!0 Treizième Année. — JV° 10 30 Centimes le ^ Samedi 25 Janvier 1873,

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Compagnie du Chemin de fer d'Orléans.—Service d'hiver.

Omnibui Poste Omnibui Omnibus Omnibus Omnibus Omnibus Omnib. jours Omnibus SiûVûl JUIli Omnibus mixte mixte mute mixte Poste mhte mixte Poste mixte mixte mixte de foire mixte Poste mixte mixte 12h25« 5h40» Monsempron-Libos. — Départ. Cahots. — ..Départ.. 5hl0i 8h41 « mm PARIS — Départ. 7h45» 9b40?" Monsempron-Libos. — Départ. 7h30.s 9h30= 5h25i 7h55„ 5 55 AUEN s Mercuès 5 281 12 47 — Arrivée. 9 591 6 44 BORDEAUX — . 10 30? Fumel — . 7 371 9 37| 5 37» 8 2§ 6 7 Parnac 5 43 1 7 PÉRIGOEDX — . 6 50à 1 45° Touzac... — . 7 50 9 49 5 53 8 15 6 16 Monsempron-Libos.— Départ. 5 53 1 20 7IH9TS 3h 3i 7h34s Monsempron-Libos. — Arrivée. 8 361 5 16 — . 8 2 9 57 6 7 8 24 6 37 PÉRIGUEUX..— Arrivée. s s 6 10 1 43 10 58 5 46 11 6" Puy-l'Evêque — . 8 11 10 6 6 20 8 33 6 49 BORDEAUX — . Puy-l'Evêque 6 24 2 )) 3 28i 10 18 Castelfranc — . 8 30 10 20 6 43 8 51 fi 58 RODEZ — . s Duravel 6 36 2 14 9 34 Luzech — . 8 44 10 32 7 2 9 5 7 7 AURILLAC — . Soturac Tonzac , 6 47 2 27 9 42 AGEN — Départ. 5h50« 2h Ôh10i Parnac ... — . 8 55 10 41 7 18 9 16 7 19 V1ERZON — . 7 53B s Fumel 7 1 2 44 7 15 12 42i Monsempron-Libos. — Arrivée. 7 151 7 31 Mercuès — . 9 7 10 52 7 35 9 28 .7 2 51 7 26 PARIS — Arrivée. 12 39 - Monsempron-Libos.— Arrivée 7 a 4 391 3 4» Cahors.... — Arrivée. 9 25 11 8. 7 54 9 46

Cahors, le 25 janvier 1873. Revue des Journaux testable, puisqu'elles tendraient à établir que dule racontece malin qu'un de ses amis « ayant le centre gauche — maintenant réduit à cin- » présenté la plume à M. le duc d'Aumale rna» cl quante voix — a le monopole du patriotisme, » pour signer sur le registre de la chapelle, du désintéressement et du dévouement à la La commission; des Trente continue lente- Paris- J ournaï. » et voyant le nom du prince ainsi écrit : patrie. » d'AuMALE (au lieu d'Henri d'Orléans), s'é~ ment ses travaux sur les projets constitutionnels. Il n'est pas dit maintenant, qu'avant la fin « Le centre gauche, dit le général, avait » cria : La n'est pas perdue ! » On s'étonne que ses décisions définitives ne du mois de mars, nous ne toucherons pas aux adopté un programme qui lui a valu la con- Ainsi, deux faits d'une certaine importance soient pas encore prises; mais il suffit de lire les grandes solutions. Le pouvoir exécutif en pro- fiance de tons les gens d'ordre : » — ce qui se dégagent de ce qui précède : les princes est évidemment beaucoup dire; le centre d'Orléans — pour la première fois — ont comptes-rendus pour s'apercevoir que les mem- posant l'amendement Dufaure, le parti répu- blicain en le votant, ont absolument reconnu gauche (soit cinquante voix) « est la réunion assisté au service expiatoire qui se célèbre bres de la gauche, qui se trouvent en minorité le pouvoir constituant de l'Assemblée. Ils ont des hommes qui ne s'inspirent que du véri- chaque année à la chapelle Louis XVI. Le duc dans la commission, soulèvent à tous moments fait plus que le reconnaître ; ils ont commandé table patriotisme, » etc., etc. lin un mot, le d'Aumale au lieu de signer Henri d'Orléans, des difficultés et de mauvaises querelles. Leur à l'Assemblée d'en faire usage. C'est un sophis- centre gauche a toutes les vertus publiques, comme affectent de le faire les princes du sang parlementaires et privées; seulement, il est appelés éventuellement au trône en ligne di- but est évident : ils veulent faire traîner en me ou une naïveté qui dépasserait la mesure d'incohérence que se permet l'époque présente malheureux que le général Chanzy et le cenire recte, aurait signé d'Aumale, comme il conve- longueur les travaux de la commission, afin que de se figurer que l'Assemblée actuelle puisse gauche lui-même, soient seuls à s'en aper- nait à un membre de la branche cadette. cevoir. leurs journauxpuissent se livrer à des attaques délibérer de l'existence d'une seconde Cham- Toutefois, nous ne saurions accorder à ce contre l'Assemblée, et déclarer qu'elle est im- bre sans être amenée à discuter les attributions Passant aux motifs qui ont provoqué la dernier fait la même importance qu'il a plu à scission du centre gauche, le général se de- l'Union de lui donner, à moins d'attacher au puissante. Personne ne se méprend sur cette la durée et le mode de renouvellement de la magistrature suprême de l'Etat. Il y a dix-neuf mande s'il était sage de soulever la question nom même d'Orléans, une signification par- tactique de MM. les Républicains; et dans la chances sur vingt pour que celte discussion des relations à entretenir avec la gauche extrê- ticulière, à moins d'admettre que le nom dernière séance, elle a été démasquée par les s'engage. me. « En quoi, dit-il, cette alliance, si dési- d'Orléans ne pouvait figurer sur le registre de membres de la majorité. Si,au coursdecedébat, un groupe de cent dé- rable entre tous les partis, peut-elle paraître la Chapelle expiatoire. putés, après s'être concertés et après avoir calculé plus dangereuse, voire plus surprenante, que Sous Louis XIV, où tout ce qui regardait tous les risques et avantages de cette manœu- celle qui se produit entre les groupes si divisés l'étiquelte prenait l'importance d'une question . vre, vient poser résolument la question de que comprend l'autre côté de Chambre?» Le d'Etat, celui qui fut le régent signait d'ordi- Correspondances République ou de Monarchie, comment s'y général Chanzy n'a pas réfléchi que l'alliance naire Philippe d'Orléans; à vrai dire, c'était à prendra-t-on pour écarter celte motion ? Le avec l'extrême gauche devait paraître d'autant la cour de Louis XIV un usage de donner, DU JOURNAL DU LOT président actuel de la République et son dicta- plus surprenante, qu'elle était contractée avec même aux princes appelés directement au teur futur, M. Gambetla, auront beau affirmer un parti plus dangereux et plus compromet- trône, le titre qu'ils avaient reçu à leur naissan- que la République existe en droit et en fait; tant. Quelle assimilation peut-on bien d'ail- ce : le fils du roi était appelé Monseigneur, Paris, 23 janvier 1873. ce sera une affirmation sans preuves et sans leurs établir entre la gauche extrême et les les enfants de ce dernier portaient le litre de La commission d'initiative a rejeté hier à l'unani- titres à l'appui. Ils auront beau proclamer que autres groupes qui divisent la Chambre? Est- duc de Bourgogne, duc d'Anjou (depuis Phi- mité la proposition de M. Boucher, député radical l'Assemblée n'a pas reçu mission de constituer; ce que le centre droit, est-ce que la droite, lippe V), duc de Berry, etc., et non ceux de des Bouches-du-Rhône, tendant à transférer, des on répondra que, par le vote du 29 novembre, est-ce que l'extrême droite se sont jamais Louis-Philippe ou Charles de Bourbon. préfets aux municipalités, le droit d'autoriser ou de ils ont reconnu eux-mêmes le pouvoir consti- emparés par un coup de main du gouverne- Ces distinctions peu comprises, du public, fermer les débits de boissons. tuant de l'Assemblée et qu'un tel pouvoir ne ment de leurs pays? Est-ce qu'ils ont jamais écartées, le fait dominant, le seul dont on Le général de Cissey est parti hier soir pour Calais, se scinde point. exercé la tyrannie, sous le nom de dictature, doive tenir compte, est l'intervention des prin- où il va suivre les expériences d^artillerie auxquelles Qu'on nous enteDde bien ! Nous n'exami- en invoquant, selon l'heureuse expression de ces d'Orléans au seivice expiatoire célébré M. Thiers n'ira assister que plus tard. nons pas en ce moment ce qu'il sied mieux de M. Gambetta, « ce droit particulier qui sort dans la journée d'hier. Sous le règne de Louis- On assure, parmi les légitimistes, que le comte de faire, une constitution républicaine, uae cons- des révolutions, » de même qu'on invoque, Philippe, aucnn des princes de la branche ca- Chambord recevra prochainement à Vienne la visite titution monarchique ou une constitution neu- dans les Calabres, lorsqu'on arrête une dili- dette n'assistait à cette cérémonie, ou n'assis- du comte de Paris. C'est de cette ville que la fusion tre. Nous disons seulement, nous constatons gence, le droit particulier qui sort des fossés taient d'ordinaire que les partisans de la légi- serait officiellement annoncée. Sur la question du que nous voilà lancés sur le terrain des débats du chemin? Enfin, est-ce que les autres partis timité sans alliage. drapeau, le comte de Chambord déclarerait que le ont jamais pactisé avec l'insurrection sauvage Philippe dit Egalité, ayant voté la mort de blanc est la couleur de la maison royale, mais que constitutionnels, et que, sur ce terrain, il n'y a en ce qui concerne les questions de forme de et sanglante qui a déshonoré Paris et fait re- Louis; la famille d'Orléans ayant fait pendant le.tricolore peut fort bien être le drapeau de l'armée, culer d'horreur le monde civilisé? cent années une opposition constante à la s'Uel est le sentiment de la représentation nationale. gouvernement, aucune limite aux droits de P Assemblée. Il n'y a pas délimite légale; il n'y branche aînée de Bourbon, il est hors de dou- Les garanties constitutionnelles auxquelles faisait Liberté. allusion 1« journal de Paris seraient spontanément a pas non plus de limite de fait ; car quoi que te que l'intervention des princes à la cérémo- puisse décider là-dessus la majorité de l'Assem- nie expiatoire a eu tous les caractères d'un acte offertes par le comte de Chambord. Celui-ci aurait Un incident dont il ne faut ni exagérer l'im- du reste, renouvelé hautement sa résolution de blée, monarchie, république, constitution pro- de résipiscence ; mais cela ne peut constituer, visoire, plébiscite, la France et l'armée suivront portan«e ni atténuer la portée, vient de rap- à nos yeux, qu'un premier pas en vue d'un n'accepter le trône de France que s'il y était appelé peler l'attention du public sur les tendances par un grand mouvement national. avec docilité le premier jour et peut-être avec rapprochement. Nous employons à dessein ce enthousiasme le lendemain. des princes d'Orléans à se rapprocher du chef mot de rapprochement et non celui c d'entetr- On assure qu'on a découvert la complicité d'un ou de leur famille, le comte de Chambord. — deux factionnaires dans la récente évasion de trois Mais si le mois de mars peut voir les gran- te » car ces deux mots ont une signification Pour la première fois — les princes d'Orléans, condamnés à mort de la prison des Chantiers. L'en- des solutions, il peut voir aussi les embarras propre dont l'importance ne saurait échapper quête se poursuit. inextricables. présents à Paris, ont assisté au service funèbre à nos lecteurs. Voici quelques détails sur l'attitude des trois con- célébré à la Chapelle expiatoire pour le repos de Eu égard au but que poursuivent les prin- l'âme du roi Louis XVI. damnés qui ont été exécuté hier à Salory. Decamp Journal de Paris. ces d'Orléans, l'acte qu'ds ont accompli, est est entré dans une fureur indicible en apprenant que Les journaux légitimistes considèrent cette un acte de sage et bonne politique. Ils savent son pourvoirait rejeté. Il ne voulait pas monter intervention des princes d'Orléans comme un par expérience qu'en rentrant en France, ils Le Soir publie une lettre adressée par le acte de haute résipiscence, et laissent entre- dans la voiture qui devait le conduire à Satory. général Chanzy à M. Pbilippoteaux, membre ont tiouvé le parti orléaniste très affaibli, sans Il s'est répandu en injures contre tout le monde, et voir qu'elle contient implicitement le désaveu drapeau, sans soldats. Quelques chefs, quel- de l'ancien centre gauche, dans laquelle l'ho- des doetnoes révolutionnaires qui, professées Benot lui-même a dû l'engager à la modération. Ce norable général donne son opinion, en ter- ques amis sont restés fidèles au système inau- dernier a montré de la fermeté et Fenouillas de la au Palais-Royal et ailleurs, firent passser la mes d'ailleurs assez confus, sur les motifs qui guré en France par la monarchie de Juillet; résignation. C'est Fenouillas et non Benot qui a couronne de France sur la tête de Louis- mais combien de désertions? ont déterminé uae partie des membres du Philippe. crié : Vive la République démocratique et sociale! Tout commande donc aux princes d'Orléans Vive l'armée ! Benot a crié : Vive la Commune I centre gauche à rompre avec leurs collègues, « Nous nous bornons, dit la Gazette de pour former une réunion séparée. de faire cesser un antagonisme qui, favorable Decamp a protesté qu'il mourait assassiné et sans France, à constater ce grand acte accom- aux visées de la branche cadette il y a cin- jugement. lia crié : A bas les faux témoins ! Mort Le général débute par des considérations pli. » sur le programme que s'était tracé le cenire quante ans, ne ferait aujourd'hui qu'affaiblir aux avocats ! Mort à Thiers! Les trois condamnés VUnion, que les bruits de fusion mis en encore le sentiment monarchique en France. ont été attachés aux poteaux malgré leur résistance gauche (l'ancien), sur le rôle qu'il se proposait circulation à propos des paroles du duc de la Telles sont les réflexions toutes platoniques et tous trois sont tombés foudroyés parles balles. de remplir; considérations d'une justesse con- Rocbefoucald-Bisaccia avaient trouvée incré- qui nous ont élé suggérées par la conduite aussi digne que politique des princes d'Orléans. i JOURNAL DU LOT

Pays. Rien de plus juste ; mais ce qui est pour le Il médite une fougue et fait tous ses efforts formément au dernier traité intervenu avec moins singulier, c'est d'entendre l'organe du pour dissimuler. l'Allemagne, de substituer au payement immé- Il y a des hommes pour lesquels les juge- jacobinisme protester contre un système qui Quant à la mariée, on voit qu'elle commence diat de ce dernier milliard la caution d'un cer- ments les plus durs de l'opinion publique sont n'a pu triompher en France que grâce aux à douter de son futur époux. tain nombre de banquiers et d'établissements lettres mortes, et qui, sans cesse, relèvent hommes de 1793, qui a été jusqu'à ce jour et C'est fort joli et fort en situation. de crédit. avec arrogance leur tête un instant courbée qui est encore le seul programme de la déma- En cas, non douteux, de réussite de ces né- sous le mépris public. gogie radicale. Le mouvemeut réformiste de Patrie. gociations, l'évacuation pourrait avoir lieu M. Jules Favre est de ceux-là. Alors qu'il 1789 était dirigé en grande partie contre la dans le courant du mois d'août prochain, devrait avoir la pudeur de se taire, i! parle ! centralisation, contre le régime des intendants, Si l'on veut savoir au juste quelle nation Si, contre toute attente, ces négociations n'a- ne voulant pas se résigner à l'oubli généreux contre ce qu'on appelait alors l'arbitraire mi- morale les radicaux voudraient faire de la boutissaient pas, le Trésor serait en mesure de qu'on lui accorde, et voulant, histrion sifflé, nistériel. La victoire du parti violent, sous France, on n'a qu'à lire avec on peu de soin payer le dernier milliard le 15 novembre, remonter quand même et toujours sur la scène la Convention, a eu pour résultat la concentra- les discours prononcés durant la discussion de comme il a élé dit plus haut; mais toutefois en dépit des camouflets et des huées. tion du pouvoir la plus effroyable qui eût encore la loi sur le conseil supérieur de l'enseigne- d'après le conseil des banquiers et afin de ne Voici l'incident qu'avec une audace éton- été imaginée. ment. Les orateurs de la gauche, M. Brisson produire aucun ébranlement financier, aucune nante cet homme a soulevé à la Chambre en La monarchie légitime seule a commencé à ' comme M. Paul Bert, ne se montrent pas, en crise monétaire, le payement serait différé interrompant M. Raoul Duval, le jeune et réagir en 1814 contre le régime de l'au VIII, cette circonstance, libéraux ou éclectiques; non jusqu'au lef mars 1874. sympathique représentant de la Seine-In- en appelant la naliob à exercer sur la direction vraiment; ils n'ont qu'un but : l'exclusion de férieure. des affaires la part qui lui revient légitimement. l'élément religieux. Leur théorie, en un mot, S'il est un fait incontestable, c'est que les est toute jacobine. Ils n'entendent pas sou- M. Raoul Duval, — Il m'est facile de justifier ce La Légitimité. que je viens d'avoir l'honneur de vous dire. efforts tentés dans cette voie de réorganisation tenir la discussion et la lutle avec les repré- Je lis dans le Journal officiel : par les royalistes ont été principalement com- sentants de la religion, ils entendent — la Qu'entend-on par un gouvernement légitime ? « Scrutin sur la priorité à donner à l'ordre du battus par le parti républicain. chose serait plus commode et plus simple — Par un gouvernement légitime, on entend un jour motivé, présenté par M. Fournier. » n'avoir point à se préoccuper d'eux. Depuis cette époque jusqu'à nos jours, à gouvernement fondé sur le droit, et non pas seule- Le résultat ne lui a pas été favorable et je lis dans l'exception de quelques individualités sans in- Il y a là un symptôme très grave qu'il im- porte de signaler et que le public ne doit pas ment sur la force. le compte rendu in extenso, à la suite de la procla- fluence, les républicains se sont moatrés les La légitimité est-elle l'apanage exclusif d'une for- négliger d'étudier. Les efforts des radicaux mation des chiffres du scrutin : défenseurs acharnés de la centralisation, les me de gouvernement ? « L'Assemblée n'a pas adopté. » adversaires irréconciliables de la liberté. sont impuissants devant l'Assemblée actuelle, Non. Toute forme de gouvernement peut s'accor- M. Jules Favre. —Lisez les paroles de M. le En ce moment même, la République fran- qui est composée, en grande partie, de conser- der avec le droit. Ainsi, la monarchie est légitime président. çaise n'appuie—t-elle pas de tous ses efforts vateurs et surtout de gens de bien, qui com- en Autriche, la République ne l'est pas moins en M. Raoul Duval. — JE PRIE L'HONORABLE M. les prétentions autoritaires de M. Thiers; ne prennent, qui sentent, pour ainsi parler, toute Suisse et en Amérique; François-Joseph est l'empe- JULES FAVRE D'ÊTRE BIEN CONVAINCU QUE JAMAIS JE combat-elle pas avec la dernière violence les l'importance de la religion, toute la nécessité reur légitime de l'Autriche-Hongrie, et le général NE ME LAISSERAI ENTRAINER A ALTÉRER LA SINCÉRITÉ tentatives de la majorité pour entraver cette qu'il y a de lui faire une grande place dans Grant le président légitime de la République des D'UN DOCUMENT DONT JE ME SERS. (Rires sur plu- résurrection du pouvoir personnel? l'enseignement, du moment où l'Etat inter- Etats-Unis. sieurs bancs à droite.). Que vient-elle nous parler d'ailleurs du bo- vient dans cet enseignement. Mais devant une Nous n'ajouterons aucun commentaire aux Assemblée radicale ou même indifférente, de- Sur quels titres peut reposer la légitimité d'nn napartisme prétendu de toutes les fractions du gouvernement ? paroles de M. Raoul Duval, convaincus que parti conservateur, quand l'homme dont elle a vant une Assemblée pareille à celle que nous nous sommes que nous n'en pourrions qu'af- pour mission de défendre les actes et de sou- réservent les préfets encores conservés du 4 1° Sur le choix libre de la nation, lorsque le pou- faiblir la portée. tenir les intérêts, a exercé un pouvoir bien septembre et les procureurs encore en place voir est vacant et n'appartient en droit à personne"; autrement despotique, bien autrement excessif de M. Durier, les tentatives de MM. Bert et 2° Sur une conquête, résultant d'une guerre juste et raisonnable ; 3° Sur la prescription, lorsque la nation Paris-Journal que n'a jamais été celui des Bonaparte eux- Brisson auraient sans doute eu un succès pareil a consenti, du moins par son silence, et que les héri- mêmes? au succès obtenu, depuis quelque temps, par On peut donner et on donnera bien des les radicaux et les libres-penseurs, devant le tiers des anciens souverains légitimes ont disparu, raisons de la sympathie subite que l'Europe a La concentration de tous les pouvoirs, de ou ne veulent ni ne peuvent revendiquer leur droit.' tous les droits dans les mains du chef de conseil municipal de Paris. fait éclater pour Napoléon M. Toutes ne sont Nous entrerions alors, et d'une façon légale, La légitimité du gouvernement est-elle impor- pas de celles dont nous ayons sujet de nous l'Etat, n'a jamais été réalisé d'une manière plus complète et plus odieuse que par les radi- non pas seulement dans une période d'irréli- tante pour le bien des peuples? applaudir. Napoléon III avait été surnommé gion, ce qui est négatif, mais dans une pé- La légitimité du gouvernement est une des condi- «l'Empereur de l'Europe. » caux. M. Gambetla a fait, sous ce rapport, ce que Napoléon III n'aurait jamais osé. riode de croisade contre la religion; car, en- tions les plus essentielles du bonheur d'un peuple. On dira que s'il y a des larmes pour lui à core une fois, par liberté de penser, les libres Si la force est la règle et le principe au sommet de Pétersbourg comme à Venise, à New-York penseurs entendent, non pas le droit d'exercer la société, elle ne tardera pas à le devenir dans les comme à Vienne et à Pesth, c'est . qu'il avait Pour attirer les chalands, M. Casimir Périer ou de ne pas exercer, de pratiquer ou de ne degrés inférieurs; mais, là où la force est, en réalité dérobé Paris aux Parisiens pour le donner en affirme que les vœux qu'on prononce dans point pratiquer la religion, mais bien le droit la seule règle admise et respectée, il n'y a plus de pur don à l'univers.On dira que si son nom est sécurité pour aucun intérêt, la voie est ouverte à l'Ordre républicain qu'il veut fonder ne SODI de supprimer la religion, d'empêcher qu'on ne célébré à l'envi hors de nos frontières, et si des pas perpétuels; loin de là. l'enseigne, d'en persécuter les doctrines, les toute corruption, la société devient une arène où milliers de personnes de toule nation ont Ils n'engagent nullement la conscience. On ministres et les fidèles. Cette sottise amère, les ambitieux mettent tous les moyens en œuvre voulu suivre son cercueil, c'est que les divers pour devenir les plus forts. Comment le droit serait- la retrouve intacte en sortant. Il s'agit tout cette sombre folie dont les atteintes ne se peuples du Continent sont sortis, ou plus su- il respecté en bas, lorsqu'on n'en tient pas compte simplement de faire l'essai d'une république sont jamais montrées chez aucun peuple au- perbes en territoire, ou plus riches, ou plus tant que chez nous, ne pourrait certainement au sommet ? fondée, dirigée parle groupe de choix que Gomment serait-il le défenseur énergique du droit libres, des guerres du second empire, qui ont conduit M. Périer. pas se prolonger; mais il suffirait de quelques élé couronnées pour nous par la chute de la mois de cet étal, pour aiosi dire sauvage, pour celui qui ne peut pas l'invoquer en faveur du pou- « Tous les hommes de bonne volonté peu- voir qu'il exerce? Quelle garantie de respect pour le puissance française. On le dira, et on dira ôter à ce peuple français, déjà si indécis et si vent s'associer à cette entreprise, sans qu'il en droit trouverait-on dans celui dont la présence au vrai. coûte rien à la conscience d'aucun. » amolli, ce qui peut lui rester encore de con- Il est vrai aussi que notre impuissance pouvoir, est une violation de la justice et du droit ? M. Périer a tout simplement mis en prose fiance, de foi et de vigueur. L'expérience de nos temps modernes, si agités, si constitutionnelle suffirait pour justifier les les couplets d'un vaudeville très connu : solennels hommages que les cabinets étran- pleins d'arbitraire et de violence et où tous les droits Quel plaisir d'aller à la noce, sont mis en question, jette une bien vive lumière gers, avec une unanimité sans exemple, ont Surtout quand il n'en coûte rien. sur ces vérités. voulu déposer sur la tombe d'un souverain Quel plaisir 1 quel plaisir 1 INFORMATIONS ■ proscrit. Nul gouvernement sensé ne saurait Surtout quand il n'en coûte rien. Qu'entend-on lorsqu'on dit que la légitimité est voir sans alarmes que deux ans et demi se de droit divin ? sont écoulés depuis le 4 septembre, et que La Correspondance de Paris garantit Lorsqu'on dit que la légitimité est de droit divin, nous n'avons rien mis de stable à la place delà Les républicains sont de plus en plus fu- l'exactitude de la nouvelle suivante concer- on ne veut pas dire que Dieu choisisse ou désigne monarchie renversée ce jour-là. Nul gouver- rieux contre le gouvernement. nant les dispositions testamentaires prises par lui-même une personne, une race, comme il le fit nement sensé ne saurait considérer sans an- Si M. Thiers ne se hâte de leur faire de l'empereur Napoléon III. chez les juifs, pour Saûl, pour David et pour sa race. goisses que le premier accident venu peut nouveau quelque déclaration d'amour, ils vont L'Empereur avait fait deux testaments, l'un On veut dire, tout simplement, que le pouvoir ac- faire de la France ou un foyer de révolution ou se fâcher tout de bon. en 1859, l'autre en 1865; tous deux ont été quis par un des moyens que nous avons indiqués, est un droit devant Dieu, un droit fondé snr la vo- la proie de la Prusse; et ainsi Napoléon III, Les gambettistes recommenceront à le trai- déposés par lui chez son notaire, Me Moquard, lonté de Dieu, auteur de la société, et, par là-même, dans son linceuil, a soudain grandi de toule ter de réactionnaire incorrigible, le Siècle lui et aucun d'eux ne contient de stipulations po- notre débilité présente. source et principe de l'autorité dans la société; un appliquera de nouveau l'épithète « d'INTRI- liques. Le dernier seul donne quelques indi- Ces raisons sont fortes; et elles ont eu leur cations relatives à l'éducation du prince impé- droit qui lie les consciences et dont le respect est un GUANT VULGAIRE » etc., etc. devoir et une obligation sanctionnée par l'autorité dé action sur l'esprit des peuples et sur celui des Les journaux républicains et radicaux n'en rial. chefs d'Etat. Disons-le pourtant, à l'honneur Dieu lui-même, de telle sorte que la personne qui sont pas encore aux gros mots. Quelques-uns Peu de temps avant la mort de l'empereur, exerce le pouvoir — soit roi, soit empereur, soit delà nature humaine; elle sont trop intéressées e cherchent même à se faire encore illusion sur M Mocquard lui ayant écrit pour lui demander assemblée, soit consul, soit président, etc., — tient pour expliquer à elles seules un mouvement l'attitude du gouvernement, mais la plupart s'il désirait qa'il lui envoyât ces deux testa- la place de Dieu, agit en vertu d'une autorité venue d'opinion aussi peu concerté que celui qui adressent à M. le président de la République ments, dont le dernier n'est en réalité qu'un de Dieu, et que Dieu a institué pour le bien et la vient de se propager en Europe. Il y a là un des avertissements qui prennent déjà un petit simple codicille, l'Empereur lui répondit de les conservation de la société. Et en vérité, peut-il sentiment plus noble que les calculs de la air de menace assez caractérisé. garder et d'envoyer seulement celui de l'Im- exister un droit qui, en définitive, ne remonte pas à politique et plus haut que la reconnaissance. pératrice, également déposé dans l'étude de Dieu? Une obligation qui n'ait pas son principe ^itvdrnrd"V ob ftjrrîoo ô*i .s!l-irjfftr*-xvtM ^' Ce qui émeut l'Europe, maintenant qu'elle Me Mocquard, rue de la Paix. dans l'autorité de Dieu ? Un homme peut-il obliger n'a plus devant elle qu'un règae fini et un Un des nombreux petits journaux illustrés Aucun testament ni codicille n'a été fait par un autre homme, lier la conscience d'un autre hom- prince expiré, c'est la partie d'impérissable publie une charge tellement amusante que l'Empereur depuis 1865. me, imposer l'obéissance à un autre homme? Un grandeur qui était dans l'homme et dans le homme peut-il s'obliger lui-même, lier sa propre nous ne pouvons nous empêcher d'en parler à règne, et qui fait que l'homme a pu rendre à nos lecteurs. conscience, s'imposer l'obéissance ? Sedan son épée sans rendre grâce au ciel, ni sa j 9tH) JrrBntnqqB fis'sJdiôfhfH imw'&rii ann'i çiiino Ji Elle représente une grande et robuste Ré- D'après la Liberté, M. Thiers pourrait, dès Peut-il y avoir plusieurs légitimités distinctes et gloire ni la nôtre. publique vêtue en mariée, qui traîne à Fautel à présent, payer le quatrième milliard en tota- opposées ? un petit homme facile à reconnaître. lité. Si les payements sont échelonnés de mois Gazette de France. Il ne peut pas y avoir plusieurs légitimités oppo- La légende porte ces simples mots : Ma- en mois par fractions de 200 millions, c'est sées, plusieurs droits légitimes au gouvernement du La République française se livre, à propos riage de raison. dans le but d'éviter une crise monétaire et une même peuple, une chose ne peut pas être et ne pas de la mort de Napoléon III, à des considéra- Rien au monde n'estamusanteomme l'expres- hausse sur le prix de l'or er/des traites paya- être en même temps et sous le même rapport. Est-ce tions sur le « bonapartisme » qui paraîtront sion d'embarras, de vexation et en même bles à Berlin. qu'il peut y avoir, en même temps, deux proprié- étranges dans le journal de M. Gambetla. La temps de ruse qui règue sur la figure du Ce journal affirme, en outre, que le 15 no- taires légitimes d'un seul et même champ? Mais n'y feuille radicale voit, dans le régime organisé marié. vembre prochain le Trésor serait rigoureusement a-t-il pas la légitimité de droit divin et la légitimité en l'an VIII, à la suite du 18 brumaire, la do- On voit que les sentiments qu'il éprouve en mesure de verser le cinquième et dernier du droit populaire? Nullement, et la réponse est mination sans contrôle d'une seule volonté s'im- pour la chère demoiselle dont il vient d'obtenir milliard de la contribution de guerre. C'est tou- dans ce que nous avons déjà dit; car ou il existe posant à la nation par tous les moyens que la la main n'ont qu'un rapport éloigné avec une jours en vue d'éviter une crise monétaire que déjà un pouvoir légitime et, dans ce cas, le peuple possession du pouvoir met à sa disposition. vive et sincère affection. M. Thiers a chargé MM. de Rothschild, con- n'a qu'une chose à faire, reconnaître ce pouvoir, le JOURNAL DU LOT

respecter, lui obéir ; ou bien le pouvoir social n'a biens d'un prince montant sur le trône devenaien1, Des soins lui ont été donné immédiatement CALENDRIER DU LOT. — JANV. „ de titulaire légitime et la nation peut en choisir aussitôt les biens de la couronne, et qu'ainsi les as par M. le docteur Faurie ; le coup avait porté p ],„ t celui qu'elle choisit devient légitime et de biens de ses ancêtres sont passés au domaine de > JOURS FETES FOIRES. e sur la tempe gauche, l'enfant est mort hier au droit divin dans le sens que nous avons expliqué. l'Etat, il a de quoi vivre d'une manière digne et con- soir à 11 heures. venable ; d'un autre côté il n'a pas d'enfants et il ne 2G Diman. s Polycarpe. La légitimité du pouvoir, fait-elle que le souve- doit pas se sentir disposé à renoncer à sa tranquillité, 27 Lundi. s Jean-Chry- St-Projet, S-Paul-Labouffle, An- rain, le dépositaire de ce pouvoir, puisse exercer le pour gouverner un peuple toujours prompt à Nous lisons dans le Gourdonnais : sostôme. glars, Cazals, . pouvoir selon son bon plaisir ? croire ceux qui le trompent, et à se tourner contre 28 Mardi. s Cyrille, E. Les Junies, Soturac. Non, le prince légitime est tenu de respecter tous ceux qui se dévouent pour son bien ; mais on doit Samedi dernier, un transport de justice a eu 29 Mercr. s François de S-Pantaléon, , Gour- jes droits des individus et de la nation ; son autorité désirer et demander la reconnaissance du droit du lieu, dans la matinée, à Drégoulène, commune Sales. don. n'est légitime que dans les limites de la constitution comte de Chambord dans l'intérêt de la nation tout de Gourdon, à l'effet de constater un suicide qui 30 Jeudi. se Martine. du peuple qu'il a mission de gouverner. entière : Par lui et en lui, elle trouve le moyen de don- s'était accompli la nuit précédente. Nous igno- 31 Vend. s Pierre-No- ner un droit véritable pour base à son gouvernement rons les causes qui ont pu pousser le malheureux Une personne, une famille, souveraine légitime- lasque. et de se mettre ainsi à l'abri de ces changements Delcros à cet acte de suprême désespoir. Nous 1 Samedi s Ignace. Cahors, Rouquayroux. ment, peuvent-elles perdre le droit à la souverai- perpétuels, toujours si chers sous tous les rapports. savons seulement que c'est à l'aide d'un fusil qu'il neté? Quel reproche fait-on au comte de Chambord ? a mis à exécution son funesle projet. Oui, si elles se mettent clairement, évidemment, 9 37 du soir. 3 P- Q- le 5, à en dehors des conditions exigées par la constitution On lui fait le reproche de ne pas se donner assez m P. L. le 13, à . 4 32 du soir. du peuple, de la nation. de mouvement pour faire valoir ses droits, pour se © D. Q. le 21, à 8 40 du soir. Le Lot croît toujours. S 36 du soir. Ainsi, vu la constitution de la société en Europe, faire connaître, pour combattre les sottes calomnies m N. L. le 28, à à cette époque, Henri IV, avant sa conversion, n'a- qu'on répand contre lui. Ce reproche est bien un La Garonne continue à grossir. Ellecouleaplein vait pas droit à la couronne. peu mérité, mais il montre que le comte de Cham- bords devant Agen, a inondé la prairie de Pont- bord n'est pas avide du pouvoir, et, que si on lui en Canal et arrive sur l'esplanade du Gravier au Dernières nouvelles Un membre d'une famille souveraine légitime confie l'exercice, on n'aura pas à craindre qu'il ou- moment où nous mettons sous presse. d'un pays, peut-il perdre son droit à la succession blie les intérêts de la nation pour s'occuper avant Dans le Gers, tous les cours d'eau ont dé- Le Courrier de France a donné, dans un du pouvoir ? tout d'affermir le pouvoir en ses mains. bordé avec une grande violence qui rappelle les de ses derniers numéros, la nouvelle sui- Certainement, il a toujours été admis que, dans vante : (Un de vos abonnés.) inondations de 1855 et 1856. Un voyageur ar- le cas de félonie manifeste, le félon perdait son droit rivé ce malin d'Auch par le chemin de fer, nous « Nous avons le regret d'annoncer que la maison à la succession du souverain contre lequel il se ré- dit que toutes les plaines sont couvertes d'eau et Rothschild, de Paris, a échoué dans les négocia- voltait, à la souveraineté du pays qu'il trahissait. On que la voie a été submergée, hier, aux environs tions qu'elle a entamées à Londres pour établir les ne peut pas, tout à la fois, nier et affirmer le même Chronique locale de l'Isle—de-Noë entre Auch et Mirande. bases financières du traité à intervenir entre la principe; attaquer et revendiquer un même Cependant nous croyons savoir qu'aujourd'hui France et la Prusse, au sujet du payement du cin- droit. et méridionale. la circulation a pu être rétablie. quième et dernier milliard. Qu'adviendrait-il dans le cas d'extinction d'une Le temps est un peu moins mauvais ce soir, » Toutefois, bien que nous tenions cette nouvelle d'une source que nous savons sûre, nous croyons race en possession légitime de la souveraineté chez le baromètre a monté et nous avons lieu d'espé- ne devoir la publier que sous toutes réserves, dans uDe nation ? Le préfet du Lot recevra le jeudi soir 30 rer que ce temps calamiteux va cesser. janvier, et les lundis 3, 10 et 17 février. l'espoir qu'elle n'est peut être pas définitive, et que Dans le cas d'extinction d'une race souveraine, la la négociation en question pourra être reprise. » nation a le droit soit de modifier la forme du gou- ETAT CIVIL DE LA VILLE DE CAHORS Cette nouvelle n'est qu'une insigne fausseté. vernement, soit de chosir une race nouvelle. No- Le président de la République française, Plusieurs journaux l'ont déjà réfutée de la tons que l'existence d'un souverain légitime n'em- Du 11 au 18 Janvier 1873. Sur le rapport du ministre de l'instruction manière la plus positive; mais le Journal officiel pèche pas que ce souverain et la nation, agissant publique des cultes et des beaux-arts, Naissances. doit la démentir à son tour non moins énergi- d'accord, ne puissent introduire, dans la constitution et dans le gouvernement, les modifications et les Décrète : Dajean (Marie), à Regourd. — Cammas (Pierre- quement parce qu'elle est de nature a porter er er changements rendus nécessaires par les changements Art. 1 . A partir du 1 janvier 1873, le Léon), à Cabessut. — Couderc (Séraphine), rueAm- atteinte au crédit public. Le Gouvernement peut survenus dans l'état de la société. traitement minimum des instituteurs adjoints est banée. — Ruffin (Marie-Irma-Lorence), rue Chan- jusqu'à un certain point tolérer et dédaigner les porté à 600 francs ou à 500 fr., selon la classe trerie. — Savignac (Eugène), coin de Laslié. — attaques personnelles et les critiques calomnieu- La France est-elle dans le cas de vacance du pou- Marty (Jean), à Cabessut. — Magot (Marianne), cul à laquelle ils appartiennent. de sac l'Araigné. ses dont il est l'objet ; mais il serait de son de- voir ? Art. 2. A partir de la même époque, le trai- voir de sévir avec rigueur contre des publications Mariages. Heureusement cela ne paraît pas. Il existe en- tement des institutrices adjointes est fixé à 500 perfides et coupables qui risquent de compro- core un héritier des derniers rois légitimes ; il n'a francs. Andrieu fJean) et Séval (Isabelle), dite Marie. — mettre tout à la fois beaucoup d'intérêts parti- Carriol (Joseph) et Belluc (Jeanne). jamais renoncé à son droit ; il a toujours eu soin Art. 3. 11 sera pourvu aux dépenses résultant culiers, et l'intérêt même de l'Etat au profit de le revendiquer ; on ne peut lui opposer aucune de l'exécution du présent décret conformément Décès. sans doute de quelque misérable spéculation. cause d'indignité; il a les connaissances et les vertus aux dispositions de l'art. 14 de la loi du 10 Julia (Marie), ménagère, 59 ans, rue Sle-Barbe. (Journal officiel)). qui rendent dignes du trône ; sa probité, unanime- avril 1867 et de celles de la loi de finances sus- — Courbés (Jean), cultivateur, 85 ans, a la Ci- ment reconnue, proclamée par ses adversaires eux- visée pour l'exercice 1873. tadelle. — Ayot (Marie), 90 ans, St-Georges. — On lit dans la Patrie : mêmes, offre la meilleure garantie pour un bon gou- Labourianne (Victor), 15 jours, rue du Peigne.— vernement. Gaubert (Louis-Pierre-François-Joseph-Justin). — Enfin la commission des Trente a passé un'bras Blosse (Victor), 18 mois, à la gendarmerie. de rivière ! Ellle a voté l'article 1er du projet en dis- Pourquoi disons-nous heureusement ? Par décision ministérielle du 11 janvier 1873. cussion, y compris le paragraphe additionnel proposé Parce que le changement de race, l'avènement M. Archinard, général de brigade disponible, par M. Decazes et qui stipule, on se le rappelle, que d'une race nouvelle, est régulièrement une cause est nommé au commandement de la 1er brigade le président pourra être entendu dans la discussion de trouble et d'agitation ; parce que les princes nou- de la lre division d'infanterie du 3e corps de Bulletin Agricole des lois. Ce vote n'a pas été acquis, ni ce résultat veaux sont ordinairement tentés des'occuper de l'af- l'armée de Versailles. atteint, sans de grandes et laborieuses peines. fermissement de leur pouvoir, de l'enrichissement La minorité de la commission, le parti qui tient de leur famille, plus que du bien de l'état; parce pour M . Thiers, les républicains, amis acharnés du Paris, 23 janvier 1873. que, trop souvent, pour établir leur pouvoir, ils pouvoir personnel, MM. A. Grévy et surtout Em- M. Compère, musicien de lre classe au 88e mettent en œuvre des moyens dangereux ; ils em- Le temps est toujours mauvais; les vents du manuel Arago, tous ces personnages ont fait des de ligne, est nommé sous-chef de musique au ploient les deniers de l'Etat, pour se créer des amis Sud-Ouest, ce matin, sont plutôt Nord cette efforts inouïs pour embarrasser encore la discussion, 12e de ligne. et des soutiens, ils corrompent pour dominer. De après-midi; la mer sur nos côtss est houleuse pour retarder le vote, pour mettre de nouveau en plus, la reconnaissance du droit dans la personne et le temps pluvieux dans un grand nombre de présence M. Thiers et la commission. du chef du gouvernement, raffermirait singulière- départements. Les prix des blés restent bien ment la notion du droit, dans les esprits; elle ga- VOLONTARIAT D'UN AN. tenus par suite des demandes régulières faites M. Thiers a été entendu par la commission rantirait puissamment le respect de tous les autres parla meneurie, et des offres plus restreintes de chargée d'examiner la pétition adressée par le droits. Liste supplémentaire des jeunes gens admis à contracter la culture. Les menus grains restent fermes aux prince Napoléon à l'Assemblée contre son expul- l'engagement conditionnel d'un an. Mais le comte de Chambord n'a pas d'en- cours précédents, et les farines, malgré une pro- sion. Les explications données par M. Thiers sur fants? Agriculture. duction plus considérable, maintiennent encore la mesure dont a été l'objet le cousin de Napoléon MM. Qu'importe, il a des cousins qui peuvent être ses les prix aux cours extrêmes de 40 à 43,50 les III, montrent que le chef du gouvernement est Marroncle (E.-P.-G.) de Cardailllac, Bien. 100 kil., suivant qualité. Sur nos places mariti- fermement décidé à revendiquer pour lui-même, héritiers et ses successeurs. Sans doute, à la con- Delpech (Antoine), de , id. dition de reconnaître son droit, et de le respecter mes les affaires sont calmes, mais les prix soute- tout autant que pour le conseil des ministres, la Lacoste (Louis-L), de , Asssez-bien. eux-mêmes. nus. A Marseille, les ventes d'hier soir ont été de responsabilité de cet acte, à propos duquel il a Delbos (Hippolyle), de , Passable. 16,000 hect. dont 3,200 hect. à livrer, les prix prononcé le mot de question d'Etat. Mais le comte de Chambord ramènerait la rente et Albagnac (Michel-Ambroise), de , id. tenus plutôt en laveur des vendeurs. A Nantes,la la dîme? Commerce. demande sur les blés est meilleure aux prix pra- Berlin, 23 janvier. MM. tiqués. En farines, on a vendu 1000 sacs secon- Le comte de Chambord ramènerait sans doute La cour a pris le deuil hier pour une semaine Fraysse (P.-B.-F.-A.), de Luzech, Assez-bien. des à 65 fr. le sac de 159 kil. A Bordeaux, beaucoup de choses. Il ramènerait le respect de tous à l'occasion de la mort de Napoléon III. les droits, la probité dans le gouvernement, l'écono- Lugan (P.-S.-M.), de Luzech, id. affaires toujours peu actives, les blés tenus à mie véritable dans les finances, l'impartialité dans 24 fr. les 80 kil. et les farines de 41 à 43,50 l'administration, la possibilité de vraies et solides les 100 kil. La comtesse de Paris est toujours malade, et alliances. La commission instituée par M. le Général c'est-là, dit-on dans les cercles légitimistes, ce Marchés aux bestiaux de La Villette. Quant à la dîme et à la rente, ce sont des trompe- commandant la 12e division militaire, pour qui retarde le départ du comte pour Vienne où Paris, 23 janvier 1873. nigauds, mis en avant par des individus intéressés à constater les connaissances hippiques des vo- se trouve actuellement le comte de Chambord. empêcher l'établissement d'un gouvernement honnê- lontaires d'un an, du département du Lot, qui Bœufs, 1 fr. 70 à 2 fr. ; te et solide qui ne leur permettrait pas de s'en- Vaches, 1 fr. 60 à 1 fr. 90 ; veulent servir dans les troupes à cheval, se réu- Paris, 24 janvier 1873, 11 h. 20matin. Taureaux, 1 fr. 60 à 1 80; graisser et de s'élever aux dépens du peuple. Quelles nira, à une heure du soir, le 6 février prochain, Veaux, 1 fr. 95 à 2 fr. 45; M. de Goulard, ministre de l'intérieur, a sont donc les œuvres de ces hommes qui, sans en à Montauban, au quartier de cavalerie. croire un mot, nous parlent sans cesse du retour de Moutons, 1 fr. 85 à 2 fr. 30; déclaré, hier, dans la commission Savary, que le la rente et de la dîme ? Nous leur devons les gros Porcs gras, 1 fr. 34 à 1 fr. 50. gouvernement comptait convoquer, au com- budgets, les grosses armées, les dettes toujours Porcs maigres, 1 fr. 30 à 1 fr. 50. mencement du mois d'Avril, les électeurs pour croissantes, les 45 centimes, les journées de juin, les Le 23 courant a 1 heure et demie du soir, Vente active sur les moutons et les porcs. les élections partielles destinées à pourvoir les mademoiselle Elisa G..., âgée de 16 ans, fille de désastres dé la dernière guerre, Sedan, Metz, la Toulouse, 23 janvier. sièges vacants à l'Assemblée nationale. perte de l'Alsace et de la Lorraine, les millions et le M. G.., demeurant sur le boulevard à Cahors, était s Bladettes et blé fins supérieurs 80k 24 f. à 24 25 milliards dissipés ou payés à l'étranger, enfin la montée au grenier pour y prendre quelques id. jolies qualités .. 23 f. à 23 25 Commune.... buchej, qu'elle jetait par la fenêtre du Bourse de Paris. id. ordinaires .. 32 f; En réalité, est-ce dans l'intérêt du comte de grenier dans la cour, lorsque son petit frère âgé Blés mitadins fins .. 22 f. Paris, 25 janvier 1873, soir. Chambord, qu'on doit demander la reconnaissance de 6 ans, qui se trouvait dans le corridor du Maïs blanc de son droit? 75 11 f. à 13 00 Rente 3 p. »/° 54,35 bas, eut la malheureuse idée de vouloir rentrer Seigles 75 13 50 à 13 75 — *1/2 p. % 78,75 Assurément non : sans être bien riche comme ces bûches; sa sœur continuant a en jeter d'au- Avoines 50 8 75 à 9 00 — 5 p. V. 89,25 — 5 p. o/o prince, puisque, d'après la loi de sa famille, les tres, l'une d'elles lui tomba sur la tête. 87>25

m JOURNAL DU LOT

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