Hronique Du Lot En Italie, De 13 0/0 ; En Belgique, De Clament Les Meilleurs Des Son Qu'ils Ne Sont Plus Léninistes
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DIMANCHE 25 MARS 1928 REPUBLICAIN DU DEPARTEMENT Paraissant les Mercredi, Vendredi et Dimanche Abonnements Rédaction «Ss Àcl»iiri.i@it;s*atîoia. I»t*Tbli©it© 3 mois 6 mois 1 an CAHORS. — 1, RUE DES CAPUCINS, 1. — CAHORS LOT et Départements limitrophes 9 fr. 16 fr. 50 30 fr. ANNONCES JUDICIAIRES 1 fr. 50 Astres départements .. 9 fr. 50 17 fr. 50 32 fr. ANNONCES COMMERCIALES (la ligne ou son espace). 1 fr. 50 .... A. COUESLANT, Directeur RÉCLAMES 3« page ( - d« - ). TÉLÉPHONE 81 COMPTE POSTAL 2 fr. 50 5309 TOULOUSE Uidacteun : Emile LAPORTE et Louis BONNET » 2« page ( — d° — ). 4 fr. » Les abonnements se paient d avance Joindre 50 centimes à chaque demande de changement d'adresse Les Amnonces sont reçuss au bureau du Journal. Les Annonces judiciaires et légales peuvent être insérées dans la Journal dn Lot pour tout le département. Depuis 1913, la natalité des pays voi- Pas même académiciens ! ; LES ÉVÉNEMENTS |u ■^•■muutoiiMimMiiliiuiihu y sins dénote un fléchissement tandis L'académie communiste des soviets a I que la nôtre a tendance à augmenter. décidé d'exclure de son sein Trotzky, ' Une affiche insultante pour la Durant les quinze dernières années actuellement en exil. majorité des Français sert la natalité a diminué : en Angleterre, En même temps que lui perdront leur |- de 22 0/0 ; en Allemagne, de 27 0/0 ; titre d'académicien, Rakowsky, Radek, ] de réclame à ceux qui se pro- Préobrajensky et Smirnoff, pour la rai- i hronique du Lot en Italie, de 13 0/0 ; en Belgique, de clament les meilleurs des son qu'ils ne sont plus léninistes. «mw .mtmmmiinrimmnmmmminmmiimi» 18 0/0 ; en Hollande, de 11 0/0. w Français. — Les communistes An contraire, en France, elle a En Chine sleraent; M. Grataeap, maire dje MoWt- s'épurent. — Comparaison augmenté de 0,53 0/0. Ce n'est pas Dans le sud de la province de Honan, des brigands ont mis le feu à l'église redon attendaient à Bagnac MM. Bouat démographique. beaucoup. Mais il n'y a pas diminu- Cela viendra, soyez-en sûrs !... catholique de Hsi-Nyan-Cnow, tuant et Loubet. Devant un grandi nombre tion comme chez les autres ! cent Chinois, coupant* les têtes et les d'électeurs le député sortant exposa les Nous pouvons tenir pour certain Seulement ■— et c'est là notre point mains des enfants. graves difficultés auxquelles s'était qu'avant la fin de la période électorale vraiment faible — la mortalité a di- Les troupes de Feng Yuh Siajng ont heurtée la Chambre du 11 mai. Il fit con- les républicains seront accusés d'être minué à l'étranger plus que chez refusé d\ntervenir. naître l'œuvre accomplie et termina en payés par l'Allemagne. Et si les hom- nous. rappelant son action agricole H fut vi- ARRONDISSEMENT DE CAHORS mes1 de droite ne l'ont pas encore écrit, production agricole et en la protégeant vement applaudi. Quand donc se décidera-t-on à faire EH PEU ps MOTS... contre les détenteurs du monopole de ce n'est pas que l'envie leur en man- en France les campagnes qu'il fau- Montredon. — Là, M. Grataeap, mai- que ! l'ait des engrais et des machines agrico- drait faire. C'est contre les maladies, — Le printe de Galles qui prenait re, présenta les conseillers municipaux En attendant, ils ont aimablement les, défense du commerce honnête et de contre la mauvaise hygiène qu'il faut part à RiSeley, 4 une course hippique, a l'artisanat, moins d'impôts de consom- et les nombreux électeurs. Il félicita commencé. Ils1 suivent un grand stra- fait une chute. C% 'est pas la première. L'UNION DÉSUNIE chaleureusement M. Bouat de son ac- lutter! Cela servirait davantage que de n Le principal souci dies conservateurs mation et plus de justice fiscale avec tège politique, M. de Kérillis, qui est prêcher l'augmentation des naissan- — Au cours dies deux rencontres, damis larges abattements à la base, accessSon tion politique et agricole et le remercia à M. le général de Castelnau ce que l'Etat de Julisco, a\ les troupes fédé- à chaque consultation électorale est de au nom de la commune dont il a tou- ces. ec trouver un titre à leur parti. Ce n'est du lycée à tous les enfants pauvres intel- Ludendorf était à Hindenburg. Ce bon rales', les insurgés mexicains ont eu une ligents, sauvegarde des droits sacrés de jours défendu les intérêts. Notre confrère Paris-Phare le dit soixantaine de tués. j amiais le même et ce qu'il y a de plus M. de Kérillis — il faut le savoir aus- excellemment : curieux dans le cas de ce parti, c'est toutes les victimes de la guerre, exten- Capdenac-le-Haut. — C'est avec la — Uni immense inWcûe qui s'est sion de la loi sur les assurances sociales plus sympathique attention que M. La- si — tient a l'Echo de Paris la chaire « Les enfants, chez nous, meurent déclaré à Wadabori, bai&ieue de Tokio, qu'il est prêt à endosser tous les noms de moralité et de vérité politiques. Que qu'on voudra, ..pourvu que ce ne soit à tous les travailleurs ruraux et liberté cout, maire, les conseillers municipaux « en trop grand nombre. Tubercu- a détruit environ 300 maisons, pour tous dans une République pacifi- et les électeurs écoutèrent les déclara- serait-ce s'il professait le mensonge et « lose, insalubrité des logis, hygiène — On annonce que les élections alle- pas le sien !... Car, en s'intitulant que et fraternelle. « chose » ou « machin », ils n'ont tions de M. Bouat. la calomnie ! C'est là, de l'Echo de mal comprise, tous ces maux qui mandes auront lieu du 13 au mai. pas pour but de se désigner, maïs D'unanimes applaudissements ont sou- Lintillac-Sl-Blaise. — M. Pissouraiit- Paris, qu'il a préparé tout le plan de « se tiennent font des ravages épou- — Le roi d'Afghanistan se tendra à ligné les déclarations républicaines de Varsovie dans la seconde quinzaine d'u d'empêcher qu'on les reconnaisse les, conseiller di'arrondissement, M. Al- la mobilisation électorale. Il y est vantables. Nos œuvres de puéri- M. Crabol qui, sans conteste, réunira, comme à son poste de commandement mois d'avril. Il y restera 3 jours. Cette fois, ils ont arboré l'enseigne : vau, maire, et le Conseil municipal re- culture, de protection de l'enfance a l'Union Nationale ! dans le canton de Montcuq, une très çurent M. Bouat. De nombreux électeurs d'où il dirige toutes: les opérations ! — Le président Diaz a signé un u$cret imposante majorité. « sont encore bien insuffisantes. Ce- établissant ïe contrôle américain sur j s Ne les chicanons pas sur des détails applaudirent énergiquement l'exposé du Or, il vient de faire placarder à Pa- e , >3E< . pendant, la santé, la vie, l'avenir de élections centrales au Nicaragua. qui seraient tout de même importants. député. Celui-ci fut félicité pour son ris une affiche que nous n'avons pas la France en dépend. » Ne leur demandons pas, par exemple, ARRONDISSEMENT DE FIGEAC œuvre agricole et pour avoir obtenu îa encore pu admirer en province et qui Si l'on veut faire une œuvre utile, avec qui ils entendent pratiquer cette liberté d'exportation des produits de la pourtant vaudrait la peine d'être mise c'est de ce côté qu'il faut orienter les union et pas davantage ce qu'ils veu- terre. sous les yeux de tous les Français. El- efforts ! (NOS ÉCHOS) lent en faire ni par quels moyens ?... Cuzac. — M. Balet, maire, le Conseil le constitue un de ces documents qui Non. Mais, tout de même, nous avons VILAINE CAMPAGNE Puisque nous ne pouvons pas faire Interruptions. municipal et de très nombreux amis ont doivent rester et qui ne sont flétris- bhn le droit de nous étonner que ce La campagne contre M. Bouat bat son qu'on naisse plus, faisons d'abord accueilli avec le même enthousiasme sants que pour ceux qui les ont faits. parti qui prêche tant l'union n'ait pas plein depuis plusieurs semaines. Mais l'exposé de M. Bouat. que l'on meure moins ! On sait qu''au cours de cette législa- su h\ pratiquer. Donc, cette belle affiche, où s'expri- c'est une campagne dans le vide et la Emile LAPORTE. ture, la Chambre a pris des mesures H recommande aux autres ce qu'il niaiserie. On n'a pas encore pu formu- Felzins. — M. Laborie, maire, et tout ITl Oïl t JfVS ^ïlil-nuv <?o*ifî.MOT»to ris, ç le Conseil municiual offrirent aux deux réactionnaires, représente un soldat <},;, ~/~mnTjîie~'a~son programme,'c~e~it t'ai. piiyé. de quelques .arguments raisonna- sympatniques parlementaires un spien- On sait aussi que certains de nos hoimn dide banquet. A la mairie, un public; prussien, casqué et tout armé. Il est mes politiques ont horreur d'être inter- bles. mis là, guettant et attendant. ntormations Les adversaires de M, Bouat s'achar- nombreux et enthousiaste attendait le rompus. discours de M. Bouat. Avec la simplici- Quoi ?... La victoire des républi- M. Poincaré, notamment, rabroue ses En effet, si nous ne nous trompons nent sur des sottises basses et de ridicu- Bilan de la Banque de France pas, ils sont bit^ deux dans l'arrondis- les calomnies. Mais, de s'acharner, cela té et l'amabilité qui lui sont particuliè- cains. — Pour quoi faire ?... Pour interrupteurs, de la plus cinglante façon. res le sement de Cahon, i présentent ne les empêche pas d'avoir tort. lis ont > exposa son programme et Au bilan de la Banque de France de M.