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MERCREDI 15 AOUT 1923 Pmimuî les Mercredi Vendredi et Dimanche Publieité 6, mois 1 an 'CAHORS. — 1, RUE DES CAPUCINS, t. CAHORS ANNONCES JUDICIAIRES' (7 colonnes à la page) 0 fr. 80 ! OT et Départements limitrophes !., 4-fr,?û- 8ÛV 15 fie. ANNONCES COMMERCIALES (la ligne ou son espace)., 0 fr. 80 autres départements 4ÏC. 50: 16 fr. ,/ ' ;;' '. À. COUESLiANTj Directeur RÉCLAMES 3" page ( — d* — )., 1 fr. 25 } e I * 2 page ( — d° — )., TilJÈPHONB 31 OOMPSTET POSTAL : 5399 TOÙtOUSK M.- DARÛLLE, Go-Directeur — L. BONNET, Rédacteur »n ohaf 2 fr. » Les abonnements se pbièB,t d'avance ■ .»,-r. •,:■•'. t Les Annonces judiciaires et légales peuvent être insérées dans le joindre 50 centimes à chaque demaftde de changement d'adresse innonces sont r ïcaea an bureau du Journal. Journal du. Lot pour tout le département. !» ni **< rnurn m ■ >Hii~ i .st-cc par un -renouveau de contro- • c^t égard des prévisions qui nè se; :.:ct i;!é de ..consentir,.à. la Belgique La signature de Cuno des récoltes qui ont atteint 7.600.000 i verses sur tel ou tel chapitre du pro- : ; ■fdnderaieht que sur des informations ;>;.!' .l'intermédiaire, des principales ost-elle digne de crédit? quintaux pour le blé, 7.850 000 poul- blème! des: réparations ? l'îdmi encore incomplètes.'' tànques de In,. :place de Paris, Cette Le « Vorwucrts.» écrit, au sujet de JQiie non pas : nin n >.>-j ie seigle, 5-330.000 pour l'orge ét gémis* de la réponse britanni- ouverture, de crédit, qui:porte sur un |a situation intérieure : et 3-610.000 pour l'avoine. La récolte Un redoublement d'argumentation ' ! -r>l aUUOfa 11 ni. MrtvnUU, .« que à la note française : le ididiard et demi de francs, s'effec- « Ea situation économique com- des autres catégories de céréales est polérnyîue entre les journaux des- j Vdîlà' lë' côtë parlementaire'''de • la ' contenu probable. — Peut-on 1 : 1 n lifera ,en plusieurs opérations. Ea mence à se détendre. La situation du en diminution par suite de la séche- de|ix.3;-côtés-de la Manche ne: ferait cçisè polil'iqtiè 'allerhà'ndè.<• " espérer reconstruire l'Enten- pîemiè're doit être de 400 millions de Cabinet Cuno s'est sensiblement ag- resse. ,qi|e rendre plus difficile;-la- déchu- u ÎMàis 'eclle-ci a une cause plus' pro* TlliUlCS: < • .. .- . il te?—Les.préoccupations éco- : ;i : gravée. Telle est la situation actuelle .verte d'une solution;--M::'! 1- - .- 'f(|ndé;^ ■ " h 'MitO :\'ï . !::. !.: : ai jour anniversaire de la Constitu- nomique» commandant toute aNIaïs dans:, quelle idirection >j ichec-i ' tout à 'coup, les socialistds se Deux époux : : tion. Le Cabinet Cuno peut-il tou- la politique anglaise. — La ( lier celle solution poursuivie en vain décidés- à'-'prendre l'offensive, jours être considéré comme un gou- meurent subitement crise politique allemande : .durant de longs mois ? - ■ >>up epié les* Cpnséquences: dé la poli- Dans la H uhr virnemçnt dont la signature est di- à une minute d'intervalle potre excellent- confrère, -Li fâomiei;. ! de 'M;/ (hiho se sont développées vers un nouveau gouverne- eu- de crédit ? C'est là une ^question tle> là; Joïirnée t Industrielle, - .formule- -Ifl: p|us vite qu'ils ne pensaient. : M. et Mme Fayet, demeurant au ment. — Toute la machine >èé sèritineiles sont attaquées qùi préoccupe tout le monde, aussi j économico-sociale du Reich sifcgestion suivante : IIS • croyaient pouvoir, attendre et Havre, étaient venus à Cambremer i 9 août, à minuit 45, une senti- bfeq à là chancellerie que dans les est détraquée. ilf ont vu que ies'-'ëvé'iï'enTénts rië 1er-' visiter des parents. Ils avaient pris |-1 ..Siffltïg avîs, il serai f.aus^i illu- ntettaient plus de tempomér. • mobile a tiré un coup ... de fusil ministères et au sein des partis bour- l'autobus de Mézidon. A l'arrivée de La réponse britannique à la der- t geois- soire de '.prétendre convaincre les An- jLè !dëlraqù'ëment'financier - de la un .individu qui escaladait la çlô- l'autobus à Cambremer, Mme Fayet rière note, française a été remise sa- f« On se demande: Combien cela glms pqr,.le raisonnement qu'il serait îiiichirje '''allemande 'est tel qtie les ' l!< I de. 'a ;?nine Victor, dernièrement descendit la première. Ses parents medi dans l'après-midi. durera, des mois, des semaines, des dungereux d'entrer dans-'leur raison- tifinsaclrons- lés pltis simpltes' ne peu- céVupée, à 7 .kilomètres de Castrop- . lui demandèrent comment elle allait. A -.l'heure où nous rédigeons ces li- netne.nl, 'à eux, car Us. _ne. raisonnent joins, des heures ? Quoi qu'il ad- vint plus s'effectuer et que " a popula- I |Ee.;9 août, à 23 h. 30, les deux' sem « Très bien, » répondit-elle, et au anes; cette réponse n'a pas encore été que par rapport -à leurs , préoccupa- , îi|)nns'an'dtè'-:; '! "; > - - iinelles placées au pont du canal vienne, l'amélioration qui commence même moment elle s'affaissa. Elle publiée et force est de s'en tenir aux tiins de faif .ef..ils'.rptisç^ent mal. Si ; d'Ems, près, de la mine Ickerp, 5 ki-, ne doit pas être interrompue ; le y :La ' hausse constante des; prix et à éiait morte. Son mari à son tour se commentaires officieux de Londres. l'an veut les ramener vers l'entente, ; ,-lotn^res au, nord-est, de Castrop, ont gouvernail de l'Etat ne doit pas res- pencha pour la relever, mais à son l'impossibilité'cïe-se procurer 'le i»a" Que dit-on dans les milieux bri- il faut entrer non pas dans' leur rai- tiré chacune un coup de. fusil sur ter un seul instant sans-pilote ». tour, il tomba mort également. j ■ 1er: nécessaire aux achats rend rexis- Innnïques ? • ^_ j _ . .. |{ sojinement, mais dans tes préoccupa- lenee qùotidiehnë intolérable; dejix, individus, cjui cherchaient à se ôn répèle que la noie est courtoise gl|ssér soùs le pont. • tions qui le commandent, ou bien il Aussi une agitation intense se ma- La acifîcation du lîa,roc et ferme; on insiste encore sur lès faut dissiper ces .préoccupations. Or, nffe'sté'-f-ellfci11 '•' uoinij'i aiatnii Ees. individus se sont enfuis sans arguments juridiques qui condam- Le groupe sud de Taza a envoyé un on ne saurait trop le répéter à nos of- |Les grèves se multiplie ut pouvoir être rejoints. Le développement âii commerce nât l'occupation comme illégale et depuis fi(keu;t qui s'es^riinent vainement- Irois jours ; 'des liié'naces ' Dans,, la nuit du 9 au 10-août, à détachement dans la région voisine An glo-Allemand (onteaife aux. stipulations du traité e troubles du Eilon d'issoukal, d'où l'on aperçoit éeriIre les prétentions personnelles, de ' sc| produisent : on's'ès1! 'th 1 23 h. 45, une fusée verte a été lancée, rie Versailles ;. on revient sur les det- ic ; aperçu le groupe mobile du nord de Taza lord Curzop, les préoccupations pro- gâ'FPWé s iffisai VI1 s 'de- cem templer, à cent.mètres des sentinelles de garde, tes interalliées et la menace à peine fo^ides. les seules vraiment dangereu- aifisi que vers l'ouest, les ouvrages Le Board of Trade vient de publier EoiiUén hs cri tic uan îlcapac.ité des cijtre lé poste de la vole, ferrée Ragkel, voilée de réclamer à la France Une ses, de l'Angleterre sont des préoccu- , à l'est,de Dorlmund, et le poste de la d'EImers. une statistique sur le commerce bri- partie des siennes'-pour éteindre la [Le général Preymirau prépare en pations■ économiques. C'est, à, quoi il , |B'crn ' gi" sa! ;ré, les 1 ea de; par- roule Bragkel, Wigkfefuvls. tannique avec l'Allemagne, en 1922 créance des Etals-Unis sur la Grande- f'iiti..s'<dluquer. , somme par des reconnaissances la et durant le premier semestre'de 1923. Bretagne. ..lementaires Se sont décidé; ou sont Des sanbtions contre (es saboteurs i;c|sighés iittervehir. reforise des opérations dans la région En 1922, les importations d'Alle- D.e plus, o.ii annonce que le gouver- Si est ïna'nifest à T. i ue les prédCcupa-; : |Legj actes <le sabotage seront répri- d'Ouezzan où un poste nouveau a été magne en Angleterre se sont élevées à 1 . jQii'ànt au dénouement de la'' crise, nement luilnniuque, tout en" expri- tiens' ddhiinarttBs' 'A^nglais'.yont, à " més par. des peines pouvant: aller jus- créé pour protéger les Beni-Guilda 26.524 000 livres sterling, et, pour les mant son vif désir de voir les Alliés t'ileurë actuë,llë; ~fâ^pM\ prévoir, non seulement soumis. ordre' ëssënticlie- .dans quelA^ens il intendèndrà, mais o:i'à vingt ans de prison et ' ' même six premiers mois de 1923 à adresser à l'Allemagne une noie com- tnlnt éeonoinicfuc roii scplemènl, ils .îtiernë s'il;ihterviend'ra bientôt. jujsqu'à;. la peine.de mort ou de tra- 16.930.000 livres. mune, laisserait entendre que, faute patissem lourdement'du chômai ; Ade' - ., jU'est' toute 1 la- maison allemande vaux forcés dans le,cas où le saïio- Qiao sa en Les exportations de Grande-Breta- d'accord à ce sujet, il se -résoudrait à puis l'armistice, mais voici que î'ap- ; passe-t-il Grèce? qui a besoin d'être remise en état. i:v::;- aurait entraîné mort d'homme- g|e en Allemagne, en 1922, ont été de ; Bruit de crise économique et politique ■ épondre séparément à la niite alle- préhension ,(l'uhè !/rave._.r.tèS jwsaip. 'J , ^^..t- -. ; l ^ \ . i/. *i^>UVl^ t <lt —.- ....^ «vo> iiiiiioa U LES SIX mande du 7 juin. crfse; économi'cpie s'empare de nom- problème :dès réparations',' de l'atti- imMn.jmv.