La Societe Generale

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La Societe Generale LA SOCIETE GENERALE 1822 – 1992 JO COTTENIER PATRICK DE BOOSERE THOMAS GOUNET "Un vestige féodal" : c'est ainsi que de Benedetti décrit la Société Générale. "Pourquoi est-il prêt à avancer tant d'argent pour elle, alors?", répliqua Davignon. Dans la presse mondiale le holding belge fait, il est vrai, triste figure : la Générale repose sur ses lauriers et n'est pas adaptée à son époque, entend-on. De Benedetti apparaît comme le grand sauveur qui va la dynamiser. Après la tempête soulevée par le raid sur la Générale un certain nombre de questions restent sans réponse: le "capitalisme dynamique" que propose-t-il? Y a-t-il une différence stratégique entre l'Europe 1992 de de Benedetti et celle de Lamy et de Davignon? Pour le mouvement ouvrier n'existe-t-il pas d'autre choix que celui entre variantes de stratégie capitaliste? Toutes ces questions ont une longue histoire. Elles se posent notamment au mouvement socialiste depuis ses origines. Les 200 familles les plus riches (René De Preter, EPO, Dossier, 1983) mettait l'accent sur le rôle des personnes. Ce nouveau Dossier analyse surtout les évolutions structurelles. Jo Cottenier est journaliste, spécialiste des questions économiques. Patrick de Boosere est chercheur à la V.U.B. Il est auteur d'un livre sur la guerre des étoiles. Thomas Gounet est économiste. Edition électronique réalisée par Vincent Gouysse à partir de l’ouvrage publié aux EPO WWW.MARXISME.FR Sommaire : Introduction……………………………………………………………………………………………………p.3 PREMIERE PARTIE I. A la pointe du progrès (1822-1873)…………………………………………….………………………p.4 Sortie des entrailles de la féodalité — La Société Générale jusqu'en 1873: le capitalisme libéral au zénith — Le socialisme: une utopie? — Notes II. Sur les sentiers de la colonisation (1873-1918)……………………………………………..………..p.23 La première grande dépression et la deuxième révolution technique — La Générale prend le large — Le mouvement ouvrier et la tentation du capitalisme 'dynamique' — Notes III. La Société Générale sort indemne de la crise et de la guerre………………………………...……..p.40 Le contexte de la reconstruction — Les plus belles années de la Générale — Le mouvement socialiste sous l'empreinte de De Man — Notes IV. La Générale perd du terrain (1945-1975)……………………………………………………...……p.62 La Pax Americana — La grande crise de la Générale — Dynamiser par des réformes de structure — Notes DEUXIÈME PARTIE I. L'Europe 1992 en arrière-fond…………………………………………………...……………………p.82 La crise — La nouvelle technologie — La poussée irrésistible de l'économie globale — De la crise de l'acier à l'informatique — La Table Ronde — 1992, un avenir rayonnant? — La forteresse Europe — Notes II. René Lamy à la recherche d'un nouveau dynamisme (1975-1987)……………………...…………..p.96 Corbiau — La nouvelle stratégie de Lamy — Une stratégie financé par l'Etat — La réorganisation de la gestion — Les sociétés pivots — Concentration — L'internationalisation — Les revers de la médaille — Notes III. L'Europe sous le charme des restructurations………………………..……………...…………….p.112 Les télécommunications — Le secteur bancaire — Notes IV. L'attaque………………..………………………………………………………………………….p.123 Carrière — Un mélange de Goldsmith, Tapie en Frère — L'ambition — Des hommes qui surgissent de nulle part — Pourquoi la Belgique, pourquoi la Générale? — Le spectacle médiatique — Une semaine d'avance — Notes V. Cherchez les amis, cherchez les ennemis……………………………………………………...……p.136 Conseils contre conseils — Amitiés armées — La paix armée — Des problèmes sur les arrières de De Benedetti — "Vive l'anarchie?" — Notes VI. L'Etat, la nation et le nationalisme……………………………………………………...………….p.147 Une guerre de tranchées — Deux tendances — L'internationalisation et les Etats nations — Sur l'ancrage belge... — ... et le capital financier flamand — Un appui imprévu — Notes VII. Que fera Suez de la Générale?…………………………………………………………………….p.156 Le canal nationalisé — Changement de cap? — Nouvelles orientations pour la Générale — Valoriser la mise — Les 'synergies' avec Suez — Quelques idées sur l'envergure du groupe Suez-Générale — Les bénéfices en flèche — Notes VIII. A la recherche du capitalisme dynamique……………………………………………...………..p.171 La séduction dynamique — Plus près des marchés — Le mythe du capital industriel autonome — La formation de réseaux internationaux — Tout le monde content? — Notes Annexes………………………………………...………………………………………………………p.183 2 Introduction Avec un brin d'ironie, on pourrait se dire: De Benedetti a peut-être perdu la guerre, mais il a au moins gagné une bataille. Dans la bataille des médias il a surclassé tous ses opposants. Il prit l'avantage avec ses déclarations fracassantes à l'adresse de la Société Générale, qu'il fustigea d'être un vestige féodal. Du coup, un René Lamy enragé perdit complètement sa crédibilité et ce fut au tour d'Etienne Davignon d'entrer dans l'arène. Celui-ci répliqua plus à propos: "Si la Société Générale est tellement vétusté et sans valeur, pourquoi De Benedetti déverse-t-il tellement d'argent pour en prendre le contrôle?" Entre-temps, 'notre' holding national fait triste figure dans la presse internationale. Le Monde, le Wall Street Journal, et le Financial Times se penchent avec mépris sur cette minable construction belge, qui est décrite comme un dragon à multiples têtes, gêné dans ses mouvements par son poids et sa vieillesse. En Belgique, ces critiques circulent depuis longtemps. La Société Générale se reposerait sur ses lauriers, serait inadaptée à l'évolution des temps. Dans de nombreux milieux, Carlo De Benedetti apparaît comme le sauveur tant attendu. Il est remarquable que les plus grands espoirs émanent du PS et des milieux syndicaux. Une position qui remonte déjà bien dans l'histoire: en 1954, la FGTB fut la première à mettre en évidence, le manque de dynamisme de la part des holdings. Après la tempête soulevée par le raid sur la Générale, un certain nombre de questions fondamentales restent sans réponse. Qu'est-ce que le 'capitalisme dynamique'? Y a-t-il une différence stratégique entre l'Europe 1992 d'un De Benedetti, ou d'un Lamy, Renaud de la Genière et Hervé de Carmoy? Ces questions sont essentielles pour comprendre le capitalisme actuel et, en particulier, d'une importance vitale pour le mouvement ouvrier. Ne reste-t-il d'autre voie pour le monde ouvrier que le choix entre fractions de capital, entre variantes de stratégies capitalistes, entre capitalisme industriel et financier? Et la distinction même, entre capitalisme industriel et financier, résiste-t-elle aux assauts de l'internationalisation et de la concentration extrême que nous vivons? Autre dimension du débat: l'éloge du 'capitalisme dynamique', que peut-il bien avoir en commun avec les idéaux d'origine du socialisme? Une réflexion qui vient à l'esprit lorsque certains dirigeants syndicaux paraissent raisonner dans les mêmes termes que De Benedetti. Ce sont aussi des questions avec de longs antécédents historiques, qui préoccupent le mouvement ouvrier - surtout socialiste - depuis ses débuts. D'où l'idée centrale du livre: faire l'histoire; d'une part de la Société Générale de Belgique, d'autre part du mouvement socialiste dans son attitude par rapport au capital. Le résultat est une histoire peu habituelle, mais plus riche, axée sur deux pôles: 1) A travers l'histoire de la Société Générale depuis sa fondation, nous cherchons une meilleure compréhension des tendances maîtresses qui dominent l'évolution du capitalisme. Nous partons chaque fois du contexte général (croissance ou crise, révolutions technologiques, internationalisation...) pour en venir aux stratégies d'adaptation spécifiques élaborées par la Société Générale. Ce qui permet dans chaque période historique de donner un contenu précis au concept de 'capitalisme dynamique'. Nous fixons donc notre attention sur les évolutions structurelles, plutôt que sur le rôle des personnes. Pour ce dernier aspect des choses, nous renvoyons au livre Les 200 familles les plus riches (René De Preter, Dossier-EPO, 1983). 3 2) Face à cette évolution objective se façonne l'attitude du mouvement ouvrier. Il résiste mal à l'attrait d'une certaine 'sorte' de capitalisme, communément associé au capital industriel et dynamique. Nous nous sommes limités à l'aile socialiste du mouvement ouvrier, parce que le débat socialisme- capitalisme y est beaucoup plus ouvert. Mais il va de soi que la problématique vaut aussi bien pour l'aile chrétienne du mouvement ouvrier. Pour une analyse plus spécifique de ce dernier, nous renvoyons au livre L'argent du PSC-CVP. La mort d'un dirigeant de la CSC, (Peter Franssen, Ludo Martens, EPO-dossier, 1984). La première partie du livre traite de l'histoire jusqu'en 1975: l'avènement de la grande crise. La deuxième partie passe en revue les grandes restructurations et développements internationaux depuis la crise, qui débouchent sur le raid de 1988. Elle analyse les stratégies des acteurs de l'époque révolue (Lamy), des acteurs tenus en échec (De Benedetti) et des acteurs victorieux (le groupe Suez), avec en toile de fond cet événement majeur dans la vie économique que sera l'Europe 1993. PREMIERE PARTIE I. A la pointe du progrès (1822-1873) Sans risque d'exagération on pourrait dire que la Belgique et la Société Générale ont joué un rôle important dans le développement du capitalisme. L'histoire de cette première période, que nous situons jusqu'en 1873, est synonyme de victoire sur les anciennes structures féodales. C'est l'époque où la bourgeoisie industrielle a réalisé sa percée économique et politique. En Belgique, plus qu'ailleurs, cette bourgeoisie avait des liens très
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