ZICO : ZONES IMPORTANTES POUR LA CONSERVATION DES OISEAUX

VALLEE DE L' DE A VENDEUIL PE 07

46 communes Localisation des ZICO de Picardie Département de l’ (26) : ABBECOURT ; ACHERY ; AMIGNY- ROUY ; ; AUTREVILLE ; ; ; BRISSAY- CHOIGNY ; CHARMES ; ; ; ; ; LA FERE ; ; MAREST- DAMPCOURT ; ; OGNES ; ; SAINT-PAUL-AUX-BOIS ; ; ; ; ; VENDEUIL VIRY-NOUREUIL Département de l’Oise ( 20) : ; BABOEUF ; BAILLY ; BEHERICOURT ; BRETIGNY ; CAMBRONNE-LES-RIBECOURT ; CHIRY-OURSCAMPS ; ; ; ; ; ; PONT-L'EVEQUE ; PONTOISE-LES-NOYON ; RIBECOURT- DRESLINCOURT ; SAINT-LEGER-AUX- BOIS ; ; ; THOUROTTE ;

Superficie : 12 050 ha

DESCRIPTION DU SITE

La vallée inondable de l’Oise constitue une entité géomorphologique et hydrologique, fonctionnelle et de grande étendue, unique en Picardie. Le fond de vallée est occupé par une mosaïque de milieux prairiaux plus ou moins inondables, de bois, haies et cultures, traversée par les cours de l’Oise et de ses affluents. Ces cours d’eau sont bordés par des lambeaux de ripisylves. Les pratiques pastorales de fauche et de pâturage, relativement extensives, ont façonné ces milieux depuis des siècles, et sont un bel exemple d’adaptation de l’agriculture à une zone humide. Bon nombre de prairies sont valorisées au travers d’un système mixte, combinant une première intervention de fauche en juin et une mise à l’herbe des animaux à partir de l’été. Les inondations régulières, outre leur fonction fondamentale d’écrètage des crues par étalement dans un lit majeur parfois large, génèrent une fertilisation des sols. Les caractéristiques physiques et agricoles uniques dans le nord de la de cet ultime système bien conservé de prairies de fauche inondables permettent la présence d’habitats, d’une flore et une faune caractéristiques et menacés, d’intérêt international dans sa portion médiane. Suite aux difficultés de l’élevage, les prairies de fauche inondables extensives sont aujourd’hui relictuelles et en voie de disparition à l’échelle des plaines d’Europe du nord. Les systèmes de haies, de fossés et de mares sont également des témoins de systèmes agraires adapté aux contraintes du milieu. La proximité de grands massifs forestiers favorise les échanges faunistiques. La rivière et les milieux aquatiques annexes de bonne qualité (dépressions humides, mares, bras-morts…) permettent la reproduction de nombreuses espèces d’oiseaux remarquables.

Version Août 2006 Le site est utilisé comme halte migratoire, site d’hivernage et site de nidification pour de nombreuses espèces avifaunistiques, en complément avec le site de la Baie de Somme

Espèces Nicheur Migrateur Hivernant

Plongeon catmarin X Grèbe esclavon X X Butor étoilé X X Bihoreau gris X X Aigrette garzette X Grande Aigrette X X Cigogne noire X Cigogne blanche X X Spatule blanche X Cygne chanteur X X Canard pilet X X Harle piette X X Râle des genêts (photo P. Sabine) Bondrée apivore X Milan noir X Milan royal X Busard des roseaux X Busard Saint-Martin X

Version Août 2006 Busard cendré X X Balbuzard pêcheur X Faucon émerillon X Faucon pèlerin X Râle de genêt X Grue cendrée X Avocette élégante X Pluvier doré X Combattant varié X Chevalier sylvain X Sterne pierregarin X Sterne naine X Guifette noire X Hibou des marais (photo Jean Nosal) Martin pêcheur d'Europe X Gorgebleue à miroir X Pie grièche écorcheur X

Pie-grièche écorcheur (photo J.L. Hercent)

FONCTIONNEMENT ET EVOLUTION DU SITE

La zone inondable, en abaissant la lame d'eau par étalement dans le large lit majeur, agit comme un réservoir écrêteur de crues qui limite l'impact des inondations en aval. Le maintien de cette inondabilité, tout en prenant les mesures adéquates visant à éviter toute dégradation des installations humaines, est une condition fondamentale à la préservation de la qualité des milieux, de la flore et de la faune, ainsi qu'à la qualité de l'eau. En effet, les crues inondantes régulières permettent une importante épuration des eaux de l'Oise et de ses affluents, qui déposent Pimprez une partie de leur charge en éléments polluants qui peuvent être partiellement recyclés par la végétation. La mise en œuvre de mesures agri- environnementales depuis 1994 a permis de favoriser les adhésions volontaires des agriculteurs désireux de conserver et développer des pratiques plus extensives (maintien des surfaces en herbe, réduction des intrants, retard des dates de fauche pour l'avifaune nichant au sol,…). Une partie de la vallée a fait l'objet d'exploitations par des gravières. Les activités économiques traditionnelles de cette zone humide sont essentiellement orientées vers l'élevage. Méandre de Couarcy

Version Août 2006 ZICO : ZONES IMPORTANTES POUR LA CONSERVATION DES OISEAUX

ETANGS ET MARAIS DU BASSIN DE LA SOMME PE 02

60 communes : Localisation des ZICO de Picardie

Aisne (9) : ; ; ; DURY ; FLAVY-LE-MARTEL ; JUSSY ; ; SAINT-SIMON ; TUGNY-ET-PONT Somme (51) : ABBEVILLE ; AILLY-SUR- SOMME ; AUBIGNY ; BELLOY-SUR- SOMME ; BIACHES ; BLANGY- TRONVILLE ; BOVES ; BRAY-LES- MAREUIL ; BRAY-SUR-SOMME ; BREILLY ; BRIE ; CAPPY ; CERISY ; LA CHAUSSEE-TIRANCOURT ; CHIPILLY ; CIZANCOURT ; CLERY-SUR-SOMME ; COTTENCHY ; -SAINT-PIERRE ; CURLU ; DAOURS ; DOINGT ; EAUCOURT-SUR-SOMME ; ECLUSIER- VAUX ; ENNEMAIN ; EPAGNE- EPAGNETTE ; EPENANCOURT ; ETERPIGNY ; ETINEHEM ; FALVY ; FEUILLERES ; FOUENCAMPS ; FRISE ; HEM-MONACU ; LICOURT ; LONGPRE- LES-CORPS-SAINTS ; MAREUIL- CAUBERT ; MARICOURT ; MERICOURT-SUR-SOMME ; MESNIL- BRUNTEL ; MORCOURT ; LA NEUVILLE-LES-BRAY ; PARGNY ; PERONNE ; PICQUIGNY ; SAINT- CHRIST-BRIOST ; SAINT-SAUVEUR ; SUZANNE ; VECQUEMONT ; VILLERS- CARBONNEL ; YZEUX

Superficie : 6 900 ha

Version Août 2006 DESCRIPTION DU SITE

Cette zone correspond à la grande vallée tourbeuse alcaline de la Somme, unique en Europe. L'ensemble de la vallée joue un rôle évident de corridor fluviatile, favorable aux flux migratoires de multiples espèces végétales et animales. De l’amont vers l’aval, se succèdent des influences subcontinentales à atlantiques, expliquant en partie l’extrême biodiversité observée. Sur le plan géomorphologique, la Somme présente ici un exemple typique et exemplaire de large vallée tourbeuse en "U" à faible pente.

Les sources de la Somme se situent au milieu du plateau agricole du Vermandois, à Croix-. Le fleuve s’écoule globalement dans la direction nord-ouest/sud-est. Deux principales zones s’individualisent : les marais d’Isle et d’ et les marais de Saint-Simon, qui représentent deux vastes zones marécageuses d’intérêt patrimonial élevé.

La Somme s’écoule d’abord entre Voyennes et Péronne, selon un axe nord/sud, dans une vallée très peu méandrée, étroite et qui s’encaisse faiblement dans le plateau crayeux. A l’aval de Péronne, cette portion de vallée se caractérise par un encaissement puissant du cours du fleuve dans sa vallée et par une succession de méandres très marqués. Cette géomorphologie est héritée de la fin de la période glaciaire, à une époque où l’action conjuguée des eaux et des alternances gel / dégel donnait au cours d'eau un pouvoir de creusement sans commune mesure avec ce que l’on observe aujourd’hui.

Les milieux et les paysages ont été fortement influencés par l’homme depuis l’époque romaine, période à partir de laquelle la construction de chaussées-barrages s’est développée. Ces digues, qui permettaient de franchir la vallée, retenaient également les eaux en amont. C’est grâce à ces retenues que les milieux aquatiques et amphibies ont acquis un tel développement.

Ce tronçon est touché par le manque d'entretien quasi-généralisé du fond de vallée, conduisant à la fermeture des milieux par boisement, par envasement et par disparition des dernières prairies tourbeuses. Le paysage, qui était autrefois façonné par l’extraction de la tourbe, à des fins de combustible domestique, et par la récolte des roseaux, était composé d’étangs, de tourberies et de marais fauchés et pâturés. Aujourd’hui, la vallée est constituée de tremblants, de roselières et de forêts alluviales (bois tourbeux à saules, aulnes et bouleaux). Cette dynamique s'accompagne localement d'un processus d’acidification de la tourbe basique et forme un complexe original d’habitats acidoclines à acidiphiles.

Le secteur de Corbie à Amiens correspond à un vaste ensemble marécageux, comprenant une mosaïque de biotopes tourbeux alcalins qui se composent de prairies humides, de roselières, de bas-marais tourbeux, de plans d'eau et de boisements humides.

Version Août 2006 Entre Amiens et Breilly, les très nombreux plans d'eau aux formes géométriques résultent de l'exploitation récente de granulats. Dans les espaces hors plans d'eau, quelques roselières, mégaphorbiaies et fragments de bas- marais tourbeux se partagent le territoire.

Jusqu'à Yzeux, le fond de vallée conserve un caractère plus naturel que le précédent secteur. Les plans d'eau trouvent leur origine dans l'exploitation ancienne de la tourbe.

Au delà, le paysage comprend un ensemble d’étangs de grande superficie, résultant de l’extraction de matériaux alluvionnaires. Ces étangs sont entourés de végétations arbustives ou arborescentes, de plantations de peupliers, de mégaphorbiaies ainsi que de quelques fragments de prairies, de bas-marais et de roselières.

De Fontaine-sur-Somme et Pont-Rémy, le paysage est davantage vouée à une activité agricole : prairies de fauche relictuelles et prairies mésophiles pâturées occupent le territoire.

Entre Eaucourt-sur-Somme et Abbeville, un complexe exceptionnel d’étangs, de roselières, de bas-marais tourbeux et de prairies humides tourbeuses prend place.

Le site est utilisé comme halte migratoire, site d’hivernage et site de nidification pour de nombreuses espèces avifaunistiques.

Espèces Nicheur Migrateur Hivernant

Butor étoilé X X Blongios nain X Bihoreau gris X X Aigrette garzette X X Grande Aigrette X Héron pourpré X Cigogne noire X Blongios nain Cigogne blanche X Harle piette X Bondrée apivore X Milan noir X Busard des roseaux X Busard Saint-Martin X X Busard cendré X Balbuzard pêcheur X Milan noir(photo Jean Nosal) Faucon émerillon X Marouette ponctuée X Sterne pierregarin X X Sterne naine X Guifette moustac X Guifette noire X Martin pêcheur d'Europe X Gorgebleue à miroir X Sterne pierregarin (photo Philippe Thiery)

Version Août 2006 FONCTIONNEMENT ET EVOLUTION DU SITE

Les marais se caractérisent par un vieillissement quasi-généralisé, avec accélération de la dynamique à la fois arbustive et préforestière. Les espèces remarquables, inféodées aux milieux ouverts, tendent à disparaître.

- Certains étangs ont tendance à s'envaser. Ce phénomène est provoqué en partie par les limons des plateaux, entraînés dans le cours d'eau par les pluies. - Le développement des Habitations Légères de Loisirs entraîne une dégradation tant paysagère qu'écologique des marais. - Les opérations de curage des étangs se réalisent parfois aux dépens des milieux palustres rivulaires (dépôts des boues de curage sur les berges...). - Certaines pelouses calcicoles ont tendance à être envahies par les hautes herbes et les broussailles, du fait de l'absence d'entretien. D'autres ont été mises en cultures.

Version Août 2006 ZICO : ZONES IMPORTANTES POUR LA CONSERVATION DES OISEAUX

FORET PICARDE : MASSIF DE SAINT-GOBAIN PE 05

36 Communes : Localisation des ZICO de Picardie AMIGNY-ROUY ; ANIZY-LE-CHATEAU ; AUTREVILLE ; BARISIS ; BASSOLES- AULERS ; BERTAUCOURT-EPOURDON ; BRANCOURT-EN-LAONNOIS ; BRIE ; BUCY- LES-CERNY ; CESSIERES ; CHAMPS ; COUCY- LE-CHATEAU-AUFFRIQUE ; COUCY-LA- VILLE ; COUVRON-ET-AUMENCOURT ; CREPY ; FAUCOUCOURT ; ; ; FRESNES ; ; ; LANDRICOURT ; LIZY ; MERLIEUX-ET- ; ; PREMONTRE ; QUINCY- BASSE ; SAINT-GOBAIN ; SAINT-NICOLAS- AUX-BOIS ; ; SERVAIS ; SINCENY ; SUZY ; VERNEUIL-SOUS-COUCY ; VERSIGNY ; ;

Superficie : 19 380 ha Dont 8 486 ha de forêt domaniale et 549 ha de forêts bénéficiant du régime forestier, soit un total de 47 % de la superficie de la ZICO

DESCRIPTION DU SITE

Le massif forestier de Saint-Gobain / Coucy-Basse est l’un des vastes complexes forestiers de la région Picardie. Il occupe une imposante butte témoin du rebord septentrional de la côte de l’Ile de France et une partie du glacis qui s’incline en pente douce vers les vallées de l’Oise et de l’Ailette. Sa diversité et sa richesse reposent principalement sur le contexte géomorphologique (affleurements de substrats tertiaires variés combinés à un relief marqué) et climatologique (influence atlantique à tendance continentale) de ce territoire. Il intègre ainsi une grande part des potentialités forestières et biologiques du tertiaire parisien. La Hêtraie occupe un peu plus de la moitié de la superficie de ce massif forestier et notamment la hêtraie mésotrophe acidicline

Version Août 2006 Le site est utilisé comme halte migratoire, site d’hivernage et site de nidification pour de nombreuses espèces avifaunistiques.

Espèces Nicheur Migrateur Hivernant

Bondrée apivore X Busard Saint-Martin X Grue cendrée X Pic noir X Pic mar X Pie-grièche écorcheur X Pic mar (photo Daniel Mure, ONF)

FONCTIONNEMENT ET EVOLUTION DU SITE

La gestion de la forêt publique est planifiée par le biais de l’aménagement forestier, guide de gestion qui comprend une analyse fine du milieu et du contexte économique et social, un choix raisonné des objectifs à atteindre et une programmation des interventions nécessaires à court et moyen terme. L’amélioration des connaissances sur le fonctionnement et sur les exigences écologiques des habitats doit constituer l’un des axes de recherche et d’études afin d’affiner la gestion forestière et mieux prendre en compte le maintien de la biodiversité.

Le maintien de la biodiversité ornithologique nécessite une permanence de nombreux arbres d’âge avancé (au-delà de 150 à 200 ans) ou sénescents.

Massif de Saint-Gobain (photos Daniel Mure, ONF)

Version Août 2006

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 GRILLE DE CALCUL DE DOSE Coefficients à appliquer aux quantités d’éléments exportés prévisibles pour déterminer les quantités d’éléments à appliquer

COMIFER propose deux grilles de calcul de dose, pour P et pour K, version 2009, sous la forme de coefficients Le multiplicatifs des exportations pour les grandes cultures et les fourrages annuels ou pluriannuels (non per- manents). Ce document s’adresse aux agriculteurs, aux techniciens, aux laboratoires d’analyse de terre et aux autres structures de conseil qui calculent ou fournissent des préconisations de dose PK.

Ces grilles ont été établies dans le prolongement de la nouvelle table des teneurs en P, K, et Mg des organes végétaux récoltés, publiée en 2007 par le COMIFER, et doivent être utilisées avec cette table.

Cette version 2009 a été construite dans la continuité des versions 1993(1) puis 1997(2) de la méthode COMIFER, qu’elle remplace donc maintenant. Elle correspond aux principes édictés dans la brochure COMIFER de référence (1993), basés en grande partie sur les enseignements des essais de longue durée, alliant les deux objectifs généraux d’alimentation non limitante des cultures et de préservation de la fertilité P et K du sol à moyen terme.

Trois objectifs principaux ont guidé l’élaboration de cette version 2009: Dans les sols à teneurs faibles en P ou en K, les coefficients multiplicatifs réévalués maintiennent les doses précédemment préconisées sur la base des résultats du réseau d’essais longue durée. Dans les sols à teneur élevée en P ou en K (teneur supérieure à Timpasse), les coefficients multiplicateurs ont été soit maintenus soit diminués, en privilégiant des valeurs inférieures ou égales à 1, conduisant à l’utilisation plus importante des réserves du sol pour l’alimentation des cultures. Par ailleurs, un seuil supplémentaire correspondant à la valeur de 3 × Timpasse est défini, au-delà duquel les coefficients sont toujours égaux à 0, quels que soit le niveau des autres critères de raisonnement. Lorsque les résidus de récolte de la culture précédente sont enlevés (par exemple les pailles), la disponibilité en P mais surtout en K diminue pour la culture qui suit. Le supplément d’apport permettant de compenser les expor- tations de P et de K des pailles est alors attribué à la culture suivante et non pas à la culture précédente. Cette compensation ne s’envisage que dans les cas des sols qui n’ont pas une teneur élevée, c'est-à-dire lorsque la teneur du sol est inférieure au Timpasse. Les valeurs des teneurs-seuils Timpasse et Trenforcé par classe d’exigence, définies régionalement par type de sol, ne sont pas modifiées, elles n’ont pas fait l’objet de révision.

Dose P O Teneur en P O ou K O dans 2 5 Coefficient multiplicatif Rendement prévu 2 5 2 ou K O conseillée les exportations (kg P 0 ou K O 2 des exportations (unité de rendement aux normes) 2 5 2 (en kg/ha) par unité de rendement aux normes) avec un supplément éventuel dû aux exportations de résidus du précédent

Le groupe PKMg du COMIFER, 2009 RAPPEL La définition de la dose P et K dépend de 4 critères de raisonnement: sL’exigence des cultures sLa teneur du sol à l’analyse de terre sLe passé récent de fertilisation sLes résidus de culture du précédent Les coefficients multiplicatifs des exportations sont définis d’après les 3 premiers critères. Des précisions pour une meilleure utilisation de cette grille seront disponibles sur le site du COMIFER: www.comifer.asso.fr (1) COMIFER 1993 Aide au diagnostic et à la prescription de la fertilisation phosphatée et potassique des grandes cultures

Copie autorisée – Comifer PKMg – novembre 2009 Copie autorisée – Comifer PKMg novembre (2) COMIFER 1997 Éléments complémentaires à la méthode de raisonnement de la fertilisation PK permettant d’aider à sa mise en œuvre Grille de calcul des doses de phosphore (P2O5) à apporter Grille de coefficients multiplicatifs des exportations, appliqué à la récolte principale (grains le plus souvent)

Nb. d'années sans apport P O depuis la dernière 2 5 fertilisation

Cultures 0 2.2 1.5 1.2 1.0 0.8 0 0 très exigeantes Betterave sucrière an 3.3 2.0 1.5 1.2 1.0 0 0 Colza - Luzerne Pomme de terre 2 ans ou + 3.7 2.7 2.0 1.5 1.2 0.8 0 s Moyennement 0 1.6 1.0 1.0 0 0 0 0 exigeantes Blé/Blé - Blé dur an 1.8 1.2 1.0 1.0 0.8 0 0 Maïs fourrage - Pois s Orge - R.G. - Sorgho 2 ans ou + 2.0 1.7 1.5 1.2 1.0 0.6 0

Cultures 0 1.3 1.0 0.8 0 0 0 0 peu exigeantes Avoine - Blé tendre an 1.6 1.0 1.0 0 0 0 0 Maïs grain - Seigle Soja - Tournesol 2 ans ou + 1.6 1.2 1.0 1.0 0.8 0 0

Grille de calcul des doses de potassium (K2O) à apporter (grandes cultures) Grille de coefficients multiplicatifs des exportations, appliqué à la récolte principale (grains le plus souvent)

K O Nb. d'années 2 sans apport Pour toute destination depuis la dernière des résidus du précédent fertilisation

Cultures 0 1.7 1.2 1.0 0.8 0.6 0 0 très exigeantes an 2.0 1.4 1.2 1.0 0.8 0 0 Betterave sucrière Pomme de terre 2 ans ou + 2.3 1.5 1.4 1.2 1.0 0.8 0

Moyennement 0 1.6 1.2 1.0 0 0 0 0 s exigeantes Colza - Maïs grain an 2.2 1.4 1.2 1.0 0.5 0 0 Pois - Tournesol Luzerne 2 ans ou + 2.2 1.6 1.4 1.2 1.0 0.8 0 s

Cultures 0 1.2 1.0 1.0 0 0 0 0 peu exigeantes an 1.2 1.1 1.0 0 0 0 0 Blé tendre - Blé dur Orge - Avoine - Seigle 2 ans ou + 1.2 1.2 1.0 1.0 1.0 0 0

Grille de calcul de dose de potassium (K2O) à apporter sur les cultures fourragères (récolte plante entière)

K O Nb. d'années 2 sans apport Cas des fourrages depuis la dernière Pour toute destination fertilisation des résidus du précédent Cultures 0 1.0 1.0 0.8 0.6 0 0 0 Moyennement exigeantes an 1.5 1.2 1.0 0.8 0.6 0 0 Maïs fourrage Ray-Grass - Luzerne 2 ans ou + 1.5 1.2 1.0 1.0 0.8 0.4 0 Copie autorisée – Comifer PKMg – novembre 2009 Copie autorisée – Comifer PKMg novembre

9 9

e SYNTHESE DES RESULTATS DES ANALYSES DE SOLS e x x e e n n n n A A

DOSSIER CARTOGRAPHIQUE

0 0

ƒ Légendes des cartes 1 1 1 0 1 0

8 6 8 4 7 6 4 7 1 1 e

1 1 e

ƒ Cartes d͛aptitude à l͛épandage e e e e e e x e e x e e e e e x e x x x x x x x x x x x

e e e e e e

Cartes des sols e ƒ Cartes des sols e e e n e e n n n n n n n n n n n n n n ƒ Fiches parcellaires par commune n n n n n n n n n n n n n A A ƒ Fichiers cadastraux par commune A A A

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