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LE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE L’ÉTAT-MAJOR DE L’ANP (63-67) REVIENT SUR LE COUP D’ÉTAT MANQUÉ DE 1967 : PAGES 8 et 9 4 «Comment Tahar Zbiri a été dupé» 7 0 0 - I I I I JUSTICE N S S I - r e g l A ’ d n La chambre o La chambre i t i d E BOUIRA 4 gendarmes d’accusationd’accusation blessés dans l’explosion relancerelance l’affairel’affaire d’une bombePAGE 3 SonatrachSonatrachPAGE 3 G CONSTRUCTION DE LOGEMENTS Les entreprises publiques boostées PAGE 0 d i S r i m a S : s o t o h P APRÈS LA MORT DE KADHAFI JEUDI À SYRTE Quel destin R D : o t o PAGE 16 h pour la Libye ? P VEND. 21 - SAM. 22 OCTOBRE 2011 - 24-25 DOU AL-QUI’DA 1432 - N° 6390 - PRIX 10 DA - FAX : RÉDACTION : 021 67 06 76 - PUBLICITÉ : 021 67 06 75 - TÉL : 021 67 06 51 - 021 67 06 58 Confirmation Dans une précédente édition, nous avons publié des précisions ERISCOOP [email protected] des services du ministè- re de la Pêche indiquant Vend. 21 - Sam. 22 octobre 2011 - Page 2 que le fils de M. Khana- fou n’a été mêlé ni de PP près ni de loin au mou- vement de grève qui a secoué le port de Gha- zaouet récemment. La vérité sur Amirouche ordine Aït Hamouda a fait part à plusieurs Or, et après vérifica- reprises, ces derniers jours, de l’intérêt qu’il tion, nous sommes en porte aux informations que pourrait détenir le mesure d’afficher que le moudjahid Mohamed Maârfia sur le sort qu’ont connu fils de Monsieur le NlNes dépouilles de son père (le colonel Amirouche) et du Ministre fait bel et bien colonel Si El Haouès du temps du président Boumediè- partie du collectif qui a ne. Maârfia avait affirmé dans sa contribution au déclenché une grève au Soir d'Algérie sur le coup d’Etat manqué de T port commercial de Gha- que le président Boumediène «avait, une foisahar seul Zbiri aux zaouet, dont le directeur commandes, perpétué le sacrilège» concernant les deux de l’exploita- colonels martyrs. tion est éga- Nordine Aït Hamouda considère que si Mohamed lement un Maârfia a en sa possession des éléments pou- parent de vant permettre d’accéder à la vérité, il serait M. Khanafou. de son devoir de les rendre publics. Le président du Mali L’astucieuse lundi à Alger sablière Le président malien, Amadou Toumani Touré, est Une entreprise étrangè- attendu à Alger, lundi prochain, pour une visite d’Etat de re, ayant décroché la réa- trois jours, avons-nous appris de source diplomatique. lisation d’un important Une visite où il sera question, notamment, d’examiner projet sur la côte-ouest avec Bouteflika l’épineux problème du terrorisme au Sahel, algéroise, a trouvé un où l’Aqmi s’est considérablement renforcée depuis l’éclate- moyen astucieux pour ment de la crise en Libye. réaliser de bons profits. En effet, le sable prove- nant des fondations est mis sur le marché des Un jour, un sondage matériaux de construc- tion. Pensez-vous que Kadhafi a été sciemment Une situa- tion qui, achevé par les forces du CNT ? semble-t-il, OUI échappe totalement NON aux services sans opinion concernés. Résultats du dernier sondage Pensez-vous que Fawzi Chaouchi mérite une dernière chance et voir sa suspension de dix matches réduite ? OUI : 32,17% NON : 64,92% S. Opinion : Déposez votre réponse sur le site 2,92% du Soir d’Algérie www.lesoirdalgerie.com Le Soir d’Algérie Actualité Vend. 21 - Sam. 22 octobre 2011 - PAGE 3 JUSTICE La chambre d’accusation relance l’affaire Sonatrach Rebondissement dans l’affaire Sonatrach. La chambre d’accusation près la cour d’Alger a tranché tard dans la soirée de jeudi dans le bras de fer qui oppose le juge d’ins- truction au parquet général. Ainsi, après plus de trois heures de délibérations, la chambre d’accusation a décidé de «relancer l’instruction de l’affaire», en exigeant un «complément d’enquête». Abder Bettache - Alger (Le que témoin à décharge. La requê- Soir) - La bataille juridique oppo- te de la défense s’inscrit confor- sant l’accusation et le juge d’ins- mément à l’article 69 bis de la loi truction dans l’affaire Sonatrach 06-22 du code de procédure est désormais tranchée par la pénale qui stipule que «l’inculpé chambre d’accusation. Cette der- ou son conseil et/ou la partie civi- niére a décidé de couper la poire le ou son conseil peuvent, à tout en deux en statuant pour un moment de l’instruction, deman- «complément d’enquête», soit der au magistrat instructeur de pour une «instruction plus appro- recueillir ses déclarations, audi- fondie». tionner un témoin ou procéder à En somme, la requalification de un constat, pour la manifestation l’affaire décidée le 12 septembre de la vérité. Si le magistrat instruc- d dernier par la chambre d’accusa- teur ne croit pas devoir procéder i S tion du tribunal de Sidi-M’hamed, aux actes demandés, il doit r i m qui a estimé que les accusations rendre, dans les vingt jours sui- a S ne relevaient pas du pénal, a été vant la demande des parties ou de : o t aussitôt contestée par le parquet, leur conseil, une ordonnance o h qui a fait appel de la décision, motivée. P d’où sa programmation devant la A l’expiration de ce délai et à La bataille juridique domine l’affaire Sonatrach. même instance judiciaire le 19 défaut d’ordonnance du juge octobre dernier. d’instruction, la partie ou son sont concernés par un nouveau Benamar Zenasni, chargé de l’ac- trices des marchés objets de ce Avec cette nouvelle donne, il conseil peut dans les dix jours sai- chef d’inculpation lié au blanchi- tivité transport par canalisation scandale, il en avait fait part à son est clair que la bataille juridique sir directement la chambre d’accu- ment d’argent. Pour cette raison, (sous mandat de dépôt), ministre. domine cette affaire, en attendant sation qui statue dans les trente ajoute la même source, le juge les Belkacem Boumedienne, chargé Les marchés de télésurveillan- l’explicitation politique qui en jours à partir de la saisine. Sa a interrogés en mai dernier sur de l’activité amont (en détention ce pour les bases du sud du pays découlera. Il reste à savoir si par décision n’est susceptible d’aucu- leurs biens immobiliers et leurs provisoire) ou Chawki Rahal, ne sont en général jamais traités complément d’enquête, le juge ne voie de recours». En somme, comptes ainsi que ceux de leurs chargé de l’activité commercialisa- uniquement par le P-dg ou ses instructeur se verrait dans l’obliga- le juge d’instruction instruit à char- épouses. tion (placé sous contrôle judiciai- vice-présidents. «Ils sont tous tion d’étendre son instruction aux ge et à décharge. Cela dit, les premières audi- re), il est clair que tous les actes soumis à l’appréciation de Khelil, parties qui ont été jusque-là épar- Il doit donc procéder à tous les tions des quatorze prévenus et de gestion étaient soumis à l’ap- dont certains par écrit.» Le scan- gnées d’être citées dans ce scan- actes d’information utiles, que celles d’une quinzaine de témoins préciation du ministre de dale Sonatrach avait éclaté en dale. ceux-ci soient de nature à démon- se sont achevées sur une lourde l’Energie, expliquent nos sources, janvier 2010 et porte sur les Pour rappel, le magistrat ins- trer la culpabilité ou l’innocence interrogation quant à la responsa- qui révèlent que Mohamed contrats de gré à gré accordés au tructeur avait réservé une fin de d’une personne. bilité politique et administrative de Meziane, l’ex-P-dg, «ne faisait groupe Funkwerk Plettac Contel non-recevoir à la requête introdui- Selon des sources citées par le l’ex-ministre de l’Energie, Chakib rien sans en référer à Chakib pour des équipements de contrôle te par les avocats de la défense journal El Watan, Mohamed Khelil, dans ce scandale. En effet, Khelil». Même pour le cas de ses et de sécurité, et à l’italienne qui, indique-t-on, ont saisi le juge Meziane, sous contrôle judiciaire, que ce soit l’ancien P-dg deux enfants, l’un travaillant pour Saipem, où exerçaient les deux pour l’audition de l’ex-ministre de et ses deux fils, en détention pro- Mohamed Meziane, ses deux Saipem et l’autre pour Contel, les fils de l’ex-P-dg. l’Energie, Chakib Khelil, en tant visoire depuis plus d’une année, enfants ou les vice-présidents, deux sociétés étrangères déten- A. B. BOUIRA PROCÈS DGSN-ABM Quatre gendarmes blessés Le réquisitoire attendu dans l’explosion d’une bombe Jeudi, aux environs de 11 heures, une patrouille de la gendarmerie pour aujourd’hui de la commune d’Ath-Laâziz, à 8 km au nord de Bouira, qui venait Le rejet par l’essemble des prévenus des DGSN et que les accusations portées à notre juste de lever le barrage qu’elle avait dressé sur la RN5, a été la cible chefs d’inculpation contenus dans l’arrêt de encontre sont infondées. Durant l’audience, M. d’une bombe enfouie sous terre et actionnée à distance par des terro- Oultache avait déclaré que «M. Tounsi avait approuvé ristes, apprend-on de source sécuritaire. renvoi du juge d’instruction du pôle judiciai- re spécalisé du Centre a dominé les deuxiè- le marché sur la base d'avis d'experts algériens et Selon la même source, la bombe enfouie dans un talus, à quelques étrangers spécialisés en informatique».