PREFACE

.... Une réalisation à ma connaissance jamais égalée. Un ouvrage retraçant parfaitement, le monde du football amateur très populaire en région Val-d'Oisienne, qui mérite d'être lu et conservé précieusement. Un livre qui sans aucun doute, sera également lu au delà des limites du département, et qui rappelera, à de nombreux sportifs un passé qu'ils ont vécu avec la foi d'un vrai footballeur.

Mustapha DALHEB

35 ANNEES DE FOOTBALL AMATEUR

35 années de football amateur, est un ouvrage où vont se mêler les noms, de centaines de footballeurs amateurs, mais également, ceux de footballeurs professionnels, ayant eu un rapport amical avec des clubs qu'André BADUFLE a découvert durant sa carrière, que ce soit en tant que Joueur, Entraîneur, et Educateur.

Ainsi vous pouvez découvrir, dans les pages qui suivent : CHARRIER (OIYlnpique de Marseille) Jean-Michel LARQUE (A.S. Saint-Etienne et Saint-Germain) Mustapha DALHEB (Paris Saint-Germain) Georges EO (Red-Star) AMORFINI (Red-Star) Les frères VALENTE (Malakoff) Eric RENAUD (Paris Saint-Germain) Georges LECH (Lens) Robert JONQUET (Stade de ) Robert SIATKA () DANTHENY (Stade de Reims) COURIOL (I.N F. Vichy, A.S. Monaco et Paris Saint-Germain) Alain GIRESSE (Bordeaux et Marseille) (Sélectionneur National) Oswaldo PIAZZA (A.S. Saint-Etienne) EUSEBIO (Benfica de Lisbonne)

Les non moins célèbres Thierry ROLAND et Jacques VAN- DROUX du Variétés Club, et tant d'autres. Tous ces personnages du monde du football, ont pu se produire durant différentes manifestations en divers endroits, où ils ont forte- ment apprécié l hospitalité des clubs Val-d'Oisiens où ils ont été reçus, et dont ils gardent un merveilleux souvenir.

Bruno PIANTONI L'Auteur appréciait déjà le ballon ...

Les années 40, où il jallonnait le même parcours qu'André BADUFLE, l auteur avait posé sur les bancs de l'école de Méry-sur- Oise, en compagnie d'un ballon qui allait lui servir de guide durant de nombreuses années en tant que dirigeant à L'A.S.S.O.A. Animateur de radio locale, à RGB, où dès 1979 il anima les premières émissions sportives des samedi et dimanche, en communi- quent les résultats locaux. Cette émission s'intitulait alors, « Week-end sportif ». En 1982, il sera de nouveau dans ces mêmes studios, où en col- laboration avec Orlando DE OLIVEIRA, il animera les émissions; « spécial foot », du dimanche et « spécial sport », du lundi. Dans une presse locale, il aura l'occasion de se manisfester par écrit et en réalisant de nombreux clichés sur le sport en général, en particulier sur le foot. L'une de ses récompenses fut celle attribuée par le Ministre de la Jeunesse et des Sports, Mme Edwige AVICE en 1983. André BADUFLE PALMARES DU BAD EN TANT QUE JOUEUR 1951 Champion de Paris cadet avec Auvers 1960 Champion de Paris sénior avec Pontoise, promotion d'honneur 1961 - 62 - 63 Champion de Paris avec l'A.S.S.O.A. 1968 - 69 Champion de Paris avec l'A.M.P. 1970 - 71 - 72 Champion de Paris avec les anciens à l'A.S.S.O.A.

- Entraîneur Educateur - Quatre titres en cadets A.S.S.O.A. - Champion de Paris Un titre en pupilles A.S.S.O.A. - Champion de Paris Une coupe du Val-d'Oise en cadets A.S.S.O.A. Une coupe des Yvelines en minimes honneur avec l'A.S. Poissy Un titre de Champion de Paris en séniors à L'A.S.C.I.A.

LES CLUBS L'USM MERY L'ASC L'ISLE-ADAM L'USM AUVERS L'ASPTT PONTOISE L'AS BEAUCHAMP Le CS PIERRELAYE L'OL PONTOISE L'AS OSNY L'AMP FRANCE L'AS ERAGNY L'AS SAIN-OUEN L'AUMONE Le FC MERIEL L'AS VEXIN L'US CONFLANS L'AS POISSY Ces clubs sont ceux dans lesquels André BADUFLE à évolué en qualité de joueur, ou fait fonction d'entraîneur et éducateur. D'autres clubs se retrouveront dans cet ouvrage lors des rencontres, qui les opposèrent à ces derniers.

L'USM MERY 1ère en 1961, avec Mr CLAIRE, son Président

EQUIPE RESERVE

Jean CLAIRE, le 6e en bas à droite

PREMIERE ETAPE : MERY

Le " BAD c'est comme cela, que l'on le désignait déjà à Méry-sur-Oise, flanqué d'une culotte courte, qui n'avait rien à voir avec un short de football, il quittait l'école pour aller retrouver immédiatement, le sandwich à la main, ceux avec lesquels, il allait jouer au ballon pendant des heures sur la place des fêtes. Un ballon qui pour la plupart du temps était confectionné, à l'aide de chiffons, papiers et ficelle. Ce petit bonhomme déjà emprunt par le désir de faire comme les grands, n'hésitait pas à faire plusieurs kilomètres à pied, pour se rendre sur les ter- rains avoisinants, copier les quelques gestes nécessaires, pour améliorer, une technique, dont il a conservé les racines. Et comme, il me l'avait confié, pour avoir été l'un de ses proches amis (sur les bancs de la maternelle), — " Je me souviens comme si cela se passait aujourd'hui, les jeudis, nous partions en expédition sur les terrains sauvages de " La Galope ", formions deux équipes, enta- mions plusieurs "Matchs", et ce n'était que la tombée de la nuit qui nous obligeait à nous séparer Ceci pour bien démontrer, qu'à cette époque, ou nous avions 8/9 ans, sans que nous possédions, de terrain et d'équipement, nous avions la volonté de construire pour jouer. Une première étape à Méry, certes, mais ou nous reviendrons un peu plus loin pour voir l'enfant grandir, et évoluer sous les couleurs de l'US MERY (jaune et bleu). L'ETOILE SPORTIVE DE SAINT-ETIENNE ET L'USM MERY... UNE SACREE RENCONTRE !

En ce mois de Mai 1950, le tout Méry, s'orgueillissait, d'une rencontre, qui allait se produire, au stade municipal, entre deux formations de niveaux bien différents, mais qui allaient toutes deux, donner un véritable récital sur le ballon rond. Devant un public qui s'est déplacé nombreux, la journée a été doublement mar- quée en souvenirs ; tout d'abord la venue des verts et blancs, et puis le coup d'envoi par avion, chose qui en 1950 est peu courante. Pour ce qui est de la rencontre, l'E.S. SAINT- ETIENNE, fut plus technique, mais eu fort à faire face aux solides Mérysiens. Après maintes et maintes actions, et riches en savoir faire, la rencontre se termina sur le score d'un but partout. Le but local fut marqué par LESCURE, après que les "feux follets" de Marcel ROUILLARD et de Jean DAOULAS (les deux géants du onze) eurent construit, la phase de jeu décisive à l'égalisation. Ce que l'on a retenu, de cette journée, ce sont les deux ambiances qui ont régné de maître sur le stade, la chaleur, et l'entrain des specta- teurs. Parmis les meilleurs joueurs à retenir, ce furent, le demi- gauche, le demi-centre, et l'inter droit pour SAINT-ETIENNE. Pour les Mérysiens, un très bon match des juniors Lucien RENAUD et Serge DUBOIS. Par contre ce que l'on regretta, c'est l'absence du Cadet surclassé, André BADU- FLE, qui fut blessé à la cheville, lors d'une rencontre, le dimanche précédent, ce qui au- rait peut-être pu faire la différence.

L'ETOILE SPORTIVE SAINT-ETIENNE ET L'USM MERY

CADETS de l'USM MERY en 1951 TRIBAULAT, BADUFLE A., DEBAIN, PASQUET, DEBAIN G., VAUGON, DAOULAS, RENAUD L., RENAUD C., ROUILLARD.

US MERY 1964 PROMOTION 1ère DIVISION

LEPENVEN BADUFLE RENAUD BREDEAU BROUTA JAMET ROGER CARRIOU HINGRAT BADAIRE CAMUD

SOUS LES COULEURS DE L US MERY

Les années ont passé, et les premiers crampons vont être pour le " BAD une occasion de faire comme les grands. En effet, il va devoir se mesurer à l'âge de 14 ans avec des Séniors, car en cette période, le Club de Méry, ne possédait pas d'équipe de jeu- nes, et l'on ne rencontrait aucune difficulté pour passer une limite d'âge. Avec les frères LEFEVRE, Serge DUBOIS, Lucien RENAUD, et d'autres, le jeune BADUFLE faisait office de mascotte. Et bien souvent lorsque, l'équipe Mérysienne se trouvait en diffi- culté, la confiance des copains se reportait tout de suite sur ce dernier. Et l'on pouvait entendre murmurer, quelques fois : " Allez le BAD, va en planter un ", et avec la fierté d'un coq gaulois, usant à la fois de sa vivacité, et d'une technique qui lui était propre, il balayait le terrain, telle une tornade, et allait inscrire, le but d'égalisation, ou de la victoire. Après avoir transpiré, sous un soleil torride, ou sous une douche non prévue, la " bande " se retrouvait, chez " Nénette " un petit bar bien sympathique, ou les commen- taires, allaient bon train. Et déjà on songeait à la prochaine rencontre de championnat, ou au tournoi de sixte qui allait permettre à bon nombre de joueurs, de se retrouver dans une ambiance de kermesse. Il faut, ne pas oublier de mentionner, que les entrainements n'étaient que les rencon- tres par elles mêmes. Après ce séjour chez les Séniors de Méry, le BAD allait quitter les jaunes et bleus, pour gagner AUVERS. REVE D'ENFANT

Pour ce mome issu de l'une des cours les plus profonde et noire de Méry, à une époque où rien ne brillait dans le domaine du social ou des conditions similaires, la guerre, l'après guerre tout est resté flou comme il aime à l'expliquer : "J'ai avant tout, pensé à jouer comme tous les gosses de mon quartier. Mais cette balle que je convoitais, il m'a fallu attendre de nombreuses années pour en posséder une afin de pouvoir la caresser à ma manière. J'ai toujours espéré atteindre l'un des sommets qui font que le footballeur est devenu une étoile ; mais ai-je suivi vraiment le chemin qui s'impose pour ce genre d'ambition ? Cela je n'arrive pas encore aujourd'hui à en faire la démonstration. Malgré tout, je ne regrette aucun moment de cette carrière amateur, dont j'ai mis un point d'honneur à consacrer le reste de mon temps à la réus- site des jeunes, chose qu'il était difficile d'obtenir à une époque qui fut celle de ma jeu- nesse." Ce rêve d'enfant tant carressé par le "BAD" il en aura atteint malgré tout le som- met d'une certaine partie, celui de ne pas avoir quitté ce monde qui lui est si cher, et com- me il le souligne : "Il y en a qui ont leur job, moi qu'est-ce que vous voulez, c'est le mien, et je consi- dère qu'il en vaut bien un autre." Et oui l'oxygène des stades, l'ambiance d'après match, les sorties diverses, et l'ami- tié du club, pour DEDE, c'est presque toute sa vie.

HUMIDE OU TREMPE ?

C'est bien entendu du maillot porté sous différentes couleurs par le BAD dont il s'agit. Ce maillot qu'il soit a manches courtes ou longues, fut sans conteste d'un des plus "douchés" par la transpiration des efforts fournis au sein des rencontres effectuées par le BAD. Sa présence dans l'équipe réserve du club où il jouait, n'était pas toujours bien considérée par les défenses adverses. Car en face, on savait très bien que les 90 minutes à jouer n'allaient pas être de tout repos, pour la formation. La technicité em- ployée à l'époque, était beaucoup plus élargie sur le fait que les joueurs se déplaçaient d'avantage en étant plus fréquement porteurs du ballon. Des maillots, il en aura mouillé, plus d'un ou pendant ce temps, les supporters avides de victoires, et des meilleures actions, hurlaient plus souvent aux abords des main-courantes que dans les tribunes, car elles n'étaient pas si nombreuses que cela, mais les intempéries, faisaient aussi partie du programme prévu pourtant pour être ensoleillé la veille. Ses premières années, lorsqu'il était porteur du maillot de l'US MERY, et ou le terrain était " inconfortable " avec des dénivéllations plus qu'importantes, la douche aurait été à cette époque bien plus que nécessaire. Les fûts ou baquets remplis d'eau de pluie (car aucune adduction n'arrivait au stade) était le seul nécessaire de toilette tant pour le corps que pour les chaussures remplies aux trois quarts de boue. Ou est-il ce temps là, semble encore dire l'ex-Mérysien ? Les juniors de l'US Méry avec leur dirigeant M. LEFEVRE en 1981

Les Dirigeants et Dirigeantes de l'US Méry ont été récompensés en 1985 par M. Pierre DAVID, Maire de Méry

Les minimes de l'US Méry avec leur dirigeant, M. COP remportent le Tournoi de Pierrelaye en 1983 Pascal BANSSE, gardien de but de l'US Méry, prend pour , quiépouse fut Mlleun des LEFEVRE, tout bon fillejoueur du decélèbre l'USM Maurice Auvers. LEFEVRESW 'j MINIMES DE L'US MERY en 1983

Ph. COP, GERARD, JOSS, LAUD, JOELE, BACH, LAZARIGNY, PEREZ, ROCHETEAU, CHAMPION, LESSEC, LEROUX, avec leurs dirigeants - � M. LEFEVRE et M. COP.

Mesdames COP, BACH et LEFEVRE, en ont passer des heures sur un terrain ou derrière une buvette pour le football. U.S. MERY 1ère 1 9 8 5

Dans cette formation de l'USM MERY, on reconnait aux deux extrémités Michel GAUTHERIN et l'entraineur FORTIER. Une équipe toujours fidèle à son pionnier Mérysien : MICHEL GAUTHERIN

GAUTHERIN ET LES ANCIENS

EQUIPE RESERVE I1

LES CADETS AVEC MICHEL COP

LES POUSSINS AVEC LEURS DIRIGEANTS

LES PUPILLES

—. 1

LES MINIMES AVEC MAURICE LEFEVRE, qui fut un sacré joueur régional COUPE DE PARIS JANVIER 1984 Méry si près de Ilexplo*mt !

Billancourt A.C. bat Méry 1-0 (0-0, 0-0). Beau temps froid. du match. Fortier sauvant Terrain gras. 70 entrées payantes. Arbitrage de M. LENET sur sa ligne (18e) et les goal assisté de MM. DIGUET et MAISONNEUVE. REPOUX arrêtant ou dé- tournant tous les ballons, But : PLARD (lie). faisaient le reste. Changements à Méry de GAMBIER par CHENU (80c) Le suspense et la volonté et de VIDAL par HAMDOUNE (95e) ; à Billancourt de de chaque équipe d'en finir CHABAKIER par PALERO (61e) et de GUILLEUX par avec l'adversaire, nivelaient BROUDIC (21e). quelque peu les valeurs. Le match y gagnait en intensité. Méry-sur-Oise. - Il est des joueur, avait trouvé la lucar- Les deux équipes jouaient défaites dont on n'a pas à ne et le goal adverse dès la alors à l'énergie, plus avec rougir, et celle concédée par 3e minute. Il allait ensuite leurs tripes qu'avec leurs les hommes de FORTIER en touché la transversale (27e) têtes ou leurs pieds. D'un fait partie. Peut-on même puis servir sur un plateau instant à l'autre, le sort pou- parler de défaite quand une son avant-centre. Mais GAU- vait choisir le vainqueur équipe à qui on prédisait THERIN ratait l'occasion sans qu'aucun des specta- une déroute, ne concède (71e) puis une nouvelle fois, teurs n'eut pu dire qui il qu'un seul but pendant deux manquait le bonheur (78e). serait. Ce fut Billancourt heures de jeu ? C'est là un En face, pourtant on ne par PLARD de la tête suite véritable exploit réussi par chômait pas. Le jeu était à une remise de MOREAU, Méry que d'avoir ainsi tenu plus posé, plus collectif, l'avant-centre géant des vi- tête à une équipe de trois plus construit. Mais la réus- siteurs (116e) . divisions supérieures à elle. site ne venait pas pour au- Méry était allé au bout de On avait bien senti, d'en- tant. Le poteau avait repous- ses limites ; son héroïsme trée, que les locaux étaient sé les tirs de PLARD (6e) et avait faillit inverser tous les décidés à se battre. André de POLIZZI pendant les pro- pronostics. Les regrets sont FORTIER, leur entraîneur- longations. Les 2 hommes d'autant plus vifs.

Des regrets pour Méry ! Bravo quand même... AUVERS-SUR- OISE

CHEZ LES JAUNES ET ROUGES

Ceux que l'on nomment aujourd'hui, les les" sang et or", étaient loin de se douter, qu'ils allaient hériter, d'un élément de valeur. Ce jeune cadet 2" année, non pas venu de Saint-Cyr, mais de la rive gauche, allait sans complexe s'adapter, dans sa nouvelle famille. Un héritage pour les Auversois, mais aussi une dote pour André BADUFLE, qui allait évoluer dans les rangs des cadets, avec une pratique de sénior. Cependant, les res- ponsables, ayant remarqué, que ce jeune footballeur possédait des dons de vision sur l'exercice footbalistique, avait purement et simplement décidé de l'incorporer dans quel- ques rencontres, afin de voir parrallèlement, son amélioration, et aussi un renforcement de l'équipe fanion. Une exception : non, car le BAD faisait partie d'une sélection de cadets déjà choisis pour jouer le même rôle que lui. Aujourd'hui on se souvient de ces cadets, puisqu'il s'agit de : André MOLINIER, BENOIT dit " Cocoche Maurice LEFEVRE, et MINARD. D'ailleurs, deux d'entre eux, toujours en activité, on fait la gloire des heures heureuses, de CHAMBLY, l'AS POISSY, PERSAN et sans oublier l'OL PONTOISE. Nous reviendrons d'ailleurs sur André MOLINIER, qui a laissé dans l'amateuris- me, et chez les gardiens de but une image reflétant certains portraits, tels que VIGNAL, BARATELLI... Mais pour en revenir à nos jeunes mousquetaires, il ne faut pas oublier, qu'ils furent mentionnés dans la phase finale de l'Equipe de Paris cadets. Après avoir récoltés les fruits de l'Entraineur et dirigeant TAGLIANA, notre jeune élève allait transumer dans la plaine de BEAUCHAMP.

André BADUFLE dans la rencontre LE VESINET/PERSAN, un match où il fut mit à rude épreuve, mais également à l'essai sous les couleurs du Club Yvelinois. On reconnaitra également, BENOIT, qui joua à Auvers en cadet. EQUIPE D'AUVERS-sur-OISE

Sur ce cliché de bout de gauche à droite : DESMOULINS, qui fut un solide entraineur, CHARTIER, SOLESCO, DUPIN, FERRAND, DUTRIER, PHILIPEAU. Au 1er rang : ROMARU... RAMBERT, ORIGNY, GUILLOU.

L'équipe ci-dessus, fut à l'honneur à la piste municipale de Vincennes en 1 /4 de finale de la Coupe de France ( FSGT). C'était la deuxième édition de ce match qui donna lieu à de sérieux incidents, et qui après interruption dut être rejoué après une décision de la ligue. Cette seconde rencontre pouvait s'annoncer tendue contre Fontenay- sous-Bois, mais il n'en fut rien, et peut-être déçus de ce qui venait de se produire précédemment, les hommes de DESMOULINS, se concentrèrent d'avantage en ayant espoir de vaincre, non pas facilement, mais d'une façon ortodoxe, afin de démontrer, les qualités du football Auversois. Quelle ne fut pas la surprise, lorsque ceux qui n'avaient pas assisté à la rencontre apprirent le résultat : Auvers venait d'écraser Fontenay- sous-Bois par 7 buts à 1. Les très bonnes actions produites par Pierre RAMBERT, lui valurent après avoir logé à 4 reprises la balle au fond des filets adverses, d'être sélectionné dans l'équipe B de PARIS. Une journée qui ne passa pas sans commentaires ! EQUIPE lere DE L'USM AUVERS EN 1953

En haut de gauche à droite : FOURNIER L., LEFEVRE M., BENOIT, MOLINIER A., REMBRY, ESCURE, DESMOULIN. En bas de gauche à droite : MINARD, DUGUET, PHILIPEAU...

Maurice LEFEVRE en 1946 Monsieur LEFEVRE avec son 1er équipement de l'USM AUVERS juge de touche en 1960 Debout SCLAFERT, MUHL, J. DUTRIER, DAILLY, FERRAND, PHILIPPEAU, REMBRY, GEO MICHEL PRESIDENT. Accroupis : MASSON, QUEMIN ORIGNY, F. EORDOG, JEUNEHOMME.

MICHELDebout: CI. AUBERT, JOLY, DUTRIER, DUPIN, CAZANOIS, GEO FILLETTE.EL PRESIDENT. Accroupis : M. ROMARU, R. ROMARU, PAROT, GAYET, CADETS DE L'USM AUVERS EN 1960

En haut de gauche à droite : VAILLANT A., DELABORDE, FAYOLLE, VALIERE P., PEZZALI, GOIDIN En bas de gauche à droite : LEROUX, FAIVRE M., FAIVRE J.M., VALIERE M., CLAIRE J. Entraineur : PHILIPPEAU.

0 USM AUVERS PREMIERE - 1961

LES CADETS DE L'USM AUVERS 0

- 23 -1 L'EQUIPE PREMIERE d'AUVERS 1960

Chapeau Messieurs les Auversois

M. LEFEVRE, E. CARRARA, M. GARNIER, et Mme GARNIER. AUVERS remporte la coupe au tournoi de Pâques de Cergy en 1961

Une époque au l'USM Auvers possédait une belle équipe dont la plupart des joueurs étaient Auversois ; sur ces deux photos on pourra reconnaitre : Les frères BOUCART, LEME, DUBOIS, HOUZIAUX, GUICHOT, Les frères GAR- NIER, MOLINIER, DUGET, CARRARA, FOURNIER, DUBEAU, BELON, GUILPIN père et fils, LEFEVRE, CAMEMBERT, DELABORDE, POPOF et son père.

ÂES MINIMES pï'USM AUVERS MARIAGE DE CARRARA MARIAGE DE MINARD 1 MARIAGE D'ANDRE BREGEANT MARIAGE DE MAURICE LEFEVRE I Le futur Président de l'USM Auvers, Jacques DUBOIS, lors d'un entrainement sévère dans les années 70

L'EQUIPE PREMIERE EN 1972

Jasmes MOLLARD actuellement gardien de but Maurice LEFEVRE à l'AS OSNY et Bernard LEFEVRE deux excellents joueurs de l'USM AUVERS

M. et Mme LEFEVRE deux personnes qui ont fait beaucoup pour l'USM AUVERS TOURNOI D'AUVERS EN 1976

L'EQUIPE DE ZUNDERT

Mr ROGER TAGLIANA, PRESIDENT DE L'USM AUVERS ' et Mr PIET PUD ENDE, PRESIDENT DE ZUNDERT i

L'EQUIPE RESERVE UN BON CRU !

L'EQUIPE JUNIORS ZUNDERT - USM AUVERS

PEYSALE TIENT BON LA COUPE : "ON A GAGNE !"... 1978 - EQUIPE PREMIERE de l'USM AUVERS DA SILVA, OUASSINI, A. VAILLANT, MOLIERE, F. MENEGHETTI, DUQUESNOY, PLACIDE, DA SILVA, PEYSALE, J.M. BLONDAIN, Ch .BOUTAIN, F. DESFOSSER,...

1978 - JUNIORS

1979 - MINIMES Entraineur : DAEINA I GUICHOT au micro dit TOUTOUNE I L'EQUIPE DE PREMIERE DIVISION AUVERS, on reconnaitra debout à la seconde place en partant de la gauche, le regretté PEYSALE

LA MAISON DE VAN GOGH Siège de l'U.S.M. Auvers Roger TAGLIANA, que l'on voit ici au centre de ce cliché, avait deux passions : le foot et la peinture. Lieu sacré des artistes peintres, la Maison de Van Gogh était à la fois un lieu de rencontre de deux mondes bien différents, mais tenue par un seul homme que l'on regrettera à jamais. Cette maison, qui servit à la fois de siège de l'U.S.M. Auvers pour le football, fut également le lieu d'exposition de nombreux tableaux, où se produisaient de nombreux vernis- sages. Il aurait été bien dommage qu'hommage ne soit pas rendu à celui qui fut un autre pion- nier du ballon rond au sein de la commune et d'un club qu'il a tant aimés. EQUIPE RESERVE en 1982

1980 - PUPILLES de l'USM AUVERS Entraineur : Vincent MOTILLA Les dirigeants : Michel FRANCOU Michel FRENAY

1982 - JUNIORS Entraineur : GUICHOT Les dirigenats : LEDOUGEl et POZZJ I

1980 - MINIMES EN 1982 ABBE VILLE - AU VERS 6e Tour de la Coupe de France

LE VAILLANT CENDRILLON AUVERSOIS AU 6e TOUR DE LA COUPE DE FRANCE FACE A ABBEVILLE.

Le Comité de Direction à son arrivée à Abbeville Jean-Luc DARMAUN On espère, pourquoi pas !

CAUCHOIX ET FERNANDEZ DARMAUN dans les vestiaires en Cie de J.P. BEQUET

Battus 3 à 0 après prolongations, les hommes de Cauchoix, ont malgrés tout tenus 90 mn. en concédant le nul 0 à 0. HOMMAGE A AUVERS Tous sont à féliciter, joueurs pour leur excellente prestation, accompa- gnateurs et supporters pour leur gentillesse et leur tenue. Pour eux c'était la fête et elle lut réussie, et ce, sur son terrain. De plus est, en nocturne et par un froid terrible. Sympathiques, les supporters qui criaient « Allez Au- vers » quand ils attaquaient et « Allez Abbeville » quand les bleux dominai- ent. Chaleureuse, cette ambiance créée par les jeunes du club venus dans trois cars spécialement affrétés pour la circonstance. Contrat rempli au-delà de toutes espérances ; le désir avoué des dirigeants étant de ne pas prendre un « carton ». Sans fermer le jeu, se battant sur toutes les balles les Auversois prouvaient qu'ils valaient mieux que leur division avec un gardien de grande valeur qui mit rapidement ses équipiers en confiance ; le Cendrillon de la Coupe n'avait pas l'air ridicule, tentant de construire un football plaisant et en de maintes occasions faisant oublier les 6 divisions qui le séparaient du S.C.A. par quelques beaux gestes techniques ou mouvements collectifs. Le miracle n'a pas eu lieu, mais y croyait-on vraiment à Auvers. Avant la rencon- tre on parlait déjà d'un « miracle ». Payant leurs généreux efforts lors des prolongations les Oisiens pouvaient partir la tête haute, ils venaient d'écrire une page de l'histoire de leur club. Cent cinquante supporters avaient pris place au Buffet de la Gare pour un repas où il régna une chaude ambiance. A leur arrivée, les joueurs qui venaient de sabler un Champagne bien mérité offert par la Municipalité d'Auvers furent accueillis par un tonnerre d'applaudissements. On peut dire qu'il est des défaites qui grandissent, celle-ci en est une pour le club d'Auvers dont les joueurs et les supporters peuvent être doré- navant fiers de porter les couleurs. Un souvenir inoubliable pour ce club de cette soirée picarde et il ne me reste qu'à leur souhaiter bonne chance pour le championnat où leur objectif sera la montée puisqu'ils sont leaders de leur groupe. Dans les vestiaires, l'équipe de l'USM AUVERS avec M. Jacques DUBOIS, Président, M. LESTRUHAUT et "TOUTOUNE" Un ouvrage inédit dans l'ossature du monde footballistique amateur tel que l'a désiré l'auteur. Se servir de toute une époque, où le joueur fut à certaines heures, l'image chère à de nombreux spectateurs, n'était certes pas évident. La recherche et la production de ces images encore vivantes, vont réjouir, au premier coup d'œil, les acteurs de ce que l'on peut appeler avec ou sans humour « le théâtre de verdure du ballon rond ». Le tout pigmenté par le passage d'un joueur qui a été l'idole des années 60 chez les « amateurs », l'ensemble relevé par le travail soigné d'un Editeur qui est resté avant tout footballeur, cela fait de cet ouvrage un album souvenirs auquel s'attacheront dorénavant petits et grands.

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