Cette Exposition Est Reconnue D'intérêt National Par Le Ministère De
Cette exposition est reconnue d’intérêt national par le ministère de la culture et de la communication / direction des musées de France. Elle bénécifi e à ce titre d’un soutien fi nancier exceptionnel de l’Etat. PRÉFACE Deux dates, deux images pourraient symboliser l’intention Sombre, embrumée, renfermée sur elle-même : telle est dans laquelle ont été conçues et mises en œuvre l’image que beaucoup d’auteurs ont donnée de Lyon au l’ensemble des expositions et des manifestations réunies 19e siècle. La ville semblait ne plus tirer son éclat que sous l’intitulé L’Esprit d’un siècle, Lyon 1800-1914, qui, d’un passé prestigieux. Quant à la revendication d’une toutes deux, sans arbitraire ni manipulation, coïncident identité lyonnaise, elle n’aurait conduit qu’à un repliement avec les limites chronologiques retenues. Le 29 juin 1800 stérile. À cette mémoire sélective, il est temps d’opposer le Premier Consul, confi rmant l’intention de réconciliation une histoire trop méconnue, celle d’une cité active, manifestée dès la chute de Robespierre en 1794, pose la ouverte sur le monde. Au 19e siècle, la soierie produit première pierre de la reconstruction des façades de la encore des merveilles, mais la ville était alors, aussi, la place Bellecour, dont la destruction, parmi d’autres, en capitale mondiale de l’horticulture ; elle fut encore, dès 1793, avait signifi é la volonté de la Convention de réduire avant 1900, le berceau de l’industrie automobile et du la superbe de cette ville qui avait osé se révolter contre cinématographe. les excès des jacobins : Lyon n’était plus ! Le 1er mai 1914 L’activité économique n’allait pas sans confl its sociaux.
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