Mardi 24 Et Mercredi 25 Octobre Chaplin

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Mardi 24 Et Mercredi 25 Octobre Chaplin Jean-Philippe Billarant, Président du Conseil d’administration Laurent Bayle, Directeur général Mardi 24 et mercredi 25 octobre e r Chaplin - Cinéma en concert b o t c o 5 2 i Dans le cadre du cycle Les temps modernes d e Du mardi 24 octobre au mardi 7 novembre 2006 r c r e m t e 4 2 i d r a M t r e c n o c n e a m é n i Vous avez la possibilité de consulter les notes de programme en ligne, 2 jours avant chaque concert, C à l’adresse suivante : www.cite-musique.fr - n i l p a h fip C Cycle Les temps modernes DU MARDI 24 OCTOBRE AU MARDI 7 NOVEMBRE Comment oublier le désopilant portrait que brossait Chaplin de la société MERCREDI 18 OCTOBRE industrielle dans Les Temps modernes ? Le petit homme au chapeau et à la canne semble y danser au milieu des machines les plus folles, comme Spectacle jeune public la machine à nourrir le travailleur, qui s’emballe de façon irrésistible… Bâ-Ti-Boum Concert sur instrumentarium original Tournant le dos à la vogue nouvelle des talkies , Les Temps modernes et Les Lumières de la ville , ni parlants ni muets, font entendre tout aussi Conception et musique bien des voix impersonnelles et autoritaires d'hommes-machines que le charabia de Jean-Louis Mechali de la chanson de Charlot ( Les Temps modernes ) ou les borborygmes des discours Textes et mise en scène officiels ( Les Lumières de la ville ). Les deux films s’appuient aussi beaucoup de Régis Hébette sur des musiques composées par Chaplin lui-même, que Carl Davis revisite et fait revivre dans toute leur verdeur pour accompagner les gesticulations Compagnie Lutherie urbaine du vagabond aux prises avec la ville industrielle. Gaston Braka Alain Guazzelli Parmi les machines qui ont peu à peu peuplé le paysage urbain, il y a aussi Patrick Gigon des instruments de musique d'un nouveau genre, comme l’étonnant thérémin des années 1920, encore utilisé dans bien des musiques électroniques d’aujourd’hui. Le « capteur gestuel » en est en quelque sorte l’héritier : MARDI 24 OCTOBRE, 20h il traduit les mouvements du corps de l’interprète en données numériques, qui à leur tour modulent le son et l’image. Les Temps modernes Film de Charles Chaplin Dans les années 1930, John Cage invente le « piano préparé », à la sonorité Musique de Charles Chaplin radicalement altérée par des objets insérés entre les cordes, tandis que Varèse États-Unis, 1936, 89 minutes écrit pour une nouvelle flûte de platine ( Densité 21.5 ) Orchestre de la Radio flamande Autre machine musicale, la platine, utilisée par Matt Black et Jonathan More Carl Davis, direction (Coldcut). Explorateurs d’une esthétique du collage généralisé, ces deux DJs de la scène britannique produisent depuis le milieu des années 80 d’impressionnants remixes (de l’album Say Kids, What Time Is It ? en 1987 jusqu’à Sound Mirrors MERCREDI 25 OCTOBRE, 20h en 2006) qu’ils accompagnent, en concert, de projections d’images mixées. Les Lumières de la ville Les sons de la ville s’invitent dans la musique, comme chez Varèse avec Film de Charles Chaplin Ionisation (1933), qui utilise les sirènes d’alarme, instruments emblématiques Musique de Charles Chaplin et José des temps modernes également présents chez Steve Reich dans Different Trains Padilla (thème « La Violetera ») (1988). Chez Berio, c’est une cité toute bruissante des cris de ses vendeurs États-Unis, 1931, 81 minutes qu’évoque Cries of London , tandis que Streets , une création de Bruno Mantovani, dépeint la « suractivité humaine d’une ville comme New York ». Orchestre de la Radio flamande Carl Davis, direction Enfin, l’espace est au cœur de La Célébration des Invisibles de Philippe Hurel (né en 1955), à travers la trajectoire des sons, comme de Réseaux (1996-2003), du compositeur Hanspeter Kyburz, qui a recours à la théorie du chaos et à la géométrie fractale pour tramer un espace fait de motifs sans cesse variés, non sans analogie avec Pierre Boulez qui, dans Dérive 2 (1988-2002), poursuit une captivante méditation sur la cohérence. 2 SAMEDI 28 OCTOBRE, 15h DIMANCHE 29 OCTOBRE, 16h30 MARDI 7 NOVEMBRE, 20h Forum Edgar Varèse Hanspeter Kyburz Les instruments des temps modernes Densité 21.5 , pour flûte Réseaux John Cage Bruno Mantovani 15h Conférence Sonates et Interludes , pour piano Streets (commande de l’Ensemble La nouvelle lutherie au XX e siècle préparé (extraits) intercontemporain, création) Marc Battier, musicologue Iannis Xenakis Pierre Boulez Kottos , pour violoncelle Dérive 2 16h Table ronde Steve Reich Animée par Hugues Genevois, Vermont Counterpoint , pour flûte Ensemble intercontemporain chercheur et bande Pierre Boulez, direction Avec Thierry Maniguet, Different Trains , pour quatuor conservateur au Musée de la à cordes et bande musique, Laurent Dailleau, thérémin, et Nadia Ratsimandresy, Solistes de l’Ensemble ondes Martenot intercontemporain 17h30 Concert Sensors Sonics Sights SAMEDI 4 NOVEMBRE, 20h Cécile Babiole, capteurs, ordinateur Edgar Varèse Laurent Dailleau, thérémin, Ionisation (version pour six ordinateur percussionnistes) Atau Tanaka, biomuse, ordinateur Luciano Berio Cries of London Philippe Hurel SAMEDI 28 OCTOBRE, 20h La Célébration des Invisibles (création) Soirée Ninja Tune Percussions de Strasbourg Bonobo (live) Musicatreize Roland Hayrabédian, direction Cold Cut (live) Zero dB 3 MARDI 24 OCTOBRE - 20H Salle des concerts Modern Times (Les Temps modernes) Film de Charles Chaplin Musique de Charles Chaplin USA, 1936, 89 minutes Orchestre de la Radio flamande Carl Davis, direction Coproduction Cité de la musique, Radio flamande Fin du spectacle vers 21h30. 5 Les Temps modernes Production : Chaplin - United Artists Producteur : Charles Chaplin Réalisation : Charles Chaplin Scénario : Charles Chaplin Photographie : Roland Totheroh, Ira Morgan Assistants réalisateurs : Carter De Haven, Henry Bergman Direction artistique : Charles D. Hall, Russell Spencer Distribution Charles Chaplin, un ouvrier d’usine Paulette Goddard, la gamine Henry Bergman, le patron du café Stanley J. Sanford, Big Bill et un ouvrier Chester Conklin, le mécanicien Hank Mann, un cambrioleur Louis Natheaux, un cambrioleur Stanley Blystone, le shérif Couler Allan Garcia, le directeur d ’entreprise Sam Stein, le contremaître Juana Sutton, la femme à la robe à boutons Jack Low, un ouvrier Walter James, un ouvrier Dick Alexander, un prisonnier Dr Cecil Reynolds, l’aumônier de la prison Myra McKinney, la femme de l ’aumônier Lloyd Ingraham, le directeur de la prison Heinie Conklin, un ouvrier John Rank, un prisonnier Début du tournage : septembre 1933 Fin du tournage : 12 janvier 1936 Première : 5 février 1936, Rivoli Theater, New York Première londonienne : 11 février 1936, Tivoli Theater Longueur de bobine : 2476 mètres 6 MARDI 24 ET MERCREDI 25 OCTOBRE C’est dans Les Temps modernes que le petit vagabond a fait sa dernière apparition à l ’écran. Ce personnage avait permis à Charles Chaplin d ’accéder à une reconnaissance internationale et il reste, aujourd ’hui encore, le personnage de fiction le plus célèbre de toute l ’histoire de l ’art. Le monde auquel le vagabond fit ses adieux était très différent de celui dans lequel il avait vu le jour, deux décennies plus tôt, avant la Première Guerre mondiale. Il partageait et symbolisait alors les difficultés des laissés pour compte dans un monde qui sortait à peine du XIX e siècle. Dans Les Temps modernes , il est confronté aux répercussions de la Grande Dépression, à l ’arrivée du chômage de masse et à l ’automatisation grandissante de l ’industrie. Chaplin était particulièrement concerné par les problèmes sociaux et économiques de son époque. En 1931 et 1932, il quitta Hollywood pour une tournée mondiale de dix-huit mois. En Europe, il fut frappé par la montée des nationalismes et par les conséquences sociales de la Grande Dépression, du chômage et de l ’automatisation. Il lut des ouvrages d ’économie et imagina une solution économique basée sur une meilleure répartition non seulement des richesses, mais aussi du travail. Comme il le déclara dans une interview en 1931 : « Le chômage est la question centrale … Les machines devraient profiter à l ’humanité ; elles ne devraient pas être la cause de son malheur en la privant de travail. » Dans Les Temps modernes , Chaplin est parvenu à faire une comédie de ses inquiétudes et de ses observations. Le petit vagabond – présenté dans le générique comme « un ouvrier d’usine » – essaie, comme des millions d ’individus, de faire face aux problèmes des années 1930, qui ne sont pas si éloignés de ceux du XXI e siècle – pauvreté, chômage, grèves et briseurs de grèves, intolérance politique, inégalités économiques, tyrannie de la machine, drogues. La phrase solennelle sur laquelle s ’ouvre le film ( « L’histoire de l ’industrie, de l ’entreprise individuelle –l’humanité se débattant en quête de bonheur ») est suivie de la juxtaposition ironique de plans dans lesquels on voit d ’une part des troupeaux de moutons et, d ’autre part, des travailleurs sortant de l ’usine. Le personnage de Chaplin apparaît comme un ouvrier conduit à la folie par la monotonie, l ’inhumanité de son travail à la chaîne et utilisé comme cobaye pour tester une machine destinée à nourrir les ouvriers pendant qu ’ils travaillent. Fait inhabituel : le vagabond est soutenu par une compagne dans sa lutte pour un monde meilleur. Chaplin avait rencontré l ’actrice Paulette Goddard, dont il devait partager la vie pendant plusieurs années, à son retour en Amérique après sa tournée mondiale de 1931. C’est elle qui a inspiré le personnage de la gamine – une jeune fille dont le père a été tué dans une manifestation de travailleurs et qui unit ses forces à celles de Chaplin. « Ils ne sont ni rebelles, ni victimes, écrit Chaplin, mais ils représentent deux esprits libres dans un monde d ’automates. Nous sommes comme des enfants, nous n ’avons aucun sens des responsabilités alors que le reste de l ’humanité est accablé par son devoir.
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