Hommage À Marcel L'herbier Cinéma • Visites 19 Mai — 15 Juin 2021

Total Page:16

File Type:pdf, Size:1020Kb

Hommage À Marcel L'herbier Cinéma • Visites 19 Mai — 15 Juin 2021 HOMMAGE À MARCEL L'HERBIER CINÉMA • VISITES 19 MAI — 15 JUIN 2021 Programmation de films muets en ciné-concert, Centre de recherche, Galerie des collections, Visites guidées, Galerie des appareils 1 PROGRAMME PROGRAMME ÉDITORIAL 19 MAI — 15 JUIN 2021 La Fondation Jérôme Seydoux-Pathé est heureuse de rouvrir ses portes avec un cycle consacré à l’œuvre muette du cinéaste d’avant-garde Marcel L’Herbier. Une formidable occasion de découvrir ses premiers films (Rose-France, Le Bercail, Le Carnaval des véri- tés) ainsi que L'Inhumaine (1924), un des chefs d’œuvre du cinéma muet. Plusieurs adap- tations de ce grand amateur de littérature figurent également au programme : L'Homme du large (1920), d’après Un drame au bord de la mer d’Honoré de Balzac, ou encore L'Argent (1928), d’après l’œuvre éponyme de Emile Zola. Seul film parlant de notre sélection, Le Bonheur (1934) sera présenté par le critique, cinéaste et écrivain Noël Herpe. En parallèle, une exposition met à l’honneur l’illustrateur de cinéma Yves Thos, qui a notamment signé les affiches des films Il bidone, Les Dents du diable, La Femme et le Pantin ou encore Spartacus. Au début de sa carrière, il travaille pour le Consortium des Arts Publicitaires puis Pilote Publicité, deux sociétés qui collaborent étroitement avec Pathé. L’exposition présente principalement des affiches, des maquettes et des documents personnels de l’artiste. Pour prolonger l’évènement, les Cinémathèques Pathé mettent en avant deux films illustrés par Yves Thos : La dolce vita (1960) de Federico Fellini et La Fièvre monte à El Pao (1959) de Luis Buñuel. Un nouveau partenariat avec l’association Kinétraces mettra en lumière, tout au long de l’année, des travaux de recherches universitaires en les associant à une projection. Ce mois-ci, Stefano Darchino aborde le personnage de Maciste, incarné par Bartolomeo Pagano, dans Maciste all'inferno (1926) de Guido Brignone. Nous inaugurons également une série de projections en lien avec la parution d’ouvrages dédiés au cinéma. Stéphanie- Emmanuelle Louis présente une séance consacrée à l’intérêt que portait Henri Langlois pour le travail de Ferdinand Zecca et Charles Pathé, suivie de la signature de son livre La Cinémathèque-Musée. Une innovation cinéphile au coeur de la patrimonialisation du cinéma en France (1944 - 1968). Enfin, la Cinémathèque16 présente une copie rare en 16 mm de L'Organiste de la Cathédrale Saint-Guy et l’activité jeune public redémarre avec La Lanterne fait son cirque, un ciné-spectacle pour petits et grands. À partir de la mi-juin, la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé poursuivra sa program- mation sur une note comique avec « Quelle comédie ! », un cycle consacré au burlesque de Charlie Chaplin, Buster Keaton et Harold Lloyd. L’équipe de la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé 1 YVES THOS, GALERIE AFFICHISTE DE CINÉMA DES COLLECTIONS 19 MAI — 17 JUIL. 2021 Fameux illustrateur de cinéma, Yves Thos a créé les affiches de La dolce vita, du Capitan, des Dents du diable, de La Femme et le Pantin, d'Il bidone ou encore de Spartacus. À partir du milieu des années 1950, qui marquent le début de sa carrière, jusqu’aux années 1980, il exprime à travers ses créations un certain esprit du cinéma. Ses talents de portrai- tiste popularisent les visages de vedettes internationales. Il illustre aussi bien des comédies que des films d’action, des intrigues policières que des fresques historiques ainsi que des péplums ou des films de capes et d’épées. « On faisait souvent appel à moi pour des films qui bougent », déclarait-il à Guillaume Boulangé et Christian Rolot, qui viennent de lui consacrer une monographie. Dire l’essentiel à travers une expression, en choisissant quelques éléments du film, synthétiser le sujet en mettant en valeur les personnages par un jeu d’échelle : Yves Thos crée des compositions fortes au service d’un marketing publicitaire de plus en plus exigeant. Dans les premières années de sa carrière, il est embauché par Publidécor, le Consortium des Arts Publicitaires puis par Pilote Publicité, deux sociétés qui travaillent étroitement avec Pathé. Il devient ensuite le colla- La dolce vita (Federico Fellini, 1960), affiche Yves Thos, borateur de Jouineau-Bourduge puis de René Ferraci. En trois Coll. Fondation Jérôme Seydoux-Pathé © Yves Thos / La Saif décennies, aux côtés de contemporains comme Jean Mascii, Léo Kouper, André Bertrand et Jacques Fourastié, il est aussi le témoin de l’évolution des techniques d’impression, qui passent de la lithographie à l'offset puis à la photocomposi- tion. Tandis que les affichistes font de plus en plus appel au photomontage, lui reste avant tout un dessinateur et un peintre. La Fondation Jérôme Seydoux-Pathé présente une sélection d’affiches créées par Yves Thos tout au long de sa carrière. Conçue par Guillaume Boulangé et Christian Rolot, cette expo- sition s’inscrit dans le parcours des expositions qui rendent hommage à l’affichiste en 2021, au Carré d’art de Nîmes, à Perpignan et à la Cinémathèque de Toulouse. Elle est organi- sée avec le concours de la collection Yves et Béatrice Thos et de l’Institut Jean Vigo. Elle présente principalement des affiches, des maquettes et des documents personnels de l’illustrateur. L’exposition bénéficie de prêts exceptionnels de la collection Yves et Béatrice Thos et de l’Institut Jean Vigo. 2 Il bidone (Federico Fellini, 1955), Collection Yves Thos © Yves Thos / La Saif Marie-Octobre (Julien Duvivier, 1959). Coll. Fondation Jérôme Seydoux-Pathé © Yves Thos / La Saif 3 Feu Mathias Pascal (Marcel L'Herbier, 1926) © Cinémathèque française L'Argent (Marcel L'Herbier, 1928) © Lobster films 4 HOMMAGE À MARCEL PROGRAMMATION L'HERBIER 19 MAI — 15 JUIN 2021 « Faire un film, c’est inventer une musique d’images, de sons, de rythmes; c’est composer des valeurs visuelles, sans aucune équivalence dans un autre art. » Marcel l’Herbier (1931) La Fondation Jérôme Seydoux-Pathé rend hommage au génie de Marcel L’Herbier. Ce « théoricien, esthète et ouvrier du Septième art », comme s’y réfère Jean Dréville, est saisi par la fièvre du cinéma alors qu’il assiste à une projection de Forfaiture (1915) de Cecil B. DeMille. En 1916, il rejoint la Section Cinématographique de l’Armée où il est en charge de la réalisation d’actualités. Revenu à Paris, L’Herbier se rat- tache à la première avant-garde cinématographique aux côtés de Louis Delluc, Germaine Dulac, Abel Gance, René Clair et Jean Epstein. Repéré par Léon Gaumont, il intègre sa société pour laquelle il tourne plusieurs longs métrages. En 1919, Marcel L’Herbier entreprend la réalisation de Rose-France, un premier essai poétique aux valeurs patriotiques. Avec L'Homme du large, il développe sa grammaire visuelle en pro- posant un montage et des cadrages inédits. Mais l’entente se détériore entre le producteur et le cinéaste et en 1921, El Dorado, tourné in situ à l’Alhambra de Grenade, cristallise leurs désaccords. L’année suivante, Marcel L’Herbier crée sa propre société de production, Cinégraphic, afin de choisir les L'Inhumaine (Marcel L'Herbier, 1924) © Lobster films projets qui le passionnent tel que l’essai expérimental de son ami et collaborateur Claude Autant-Lara (Faits-divers, 1923). Pour son premier film autoproduit, il s’intéresse à l’œuvre de Léon Tolstoï intitulée Résurrection qui n’aboutira jamais en raison de sa santé. En 1924, Marcel L’Herbier s’entoure de membres de l’avant-garde artistique pour la confection d’une « histoire féérique » mêlant arts décoratifs et futurisme : L'Inhumaine. En 1926, il collabore avec la société de produc- tion Albatros pour la transposition de l’œuvre Feu Mathias Pascal de Luigi Pirandello à l’écran. Pour son avant-dernier film muet, il transpose L'Argent d’Émile Zola (1891) dans la finance du Paris contemporain en s’installant dans le palais Brongniart. Le quotidien de ce tournage et l’ensemble de ces inventions sont évoquées dans le moyen métrage de Jean Dréville, présent sur le plateau (Autour de L'Argent, 1928). À l’avènement du cinéma sonore, Marcel L’Herbier poursuit sa carrière en s’inspirant d’ouvrages littéraires tel que Le Bonheur (1934) d’Henri Bernstein avec Gaby Morlay et Charles Boyer. Trois ans plus tard, il orchestre un remake de l’œuvre à l’origine de son exaltation cinématographique, Forfaiture, avec Sessue Hayakawa reprenant son propre rôle. Toutes les séances sont de Jean-François Zygel accompagnées par les pianistes (Conservatoire National Supérieur issus de la classe d’improvisation de Musique et de Danse de Paris). 5 HOMMAGE À MARCEL FILMS L'HERBIER 19 MAI - 15 JUIN 2021 L'ARGENT, 1928 (2H25) LE CARNAVAL DES VÉRITÉS, 1920 (1H30) VENDREDI 28 MAI 14:30 MARDI 8 JUIN 14:00 MERCREDI 2 JUIN 16:30 SAMEDI 12 JUIN 14:30 France • Drame • Réalisation et scénario : Marcel France • Drame • Réalisation et scénario : Marcel L'Herbier • Photographie : Jules Kruger • Costume : L'Herbier • Production : Société des Etablissements Jacques Manuel • Société de production : Société des Gaumont • Directeur de la photographie : Georges Lucas Cinéromans • Avec : Brigitte Helm, Marie Glory, Pierre • Décorateurs : Claude Autant-Lara, Claude Dufet Alcover, Alfred Abel • Créateurs de costumes : Callot, Parry, Alice Choquet Contré en bourse par son rival Gundermann, le puissant ban- • Avec : Jaque Catelain, Suzanne Despès, Diane Ferval quier Nicolas Saccard frôle de peu la faillite. Au bord de la La comtesse Della Gentia et son ami Paul tentent de piéger et ruine, il mise ses dernières forces sur Jacques Hamelin, qui a faire chanter leur riche voisin Juan, qui est amoureux de leur conçu un nouvel avion et possède une option sur des terrains jeune et naïve amie Clarisse. Leur machination échoue. pétrolifères en Guyane qu’il espère faire fructifier.
Recommended publications
  • Jacques De Baroncelli | Laurent Véray (Dir.), Marcel L’Herbier
    1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze Revue de l'association française de recherche sur l'histoire du cinéma 55 | 2008 Varia Bernard Bastide et François de la Bretèque (dir.), Jacques de Baroncelli | Laurent Véray (dir.), Marcel L’Herbier. L’art du cinéma Paris, Association Française de Recherche sur l’Histoire du Cinéma / Les Mistons Productions, 2007, 272 pp. , ill. | Paris, Association Française de Recherche sur l’Histoire du Cinéma, 2007, 414 pp. , ill., 1 DVD Rémy Pithon Édition électronique URL : http://journals.openedition.org/1895/4130 DOI : 10.4000/1895.4130 ISBN : 978-2-8218-0990-1 ISSN : 1960-6176 Éditeur Association française de recherche sur l’histoire du cinéma (AFRHC) Édition imprimée Date de publication : 1 juin 2008 Pagination : 213-223 ISBN : 978-2-913758-56-8 ISSN : 0769-0959 Référence électronique Rémy Pithon, « Bernard Bastide et François de la Bretèque (dir.), Jacques de Baroncelli | Laurent Véray (dir.), Marcel L’Herbier. L’art du cinéma », 1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze [En ligne], 55 | 2008, mis en ligne le 01 juin 2011, consulté le 21 septembre 2020. URL : http://journals.openedition.org/ 1895/4130 ; DOI : https://doi.org/10.4000/1895.4130 Ce document a été généré automatiquement le 21 septembre 2020. © AFRHC Bernard Bastide et François de la Bretèque (dir.), Jacques de Baroncelli | La... 1 Bernard Bastide et François de la Bretèque (dir.), Jacques de Baroncelli | Laurent Véray (dir.), Marcel L’Herbier. L’art du cinéma Paris, Association Française de Recherche sur l’Histoire du Cinéma / Les Mistons Productions, 2007, 272 pp. , ill. | Paris, Association Française de Recherche sur l’Histoire du Cinéma, 2007, 414 pp.
    [Show full text]
  • LA TÊTE QUI TOURNE Dans La Même Collection DARIUS MILHAUD, Ma Vie Heureuse
    LA TÊTE QUI TOURNE Dans la même collection DARIUS MILHAUD, Ma vie heureuse. FRANCIS PICABIA, Ecrits 1913-1920. Ecrits 1921-1953. JEAN RENOIR, Ecrits 1926-1971. JOHN CAGE, Les Oiseaux. JEAN WIÉNER, Allegro appassionato. MARCEL L'HERBIER LA TÊTE QUI TOURNE LES BATISSEURS DU XX SIECLE PIERRE BELFOND 3 bis, passage de la Petite-Boucherie 75006 Paris Si vous souhaitez recevoir notre catalogue et être tenu au courant de nos publications envoyez vos nom et adresse en citant ce livre Editions Pierre Belfond 3 bis, passage de la Petite-Boucherie 75006 Paris ISBN 2.7144.1215.7 © Belfond 1979 A Marie-Ange, providence de mes yeux malades, dont l'esprit et le cœur se sont si bien glissés entre les lignes de ce livre. PRELIMINAIRE FINAL Ce livre vient bien tard... Les souvenirs aujourd'hui s'écrivent au présent. Cueillis sur le vif. Servis crus. Sans aucune des concoctions de la mémoire. De l'écriture diététique. Reste à savoir — ces pages le diront peut-être — si des souvenirs-souvenirs, même recrus d'âge et recuits à l'ancienne, ne tirent pas finalement avantage d'être, plutôt que des amuse- gueule avalés en hors-d'œuvre, l'extrême pièce montée servie au dessert d'un long repas existentiel ? Après tout le lecteur, espérons, sera là pour le dire. Mais prenons-lui déjà avec amitié la main, en lui précisant que ce préliminaire paradoxalement final est préliminaire parce qu'il est une ouverture sur un livre qu'on va découvrir et qu'il s'inscrit à la fois en finale d'une partition copieuse de films, d'écrits, d'images, composée durant les soixante ans où j'ai servi avec une fidélité volontaire ce capricieux cinématographe, et en l'invi- tant surtout à goûter sans trop d'arrière-pensées ce qui fut l'assaisonnement quotidien de toute une vie de gourmandise spectaculaire.
    [Show full text]
  • 1895. Mille Huit Cent Quatre-Vingt-Quinze, 33 | 2001 M 2
    1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze Revue de l'association française de recherche sur l'histoire du cinéma 33 | 2001 Dictionnaire du cinéma français des années vingt M Machin, Mallet-Stevens, Mariaud, Marodon… Édition électronique URL : http://journals.openedition.org/1895/97 DOI : 10.4000/1895.97 ISBN : 978-2-8218-1034-1 ISSN : 1960-6176 Éditeur Association française de recherche sur l’histoire du cinéma (AFRHC) Édition imprimée Date de publication : 1 juin 2001 Pagination : 262-295 ISBN : 2-913758-06-1 ISSN : 0769-0959 Référence électronique « M », 1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze [En ligne], 33 | 2001, mis en ligne le 26 juin 2006, consulté le 23 septembre 2019. URL : http://journals.openedition.org/1895/97 ; DOI : 10.4000/1895.97 Ce document a été généré automatiquement le 23 septembre 2019. © AFRHC M 1 M Machin, Mallet-Stevens, Mariaud, Marodon… MACHIN Alfred (1877-1929) 1 Entre 1993 et 1995 un grand projet de restauration, financé par la Communauté Européenne (projet Lumière), concernant 37 films a fait redécouvrir l’œuvre cinématographique d’un cinéaste tombé quelque peu dans l’oubli, Alfred Machin. Machin naît le 20 avril 1877 à Westhove dans les Flandres françaises. Ayant travaillé, selon Francis Lacassin, pour l’hebdomadaire L’Illustration comme reporter-photographe, il s’embarque fin 1907 pour l’Afrique, envoyé par la maison de production Pathé Frères comme opérateur-réalisateur. Son service militaire passé en Afrique du Nord, il dispose d’une certaine expérience et sait, sans doute, s’adapter aux nécessités de la vie dans les zones tropicales. Il est accompagné par l’explorateur-chasseur bâlois Adam David.
    [Show full text]
  • CIN£MONDE PARAIT LE Vj E U D I
    N° 12 - 10 JANVIER 1929 ANITA PAGE CIN£MONDE PARAIT LE vJ E U D I Directeurs : GASTON THIERRY & NATH IMBERT La Censure A gauche, de haut en has. Fdlicitons la souris, venue grigno- ter un reste de la galette des Rois. Elle nous procure un charmant spectacle. fonctionne• • • Carl Rhodemadel sera bdni des acteurs de clndma dont la voixn'est pas phonogdniqne : il vient d'inven- ter un nouveau procddd d'enregis- W ES mots ont une valeur etrange. C'est la seule re¬ trement, qui permet de modifier les A ference que l'on vol* is rolontd. Crdce a lui, la voix peine murmure-t-on ceux de la II exige d'eux. plus cassde deviendra la plus pure. j « Censure cinematographique * .11 . Parmi les fonc¬ Mais on a aucun detail technique que les esprits les plus calmes s'in- tionnaires — een¬ sur cette invention, dont le brevet surgent. Eh quoi! est-il encore besoin d'une n'est seurs du sens — pas encore dtabli. Censure pour les films, alors que celle des Lettres PHOTO WIDE WORLD du secretariat des et des Journaux n'a pas survecu a la guerre, Mais si vous remplacez le mot « Censure » pat Beaux-Arts, le plus assidu est certai- « Controle », la quietude renait aussitot dans les neraent M. Georges Une photo... photogdnique! esprits, le sourire revient auxlevres, et l'on et, de Maxudian, dans le bureau entend murmurer : « Si ce n'est qu'un controle »,, § Daudet, l'In-| terieur, M. Xavier du detective, s'arrange fj Guichard ou M. d'employes qui, ciseaux pour faire suivre la prin- Mijitto cesse le moins vo'ontiers leur tour.
    [Show full text]
  • Regard Sur Le Cinéma Muet En France. Photographies, 1900-1929 Collection Philippe Legendre
    REGARD SUR JEUDI 17 OCTOBRE 2019 À 14H LE CINÉMA MUET DROUOT RICHELIEU, SALLE 15 EN FRANCE. 9, RUE DROUOT - 75009 PARIS PHOTOGRAPHIES, 1900-1929 COLLECTION PHILIPPE LEGENDRE EXPERT Claude Oterelo Membre de la Chambre Nationale des Experts Spécialisés Tel. : 33 (0) 6 84 36 35 39 [email protected] EXPOSITIONS À L’ÉTUDE SUR RENDEZ- VOUS, 9 RUE DURAS, 75008 PARIS Jeudi 10 octobre 2019 Venredi 11 octobre 2019 CONTACT ÉTUDE EXPOSITIONS PUBLIQUES À DROUOT Simon Meyen Mercredi 16 octobre de 11H à 18h + 33 (0) 1 40 06 06 08 Jeudi 17 octobre de 11h à 12h [email protected] CATALOGUE ET VENTE SUR INTERNET www.AuctionArtParis.com 9, rue de Duras - 75008 Paris | tél. : +33 (0)1 40 06 06 08 | fax : +33 (0)1 42 66 14 92 SVV agrément N 2008-650 - www.AuctionArtParis.com - [email protected] Rémy Le Fur, Théo Lavignon & Grégoire Veyrès, commissaires-priseurs habilités 2 Quand Philippe Legendre m’a proposé sa collection de photographies originales de l’époque du cinéma muet, j’ai été surpris qu’il me sollicite. Peut être avait il décelé dans une de mes ventes une certaine aptitude à faire du cinéma. J’ai accepté de jouer le rôle de l’expert car le metteur en scène et spécialiste, c’est lui, bien assisté par Mireille Beaulieu. Le scénario m’a tout de suite fasciné, en faut il de la volonté, de la passion et de la compétence pour réunir un tel ensemble et même une certaine inconscience pour s’attaquer aux racines du septième art.
    [Show full text]
  • Annie Fee Complete Dissertation
    Gender, Class and Cinephilia: Parisian Cinema Cultures, 1918-1925 Annie Fee A dissertation submitted in partial fulfilment of the requirements of the degree of Doctor in Philosophy University of Washington 2015 Reading Committee: Jennifer M. Bean, Chair Sudhir Mahadevan James Tweedie Program authorized to offer degree: Department of Comparative Literature, Cinema and Media © Copyright 2015 Annie Fee University of Washington Abstract Gender, Class and Cinephilia: Parisian Cinema Cultures, 1918-1925 Annie Fee Chair of the Supervisory Committee: Jennifer M. Bean, Associate Professor of Comparative Literature, Cinema and Media Department of Comparative Literature, Cinema and Media This dissertation examines the discursive strategies through which French intellectual critics exploited gender, nationalism and class as tools in the production of French highbrow and avant- garde film culture. To date, scholars have largely studied French cinema of the inter-war period through the now canonical lens of this reflexive, self-critical community of cinephiles concerned with the state of French cinema. By contrast, I draw on alternative archival sources—including letter columns in popular film weeklies, fan letters, police reports, taxation policies, municipal memos and notices in the leftist press—to reveal the socially engaged and even revolutionary film communities that formed what I call a “counterpublic.” All the dissertation chapters thus deal with key moments and sites of negotiation between, on the one hand, elitist, intellectualising and national bourgeois cinephile critics and filmmakers, and on the other hand, a heterogeneous public of ordinary filmgoers. In some of these moments the negotiation was gradual, discursive and developed through columns in newspapers and film weeklies, while in other moments it took the form of violent clashes.
    [Show full text]
  • 15 JUIN 2021 Programmation De Films Muets En Ciné-Concert, Centre
    HOMMAGE À MARCEL L'HERBIER CINÉMA • VISITES 19 MAI — 15 JUIN 2021 Programmation de films muets en ciné-concert, Centre de recherche, Galerie des collections, Visites guidées, Galerie des appareils 1 PROGRAMME 2 PROGRAMME ÉDITORIAL 19 MAI — 15 JUIN 2021 La Fondation Jérôme Seydoux-Pathé est heureuse de rouvrir ses portes avec un cycle consacré à l’œuvre muette du cinéaste d’avant-garde Marcel L’Herbier. Une formidable occasion de découvrir ses premiers films (Rose-France, Le Bercail, Le Carnaval des véri- tés) ainsi que L'Inhumaine (1924), un des chefs d’œuvre du cinéma muet. Plusieurs adap- tations de ce grand amateur de littérature figurent également au programme : L'Homme du large (1920), d’après Un drame au bord de la mer d’Honoré de Balzac, ou encore L'Argent (1928), d’après l’œuvre éponyme de Emile Zola. Seul film parlant de notre sélection, Le Bonheur (1934) sera présenté par le critique, cinéaste et écrivain Noël Herpe. En parallèle, une exposition met à l’honneur l’illustrateur de cinéma Yves Thos, qui a notamment signé les affiches des films Il bidone, Les Dents du diable, La Femme et le Pantin ou encore Spartacus. Au début de sa carrière, il travaille pour le Consortium des Arts Publicitaires puis Pilote Publicité, deux sociétés qui collaborent étroitement avec Pathé. L’exposition présente principalement des affiches, des maquettes et des documents personnels de l’artiste. Pour prolonger l’évènement, les Cinémathèques Pathé mettent en avant deux films illustrés par Yves Thos : La dolce vita (1960) de Federico Fellini et La Fièvre monte à El Pao (1959) de Luis Buñuel.
    [Show full text]