163 J (BRUN, MENU) 1 ANNEXES GÉNÉALOGIQUES

Annexe BORELLY

Généalogie du vicomte Gonzague de VESVROTTE. Dossier de Légion d’honneur de Joseph Alexandre BORELLY : AN LH/296/62.

I – Esprit Antoine BORELLY (né à Berze, Saône-et-Loire, vers 1752 ; mort à Langres, Haute-Marne, le 27 février 1804), marchand, demeurant à Langres, marié à Langres le 21 janvier 1793 à Marie Ursule BORDET (née à Langres le 26 novembre 1793 ; morte à Langres le 27 mars 1826) [fille de Jean II BORDET (né vers 1736 ; mort à Langres le 2 mars 1814), maître taillandier, et de Rose AUDRIET ; petite-fille de Jean I BORDET et de Jeanne JOURDEUIL], d’où : II – Joseph Alexandre BORELLY (né à Langres, Haute-Marne, le 8 octobre 1794 ; mort à le 23 février 1865), lieutenant-colonel (1er octobre 1852) d’artillerie, officier de la Légion d’honneur (17 octobre 1855), marié par contrat chez Rouget, notaire à le 13 janvier 1828 à Élisabeth FREMYOT (née à Chaignay le 27 juillet 1802 ; morte à Dijon le 10 mars 1879) [fille de Nicolas FREMYOT (né à Chaignay le 17 novembre 1765 ; mort à Chaignay le 24 décembre 1803), avocat à Dijon (24 juillet 1786), maire de Chaignay, et de Marie Huot (née à Épagny, Côte-d’Or le 23 janvier 1778 ; morte à Dijon le 25 septembre 1834), mariés à Épagny le 2 septembre 1793], d’où : III – Marie Élisabeth BORELLY (née à Bayonne, Pyrénées-Atlantiques, le 5 novembre 1828 ; morte à Dijon le 2 avril 1909), mariée à Chaignay, Côte-d’Or, le 26 mai 1857 à Arthur LE BOULLEUR de (né à Courlon le 26 mars 1813 ; mort à Courlon le 28 mai 1892) [fils de Christophe Louis LE BOULLEUR de COURLON (né à , Côte-d’Or, le 15 juillet 1779 ; mort au Meix, Côte-d’Or, le 17 mai 1861) et d’Hélène Antoinette PETIT de QUINCY (née à Semur-en-Auxois le 3 août 1787 ; morte à Courlon, Côte-d’Or, le 10 février 1878, mariés à Quincy-le-Vicomte, Côte-d’Or, le 15 décembre 1803], d’où : IV – Marie Alice LE BOULLEUR de COURLON (née à Chaignay, Côte-d’Or, le 28 mai 1858 ; morte à Courlon, Côte- d’Or le 3 décembre 1908), mariée à Courlon le 7 juillet 1883 à Benoît Paul Albert BRUN d’ARTIS (né à Dijon le 23 mai 1854 ; mort à Courlon le 22 mai 1897) [fils de Joseph Félix Eugène BRUN et de Louise Marie Laure MENU de ROCHEFOND], d’où : V – Marie Pauline Eugénie BRUN d’ARTIS (née à le 1er juillet 1885 ; morte à Dijon le 6 février 1975), mariée à Courlon le 25 juillet 1905 à Charles Marie RICHARD, 6e comte de VESVROTTE (né à Mont-Richard, , Côte-d’Or, le 14 mai 1879 ; mort à Dijon le 23 avril 1961) [fils de Gustave Marie Henri RICHARD de VESVROTTE (né à Dijon le 13 février 1845 ; mort à Mont-Richard, Trouhans, Côte-d’Or, le 23 avril 1914), officier, chef de bataillon au 57e territorial, chevalier de la Légion d’honneur, et de Marie Renée de DION de RICQUEBOURG

Annexe BRUN puis BRUN d’ARTIS

Généalogie du vicomte Gonzague de VESVROTTE.

I – Benoît I BRUN (né avant 1735 ; mort après 1786), cité comme cabaretier à Mâcon entre 1755 et 1769 puis négociant en vins, marié à Benoîte JACQUET (morte en 1786), d’où : II – Pierre BRUN, qui suit. II – Jean BRUN (né à Mâcon, baptisé à Saint-Pierre le 5 janvier 1751 ; mort avant 1857), marié à Marie Élisabeth FROMENT (née à Paris, baptisée Saint-Louis le 27 novembre 1761 ; morte à Mâcon le 27 juillet 1857) [fille de Claude FROMENT, marchand limonadier, et de Marie Jeanne BARBIER] (remariée à Pierre Jacques Victor Maroné), d’où descendance. II – Catherine BRUN (née à Mâcon le 7 mai 1755, baptisée à Saint-Pierre le 8 ; morte après 1810), mariée à Jacques TEMPLIER (mort après 1793), négociant à Mâcon, d’où descendance. II – Marie Françoise BRUN (née à Mâcon le 13 mai 1756, baptisée à Saint-Pierre le 14), mariée à Mâcon, Saint-Pierre, le 17 janvier 1769 à Benoît II GALERON ou GATHERON, marchand boulanger [fils de Benoît I GALERON ou GATHERON, laboureur à Grièges (Ain), et de Marie GUDIN]. II – Pierre BRUN (né à Mâcon, baptisé à Saint-Pierre ; mort entre 1814 et 1817), cité comme négociant en draperies en 1786 et comme négociant en vins, rue Bourgneuf à Mâcon, en 1808, marié (1) à Tournus, par contrat le 1er mai 1783 et à Saint-André le 6 mai 1783 à Antoinette BEZAND (morte en 1784 ou 1785) [fille de Jean-Baptiste BEZAND, négociant en vins à Tournus, et de Marguerite JOBREDEAU], d’où : III – Benoît II BRUN, qui suit. Pierre BRUN se remaria à Mâcon, Saint-Pierre, le 10 janvier 1786 avec Jeanne Marie PERRIER (née à Mâcon en 1770 ; morte à Milly-Lamartine (Saône-et-Loire) le 22 août 1847) [fille de François PERRIER, épicier à Mâcon, et de Marguerite COINTAT], d’où : III – Joseph BRUN (né à Mâcon, baptisé à Saint-Pierre le 19 mars 1790 ; mort à Vinzelles, Saône-et-Loire, le 20 janvier 1878), dit Fanfan en 1808, capitaine du génie, officier de la Légion d’honneur, médaille de Sainte-Hélène, marié à Louise Caroline MOREAU (née à Paris le 26 décembre 1782, baptisée à Saint-Laurent le 28 ; morte à Mâcon le 30 avril 1867) qui avait été mariée en premières noces à un CHAUVIN dont elle avait eu trois fils [fille de François Joseph MOREAU, marchand au faubourg-Saint-Denis à Paris, et de Caroline Philippine

Josèphe LARDENOIS], d’où postérité. Pierre Brun (mort entre 1814 et 1817). III – BRUN dit cadet (mort après 1809). III – Benoît II BRUN (né à Mâcon le 16 février 1784, baptisé le 18 ; mort à Dijon le 19 mai 1868), avoué à la cour impériale de Dijon, marié à Mâcon le 29 octobre 1817 à Louise Adélaïde BUY (née à Mâcon le 6 octobre 1797 ; morte à Dijon le 2 janvier 1844) [fille de Jacques BUY, marchand de vins à Mâcon, et de Julie Marie Anne GIMELET], d’où : IV – Joseph Félix Eugène BRUN, qui suit. IV – Reine Louise Philiberte BRUN (née à Dijon le 7 mai 1836 ; morte à Dijon le 22 mai 1836). IV – Joseph Félix Eugène BRUN (né à Dijon le 12 février 1823 ; mort à Dijon le 10 février 1893), avocat à Dijon, peintre, collectionneur, marié à Dijon le 31 janvier 1853 à Louise Marie Laure MENU de ROCHEFOND (née à Dijon le 20 juillet 1829 ; morte à Dijon le 5 janvier 1925) [fille de Jean-Baptiste, dit Léon, MENU de ROCHEFOND (né à Dijon le 27 décembre 1775, baptisé à Saint-Pierre le 28 ; à Dijon le 25 juillet 1862), chef d’escadron à la garde royale, chevalier de Saint-Louis (11 novembre 1814), chevalier de la Légion d’honneur (17 août 1822), et de Catherine Pauline LORENCHET de MONTJAMONT (née à Bligny-lès- le 17 mars 1800 ; morte à Dijon le 3 avril 1853), mariés à Semur-en- Benoît II Brun (1784-1868). Auxois le 30 janvier 1827], d’où :

Eugène Brun (1823-1893). 163 J (BRUN, MENU) 3

Eugène Brun (1823-1893).

V – Benoît Paul Albert BRUN d’ARTIS, qui suit V – Jeanne Louise Marie BRUN (née à Dijon le 19 septembre 1859 ; morte à Lyon, Rhône, le 12 décembre 1931), mariée à Dijon le 27 octobre 1881 à Edme Léon BROCHAND, 4e baron d’AUFERVILLE (né à Lyon, 2nd, en 1855 ; mort à Lyon le 19 décembre 1934) [fils d’Edme Léon Edmond BROCHAND, 3e baron d’AUFERVILLE, et de Claire PICOT LA BAUME], d’où un fils (marié, mort sans postérité) et une fille (morte en bas-âge).

V – Benoît Paul Albert BRUN puis BRUN d’ARTIS par décret du président de la République française du 28 juillet 1883 (né à Dijon le 23 mai 1854, baptisé à Saint-Michel le 30 ; mort à Courlon, Côte-d’Or, le 22 mai 1897), marié à Courlon le 7 juillet 1883 à Marie Alice LE BOULLEUR de COURLON (née à Chaignay, Côte-d’Or, le 28 mai 1858 ; morte à Courlon le 3 décembre 1908) [fille d’Arthur LE BOULLEUR de COURLON et de Marie Élisabeth BORELLY], d’où : VI – Adrien BRUN d’ARTIS, qui suit. VI – Marie Pauline Eugénie BRUN d’ARTIS (née à Lamargelle le 1er juillet 1885 ; morte à Dijon le 6 février 1975), mariée à Courlon le 25 juillet 1905 à Charles Marie RICHARD, 6e comte de VESVROTTE (né à Mont-Richard, Trouhans, Côte-d’Or, le 14 mai 1879 ; mort à Dijon le 23 avril 1961) [fils de Gustave Marie Henri Richard de Vesvrotte (né à Dijon le 13 février 1845 ; mort à Mont-Richard, Trouhans, Côte- d’Or, le 23 avril 1914), officier, chef de bataillon au 57e territorial, chevalier de la Légion d’honneur, et de Marie Renée de DION de RICQUEBOURG, marié à Reims le 25 juillet 1871], d’où postérité

Richard de Vesvrotte. Albert Brun d’Artis (1854-1897). VI – Léon BRUN d’ARTIS (né à Courlon le 24 septembre 1892 ; mort à Pont-Sainte-Maxence, Oise, le 17 décembre 1942), marié à Vaux-Saules (Côte-d’Or) le 27 décembre 1917 à Eva VENET (née à Dijon le 22 septembre 1896 ; morte à Créteil, Val-de-Marne, le 22 février 1978) [fille de N. MANDLE et de Clarisse Julienne VENET], divorcés par jugement du tribunal de Dijon du 14 juin 1932, d’où postérité. V – Adrien BRUN d’ARTIS (né à Lamargelle le 30 mai 1884 ; mort pour la à Crouy, Aisne, le 13 janvier 1915), ingénieur, marié à Avallon (Yonne) le 17 avril 1912 à Marie Louise Amélie Clémence RAUDOT (née à Champien, Avallon, le 29 janvier 1890 ; morte à , Côte-d’Or, le 19 septembre 1975) [fille de Clément René RAUDOT d’ORBIGNY et de Marie Henriette Augustine FINOT], d’où : VI – Marie Alice Léonie BRUN d’ARTIS (née à Champien, Avallon, Yonne, le 12 février 1913 ; morte à Dijon le 15 octobre 1987), sans alliance. Eugénie Brun d’Artis (1885-1975), Comtesse Charles de Vesvrotte.

Annexe BUY

Généalogie du vicomte Gonzague de VESVROTTE.

I – Girard BUY, vigneron à Saint-Sorlin, Rhône, marié à Jeanne MAHUÉ, d’où : II – Philibert BUY, tonnelier à Mâcon, cité comme marchand de vins à Mâcon en 1786, marié à Mâcon le 4 novembre 1764 à Claudine BERTILLIER [fille de Louis BERTILLIER, jardinier, et de Marie Anne BARRE], d’où : III – Jacques BUY, qui suit. III – Marie Eugénie BUY, mariée à Antoine DUCHÉ, sans postérité. III – Jacques BUY (né à Mâcon le 27 août 1768 ; mort noyé à Sartrouville le 4 mai 1808), marié à Marie Anne GIMELET (morte après 1843) [fille de Jacques GIMELET, cité comme marchand de vins à Mâcon en 1786, et de sa seconde épouse Marie BOULAY], d’où : IV – Félix Philibert BUY, qui suit IV – Louise Adélaïde BUY (née à Mâcon le 6 octobre 1797 ; morte à Dijon le 2 janvier 1844), mariée à Mâcon 29 octobre 1817 à Benoît II BRUN (né à Mâcon le 16 février 1784, baptisé le 18 ; mort à Dijon le 19 mai 1868), avoué à la cour impériale de Dijon [fils de Pierre BRUN (né à Mâcon, baptisé à Saint-Pierre ; mort entre 1814 et 1817), cité comme négociant en draperies en 1786 et comme négociant en vins, rue Bourgneuf à Mâcon, en 1808, et de sa première épouse Antoinette BEZAND (morte en 1784 ou 1785), mariés à Tournus, par contrat le 1er mai 1783 et à Saint-André le 6 mai 1783], d’où postérité BRUN, BRUN d’ARTIS et RICHARD de VESVROTTE. IV – Félix Philibert BUY (né à Mâcon le 28 janvier 1792 ; mort après 1847), avoué à Chalon-sur-Saône, marié à (Côte-d’Or) à Marie Lucrèce FOURNIER (née à Pourlans, Saône-et-Loire, le 30 novembre 1794 ; morte à Morteuil, Mercueil, Saône-et-Loire le 30 septembre 1842) [fille de Benoît FOURNIER, fermier à Pourlans, et d’Anne CHEREAU] d’où deux filles (descendance BOULANGER, TRIDON, BOONE, PROUVÈZE, MONNIER, CAPPE de BAILLON…

Annexe FREMYOT

Généalogie du vicomte Gonzague de VESVROTTE.

I – Estienne FREMYOT (né vers 1679 ; mort à Chaignay, Côte-d’Or, le 15 octobre 1739), tissier en toile à Chaignay, marié à Anne JANRET, d’où : II – Georges FREMYOT (mort à Chaignay le 6 juillet 1786), tissier en toile à Chaignay, marié à Chaignay le 19 février 1730 à Claudine BOLLOTTE (morte à Chaignay le 2 juin 1786) [fille de Philippe BOLLOTTE, laboureur à Chaignay, et de Marie BOLLOTTE], d’où : III – Étienne FREMYOT (né à Chaignay le 14 mai 1731 ; mort à Chaignay le 28 décembre 1788) ; laboureur à Chaignay, marié à Chaignay le 22 avril 1755 à Marguerite BROCARD (née à , Côte-d’Or, le 26 septembre 1734 ; morte à Chaignay le 27 décembre 1814) [fille de Gabriel BROCARD, marchand à Tarsul, et de Pétronille POURCELET], d’où : IV – Nicolas FREMYOT (né à Chaignay le 17 novembre 1765 ; mort à Chaignay le 24 décembre 1803), avocat à Dijon (24 juillet 1786), maire de Chaignay, marié à Épagny, Côte-d’Or, le 2 septembre 1793 à Marie HUOT (née à Épagny le 23 janvier 1778 ; morte à Dijon le 25 septembre 1834) [fille de Mathieu HUOT, propriétaire à Épagny, et d’Anne DETOURBET, morts avant le 24 avril 1804], d’où : V – Élisabeth FREMYOT (née à Chaignay le 27 juillet 1802 ; morte à Dijon le 10 mars 1879), mariée à Dijon le 13 janvier 1828 à Joseph Alexandre BORELLY (né à Langres, Haute-Marne, le 8 octobre 1794 ; mort à Chaignay le 23 février 1865) [fils d’Esprit Antoine BORELLY (né à Berze vers 1752, Saône-et-Loire ; mort à Langres le 27 février 1804), marchand, demeurant à Langres, et de Marie Ursule BORDET (née à Langres le 26 novembre 1793 ; morte à Langres le 27 mars 1826), marié à Langres le 21 janvier 1793], lieutenant-colonel d’artillerie (1er octobre 1852), officier de la Légion d’honneur (17 octobre 1855), d’où : VI – Marie Élisabeth BORELLY (née à Bayonne, Pyrénées-Atlantiques, le 5 novembre 1828 ; morte à Dijon le 2 avril 1909), mariée à Chaignay, Côte-d’Or, le 26 mai 1857 à Arthur LE BOULLEUR de COURLON (né à Courlon le 26 mars 1813 ; mort à Courlon le 28 mai 1892) [fils de Christophe Louis LE BOULLEUR de COURLON (né à Toutry, Côte-d’Or, le 15 juillet 1779 ; mort au Meix, Côte-d’Or, le 17 mai 1861) et d’Hélène Antoinette PETIT de QUINCY (née à Semur-en- Auxois le 3 août 1787 ; morte à Courlon, Côte-d’Or, le 10 février 1878, mariés à Quincy-le-Vicomte, Côte-d’Or, , le 15 décembre 1803], d’où postérité LE BOULLEUR de COURLON, BRUN d’ARTIS et RICHARD de VESVROTTE.

163 J (BRUN, MENU) 5

Annexe GUIARD

Généalogie du vicomte Gonzague de VESVROTTE.

I – Pierre GUIARD (né à Tournus, Saône-et-Loire vers 1649 ou 1651 ; mort à Dijon, Notre-Dame, le 7 novembre 1694), maître menuisier à Dijon, marié à Marguerite GARREAU (née à Dijon vers 1638 ; morte à Dijon, Saint-Nicolas, le 23 septembre 1735), d’où trois enfants parmi lesquels : II – Claude GUIARD (né à Dijon, baptisé à Notre-Dame le 19 avril 1681 ; mort à Dijon, Notre-Dame, le 26 septembre 1726), marié (1) à Dijon, Notre-Dame, le 12 février 1703 à Anne DUSAUSSAIS (née vers 1681 ; morte à Dijon, Notre-Dame, le 9 septembre 1713) [fille d’Edme DUSAUSSAIS, maître menuisier et de Marguerite FRANÇOIS), d’où descendance, et (2) à Dijon, Notre-Dame, le 10 avril 1714 à Marguerite ROUX (née à Arnay-le-Duc, Côte-d’Or, vers 1682, morte à Dijon, Notre-Dame, le 14 octobre 1727 [fille de Jean ROUX, marchand à Arnay-le-Duc, et de Françoise RUBIT], d’où notamment : III – François GUIARD (né à Dijon et baptisé à Notre-Dame le 1er novembre 1717 ; mort à Dijon le 30 septembre 1789, inhumé à Saint-Médard le 1er octobre), procureur au parlement de Bourgogne (20 mai 1747), marié à Marie Anne CHAMPAGNE (née à Semur le 28 février 1716 ; morte à Dijon le 7 mars 1809) [fille de Bénigne CHAMPAGNE, procureur au présidial de Semur-en-Auxois, et de Barbe MENASSIER], d’où notamment : IV – Jeanne Françoise GUIARD (née et baptisée à Dijon, Saint-Médard, le 17 septembre 1748 ; morte à Dijon le 16 avril 1824), mariée à Dijon, Saint-Philibert, le 21 août 1769 à Guillaume Bernard MENU (né à Dijon le 1er janvier 1741, baptisé à Notre-Dame le 2 ; mort à Dijon le 26 avril 1811), notaire et conseiller du Roi à Dijon, d’où descendance MENU de ROCHEFOND, BRUN d’ARTIS et RICHARD de VESVROTTE.

Annexe LORENCHET de MONTJAMONT Bourgogne Généalogies du vicomte Gonzague de VESVROTTE et d’Étienne LORENCHET de MONTJAMONT. BNF : DB 402 ; PO 1736. Annuaire de la noblesse, 1902. François BLUCHE, L’origine des magistrats du parlement de Paris…, p. 286- 287. André BOURÉE, La chancellerie près le parlement de Bourgogne. Grand armorial de France, 22.012. LA CHENAYE-DESBOIS, 3e éd., vol. 12. Michel LORENCHET de MONTJAMONT, Généalogie de la famille Lorenchet (de Montjamont, de Melond, de Tailly) de Beaune en Bourgogne, 1430-1959. D’azur à une fasce d’or, accompagnée de trois molettes d’argent, rangées en chef, et en pointe d’un chat du mesme. Famille anoblie par charge en 1693.

I – Blaise LORENCHET (mort après 1503), d’où : II – Claude LORENCHET, marié à Jeanne FRUGERET (morte après 1587) [fille de Nicolas FRUGERET], d’où : III – Jean LORENCHET (né à Beaune, Côte-d’Or, avant 1530 ; mort avant 1575), tanneur, marié avant 1550 à Marguerite PARIGOT (morte avant 1581), d’où : IV – Claude I LORENCHET (mort à Beaune en 1586), marchand tanneur, marié avant le 16 juin 1577 à Jeanne FERRY (morte avant 1610), d’une famille de notaires, d’où : V – Claude II LORENCHET (né à Beaune le 24 novembre 1581 ; mort en 1645), échevin de Beaune, marié le 21 janvier 1604 à Françoise SIMON [fille d’Adrien SIMON et de Claudine FRELET], d’où : VI – Claude III LORENCHET (né à Beaune le 4 juin 1609 ; mort à Beaune le 9 novembre 1667), échevin de Beaune, marié (1) à Beaune le 25 janvier 1628 à Marguerite TAVEAU (née à Beaune le 16 janvier 1607) [fille de Bernardin TAVEAU et d’Odette RICHARD], sans postérité, et (2) à Beaune le 16 décembre 1640 à Pierrette CANET (née à Beaune le 20 mars 1620 ; morte à Beaune le 17 novembre 1704) [fille de Jean CANET et de Pierrette THIAR], d’où : VII – Claude IV LORENCHET (né à Beaune le 22 janvier 1642 ; mort à Beaune le 23 février 1697), avocat, conseiller au bailliage et à la chancellerie de Beaune, marié à Beaune le 24 novembre 1664 à Magdeleine LEROUX (née à Beaune le 22 juillet 1647 ; morte à Beaune le 27 novembre 1709) [fille d’Étienne LEROUX et de Sarah NAVETIER], d’où VIII – Étienne LORENCHET de MONTJAMONT (né à Beaune le 19 février 1672 ; mort à Beaune le 30 avril 1735), conseiller secrétaire du Roi, maison et couronne de France en la chancellerie près le parlement de Besançon (lettres patentes du 30 mars 1724), marié à Beaune le 29 avril 1698 à Marguerite BRUNET (née à Beaune le 1er octobre 1678 ; morte à Beaune le 18 août 1715) [fille de Jacques Gilles BRUNET de TAILLY et de Jacqueline BOUCHIN], d’où : IX – Jacques LORENCHET de MONTJAMONT (né à Beaune le 13 février 1706 ; mort à Beaune le 15 février 1767), officier au régiment de Champagne puis recteur de l’Hôtel-Dieu de Beaune, marié (1) à Semur-en-Auxois le 9 décembre 1738 à Magdeleine BIZOUARD de MONTILLE (née à Semur le 8 février 1714 ; morte à Beaune le 11 janvier 1740) [fille de Lazare BIZOUARD de MONTILLE (1669-1735), secrétaire du Roi, et de Claire DEMANCHE], d’où descendance ; (2) à Nolay le 20 juin 1741 à Jeanne GENOT (née à Beaune vers 1724 ; morte à Beaune le 22 mai 1742) [fille d’Edme Genot et de Jeanne POTHIER, d’où une fille morte en bas-âge, et (3) à Beaune, Saint-Martin, le 26 janvier 1745 à Marie Anne Marguerite PAYEN (née à Paris le 20 juillet 1724 ; morte à Beaune le 4 juin 1801) [fille de Joseph PAYEN, et de Marie Anne PAYEN], d’où du troisième mariage : X – Jacques Gabriel LORENCHET de MONTJAMONT (né à Bligny-lès-Beaune le 8 août 1751 ; mort à Bligny-lès- Beaune le 25 mai 1806), ancien garde du corps du Roi, compagnie de Noailles, marié (1) à Semur-en-Auxois le 5 juin 1780 à Marie Colombe Marguerite LECLERC de RUFFEY (née à Semur le 8 septembre 1757 ; morte à Beaune le 2 novembre 1788), d’où : XI – Marie Jeanne LORENCHET de MONTJAMONT (née à Bligny-lès-Beaune le 16 juin 1781 ; morte à Autun le 25 janvier 1835), mariée à Bligny-lès-Beaune le 4 décembre 1794 à Esprit Anne LHOMME de MERCEY (né à Autun le 20 juin 1765 ; mort à Autun le 12 février 1854), d’où postérité LHOMME de MERCEY, BERTEAULT de NOIRON, LOUBENS de VERDALLE, BAILLIENCOURT-COURCOL, MONARD, LA GRANGE, etc. XI – Magdeleine Louise LORENCHET de MONTJAMONT (née à Beaune le 29 janvier 1783 ; morte à Beaune le 10 août 1783). XI – Philippe Joseph LORENCHET de MONTJAMONT (né à Beaune le 10 avril 1785 ; mort à Dijon le 15 janvier 1860), marié (1) à Nuits-Saint-Georges le 2 mai 1803 à Thérèse Christine Marie JACQUINOT (née à Nuits-Saint-Georges le 24 juillet 1785 ; morte à Dijon le 14 juin 1823), d’où descendance, (2) à Dijon le 23 août 1824 à Jeanne Lazarette Marguerite Gasparde PINOT (née à Dijon le 29 janvier 1806 ; morte à Dijon le 25 octobre 1825) [fille de Louis Gaspard PINOT et d’Éléonore MONGENET de RENAUCOURT], d’où une fille, et (3) à , Côte-d’Or, le 23 septembre 1831 à Louise Marie Augustine de BRETAGNE (née à Corsaint le 18 août 1804 ; morte à Dijon le 7 juin 1855), d’où un fils. XI – Jeanne Anne Bernarde (dite Jenny) LORENCHET de MONTJAMONT (née à Beaune le 8 septembre 1788 ; morte après 1812), sans alliance. Jacques Gabriel LORENCHET de MONTJAMONT se remaria à Dijon, Saint-Pierre, le 10 février 1791 avec Rose FINOT (née à Semur le 31 mars 1769 ; morte à Dijon le 21 janvier 1850) [fille de Jean FINOT (né à Précy-sous-Thil le 9 janvier 1743 ; mort à Semur le 26 novembre 1823)], avocat à Semur, doyen et bâtonnier, et de Marie Anne Françoise CHAMPAGNE (née à Semur le 3 novembre 1742 ; morte à Semur le 3 décembre 1825), mariés à Semur le 19 avril 1768], d’où : XI – Marie Jeanne Julie LORENCHET de MONTJAMONT (née à Bligny-lès-Beaune le 20 février 1792 ; morte à Avallon le 20 janvier 1861), mariée à Bligny-lès-Beaune le 14 octobre 1811 à François Jean Auguste FINOT (né à Avallon le 9 février 1782 ; mort à Avallon le 6 janvier 1846) [fils de Barthélemy FINOT (né vers 1749 ; mort à Avallon le 21 février 1830), avocat à Avallon, cousin germain de Rose FINOT, et de Jeanne Françoise de RICHEROLLE (née vers 1748 ; morte à Avallon le 5 juin 1829)], docteur en médecine, d’où postérité FINOT, GARNUCHOT, RAUDOT et BRUN d’ARTIS. XI – Louis LORENCHET de MONTJAMONT (né à Bligny-lès-Beaune en 1793 ; mort à Semur-en-Auxois le 27 août 1876), sans postérité. XI – Catherine Pauline LORENCHET de MONTJAMONT (née à Bligny-lès-Beaune le 17 mars 1800 ; morte à Dijon le 3 avril 1853), mariée à Semur-en-Auxois le 30 janvier 1827 à Jean-Baptiste, dit Léon, MENU de ROCHEFOND (né à Dijon le 27 décembre 1775, baptisé à Saint-Pierre le 28 ; mort à Dijon le 25 juillet 1862) [fils de Guillaume Bernard MENU (1741-1811) et de Jeanne François GUIARD (1748-1824), mariés en 1769], chef d’escadron à la garde royale, chevalier de Saint-Louis (11 novembre 1814), chevalier de la Légion d’honneur (17 août 1822), d’où deux filles, postérité LHOMME de MERCEY, BRUN d’ARTIS et RICHARD de VESVROTTE.

Annexe MENU et MENU de ROCHEFOND

Généalogie du vicomte Gonzague de VESVROTTE.

En Bourgogne. I – Laurent MENU (mort à , Côte-d’Or, le 21 juin 1718), cité comme tonnelier de l’artillerie à Auxonne en 1718, marié (1) à Michelle BERNIER (morte à Auxonne le 28 décembre 1693), d’où : II – Claudine MENU (née à Auxonne le 10 octobre 1682, baptisée le 11), mariée (1) à Auxonne le 24 août 1700 à Claude BOUSCAULT (né à Auxonne, baptisé le 7 mars 1678 ; mort à Auxonne le 28 septembre 1730) [fils de Lazare BOUSCAULT, marchand à Auxonne, et d’Anne BORTHON), maître épicier à Auxonne, d’où postérité BOUSCAULT, et (2) à Auxonne le 30 janvier 1734 à Claude II PIEDEFER [fils de Claude PIEDEFER et de Marguerite VALOT], avocat au Parlement, conseiller du Roi, vicomte mayeur d’Auxonne (veuf en 1res noces de Marie MALARBET). II – Françoise MENU (née à Auxonne le 28 décembre 1688, baptisée le 29). II – Anne MENU (née et baptisée à Auxonne le 30 novembre 1693). Laurent MENU se remaria à Auxonne le 31 janvier 1697 avec Anne Claudine JOBERT (morte à Auxonne le 13 octobre 1740), d’où : II – Antoine MENU (né à Auxonne le 15 septembre 1697, baptisé le 16 ; mort à Auxonne le 3 octobre 1762), tonnelier ordinaire d’artillerie à Auxonne, marié à Auxonne le 9 janvier 1725 à Hélène PONTENEY (née à Auxonne le 9 janvier 1725, baptisée le 22) [fille d’Antoine PONTENEY, marchand, échevin de la ville d’Auxonne, et de Philiberte MAIRE], d’où postérité. II – Jean-Baptiste MENU, qui suit. 163 J (BRUN, MENU) 7

II – Thomasse MENU (baptisée à Auxonne le 8 novembre 1698). II – Marie Anne MENU (née et baptisée à Auxonne le 17 septembre 1702). II – Jean-Baptiste MENU (né et baptisé à Auxonne le 6 janvier 1701 ; mort à Dijon le 20 octobre 1772, inhumé à Notre-Dame le 21, au portail, dans la sépulture de la famille) ; marié à Dijon, Notre-Dame, le 27 mars 1729 à Odette VERNISY (née et baptisée à Dijon, Notre-Dame, le 19 octobre 1699 ; morte à Dijon, Notre-Dame, le 15 janvier 1741) [fille de Jean-Baptiste VERNISY, procureur au Parlement, et de Catherine HORRY], d’où : III – Claude MENU (né à Dijon le 6 juin 1730, baptisé à Notre-Dame le 8 ; mort à Dijon le 18 février 1793), sans alliance ; procureur au Parlement. III – Philibert MENU (né à Dijon le 7 août 1731, baptisé à Notre-Dame le 7 ; mort à Dijon le 20 février 1821), sans alliance ; procureur au Parlement. III – Antoine MENU (né à Dijon le 26 octobre 1732, baptisé à Notre-Dame le 28 ; mort à Constance, Allemagne, en 1792 ou 1794), prêtre à Notre-Dame puis dernier curé de Saint-Philibert ; émigré. III – Catherine MENU (née à Dijon le 5 novembre 1733, baptisée à Notre-Dame le 5 ; morte à Dijon le 29 novembre 1814), sans alliance. III – Jean-Baptiste MENU (né à Dijon le 29 décembre 1734, baptisé à Notre-Dame le 30 ; mort après 1769, testa le 23 septembre 1754), religieux dominicain à Dijon. III – Catherine Prudence MENU (née à Dijon le 7 juin 1736, baptisée à Notre-Dame le 7 ; morte avant 1769). III – Claude* MENU (né à Dijon le 19 décembre 1737, baptisé à Notre-Dame le 19 ; mort avant 1769). III – Guillaume Bernard, qui suit. III – Guillaume Bernard MENU (né à Dijon le 1er janvier 1741, baptisé à Notre-Dame le 2 ; mort à Dijon le 26 avril 1811), notaire et conseiller du Roi à Dijon, marié à Dijon, Saint-Philibert, le 21 août 1769 à Jeanne Françoise GUIARD (née et baptisée à Dijon, Saint-Médard, le 17 septembre 1748 ; morte à Dijon le 16 avril 1824) [fille de François GUIARD, procureur au Parlement, et de Marie Anne CHAMPAGNE], d’où : IV – Marie Anne MENU (née à Dijon le 11 octobre 1770, baptisée à Saint-Pierre le 12 ; morte à Dijon le 27 mars 1846), mariée à Dijon, section centre, le 9 nivôse an 2 (ou 29 décembre 1793) à Bénigne PETITOT (né à Dijon et baptisé à Saint-Médard le 1er juillet 1768 ; mort à Dijon le 8 décembre 1807) [fils de Louis Melchior PETITOT, avocat au Parlement, et de Françoise TOUSSAINT], avocat à Dijon, d’où : V – Jeanne Marie Louise PETITOT (née à Dijon le 28 février 1795 ; morte à Dijon le 20 octobre 1848), mariée à Dijon le 26 août 1812 à Étienne Nicolas Philibert HERNOUX (né à Saint-Jean-de- le 30 octobre 1777 ; mort à Dijon le 17 février 1858) [fils de Charles HERNOUX, avocat au Parlement, président du Conseil général de la Côte-d’Or, et d’Anne Françoise GILLES], avocat, maire de Dijon, sans postérité. V – Huguette Marie Félicie PETITOT (née à Dijon le 8 novembre 1796 ; morte à Lamargelle, Côte-d’Or, le 9 janvier 1863), mariée à Dijon le 11 juin 1832 à Aubin François d’ARTIS (né à Beaune le 13 avril 1800 ; mort à Lamargelle le 4 octobre 1882) [fils d’Aubin d’Artis (né à Millau, Aveyron, le 1er mars 1751 ; mort à Dijon le 19 octobre 1823) et de Suzanne Jeanne Marie Françoise FAURE (né le 9 mars 1769 ; morte le 24 août 1844)], officier de cavalerie, garde du corps des rois Louis XVIII et Charles X, compagnie de Gramont ; sans postérité. V – Prudence Bernarde Ernestine PETITOT (née à Dijon le 12 novembre 1797 ; morte à Lamargelle le 24 octobre 1798). IV – Prudence MENU (née à Dijon, baptisée à Saint-Pierre le 13 février 1773 ; morte en octobre 1825), sans alliance. IV – Claude Augustin MENU de ROCHEFOND (né et baptisé à Dijon, Saint-Pierre, le 24 août 1778 ; mort à Dijon le 7 juin 1861, directeur de l’enregistrement et des domaines, marié à Compiègne (Oise) le 21 octobre 1822 à Hortense CHARMOLUE (née à Compiègne le 17 septembre 1790 ; morte à Dijon le 16 août 1860) [fille d’Alexandre Pierre Louis CHARMOLUE, notaire à Compiègne, et de Marie Charlotte Geneviève FOULLON], dont il n’eut pas d’enfant. IV – Jean-Baptiste, dit Léon, MENU de ROCHEFOND, qui suit. IV – Jean-Baptiste, dit Léon MENU de ROCHEFOND (né à Dijon le 27 décembre 1775, baptisé à Saint-Pierre le 28 ; à Dijon le 25 juillet 1862) ; chef d’escadron à la garde royale, chevalier de Saint-Louis (11 novembre 1814), chevalier de la Légion d’honneur (17 août 1822), marié à Semur-en-Auxois le 30 janvier 1827 à Catherine Pauline LORENCHET de MONTJAMONT (née à Bligny-lès-Beaune le 17 mars 1800 ; morte à Dijon le 3 avril 1853) [fille de Jacques Gabriel Lorenchet de Montjamont, garde du corps du Roi, compagnie de Noailles, et de Rose FINOT], d’où :

Léon Menu de Rochefond (1775-1862) et son épouse Catherine Pauline Lorenchet de Montjamont (1800- 1853). V – Rose Blanche Augusta MENU de ROCHEFOND née à Dijon le 5 novembre 1827 ; morte à Dijon le 12 juin 1907), mariée à Dijon le 10 novembre 1851 à son cousin germain Guy Bernard LHOMME de MERCEY (né à Autun le 30 juillet 1820 ; mort à Mercey, Chailly-lès-Moranges, Saône-et-Loire) le 11 novembre 1891), sculpteur, élève de David d’Angers et de Rude [fils d’Esprit Anne LHOMME de MERCEY et de Marie Jeanne LORENCHET de MONTJAMONT], d’où : VI – Jean Marie Marcel LHOMME de MERCEY (né à Autun le 4 juin 1856 ; mort à Mercey le 17 octobre 1876), sans alliance. VI – Benoît Marie Gabriel LHOMME de MERCEY (né à Autun le 17 avril 1858 ; mort à Mercey le 6 février 1904), sans alliance. V – Louise Marie Laure MENU de ROCHEFOND (née à Dijon le 20 juillet 1829 ; morte à Dijon le 5 janvier 1925), mariée à Dijon le 31 janvier 1853 à Joseph Félix Eugène BRUN (né à Dijon le 12 février 1823 ; mort à Dijon le 10 février 1893), avocat à Dijon, collectionneur [fils de Benoît II BRUN, avocat à la cour impériale de Dijon, et de Louise Adélaïde BUY], d’où descendance BRUN, BRUN d’ARTIS et RICHARD de VESVROTTE.

Laure Menu de Rochefond (1829- 1925), épouse d’Eugène Brun.

163 J (BRUN, MENU) 9

Annexe VERNISY

BNF : Fonds français, Collection Cinq-Cents Colbert, vol. 281 et 282. Bourgogne Armorial général de Bourgogne. Vicomte Henri FROTIER de LA MESSELIÈRE, Filiations bretonnes, vol. 5. Grand armorial de France, 35.529. Léon QUANTIN, « Les Vernisy », Archives de la Société française des Collectionneurs d’Ex-libris. E. de VERNISY, Épisodes de la guerre de Trente ans ; l’invasion allemande en Bourgogne en 1636, les Vernisy à Mirebeau…

I – Michel Bernard VERNISY (né vers 1575 ; mort pour le Roi vers 1636), échevin de Mirebeau [Mirebeau-sur-Bèze, Côte-d’Or] en 1636, défenseur de la ville assiégée par le comte Gallas, marié à Pierrette NAULDIN, d’où : D'azur, à la foi de carnation II – Philibert I VERNISY, procureur au bailliage de Montcenis vers 1615, procureur et parée, accompagnée en chef notaire au marquisat de Mirebeau, prit part au siège de Mirebeau, marié à Montcenis à de trois étoiles Claude CHARDENET [fille de Claude CHARDENET, procureur au parlement de Bourgogne, d'argent posées une et deux, et de Marie ANDELOT], d’où notamment : d'une rose du même. III – Bernard VERNISY (né à Mirebeau le 17 avril 1625 ; mort à Mirebeau le 9 août 1675), marié (1) à Prudence PIROT (et remarié à Louise THIBAUT, d’où descendance), d’où notamment : IV – Jean-Baptiste VERNISY (né à Mirebeau en 1653 ; mort à Dijon, Notre-Dame, le 22 mars 1727), procureur au parlement de Bourgogne, maître et doyen en toutes cours de justice, sergent royal en Bourgogne, marié à Dijon, Saint- Michel, le 20 janvier 1688 à Catherine HORRY (né à Dijon, Notre-Dame, le 13 novembre 1656 ; testa le 10 juillet 1737) [fille de Jean HORRY (mort à Dijon, Notre-Dame le 8 avril 1667), notaire royal, et de Christine GUELAND (morte après le 30 janvier 1661)], d’où notamment : V – Philibert II VERNISY (né à Dijon, baptisé à Saint-Michel le 26 février 1689 ; mort avant 1737, avocat au parlement de Bourgogne, marié à Dijon, Notre-Dame, le 12 avril 1717 à Pierrette CLERGET [fille de Jean CLERGET, conseiller du Roi, substitut du procureur général en la chambre des comptes de Bourgogne, et d’Anne Judith DESBORDES], d’où : VI – Jean Marie VERNISY (né à Dijon, baptisé à Saint-Médard le 5 avril 1722 ; mort à Dijon le 26 août 1791, inhumé à Saint-Médard le 27), avocat à la cour, conseil de la ville, secrétaire de l’université de Dijon, marié en 1745 à Claudine DURANDE (née à Dijon, baptisée le 19 juin 1727 ; morte à Dijon, Saint-Médard le 17 janvier 1777 [fille de Claude Auguste DURANDE, procureur au parlement de Bourgogne, et de Suzanne Bénigne CHAMPAGNE], d’où descendance. V – Odette VERNISY (née et baptisée à Dijon, Notre-Dame, le 19 octobre 1699 ; morte à Dijon, Notre-Dame, le 15 janvier 1741), mariée à Dijon, Notre-Dame, le 27 mars 1729 à Jean-Baptiste MENU (né et baptisé à Auxonne le 6 janvier 1701 ; mort à Dijon le 20 octobre 1772, inhumé à Notre-Dame le 21, au portail, dans la sépulture de la famille), notaire à Dijon [fils de Laurent MENU et de sa seconde épouse Anne Claudine JOBERT (morte à Auxonne le 13 octobre 1740), mariés à Auxonne le 31 janvier 1697], d’où postérité MENU de ROCHEFOND, BRUN d’ARTIS et RICHARD de VESVROTTE.