Nicolas Horvath

Par Frédérick Martin

D’abord reconnu comme grand interprète de Liszt, Nicolas Horvath est devenu en quelques années l’un des pianistes les plus recherchés de sa génération. Titulaire d’un grand nombre de prix, dont le Premier Prix du Concours International Scriabine et le Premier Prix du Concours International Luigi Nono, il organise fréquemment des événements et des concerts de durées inhabituelles, parfois plus de douze heures, comme l’intégrale de la musique pour piano de ou les d’. Des compositeurs de dizaines de pays ayant écrit pour lui, Nicolas Horvath se fait le champion de toutes les esthétiques. Il est également artiste Steinway. Au-delà de sa carrière de virtuose qui l’amène à voyager un peu partout dans le monde, Nicolas Horvath est également compositeur, ©Perla Maarek il associe d’ailleurs à son travail de création des musiciens venus de tous horizons.

Quelques critiques:

"Sens du récit, pédale économe, richesse de la pâte sonore et caractérisation intelligente des différents plans. Un artiste à suivre." Diapason

“Horvath’s playing is simply jaw-dropping, his dynamic range knows no bounds. He penetrates and illuminates the quiet, contemplative passages with the intensity of a highly focused beam of light.” Fanfare

"a prodigious pianist” The New Yorker – Sam Sweet

"Nicolas Horvath: fantastic & unique pianist !" Régis Campo “Une brillante démonstration de virtuosité au piano“ Nice Matin - Francine Otto

“Un hypnotique enchantement... Guettez ses prochains concerts !“ Jean-Yves Leloup

"a legendary pianist” Vogue (ukrain)

"The man with fingers of steel" Paul Wehage

“Le jeune et brillant pianiste Nicolas Horvath s'est livré, samedi dernier au Théâtre municipal de Perpignan à un parcours performance: interpréter la quasi totalité des œuvres d'Eric Satie. Salutaire initiative de ce musicien émérite, le public connaît surtout les Gymnopédies et autres Gnossiènes. Confronté à ce monument, concentré, Nicolas Horvath s'y plonge avec beaucoup de finesse, tenant allègrement la distance.“ le Travailleur Catalan - Nicolas Gaspon

“Nicolas Horvath performance is beyond phenomenal! His emotional intensity is impecable - the subtely, the grace , the courage to play every note like it's the last.“ Michael Vincent Waller

“Nicolas Horvath is a player of refreshing candour and deeply felt musical conviction, allied to but not dominated bu a comprehensive technical armoury. The Toughtfulness of Mr. Horvath's playing, demonstrated by a fluency always subject to musical poetry, makes his work stand head and shoulders above many of his contemporaries.“ Leslie Howard

“an amazing interpreter... Virtuoso technique, uncanny ability to interpret challenging scores, and always places his emotionally charged energy in his performances” Bil Smith Biographie longue www.nicolashorvath.com Considéré comme un artiste hors norme au parcours atypique, Nicolas Horvath commence ses études musicales à l’Académie de musique Prince Rainier III de . A 16 ans, Lawrence Foster le remarque lors d'un concours et l'invite, en lui obtenant pendant trois ans une bourse de la Fondation Princesse Grace, au Festival de Musique d'Aspen. Après des études à l’École Normale de Musique de , Il travaille pendant 3 ans avec Bruno-Léonardo Gelber, avec Gérard Frémy qui le sensibilise aux musiques de notre temps ainsi qu'Eric Heidsieck, Philippe Entremont et Oxana Yablonskaya. Leslie Howard le remarque et l’invite à se produire dans le cadre de la Liszt Society, et lui dédie une de ses «Etudes in Black and White».Grâce à Leslie Howard, Nicolas pourra approfondir et compléter ses connaissances de l’œuvre de . Passionné de musique contemporaine, il travaille pour Régis Campo, Denis Levaillant, Jaan Rääts, Kazuo Missé, Frederick Martin... Dans le cadre d'une carte blanche du Palais de Tokyo (Paris) en avril 2014, il commande à plus de 120 compositeurs de plus de 50 pays et de cultures musicales diverses, des «Hommages pour Philip Glass». Nicolas est dédicataire de plus d'une cinquantaine d’œuvre (concertos, sonates, étude, toccata, préludes et pièces diverses), et est aussi compositeurs électroacoustique. Il se fait remarquer en remettant au goût du jour les fameux «All Night concerts» de Terry Riley avec ses Nuits du Piano Minimal, son GlassWorlds, mais aussi les récitals marathons ou il interprète seul et sans pause l'intégralité de la musique de Philip Glass, ou celle d'Erik Satie. Il se produit en soliste avec l'Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, le Palm-Beach Symphonic Orchestra, l'Orchestre National de Kiev, et dans des festivals tels que le Palm Beach Atlantic Piano Festival, Gabala Piano Festival, BSI Monte-Carlo Music Master, Canto XL, la Saison 2 du Palais de Tokyo. Lauréat de concours internationaux, il obtiens un 4ème Prix et Prix Spécial Franz Liszt lors du Concours International de Yokohama qui lui permet de se produire au Minato Mirai, le 2ème Prix à Fukuoka lui permet de participer au Nishin-Nihon Debut Recital Series, le 1er Prix American Protégé lui ouvre les portes du Carnegie Hall's Weill Hall. En 2014 lors du concert d'ouverture de la saison d'hiver, il interprétera l'intégralité des 5 concerti sur des thèmes originaux de Franz Liszt avec l'Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, une première. La sortie de son premier album «Christus de Franz Liszt» aux Editions Hortus reçu des critiques très positives, tant auprès du public (les deux éditions en rupture de stock en 4 mois) que de la presse (Fanfare: Highly recommanded ; Diapason: Un artiste à suivre). Actuellement il enregistre pour Naxos Classical l'intégrale de la musique pour piano de Philip Glass; sous la direction de Robert Orledge et d'Ornella Volta une intégrale corrigée et mise à jour de la musique d'Erik Satie pour Sheva Collection et se prépare à enregistrer sous la direction du compositeur, l'intégralité des sonates pour piano de Jaan Rääts.

Nicolas Horvath est un Artiste Steinway. Revue de Presse:

"one of the most extraordinary concert events in music history" "a superhuman feat!" Lawrence Ball David Toub

"a stellar line up of world class composers in a monumental "Hats off to Nicolas Horvath and his mighty endeavor GlassWorlds" event dedicated to the iconic Philip Glass” William Susman Bil Smith

"I admire Nicolas boldness in taking on such an expansive project" "This is the marathon of Nicolas Horvath. His ten-hours mission: to explore beautiful new music, to seek out new John Luther Adams music and new composers, to boldly go where no man has gone before." "Horvath is doing a great thing for new music!" Douwe Eisenga Tom Chiu

"bravo pour cet impressionnant concert-marathon, "an epic event" programmation qui prouve que l'équation Andrew Chubb musique"contemporaine" et prestige de l'interprétation sont d'une vitalité musicale réconfortante..." "a truly historic concert" Françoise Levéchin-Gangloff Steve Kornicki

"une musique servie par un magnifique interprète : toute la "a great homage to a great composer" palette de couleurs, d’atmosphères, de lumières, de Daniel Lentz nuances dont on peut rêver et au-delà!" Jean-Christophe Rosaz "a wonderful project" John Psathas "un événement qui est et restera résolument singulier et magnifique" "un épico concierto" David Christoffel Leoncio Lara Bon

"Merci pour cette performance extraordinaire !!! C'était "a unique and tantalising idea" captivant, magique, émouvant ! Un immense bravo !" Tom Service - The Guardian Vittoria Matarese ResMusica (11 Mars 2013) par Nicolas Mesnier-Nature. Note: 5/5 – A Emporter

Le pianisme sûr de Nicolas Horvath, remarqué par Leslie Howard, grand lisztien encyclopédique, réussit à construire un ensemble cohérent de ce qui aurait pu virer en mosaïque déstructurée. Des multiples facettes de cette fresque religieuse en ressort une musicalité générée par une aisance certaine à rendre nettes les parties chargées du texte et à éviter de remplir inutilement de son les plus volontairement dépouillées. Un travail intelligent qui sort du quotidien destiné aux lisztiens avertis..

Diapason (Avril 2013) par Laurent Marcinik. Note: 4 Diapasons Sens du récit, pédale économe, richesse de la pâte sonore et caractérisation intelligente des différents plans. Rien à redire aux rafales terrifiantes de la tempête du Miracle, ou au chromatisme titanesque de Tristis est anima mea, qui convient beaucoup mieux à la personnalité de Horvath. Coup de chapeau pour l'hymne O Filii et Filae conclusif, antipianistique au possible mais tendrement suggéré ici. Un artiste à suivre.

Fanfare (July 2013) par Jerry Dubins Horvath’s playing is simply jaw-dropping. His dynamic range knows no bounds—you won’t believe it’s possible for one pianist playing one piano to make sounds like this—and there are moments where you’d swear that Horvath has to have more than 10 fingers. But he’s by no means all glitz and no substance. He penetrates and illuminates the quiet, contemplative passages with the intensity of a highly focused beam of light. The recording has to be one of the most phenomenal piano recordings I’ve ever heard. This is not the sort of music or program that ordinarily shows up on my annual Want Lists, but this one might just be an exception. Urgently recommended.

Philadelphia Citypaper (26 decembre 2013) par Peter Burwasser #7 Top 10 classical albums of 2013 Liszt reduced his massive oratorio on the life of Christ to solo piano. For some reason, it is rarely performed, but it is a quietly powerful masterpiece. French pianist Horvath makes it sing.

Fanfare (July 2013) par Colin Clarke This disc offers a unique contribution to the discography: more, it is a musical triumph.

Audiophile Audition (03 Juin 2013) par Gary Lemco Note : **** Rifle with wonder and mystery Pianist Nicolas Horvath realizes Liszt’s monumental Christus oratorio as an eight-movement cycle of religious devotion and keyboard wizardry, always in epic proportions.

La Lettre du Musicien (Juin 2013 n°434) « Nicolas Horvath : un oratorio au bout des doigts » Un enregistrement particulièrement cohérent qui rend justice à cette musique inspirée que Liszt considérait comme l'un des sommets de son art

Changez de disque (France Musique 03 Avril 2013) par Emilie Munera Grand poème mystique qui représente vraiment le Liszt de la dernière période , on est loin de ce qu'on entend d'habitude, du grand romantisme , là on est plutôt dans l épure avec une musique qui se fait extrêmement moderne par endroits. Cette œuvre est connue Nicolas Horvath en a donc tiré trois extraits inédits Choix audacieux, très intéressant fait par ce jeune pianiste, trois morceaux restés inédits. Pas le Liszt le plus facile, peut être plus pour les initiés. Et c'est l'occasion de découvrir Nicolas Horvath. Fanfare (September 2013) par Peter Burwasser The apparently simplistic construction conquered me with stealth beauty. I’ll give Horvath, a very fine young French artist, a good share of the credit for his ability to portray an almost naïve sense of awe in the music, which can seem both child-like and wondrous.I did end up listening to the original full choral version of Christus (the Rotterdam/Conlon performance). I am glad to come to know this strangely beautiful work, but, somewhat surprisingly, it did not reduce my affection for this solo piano version, which I find to be mysteriously bewitching. If this were an LP, I would have worn it out by now.

Radio Notre Dame (Mars 2013) par Delphine Freyssinet Disque du mois Le pianiste Nicolas Horvath présente ici au disque une magistrale version pour piano solo en première mondiale : c’est une découverte passionnante qui permert de suivre et d’approfondir les intentions les plus intimes et le message musical le plus exact du compositeur dans ce cycle musical d’une superbe authenticité tant musicale que religieux. A recommander ...

Lexnews (Mars 2013) Nicolas Horvath, brillant pianiste particulièrement inspiré par la musique de Liszt et remarqué par le grand Leslie Howard, s’est attaqué à cette œuvre monumentale, pour notre plus grand plaisir, car il n’est pas toujours chose aisée, même avec l’art de Liszt, de donner autant d’intensité à une transcription de 70 minutes en comparaison des trois heures de l’œuvre pour orchestre que l’on a en mémoire à l’écoute de ce disque… Et pourtant le résultat est saisissant, car le pianiste parvient à redonner souffle à une narration ciselée de nuances, où chaque tableau émerveille l’oreille autant que l’imagination. Nicolas Horvath surprend par cette grande maturité qui lui permet d’insister sur les instants précieux tels ce Chant des bergers à la Crèche digne des plus belles évocations de Lorenzo Costa dans la peinture de la renaissance italienne ou encore ce majestueux Tu es Petrus. Et que dire de ce passage si fort Tristis est anima, une douleur évoquée par les accords graves répétés, avec des accents qui préfigurent les dernières œuvres de Liszt (Nuages gris, Unstern…).

On-Mag (14 Mars 2013 ) par Yvette Laval. Note: 5/5 Au final, de même que Karl Valentin disait que toute pièce de théâtre doit raconter l’histoire du théâtre, de même ce « Christus » pour piano se révèle être, en même temps qu’un oratorio sur le Christ, un oratorio sur l’histoire de la musique liturgique. Et Nicolas Horvath l’a bien vu. La cohérence de ce CD est évidente.

Musical Toronto (13 juin 2013) par John Terauds Nicolas Horvath’s brave journey through Franz Liszt’s Christus Monégasque pianist Nicolas Horvath is building a career out of making sense of the difficult — be it new music or the later works of Liszt. In his début album issued on the Éditions Hortus label, Horvath does a double-Liszt with the composer’s own piano-solo transcription of his massive oratorio Christus, published in 1872. These transcriptions essentially meld choral and instrumental parts into plenty of work for 10 fingers. There are gorgeous moments when Liszt reaches back to the simplicity of plainchant. There also are extravagant dramatic outbursts with crashing chords and and virtuosic runs. But the bulk of the music is a quilt of meek-and-mild episodes sprung from the composer’s fertile imagination — more noodling than drama. Horvath approaches the music with breathtaking dexterity and gives it momentum wherever he can find some. Here is a pianist with a powerful sense of where his interpretation needs to go.

L’Éducation Musicale (Avril 2013) par Patrice Imbaud. Superbe interprétation de Nicolas Horvath qui sait laisser place à la musique, ne sombrant jamais dans une vaine et quelconque virtuosité, exaltant par son jeu toutes les facettes de cette partition complexe, véritable parcours initiatique. Tour à tour orchestral ou confident, son piano, toujours juste et expressif, sait respecter les silences et les articulations pour donner à cette œuvre toute sa beauté, parfois aride, et sa transcendance. Un disque rare et indispensable à tous les amoureux de Franz Liszt.

Piano Addict – Great find

Utmisol (Mars 2013) par Danielle Anex-Cabanis Christus – poème symphonique pour piano Nicolas Horvath, dont on connaît l’engagement pour la musique contemporaine dans laquelle il excelle, monte ici une nouvelle dimension de son talent par un jeu d’une grande richesse. Il alterne douceur et subtilité avec des effets sonores plus amples exigeant une maîtrise technique exceptionnelle, car l’œuvre est complexe, tant Liszt l’a chargée d’un message profond, une sorte de synthèse de tout ce qui est essentiel pour lui. Peut-être même que, même si six chants sont absents, ce condensé a une profondeur plus grande, parce la musique est plus épurée. C’est en tout cas un très bel enregistrement Larkreviews (Février 2013) Christus is rarely heard in its oratorio form, and this arrangement of eight movements for piano is even rarer. However it draws on Liszt’s lifetime of experience as both composer and believer to bring a subtlety and conviction which in other works can appear bombastic. The simplicity of Pastorale , the might of the Foundation of the Church and the unexpected gentle warmth of the Easter Hymn all seem more persuasive in piano version than the full choral epic.

Piano Bleu : Disque de la semaine

L'1nvisible (Mai 2013) Dans ce merveilleux CD, toute la douceur du piano de Liszt nous fait pénétrer par les sens dans le mystère de la vie du Christ. Laissez vous faire: ça file des oreilles tout droit vers le coeur... L'âme est comme soulevée par l'émotion qui se dégage de ce poème symphonique. La foi pénètre aussi par la beauté.

Francis Benoît Cousté (Mars 2013) De ce monumental poème symphonique en trois parties, retraçant la vie du Christ (Oratorio de Noël, Après l’Épiphanie, Passion et résurrection, 1862-1866), il existait une version pour piano solo, dont voici le premier enregistrement mondial. En huit parties, cette fois: Introduction, Pastorale, Chant des bergers à la crèche, Marche des rois mages, La fondation de l’Église, Le miracle, Tristis est anima mea, O Filii et Filiæ. Merci à l’excellent pianiste qu’est Nicolas Horvath de nous restituer ces pages de haute spiritualité. Sans les ordinaires "effets de manche", propres - chez Liszt - à tant de ses confrères...

Music Broadway World (14 Mai 2013) French pianist Nicolas Horvath is heard in his recording debut with this fascinating solo piano version of Liszt's monumental oratorio Christus.

Église de Beauvais – revue diocésaine ( Juillet - aout 2013) par Jacques Yvert Nicolas Horvath, jeune pianiste au talent exceptionnel, réussit à reproduire le dépouillement voulu par le compositeur pour cette fresque religieuse. Cet enregistrement du Christus de Liszt restera sans doute l'une des meilleures interprétation de cette œuvre.

Paulinus (21 Avril 2013) par Christoph Vratz Oratorium für 20 Finger Nun hat der monegassische Pianist Nicolas Horvath dieses Werk in Auszügen in einer Klavierbearbeitung vorgelegt – wer die entsprechenden Gesangstexte vermisst: Sie werden im Beiheft nachgereicht. So klingt das Oratorium in dieser rein instrumentalen Fassung natürlich schlanker, durchsichtiger, transzendenter.

Classical-Modern Music Review blogsite (31 Juillet 2013) par Grego Applegate Edwards The end experience is quite moving and orchestral in breadth and expanse. Nicolas Horvath handles the music with all the versatility, sensitivity, passion and technical heroics the music requires. It's most definitely a revelation to hear the complete eight-part piano version performed in its entirety. And Horvath triumphs in so doing! Definitely recommended, for all Lisztians, solo piano aficionados and those who want to experience the bridging of romanticism into modernism. Fabulous!

L'Hébdo-Le Comtadin (17 Octobre 2013) par Philippe Gut Cd coup de cœur: Christus C'est une transcription pour le piano de huit des quatorze pièces de cet oratorio que l'on peut entendre sous les doigts d'une dextérité merveilleuse de Nicolas Horvath qui a une connaissance approfondie de l’œuvre pianistique de Liszt. (...) Une œuvre singulière, aux sonorités somptueuses, admirablement rendues par un pianiste d’exception.

Fanfare par Radu A. Lelutiu Horvath’s pianism is spectacular. While you might not know it from hearing the disc, these transcriptions are at times diabolically difficult to play, so much so that they make many of the Transcendental Etudes sound like a proverbial walk in the park. Horvath overcomes Liszt’s obstacles with almost superhuman ease, although it is clear at times that the fearsome demands of the score are pushing the limits of what is humanly achievable behind a keyboard. What’s more, Horvath almost makes you forget that an orchestra and platoon of singers are missing. To be sure, some of the movements (e.g., “The Three Magi” and “The Miracle”) work better as piano pieces than others, but all are worthwhile hearing. The quality of the recorded sound is very fine, although somewhat dry. Highly recommended. Laboratorienewmusic par Bil Smith In Nicolas Horvath's performance, Treatise, is interpreted and performed in the framework of Noise / Power Electronics music. The performer Nicolas Horvath is an active pianist and composer acquainted with wide range of musical theory and practice, and indeed has an ample repertoire from Franz Liszt to Philip Glass. Utilizing his knowledge of, and peculiar sensibility to, contemporary music, Horvath constructs abstract, creaking, and dizzying waves of pure electronic noise to reincarnate Cardew's ideas in an entirely new fashion. In this way Horvath try not only to offer another interpretation of Treatise, but also to demonstrate that harsh noise can have a real music form. Although the score of Treatise allows performers considerable freedom of interpretation, there seems to have been no attempt to perform this piece in such an absolutely harsh manner as Horvath does. Recommended for all those who are seeking another intriguing form of musical experiment.

Kulturterrorismus par Raphael Feldmann Meine absolute Empfehlung! Gerade eingefleischte Noise-/ Power Electronics Fetischisten, die japanische Interpreten wie MASONNA, MERZBOW & Co schätzen, könnte NICOLAS HORVATH‘s “Cornelius Cardew Treatise” zusagen, dessen Strukturen neben der Intensität oftmals durch totale Abstraktheit überzeugen. Insgesamt eine derbe Vorstellung von NICOLAS HORVATH, die ausschließlich Kenner(-inn)en vorbehalten beleibt! Fazit: Egal ob aus der Perspektive CORNELIUS CRADEV/ KARLHEINZ STOCKAUSEN oder Noise/ Power Electroncis betrachtet, dürfte “Cornelius Cardew Treatise” von NICOLAS HORVATH ein spannender Leckerbissen sein – meine absolute Empfehlung! PS: Individuen, die mit Hochtonnoise oder Abstraktheit (in kleinsten Dosen) nicht um können, lassen von NICOLAS HORVATH’s “Cornelius Cardew Treatise” defacto die Finger!

Prof. Virginia Anderson Cornelius Cardew specialist The most listeral version, fantastic !

Eve Beglarian : I just found your harsh version of Cornelius Cardew: I LOVE IT! IT'S BRILLIANT!!! Bill Smith This wonderful assemblage of under-documented gems is a. beautiful gift. Nicolas Horvath continues to disrupt in a most magical manner.

Philippe Hersant Un grand merci et un grand bravo à vous ! Votre interprétation de la lande, dans ce tempo très lent, presque dilaté, est vraiment impressionnante !