits délimités et clôturés, sans aucun barrage, ce qui est une pratique courante et indispensable. La 7

P.A.C. a imposé de nombreuses contraintes souvent justifiées mais parfois incohérentes sans prendre en compte la réalité du terrain qui varie fortement d'un lieu à un autre ni des efforts importants faits par les exploitants. « On est en train de passer de l'agriculture polluante de surproduction des années 80, à une agriculture qui cumule les contraintes et de profondes incohérences ».

M. Etienne ONZON regrette sur le registre la stigmatisation de la filière agricole qui a pourtant fait beaucoup d’effort depuis la mise en place de la PAC. L’exemple des produits phytosanitaires qui ne sont pas exclusivement utilisés par les agriculteurs et qui provoquent des pollutions durables, démontre la nécessité de raisonner à long terme. Beaucoup reste à faire pour améliorer les assainissements collectifs ou non, et pour diminuer les pollutions dues aux produits ménagers et aux médicaments.

L’abreuvement du bétail dans les ruisseaux est indispensable même si des aménagements plus raisonnés sont envisageables

Les agriculteurs travaillent avec la nature et n’ont pas l’intention de la détruire ; ce sont eux qui façonnent le paysage et en assurent l’entretien au quotidien.

La cartographie des zones vulnérables n’incluent pas toutes les communes d’un même bassin versant, comme par exemple celle de Montcel où se situe un projet de centre d’enfouissement technique.

M. Robert ESPAGNOL s’inquiète des nouvelles contraintes que la loi sur l’eau va encore faire peser sur son activité.

Sont disponibles : Le courrier de M. Tardif Le courrier de Mme Montpied Le courrier de M. Fourtin

GANNAT 03 Commissaire enquêteur : Jean-Pierre Guillaumat-Tailliet

M. Michel DEAT, président de l’AAPPMA "chevaliers de la Sioule" rapporte sur le registre que les sociétaires et les propriétaires riverains, réunis en assemblée générale, ont rejeté le projet d' arasement de "l'écluse" du moulin des Salles . Ce projet serait dévastateur sur la flore, le tourisme, la pêche et... sur la confiance accordée à leurs dirigeants.

M. Jean-Claude DESBRE est propriétaire à Vensat d'une parcelle (YH 6), de 4,7 hectares en partie inondable. L'aménagement foncier de 1995 et la réalisation de la station de lagunage mitoyenne de sa parcelle ont aggravé la situation et lui font subir d'importantes pertes d'exploitation. Suite à de très nombreuses démarches restées sans résultat. Il demande que cette parcelle devenue difficilement exploitable lui soit acquise par la collectivité.

M. Michel DURANT, représentant d’Europe Ecologie les Verts, a pris connaissance du dossier le 19 janvier et relève sur le registre l'inconfort des conditions de cette consultation en mairie. Il regrette le temps limité dont dispose le public pour prendre connaissance du dossier ; il aurait souhaité l’organisation de réunions publiques ; Il souhaite que le résumé non technique soit séparé des autres pièces du dossier et mieux mis en valeur ; il souligne des mentions in appropriées ou incohérentes ; il relève l’incapacité dans laquelle se sont trouvées les communes pour donner leur avis de façon pertinente. M. DURANT estime que le SAGE n’est pas assez ambitieux pour répondre aux enjeux de réhabilitation de la rivière, en dépit des critiques formulées sur le financement des actions qui a pourtant été évalué a minima ; il demande des mesures pour laisser la rivière franchir les obstacles qui s’opposent à sa divagation naturelle : combler les anciennes carrières, protéger les vieilles alluvions, améliorer les connaissances par la pose de piézomètres.

M. Pierre MICHEL, président d’Allier nature vivante , s’associe sur le registre aux remarques de M. Durant concernant la dynamique fluviale . L’autorité publique devra, au-delà des vœux, prendre des mesures concrètes pour améliorer la qualité de l’eau : réduction de la consommation des activités agricoles, réduction des quantités d’engrais et de pesticides. Des commissions composées de professionnels, d’usagers et d’associations de protection de l’environnement pourrait enfin appliquer sur le terrain les mesures qui s’imposent.

VARENNES-SUR-ALLIER 03 Commissaire enquêteur : Daniel Blanchard

M. et Mme Bruno de CHAVAGNAC disposent d'un permis d'aménager un parc et un jardin en bordure d'anciennes sablières réhabilitées en espaces écologiques par l'exploitant carrier (situés hors zone jaune, près de la ligne rouge). Ils souhaitent protéger ces aménagements contre l'érosion dues aux crues, et notamment contre les apports polluants.

M. Bernard DESCHET habite une maison ancienne construite au faîte d'une falaise protégée de l'érosion fluviale par un enrochement ancien qu'il juge indispensable . Il demande son maintien, sinon, la falaise sera minée et la maison finira dans la rivière.

M. Patrick FOURNIER pose le problème de la domanialité des surfaces de divagation de la rivière : sur le cadastre de Varennes, il est propriétaire de parcelles pour lesquelles il paye des impôts, mais qui ont été absorbées par la rivière. Il conteste le fait que l'Etat s'approprie à jamais ces errements, interdise la jouissance des sols restitués ici ou ailleurs, et continue de prélever les impôts sur ces hectares inutilisables. Il a rédigé sur le 8 registre : "Je demande que le droit de propriété soit respecté conformément à la déclaration des Droits de l'Homme : nul ne peut être privé de sa propriété sans une juste et préalable indemnité".

M. Gérard MATICHARD, porte-parole d'Europe Ecologie Les Verts, regrette l'absence d'une note de synthèse sur l'état des lieux et les objectifs et de réunions publiques d'information. Il constate que ses propositions en termes d'agronomie lors de l'enquête sur le SCOT de Moulins n'ont pas été suivies. Il propose une charte avec les agriculteurs sur l'exemple des pratiques agro-écologiques de la ville de Munich pour : édifier les ouvrages sur pilotis ; combler les anciennes carrières.

M. René CHANAUD, au nom de France Allier Nature, a annexé au registre une contribution de six pages manuscrites. En préambule, il regrette la lourdeur du dossier et son caractère abscons pour le citoyen ordinaire.

- Les extractions de graviers sont responsables de l'enfoncement important du lit et de la réduction de la ressource aqueuse. Il faut combler les dégradations qu'elles ont provoquées.

- Il est: indispensable de détruire les enrochements pour récupérer des sédiments afin de reconstituer la réserve en eau. L'enjeu de l'eau potable est à ce prix.

- Pas de construction dans l'espace de mobilité pour éviter toute pollution liée à l'urbanisation.

- Des projets routiers ne sont pas pris en compte : le contournement de Varennes, réalisé par l'Etat, est considéré comme une duperie, car implanté à l'intérieur de l'espace de mobilité avec destruction de zones Natura 2000 et de ZNIEFF de type 1. Celui de Vichy imposait l'usage de pilotis pour porter la route dans la traversée de la zone de divagation, alors que la solution retenue entraîne des mesures compensatoires à .

- Gaspillage de l'eau : La « Junkproduction » repose sur la généralisation du mauvais usage. Il dénonce le prix unique de l'eau quel que soit son usage doit être remplacé par une graduation du tarif pour rendre dissuasif le remplissage des piscines, les arrosages et les lavages.

- Plus largement la mutualisation des plans d'eau existants doit être effective pour éviter des projets communaux qui aggraveraient la situation.

- Les constructions en zone inondable comme à Saint-Germain-des-Fossés doivent être interdites

- Enfin, il est souligné que les matières industrielles chimiques aux effets méconnus sont utilisées sans précautions sur les sols.

MOULINS Commissaire enquêteur : Daniel Blanchard

Mme Rolande SARRAZIN, maire de La-Ferté-Hauterive. M. Maurice LEMAIRE maire-adjoint de Toulon-sur-Allier et agriculteur ; M. Alain DESSERT, maire-adjoint de Chemilly, président des usagers et riverains du val d'Allier ; M. Jean-Louis LAURENT, syndicat des irrigants du Val d'Allier Bourbonnais et les propriétaires riverains de l'Allier : MM. Guy JACOB, Maurice LEMAIRE, Hugues de MONTCLOS, Bruno de l’ESTOILLE, M. Alain DESSERT et Michel FORESTIER, sont venus en mairie de Moulins le 27 février. Tous se sont dits opposés aux dispositions du SAGE :

L’agglomération moulinoise est particulièrement soucieuse de ne pas entraver les projets de développement de son territoire et de conserver les digues historiques qui protègent la ville de Moulins des débordements de l’Allier.

Les très nombreuses récriminations faites au projet de SAGE gravitent autour de l’enjeu n° 8 : « préserver et restaurer la dynamique fluviale de la rivière Allier en mettant en œuvre une gestion différenciée suivant les secteurs ».

La disposition 8.1.2 « encadrer la réalisation de tout aménagement ou ouvrage susceptible de faire obstacle au déplacement naturel de l’Allier » et la disposition 8.2.1 : « restaurer la dynamique fluviale dans l’espace de mobilité optimal » ont déclenché une levée de boucliers de la population du val d’Allier, entre Varennes-sur-Allier et Villeneuve-sur-Allier (40 kilomètres, 18 communes). La préconisation d’effacer les protections de berges (mesure 1 de la disposition 8.2.1) a provoqué un tollé.

La profession agricole s’est fortement mobilisée pour dénoncer cette préconisation. Un tel effacement des protections de berges provoquerait l’érosion des sols adjacents qui bénéficient, souvent depuis plusieurs siècles ou décennies, d’une protection par des enrochements qui sont efficaces et discrets et où, pour la plupart, la nature a repris ses droits par une couverture végétale dense de type ripisylve. D'une manière générale, elle ne veut pas devenir le bouc émissaire du SAGE, à l'image de M. Dominique IBERT et M. Sébastien IBERT, de La Ferté-Hauterive, M. Michel FORESTIER de Chemilly, Mme Hélène DESSERT, de Chemilly, M. Patrick VICTOR, de La Ferté-Hauterive, Mme Edith IBERT-COURCHINOUX, de Paris, M. Jean DODAT, de La Ferté-Hauterive, M. Frédéric ZION, de La Ferté-Hauterive, M. Robert RAY, de Varennes-sur-Allier, Mme Stéphanie DEVERNE, de Varennes-sur-Allier, m. Olivier CHAVEROCHE, de Varennes-sur-Allier, MM. Michel et Patrick NEURY, de Bessay, M. Jean-Louis CHABRIER, de Chemilly, M. Christian BLONDET, de Monétay, Alain DESSERT de Chemilly, Guy JACOB d'Avermes, Jean-Christophe et Françoise DODAT de La Ferté-Hauterive.

Le GAEC MICHOUX-AURAMBOUT, de Villeneuve-sur-Allier, s'insurge sur la mesure liée l'interdiction de faire boire les animaux dans les cours d'eau et s'interroge sur l'application de cette interdiction aux animaux sauvages...

Des maires, des conseils municipaux et communautaires , sont également montés au créneau, rejoints par d'anciens élus comme M. Gérard LARAT, pour dénoncer cette mesure qui est qualifiée de ruineuse financièrement et de désastreuse des points de vue économique, architectural et humain. Ils mettent en avant la valeur agronomique des terres du val d’Allier irriguées et calibrées pour une culture de céréales mécanisée. Ils 9 soulignent les risques encourus par le bâti, souvent historique, implanté sur les premières terrasses et directement menacé par une érosion latérale non maîtrisée.

Des responsables d'associations refusent également les préconisations du SAGE. Alain DESSERT parle ainsi au nom de l'association des Usagers du Val d'Allier, membre du comité consultatif de la Réserve Naturel du Val d'Allier, souligne l'importance des avis négatifs et avec réserves. L'association refuse l'amalgame entre les zones de plaines et celles de montagne, notamment en terme d'incision du lit, estimant que la situation est très différente, mais que les contraintes sont les mêmes partout. Elle constate que le caractère sauvage de l'Allier est préservé, mais que les intérêts des riverains le sont aussi grâce aux protections établies judicieusement au fil des siècles. Regret : que les « anciens » riverains n'aient pas été consultés lors de l'élaboration du projet.

L'association du Cadre de Vie, représentée par M. HOARAU, souligne les dispositions du SAGE contraires aux règlements européens, aux droits constitutionnels sur la propriété, aux textes sur la protection de l'environnement et sur la suppression de plusieurs zones Natura 2000, ZNIEFF, ZICO en Val d'Allier. Enfin, il note que le SAGE Allier Aval ne figure pas dans la liste des 65 SAGE identifiés comme nécessaires.

Des scientifiques dénoncent également l’affirmation du SAGE à propos de la protection de la nappe phréatique du lit mineur, en s’appuyant sur les mesures piézométriques qui montrent une stabilité des niveaux quelle que soit celui du lit de l’Allier.

M. MATHONAT, à , ingénieur INP Grenoble, contredit le SAGE en affirmant que l’approfondissement du lit de la rivière n’a aucune influence sur les nappes phréatiques. Plus globalement, Il considère que la nature doit s’exercer avec l’Homme.

M. Maurice LEMAIRE, exploitant à Toulon, dénonce l’institution hasardeuse de zones humides sur des critères incertains, soulignant des bas-fonds parfois gorgés d’eau lors des épisodes pluvieux. Il regrette la dégradation, dans le dossier, de la profession agricole. Il souligne qu’en cas de divagation latérale de l’Allier, le ruisseau « La Sonnante » et ses petits affluents seront exposés à des inondations aux conséquences catastrophiques pour les parties urbanisées de Toulon (centre routier et zone commerciale notamment).

M. Hugues de MONTCLOS s’inquiète de l’évolution négative de la valeur du foncier touché par la mobilité latérale en s’appuyant sur l’article 17 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789. Il souhaite que l’espace de mobilité optimal devienne domaine public.

M. Bruno de l’ESTOILLE, de Monétay-sur-Allier, souligne l’ancienneté (XIXe siècle) d’enrochements autorisés qui protègent les terres agricoles de l’aval et les puits de captage d’eau potable du Syndicat mixte des eaux de l’Allier.

Le syndicat des agriculteurs irrigants du val d’Allier bourbonnais refuse toute réduction de l’irrigation agricole et n’admet pas l’évocation de pillage de la ressource. Il évoque les pollutions ayant pour origine de nombreuses décharges anciennes. Il s’oppose au retour des haies et à la limitation des créations de plans d’eaux à usage agricole. Il revendique la gestion des zones humides par les agriculteurs. Il s’inquiète des restrictions des pompages directs dans la rivière et de l’occupation temporaire du domaine public fluvial.

Le syndicat départemental de la propriété privée rurale de l’Allier interroge sur les conséquences des désenrochements. Il s’indigne du vol manifeste que constitue l’indemnisation des préjudices liés à la divagation latérale de l’Allier provoquée par ces désenrochements. Il considère que l’espace de mobilité optimal est trop important notamment s’il implique le déplacement des puits de captage.

M. Bernard CLOITRE, de Trevol, s’insurge contre le projet de suppression des protections de berges sur le site de Chavennes et des Verdiaux à Avermes, situé en zones Natura 2000. Il rappelle qu’en 1943, une crue avait menacé des habitants. Il craint pour les captages du SIAEP Rive droite de l’Allier aux Drives, soulignant qu’un déplacement du captage plus à l’est conduirait à utiliser des eaux ferromanganiques impropres à la consommation, affirmation reprise par les personnes présentes à la permanence de Moulins, le 27 février.

M. Jean-Pierre LAURENT, de , en appelle à une concertation réfléchie des différents acteurs pour apporter des solutions pérennes aux enjeux contradictoires entre l'économie et le besoin d'eau d'une part, les excessives ponctions des zones agricoles par la rivière et les investissements d’autre part

Les délibérations de collectivité qui ont été remises sont toutes défavorables au projet. 12 courriers ont été adressés au siège de l’enquête et sont regroupés § 3 infra.

Sont disponibles :

La délibération du conseil de Moulins Communauté La délibération du conseil municipal de Moulins La délibération du conseil municipal de la commune de Chemilly La délibération du conseil municipal de la commune de La-Ferté-Hauterive La délibération du conseil municipal de la commune de La délibération du conseil municipal de la commune de Toulon-sur-Allier Les contributions de MM. Bruno de l’Estoille, Maurice Lemaire, Hugues de Montclos et Henri Mathonat La contribution du syndicat de la propriété privée rurale, La contribution du syndicat des agriculteurs irrigants du val d'Allier bourbonnais

Les lettres de MM. Éric Ray, Alain Landrieaux, Albert Mitton, Monique Picherit, Gilles Journet, Patrick Arambout, Bénédicte et Christophe Gudin, GFA Bourdier, Jean-Marc Faure, Michel Faure, Gilles de Montclos, Paul Pérouse de Montclos. Jérôme Rambert, EARL du Vigier et Jean-Pierre Laurent, sont au § 4 ci-dessous.

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BOURBON L’ARCHAMBAULT 03 Commissaire enquêteur : Daniel Blanchard

M. René ROSSEEL, propriétaire d’un étang conteste l'impunité dont jouissent les exploitants de porcherie, dont les épandages de lisiers sont effectués de façon illégale, ce qui conduit à une pollution irréversible de son étang. Il a porté sa plainte sur le registre.

SAINT-PIERRE-LE-MOUTIER 58 Commissaire enquêteur : Daniel Blanchard

M. Didier MENEZ, adjoint au maire, a pris contact pour évoquer les captages d'eau potable, sans préoccupation particulière.

M. Jean-Pierre RACLIN est impacté par l’ espace de mobilité optimal de la rivière et par un bois classé en zone Natura 2000. Une partie de son domaine se situe aussi dans l’ espace de mobilité maximal . Il souhaitait connaître la teneur du SAGE. Il ne semble pas hostile sur le fond.

Mme et M. Henri CORDEZ sont propriétaires de 47 hectares situés en rive droite de l'Allier, essentiellement dans l’ espace de mobilité optimale , à l'aval immédiat du pont de Mornay (RD 2076, ex RN 76). L'avenir de ces terrains les préoccupe : après l'abattage généralisé de la peupleraie arrivée en fin d'existence, Ils se proposent de revenir à une prairie , mais craignent de ne pas y être autorisé.

LA-GUERCHE-SUR-L'AUBOIS 18 Commissaire enquêteur : Daniel Blanchard

M. Jean-Marc AMZIAN est venu se renseigner sur le dossier, sans formuler d'observation.

3 – Courriers adressés au siège de l’enquête • Les courriers sont en annexe • Les sujets principaux sont indiqués en rouge

1 - Délibération du conseil municipal de Saint-Germain-Lembron du 16/02/15

Ayant rappelé l’objectif du SAGE de trouver un équilibre durable entre les besoins des activités socio- économiques du territoire et la préservation des ressources en eau ;

Ayant formulé la remarque suivante sur les dispositions concernant la restauration des masses d’eau dégradées : « s’il est préconisé une incitation à la mise en œuvre de bonnes pratiques pour réduire les pollutions diffuses d’origine agricoles, les actions restent vagues comme par exemple sur les pratiques d’épandage agricole et plus particulières des boues de station d’épuration ».

Au regard : des enjeux du SAGE ; des engagements de la collectivité concernant la mise aux normes des réseaux d’assainissement, l’amélioration des conditions de collecte des effluents, la limitation des apports en sortie de station d’épuration ; des plans d’action en cours sur la commune tel que le contrat territorial concernant les captages du Broc et du versant du Lambronnet, visant à améliorer les pratiques agricoles et non agricoles ; de la délibération du conseil municipal du 28/11/14 portant acte de l’avis favorable de la commune sur le projet de SRCE Auvergne, cohérent avec le SAGE ; de l’intérêt évident du SAGE, en particuliers sur les points précités ; le conseil municipal a émis un avis très favorable sur le projet.

2 - Lettre de la maire de Saint-Germain-des Fossés du 24/02/15

La commune souhaite aménager des zone à proximité de l’Allier et demande une modification de l’ espace de mobilité optimal (retour à la délimitation précédente).

Voir la carte jointe en annexe.

3 - Lettre du président de la communauté de communes de la Montagne Bourbonnaise du 26/02/15

Le président résume les observations de son conseil communautaire sur trois domaines majeurs :

- La continuité écologique sur les barrages et les seuils pouvant impacter la circulation des espèces et la qualité de l’eau, les travaux doivent relever de l’Etat.

- Les boisements « industriels » en douglas, étant jugés nuisibles à la qualité des cours d’eau, leur remplacement par des variétés autochtones doit être indemnisé. Les mesures agro-environnementales, déjà en usage sur le territoire sont insuffisamment soutenues financièrement.

- La problématique vitale des phosphates dans l’eau de consommation humaine n’est pas prise en compte par le dossier.

4 - Courrier de la fédération de la région Auvergne pour la nature et l'environnement du 09/02/15

La volonté affichée de restaurer la dynamique fluviale est une évolution positive. Cependant :

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- la densification des constructions et des infrastructures lourdes devrait être contenue dans l'espace de mobilité maximal ;

- la nappe d'accompagnement devrait être protégée de toute pollution de surface , en se référant aux limites définies par les études de 1975 ;

- la pose de piézomètres est nécessaires pour améliorer les connaissances sur le volume des alluvions emportées, le volume des matériaux extraits, le soutien d'étiage dû à la nappe alluviale, l'abaissement de la ligne d'eau, les conséquences des lâchers de Naussac ; 4 - progressivement, les ponts et les anciennes carrières devaient être aménagés pour supprimer les contraintes aux déplacements des cours d'eau ;

- L'espace de mobilité optimal devrait être élargi pour prendre en compte le cours d'eau le plus puissant aux confluents de l'Allier avec la Dore et la Sioule ;

- Des moyens importants doivent être mobilisés pour permettre la réalisation des actions prévues.

5 - Courrier du conservatoire des espaces naturels d'Auvergne du 10/02/15

La prise en compte de l'enjeu 8 "préserver et restaurer la dynamique fluviale du fleuve Allier" constitue un progrès important. Le SAGE vise bien "l'équilibre durable" entre la protection des milieux et la satisfaction des besoins. Cependant :

- il aurait pu viser une ambition plus forte à la réalisation des inventaires des zones humides en les faisant porter "de façon exhaustive sur la totalité du territoire communal" conformément à la disposition 8 du SDAGE et non "à minima sur les zones de projets" ;

- Il est regrettable qu' aucune règle de protection des zones humides n'ait été prévue ;

- la délimitation de " zones d'intérêt environnemental particulier" et de "zones stratégiques pour la gestion de l'eau" semble peu encouragée.

6 - Courrier du conservatoire des espaces naturels de l'Allier du 10/02/15

Enjeu 3 : La préservation des prairies aurait pu être mise en avant pour la préservation des zones inondables.

Enjeu 5 : Les prairies de fauche ou de pâture du lit majeur de l'allier peuvent aussi constituer des zones tampon pour améliorer la qualité de l'eau. Au même titre que la restauration des haies et ripisylves et le renforcement des bandes enherbées.

Enjeu7 : Souligner l'importance des formations herbeuses naturelles pour la préservation des forêts alluviales du val-d'Allier. Souligner également l'intérêt du maintien des pratiques agricoles compatibles avec le maintien, voire l'entretien de certains biotopes , L'aspect trame prairiale aurait pu être inclus en complément des trames vertes et bleues notamment dans les plaines de Limagne et du Bourbonnais. Le sujet des zones humides aurait pu être traité de manière plus ambitieuse : délimitation, instauration de règle.

Enjeu 8 : La définition de l’ espace de mobilité optimal et des règles qui s'y appliquent sont pertinentes pour la mise en œuvre concrète des futurs aménagements.

7 et 8 - Courrier de la fédération départementale pour l’environnement et la nature dans le Puy-de-Dôme et l’Association d’Environnement pour la Protection de l’Allier et de sa Nappe Alluviale.

Ces deux associations, ont adressé une contribution identique. Elles précisent que depuis leur création respective, elles se préoccupent de la protection des nappes de l’Allier et de ses affluents qui est la plus importante et la plus fiable ressource en eau de la région. Le projet SAGE les interpelle :

- Le projet ne protège des extractions alluvionnaires que les nappes alluviales comprises dans les alluvions récentes ou dans la nappe d’accompagnement de l’Allier.

- Le SAGE réduit de 40% les protections initiales mises en place par le schéma des carrières de 1996. Vingt ans plus tard on ne peut que constater un recul considérable de la protection de la ressource en eau.

- L’engagement d’une étude hydrologique (financée par les carriers) pour toute nouvelle autorisation, renouvellement ou extension d’autorisation de carrière alluvionnaire tient de la parodie.

- La distinction entre alluvions récentes et anciennes est inopportune pour rendre compte de l’intérêt hydrogéologique des milieux considérés.

- Tant d’un point de vue strictement économique, que de celui de l’intérêt général, la préservation des ressources aquifères est prépondérante par rapport à la production de granulats, ceux-ci pouvant être prélevés en d’autres lieux (roches dures).

- La protection de toutes les nappes aquifères s’avère primordiale en prévision d’épisodes où, comme actuellement, se confirme la fragilité de la ressource en eau.

En conclusion, les deux associations indiquent que la destruction des milieux naturels essentiels à la satisfaction des besoins humains en eau et au maintien de la biodiversité est incompatible avec l’article L210 du Code de l’Environnement. Le SAGE porte atteinte à ce principe de base. Les deux associations demandent que l’emprise de la nappe alluviale cartographiée dans le schéma départemental des arrières de 1996 soit exempte de toutes extractions.

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Voir la carte jointe en annexe des zones ou les extractions précédemment interdites deviennent possibles dans les zones de Maringues et de Limons

9 - Courrier de l’Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (UNICEM Auvergne) du 16 02 15

La délimitation de l’ espace de mobilité optimal a évolué entre la consultation des assemblées et l’enquête publique, sans information des acteurs concernés. Une vigilance particulière est à assurer pour s’assurer de la compatibilité des limites de mobilité de la rivière définies par le SAGE avec les installations classées pour la protection de l’environnement. Il convient en effet que les arrêtés préfectoraux en cours ne soient pas remis en cause. La cohérence de l’espace de mobilité optimal avec les schémas des carrières de l’Allier et du Puy-de- Dôme doit aussi être vérifiée. Les installations existantes doivent pouvoir être maintenues, entretenues et remplacées.

Il devrait être précisé que les exploitations de matériaux alluvionnaires qui ont incisé le lit de la rivière sont antérieures à 1994, date de leur interdiction. Cette distinction permettrait de différencier les anciennes gravières de celles qui sont en activité et pour lesquelles d’importantes mesures de protection sont mises en œuvre en concertation avec la profession.

La disposition 8.3.1 prend appui sur des études qui sont en cours, dont la pertinence peut être discutée et dont la valeur juridique est contestable. Il est de plus difficile de discerner pour l’ensemble des dispositions de l’enjeu 3 leur caractère impératif ou incitatif. Compte tenu de toutes ces fragilités la disposition semble devoir être retirée.

En tout état de cause, la disposition ne devrait pas s’appliquer aux gravières en cours d’autorisation pour lesquelles des mesures réglementaires ont été décidées ; la remise en cause de ces conditions d’exploitation compromettrait leur équilibre économique. De même, il ne semble pas possible d’appliquer ces dispositions rétroactivement pour les gravières anciennes en cessation d’activité prononcée.

Le courrier de l’UNICEM qui sera transmis à la CLE contient des propositions de modifications pour la rédaction des points concernant tous ces sujets.

10 - Courrier de M. Laurent Souvignet, directeur régional des Granulats Vicat (non daté) ; Neuvy

M. Sauvignet demande la rectification de l’espace de mobilité optimal afin d’en exclure la carrière de Toury exploitée par sa société, sur la commune de Neuvy, (PJ X). Pour éviter tout risque juridique il estime qu’il conviendrait d’insister (D 8.3.1) sur le volontariat des propriétaires fonciers et sur le financement sur fonds publics d’un éventuel projet de réaménagement ultérieur à la remise en état prévues par l’arrêté préfectoral d’autorisation de la carrière.

Voir la carte jointe en annexe.

11 - Courrier de M. Germain, président de la CERF SAS du 25/02/15 ; Paray-sous-Briailles

La délimitation de l’ espace de mobilité optimal a évolué entre décembre 2013 et novembre 2014. Initialement située en dehors de l’espace de mobilité optimal, la centrale à béton de Villemenouze se retrouve en dedans. Les installations ne pouvant être déplacées. Il est demandé que l’espace de mobilité optimal soit revu pour ne pas remettre en cause la pérennité de l’activité. Il est souhaité un retour à la délimitation de décembre 2013.

Voir la carte jointe en annexe.

12 - Courrier de M. Dony, président du GIE « les enrobés du bourbonnais » du 25/02/15 ; Saint-Pourçain- sur-Sioule

Observation identique à celle qui précède concernant un poste d’enrobage situé au lieudit « Devant des Millets » sur la commune de Saint-Pourçain-Sur-Sioule. Il est également demandé un retour à la délimitation de décembre 2013 pour ne pas remettre en cause la pérennité de l’activité.

13 - Courrier de l’entreprise Chevalier ; Brioude du 24 02

Précise que ses exploitations ont fait l’objet d’une remise en état conformes aux règles existantes à la date de cessation et ne peuvent être soumises à de nouvelles obligations compte tenu du principe de non rétroactivité.

14 – Courrier du président de la SAS Sablières Avignon du 27/02/15 ; Paray-sous-Briailles

Ce courrier propose des modifications à apporter au PAGD :

- Atlas cartographique du PAGD et du règlement au sujet de l’espace de mobilité optimal : Les changements opérés entre les versions de juillet et décembre 2013 et novembre 2014 de l’atlas montrent que l’espace de mobilité optimal est difficile à définir et à cartographier. Avant enquête publique les modifications n’ont pas été portées à la connaissance des personnes publiques consultées antérieurement. Une vigilance particulière doit être observée sur la compatibilité entre les ICPE qui doivent être préservés et l’espace de mobilité optimal. Il conviendrait également de rajouter à la règle n°3 que tout équipement existant et inclus dans l’espace de mobilité optimal puisse être maintenu, entretenu et remplacé dans les espaces déjà occupés. Ceci apportera des améliorations notables dans l’application pratique du règlement.

- Dynamique fluviale de l’Allier : 13

Puisqu’il n’y a plus d’extraction de matériaux autorisée dans le lit depuis le milieu des années 90, il serait plus juste de remplacer la rédaction de la page 91 paragraphe 3 du PAGD par : « L’exploitation réalisée dans le lit mineur avant 1994, date de l’interdiction de ce type d’extraction a entrainé une incision très marquée du lit ….». En outre chaque fois qu’il est fait mention de gravières dans le document, il convient de distinguer systématiquement les anciennes gravières et les gravières en activité.

- Disposition 8.3.1 (pages 336 et 337) : L’étude la DREAL à laquelle il est fait mention est en cours. Aussi il paraît juridiquement contestable de prendre comme référence cette étude pour servir de base aux préconisations du SAGE. En outre on peut estimer que les points 1 et 2 engagent une recommandation vis-à-vis de l’Etat à poursuivre les études en cours. Le point 3 impose un ensemble de préconisations à suivre par l’Etat. Sont enfin relevées deux observations de l’autorité environnementale : « la justification de certains choix pourraient être plus détaillée » et « la portée informative ou juridique, affectée aux dispositions apparaît parfois floue » Pour toutes ces raisons marquant sa fragilité avérée, la disposition 8.3.1 doit être retirée.

15 à 27 - Courriers de de MM. Éric Ray, Alain Landrieaux, Albert Mitton Monique Picherit Gilles Journet, Patrick Arambout, Bénédicte et Christophe Gudin, Jean-Marc Faure et GFA Bourbier et, Michel Faure, Gilles de Montclos, Paul Pérouse de Montclos, Jean-Pierre Laurent.

M. Éric Ray, de Paray-sous-Briailles, exploitant au Marquisat, à Cordeboeuf et au Port, M. Jérôme Rambert, ainsi que M. Jean-Pierre Laurent également exploitant à la Croix Rouge à Paray-sous-Briailles, non seulement défendent les enrochements existants, mais exigent d’autres protections près des stations d’eau potable des

Mottes et du Marquisat. Ils dénoncent l’absurdité de la mesure.

M. Alain Landrieaux, de La Ferté-Hauterive, exploitant aux Grands Delots, considère les enrochements indispensables aux habitations et aux terres. Tout comme Mme Monique Picherit, de Créchy, M. Michel Faure, de Paris, M. Albert Mitton, de Bessay-sur-Allier. M. Patrick Aurambout, de Bressolles précise de plus que les enrochements ont évité la disparition des puits de captage de Moulins et du château de Lys.

M. Gilles Journet, maire de Paray-sous-Briailles s’interroge sur l’origine des financements publics qui seraient nécessaires pour compenser les multiples atteintes à l’économie actuelle en bordure de l’Allier. Il qualifie cette mesure de gaspillage flagrant de l’argent public. Il appelle à la concertation avec la population.

Mme Bénédicte et M. Christophe Gudin, de La Ferté-Hauterive, produisent de l’électricité photovoltaïque à destination d’un poste source situé dans l’espace de mobilité optimal et notent qu’il n’y a pas d’alternative dans le dossier garantissant le maintien de leur activité. Eux aussi, dans une autre contribution, considèrent absurde et déraisonné de toucher aux enrochements grâce auxquels l’Allier est contenu dans des proportions acceptables pour tout le monde.

M. Jean-Marc Faure et le GFA Bourdier, de Bessay-sur-Allier, exigent une indemnisation pour compenser les surfaces perdues et les installations d’irrigation supprimées. De même, des dégâts seront causés aux cultures par le développement de la sauvagine que provoqueront les désenrochements et l’extension de la réserve naturelle. Il souligne que son exploitation nourrit une famille de 10 personnes.

M. Gilles de Montclos, à Bessay-sur-Allier, exige que les riverains puissent poursuivre la mise en place de protections et de consolidations des berges à la limite du domaine public fluvial. Il réclame les indispensables battues administratives qui permettent de contenir la sauvagine.

Il demande la protection du réseau de fibre optique qui serait menacé en cas de divagation de la rivière.

Mme et M. Paul Perouse de Montclos, à Bessay-sur-Allier, possèdent une plantation de noyers. Ils dénoncent le fait que le propriétaire riverain soit le seul à donner son accord pour détruire une protection alors que d’autres propriétaires et exploitants situés à l’aval vont subir les conséquences de la brèche provoquée par la destruction.

27 - Courrier de Monsieur Guy Jacob du 21/01/15 Avermes

M. Jacob conteste fermement et demande l'abandon de la mesure de compensation prévue à Avermes, à plus de 60 Km. en aval du nouveau pont de la déviation Sud-Ouest de Vichy. Cette compensation consisterait à supprimer un enrochement recouvert de végétation et serait très risquée.

L'interdiction d'accéder aux ruisseaux et rivières qui serait faite aux animaux, lui semble ridicule.

28 - Courrier de Monsieur Claude Judet du 23/01/15 ; Avermes

M. Judet précise qu'une quinzaine d'hectares de ses terrains ont été mangés par la rivière depuis 1977. Un enrochement autorisé en 1995 a permis de protéger les terrains, la voie de chemin de fer et le village de la Sablière.

Aujourd'hui, la nature a repris ses droits et l'enrochement n'est plus visible. Le supprimer serait une erreur.

29 - Courrier de Monsieur Roland Cornereau du 13/02/15 ; Chemilly

M. Cornereau estime que la suppression de l'enrochement situé sur la commune de Chemilly, entraînerait la disparition de l'ensemble historique de Girodeaux ainsi que de l'ensemble des bâtiments constituant le domaine du château de Lys, Cette digue d'environ 700 mètres de long est indispensable et sa suppression serait une absurdité.

30 - Courrier de Monsieur Jérôme Rambert du 20/02/15 ; Paray-sous-Briailles

14

M. Lambert, exploitant en agriculture raisonnée depuis 10 ans, souligne que les enrochements au lieudit « Les Mottes » protègent depuis longtemps la station d'AEP de cet endroit ainsi que les terres, mais qu'ils sont menacés de destruction par la rivière. Il souligne également la menace de destruction, au Port, d'un pylône électrique aujourd'hui situé dans le lit de l'Allier, Il évoque également les menaces à Cordeboeuf et au Marquisat. Opposition au désenrochement.

31 - Courrier de l’EARL Vigier du 20/02/15 ; La Ferté-Hauterive

Située à l'aval du pont de Châtel-de-Neuvre, son exploitation de 142 ha est menacée par les dispositions du SAGE. Il dénonce cette volonté et n'accepte pas les estimations d'indemnisation , alors qu'il est affirmé que l'Allier est ici en phase de réajustement morphodynamique et que le bilan sédimentaire est jugé bon. Son regard porte sur la sécurité du bourg de La Ferté Hauterive et sur les accès routiers à son exploitation si la protection des berges des Grands Mériers est supprimée. Opposition à l'enjeu 8.

4 – Comptes rendus des entretiens conduit pendant l’enquête

Nous avons constaté que, dans le département de l’Allier, deux ouvrages routiers déterminants sont ignorés dans l’atlas cartographique du projet de SAGE Allier Aval : le contournement sud-ouest de Vichy à deux fois une voie qui enjambe l’Allier au moyen d’un pont à construire à l’amont de Saint-Yorre d’une part, le contournement à deux fois deux voies de la ville de Varennes-sur-Allier d’autre part.

Ces lacunes nous ont conduit à rechercher l’origine et les grandes étapes de ces deux aménagements, pour les comparer à la genèse du SAGE Allier Aval.

Le rapport de présentation simplifié précise, en page 5, que la CLE a été installée le 10 juin 2005 . On peut donc considérer que le point d’origine du SAGE est postérieur à cette date.

Questionné à ce sujet, le service Maîtrise d’Ouvrages de la DREAL Auvergne, par la voix du responsable de l’opération 21D03A « Déviation de Varennes-sur-Allier » (La Ferté-Hauterive - Varennes sud), fait remonter la déclaration d’utilité publique par décret après avis du Conseil d’État au 20 septembre 1995. Ce décret a été prorogé, le 20 septembre 2000. L’opération précitée a fait l’objet d’une décision ministérielle du 13 février 2004.

La déviation à 2x2 voies de Varennes-sur-Allier a été approuvée par décision ministérielle du 15 juin 2006 , ce qui signifie que le tracé routier était arrêté auparavant et que les emprises étaient connues avant que la limite de l’espace de mobilité optimal soit déterminée de façon définitive comme visible au dossier d’enquête publique.

Or, non seulement l’emprise de la déviation de Varennes ne figure pas dans l’atlas cartographique du dossier, mais la ligne de l'espace de mobilité optimal franchit largement l’emprise routière essentiellement au droit d’une boire et d’un thalweg situés à hauteur des lieux-dits « Les Pochoirs » et « Le Clos Richard », ainsi qu’on le constate sur l’extrait de carte que nous avons réalisé par superposition des deux tracés.

Nous avons également été conduits à agir de même en ce qui concerne le tracé du contournement sud-ouest de Vichy, également absent de l’atlas cartographique du dossier d’enquête publique. Là, nous avons affaire à une voirie nouvelle de 18,6 kilomètres entre Bellerive-sur-Allier et Saint-Yorre, qui franchit l’Allier à cheval sur les communes de Saint-Priest-Bramefant et de Saint-Yorre. Le projet de contournement a été inscrit au schéma directeur de l’agglomération de Vichy le 20 décembre 2001 par la communauté d’agglomération Vichy Val d’Allier. La DUP a été prononcée le 14 mai 2007 par les préfets de l’Allier et du Puy de Dôme. Là également, le tracé de l’ouvrage et la présence d’un nouveau pont sur l’Allier ne pouvaient être ignorés lors de la délimitation de l’espace de mobilité optimal.

On peut également souligner que le dossier ne fait aucune mention des autres projets structurants connus que sont le second pont routier de Moulins, à hauteur d’Avermes, et le doublement du pont de Chemilly sur la Route Centre Europe Atlantique dans sa phase d’aménagement à 2x2 voies.

Procès-verbal établi le 4 mars 2015 Procès-verbal remis le 5 mars 2015 par la commission d’ enquête à Monsieur le président de la commission locale . de l’eau

Jean-Pierre GUILLAUMAT-TAILLIET Bernard SAUVADE

JPGT 05/03/15

AVIS DE L'AUTORITE ENVIRONNEMENTALE BILAN DE LA CONSULTATION Rappel : l'avis de l'autorité environnementale n'est ni favorable ni défavorable. DES ASSEMBLEES Page essentielles PRISE PRINCIPALES REMARQUES importantes EN REPONSES PROPOSEES à traiter COMPTE

Résumé non technique peu accessible (traité comme un chapitre du rapport environnemental) p.80 A voir après enquête publique 2 Absence de liste des masses d'eau avec demande de dérogation reportant l'objectif de bon état p.79 A voir après enquête publique

Absence d'une évaluation de la proportion des assainissements non collectifs p.79 A voir suite à enquête publique

Absence de précision sur les contaminations ponctuelles (plomb, mercure, arsenic) p.80 A voir après enquête publique (évoquer aussi les résidus médicamenteux. NDLR )

3 Baignades de qualité insuffisantes non mentionnées p.80 A voir après enquête publique Dégradations liées à l'activité sylvicole insuffisamment évaluées p.80 A voir après enquête publique

Cartographie à une trop petite échelle des zonages de protection ou d'inventaire p.80 A voir après enquête publique

Absence de cartographie des zones Natura 2000 p.80 A voir après enquête publique

Absence de la grille d'analyse ayant conduit à la hiérarchisation des enjeux p.77 A voir suite à enquête publique 4 Justifications des choix entre les différents scénarii peu explicites p.76 A voir après enquête publique

Découpage des entités géographiques cohérentes peu explicite p.15 A étudier lors de la phase de mise en œuvre

Dispositions trop nombreuses (64) au regard des conseils formulés dans le SDAGE p.77 A voir après enquête publique 5 Dispositif de suivi des effet environnementaux trop complexe p.77 A voir après enquête publique

Mise en évidence insuffisantes des 5 dispositions à portée juridique et des 3 règles p.78 A voir après enquête publique

Quelques incohérences entre les tableaux récapitulatifs et les fiches détaillées des dispositions p.80 A voir suite à enquête publique 6 Propositions d'outils de communication et d'études prenant peu en compte des outils existants p.61 A voir après enquête publique

Manque de définition de l'espace de mobilité optimal p.74 A voir suite à enquête publique 7 Protection des captages : arbitrages entre enrochement et écoulement peu explicites p.69 Modification de l'article 3 du règlement Choix de ne pas formuler de règle relative aux zones humides peu justifié p.61 Pas de modification envisagée Recap 5/3/03

RELEVE DES RESERVES ET REMARQUES DES ASSEMBLEES

Avis défavorable Avis réservé Favorable avec réserves Favorable avec observations

ORGANISMES SUPRA-REGIONAUX

COMITE DE BASSIN LOIRE-BRETAGNE

Recommande, q ue la réduction de l'usage des pesticides soit une priorité dans les secteurs cartographiés au titre de la D 5.1.10 point 1. Les périmètres de ces zones pourront être définis plus précisément, après approbation du SAGE.

Recommande, afin de gagner en clarté, que l'ensemble des mesures contribuant à la préservation et à la gestion des zones humides mentionnées dans le dossier soient rappelées dans la partie 7.4.

COMITE DE BASSIN ADOUR-GARONNE

S'en remet à l'avis du comité de bassin Loire-Bretagne.

COMMISSION LOCALE DE L’EAU DU SAGE DE L’ALAGNON

Confirme son accord pour s’associer au SAGE ALLIER aval dans le cadre de commissions inter-SAGE.

COMMISSION LOCALE DE L’EAU DU SAGE DU HAUT-ALLIER

Disposition 1.1.1 : Suggère d’associer la CLE du SAGE Allier aval au comité d’étiages sévères de Naussac et Villerest.

Disposition 2.2.1 : Propose de contribuer à l’élaboration du cahier des charges de l’étude prévue pour évaluer les volumes prélevables .

Disposition 4.2.1 : Propose que la carte des nappes alluviales et des zones vulnérables soit actualisée lorsque le nouveau zonage proposé aux services de l’Etat en juin 2014 sera validée.

Disposition 7.1.1 Propose d’ajouter l‘association « Loire Grands Migrateurs (LOGRAMI) aux partenaires concernés par la gestion patrimoniale des espèces associés au milieu aquatique.

Disposition 7.2.3 : Propose de désigner l’Office national de l'eau et des milieux aquatiques (ONEMA) plutôt comme partenaire associé que comme maître d’ouvrage, pour la surveillance de la prolifération des espèces envahissantes.

ETABLISSEMENT PUBLIC LOIRE

Confirme, en tant que structure porteuse du dossier, que ses principales préoccupations ont bien été prises en compte.

SYNDICAT INTERCOMMUNAL D’AMENAGEMENT DE LA LOIRE ET DE SES AFFLUENTS DU LOIRET

Emet deux réserves : - les puits de captage et les terrains agricoles doivent être protégés dans les zones de libre divagation de l'Allier ; - l'exploitation forestière doit prendre en compte la préservation des milieux aquatiques.

ORGANISMES REGIONAUX

CONSEIL REGIONAL D'AUVERGNE

Demande une clarification des rôles de la CLE et de la structure porteuse.

Souhaite la mutualisation des moyens humains en lien avec les autres SAGE portés par l'établissement public Loire.

Souhaite un recours systématique aux fonds européens.

Demande l'adoption du terme "espèces exotiques envahissantes".

Précise que son avis favorable n'engage en rien l’assemblée régionale sur le financement des dépenses envisagées.

CONSEIL REGIONAL DU CENTRE

Observation : Les volumes d'eau prélevables doivent permettre l'alimentation de la population en eau potable, le fonctionnement raisonnable de l'activité industrielle et agricole, mais aussi permettre le bon fonctionnement des écosystèmes aquatiques, notamment en période d'étiage.

Enjeu 8 : Il convient de préserver l'espace de mobilité de l'Allier et d’encadrer l'extraction des granulats.

PARC NATUREL REGIONAL DES VOLCANS

Souhaiterait, au-delà des commissions inter-sage régionales, une articulation avec le futur SAGE Dordogne.

PARC NATUREL REGIONAL LIVRADOIS-FOREZ

Demande de mentionner dans le PAGD la nécessité d'améliorer les connaissances sur la pollution par les nitrates de la nappe souterraine "alluvions Allier amont", dans le cadre de la future commission inter-SAGE.

CHAMBRE D'AGRICULTURE D'AUVERGNE

Demande la reformulation de la D 5.1.7 concernant les abreuvoirs : "accompagner techniquement et financièrement les éleveurs volontaires à la réalisation d'aménagement".

Demande la suppression de la D 5.2.6 limitant à 0,2m. les chutes artificielles, pour permettre le stockage des eaux hivernales.

Rejette la délimitation des zones humides par des réglementations (ZHIEP, ZSGE) sans concertation ni contrepartie pour les agriculteurs.

Conteste les dispositions pour recréer la dynamique fluviale qui se font au détriment de l’activité socio-économique des exploitations agricoles.

Demande que les Chambres d'agriculture soient associées aux projets ayant un impact sur les zones agricoles.

3

Disposition 5.1.6 – La définition de fossés classés ne figure pas au code rural. Les « bonnes conditions agro- environnementales, les « zones non traitées » et la directive nitrate renforcent les dispositifs de protection.

Disposition 7.4.2 – Opposition au classement en zone humides d’intérêt environnemental particulier ou en zones stratégiques pour la gestion de l’eau qui réduit le foncier agricole à sa valeur environnementale, sans tenir compte des exploitations et de leur économie.

CHAMBRE D’AGRICULTURE DE LA HAUTE-LOIRE

Disposition 2.2.1 : Un organisme unique doit gérer les demandes en eau d'irrigation à mettre en place sur le territoire des SAGE Haut-Allier et Allier Aval, voire sur la totalité du département 43.

Disposition 2.4.2 : La thématique de réduction des besoins en eau pour l'irrigation incombe à la chambre d'agriculture qui doit assurer l'information et les diagnostics.

Disposition 3.3.1 : Les terrains agricoles concernés par l'expansion de la rivière en crue doivent rester à destination agricole et la maitrise foncière doit rester au propriétaire s'il est agriculteur.

Disposition 4.1.1 : Propose d'améliorer les connaissances de la nappe alluviale. Celle-ci s'améliore au niveau de Brioude mais l'origine des pollutions n'est pas identifiée.

Disposition 4.2.1 : S’oppose à l'extension des zones vulnérables sachant que l'origine des pollutions reste méconnue.

Disposition 5.1.6 : La majorité des écoulements d'eau étant déjà bordés de bandes enherbées, les dispositifs de bandes enherbées ne doivent être obligatoires que pour les cours d'eaux définis dans le cadre des « bonnes conditions agro- environnementales ».

Disposition 5.1.7 : L'installation d'abreuvoirs est intéressante tant qu'elle reste basée sur le volontariat; il faut évaluer la pertinence de l'installation avant travaux.

Disposition 5.1.10 : Le plan éco-phyto mis en place par les Chambres d’agriculture propose des réductions de doses des phytocides et des alternatives de culture.

Disposition 7.4.2 : S’oppose à la démarche zone humides d’intérêt environnemental particulier ou en zones stratégiques pour la gestion de l’eau . En effet, l’absence de définition de ZHIEP et de ZSGE n'est pas incompatible avec la protection des zones inondables.

Règle 3 : Refuse la perte de foncier agricole lors de la création de projets d'intérêt général puis une seconde fois lors de la mise en œuvre de mesures compensatoires . Propose de compléter la règle : « Une évaluation de l'impact socio-économique de la mesure compensatrice devra être présente. Aussi la restauration d'une surface érodable ne doit se faire au détriment de l'activité socio-économique notamment agricole en place ».

Observation générale: Le coût très élevé de l'ensemble des actions envisagées dans le projet nécessitera de définir des priorités et de reporter certains travaux au-delà de la durée du SAGE.

CHAMBRE D'AGRICULTURE DU PUY-DE-DÔME

Souligne le caractère indispensable des réserves supplémentaires (de substitution ou collinaires) pour garantir tous les besoins en eau.

Exprime une grande prudence sur les conséquences d'une libre divagation de la rivière qui entrainerait une forte diminution des surfaces agricoles

Conteste les mesures compensatoires qui consistent à réparer les effets déjà contraignants des ouvrages d'intérêt public par des dispositions limitant encore plus les surfaces agricoles.

Demande à être étroitement associée à la définition de têtes de bassins versants .

Demande que l'assistance prévue pour les porteurs de projets pour la prise en compte des zones humides soit assurée par une collectivité locale ou par l'Etat.

Rappelle son opposition à la mise en place de ZHIEP et de ZSGE qui imposeraient des contraintes réglementaires.

Rappelle sa demande de faire figurer explicitement dans le PAGD le maintien de la pratique du rigolage, là où elle est nécessaire.

Demande une concertation étroite avec les agriculteurs pour la mise en place des abreuvements qui doivent préserver l'accès à l'eau des animaux en toute saison.

Souligne les efforts faits par les éleveurs pour le stockage et le traitement des effluents et s'inquiète d'éventuelles réductions des volumes définis réglementairement.

CHAMBRE DE COMMERCE ET D'INDUSTRIE MOULINS-VICHY

Sur le fond, la CCI réclame une flexibilité des objectifs pour adapter le plan aux possibilités économiques des financeurs ; ces objectifs ne doivent pas se faire au détriment des impacts sur les autres milieux.

Remarque : Enjeu 1 : Il importe que la représentativité des CCI soit maintenue au sein de la CLE.

Remarque : Enjeu 2 : Ne pas remettre en cause la définition concertée des volumes d'eau prélevables établie par une charte dans le département de l'Allier.

Remarque : Enjeu 2 : Eau en bouteilles : Ne pas limiter les prélèvements afin de permettre le développement économique. Etudier systématiquement le rapport coût économique/gain environnemental avant de prendre des mesures drastiques.

Remarque : Enjeu 3 : Partager le retour d'expériences en matière de préconisations pour réduire la vulnérabilité des entreprises face au risque inondation (diagnostic, mesures co-finançables).

Remarque : Enjeu 4 : La réduction de l'impact sur l'environnement conduite par les acteurs économiques répond à l'enjeu affiché par le SAGE d'améliorer la qualité de l'eau potable .

Remarque : Enjeu 5 : Les efforts des industriels pour optimiser leurs systèmes de traitement des eaux doivent être prolongés par les collectivités pour améliorer les réseaux de collecte des effluents (réseaux séparatifs, suppression des fuites).

Remarque : Enjeu 7 : Le schéma d'exercice des activités de tourisme et de loisir doit être élaboré en concertation avec les acteurs touristiques.

Remarque : Enjeu 8 : Deux secteurs de l'espace de mobilité optimal doivent respecter les endiguements actuels, destinés à la protection de sites industriels forts du département : - à Créchy (cimenterie Vicat) – cf. carte rectificative produite par la CCI ; - à Saint-Germain-des-Fossés (gravière autorisée) où une modification de la limite de l'espace de mobilité optimal a été opérée tout dernièrement sans justification ni concertation. (cf. comparaison des cartes 12/2013 – 02/2014 produite par la CCI).

5

COMMUNAUTE DE COMMUNES DE

Rapport lourd, peu explicite – souhait d'une présentation par un technicien compétent.

COMMUNAUTE DE COMMUNES DE LA MONTAGNE BOURBONNAISE

Réserve : Enjeux 5 et 6 : Mentionner la mise en place de mesures agro-environnementales territorialisées MAET.

Réserve : Enjeu 5 : Revoir le classement des cours d'eau actuel, jugé aberrant.

Opposition à l'arasement des seuils et au comblement des biefs pour préserver la culture historique des lieux et ne pas se heurter à des impossibilités techniques (cf. barrage hydro-électrique).

Réserve : Enjeu 7 : Le territoire est concerné par la gestion des plantes envahissantes ; prendre en compte la réglementation des boisements, notamment des résineux en bord de cours d'eau.

COMMUNES DE L’ALLIER

COMMUNE D’AUBIGNY

Réserve : Ne pas porter atteinte aux projets actuels comme futurs d'aménagement et de développement raisonné du territoire.

Réserve : Pas de compensation environnementale systématique pour la réalisation de travaux d'entretien, de pérennisation et de création d'infrastructures et d'ouvrages nécessaires aux populations.

Réserve : Ne pas pénaliser les éleveurs et les agriculteurs.

COMMUNE D’AVERMES

Réserve : la cartographie de l’ espace de mobilité doit être corrigée et précisée dans les zones urbaines afin de respecter la réalité topographique du secteur et l'existence de zones urbanisées non concernées par le SAGE.

COMMUNE DE BAGNEUX

Les 3 réserves sont identiques à celle de la commune d’Aubigny .

COMUNE DE

Avis défavorable sans remarque.

COMMUNE DE

Réserve : le coût des travaux ne sera supporté par les collectivités que si les moyens financiers sont suffisants

COMMUNE DE BOURBON-L'ARCHAMBAULT

Réserve : Ne pas porter atteinte aux choix d'aménagement et de développement de la commune

Réserve : Pas de compensation environnementale systématique pour la réalisation de travaux d'entretien, de pérennisation et de création d'infrastructures et d'ouvrages nécessaires aux populations.

COMMUNE DE BRESSOLLES (Contrairement à ce qui est écrit, la commune dispose d'un PLU approuvé)

Soulève le mauvais entretien de la digue sur laquelle est construite la RD 2009 qui protège des inondations les quartiers Ouest de Moulins et une grande partie de Bressolles.

Dénonce l’ interdiction de permettre aux bovins de s'abreuver dans les cours d'eau.

Dénonce la destruction des enrochements existants .

Le 1er alinéa de la page 105 du rapport environnemental soulève des craintes qui justifient l'avis.

COMUNE DE CHEMILLY

Dénonce l’ interdiction de permettre aux bovins de s'abreuver dans les cours d'eau .

Dénonce la destruction des enrochements existants notamment celui protégeant la station d'épuration du bourg.

Souligne que trois exploitations ont cédé 60 ha à la rivière.

COMMUNE DE

Réserve : Conserver des territoires vivants, ne pas les transformer en sanctuaires écologiques.

Réserve : Ne pas porter atteinte aux projets actuels comme futurs d'aménagement et de développement raisonné du territoire.

CREUZIER-LE-NEUF

Avis réservé sans motif.

COMMUNE DE CREUZIER-LE-VIEUX

Souhaite que les communes soient régulièrement informées de l'évolution et de la mise en œuvre du SAGE.

Souhaite que les populations soient sensibilisées aux enjeux du SAGE et associées à leur mise en œuvre

Souhaite que des campagnes d'information soient organisées régulièrement

COMUNE DE GIPCY

Avis défavorable sans remarque.

COMUNE DE

Avis défavorable sans remarque.

COMMUNE DE LA CHAPELLE

Les 3 réserves sont identiques à celles de la communauté de communes de la montagne bourbonnaises

COMMUNE DE LA FERTE-HAUTERIVE

Réserve : Ne pas ajouter de contrainte liée aux haies , la PAC s'en charge.

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SIVOM DES EAUX DE COUTEUGES

Réserve identique à celle formulée par le syndicat des eaux du Brivadois.

SIVOM DES EAUX DE FONTANNES

Réserve identique à celle formulée par le syndicat des eaux du Brivadois.

SYNDICAT DU BASSIN DE SAINTE FLORINE (avis favorable avec réserve et non favorable)

Réserves Identiques à celles de la communauté de communes d'Auzon communauté (cf.ci dessous).

SYNDICAT DE DEFENSE CONTRE LES CRUES DE L’ALLIER

Avis défavorable pour des raisons identiques à celles des conseils municipaux d'Azerat et de Lamothe (cf.ci dessous). .

ETABLISSEMENTS PUBLICS DE COOPERATION INTERCOMMUNALE DE LA HAUTE- LOIRE

AUZON COMMUNAUTE

Réserve : Concernant les besoins en eau , les dispositions sont trop restrictives. Il serait plus opportun de contribuer à une gestion plus rigoureuse de l'usage de l'eau afin d'éviter les gaspillages.

Réserve : Demande des contributions à la restauration des dégâts en contrepartie de la préservation des zones inondables .

Réserve et proposition : Ne comprend pas la proposition d'encadrer les extractions qui sont déjà interdites sur le secteur. Propose que cette activité soit encadrée sur l'ensemble du bassin versant.

Propose, concernant les zones de vulnérabilité aux nitrates , que la connaissance des perturbations soit préalable au zonage.

Propose, pour les têtes de bassin versant , qu’il y ait des compensations financières pour les contraintes imposées, dans le cadre d'un partage équitable des charges.

Réserve : Ne pas être trop restrictif à l'évolution de la pratique de l’activité touristique et de loisirs, en particulier des sports d'eaux vives.

Attire l'attention sur les boisements non réglementés le long des affluents de l'Allier (cette observation qui n'est pas une réserve mériterait à être précisée).

Réserve et proposition : La préservation de l'espace de mobilité et la restauration de la dynamique fluviale devraient conduire à araser les atterrissements, les dévégétaliser et les scarifier . Ils pourraient ainsi être submergés lors de nouvelles crues et resteraient mobilisables pour éviter que les terres agricoles ne soient emportées.

COMMUNAUTE DE COMMUNE DU PAYS DE BRESLE

Réserve : Fait référence aux motifs évoqués par le syndicat des eaux du Brivadois concernant l'espace de mobilité de la rivière.

COMMUNES DE LA HAUTE-LOIRE

COMMUNE D’AGNAT

Réserves identiques à celles de la communauté de communes d'Auzon communauté.

COMMUNE D’AUZON

Réserves identiques à celles de la communauté de communes d'Auzon communauté.

COMMUNE D’AZERAT Délibération du 4 juillet (enregistrée dans le cadre de la consultation des assemblées)

Avis défavorable motivé : Le socle réglementaire déjà existant est lourdement pénalisant pour les zones rurales sans besoin de nouvelles contraintes qui conduiront à mettre sous « cloche » notre environnement sans tenir compte des habitants et de l'économie locale. L'application des prescriptions affichées met en cause l'économie agricole. Crainte quant aux coûts directs et indirects des mesures et incertitude sur les financements.

Enjeu 1 : La gouvernance ne tient que peu compte des acteurs économiques et des élus du secteur.

Enjeu 2 : Préconise le stockage de l'eau sous différentes formes, plutôt que de réduire les besoins.

Enjeu 3 : L'entretien du lit doit être l'enjeu principal. Eviter la divagation du lit dans certaines zones devient un impératif.

Enjeu 4 : Le classement de tout le territoire du SAGE en zones vulnérables ne peut être accepté.

Enjeu 5 : Ne pas regarder que les rejets agricoles mais aussi ceux des assainissements collectifs. La limitation de la création de plans d'eau de stockage serait une erreur. Le méandrage et la libre divagation des cours d'eau n’est pas acceptable dans les zones où l'agriculture dépend des terrains alluvionnaires. L'exploitation des forêts de ripisylves doit être favorisée. La suppression de seuils va entrainer la suppression de micro zones humides. Le SAGE ne tient pas compte des stockages alluvionnaires des cours d'eau du Brivadois.

Enjeu 6 : Les têtes de bassin semblent être les seules à subir les contraintes. Une solidarité avec l'ensemble du bassin est nécessaire, surtout en matière de financement.

Enjeu 7 : Pas de mise sous cloche de certains milieux. Les forêts ripisylves ou non doivent être exploitées. Ne pas réduire le tourisme : en particulier les sports d'eaux vives et les sports motorisés ont leur place.

Enjeu 8 : La zone de dynamique fluviale n'est pas acceptable: Elle met en péril des zones de captages et de bonnes terres agricoles.

COMMUNE D’AZERAT Compléments par délibération du 14 février 2015 (postérieure à la consultation des assemblées)

La gestion raisonnée des besoins en eau est préférable à une réduction qui ne tient pas compte de la réalité du terrain.

L’entretien des cours d’eau est indispensable pour réduire l’érosion des terres agricoles.

Le principe de libre divagation de la rivière et le classement en zone vulnérable sont inacceptables.

Les mesures concernant la forêt vont conduire à une régression et à une aggravation de la situation d’un secteur déjà en crise.

9

COMMUNE DE VERZEZOUX

Réserves identiques à celles de la communauté de communes d'Auzon communauté.

SYNDICATS INTERCOMMUNAUX DU PUY-DE-DÔME

SYNDICAT INTERCOMMUNAL D'ALIMENTATION EN EAU POTABLE DE LA BASSE LIMAGNE

Souligne l'intérêt général des études et des actions qu'il conduit dans le bassin Allier aval.

Regrette de n'avoir pas été désigné pour siéger à la CLE et demande son intégration lors du prochain renouvellement.

Demande à être auditionné, souhaite être invité aux réunions de la CLE et recevoir le compte-rendu correspondants.

SYNDICAT INTERCOMMUNAL DE SIOULE ET MORGE

Considère que les zones humides prévues par le Sage ne correspondent à aucune réalité.

Estime que le dossier est obsolète et erroné au vu des conséquences qui en découlent.

Déplore qu'aucun contact n'ait été pris avec les syndicats et les gestionnaires d'alimentation en eau potable pour la préservation des ressources naturelles.

SYNDICAT MIXTE DE GESTION FORESTIERE DES ECHANDELYS

Propose la réduction à 10 m. (et non 15 m.) des lisières forestières.

Propose de distinguer les résineux autochtones et allochtones (problème phytosanitaire).

Souhaite une approche plus scientifique et fonctionnelle des zones humides .

Propose une meilleure prise en compte des attentes des propriétaires forestiers dans les choix de gestion et de restauration des zones humides.

Signale la volonté des propriétaires publics d'être associés aux études et notamment à l'inventaire et aux projets de restauration des zones humides.

SYNDICAT MIXTE DES VALLEES DE LA VEYRE ET DE L'AUZON

Considère que la gestion quantitative de la ressource doit être identifiée dans l'ensemble des thématiques.

Demande que le ruisseau Le Charlet soit ajouté à la liste des contrats en émergence. Fortement contaminé par les pesticides, Il est concerné par la disposition de réduction des pollutions phytosanitaires et doit apparaître à ce titre dans l'atlas.

Souhaite que l'Auzon et la Veyre soient rajoutées à la liste des bassins versants prioritaires pour la préservation et la restauration des cours d'eau pour donner une valeur réglementaire aux actions.

Demande que les collectivités locales gestionnaires de bassin versant soient également identifiées dans les maîtrises d'ouvrage pressenties pour : - contribuer à la réduction des pressions agricoles ; - renforcer et la mettre en place des bandes végétalisées ; - améliorer la gestion des effluents d'élevages et de production fromagère.

SYNDICAT MIXTE POUR L'AMENAGEMENT ET LE DEVELOPPEMENT DES COMBRAILLES

Regrette que certains termes utilisés dans les tableaux de synthèse ne viennent compromettre les projets des communes.

ETABLISSEMENTS DE COOPERATION INTERCOMMUNALE DU PUY-DE-DÔME

COMMUNAUTE DE COMMUNES ISSOIRE COMMUNAUTE

Emet des réserves sur la règle N°3 qui empêcherait la protection du plan d'eau Nord des Mayères situé dans l'espace de mobilité optimal.

Conteste la pertinence du zonage du PPRNPi et le non classement de la commune en territoire à risques Importants d'Inondation (Constellium, zone urbanisée ...).

Demande la rectification du tracé de l’ espace de mobilité optimal sur les communes d'Issoire, de Parentignat et du Broc.

COMMUNAUTE DE COMMUNES MANZAT COMMUNAUTE

Demande une cartographie plus lisible des parties "probabilités fortes" des zones humides.

Souhaite restaurer-préserver les fonctionnalités aquatiques de l'étang Magaud à Saint-Angel.

Souhaite encadrer les usages pouvant dégrader la biodiversité des écosystèmes aquatiques.

Demande de n'appliquer la règle N°2 qu'aux seuls ouvrages des petits plans d'eau isolés et existant depuis longtemps dont les impacts sur le milieu sont significatifs.

COMMUNAUTE DE COMMUNES DU PAYS DE MENAT

Conteste le manque de précision des zones humides qui auraient dû être délimitées sur le terrain avec les acteurs locaux et les élus. Ces zones humides peuvent être une réelle contrainte environnementale en zones agricoles et leur précision est donc primordiale.

COMMUNES DU PUY-DE-DÔME

COMMUNE DE CHARBONNIERES-LES-VIEILLES

Demande une cartographie plus lisible des parties "probabilités fortes" des zones humides .

COMMUNE DE CORENT

Demande que le ruisseau Le Charlet soit jouté à la liste des contrats en émergence.

nililEXE'n" Aubière,le vendredi 20 mars2415

Monsieur Jean-Pierre GUILLAUMAT- s& TAILLIET ÂttfiH Présidentde la commissiond'enquête La Pireyre 63 160 EGLISENËUVE.PRES.BILLOM

Réf: 15_26lLM Dossiersuivi par : LucileMAZEAU Iuci le. mazeau @eptb-loi re. fr Té1.04.73.27.60.45

Objet; Réponsede la CLEà la commissrbnd'enquête publique

Monsieurle Président.

Lorsde notrerencontre du 5 mar$2015, vous m'avez transmis le procès-verbalde la commission d'enquêteconcernant I'enquête publique menée sur le projetdu SAGEdu bassinAllier avql.

Ainsi, l'at I'honneurde vous communiquerla réponsede la CLE concernantles différentes obeervationsapportées lors de I'enquêtesur ce projet.

Je vousinvite donc à prendreen considérationles réponsesde la CLEtransmises en pièce-jointe de ce courrier.

Mme LucileMAZEAU, Animatrice de la CLE, resteà votre dispositionpour vous apporterdes informationscomplémentaires sur ce documentet le projetdu SAGE.

Je vousprie d'agréer, Monsieur le Président,l'expression de messenfiments distingués.

Présidentde la CLEdu

tornntission Lseale de l'Hmuç$u $chr4ma d'Arn*ËnaEern*nt st de Gestion des Ëaux d* I'Allisr aval $tructurs portee*sedu $ÂffiHAlller aval : ËtahlisçerTl*ntFuhlic l-oire t? avs*ue des tandai* S3 $7SAL,BIËRF Tél=:*4.?Sf?Ëû45 !Fax:S473 1$gS{* if$al| ;arrinnatiçn@sago-allisr-æval.frI$itefnt+rnet:www"sags-al[ier-aval.fr i!

Réponsesde la CLË sur ies observaticnsrecueillies lars de I'enquêtepublique ouverte du 19 janvier au 27 février 2015 sur le prsjetdu $AGE du bassinAllier aval.

ffi5AËg AtffiftAVÂt Les réponsesde la CLE sont dans I'ordredes observationsdu procèsverbal.

Observations à traitées Réponsede la CLE

BRIOUDE43

Voici la réponse de la CLE aux observationsde la communautéde communesde Brioude sur le projet du SAGE lors de la consultationdes assemblées.Obsçryation 1) Brioudene sera plus indiquéau niveaude la carlographie5.2 de I'aflas cartographiquecomme problème pour I'assainissemont.Observ_ation 2l Lorsdu diagnosticvalidé en 2008par Ia CLË la problématiquedes Chloruresn'a pas été miseen évidencesur le seçteursde Brioude,Ainsi, il n'estpas possiblede prendreen comptela problématiquedes Chloruressans données scientifiques mettant à jour le diagnosticdu SAGE, Le SAGËpourra mentionner dans le PAGDle suivi des concentrationsdes Chloruresau niveaudes captagesd'AËP. )emandeune priseen comptedes Qbservation3) L'observationde MmeDEGUI sur la présencedes puitsdes Vignesimplantés dans l'espacedo mobilité Mairie de Brioude. :bservationsémises oar le communautéde optimala été priseên comptedans los documentsdu SAGË à la suitede la consultationdes assemblées.La CLE a Mme Marie- )ommunelors de la consultationdes ajoutédans la règle3 la mentionsuivante: la règlen"3 ne s'appliquepas aux projetsvisés au point2 et déclarés Christine DEGUI essemblées. d'intérêtgénérâ1, d'utilité publique ou intéressantla sécuritépublique ou bien destinésà protégerdes ouvrages déclârésd'intéfêt général, d'utilité publique ou intéressantla sécuritépublique. Ainsi, le puits des vignespourfa être protégéavec la miseen placed'une compensation. Observation 4'l La CLE a réaliséla dêlimitationde l'espacede mobilitéde l'Allieren 2008.Cette espace a été validépar la CLE lors du diagnosticet de la stratégiedu SAGEAllier aval. Lors de la rédactiondu SAGE I'espacede mobilité optimal a ôté affiné suite à la consultationdes membresde la CLE.Ainsi, sans de donnéesscientifiques nous démonti'ani quê I'espacede mobilitêopiimal au niveaude la çommunautéde communesde Brioudeest faux,la OLE ne peux pas prendreen comptecette observation. rmunautéde communes du Brivadols - M. MaurlcePAGES

lans la disnosition1 14 noint3 i! sera nronoséà la CLF de faire un raonelde la loi ct exnlicilernlus nrécisémentla EnJ6u1 Clarifierde la comoétenceGEMAPI rolontédu SAGEde faire émergeret de pérenniserla miseen placede la compétenceGEMAPI à l'échellede bassin r'efsanI.

-a répartitionde la redevancepour le servicerendu du soutiend'étiage du barragede Naussacsort des compétences Compensationde solidaritéaval-amont Ju SAGE.L'ouvrage de Naussacn'est pas situésur le bassinversant Allier aval. On ne p€ut pas répondre (Naussac) hvorablementà cette demande.

La ÇLE n'a pa$$ouhaité afficher un objectifde créationde nouvelleressource dans le SAGElors de la stratégie.Nous Réservesde substitution ne pouvons pas répondrefavorablement à cette demande.

Réservede substitutionpour compenser L'ecode de l'environnementne permetpas de faire une compensationd'une dégradation ou d'unedestruction dê zone I'assèchementdes zoneshumides humide,par la créationd'une réserve de substitution.Nous ne pouvonspas répondrefavorablement à cettedemande.

Enjeu 2 L'objectif"Economiser I'eau" est une objectifvalidé lors de la stratégiedu SAGE.ll est essentielque les effortsde préservationdes ressourcesen eau soientrépartis sur tous les usages,notamment par les usagesen eau des Réserveeaux oluviales collectivitésqui sontlos plusgrands préleveurs d'eau. La récupérationdas eaux pluvialespermet de limiterla pression sur la ressource.Si la consommationen eau potablebaisse, il y aura une diminutiondes investissementsà réaliser pour I'inductionen eau polable.

La questionde la performancedes réseauxd'alimentation en eau potableest traitéeau point1 de Ia disposition241: "Le SAGE préconiseune améliorationde la performancesdes réseauxd'alimentation en eau potable""Le SAGE :uite pas suffisammentprise en compte rappellela disposition7B-3 du SDAGELoire Bretagne 2010-2015 fixant des objectifsde rendementprimaire pour les réseauxd'eau potable..peemble que le SAGEprenne suffisamment en compteles problématiquesde rendementdes réseauxd'alimentatiorf,en eau potableau traversla dispositiôn241.

Suiteà la consuliationdes assembléesle SAGEa pris en comptel'observation des collectivitésde la Haute-Loiredans la disposition813 point2liret 4: "l'outilde suivi et de surveillancede l'évolutionde la morphologiede I'Allierpermettra de déclenchersi besoin des interventionsau regard de problématiquesavérées ou prévues à court terme, notamment Inquiétudesur I'ensablementet sur le non I'aggravationdes risquesd'inondations liéos â un dysfonctionnementdu transitsédimentaire {gestion des priseen cûmptede la diguede Cohade. attenissements)ou à la divagationlatérale de la rivière".Concernant la diguede cohadella cartographiedes diguesne Enjeu 3 rentrepâs dans cadredes SAGE.Après interrogation des servicesde la DDT43, la diguede Cohaden'est à ce jour pas recûnnuecomme "digue" d'un pointde vue réglementaire.

GEMAPIsouhaité pour gérerI'espace de )n proposerade compléterla disposition114 et 821 pourpréciser la prisede compétenceGEMAPI sur le bassinAllier divagation aval.

Mauvaise traduction de la note de M. PAGES V. PAGESest d'accordavec la disposition421 point1 du SAGEsur le fait d'étudierI'opportunité de classerI'intégraliié Enieu 4 dans le procès verbal. Jesmasses d'eau souterraines des 2 massesd'eau souterraines des alluvionsde I'Allieren zonevulnérables. a

Rércnses dÊ ia tLE du $AGE Allier âvôl êux ohservGtionsirl$crites dans l# procès verbal de lâ tommi$sion d'Ên{iuête 1t12 ffi Réponsescie la CLE sui-i*s obsenvaiicnsi:*ri;eillies l*rs de I'enqi"iêiepi"iblique ouverte du i$ janvier aa 27 février 2015 sur le projetdu SAGË du bassinAllier aval. ffi$AGA

Les réponsesde la CLE sont dans I'ordredes observationsdu procès verbal.

Observalions à traitées Réponse de la CLE

)es recommandationssur les modalitésde financementde I Agence ou de tout autre financeur ne rentre pas dans le )emande de prendre en compte le potentiel :adre des SAGE. Cette demande ne peut 6tre prise ên compte dans le SAGE. Mais, un travail avec los instances Enjeu 5 'iscal des communespour la détermination :ouvantfinancer les actionsdu SAGEpourra ètre intégrédans le plande communicationde la OLE lors de la phasede les taux d'aidede I'Agence nise en ceuvredu SAGE.

Le diagnosticdu SAGEâ révétêun mânquede donnéesprécises sur les massesd'eau. Ainsi, les dispositions521 et Diagnosticplus fin pour déterminerles ME â Enjeu 5 522 recommandentI'amélioration de la connaissanceen tetmede qualitéet d'hydromorphologiedes massesd'eau du restaurer- manquede suivi bascinAllier aval, Demandedéjà priseen comptedans le PAGD.

Enjeu 6 [4iseen placed'un solidaritéamont aval Demandeprise en comptedans la disposition611 point1 tiret 2.

Ênjeu ? lohérence avec le SRCE Demandeprise en comptedans la disposition731

Le SDAGELoire Bretagne dans la disposition8E-1 proposeau SAGEd'identifier suite à un inventaireprécis les ZHIEP et les ZSGË.Ainsi, le SAGE prévoitI'opportunité de proposerune délimitationdes ces zonesaux préfets.La volontédu ',lecréer que des ZSGË présentantun réel SAGEn'est pas d'étendrece dispositifde classementsur tout le bassinAllier aval, mais ce cla$sementpourrait être Enjeu 7 ntérêt pour la gestion de l'eau et pour localementun moyenefficace de préserver les zones humidesjugées prioritaires.Ainsi, on n'envisagepas de esquellesle financementsera assuré répondrefavorable à la demandede M. PAGES.Concernant les financements,le SAGEne peutpas reçommanderdes modalitésde financementpour les MAEc.Mais, un travailavec les instance$pouvant financer les actionsdu SAGE pouna être intégrédans le plande communicationde la CLE lors de la phasede miseen æuvredu SAGE'

Le diagnosticsur la dynamiquefluviale de lAllier a permisd'identitier l'espace de mobilitéoptimal et des actionspour la Demanded'un outilde suivide la préservationet la restaurationde cet espace. Le diagnostica révéléaussi un manquede suivide la mobilitéde l'Allier. Enjeu I morphologiedu lit avanttout programme Ainsi,le SAGEprévoit ce suividans la disposition813. On envisagede proposerà la CLE la miseen placed'étude sur d'actions des territoiresspécifiques pour déterminerdes plansde gestionde I'espacede mobilitéoptimal.

iliminer les retenuescollinaires non utilisées M. JP Belmont Remarquestrop locâliséesqui ne rentrepas dans le cadredu SAGE. rt ne pas en autoriserde nouvelles.

Les remarquesdu CRPFont été prisesen considêrationsuite à la consultationdes assemblées.La CLE a répondu dans!e rapportde ccnsultationdes assenrb!éesp.53: "Le point2 de la dispositicn712 estune recommsndation.Ainsi, la CLE n'a pas souhaitémodifier la distanceminimal de plantationde 15mentre le bord de coursd'eau et la première Reculde 15 m pourles plantations rangéede plantation,puisqu'à la suiteil est indiquéque cettedistance pourra ètre adaptéelocalement en fonctiondes essence6forestières, des caractéristiquesdes coutsd'eau (largeuren particulier)et de la topographie(pente des versantset des fonds de vallée) sans pour autant êtie inïérieureà 6m (hors plantationde ripisylve)."

P. Faucher(CRFF) L'inventairedes zoneshumides précis est prévudans la disposition741. Le SAGEn'apporte pas de tontrainte lndentificationdes zoneshumides réelles. réglementairesupplêmeÈtaire â la réglementationnationale pour protégerles zones humides.La définitiondes zones humidesest donnéedans I'articleL.211-1 du codede I'environnement.

\ccélération de la mise en place des Le SAGEsouhaite en effetau traversla disposition712 accélérerla miseen placede la réglementationde boisernent. églementationsde boisement.Disposition La CLE comptesur I'animationlocale (CRPF notamment) pour dynamiserces démarches. 712.

lntretiendes coursd'eau nécessaire L'entretiendes coursd'eau e'stpris en comptedans les dispositions522,523,524 du PAGD' { La prrâservationet la restaurationde la dynamiquefluviale de I'Allierest un enjeufort du bassinAllier aval. Le diagnosticdu bassina révéléun dysfonctionnementimoortânt du transportsédimentaire de la rivièreAllier. Ainsi, la CLE a définit des espacesde mobilité maximalet optimaltravaillés et validés par la CLE lors du diagnostic,de la stratégieet lors de la rédactiondu SAGE.ll ne sera donc pas proposéà la CLE la suppressionde I'espacede mobilité La libredivagation des coursd'eau et le optimalde l'Allier.Concernant le classementen zonevulnérable des rivières,le classementen zonevulnérable est un clasgementen zones vulnérablesdes outilréglementaire mise en placepâr l'Êtat,permettant de réaliserdes actionspour diminuerles pollutionsnitrates rivièressont inacceptables. agricoles.Ces seeteurssont identifiéssur la basede contrôlesde la qualitédes eaux.Le SAGËdemande dans la disposition421 d'êtudierI'opportunité de classerI'intégralité des massêsd'eau des alluvionsde l'Allieren respectantle cohérencehydrologique et pfenanten compteI'occupation des sols.Ainsi, le SAGE n'êmetpas de réglementation Commune d'Azerat supplémentairesur les zonesvutnérables. (Réponse apportée p. 36 du rapportde la consultationdes assemblées).

Rêpon8osds la tLË du $AGË Allier aval nux obsBrvationsinscfites dans le procàs vorbal ds la commiseiond'ênquèT8. 2t12 Réponsesde la tLH sur lesobser*ations recueillies lors de I'enquètepublique ouverte du 19janvier au 27 février 2015sur le projetdu SAGEdu bassinAllier aval. ffis&6Ë ÂLilffi Â\rsl Les réponsesde la CLE sontdans l'ordredes observationsdu procèsverbal

Obseryatlons à traltées Réponsede la CLE

Mesuressur la forêtqui vont impacter Les dispositionsdu SA6E portantsur les boisementsne sontque des recommandations.Ces recommandationsne 'activité vontpas âggrâverlâ situationde crisede ce secteurd'activité.

La disposition611 point 1 tirot2 prévoitla propositionde modalitésde financementspécifiques pour les actions \écessiierci'aider ies terriioiressitués en conduitessur les têtesde bassinversant comme le préconisele $DAGE.Cette demande est déjà priseen . :êtesde bassinversant. compte dansle PAGD.

Vort des âctivitésagricoles et forestières Les actions proposées dans le PAGD ont été validées par la CLE et notamment par la professlon agricole.

Les coutsdes dispositionsont été précisésdans la mesuredu possible.Le coût globalede l'outilest identifiép.344- 3oûi et budgetmobilisable poui'les actions 345-346-347. M, FAIDIT lemplacementdes digues e SAGEn'a pas prévule remplacementdes digues.

ntégrationdans la commission"dynamique ll sera proposéâ la CLE lors de la préparationde la miseen æuvredu SAGE, la candidaturede MmeGILBERT pour luvialeet nappealluviale de l'Allier" intégrerla commission"dynamique fluviale et nappealluviale de I'Allier".

Dansla disposition311, la communede Cohadeet les communes43 riverainesde l'Alliercompris dans le périmètredu Vise en placed'un PAPI sur CC du Brivadois PPRI,sont considéréeÊ comme secteur prioritaire pour la miseen placed'un programmed'actions de prévision, :t sur cellede I'Auzon préventionet réductiondes risquesd'inondation"

Mme Gilbert (Maire de Gohade) Le bassinversânt de la Vendageest un bassinversant identifié comme prioritaire pour la miseen ceuvrsd'actions de Souhaitd'une action commune pour réductiondes pollutionsdiffuses et ponctuelles.Le SAGEencourage dans la disposition114 la miseen placede rméliorerla qualitédes eaux sur la Vendage programmed'âction notammentde contratsterritoriaux sur les bassins vêrsânts prioritaires"Les contratsterritoriaux 'avec , aideAELB) sontdes outilsde l'Agencede I'eaupermettânt la programmationd'actions, soutenues financièrement par I'Agenceet les collectivités.

BRASSAC LES MINES

lrainte sur évolutiondes mesuresagricoles Le SAGEne prévoitpas de règlecontraignante pour les agriculteurs.L'évolution des dispositionsde recommandation /ers des mesuresréglementaires vers des règles,pourra se produireque suiteà la révisiondu SAGE.

M. Martln La cartographiede l'espacede mobilitémaximal est présentêepour faire comprendrele choixde la CLE de ne pas )ourquoiune cartographiede l'espacede intégrertout I'espacede mobilitémaximal dans l'espace de mobilitêoptimal. Etant donné que la règlen"3 ne s'applique nobilité maximal pas à I'espacede mobilitémaximal, il sera proposéà la CLE de supprimercet espacesur les cartographiesdu règlement.

Portéejuridique de !'espacede mobilité Mme Brun L'espacede mobilitémaximal n'a pas de portéejuridique. nâYimâl

tssotRE

Pas de positionnementspécifique du SAGH$ur cet ouvrage- Les étudessont portéespar le contrattefritorial de la M. Rieuf )evenir du barragePavin 3 ôar rza Datrin

Le dossiertransmis au Présidentde la CLE ne présenlenas le courrierd'lssoire Communauté et ni les 6 annexes.

I a nrnnnsitinncle mndification de I'espacede mobilitéoptima! de l'A.lliersur le sile des ltlavèresa été étudiéeeuite è la consultationdes membresde la CLE sur la délimitationde l'espacede mobilitéoptimal en janvier2A14. Ainsi, sur le site des Mayères,la CLE a justifiéla non modificationde la limitede I'espacede mobilitéoptimal avec les arguments Modification de I'esoace de mobilité optimal suivants:"D'après l'étude de 2011,portée par lssoireCommunauté, la capturelimitée par l'avalde la gravièrenord du à I'amont du pont de Parentignat. site des Mayèresne devraitpas avoird'impact majeur sur la fonctionnalitéde l'Allier.Ces conclusionssont confirmées M. de Mulder et M, par les expertsen hydromorphologiedu bassin(M. StéphaneBRAUD de la DREALde BassinLoire Bretaqne et M. Jean'NoëlGAUTIER de I'Agencede I'eauLoire Bretagne). De plus,cette expertise conclue que la rupturede la berge Godard {Vllle i'avaine pas d'lssoire et lssolro à cievraii enirainercie changement majeur dans l'écoulemont hyciraulique cie I'Allier. L'érosion rios ierrains plus nord la gravièrefournira matériau rechargepour propositio4 Gommunauté) au de du de le transitsédimentaire." La de modificationde I'espacede mobilitéoptimal d'lssoire communauté sera de nouveauétudiée suite à I'enquêtepublique.

Jemanciecle ia priseen comptedes Lâ préservationet la fesiaurationde ia ciynamiquefiuviaie cie i'Ailier est un enjeufort ciubassin Aliier avai. Le trgumentsdéveloppés dans le cadrede la diagnosticdu bas$ina révéléun dysfonctionnementimportant du transportsédimentaire de la rivièreAllier^ Ainsi, la régociationsen courssur le PPR|,pour CLE a définiten 2008des espacesde mobilitémaximal et optimalqui ont été travailléset validéspar la CLË lors du jéterminer sur 2 secteurs I'espacede diagnostic,de la stratégie,et lors de la rédactiondu SAGE.La propositionde modificationde l'espacede mobilité nobilitéoptimal et maximal. optimald'lssoire communauté sera de nouveauétudiée suite à I'enquêtepublique.

RÉponsesde lâ CLË du SA$E Allier âval aux ûbservationsinscriteg dans le prçcès verhal de lâ ûûmmissiond'enqueïe. 3t12 Répnnsesde la CLË sur les observatinnsr**ueillies lar* de l'*nquèt* publiqu**$vert€ du 1Ûjanvier au 27 ftâvrier 2û15 çur !e pr*j*t du $AffiHdu hassinAiii*r aval"

$&#ffi Âi"l!['i "qvs,i' Les réponsesde la CLE sontdans l'ordredes observationsdu procèsverbal.

Observalions à traitées Réponsede la CLE

ll n'estpas joint au procèsverbal leç annexesliées aux observationsde la communed'lssoire.

Toutesles délibérationsdes eotlectivitésont été étudiéesà la suitede la consultationdes assemblées.La CLE n'a pas )élibérationnon traitéedans le bilande la reçu la défibération de la communed'lssoire du 26lA6EAfi. Ainsi,on souhaiteque la mention"non traitée dans le bilan ;onsultationdes assemblées. de la cansultationdes assemblées"soit suppriméedu procès-verbal.

Priseen comptede la notionde TRI pour le -a classificationdes tenitoiresà risqueimportant n'est pas du ressoddu SAGE.Mais dans le SAGE,ce secteurest bassind'lssoire. rien identifiécomme prioritaire sur les cartesde l'enjeu3'

Lâ Frc'po"sitionde modificationde !'espacede mobilitéoptimal de !'Alliersur le site des Mayèresa été étudiéesuite à la Modification de I'espace de mobilité optimal consultationdes membresde la CLË sur délimitationde I'espacede mobilitéoptimal en janvier2014' Ainsi, sur le site maximal au droit des Mayères,la CLE a justifiéla non modificationde la limitede l'espacede mobilitéoptimal âvec les arguments Commune d'lssoire et de l'espace de mobilité des Mayères, des circuits automobiles et de suivants:"D'après l'étudê de 2011 , portéepar lssoireCommunauté, la capturelimitée pâr I'avalde la gravièrenord du I'aérodrome. Plan d'eau des Mayères inclus site des Mayèresne devraitpas avoir d'impactmajeur sur la fonctionnalitéde I'Allior.Ces conclusionssont confirmées dans I'espace de mobilité optimal ? par les expertsen hydromorphologiedu bassin(M. StéphaneBRAUD de la DREALde BassinLoire Bretagne et M. Contradictoire avec objectif de préservation Jean-NoëlGAUTIER de l'Agencede I'eauLoire Bretagne). De plus,cette expertise conclue que la rupturede la berge et réduciion rje I'iircision ffii- piège à à I'avalne dévrâiipas eirirairrerde changenrentmajeur darrs l'écoulemeirt iiydiaulique de i'Alliei".L'6rosion des terrains sédiments en cas de capturê. plusau nord de la gravièrefoumirâ du matériaude rechargepour le transitsédimentâire." La propositionde modificationde I'espacede mobilitêoptimal d'l$soire oommunautê sera de nouveauétudiée suite à I'enquêtepublique.

-'espacede mobilitémâximal de I'Aliierne conespondpas toujoursà la zone inondable.Ën effet,ce$ 2 iimiiespûrtêrit Pas de correspondanceentre EMAx et zone surdes fonctionnalitésdifférentes de la rivière.Et la cartographiedes zones inondablesvarie en fonctionde la période inondableau sens du PPR| Je retourde référencede I'inondationchoisie (décennale, centennale, exceptionnelle).

Le SAGErecommande la miseen placed'actions pour amélioreret préserverla qualitédes ressourcesen eau et des milieuxaquatiques. Ce sonties acieursdes ierriioirosqui cievrontmetire en placeces actions. Les secteursprioriiaires non précis, pas de descriptifet de latalogue pour la mise en placedes recommandationssont identifiésdans le PAGDet dansI'atlas cartographique. ll sera ocalisationd'âction. proposéà la CLE une meilleureexplication de la gouvernancepour la miseen æuvredes recommandations, MM Beal et Rouchy prescriptionset règlesdu SAGË"Intêgrer cette demande dans le plande communicationde la CLE.

1.6"nroæ-urede iienquêtepublique n'a à ce jour pas révéléde vice de forme.L'appo( réglementairedu SAGEest bien identiliédans ces documents.La questionde I'améliorationde la communicationsur la miseen æuvredes dispositions ËnquêteironquÉe ? du SAGE et sur la portée réglementairedu SAGË sera revue dans le plan de communicationde la CLE lors de la mise en æuvredu SAGE.

VIC LE COMTË

Contaminationdes micropolluants, Le diagnosticdu $AGE a pris en comptetoutes les donnéesexiÊtantes pour carâctériser l'état des ressourcesen eau séciimenisavec les méiauxlourds, M. Paul BARNOLA et des milieuxaquatiques. Le diagnostica révéléun manquede donnéesprécises. Ainsi, dans les dispositions121 et pesticides.Bilans des stationsd'épuration 122,le SAGE prévoitd'améliorer et de diffuserla connaissance. des entreorisesindustrielles La préservationet la restâurationde la dynamiquefluviale de l'Allierest un enjeufort du bassinAllier aval. Le Pasde contraintesupplémentaire apportée diagnosticdu bassina révéléun dysfonctionnementimportant du transportsédimentaire de la rivièreAllier. Ainsi, la par I'espacede mobilitéoptimal. CLE a définiten 2008 des espacgsdemobilité mâximal et optimalqui ont été travailléset validéspar la CLE lors du M. Jacques diagnostic,de la stratégie,et lois de la rédactiondu SAGE.Ainsi, sans une étudescientifique dérnonlrant que I'espace Rochette de mobilitémaximal de t'Allierdélimilé sur la communeVic-Le-Comte est faux,la CLE ne poulra pas étudierla lDMmax ; Da$cohérent locâlement car propositionde M. Rochdito.Par contre,il sera proposrâà la CLE de supprimerl'espace de mobilitémaximal des ntègredes sectêursbâtis ou susceptiblesde cartographiesdu règlementdu SAGE. 'êlre - Rêlirêf c,e-qsecteurs

LEZOUX

Risquesassociés à l'épandagedes frouesde -'épandagedês bouesde la stationd'épuration d'Aulant n'a pas été relevécomme problématique lors du diagnosticdu M. Bernard la Stepd'Aulnat (impact sur les coursd'eau SAGË.La réglementationexistanie est théoriquementbien complète Ëur ce point. et sur les zoneshumides]

ii sera pi'oposéà la CLE,d'informer de nûuveauia Préfecii.iredu Puy-de-Domeei l'associaiiondes Mairesdu Puy-de- Domede la demandede M. GRANGEON,Président du SIEAPBasse Lirnagne, d'intégrer la CLE lors du prochain Souhaiteintégrer la CLE/ conviéà la CLE renouvellementde la CLE. ll seraaussi proposéà la CLE,la candidaturede M. GRANGEONpour intégrer les commissionsprévues pour la phasede miseen æuvredu SAGE. Les comptesrendus des réunionsde la CLE et du i/1,Grangeon et bureauCLE serontmis sur le site Internetdu SAGEAllier aval. Rsnclatet {SIAEP Basse Limagne) rrotection nécessaireciu captage ciela La prolectiondes aménagementsd'utilité publique est permiseen applicationde règlen"3, $ouscondition de la mise roucledu Buissonà Pontdu Châteaumais en placed'une compensation, comme le prévoitle codede l'environnement. lans mesure compensatoire

Rôponsesds ia CLÉ du ÊAGLiAliitlr aval ailx obssryationsinçùrilçs dans le procès vsrbal de la commissiond'onquôte, 4t12 trryge ffiffia; twffi $gmqffi Réponsesde la CLEsur lesobsenrations rgcueillies lors de I'enquêtepublique ouverte du 1gjanvier au 27 février ÀtK":qm ffimr 2015sur le projetdu $AGEdu bassinAltier aval. ffiffiI &!*-dffn'*-f-^q Les réponsesde la CLE sont dans l'ordredes observationsdu procèsverbal.

Observations à traltéas Réponsede la GLE

RIOM

I sera proposéà la CLF de clarifierla gouvernanceet les moyensâ mettreen æuvre p. 339 du PAGDpour faciliter la Précisionsur la gouvernance,qui fait quoi. îise en æuvre des recommandations.Cette clarificationsera aussi programméedans le plan de communicationde la 3LE lors de la phasede miseen æuvre iguide d'applicationdu SAGE).

Pas de lien entreSAGE et les documentsde Lorsde l'étudedes scénariostendanciels, l'évolution des besoinsquântitatifs sur le bassinAlliôr aval n'a pas été planification; besoins en eau Ôtudiée.Pâ!- conlre, l'évolution de !a démographiea été priseen comtltecomme pressiçn M. Pecoul {Malre supplémentairesauraient pu être étudiés év.entuellesur la ressource. Le secteurde Clermontest dansun périmètreà hydrologiefragile qui est identifiêdans la (étude de Rlom) (affichés)dans le sage (passeulement disposition221 ressourceà engager). tendancesde population).

C'est la volonté de la CLE de ne pas affichorles enveloppesde probabilitéde présencedes zones humides (études Recensementdifficile des zoneshumides : 2012)dans I'atlas cartographique du PAGD.Ces données sont misesà dispositionsdes collectivitésfaisant la las de cartographiedes enveloppesde demandeavec la miseen placed'une convention. Lors de la miseen æuvre du SAGE,ces donnéesseront :robabiliié. diffuséeset téléchargeablesvia le site Internetdu SAGEAllier aval.

COTTIBRONDE

Â.nr^iccômêht r{ac mr rltinlac nnntrainfacvvr rrr srr rlvs nrqel ri rèsentsur les agriculteurs; inquiétudessur : MM Tardif, Fourtln, Thore, Montpied, Le SAGE n'â pas pour objectifd'apporler des contraintessur les professionsagricoles. Le SAGË n'apportepas de -es retenuesindispensables Onzon, Onzon, conlrainteréglementaire supplémentaire sur les capacitésd'irrigations ou sur I'abreuvementdu bétail.ll est nécessaire Espagnol,Borot de biencommuniquer auprès des agriculteurssur la portéeet les attentesdu SAGE(notamment en tête de bassin -e libreaccès aux coursd'eau versant).Cette communication sera programméedans le plande communicationde la CLE lors de la phasede mise en

e mâintiendes gué

lifficultéde prendreconnaissance du M, Lambed iossier

Maintien de l'accès au cours d'eau Pas d'interdictionpar le SAGËpour maintenirI'accès à I'eaudu bétail. M. ïardif

Sartographieà une échelleplus grande La CLE a choiside réaliserles cartographiesdu SAGEen formatA4 dansl'atlas cartographique.

M. Montpied {ccès au coursd'eau et maintiendes gué Pas d'interdictionnar le SAGE.

vtétItuEIt ue I duug5 du uuut b u Ëdu Tdb u lItLcIutuuuil ual tË ù^gE. M. Fourtln Vlaintiende l'entretiendes coursd'eau. L'entretiendes coursd'eau est prévudans la disposition524.

La CLE s'est attachéeà fixer des $ecteursprioritaires pour la mise en æuvrè des actions. Le SAGE préconisela )ossier vaste et peu précis mise en æuvrelocale des recommandationsdu PAGD.

\breuvemeniciu béiaii Fas ci'inierdiciionpar le SAGE. M. Thore

1épartitiondes chargesd'entretien des Sur les coursd'eau nopiomâniaux c'estle propriétairequi a la chargede réaliserles actionsd'entretien. Le $AGË :oursd'eau. prévoit une gestion co,ifectivepour I'entretiendes cours d'eau au travers la mise en place de programmed'actions.

M. çhnsûan i'le pas supprimerles ricluseset digues, Montpiedet M. réservesà poissonset franchissablessi Le classementdes coursd'eau flxe des obligationsen mâtièrede continuitéécologique. Bernard Château lÂÂtrpMÀl assezd'eau Le SAGE n'a pas pour objectifd'apporter des contraintessur les professionsagricoles. Le SAGE n'interditpas Stigmatisationde l'agriculture l'abreuvementdu bétaildans les coursd'eau.

M. Batiste Onzon el M. EtienneONZON Hormisles règlessur les plansd'eau, pas de nouvellesréglementation pôuvant concerner les espacesagricoles - La De nouvelles60ntraintes concertation/l'associâtiondes acteursagricoles est systématiquementmentionnée pour tenir comptede l'importancede cette activité sur le périmètre

R*ponses de lâ CLE du SAGE Allier avâl aux observation$in$crit€$ dans le procès verbal de lâ commis$iond'enquête, 5t12 janvier Répansesde la CLH sur les cbservationsrecueillies lors cjeI'enqu*te pubtique *uverte du 1$ au 27 février 2tÏ1Ssur le prnjettju $AffiËdu bassinA.llier aval" s.e#tr rii"i"iËiiAfAt Les réponsescie la cLÊ sont dans i'ordre ciesobservations ciu procès verbal.

Observatlons à traitées Réponse de la CLE

GANNAT

lejet de l'arasementde l'éclusedu moulin M. Daat (AAPPMA) Aucuneportée du SAGEsur ce Point. les Salles

La CLE a fixé un enjeude préserveret de restaurerla dynamiquefluviale dans l'espace de mobilitéoptimal avec la SAGEpas assezambitieux sur la divagation place suivide l'évolutionde la mobilitéde I'Allier,Les actionsde comblementdes graviè!'eÊet la M. Durant TEELV) miseen d,unoutil de naturelle protectiondes alluvionsanciens n'ont pas élé retenuespar la CLE"

la mobilité demande - RejointM. Durantsur i Le SAGEva dansce sens pour les actionsdestinées à améliorerla qualitéde I'eau La réglementationexistante doit pour améliorerla quâlitéde M. Michel des mesures déjàêtre appliquée. l'eau.

VARENNESSUR ÀLLIER

ll manquepour un bonnecompréhension de cettedemande, une localisationprécise du projetde M. et Mme protégerun terraincontre M. et Mme de Souhaitent CHAVAGNAC.Si ce projetse situedans l'espacede mobilitéoptimal, il ne sera pas possiblede protégerces les apports de polluants. Ghavagnac l'érosionet contre aménagements.Mais en absencede détailsur le proiêt,il est impossiblede donnerun avis circonstancié.

Le SAGEne s'opposepas âu maintiend'un enrochement,si cet enrochementest dÛmentautorisé' L'entretien, la Vlaintien d'un enrochement en pied de sontprévus par l'applicationdu codede M. Deschet consolidationet la restaurationd'un enrochementdument autorisé 'alaise (présence d'une habitation) l'ênvironnement.

lntérêtde la veille ei de la rnaltrisefoncière de I'espacede mobilitéoptirnal prévues dans la disposition81 1. ll sera pour les cadastresde bord d'Alliertous Problèmede la domanialitédes surfacesde proposéà la CLE d'intégrerdans le PAGDune rècommandation mettreà iour ï$. Fournier qui de ta mobilitéde la rivière) - Valoriser divagationde la rivière les 5 ans ou en situâtion post-cruepar exemple (ce faciliteraitl'acceptation l'outilde suivi pour cernerles secteursoù la miseà jour est nècessaire.

publiques projet SAGE"La réalisationd'une riote de synthèse M. Matichard Absencede note de Eynthèsesur l'état des La CLE n'a pas choiside réaliserdes réunions sur le du de la phasede mise en æuvre. (EELv) lieuxet les objectifs,réunions publiques. de l'étatdes lieuxsera intégréedans le plande communicationde la CLE lors

préservationde la fonctionnalitéde la Pas de constructiondans I'espacede -a disposition811 vise une compatibilitédes documentsd'urbânisme avec la 'ivière mobilitêoptimal. Allier. jour pour que soientvisibles les Pas de prise en compte des projetsroutiers Le fond IGN des cartographiesprésentant I'espace de mobilitéoptimal sera mis à travauxréalisés récemmênt sur Varennes-sur-Allieret pour le cOntournementde Vichy. M Chanaud(FAN) (Varennes,Vichy)

3radâtiondes tarifsdu prixde l'eau. Hors comoétencedu SAGE portée Le SAGE va dans ce sens d'empêchertoute constructionen zone inondable.Mais le SAGE n'a pas de )lus zonesinondables de constructionen juridiquesdans la gestiondu risque d'inondation.

MOULINS

Tous opposésaux SAGE,sultout sur l'enjeu globalité, ne aucunouvrage. I - Remeten causeles possibilitésde Le SAGEne remetpa$ €n causeles ouvragesexistants dans leur et cible dÉveloppementéconomique. Mme Sarrazln la Ferté);M. pâs {maire A ia leciuredes observdns, ii noussembie que ies observaiironsapportées sur le projeidu SAGËne peuveni ... 821 : Tollésur la restaurationde la Dessert D 812 et êtrerêsumé comme "un tollé",mais plutôt comme des questionnements- Afin de répondreà ces questionnemêntset lluviale,I'effacemont des point. dynamique faire conrpiendreles objectifsdu SAGE, il est nécessaired'apporter une importantediscussionlinformâtion sur ce protectionsde berges Cette informationsera prévue dans le plan de communicationde la mise en ceuvredu SAGE.

la CLE lors de la Egalementopposé à la suppressionde$ La communicationsur la dynamiquefluviale est à développerdans le plan de communicationde - mobiiiiéprévues dans ie SAGËse fera en Proiession agricoie ouvragesde protection.La naiure a repris phasede miseen ceuweciu SAGE. Les aciionscie restauraiion de ia ses droits (ripisylve). concertationavec les propriétaires/gestionnairesconcemés.

- que Dréserverles tenes agricoles à fones La dynamiquefluviale est auçsiun enjeufort pourpréserver certains usâges Le SAGEmentionne les raleursagronomiques. compensationsne doiventpas se faireau détrimentde I'activitéagricole (cf. la disposition821)' Autres élus

Prèserverle bâtis anciens Le SAGË n'imposeaucune dêstructiond'ouvrage de protectionde berge.

6t12 RSDon$esde la ÇLË dU SAGË Ailier aval ûux $k]$etJâlionsinscriles dans le pro{:è$verbal ds la tonlmlssion d'6nrtruùt8' Réponsesde la CLËsur lesobservations recueillies lors de I'enquêtepublique ouverte du 19janvier au 27 février 2û15sur le projetdu $AGËdu bassinAllier aval. ffi$AfiN ÂLI"IERÂVAL Les réponsesde ta eLE sontdans I'ordredes observationsdu procèsverbal

Observatlons à traltées Réponsede la CLE

Pas d'amalgameentre zones de plaineet I n'y a pas d'amalgameentre les zonesde plaineset cellesdes montâgnesdans le SAGE;Les situâtionssont M. Dessert cellesde montagne,notamment en terme Jifférentesy comprisen termede contraintes- I'espacede mobifitéoptimal n'est défini que pourl'Allier mais pas sur les d'incision. autrescours d'eau.

Sage contraireau réglemontationet aux Le SAGEne s'opposepa$ aux outilsNatura 2000 mais les complète.Le SAGEa intégréles réglementations zonagesdes sites Natura2000. eurooéenneset nationales. M. Hoarau Sage Allier aval non identifiécomme -e SAGEAllier aval était identifié comme un "SAGEnécessaire" dans la $DAGE LoireBretagne de 1996-2001. nécessaire

Remiseen causedes élémentssur ls Scientifiques protectiondes nappesphréatiques du lit Remarquenon étayéene permettantpas de réponse. mineur(mesures piézo à I'appui)

I'incisionde la rivièren'a pas d'influencesur Remarguenon étayée-Aucune réponse à apporter- Valoriserl'outil de suivide la dynamiguefluviale (lncision du lit M, Mathonat les nappes ; la nature doit s'exerceravec tineur à regarderen parallèlede la piézométrie- disposition211) I'homme

Zoneshumides. critères i ncertains

Remiseen causedes dispositionssur les zoneshumides quand on dit dans l'étatdes -a deTinitiondes zones humides est apportéedans le code de I'environnement.La carte liée à la disposition741 ne lieuxque I'impactde la disparitiondes zones ocaliseque les bassinsversants prioritaires. Le SAGEne dégradepas la professionagricole. humidesest non négligeablemais difficile à quantifier- Crainted'une réglementation sur les zoneshumides.

lmpa6t6des divagationde I'Allier/ non M Lemaire cohérentavec I'objectifdu SAGE de trouver un équilibredurable entre les besoinsdes I sera proposéà la CLE d'intégrerdans le PAGD,la miseen placede plan de gestionde I'espacede mobilitéoptimal activitéssocio-économiques et la le l'Alliersur des secteursprioritaires. préservationdes ressourcesen eau et des milieuxaquatiques - ne retrouvepas le consensusissu du diagnbstic.

-a préservationet la re$taurationde la dynamiquefluviale de l'Allierest un enieufort du bassinAllier aval. Le Jiagnosticdu bassina révéléun dysfonctionnementimportant du transportsédimentaire de la rivièreAllier. Ainsi, la Remise eh cause de I'espaee ele moh,rilité ILE a définiten 2008des espacesde mobilitémaximal et optimalqui ont été trevâilléset valicléspar la CLE lors du vers la Sonnante. Jiagnostic,de la stratégie,et lors de la rédactiondu SAGE.La propositionde modificationde l'espacede mobilité rptimalen amontde I'agglomérationde Moulinspourra être étudiéesuite à une étudehydromorlogigue précise sur ce iecteur.

3oncernantla valeurfoncière des terressituées dans I'espacede mobilitéontimal. Cf. réponseà M. Foumierde Souhaiteque l'espacede mobilitéoptimal y'arennessur Allier:Intérêt de la veilleet de la maltrisefoncière de l'espacede mobilitéoptimal prévues dans la soit limitéau DomainePublic Fluvial (DPF). Jisposition81 1. ll seraproposé1à la CLF d'intégrerdans le PAGDune rerommandationde mettreà jour les cadastres Et non que l'espacede mobilitéoptimal de le bordd'Allier tous les 5 ans ou en situationpost-crue par exemple(ce qui faciliteraitI'acceptation de la mobilitéde la M" de Monlclos I'Allierdevienne le DPF. Remeten causela 'ivière)- valoriser I'outif.tfesuivi pour cerner les secteursoù la mise à jour est nécessaire. Remarouesur le cott : il valeurdu Foncier,demande s'il sera possibl€rera proposé à la ClEId'afficher un coût global de la rèstaufàtion(sur la base des zones d'érosionà court terme) mais d'entretenirdes ouvrageset d'en réaliser. las sur uRcoût unitaire(Disposition 81 1) - Concernantles servitudes: Le SAGEne présentepas d'obligation,mais 'ecommandesimplement la poc$ibilitéde propo*erau Préfetla miseen placede servitude.

-'objectif"Economiser I'eau" est une objectifvalidé lors de la stratégiedu $AGE. ll est essentielque les effortsde D242 : réductiondes besoinsd'irrioation ne lréservationdes ressourcesen eau soientrépartis sur tous les usages,dont I'activiléd'inigation agricole. ll n'est doit pas être une finalité? narquénulle pârt dans le SAGE,que la réductiondes besoinsd'irigation est une finalitépour gérerau mieuxles 'essourcesen eau.

D33'l : surface agricole des zones -e SAGEne mentionneoas de recommandationvisant à modifierla vocationaoricole et la maitrisefoncière des zones d'expansiondes crues doivent rester J'oxnansiondes crues. agricoles.

D411 : connaissancedes pollutionsliées aux -'amélioration de la connaissance vis-à-vis des pollutions potentielles de la nappe alluviale causées par d'anciennes ^^^i^-^^^ tÂ^h^.^^- tÂ^h-,^^- ^^+ ^,4,,,^ i--- l^ ti^^^^i+i^^ Àna vswl Iq, !rçù Jçu, ,s, vvù srr P, çvuç us, 'J ,q v,ùPvùl Syndlcats des D515: oppositionsur une réglementation lmlguants La disposition515 n'a pas de portéeréglementaire. supplémentairesur les haies

D526: Désaccordsur la limitationdes plans Décislonde la CLE de limiteret encadrerles plansd'eau pour réduireleurs impacts - Le SAGEn'aura aucune d'eau. incidencesigniftcative sur les plansd'eau hors coursd'eau.

Répûn$es de ia CL€ du $AGE Allier âv;rl âux ob$erualionc in$crile{i dans l€ procè$ verbal de la commis$ion d'enquête. 7t12 du 19janvier au 27 février Réponsesde la cLE sur lesobservations recueillies lors de l'enquêtepubllque ouverte 20lSsurleprojetdu$AGEdubassinA||ieraval.

Les réponsesde la cLE sontdans l'ordredes observationsdu procèsverbal.

RéPonse de la CLÊ Observations à traitées

)742 : gestiondes zoneshumides par les agriculteurs. rratinrrcs adantées.

juridique sAGE sur les pompagesdirecte en Le SAGE insiste sur la limitationde I'impactagricole ; Pas de portée du de mobilité une compatibilitéavec la disposition D821: préÇsutionssur I'espace rivièïe: sur les autoriÉâtionstemparâifes d'occupation du DPF,le SAGEdemande optimalet la dYnamiquefluviale- 812 pour préserverI'espace de mobilitéoptimal'

de S, dap de la de communicationpermettanl d'améliorer l'information sur la définitionet les étape$ Espacede mobilité optimal trop important' ll sera proposé à la ÇLE un outil propriété privée optimal. Revoir les coûts du foncier et du programmeglobal de restauration. coûtfaible du terrain (vol manifeste!) validationde l,espacede mobilité rurale

à protectionde berge protège un captagê Conre la suppressionde I'ouvrage Le SAGE ne prévoit explicitementaucune suppressiond'ouvrage, surtout si la Verdiaux(commune M. Gloltre Châvenneset des d'alimentationd'eau Potable. d'Arvernes)

Souhaitd'une concertation pour âpporlerdes Laurentva dansle sens du SAGE (dispositions81 1 , 821). M. Laurent solutionspérennes à la gestionde l'eauet à Le souhaitde M. la dynamiquefluviale

BOURBON L'ÀRCHAMBAULT

L SAINT PIERRELE MOUTIER

du SAGEet portéeréglementaire de la règle Plusd'information sur la teneur Améliorerla communicationsur la définitionde I'espacede mobilitéoptimal et sur la mobilitéoptimal M. Raclln concemépar les espacesde n"3. Ënleveria qélknitationele l'espace de rnobilitémaxinral des eaitogrâphiesciti règlement. et maximalet par un zonage Natura 2000.

lrainte de ne pas pouvoir mettre en prairie du SAGEsur ce point. Mme et M. Cordez eur propriétésituée dans I'espacede Pas de contrâinte nobilitéoptimal.

CTURRIËR$ Node courrier Observations à traitées pas dans le lèmarque sur la restaurationdes masses de stationsd'épuration est cadré par la réglementâtionnationale. Nè rentre Conseil municiPal L'épandâgeagricole de boues J'eau: actionsvagues sur l'épandage de St-Germain- 1 roricoleet bouesde steps Lembron Avistrès favorable

la délibérationde optimalsoumis à I'enquete GonseilmuniciPal Mauvaiseinteçrétation de La comrmrnede sant-Germâin-des-Ëossésvalide la délimitationde I'espacede mobilitê 2 de St-Germain-des. la communede Saint-Germain-des-Fossés publiqueet souhaiteson mâintien. Ëossés dansle procèsverbal de I'enquêtepublique.

àvail avec les instances pouvantfinancer Fravauxsur les seuils qui doivent relever de plan de communicationde la CLE lors de la phase de mise en æuvre 'Etat; priseen comptede l'aspect les actions du SAGE pourraêtre intégré dans le rririmnnial rfrr SAGF Accompagnement Mauvaisetraduction dqf{6urrier de la communautéde communesde la MontagneBourbonnaise. des boisements si suppressionou Indemniserla suppression des propriétairespour le remplacementdes boisementspar êbsencesadaptées, ou indemnités des - voletindemnité pourra faire de Douglaset remplacementPar interciictionde boiser- f-a SÀCf va danslç sensci'un aeeompâgrremerit teehriique Le Communauté de essencesautochtones partiede la réflexionconcemant les tètesde bassinversant (61 1-112) communes de la e Montagne de financementne rentrepas dansle cadredu Bourbonnaise -es MAEcsont mentionnéescomme outil à mobiliser.Les modalités pouvantfinancer les actions du $AGE pourra être intégré dans le plan de MAE insuffisamment fi nancées SAGE.Mais, un travail avec les instances :ommunicationde la CLE lors de la phasede miseen æuwe du SAGE'

ffimpteduPhosphorerentredanslecadrede|aréductiondespressionsdansles du SAGEn'a pas révéléde problématiquePhosphore sur le )as de priseen comPtedu PhosPhore dispositionsdu PAGDde I'objectif5.1. Le diagnostic têrritoirêde la montagneBourbonnaise.

procàs de la commissiond'enquêt€' 8112 RéËonsesds la CLË dlt 5À6Ë Allier aval aux obsoryationsinsoritëS dans le verbal

L w ffiÆr"e. tffiffi 6WW Réponsesde la CLËsur lesobservations recueillies lcrs de l'enquêtepublique ouverte du 19janvier au 27 février W ?015sur le projetdu $AGEdu bassinAllier aval" bÉ\tuh

Les réponsesde la CLE sontdans l'ordredes observationsdu procèsverbal

Observations à traltées Réponsede la GLE

Contenirles projetset infrastructureslourdes La CLE n'a pas retenu la préservationde I'espacede mobilitémaximal dans la stratégie. dansl'espace de mobilitémaximal. Limitede la nappealluviale (étude vers -a limitede la nappealluviale mentionnée dans le SAGEest la limitede la nappecontenue dans les alluvionsde Moulinde 1975et 85) 'Allieri= massesd'eau Alluvions aller aval et allieramont ). Cettedéfinition est à oréciserdans la disoosition411. La gestionde l'occupationdes sols sur l'emprisede la nappealluviale de I'Alliern'est pas prévuedirectement dans lç Gestionde I'occupationdu sol sur I'emprise SAGË.Le SAGËmentionne uniquement la réduction/limitationdes pressionset risques(agricultures, gravières) avec de la nappe une nécessairecompatibilité (disposition 423). Améliorationdu suivi -'améliorationdu suiviest orévuedans différentes disoositions /411. 412 et 813 oour Ia dvnamiouefluviale) Aménagementdes ouvragesexistants I n'est pas prêvu dans le SAGE de recommanderdes aménagementssur des ouvrages existants.Cette proposition 4 FRANE (ponts...) :ourraêtre soumiseà la CLE. Comblementdes carrièresoar orélèvements -e choixde la CLE a été de respecterles orientationsdes schémades carières récemmentvalidés par les Préfets; En dansalluvions anciennes / protectionde ces lffet le SAGEne remetpas en câuseI'exploitation de granulatsdans les alluvionsanciennes. alluvions Améliorationdes connaissancessur état des r/érifiersi des élémentsexistent dans les études spécifiquespour compléterl'état des lieux - Recherche lieux lomblémentairede donnéesdans le cadrede la miseen æuvredu SAGE. Revoiri'espace de mobilitéopiimai de I'Aiiier -e SAGEAllier aval intégreraies éiudesqui serontconeiuites sur ies SAGE Sioule,Aiagnon et Dore,concemant la à la confluenceDore et Sioule. 'léfinitinn de l'csnana de mnhilité Financementoeu ambitieux Àvis FRANE - sans réponse

Remarquepertinente dans un objectifd'inventaire - Le SAGErecommande le portagedes inventairesde zones Inventairedes zones humides sur tout le humidespar les structuresporteuses des contratsterritoriaux. La CLE a choisit pour minimiserles coût de ces tenitoirecommunai. inventairesde recommanderl'inventaire prêcis des zoneshumides au minimasur les zonesprojetées "urbanisabies" dansle cadredes PLU. - Vérifierla comoatibilitédu SAGEavec le SDAGE- les movensfinanciers sont affichés.

5 CEN Auvergne -a êLE a choisitde ne pas apporterde règlesupplémentaire par rapportà la règlementationnationale, car la Pas de règlesur les zones humides. 'églementationnationale et le SDAGE ont été considéréscomme suffisants - ll sera proposé à la CLE de renforcerla mmmunicationsur les zones humidesen phase de mise en ceuvre.

La définitiondes ZHIÊPet ZSGE peu En effet,la CLE ne s'estpa fixé d'objectifdanÊ la définitionde ZHIEPet ZSGE sur le bassinAllier aval. Ces définitions encouragéedans le SAGË. resteseulement une opportunité. Enjeu 3 : mis en avant de I'intérêtdes La miceen avantde I'intérêtdes prairiesn'a pas é1éretenue par la CLE lors de la etratégie. nrairieq nnr rr la rcclar rrafinn dcs 7FC Enjeu5 : encouragerla préservationdes Pas de valorisationde cette pratique ; le SAGE insiste sur la préservationet la restaurationdes ripisylveset bandes nrairioc oeenriÂoc À r rna qvr,anfirrit nrc*nrala ! ,rv vtv Puvlvt végétaliséesdans les dispositions515, 516. comme zône 1âmt-)on Enjeu7 : mentionnerles formations En effet,la disposition713 ne traiteque des boisementset doncexclut le voletagricole - La conciliationdes pratiques o CEN Alller herbeusesnaturelles ; manque mentiondes agricoleset des objectifsdu SAGEest mentionnéedans les différentesdispositions du PAGD (pollutionsdiffuses, pratiquesag ricoles favorabl es piétinementdes b'ergespar le bétail,bandes végétalisées ..") \jouterla trameprairiale dans la Trame /^4^ -+ Dl^,.^ La définilion des trames bleues et vertes ne rentre Dasdans le cadre du SAGE.

\mbitionfaible sur les zoneshumides. Choixde la CLE d'avoiruna ambitionfaible sur les zones humides. lecul importantdans la protectiondes Alluvionsanciennes concernées par les mesure$en lien avecla nappealluviâle, mais choix de la CLF de ne pas y rappesalluviales car les alluvionsanciennes interdireles extractions(calage de l'ambitionde la CLE sur les schémasde canièresrécemment validés par les re sont 0âs concernées Préfets)- lemise en cause de l'intérêt et de Positionpartisane ; les seruicesde l'Etatdoivent vérifier la quâlitédes étudesavant de délivrerles autorisations. FDEN 63 ei 'objectivitédes étudesdemandêes â la 7et8 Difficilede retenircel argumentaire. AEPANA )423. rlombreusesréférences sur le fait oue la Les altérationsde la ressourcesont égalementmentionnées dans le diagnosticdu SAGE. essource est protéqée ]AGE porteatteinte au principede la loi sur toat Positionpartisane. Difficile de retenircet argumentaire. I

Réponsesde la CLE du $AGE Allier âvsl êtlx otservations in$Çritesdans le prorè$ verbal de ls cômmissiond'ênquête. 9t12 'TS Réponsesde la CL-Hsun les nbser',/atiorisr"ecueiliies lnrs de i'*nquête publiqueouverte du janrvierau 27 février ?û1Ssur ls prcietdu SA#ffi du hassinAllier avaf. ffi SAffiH $.ll,fâH ir'-iÂi Les réponses de la CLE sont dans l'ordre des observations du procès verbal.

Observations à traitées Réponsede la CLE

Délimitationde I'espacede mobilitéootimal de I'Allier:La préservationet la restaurâtionde la dynamiquefluviale de l'Alfier est un enjeufort du bassinAllier aval. Le diagnosticdu bassina rêvéléun dysfonctionnementimportant du transportsédimentaire de la rivièreAtlier. Ainsi, la CLE a définiten 2008 des espacesde mobilitémaximal et optimal qui ont été travailléset validéspar la CLE lors du diagnostic,de la stratégie,et lor$de la rédactiondu SAGE. La définiiionde l'espacede mobilitéoptimal s'est faite suite à une étijdÊappliquant la méthodologienationale poiir définir Délimitationde l'espacede mobilitéoptimal / les espacesde mobilitédes fleuveset eoursd'eau. Les membresde la CLE,dont fait partiI'UNICEM, ont toujoursété compatibilitéavec les ICPE. informésdes cartographiesprésentes dans le SAGE.ll sera nécessaired'intégrer dans le plan de communicationde la ÇLE lors de la phasede miseen æuvre une informationsur la méthodede définitionI ajustementde I'espacede mobilitéoptimal. ConcemAnt la comnatibilltéavec les autorisatiolçlËPE: De nombreusesautorisations n'ont pas été prisesen æmpte - c'estun choixméthodologique. La règlen'3 ne s'appliquepâs aux ouvragesde protectionautorisés antérieurementà l'arêté d'approbationdu SAGE.

Le SAGEs'impose au schémades carrièresdans un rapportde compatibilité.Volonté de la CLE de ne pas entraîner lohérence avec les schémas de canières. une modificationdes schémasdes carrièresrécemment validés'par les Préfets.

)récisericompléterla règle3 pour bien nsisterque I'entretien,le maintiendes La règlene concerneque les nouveâuxouvrages ; la dispûsition812 n'interditpas la reconstructionmais recommande luvragesexistants dans I'espace de mobilité qu'ellesoit justifiée (pas de portéejuridique - précisionapportée dans le guided'application du SAGE). rptimal est possible. I UNICEM Vodificatlon rédaction D, 91 Cette modification sera oroFosée à la CLE, )831 : portéede l'étudeên cours; légitimité L'étudequi est actuellementmenée par la DREALAuvergne n'a pas de poftéejuridique ; ce ne sont que des 'les nrescrintinns hrÂ.ônicâ1iônc Maftrise d'ouvrage CEREMA et Le CEREMA n'est pas identifié comme seul maitrise d'ouvrage. Les préconisations du point 3 de la disposition 831 nrécônisâtiôns mncrrrnênt totrtes les interventions sur oravières : le SAGE souhaite ou'il en soit ainsi mais sans I'imposer.

Flou sur la portéedes dispositions l'est préciséen préambulep. 123- A compléterpar un codecouleur dans le texte.

Ne pas appliquercette disposition pour les gravièresen cours/ difficileà appliquerpour -a disposilion 831 vise que les anciennes gravières. les anciennesipas dit explicitementcians le courrierde I'UNICËM) Définiret encadrerles gestiondes extractionsde granulatsalluvionnaires est ressorticomme un oblectifimportant dans Retirerla disposition831 ou proposition. lâ stratégiedu SAGE"Nous ne pouvonspas répondrefavorablement à cettedemande. lVodification du titre Cette modificationsera proposéeà la CLE Retirerla mention" propriétairedes sites"en Le SAGEne ccnt!'aintpas les interventionssurles sitesaujout'd'hui plus exploités; la miseen æuvre Cesmesures page 337 dans la maîtrised'ouvrage I préconiséesne pôurra êffectivementse faire que $ur la base du volonlariat. maîtrised'ouvrage publique.

Vodificationde rédactiondu point3 Cettomodification sera proposéeà la CLE.

Vodificationde l'espacede mobilitéoptimal: -fnr Cette modificationsera propbséeà la CLE. M Snr rwianat rvnh,cian ia la narriÀta rla rnr 10 (vrcAT) y'olontariatet financementspublics pour les Le SAGE ne remet pâs en cause les décisionsadministratives antérieures à l'arrêté d'approbationdu SAGE. La mise rctionsde la disoosition831 en @uvre des mesurespréconisées ne pourra effectivementse faire que sur la base du volontariat. Vodilicationde I'espacede mobilitégptimal Cettemodification serâ proposêeà la CLE.Lâ CLE a la volontéde ne pas remettreen causeles décisionsantérieures 11 CERF :our tenir compte arrêté ICPË (retour êr à l'arrêtéd'approbation du SAGE. rersionde 2013) M. Dony les {GIE VodificationI'espace de mobilitéôptimal à St 14 enroDes qu let're modificaîion sera propusée à la CLË. )ourçainsur Sioule. I 13 M. Ghevalier Pas de rétroactivitédes rèqles SAGEn'imoose rierr': reioint le ouestionnementsur la maîtrised'ouvraqe sur les anciennesqravières à risque. Remarqueproche de cellede I'UNICÊM; SAS Sablière sur I'espacede mobilitéoptimal de I'Allier, 14 :t. la répJnsede la CLË aux obs€rvation$de I'UNICEM. Avignon sur la demandede supprimerla disposition 83. sur la oortéedes disoositions. I sera proposé â ia eLË, cie clârifier les dispositions et la règle de l'enjeu I dans le plan rje communication cie la CLE 15 M. Ray ors de la Dhase de mise en ceuvre. Inouiétudeslrefusdes enrochements. 16 M. Laudricaux La SAGEn'impose pas la suppressiondes enrochements- Dansla dispoeition821, I'effacementdes protoctions nécessitel'accord des propriétaires/gestionnaireset un diagnoslicsystématique des enjeux. 17 M. Mltton Intérêtdes enrochements,pourquoi les 18 Mme Picherit ntérêtd'une mise â jour régulièredu cadastreen bordsd'Allier (cf. réponse M. Fournieret M. Montclos) surfacesnouvelles restent dans le DPF Actionsen concertâtion,coût élevé de 1q M. Journet 3ui, concertationindispensable (plus-value du SAGE ; animation/concertation) orotectiondes biens Défavorableà la restaurationde la La préservationet la restaurationde la dynamiquefluviale de I'Allierest un enjeufort du bassinAllier aval. Le 20 M. Aurambout dvnamiouefluviale diaonosticdu bassina révéléun dvsfonctionnementimponant du transportsédimentaire de la rivièreAllier"

RénonsescJa la ÇLÊ du $AGË Allier aval aux cbssrvaliunsilrscril*:s dans le grrccrloverbai ds l* Ëûmnlissiûnd'ênquête" 10t12 Répcns*s de la f,LH sur lcs ohs*rvati**rsrecu*il[i*s lc]r*de l'*nqu*t* publiqr:e*uverte du 1Sjanvier r:u ?? février f û1S s{ir fe pr*j*t du SAGffiiJr* ba**in Aili*r æval. ffif''*'fr'ft Les réponsesde la CLE sontdans l'ordredes observationsdu orocèsverbal

Observationsà traltées Réponsede la GLE

ranneâux photovoltâique en dehors de ntèrêtde I'accompagnementet de I'anticipationprévue à la disposition813 point3. Si â termele postede livraison 'espace 21 M. Gudin de mobilité, mais point de livraison Jevaitfaire l'objetd'une protection (ex r enrochement),elle ne seraitpossible que si I'ouvrageest déclaréd'intérêt Jans l'espace de mobilité. 3énéral,d'utilité publique ou lié à la sécuritépublique. fpposé au désenrochement,ou bien 22 M, Bourdier -'indemnisationdes surfacesperdues intégrés point ndemnisationdes surfacesperdues est dans la disposition821 au 2 Opposéau désenrochement,0u biËn Le diagnosticprévu à la disposition821 doit fairel'état des pourra 23 M. Faure indemnisationdes surfacesperdues, contrainteset enjeux; le désenrochementne se faire,dans un premiertempsr que des comDensationoour les éouinements sur secteursactifs et sans enjeuxforts. Opposéau désenrochement,ou bien 24 M. Faure cf, réponse ci-dessus. indemnisationdes surfacesoerdues Inquiétudesur les sorvitudesinscrites à la L'instaurationde servitude(avec indemnité) qu'unepossibilité D811 n'est dans le SAGE Si I'ouvrage est un général, protection possible Mentionde la fibre en bordurede l'Allier aménagement d'intérêt sa est en se conformant à la règle n'3 du rèqlement du SAGE. Réduclionde l'espacede mobilitéoptimal au La délimitationde l'espacede mobilitéoptimal est validépar la CLË commeI'espace à préserverpour la mobilitéde domainenublic fl uviale. I'Allier" 25 M da Mnntalnc Fassibilitéde restâurerles protection Le SAGE permetla restauration protections existantes des exisiantes. Possibilitéde mettreen placedes La règle n"3 s'appligue dans l'espace de mobilité protection possible protectionspréventives (ou non)en dehors optimal, la des aménagements est s'ils sont d'intérêt général, publique pubtique. du DPF. d'utilité ou intéressant la sécurité

Interdictionde suppressiondes protections -'interdictionde la suppressiondes protectionsde berges,va à I'encontredes objectifsdu SAGE.

Consol idation des protections La consolidation des protections de berges existantes et légales est possible dans le cadre du SAGE Sous évaluation de I'indemnité foncière de la Le diagnosticdemandé par le SAGEen préalableâ touteintervention, permettra d'évaluer le préiudiceet donc fB11 - Indemnité que si préiudice d'indemniseren conséquence. M ot Mme Pérouse 26 Mauvaiseinterprétation de la dispo 1A-3du La disposition1A-3 du SDAGE2010-2015 concernê les nouveauxtravaux, pas la restaurâtion de Montclos de la dynamique qDAGF naturelle. 'l Sollicitationuniquement des orooriétaires Le diagnosticprévu dans la disposition821 du point vise à identifierles enjeuxot la plus-valueattendue des travaux: nitoyens(D821) si plusieurspropriétaires /exploitants sont concernés,ils serontassociés. \écessaireassociation, mobilisation des 26a M, Laurent Associationde la professionagricole prévue (cf. disposition - rcteursaqdcoles sur la mobilité 112 Commissiondynamique fluviale et nappealluviale) La mesurecompensatoire concernant les aménagementsdu contournement pas )pposé à la mesurocompensatoire du de Vichyne rentrê dans le cadredu SAGE.La CLE n'a pas été sollicitéÊpour proiet rontournementde Vichyà Arvermes émettreun avis sur le et les mesurescompensatoires du projetde 27 M l:cah contournementde Vichv. lontre l'enlèvemênt dês enrochements [-e SAGE permet lâ re$tauration dês Frotections existantes. Le SAGEn'interdit pas I'accèsdes bétailsau coursd'eau. Le SAGEdemande nterdirel'accès au coursd'eau = stupide simplement,là où c'estnécessaire. d'améliorerla situation. Pas d'avissur ce point danssa miseen æuvre,le SAGEvise les propriétaires 27-28 MM Judet. Jacob Proposition cartographique ; à accompagner et les maîtres d'ouvragedans la reslaurationde la dynamiquefluviale (cf, disposition 821) Si cettemesure compensatoire est définitdans un projet par question 2A M, Judet Cr:ntre désenrochêment Avermes autorisé l'administration,ls du dérochement cl'Avermesn'est pas du ressortdu SAGÊ,qui n'imposerien sur ce point. Contredésenrochement l. rêponse précêdente à M. Judet. 29 M. Comereau Le SAGEn'interdit pas I'accèsdes bétailsau coursd'eau. Le Interdiction d'abreuvement SAGEdemande simplement, là où c'estnécessaire, d'améliorerla situation.

30 M. Rambert Opposé au désenrochement :f. réponseprécédente à M. Judet.

Les coutsâfTiÇhé$ dâns la dispôsition821 : 2500€lha sontfâibles (ne couvrentpas les louts affichésdans la disposifib;821et le montantde l'étude validéspâr la CLF lors de lâ rédactiondu SAGË. infrastructures). 31 EARL du Vigier t Remarqueconcernant l'évolution de I'Allierà Si les équipementssont horsde I'espacede mobilitéoptimal de l'Alier, alorsces équipementspeuvent être protégés- rroximitédu lieu-dit les GrandsMériers / Pasd'obLigation de suppressiondos protectionsde bergepar le SAGE.L'enjeu B du SAGEa été choisitpar la CLE :ppositionà I'enjeuI $uiteau diagnosticdu bassinAllier aval.

Av$s" cle l';r*"ct,*:it+ envir*nnem**!*l*: pliitciÊaies reryi*i*(r*s Remarquesà traiter Réponse de la CLE

Le résuménon Résuménon techniquepeu accessible techniqueest accessibledans le rapportenvironnemental- Ce n'estune obligationde présenterle réeurnéncn techniquedans un dccumentè pa* du rûpportenvircnnernental.

{bsencede listede massesd'eau avec demande de dérogationreportant l'objectif pourrà pour le bon état La listedes massesd'eau être miseen annexê compléterles élémentsde la o.20.

Au momentdu diagnostic,aucune donnée sur I'assainissementnon - préciser Absence d'une évaluation de la proportion des assainissements non collectifs collectifétait disponible A si la donnée est disponible,car cê$ donnéesne sontâ ce jour par portéesà connaissancede la CLE.

qbsence de précisionsur les contaminationsponctuelles (plomb, mercure, arsenic) + Acquérirdes donnéessur ce point,afin que le SAGEpuisse donner des exemplesde captagesaltérés et des lrl j.. ;ù. i_ r.;'.,i'\.! llrri/),. Ji i.ti:. !. À 1éoueneesd'altération.

3aignadesde qualitéinsuffisantes non mentionnêes(Vichy et VieilleBrioude par :xemplesont de qualitéinsuffisante) \ctualiser la donnée sur les eaux de baiqnades. rar manquerje donnéeprécise, ii seraciiîiiciie cie faire un diagnosiiccles ciégradations cies cours cj'eau liées à 'activités Dégradation liée à I'activité sylvicole sylvicoles.Mais il sera possiblede compléterles altérationspotentielles et d'identifierles territoires :oncernés.

Répûnse$ds ia C{'H du SAG8 Allier aval aux nbçeruallnnsinsorilÊs rJéin$ ie prûL:èsverbal de lâ fùrflmisstdnd'*nquête 11t12 rF* Réponsesde la CLE sur les observationsrecueillies lors de l'enquêtepublique ouverte du 19 janvier au 27 février mkrnt.. ! âû15 sur ie projetdu SAGË du bassinAllier avai' wt *Fg 5A6A Alt"ltsAvÀt Les réponsesde la CLE sont dans I'ordredes observationsdu procès verbal'

Obcervations à traitéce Réponsede la CLE

pêtite des principauxzonâges de protêctionou Sartographieà une échelle trop ll sera proposé de réâliser cette cartographieen deux cârtes. J'inventaire côniie,lessitespoUrraienteneffetêtrenommésp.70etsurtouti|yaUn Nâtura2000. Ces erreursseront Absencede cartographiedes sites N2000 rroblèmedans le tableaup.106 où n'apparaissentni les nomset ni les n'des sites :ôridéêç Absencede ta grille d'analyseayant conduit à la hiérarchisationdes enjeux Reorendrela svnthèsede l'étatdes lieux' e."-.rtérr. t" pAc,n siir ta fiasà des raooorts oroduits lors des phases des scénarioset de la qlratégig âiàdiiposition114etpréciserlesenjeuxassociés-Etabliruntableau peu explicites (dans le FAGD )écoupage des entités cohérentes ) sur le orincipede I'annexe5 du PAGD. Mauvaisecompréhension de l'avisde I'autoritéenvironnementâle ; la remarquede l'autoritéenvironnemental porte sur (64) regarddes conseilsformulés dans le sDAGÊ )ispositionstrop nombreuses au les indicateurs.Une réflexionsur les indicateurssera menéepour les rendrele plus pragmatiquepossible.

- -e dispositifdu suivi des effets environnementauxa été simplifié ot sera explicitédans le tableau de bord En trop complexe Dispositifde suivi des effets environnëmentaux :onséquence1es références indicateurs pour chaque dispositionseront modifiésainsi que I'annexeI du PAGD.

Complémentéventuel à ajouterp. 92, 93, en insistantsut "une portée"juridique ciblée sur des enjeuxprioritaires et en le règlement+ informationdans Miseen évidenceinsuffisante des 5 dispositionsà portéejuridique et des 3 règles complémentde l'existant-La justificationet la plus value des règles apparaissentdans le cadre du rapport de sYnthèse. tableaux récapitulatifset les fiches détailléesdes iuelqges incoh-rences entre les Remarquedéià priseen comptedans le projetsoumis à enquêtepublique' lisoositions plus précisément propositionsd'outils de communicationet d'études prenant peu en compteles outils En effet, les ouiils existantssont mentionnésglobalement, il sera en effet néce$$âirede rappeler existants certainsoutils comme pour les zoneshumides.

\ compléter/préciserdans l'êvaluationenvironnemental et le PAGD - Annexer la Synthèsede l'étude portant sur la définitionde l'espacede mobilitéoptimal Manquede Jynamiquefluviale au PAGD.

Jus1fierle choixde l'èspâcede mobilitéoptimal ; mieuxquantifier I'impact sur les captagêsAEP ; la règlen'3 a été rrotection I entre enrochementset écoulementpeu des captages arbitrages modifiéemais effectivement il y auraencore besoin de compensationqui èst demandépar l'applicationdu codede Exnlicites I'environnement.

Choixde la CLE de ne pas ajouterune réglernentationsupplémentaire. La réglementationnalionale et le SDAGËLoire pas règle relative aux zones humides peu justifié Choixde ne formulerde Bretagneont Étéjugé suffisantpour préserverles zoneshumides du bassinAllier aval'

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Réponses de la CLE du SAËË Allier aval aux obÈsrvations ins$ites dans io procès vèrbal ds la commission d'onquêto. 12t12 gM AilHEXE n" {6 Llheftl' Égaltt{ . Ftatlr:nltl RÉFUBLrqusFRÂNç#ss

PRÉFETDE LA REGIONAUVERGNE PRÉFETDU PUY-DE-DÔME

DrnncrroNDES Cor,r,ncuvrrÉs clermont-Ferrand,le 2 6 l,lARS4015 TTnnTTonIALES ET DB L'ENvIRoNNEMENT

Bunnlu nn TjENvTRoNNEMENT

DÉwr,opprMENTDURABLE G'GB

Affaire suivie par GérardATTIA Tél : 04 73 98 61 42 gerar d. altia@puy- de- dome.go uv. fr

Monsieur le Président.

Dans le cadre de l'enquête publique sur le projet de SAGE Allier Aval, vous sollicitez, par lettre du 24 mars 2015, un délai supplémentairepour rendre le rapport et les conclusionsmotivées de la commissiond'enquête.

Vous mettez' en avant le vaste territoire du projet concerné, son contenu particulièrementcomplexe, ainsi que les nombreusesobservations qui ont été recueillies lors des 17 permanencesde la commission.

Ainsi que vous le précisez,le rapport et les conclusiorrsdçvraienJ m'être remis le 4 avril prochain. Ce délai réglementaire vous paruît insuffisant pour procéder à une analyse pertinentede toutes les donnéesen votre possession

Compte tenu de l'avis sans objection apporté à votre demande par la maîtrise d'ouvrage du SAGE Allier Aval, il me parût possible de vous accorder, on application de l'article L 123-15 du code de l'environnement, uh délai supplémentairede quinze jours à compterdu 4 avril 2015.

Je vous prie de croire, Monsieur le Président,à l'assurancede mes sentimentsles meilleurs. t.

Pour le Préfetet par dél

Monsieur Jean-PierreGUILLAUMAFTAILLIET Présidentde la commissiond'enquête du SAGE Allier Aval La Pireyre 63 T60 EGLI SENEUVE-PRES -BILLOM

18,boulevardDesaix-63033CLERMONT-FERRAND Cedex0l-Té1.:0473986363 -Télécopieur:0473 9861 00 Intemet: http://www.puy-de-dome. gouv. fr