Numéro 26. — Dimanche i) Juillet 1911. 5 Ceulfcimes Soixante-dix-huitii me année

JOURNALFeuille Politique, Agricole, Commerciale, DI Indotnelie, Scientifique, Littéraire et d’Annonces CHEMIN DE FER..— Paris-Cherbourg : o h. 6 mat.; 8 h. 40 mat.; midi 57; S h. 46 s. expr.!. 4 h. 27 ».; 5 h. 17 a.; 8 h. ÎG s. ; 9 h. 48 s. (expr.l ; 11 b. 00 soir. RÉDACTION ET A J «glgA T IO N ABONNEMENT3 Cherbourg-Paris : ", b. id inat. 6 h. 09 mat. (expr.) ; 8 h. 31 mat.; midi 10; 25, Rue C arnot, Il Pou. U TiUe 3 Ir. 59 , Muche et limitrophe., I h.; patil el Bépirtomeei. 4 fr 50 1 h. 16 a. (expr.): 4 h. 46 a.: 5 b. 49 s. (expr.); 7 b. 51 aoir. — Dimanches et jours fois’ïJ 'Fpar jl! an en décembre. se * avance. Le, recouvrement u font une de fêtes, un train part de Cherbourg à i h. du soir pour arriver à Vaiogues à 2 h. il . Le JOURS AL DE YALOftlRpartit la Dimanche ANNONCES Valognes (ville) Barreur : départ* 5 b. 55 matin; 9 b. 40 matin; midi 55. 5 h .î5 Judiciaire*,_ la ligne y - 0 fr. 20 R'ciamftj, U ligae 0 fr. 25 ; Locale* o ù 50 eôir; 8 h. 06 s. ; (10 h. 24 soir, dimanches et fêtes . Les manuscrits non : fo n t pus rendus On peut iwiter a forfiul pour le* xnnoncea «ouvant répétée. - Le, annonce, aon* Harfleur-Valognes (ville) : 5 b. 13 mat. (de Saint-dartin); 1 b. 54 m.; Le* lettre* et mandat* concernant la t •St rtdùwtrMK* dotrai reçue* tux Bureaux du Journal, jusqu’au vendredi soir, e t i i’A re n c e de t a r Z Z l îl 14 h. $3m ; 3b. 56 *.; 7 h. 29 soir ; ;10 h. 01 dimanches et fètea^ être adre«*é* à M. le Directeur a I *p Vatogn*s. N ouvelle, » , rue Notre-Dame-d«-Victoire*, Pari* Jo u m fîS ïïto é » ® ^ * - ■— ■ m — ^ — . e, mais le ■ » -z-r— T-— r— n dés Nouvelles de la Semaine «S^ny^Sïï» uillage est exceTH laChanrbre et éùïf n V s tf tlt' aucune a l_ valeurs présentant de sérieuses garanties Comme i’argeAt,. . . «n deux, devient de lent. Les Allemands le [vent; plus d’une sion au Sénat a mis celui ci de fort man­ H faut un guide sur. A L'Allemagne, qui a<$ît envoyé là ca­ fois, ces temps deruiej plus ea plus rare, comme le crédit est nul, ieurs journaux, vaise humeur ; i! a 'y a eu aucun applau- Le Moniteur Economique et Financier, nonnière Panther, dans les eaux maro­ comme -> ce qu’on appelle les honnêtes gens ne quand ils parlaient d! ne compensation j dissement, ni pendant la lecture, ni après. caines d’Agadir, va y envoyer le croiseur pour l’Allemagne au Mai . * ruÇ de Rivoli et 17, rue du Pont-Neuf, Berlin. La situation est grave. prêtent qu’à deux et demi ou trois du cent >c. ont prononcé ; Le Sénat a ensuite adopté l’crgencê «Je journal hebdomadaire, doit le chiffre élevé par mois •>, c’est le règne des brocanteurs de le nom d’Agadir. la proposition de loi tendant à la suppres­ c e ses abonnés dix mille; à la fois à la mo­ if on signale dans le Bordelais un mou- : tout genre, prêteurs à gages, prêteurs à la petite Agadir est un port fcrnfe où aucune puis­ sion des délimitations et décide auc la veinent de protestations contre la suppres-1 -----' ■ ...... sance n’a le droit d'exercèr la police et où dicité de son prix -t. deux francs par an semaine, usuriers, Lombards. Juifs. commission qui examinera celte proposi­ pour un abonnement pris dans tous les sion des délimitations. Dans un meeting à | Contre ce9 universels maquignons, des colèr aucun trouble ne s’est produit jusqu’ici ; tion sera composée de 18 membres. Bordeaux, on a préconisé la grève des mu­ l’appel des négociants, sujets ou protégés de bureaux de poste — et à la sûreté et à la j res commencent à gronder ; dans deux jour- U a ensuite commencé la discussion du \ arieté des renseignements contenus chaque nicipalités et de l'impôt. ! naux, des théories de haine se formulent en l'Allemagne, n’est évidemment qu’un pré­ budget des colonies. texte. D’autre part, par l’accord de 1909, semaine en 28 pages de textfc. ★ M. Fallières est allé en Hollande où il j réaction contre le principe d’égalité civile et de Séance du /*■ jiu llé l. a reçu un accueil des plus cordial, accom­ ! libre concurrence proclamée par la Révolution. l’Allemagne nous a déclaré ne poursuivre pagné de fêtes et de banquets. On lit dans le dernier numéro du Régulateur : au Maroc que des intérè® économiques et Le Sénat a terminé le vote du budget «* Si l’on recherche en toutes les cau­ reconnaître nos intérêts Politiques particu­ des colonies et commencé le vote du bud­ •A L’ofticier aviateur Truclion est mort ses qui réduisent les comptoirs à la pénurie, liers ; l’envoi d’un navire de guerre dans get de l’instruction publique. des suitesd’unechuted’aéroplane à durions. CHRONIQUE^ U G R U les armées k la disette, on trouvera en dernière un port marocaïu fermé,l semble bien un' Sëance du 3 ju ille t acte politique. \ 4 Le rapide du Havre a déraillé, jeudi analyse l’indifférence aveugle des lois politiques Chemins de fer de l’Etat.-^ Fête Natio­ soir de là semaine dernière,près du Pont de a l'égard des coutumes légales des Juifs, la H y a quelques mois,un .croiseur français, Le Sénat a continué la discussion du bud­ nale du 14 Ju ille t 191 1 . — Augmentation ”Arche, par suite d’un acte criminel de grande erreur d’un gouvernement qui assimile chargé de surveiller le ‘littoral pour la get de l’instruction publique. . . ------sabotage. la personne d’un Juif k un citoyen français. répression de la contretande de guerre, M. de Lamarzelle a exposé les déplora- ! aj - , ” v«Alidité des billetsets à prix s’était arrêté dans le pot d’Agadir et le blés résultats des programmes de 190°. M. réduits. — A 1 occasion------de la- .Fête Nationale,Natic ★ On a vivement manifesté, à Troyes, » La Constitution française, si on l’interprète Ribot les a défendus. les coupons ue ^ retour des...... billets...... à prix ré- contre les retraites ouvrières. bien, exclut formellement les Juifs du droit do commandant ayant fait ai pacha une sim­ ple visite de courtoisie, u certain nombre M. Charles Dupuy. a déploré que les en­ duits, désignés ci-après, délivrés, du 6 au cité, car elle n’accorde ce droit qu’aux individus ■■ • juillet, par les gares du réseau de l'Etat -A L’aviateur Yédrines a gagné les étapes personnels. Or, uu Juif n’est point un individu de journaux germaniques protestèrent avec seignements se concentrent de plus rn Londres-Douvres, et Douvres Calais. énergie contre ce qu’ils c nsidéraient com­ plus entre les mains de l’Etat. ■ancien réseau de l’Ouest) à destination de personnel ; il est, au contraire, ainsi qu’un ba-, ce reseau, seront acceptés jusqu’au mardi it Guillaume 11 est parti pour la Norvège, nian, une partie inséparable d’un individu col­ me une violation llagranh. de l’acte d’Algé- Séances du 4 juillet 1S juillet inclusivement : où il va faire une croisière de quinze jours. lectif. Depuis la Révolution, le Français est cha­ siras. On voit que cet ade, dont les Alle­ Le Sénat a consacré les deux séances de 1“ Billets de Bains de Mer (valables nor­ que jour exposé k traiter avec un Juif pour son mands ont toujours été àppareinment les ce jour à la discussion du budget de l’ins­ malement 3 et 4 jours. ; if Pour répondre aux mesures militaires défenseurs passionnés, n«$ semble pas les turques, le Monténégro mobilise. commerce ou pour son ménage, sans qu’il ait truction publique. S’’ Billets d’aller et retour ordinaires aucun moyen de s’avertir que ce n ’est pas avec préoccuper beaucoup aujourd’hui. M. Le Provost de Launay a critiqué la .grandes lignes' ; ★ La reine douairière Maria Pia, de Por­ un homme qu’il traite, mais avec un ennemi, tugal, princesse de Savoie, est décédée à distribution excessive des palmes académi­ 3° Billets d’excursion au Mont Saint-Mi­ dont l’honneur est invariablement circonscrit ques ; depuis dix ans on en a distribué chel ; Florence, ou elle s’était retirée depuis la dans le cercle de ses frères en observance. révolution. L’inapplicable Loi 112.000, dont 15.000 en 1907. 4° Biilets d’e$eursion «le Paris et de Le Juif, cependant, en est encore réduit Séance du Ù ju ille t Rouen au Havre, avec trajet en bateau aux spéculations basses et aux trafics infé­ C’est lundi dernier, 3 juillet, qu’entrait en entre Rouen et Le Havre ; rieurs. Il n’a pas, comme aujourd’hui, la application la loi dite des Retraite s ouvriè­ M. Raoul Ancel a posé une question au 5° Billets d'excursion à Huelgoar. direction de nos affaires. C’est ce qui donne res et paysannes. En vain la démonstration gouvernement, à propos des actes récents, Lu outre, les billets d’aller et retour or­ La République Consulaire à la corruption du Directoire un caractère a été faite que cette ^retendue réforme et quasi-quotidiens de sabotage des voies dinaires, délivrés par les gares du réseau un peu différent de la corruption présente. était inapplicable, et à té V point inapplica­ ferrées. de 1 Etat (ancien réseau de l’Ouest), poul­ L’effroyable anarchie au milieu de la­ Je m’étonne même que Validai n’ait point ble que le gouvernement a dû s’engager à Le .Sénat a ensuite commencé l’examen ies gares des réseaux de l’Etat (ancien ^ et quelle la France sé débat présente tant d’a­ noté ce point dans le livre qu’il a publié sur la reviser sur des points essentiels ; en de la loi de xinauces par les articles relatifs d Orléans, ou réciproquement, auront leur nalogie avec la situation telle qu’elle était le Dix-huit Brumaire. 11 aurait été digne de vain il a été prouvé qua' L’immense majo­ aux chemins de fer de l’Etat, qui ont été duree de validité prolongée dans les mêmes à la lia-du Directoire, que la déclaration lui rendre justice, même au Directoire. rité des assujettis ne voulait pas de cette adoptés. conditions que les billets indiqués ci-dessus» faite par le prince.Victor-Napoléon, dans Il n’y a rien qui soit antinational dans les loi bâclée, qui comporte une persécution Séance du (Pjuillet presque journalière du salarié et de son Postes et télégraphes. — Avis. — A une interview, a excité quelque intérêt. orgies du Directoire. Cést de la boue bien Le Sénat a rejeté tous les articles aug­ partir du lrr août prochain, une recette des République consulaire... la France ne tient française, qui pue sans cesse, mais qui n’em­ employeur ; malgré cette; opposition des mentant les droits successoraux. postes, télégraphes et téléphones sera pas beaucoup à la République, mais elle poisonne pas et n’aspbvxie pas un pays intéressés la loi va fonctionner. Et il est à créée à DonviUe-les-Bains. aimerait bien avoir le Consul, surtout si ce comme la boue cosmopolite d’aujourd’hui. eraindre qu’elle ne déchaîne la plus formi-, La circonscription postale de ce nouveau consul était un homme de génie comme Ce gouvernement de voleurs, de concus­ dabie guerre sociale à laquelle nous ayons NOUVELLES RELIGIEUSES Napoléon 1er. encore assisté. bureau comprendra les communes de Rrc- sionnaires et de prévaricateurs ne corrompt Nominations. — M. Lair.é, vicaire à Vil­ vuie et de Longueville. « La France, dit le prince Victor, ne veut point la France dans son essence comme-le Les ouvriers,en effet,ne :veulent pas de ce pas de maître, mais elle voudrait un chef :>. nouvel impôt prélevé sur les salaires et re­ ledieu, est nommé vicaire à Valognes. L adresse des correspondances devra, à gouvernement actuel, il ne cherche point à M. Lequertier, vicaire à Barneville, est partir de la date ci-dessus indiquée, être Un chef, généralement, devint vite un maî­ atteindre la France dans son idéal, dans fusent de se conformer aux prescriptions rédigée comme suit : tre, précisément -parce que les qualités et de la loi. Ceux qui ont touché des' livrets nommé vicaire à . son patriotisme, dans sa fierté de nation, . M. du Mesnildot, jeune prêtre, est nommé M. X... propriétaire à Donville-les-Bains les circonstances l’avaient mis au premier > dans tout ce qui constitue l’âme d’un de retraite entendent n’y apposer aucun vicaire à Barneville. iMacçhe). rang et l’avaient désigné comme un chef, j peuple- timbre, et vont jusqu'à les détruire. C’est M. \..., cultivateur à Brévilie, ou Lon­ Tel n’est pas.ia cas du prince Victor-Napo- j Malgré u quelques t ^ défaites______en Allemagne-eto___ d’ailleurs avec ces livrets^que les ouvriers d’abstinence. — s. E. , le gueville par Don v i 1 i e-1 es-B ai ns - (). poléor. ; il n’a pas fait la campagne d'Italie ; en Italie, Ta France reste la terreur île* Î’Eu- de Lorient se promettent" de faire un feu de Cardinal-Archevêque de Lyon a communi­ il ne revient pas d’Egypte ; il n’a à son ac- I rope et n’est point bafouée et méprisé*meprisee joie pour fêter le M Juillèt. Réunis mardi à qué à Monseigneur l’Evêque un télégram­ Avis. — En raison de l’extension de la tif ni Lodi, ni Castiglione, ni les Pyramides. 1 «««»«•«comme aujourd’hui. nIl n'y a- -pas - - de-i~ Pelle-r».n_ la Bourse du Travail, ils ont voté un ordre me du Vatican accordant’dispense de l’abs­ fièvre- aphteuse, le concours spécial qui Puisqu’il ne se réclame pas du principe tan pour détruire notre marine. 11 n’y a du jour invitant la classe ouvrière à se tinence à toute la France pour le vendredi devait avoir lieu à Gournay, du 13 au 17 d’hérédité, pourquoi serait-il un chef plus point de Delcassé, pour conclure, au grand réunir, à l’occasion de la fête nationale, sur 14 juillet. juillet, est ajourné à une date ultérieure. qu’un autre ? avantage de l’Angleterre, des traités qui la place d’Alsace Lorraine pour brûler les Le rôle de sauveur de la République est sont de véritables trahisons. livrets de retraite. d’ailleurs, dans les traditions. C’est pour Les fournisseurs des armées exigent de Que d’arrestations en perspective ! Les Pour augmenter ses Revenus VALOGNES sauver la République que Bonaparte a fait si nombreux bénéfices, ils distribuent aux agents n’y suffiront plus et lés prisons se­ le Dix-liuit Brumaire. hommes politiques tant de commissions et ront trop étroites si le gouvernement tente A mesure que l'intérêt de l’argoni dimi­ Paroisse Saint-Malo. — La paroisse Quant au mécanisme de l’opération de de pots-de-vin, que les soldats manquent de d’appliquer les pénalités imaginées comme nue, les exigences de la vie deviennent nlus Saint-Malo est enfin dotée «l’un troisième Brumaire, à l’instrumentation proprement tout, de soutiers et même de tabac. 1! y a sanction. grandes. vicaire. dite, il suffit encore de regarder autour de une pipe pour toute une compagnie et les Aussi, de plus en plus nombreux sont M. l’abbé Lais né, actuellement vicaire à nous pour voir comment tout s’est passé. grenadiers se la passent de main en main ceux qui, afin d’augmenter l’aisance do leur Villedieu, nous arrive en effet comme- Le ministère de Défense républicaine a été et aspirent une bouffée à tour de rôle. Chronique Parlementaire vieillesse, recherchent les placements second vicaire. identiquement la copie, le décalque de l'o­ En revanche, on n'imagine môme pas viagers. Mais il est indispensable de bien M. l’abbé Laisné nest pas un inconnu pération de Brumaire. Waldeck avait cer­ alors ce que pourrait être un sans-pairie. CHAMBRE DES DÉPUTÉS placer sa confiance en s’adressant à une pour les Valognais, qui, déjà, avaient ap­ Les Directeurs et les Conseils glorilient Compagnie qui offre toutes .les garanties précié l’aménité de son caractère pendant tainement relu cet épisode avant de se dé­ Séance du 30 juin cider. et il s’était évidemment inspiré de la l’armée en toute circonstance et, dans de comme, la Com pagnie d ’A ssnrances G éné­ son vicariat à Alleaumé. façon dont Bonaparte avait agi au Dix-liuit pompeuses harangues, renouvelées de l’an­ Le nouveau ministère s’est présenté à la rales sur la Vie (entreprise privée assujet­ Nous lui exprimons nos sincères félicita­ Brum aire. cienne Rome, s’efforcent de développer Chambre et M. Caillaux a lu la déclaration tie au contrôle de l’E»at), 87, rue de Riche­ tions pour son retour parmi nous et nos Bonaparte s'était assuré du concours des dans les coeurs des sentiments d’héroïsme ministérielle. lieu r à Paris. meilleurs vœux. Anciens qui, pareils à nos caïm ans repus, ne et de dévouement. D’après cette déclaration, le ministère Fondée en 1319, cette Société est la plus , iFête U4llulnationale du 14 juillet 1911. 'demandaient qu’à digérer en paix. Dans la C’est ce qui explique que tout soit si vite supprimera les délimitations pour les rem­ ancienne des Compagnies similaires Fonds Programme ; nuit du 17 au i8 brumaire, un des membres rentré dans l’ordre dès que Bonaparte fut placer par une loi réprimant la fraude, ad­ de garantie : 915 millions entièrement i Jeudi 13 juillet à 7 h- 1/2 du soir, la son­ Hilluents des Anciens. Cornet, lit envoyer au pouvoir et que la France ait connu pen­ met la réforme électorale, améliorera la réalises, dépassant de 250 millions celui net •ie des • cloches - - ’ annoncera la fête. dos lettres de convocation à ses collègues, dant les années du Consulat une des plus loi sur les retraites ouvrières et parle de la de toute autre Compagnie française. A 9 heures, place Vicq-d’Azir,* concert pour sept heures du matin. belles périodes de son histoire. défense de l’école laïque, de l’impôt sur le La Compagnio d’Assurances Générales par la musique municipale. Quand les Anciens arrivèrent, un peu Il est bien plus facile de donner des sou­ revenu, du statut des fonctionnaires, des sur la Vie paie annuellement plus de 52 A 10 heures, retraite aux fiamheaux. — alourdis par le sommeil, Cornet leur ra­ liers et du tabac à des soldats que de leur cheminots révoqués et enfin du budget en millions d’arrérages soit, à elle seul. littéraire : départ, place Vicq-d’Azir, rues rendre la foi et la conliance en eux-mêmes, promettant des économies. conta qu’un affreux complet était préparé l°ateS ‘eS C0" pJS”ies : ÿ s Uelisïouses, siint-Malo, 'Carnot', OR, contre la République et qu’il fallait à tout lorsque l’on a pris à tâche de les démorali­ La Chambre a ensuite discuté les inter­ prix la sauver. ser, comme font fait les organisateurs de pellations de M. Buisson, sur la réforme .Serboirg,'epiLee d - Æ ' k Si le décret de translation n’était pas la campagne dreyfusarde et comme ont électorale ; de M. Driant, sur le haut com­ mande adressée à M. LEBRUN, A^ent Prin­ teau, rues Thiers, Binguet, rentrée, à la prononcé, disait-il, la République aurait continué à le faire les Blôcards. mandement ; de M. Bedouce, sur la réinté­ cipal, 48, rue Montebello, à Cherbourg. mairie. cessé d’exister, et son squelette serait entre Malgré tout, la situation de la France à la gration des cheminots révoqués, et de M. Vendredi 14 juillet, à 5 heures du matin, les mains des vautours qui s’en dispute­ tin du Directoire offre tant de points de res­ Veillât, sur la politique générale. grandes sonneries de cloches et salves raient ies membres décharnés. >» semblance avec la situation actuelle que Ces interpellations sont closes par un or­ Tout s’arrange à Cherbourg d'artillerie. Régnier vint à la rescousse et fit voter ceux qui aspirent au pouvoir ont le droit dre du jour de confiance adopté par 367 A 6 heures, place du Château, départ de «leux décrets, l’un transférant les Conseils à d’espérer que le jour est proche. voix contre 173. Les difficultés dont la solution est la plus ; ^ G(>mPagnie de Sapeur-Pompiers,de la Mu- Saint-Cloud, l'autre nommant le général ■ Il faut en finir. Comment cela linira-t- Séance du 3 ju ille t urgente sont celles qui intéressent la santé ' si(lue, municipale^ et de La Valognaisc Bonaparte commandant de l’armée de Pa­ ii ? -> Tels sont les propos qu'on entend de j publique ; voici, définitivement établi, un pour le tir à la cible au stand de La Valo- ris, avec mission de veiller sur la Répu­ M. de Boury a posé une question au mi­ tous côtés et qui résument l’opinion géné- ; nistre des travaux publics au sujet des actes moyen de les résoudre. gnaise. Un tir civil aura Heu s’il se pré­ blique. raie. de sabotage commis sur les voies ferrées. Le 17 octobre 190G, M“« Guiédeville, 65, sente des amateurs.* Bonaparte avait, pour ce matin-là, convo­ Quand un peuple en est là, tout est possi- rue du Roule, à Cherbourg, nous disait': A 8 heures, au Bureau de bienfaisance, qué à son hôtel de la rue Chantereine tous La Chambre a voté l’institution d’une mé- ble, et ce qui, il y a quinze ans, eut paru j q » commémorative pour les anciens Ie Quand les douleurs de reins me prenaient, distribution extraordinaire de pain au pau­ les généraux présents à Paris, sous pré­ invraisemblable et chimérique peut par- ; 1 je ne pouvais faire un mouvement sans vres de la commune. texte de passer une revue : il les harangua, com battants de 1870*1871. faitement se réaliser demain... La Chambre a continué la discusion de la souffrir. J avais aussi des éblouissements et A 3 heures, place du Château, revue de les enjôla, les hypnotisa. Il se mit alors à Edouard Drcmont. des frissons, ma respiration était difficile la Compagnie de sapeurs-pompiers et de leur tête et se rendit aux Tuileries pour y réforme électorale. Le scrutin de liste avec [He Lu Libre Parole). représentation des minorités a été adopté Je me désolais, car cela durait depuis La Valognaise ; distribution des prix aux prêter serment et déclarer qu'il était prêt uix huit mois. Je lis l’essai des Pilules vainqueurs du tir à la cible. à mourir pour la République. - La Répu­ Séance du 1 juillet Foster, et, à ma grande satisfaction, A 4 heures, piace du Château, réjouis­ blique périssait, vos décrets viennent de la Les Allemands au Maroc La Chambre a continué la discussion de j éprouvais un réel soulagement au bout de sance publique ; mât de cocagne, pêche sauver, comptez sur moi.' la réforme électorale. Elle a voté les arti­ trois ou quatre jours. J’ai continué, et deux miraculeuse, baptême de tropique, tire à Paris éprouvait un tel mépris pour le guu- j Envoi d,nn navire de .c cles 4, 5, 6, 8 et 9 presque sans discussion semaines après, j’étais bien guérie. » l'oie. — De nombreux prix seront distri­ vernement ; il en avait te.lement assez ; il dans le port d'Aealir et réservé ies articles 2, 3, 7 et 10 qui don­ Le 4 décembre 1909, Mœe Guiédeville bués aux vainqueurs. préférait tellement n importe quoi a ce qui . . . , A 6 heures, banquet dans la grande salle était qu'il n’y eut mè:ne pas une protesta- Samedi, le baron de Schœn, ambassadeur neront lieu à une lutte sérieuse. ajoute Je recommande toujours les lion dams les faubourgs. Allemagne a Pans, rendait visite à M. de Elle a renvoyé à une commission de 44 ! Priâtes Foster, car depuis que j*en ai fait l’hôtel du Louvre. La souscription est de membres le projet des quatre contributions, j usage, je n’ai pins souffert du tout, s francs. qaa5 doute, l'auréole de gloire qui entou- Selves, notre nouveau ministre des Affaires A 10 heures, place du Château, grand rait !<- j^une "énéral d’Italie et d’Esvpte ' Etrangères, et lui transmettait la notitica- Deux demandes d'interpellations sur la Femmes qui souffrez de maux continuels: à toutes les puissances question du Maroc déposées par MM. Pour- | mal de dos, migraines, abattement trénéra!, feu d’artifice. Illumination générale des fut ponr beaucoup dans le succès, mais le lion suivante, faite édifices publics. signataires de l'acte d’Algésiras. «Son gou- Quei7 de Boisserin et Jaurès sont ajournées nervosité, langueur après les repas, idées senti méat qui domina, et Vandal l’a cons­ jusqu'au retour du ministre des affaires noires, ne prenez pas ces taté lui-même, éuit le désir d'en finir. v ornement, disait-il. cédant aux sollicita­ troubles, qui Louerie du 12 Juillet — Le mercredi tions répétées des maisons allemandes et étrangères parti en Hoiiande. affectent aussi bien l'homme, pour des raa- i2 juillet 19ii,joar de la foire, à 9 heures Le prince Victor reconnaît lui-méaie que par suite du 'désordre, de i’inséciirité Séances du G juillet laises féminins inévitables, car, bien que du matin, une rrrande louerie de domesti- beaucoup de choses ont changé depuis l'é­ régnant à Agadir, avait résolu d'envoyer peu s en doutent, ils annonçeni simpiement r qnes se tiendra place du Château sons les poque dé la République- consulaire. Dans sa séance du matin, la Chambre a un mauvais foDCiionnement des reins. Les .... dans ce port un navire de guerre, afin d'y ratifié une convention pour l’exploitation arbres, à côté du marché . L'emplaeement H v a deux puissances nouvelles avec rétablir l'ordre au besoin. Aussitôt cette Pilules Foster, en les remettant en bon état, sera indiqué par un poteau. lesquelles il faut compter : le Quatrième- des services postaux entre la France, les enrayent le mal dès son début ; le sang est mission accomplie, ce navire s'en irait. » Antilies et l'Amérique centrale. D^s primes de 10 fr. et de 5 fr. seront Ef2t et les Juifs. L’ambassadeur exprimait, en outre, l’es­ revivifié et alors reviennent i'énergie, le distribuées, par voie de tirage au sort, Le Quatrième-Etat n existait pas au mo­ L’après-midi, elle a poursuivi la discus­ calme et la santé. poir que le gouvernement et l'opinion fran­ sion de la réforme électorale. entre les domestiques loués sur la place et ment do Brumaire. Le Peuple était pour ia çaise ne verraient pas dans cette mesure la Toutes pharmacies. Exiger U signature qu: seront venus en faire la déclaration â Bourgeoisie une figure littéraire et en ins- M. Caillaux ayant, au cour? du débat, moindre trace d'un esprit peu amical de laissé entendre qa’il désirait rajournement - Jam es Foster ;. 3 fr. 50 la boite,*" 19 fr la mairie, accomp,'2rnés de leurs maîtres. trnment docile dont elle jouait à son aise. l'Allemagne à notre égard ; il comptait bien les six ou franco contre mandat : spéciali­ t la distribution des Les jacobins, une lois nantis, installés dans du débat, la Chambre n'a pas adopté cette primes auj-, qu'un tel acte n affecterait en rien les bon­ manière de voir et a voté la continuation. tés Foster, H. Binac. pharmacien, 23. rue l Mairie, à 2 heures tons les emplois, créés comtes -ou barons, nes relations des «Jeux pays. Saint-Ferdinand, Paris. de l’apr. s midi la ItévoiaiiûQ était finie pour longtemps M. de Selves se borna à prendre note «ie SÉNAT La Valognaise. — Tir. — Aujourd'hui < :q ce voit pas cc- qui pourrait aujourd’hui cette déclaration, en se réservant d’y faire satisfaire le Prolétariat. Séance du 30 ju in dimanche 9 juillet, de 2 h. î 2 à 3 h. du la réponse qui convient. L’abondance des m atières nous '>blige â soir, au Stand, séance de tir pour MM. les An moment du Dir- >ire, le Juif arrivait Agadir est le port ie plus méridional «lu M. Cruppi, ministre de ia justice, a lu an remettre au prochain numéro le compte- Membres honoraires et les hommes de la se’dem ent « n France Maroc sur la côte de l’Atlantique. La ville ! Sénat la déclaration ministérielle. rendu de Vaudience correctionnelle. . Compagnie de Sapeurs-Pompiers. Inspections. — M. le général, comman­ d’ensemble à mains libres (adultes) ; fumeurs, de mangefrsde\b ficelle, baiser de j Saint Sauveur-le-Vicomte, le dimanche 16 appeler son mari. Le malheureux était dant la 5' subdivision, devant passer l'ins­ h •i-i-Hs p ualleh s (pupilles); boxe (adultes la tuile ; nombreux prix. L*-s jeux sont es- j juillet, sous la présidence de Mgr Legoux, pendu à une poutre. Le corps était déjà pection de la Société, le 16 juillet après- ci pupilles) , barres fixes (pupilleset adul­ sentiellement résef’és aux jeunes gens de ! protonotaiie apostolique, froid et rigide. midi, les élèves sont priés d’assister régu­ tes; ; exercices d’assouplitstem^nt (pupilles la commune. Droifd’entrée pour les jeux : I A 10 h., graud’uiesse solennelle, célébrée La Saint Biaise. — Dimanche 9 juillet, lièrement aux séances des 9 et 10 juillet. et adultes). — Pyramides. - Poses plasti­ 0 fr. 25. Se faire inscrire chez MM. Louis par M. 1« chanoine Leprovost, curé-arebi- ques. Baudry, Léon Gréârd et M“e veuve Vastel, • pièire de Cheibourg, assemblée et fête de la Saint-Biaise. Gymnastique. — >1. , caporal au à l’Eglise. T j A partir de 6 h. 1 2 jusqu’à 8 b. 1/2 il y Attractions, jeux divers et variés, cour­ 130% ancien élève de La Valognaise. a été Cette fête sera d • inée dans la propriété ses aux tonneaux et aux ânes, tir à la cible admis à suivre les cours de l’Ecole Normale de M. Detaune. située au carrefour des Le soir, place we l’Eglise, brillant feu ; aura des messes où les pèlerins pourront réservé aux habitants de ia commune, de gymnastique de Joinville. rues de Saint-Sauveur et de l’Abattoir; elle d’artifice ; illuiui atiou du bourg. ! communier. com m eucereà 5 h 1/2. L'après-midi. à 2 h. 1/2, vêpres, sermon gobe saucisson, etc. On peut se procurer des cartes d’eutrée iT E B O una par M. le chanoine Vautier, curé de N.-Ü. Pendant les jeux, la fanfare Y Espérance, NOS ECOLES LIBRES aux libiairies de MM. Lethiuionnier.Brisset, Abbaye de M

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Partie de la ferme de la Davillerie, composée de : Couvertures Neuves SUR VAUDREVILLE & Réparations Maison d’habitation avec chambres, office, laverie avec pompe, écurie, grandes et petites étables, grange, chàrretterie, boulangerie, trottoir pavé devant les bâtiments, vaste cour, étang, petit bosquet, deux jardins, conte- nant.. » b. 43 a. 42 c. Paul TOUZARD SUR OZEVILLE Maître- Couvreur LE REMÈDE EST TROUVÉ! Le Pré de la Davillerie...... Le Grand Pré, en prairie...... Rue Satnt-Malo, 72 NE DÉSESPÉREZ DONC PLUS. VOUS TOUS OUI SOUFFREZ DÈ Le Pré de la Bulle, en prairie...... à VALOGNES, Les Aulnes, herbage...... La Grande Pièce des Aulnes, herbage...... A l’honneur de rap­ Le Clos à Pom m iers, herbage planté...... peler qu’il est à la Total de la contenance...... 5 h. 92 a. disposition des per­ de PEAU Le tout affermé 750 francs, plus un bosquet réservé. sonnes qui veulent [MALADIES ECZÉMAS , DARTRES , BOUTONS, ULCÈRES, PLAIES Vaudreville bien lui confier leur Les Pièces des Taillis ou du Bois d'Ingreville, comprenant : travail en couvertures MAUX DE JAMBES, VICES DU SANG Bois d'Ingreville, herbage planté, avec abreuvoir. 1 b. 20 a. >: neuves ou en répara­ PLUS DE BOUTE ! Ceux qui ont souffert crient : Guérison I Id. *id. id. tions. i Des milliers d attestations prouvent la reconnaissance des Malades, Id. id. id. I car là où tous les remèdes ont échoué, la guérison est obtenue par lé Id. herbage clair...... Travail de confiance Id. id...... •. Id. p r é ...... Prix Modérés Id. labour clair...... Aux Teintures Total de la contenance...... 7 b. 25 a. 03 c . TRAITEMENT NORMAND! L yonnaises Affermé 600 francs. sa ?^*«OUL terT1Ts' !es affections cutanées désignées communément sous le nom de Faculté de traiter de gré à gré avant ïAdjudication peau ont fait à juste titre le désespoir des malheureux qui en sont atteints. A L’hotellier Tantôt ce» maladies-,revotent un aspect repoussant; tantôt les démangeaisons qu elles occasionnent sont intolérables : toujours elles constituent pour l'organisme Pour visiter, s’adresser aux locataires et fermiers, et à M. Goubaux, Rue François-la- un danger très grave. avocat, rue de l’Officialilé, n°51, Valognes. Vieille, 37, Que de remèdes employés jusqu’à ce jour, mais tous, hclas! pins inefficaces les Pour tous renseignement et traiter : uns que les autres. Les uns à bases de laxatifs énergiques finissent par épuiser 1° Audit M. Goubaux ; (en face la Société 1 organisme. _cn agissant trop fréquemment sur l'intestin; d'autres à base diodure 2° A Mc Dénel, notaire, 16, rue de Wéléat, Valognes. Générale) ?JüJre„*>£?ClU/-ï similaires n'apportent qu'uiT-soulagement trompeur: car l'estomac se trouve bienuot fatigué par ('assimilation de ces médicaments: d'autres enfin sous CHERBOURG Eczém a vieux de 8 ans .orme de sirop ou élixirs, ne peuvent être pris par tous; les diabétiques car exemple humide du front et de l’oreille et D artres, malade s’a -a v e r° nt nombrcux — en su>vant un tel régime, verraient bientôt leur affection Teintures, nettoya­ guérie en 2 mois 1/2 Que de fois n avons-nous pas vu des personnes faire usage de de’puratifs et se ges en tous genres. — fâvanr1' Pnnrn,!,C HCcrnai,S ü cs,omac ,ou dc qu’elles f ’éprouvafen?Pas aup“ i vn tq • • pa,rcf quc lc rcmède quelles avaient pris était irritant et Travail soigné et ren­ quaa heu de guérir un mal il en provoquait un autre, en affaiblissant l’organisme. du chaque semaine. — nHB^