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THE JOKERS en association avec LE PACTE présentent MANGLEHORN Un film de DAVID GORDON GREEN AVEC AL PACINO, HOLLY HUNTER, CHRIS MESSINA, HARMONY KORINE DURÉE : 97 MINUTES DRAME / USA / COULEUR / ANGLAIS DISTRIBUTION RELATIONS PRESSE THE JOKERS FILMS matilde incerti 19, rue de Liège - 75009 Paris ASSISTÉE DE www.thejokersfilms.com jérémie charrier EN ASSOCIATION AVEC 16, rue Saint-Sabin - 75011 Paris LE PACTE tél : 01 48 05 20 80 5, rue Darcet - 75017 Paris [email protected] tél : 01 44 69 59 59 www.le-pacte.com SORTIE NATIONALE : 3 JUIN 2015 PHOTOS ET MATÉRIEL PRESSE TÉLÉCHARGEABLES SUR WWW.MANGLEHORN-LEFILM.COM L’HISTOIRE A.J. Manglehorn, un serrurier solitaire vivant dans une petite ville Gary, ancien toxico qu’il a pris sous son aile. américaine, ne s’est jamais remis de la perte de l’amour de sa vie, Manglehorn a entrepris de construire une étrange amitié amou- Clara. Obsédé par son souvenir, il se sent plus proche de Fanny, reuse avec Dawn, employée de banque au grand cœur. Mais sau- sa chatte, que des gens qui l’entourent et a choisi de trouver du ra-t-il trouver la bonne clé pour se libérer à jamais des secrets réconfort dans son travail et sa routine quotidienne. Malgré tout, du passé ? il entretient des relations humaines fragiles en maintenant un contact intermittent avec son fils Jacob, sa petite-fille et surtout À PROPOS DE MANGLEHORN La vie de A.J. Manglehorn est faite de solitude. En apparence, il a conférence d’ICM Partners (l’agence artistique d’AL PACINO) et j’ai une vie banale consistant à ouvrir les portes de personnes ayant essayé de le convaincre. » perdu leurs clés, nourrir son chat, Fanny, manger du foie aux oi- gnons à la cafétéria du coin et apprécier ses conversations heb- Au final, il a été décidé qu’AL PACINO ne participerait pas à la pu- domadaires avec une employée de banque, mais sa vie intérieure blicité. Mais, comme il a tendance à le faire, DAVID GORDON GREEN est tout sauf simple. Cet homme au passé mystérieux et au cœur n’a pas pu s’empêcher de retirer toutes sortes d’observations de brisé écrit chaque jour de longues lettres à Clara, son amour per- sa rencontre avec l’acteur. « C’était drôle de l’entendre dans une du depuis quarante ans, « celle qui est partie », la seule personne pièce, faisant les cent pas tout en marmonnant ses idées et es- à qui il peut faire part de sa vie émotionnelle complexe et triste. sayant de prendre une décision. Soudain, j’ai vu le personnage que Chaque jour, il ouvre sa boîte aux lettres (gardée par une ruche) je voulais qu’Al joue, basé sur des éléments de sa vie et les per- pour voir si, à tout hasard, Clara lui a répondu. sonnages extraordinaires qu’il a interprétés. » Avant de partir, il a La genèse étonnante de MANGLEHORN remonte à début 2012, déclaré à AL PACINO, « Je crois qu’il vaut mieux que vous ne fas- lorsque DAVID GORDON GREEN préparait le tournage d’une publi- siez pas cette publicité. Mais nous allons faire un film ensemble. » cité dans laquelle devait jouer AL PACINO, mais ce dernier com- L’acteur poursuit, « Pour une raison que j’ignore, cette rencontre mençait à avoir des doutes. « On me disait de la faire, mais je n’y a résonné en David. » arrivais pas », se souvient l’acteur. C’est alors que D. G. GREEN a été appelé. « J’ai pris l’avion, je l’ai rencontré dans la salle de D. G. GREEN s’est aussi souvenu d’une conversation qu’il avait eue quelques années plus tôt avec un homme d’un peu plus de 70 ans, En janvier 2013, une fois son film JOE terminé, DAVID GORDON lors du Festival du Film de Nantucket. « Cet homme parlait de ses GREEN a envoyé le scénario à AL PACINO. Ce dernier l’a tout de regrets, notamment celui d’avoir quitté l’amour de sa vie. Il avait suite aimé et a demandé au réalisateur de venir à Los Angeles très bien réussi, mais n’avait jamais été heureux parce qu’il avait pour en parler. « Je l’ai lu et je me suis dit : qu’a-t-il vu dans cette fait le mauvais choix. J’ai donc mélangé les deux idées. » salle de conférence qui lui ai fait penser à moi pour ce rôle ? », dit PAUL LOGAN, ami d’enfance et voisin de D. G. GREEN poursuit en riant AL PACINO. D. G. GREEN ajoute, « Il aimait l’idée de tra- une carrière de scénariste depuis des années et soumet occasion- vailler sur un personnage complexe et a tout de suite vu les clins nellement son travail à son ami. Il a travaillé comme assistant de d’œil que Paul et moi avions faits à certains personnages qu’il a production sur PRINCE AVALANCHE. « J’admire vraiment son tra- L’étrange nom est issu d’un souvenir de D. G. GREEN. Pendant le interprétés et à sa propre personnalité. » vail d’auteur. Son style est incomparable, spontané et naturel. En tournage de la série de HBO, KENNY POWERS, il a échappé à un plus, c’est un grand cinéphile qui adore AL PACINO. Alors je lui ai ouragan en Caroline du Nord. « J’ai fini par me perdre dans une Même s’il n’avait pas vu tous les films précédents de D. G. GREEN, dit, “Pourquoi n’essaies-tu pas d’écrire quelque chose pour Al ?” » bourgade appelée Teachey dans laquelle j’ai pris la Mangle Horne AL PACINO a immédiatement apprécié sa vision. « Ce type n’est Road. Le nom est si extraordinaire que j’ai eu envie de voler le pas un réalisateur comme les autres », dit l’acteur. « Il m’a montré « Je suis fan de lui depuis que j’ai vu UN APRÈS-MIDI DE CHIEN panneau. La route avait été baptisée ainsi en l’honneur d’un vieil PRINCE AVALANCHE et je me suis dit qu’il avait un sacré talent. quand j’avais 9 ans », déclare l’auteur. « Puis, à 12 ans, je suis de- homme du nom de Mangle Horn qui y avait vécu. Je me suis sim- David n’est pas là pour cachetonner, c’est un artiste. » Même si, venu complètement obsédé par lui après avoir vu LE PARRAIN. » plement dit, “Voilà un titre de film très cool.” » Le nom a aussi tout à l’époque, l’acteur n’avait aucun temps mort dans son emploi du D. G. Green a donné une indication très simple à P. LOGAN. « Nous de suite attiré PAUL LOGAN. « Il avait une certaine résonnance. temps surchargé, il a vu une opportunité qu’il ne voulait pas rater. étions à la fête d’anniversaire de l’un de ses enfants et il venait J’ai imaginé un vieux dinosaure blessé, une figure légendaire.» « Je me suis arrangé. J’avais foi en David. » juste de revenir de sa rencontre avec AL PACINO », se souvient Suite à cette conversation, PAUL LOGAN partit en Europe pour Paul Logan. « Il m’a dit, “Tu dois le rencontrer, tu dois écrire pour une tournée avec EXPLOSIONS IN THE SKY, le groupe formé lui. Je veux que tu écrives un scénario intitulé MANGLEHORN (il par d’autres amis de leur enfance à Midland, Texas, qui a d’ail- avait déjà le titre). Je veux que ce soit l’histoire d’AL PACINO qui se leurs composé la musique du film (aux côtés de DAVID WINGO). languit d’un amour perdu. » « La tournée durait deux semaines. J’écrivais ici et là et j’envoyais mes textes à David. » QUI EST A. J. MANGLEHORN? En voyant la vie routinière d’A. J. Manglehorn, on a du mal à ima- ment un gourmet », rit D. G. GREEN. « Il s’assoit sur la même tant qu’acteur, ce genre de détails vous aident à comprendre quel giner qu’il a pu être autre chose que serrurier. Mais l’a-t-il toujours été ? chaise, possède un canapé de couleur neutre et mange de la genre d’homme il est et ce que son travail représente pour lui. nourriture insipide. » Il se rend régulièrement à la cafétéria du C’est authentique. » Pendant la création du passé du personnage, GREEN et LOGAN coin pour dîner quand il n’a pas d’autre choix. « Manglehorn est Le magasin de Manglehorn se trouve également juste à côté de ont brièvement envisagé que Manglehorn ait pu avoir une vie un homme routinier », dit PAUL LOGAN. « Il va au travail, va tou- chez DAVID GORDON GREEN. Il s’agit du magasin de serrurerie criminelle – quelque chose qui l’ait mené à une carrière dans jours dans le même restaurant, rend visite à la même personne le Sharp Brothers que le réalisateur a découvert un jour où il avait laquelle il était convenable de déverrouiller des choses. PAUL même jour chaque semaine et écrit une lettre toujours à la même besoin de changer des serrures. « Tout d’abord, c’est un endroit LOGAN explique, « Nous l’avons imaginé comme une figure lé- heure. C’est sûrement un moyen pour lui de ne pas craquer. C’est magnifique », déclare R. A. WRIGHT. « Au fil des ans, ils ont es- gendaire, comme le personnage d’Al dans L’ÉPOUVANTAIL, mais un filet de sécurité auquel il s’accroche. » sayé de moderniser l’endroit et de le rendre accueillant. Nous quarante ans plus tard. Quelqu’un qui a eu de l’ambition très tôt En ce qui concerne le look de Manglehorn, la costumière JILL avons tout retiré et sommes revenus à la décoration d’il y a vingt dans la vie et a fait des choix qui lui ont coûté ses relations.