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Détails sur le produit Rang parmi les ventes : #276956 dans eBooksPublié le: 2012-10-02Sorti le: 2012-10- 02Format: Ebook Kindle | File size: 26.Mb

Par Various, ALAN MOORE : Saga of the Swamp Thing Book 1 before purchasing it in order to gage whether or not it would be worth my time, and all praised Saga of the Swamp Thing Book 1:

Commentaires clientsCommentaires clients les plus utiles1 internautes sur 1 ont trouvé ce commentaire utile. Moore dans le textePar MelrindeauAlan Moore a su "réscussiter" ce personnage en perte de vitesse, et même l'améliorer : là où Wein et Wrightson avaient surtout mis en scéne tous les poncifs du film d'horreur (loup-garous, vampires, Frankenstein, ami qui vous poursuit en croyant que vous êtes votre "assassin", etc. J'ai toujours pensé que la première série devait son succés au talentueux Wrightson, Wein étant juste un marchand de soupe moins mauvais que la moyenne), Moore et Bissette ont donné naissance à un personnage consistant, et revisité de manière intelligente les poncifs susnommés. Même le "grand méchant" qui doit revenir tout casser, et la manière grâce à laquelle il est "vaincu" est intelligente et adulte.6 internautes sur 6 ont trouvé ce commentaire utile. La renaissance d'une légendePar PrésenceEn 1971, et créent un prototype de Swamp Thing dans le numéro 92 du mensuel "House of secrets". En 1972, ce héros a droit à sa propre série mensuelle qui durera 24 épisodes. Les premiers sont réédités dans Roots of the Swamp Thing avec de magnifiques illustrations de Bernie Wrightson. En 1982, DC Comics relance une nouvelle série mensuelle dont Alan Moore prendra la responsabilité à compter du numéro 20. Le présent recueil regroupe les épisodes 20 à 27 de cette série.L'épisode 20 est écrit par Alan Moore avec des dessins de Dan Adkins. Il sert d'épilogue aux épisodes précédents et il n'avait jamais été réédité précédemment. Avec l'épisode 21, Alan Moore change les règles du jeu. Swamp Thing a été capturé par l'entreprise Sunderland dont le PDG demande à Jason Woodrue (Floronic Man) de pratiquer une autopsie sur le corps du héros. Les résultats sont inattendus et redéfinissent le personnage de Swamp Thing. Par contre, Alan Moore décide de rester dans le genre d'origine de la série : les récits d'horreur. Il conserve également plusieurs personnages récurrents dont Abigail Arcane et .Les épisodes 22 à 24 sont consacrés au retour de Swamp Thing dans son marais et à la mégalomanie galopante de Jason Woodrue. Après les révélations sur sa véritable nature, Swamp Thing plonge dans un état végétatif le temps que sa conscience accepte la réalité. Woodrue a suivi cet être extraordinaire pour pouvoir l'étudier et il recueille une racine pivotante (taproot) s'étant développée sur le corps de Swamp Thing. Après l'avoir ingéré, Woodrue devient persuadé qu'il est missionné par la vie végétale et qu'il doit éliminer toute vie humaine pour faire cesser le massacre des plantes et des forêts. La (Superman, Hawkman, Firestorm, Green Lantern, Flash, Wonder Woman, Green Arrow) a bien du mal à savoir comment intervenir.Dans les 3 derniers épisodes, Abigail Arcane a trouvé un emploi dans un institut pour enfants en difficulté. Matthew Cable perd lentement mais sûrement toute emprise sur la réalité. Une ville en bordure du marais subit les manifestations surnaturelles d'une créature se nourrissant des peurs des individus. Et Jason Blood (individu habité par un démon appelé Etrigan) arrive en ville pour intervenir dans la situation."Swamp Thing" est la série qui a fait connaître Alan Moore aux États-Unis, après qu'il se soit fait un nom en Angleterre. Len Wein (éditeur de la série) décide d'embaucher Moore, et Karen Berger (responsable éditoriale) autorise l'auteur à faire ce qui lui plait. Alan Moore commence par redéfinir le personnage sur une base logique en béton. Puis il développe petit à petit ce monstre dans un monde où l'horreur règne en maître.Avec cette relecture de ce classique, ce qui m'a le plus impressionné, ce sont les illustrations. La majeure partie des épisodes (7 sur 8) est illustrée par Stephen Bissette et encrée par John Totleben. Ces 2 créateurs commencent par donner une texture crédible à toute la flore qui apparaît dans le marais. En particulier la surface extérieure du corps de Swamp Thing se couvre de racines, d'herbes en tout genre, de fleurs, et même d'insectes. Ensuite ils prennent grand soin de la faune qui fréquente ce marais. Ils font ressortir la nature, le cycle des saisons, toute la vie du marais en tant qu'écosystème. La mise en page de Bissette est encore assez sage, mais son goût pour les monstres est déjà apparent. Il publiera d'ailleurs par la suite une anthologie consacrée à l'horreur (Taboo) qui accueillera les premiers épisodes de From Hell. Ce qui transfigure ces dessins assez sages, c'est l'encrage minutieux, méticuleux et inventif de John Totleben (l'illustrateur de Miracleman, une série mythique d'Alan Moore). Cet homme apporte un soin exceptionnel à donner une unité visuelle aux différents personnages, à rendre spécifique chaque visage, chaque expression. Il faut également rendre hommage au travail de Tatjana Wood pour sa mise en couleurs. À l'époque de la parution de ces épisodes, la mise en couleurs n'était pas informatisée et la palette était très réduite. Pour autant elle évite le recours aux couleurs criardes et elle décline les différentes nuances d'une même teinte. Ses mises en couleurs représentent une avancée incroyable par rapport à ce qui se pratiquait à l'époque.Dès le début, Alan Moore sauve du naufrage cette série qui vivotait et l'emmène dans des régions inexplorées, ou quittées par les comics depuis l'instauration de l'outil d'autocensure de cette industrie (le Comics Code Autority). Swamp Thing change fondamentalement de nature et lutte contre les manifestations d'horreur surnaturelle. À ce titre, l'intrusion de la Justice League montre à quel point Swamp Thing n'est déjà plus dans le monde des superhéros. Les personnages prennent une épaisseur psychologique sans commune mesure avec ce qui existe dans les comics de l'époque. L'introspection de Swamp Thing après la dissection et avant de reprendre conscience est inventive, intéressante, pénétrante et captivante. La lutte contre Woodrue est vite expédiée et très logique, même si le dénouement est un peu simpliste. La lutte contre le monstre surnaturel marie l'horreur des violences faites aux enfants avec l'angoisse liée à la perte de contrôle, à la perte de prise sur la réalité.Comme d'habitude quand je me replonge dans une série que j'ai lue il y a longtemps, j'éprouve quelques appréhensions à savoir si cette lecture restera plaisante ou si le poids des ans me la fera apparaître vieillie et surévaluée. En ce qui concerne "Swamp Thing", j'ai eu l'heureuse surprise de constater que tout le plaisir de lecture est intact et que je suis devenu capable de mieux distinguer ce qui rend ces histoires si savoureuses. Aucune hésitation, j'investis dans le tome suivant Saga of the Swamp Thing 2.1 internautes sur 1 ont trouvé ce commentaire utile. Alan Moore continue d'innover avec plus ou moins d'efficacité.Par PrésenceCe tome comprend les épisodes 43 à 50 parus en 1985. Tous les scénarios sont d'Alan Moore.Épisode 43 (illustrations de Stan Woch et Ron Randall) - Chester Williams est un hippie qui a dépassé la quarantaine. Par hasard, il ramasse un tubercule tombé de l'un des corps de Swamp Thing et en donne des morceaux à 2 de ses connaissances qui l'ingèrent en supposant qu'il s'agit de psychotropes. Alan Moore a maintenant les coudées franches sur la série et il décide de continuer à innover, à aller là où personne n'est allé. Il se permet donc de faire passer Swamp Thing au second plan et de raconter les effets de ce produit hallucinogène sur 2 individus. Si ces effets ne sont pas très surprenants, c'est l'occasion aussi pour Moore de tenter un style d'écriture plus lyrique qui fonctionne à merveille. Les illustrations sont d'un bon niveau ; elles manquent parfois d'imagination et de précision, mais Ron Randal effectue un bon travail d'encrage en imitant (en moins fin) le style de Totleben. 5 étoiles.Épisode 44 (illustrations de Steve Bissette, Ron Randall et John Totleben) - Swamp Thing reprend contact de manière pataude avec Abby Holland, fait un détour par Gotham où il sa gausse de sous des cieux rouges (en rapport avec les événements de Crisis on Infinite Earths). Swamp Thing met fin à la vie d'un tueur en série. Alan Moore se sert de cet épisode pour mettre le lecteur dans la tête du tueur en série. En 1985, il s'agissait d'une innovation impressionnante pour les lecteurs ; depuis ce dispositif narratif a été employé de nombreuses fois avec une intensité dramatique et horrifique bien plus importante et angoissante. Sur ce point l'histoire semble fade par rapport à celles qui sont venues après. La qualité des illustrations fluctuent entre du pur Bissette/Totleben inventif, minutieux et effrayant et des cases complétées par Randall et qui tombent à plat. 2 étoiles.Épisode 45 (Illustrations de Stan Woch et Alfredo Alcala) - 2 couples de jeunes gens décident de passer la nuit dans une maison réputée hantée. L'un des hommes explique que sa propriétaire avait exigé que des ouvriers y travaillent jour et nuit pour que le bruit des marteaux résonne à toute heure du jour et de la nuit, afin de tenir à distance les fantômes. Avec ce scénario, Alan Moore recommence à innover d'une manière magistrale. Il aborde en fait la question du contrôle de la vente d'armes aux États-Unis au travers d'une relecture de l'obsession étrange de Sarah Winchester (1839-1922), héritière de la moitié de la fortune des Winchester. Le scénario mélange histoire de fantômes avec législation des armes à feu de manière habile. Les illustrations de Stan Woch sont professionnelles et elles bénéficient de l'encrage plein de caractère d'Alfredo Alcala (beaucoup de traits pour renforcer les textures). 5 étoiles.Épisode 46 (illustrations de S. Bissette et J. Totleben) - John Constantine commence à expliquer à Swamp Thing pourquoi il l'a envoyé à droite et à gauche pour combattre des manifestations surnaturelles. Il l'emmène à bord du satellite de la JLA pour le débriefing avec Lex Luthor (Crisis on Infinite Earths). Alan Moore s'amuse à faire apparaître des superhéros obscurs (Ambush Bug trouve même le moyen de se faire remarquer) et il intègre à son récit la secte des Brujeria, ayant réellement existée en Argentine. Le mélange entre superhéros et éléments horrifiques provoque des grumeaux, malgré les illustrations inspirées. 3 étoiles.Épisode 47 (illustrations de Stan Woch et Ron Randall) - Swamp Thing fait un câlin d'au revoir à Abby Cable, avant de partir pour l'Amérique du sud. Constantine a prévu un dernier arrêt avant la confrontation finale. Au cours de cette pause, Swamp Thing obtient enfin des réponses sur sa véritable nature et sur l'étendue de ses pouvoirs (jusqu'à sa capacité à voyager dans le temps). Alan Moore renouvelle l'exploit de l'épisode 21 en développant encore son héros. Il en profite pour glisser une allusion à The Heap (Baron Eric von Emmelman dont les aventures étaient publiées dans Airboy Comics à partir de 1942) et une autre à Man-Thing, 2 créatures nées dans les marais d'autres éditeurs. Les dessins sont satisfaisants. 4 étoiles.Épisode 48 (illustrations de John Totleben) - John Constantine et 2 de ses acolytes entrent dans le repaire des Brujeria, avec Swamp Thing sur leurs talons. John Totleben a visiblement eu le temps nécessaire pour peaufiner ses illustrations et le résultat est magnifique (l'illustration de couverture de ce recueil est extraite de cet épisode). Le scénario met à profit les révélations des épisodes précédents pour renouveler les manifestations de pouvoir de Swamp Thing qui s'éloigne encore un peu plus de l'humanité. 5 étoiles.Épisode 49 (illustrations de Stan Woch et Alfredo Alcala) - John Constantine rallie les sorciers de l'univers partagé DC alors que le messager poursuit sa progression inexorable. L'épisode met surtout en avant les talents de manipulateur de Constantine et le retour du lyrisme de Moore. Les illustrations de Woch sont agréables et l'encrage d'Alcala apporte des textures intéressantes. 5 étoiles.Épisode 50 (illustrations de S. Bissette, J. Totleben et Rick Veitch) - C'est le grand combat contre l'adversaire d'une taille gigantesque. 2 magiciens meurent dont le père de Zatanna. Swamp Thing joue un rôle de premier plan sans utiliser ses pouvoirs. Je n'ai pas beaucoup apprécié ce grand affrontement qui m'a semblé trop convenu et aller à l'encontre de la thématique que souhaitait développer Alan Moore, à savoir extraire sont récit du Manichéisme. J'ai eu l'impression au contraire que Moore avait eu les yeux plus gros que le ventre et qu'il n'avait pas su utiliser un personnage comme Doctor Fate (dont les origines le rattachent à la dualité ordre chaos, plutôt qu'à celle du Paradis et des Enfers) pour développer son point de vue. Les illustrations sont d'un bon niveau, l'apport de Rick Veitch se fondant dans le style de Bissette et Totleben. 3 étoiles.

Présentation de l'éditeurBefore WATCHMEN, Alan Moore made his debut in the U.S. comic book industry with the revitalization of the horror comic book THE SWAMP THING. His deconstruction of the classic monster stretched the creative boundaries of the medium and became one of the most spectacular series in comic book history.With modern- day issues explored against a backdrop of horror, SWAMP THING's stories became commentaries on environmental, political and social issues, unflinching in their relevance. SAGA OF THE SWAMP THING Book One collects issues #20-27 of this seminal series including the never-before-reprinted SAGA OF THE SWAMP THING #20, where Moore takes over as writer and concludes the previous storyline.Book One begins with the story "The Anatomy Lesson," a haunting origin story that reshapes SWAMP THING mythology with terrifying revelations that begin a journey of discovery and adventure that will take him across the stars and beyond.Revue de presse"* "With these stories, Swamp Thing made comics history" - --Neil Gaiman."Présentation de l'éditeurBefore WATCHMEN, Alan Moore made his debut in the U.S. comic book industry with the revitalization of the horror comic book THE SWAMP THING. His deconstruction of the classic monster stretched the creative boundaries of the medium and became one of the most spectacular series in comic book history.With modern-day issues explored against a backdrop of horror, SWAMP THING's stories became commentaries on environmental, political and social issues, unflinching in their relevance. SAGA OF THE SWAMP THING Book One collects issues #20-27 of this seminal series including the never-before-reprinted SAGA OF THE SWAMP THING #20, where Moore takes over as writer and concludes the previous storyline.Book One begins with the story "The Anatomy Lesson," a haunting origin story that reshapes SWAMP THING mythology with terrifying revelations that begin a journey of discovery and adventure that will take him across the stars and beyond.

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