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E Jolies images à première vue, mais tellement envahissantes ! Nous allons, malgré tout, garder notre cœur joyeux puisque tel est notre pseudonyme. Ils ne nous auront pas ces virus, même s’ils explosent sur cette page ! D’ailleurs, vous B avez pu remarquer qu’ils sont en arrière-plan, covid 19 ou pas, et que les gants de boxe sont prêts.

J’espère que vous allez tous bien et que les gestes

I barrières vous protègerons tout au long de cette pandémie inédite. Vous vous doutez-bien, qu’avec ce confinement qui C risque de se prolonger encore plusieurs semaines,

l’association est en veille pour plusieurs mois. Je propose que nous nous retrouvions au mois de septembre (peut-être avant dans les ateliers, je l’espère), N° pour terminer ensemble cette année 20 vingt en vain, ou en vin … 38 Vous serez informé(e)s de la reprise dès que ce sera possible et nous trouverons un arrangement pour vous

dédommager.

N’hésitez pas à communiquer entre-vous et entre- nous en échangeant des mails, sms, vidéos ou simplement par téléphone. Toutes les initiatives seront les bienvenues. Je pense bien à vous. Portez-vous bien.

Amicalement Lucette

Journal du club des Retraités de Nieul-87 Avril – Mai – Juin 2020

A Jacqueline MAHAUT Née le 7 avril 1920

POURQUOI LA FRANCE COMPTE-T-ELLE TANT DE CENTENAIRES ? DRAGON/FOTOLIA À cet horizon, ils devraient représenter 0,4 % de la population, contre 0,03 % actuellement. Ces futurs centenaires ont aujourd’hui entre 46 et 52 ans. QUEL EST LE PROFIL DES CENTENAIRES DE FRANCE : Des femmes sportives et intellectuelles

Tout d’abord, cinq centenaires sur six sont des femmes nées juste après la guerre de 14-18. Elles ont donc connu 15 présidents de la République et autant de dévaluations du franc. Elles avaient en moyenne 26 ans quand la sécurité sociale a été créée en 1945. Et pour les spécialistes, c’est grâce à cette organisation typiquement française des soins universels et gratuits pour tous qu’elles sont plus nombreuses ici qu’en Espagne ou en Allemagne. Vaccins, antibiotiques, les centenaires ont bénéficié de tous les progrès médicaux. Ces françaises s’entretiennent aussi un peu plus physiquement qu’ailleurs : un peu de marche, un peu d’exercice… et intellectuellement aussi : elles suivent l’actualité, regardent le JT et surtout continuent de profiter des plaisirs de la vie. Comment expliquer le nombre élevé de centenaires aujourd’hui en France ? L’augmentation du nombre de centenaires en France est directement liée à l’augmentation de l’espérance de vie à la naissance. Aujourd’hui, elle est de près de 86 ans pour la femme (2e place en Europe) et de 79 ans pour l’homme (13e place en Europe). Elle dépend du niveau socio-économique, des habitudes de vie (pas de tabac, consommation modérée d’alcool, activité physique régulière), de la quantité et de la qualité de l’alimentation (consommation de cinq fruits et légumes par jour, apport protéique et lipidique modéré). Les régimes crétois ou méditerranéens pourraient favoriser un vieillissement avancé. Reste enfin l’accès à la prévention, domaine dans lequel la France a fait récemment de grands progrès. Pourquoi la France a-t-elle plus de centenaires que les autres pays européens ? Avec ses 21 000 centenaires, la France est le pays européen devant l’Espagne, l’Italie, la Suisse et le Portugal, puis les pays nordiques et la Grande-Bretagne (l’Allemagne n’est pas référencée). Ce nombre élevé est en partie dû au fait que c’est l’un des pays les plus peuplés (66,6 millions). Il est également dû à une espérance de vie féminine élevée. Au niveau mondial, ce sont les Japonais qui ont le plus grand nombre de supercentenaires. Être centenaire dépend-il de la génétique ? C’est possible mais pas scientifiquement démontré. Ce qui est sûr, c’est qu’il existe des familles dites longilives. Ainsi par exemple, Jeanne Clément, ancienne doyenne de l’humanité décédée à 122 ans et 164 jours, à Arles, appartenait à une famille de ce type.

C’est également le cas de l’actuelle doyenne, l’italienne Emma Moreno, 117 ans, dont la mère est décédée à 91 ans et au moins deux de ses sœurs ont été centenaires. En revanche, il semble bien que l’espérance de vie soit plus élevée à Paris que dans de petites villes, ainsi que dans le Sud par rapport au Nord. Sans que l’on sache très bien pourquoi. Jusqu’à quel point ces prévisions démographiques sont-elles fiables ? Ces travaux statistiques sont la suite d’une étude de l’Insee d’il y a quelques années qui prévoyait déjà que le nombre de centenaires allait croître pour atteindre 21 000 personnes en 2016 (prévision vérifiée), 42 000 en 2025 et près de 270 000 en 2070 soit treize fois plus qu’aujourd’hui. Par définition, nous ne sommes pas à l’abri d’un gros accident démographique, comme une vaste épidémie ou une catastrophe naturelle gigantesque du type explosion volcanique, séisme terrestre ou tsunami. Toutefois, la France a connu dernièrement un incident notable, comme la survenue de la grande grippe de 2015 (virus A(H3N2)). Celle-ci a causé la mort de 18 000 personnes, essentiellement des personnes âgées, et cela n’a pas modifié notoirement l’ordre de grandeur de la prévision démographique».

Bien vieillir : une approche globale et positive

Il s’agit de renforcer les compétences des personnes âgées pour prolonger leur autonomie et soutenir santé et qualité de vie à domicile le plus longtemps possible. Bien vieillir dans sa tête, dans son corps et avec les autres sont les thématiques abordées pour avancer en âge sereinement, sans oublier le Bien vieillir chez soi.

Pour les jeunes retraités, les recommandations pratiques et conseils incitent à bien manger et bouger, garder son cerveau en éveil, mais aussi pour penser à soi, partager et rester connecté, sans oublier comment adopter des comportements protecteurs pour son corps et sa santé. Le désir et le plaisir constituent le fil conducteur de cette approche pour permettre aux seniors de rester en contact et d’avancer sereinement en âge.

Pour les personnes âgées de 75 ans et plus., le corps évolue et de nouvelles situations apparaissent auxquelles il est nécessaire de s’adapter. Des informations pratiques, en astuces et en paroles de professionnels de santé abordent – de manière transversale – le lien social et intergénérationnel, les fonctions cognitives, l’alimentation, l’activité physique, le partage avec les autres ou encore la prévention de la santé, invitent à prendre le temps de penser à soi. L’optimisme est l’état d’esprit qui permet de franchir les étapes et de profiter de la vie

Ce sont le plus souvent des régimes qui préexistaient à la fondation de la Sécurité Sociale et qui ont voulu maintenir leurs spécificités qui, même modifiées, perdurent aujourd’hui et interfèrent avec le projet de retraite universelle.

A la demande de la Commission des affaires sociales de l’Assemblée Nationale, la Cour des Comptes a examiné la situation de trois d’entre eux, SNCF, RAPT et IEG (Entreprises Electriques et Gazières) qui ne représentent que 325 000 cotisants, mais dont l’influence est largement supérieure à l’effectif.

LE CONSTAT : La situation des agents des IEG, de la RATP et de la SNCF, apparaît favorable en comparaison avec les régimes de retraite des fonctionnaires et des salariés du secteur privé.

Les âges de départ à la retraite Ils sont inférieurs à ceux des autres régimes. Certains de ces salariés peuvent partir jusqu’à 5 ou 10 ans avant le régime général.

Les montants des pensions Les montants de pensions, sont relativement élevés par rapport aux autres régimes. Cet avantage se cumule avec le précédent : ils bénéficient de retraites plus longues avec un meilleur revenu. A l’intérieur de cet ensemble, les écarts peuvent être importants entre les sédentaires, les services actifs, les agents de conduite…

Le financement Ces trois régimes sont des régimes en répartition. Il est toutefois remarquable que pour des motifs qui tiennent à leur démographie particulière et à la générosité de leurs règles, la part relative des cotisations y est faible, nécessitant d’importantes subventions d’équilibre qui concourent majoritairement à couvrir leurs prestations.

Les réformes successives La Cour souligne que les réformes du régime général et des fonctionnaires concernant l’augmentation du nombre de trimestres ou le relèvement de deux ans de l’âge légal, ont été appliquées aux trois régimes spéciaux étudiés, mais avec un calendrier décalé de plusieurs années et avec des compensations diverses qui ont largement réduit les économies qui en étaient attendues.

Recommandations de la Cour Elles portent sur la gestion des caisses et invitent à prolonger les réformes antérieures ou à ou à accompagner la mise en place du régime universel de retraite.

LA CLAUSE DU GRAND-PERE : DE QUOI S’AGIT-IL ?

Dans le brouillard qui accompagne les discussions sur la mise en place de la retraite universelle, cette clause est évoquée ici ou là comme étant susceptible de répondre à certaines objections. Pour connaître l’origine de l’expression, il convient de remonter au XIXe siècle aux Etats-Unis à la fin de la guerre de Sécession. L’esclavage est aboli, les anciens esclaves deviennent citoyens. Le 15ème amendement de la constitution américaine stimule : « Le droit de vote ne peut-être restreint ou refusé en raison de la race ou d’une condition antérieure de servitude ». Pour contrer cette mesure, certains états du Sud imaginent des subterfuges. Parmi ceux-ci figure celui de n’octroyer le droit de vote qu’aux personnes payant des impôts, ce qui excluait l’essentiel de la population noire. Il était précisé en outre que les personnes, ou leurs pères ou grands-pères, qui avaient déjà le droit de vote avant le 1er janvier 1866 le conserveraient. C’était la grandfather clause. Cette disposition a été abolie par la Cour suprême en 1915, mais nous savons bien que de multiples formes de ségrégation ont persisté jusqu’au milieu du XXe siècle.

La clause du grand-père aujourd’hui Le cœur du dispositif américain était d’interdire l’application d’une nouvelle disposition à une partie de la population et c’est bien ce qui est envisagé par certains pour faciliter la mise en œuvre de la retraite universelle. Sans revendiquer un tel parrainage, Jean-Paul Delevoye l’avait néanmoins évoquée dans son rapport. Il prévoit en effet que la pension de réversion générée par le décès d’une personne qui serait déjà retraitée le 1er janvier 2025 serait traitée selon les règles de son régime et non selon celles du nouveau régime. C’est bien une forme adaptée de la clause du grand- père. Il exclut également certaines professions, militaires ou policiers, de modifications de leur âge de départ et envisage pour les régimes spéciaux une longue période de transition.

Au 1er mars 2019, notre territoire était divisé en 34 968 communes. C’est une singularité de la France que d’avoir autant de communes : l’Allemagne n’en compte que 11 000, le Royaume-Uni 10 449, l’Espagne et l’Italie 8 000 et la Belgique 589…

En moyenne une commune française compte un peu moins de 2 000 habitants mais cela rassemble Paris et ses 2,141 millions d’habitants et les plus petites communes qui en compte moins de 10. A l’évidence, la taille des plus petites communes leur pose un problème de gestion, qu’il s’agisse des ressources financières nécessaires à l’équilibre d’un budget ou des ressources humaines qu’il faut trouver, ne serait-ce que pour composer un Conseil municipal. Le service rendu aux habitants est par ailleurs très dépendant de la taille de la collectivité territoriale.

Une réforme serait nécessaire

La logique voudrait donc que soit réalisée une grande réforme tendant à regrouper les communes pour donner à des nouvelles entités une taille mieux adaptée aux réalités d’aujourd’hui. Mais l’attachement des habitants à l’identité de leurs communes et à la proximité qu’ils ont avec leurs édiles est un frein à un tel mouvement. Les équipes en place, pour leur part, manquent aussi d’allant… A défaut une réforme autoritaire, des mesures incitatives ont été mises en place avec un succès qui reste mitigé.

Les tentatives :

Il y a bientôt 50 ans, la loi Marcellin du 16 juillet 1971 a permis la création de Communes associées. 804 unions ont été conclues dès 1972, mais 40 ans après ce nombre n’était que de 1281. La loi du 6 Février 1992 créait les Communautés de communes qui associent des communes au sein d’un espace de solidarité pour élaborer ou gérer des compétences obligatoires ou optionnelles. En 2015, on en comptait 1884 regroupements 31 116 communes et 26,9 millions de personnes. Pour relancer le mouvement, la loi du 16 décembre 2010 créait les « Communes nouvelles ». Puis deux lois, de 2015 et 2019 ont complété le dispositif avec des incitations financières et des précisions sur la composition du nouveau Conseil municipal.

La « Commune nouvelle »

C’est une commune dotée des compétences d’une commune classique qui se substitue aux communes fusionnées. Pour vaincre certaines réticences et constituer une étape intermédiaire, elle peut cependant comporter des « communes déléguées », comparables aux mairies d’arrondissement de nos grandes métropoles, qui permettent de maintenir la proximité avec la population.

Mais la création des communes nouvelles reste une démarche volontaire et malgré les lois successives, les incitations financières et les assouplissements apportés, le mouvement de regroupement n’a pas eu l’ampleur attendue : au 1er janvier 2019, soit 8 ans après leur création, seules 750 communes nouvelles, essentiellement rurales et dont certaines ont pu se substituer à des Communautés de communes existantes, avaient été créées regroupant 2500 communes et 2,4 millions d’habitants.

Un processus long

Alors que les lois successives visaient à lever les freins aux fusions force est de constater qu’elles n’ont pas suscité l’engouement. La lenteur du mouvement s’explique sans doute par les réticences des équipes en place et des populations concernées, mais aussi par le développement de l’intercommunalité initiée par une loi du 11 juillet 1999, dite loi Chevènement qui est venue interférer. Le transfert obligatoire de compétences des Communes vers les Communautés de communes et l’accroissement de la taille de ces dernières rendent sans doute plus sensible le besoin de maintenir l’échelon de proximité que représentent les Communes actuelles

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HABILITATION FAMILIALE

Demander la mise sous tutelle ou curatelle d’une personne proche qui n’est plus en mesure de manifester sa volonté ou qui est incapable de gérer ses affaires, est une démarche difficile pour les enfants ou le conjoint. L’habilitation familiale peut être une solution appropriée. Outre les difficultés psychologiques, ces mesures entraînent des obligations jugées trop lourdes. Pour vérifier que les ressources utilisées le sont dans le seul intérêt de la personne protégée, il est en effet nécessaire de fournir chaque année au Juge des Tutelles du Tribunal d’Instance : - Un compte-rendu minutieux de la gestion avec justificatif des dépenses. - Un « compte-rendu de diligences » récapitulant les décisions prises pour la personne protégée. L’Habilitation familiale est une solution intermédiaire entre une gestion spontanée et la mesure de protection juridique. Obligatoirement prononcée par le Juge des Tutelles, elle ne nécessite pas son autorisation préalable pour certains actes tels que la vente d’un bien. Elle fournit ainsi un cadre juridique au proche qui se charge gratuitement de la gestion des affaires de son parent.

MISE EN ŒUVRE Elle ne peut être mise en œuvre qu’à l’égard d’un proche devenu incapable. La demande « d’habilitation familiale » peut être présentée par la personne vulnérable elle-même, par le proche qui souhaite exercer le mandat ou par le Procureur de la République à la demande de l’un des proches. Elle doit être accompagnée d’un certificat médical rédigé par un médecin inscrit sur une liste établie par le Procureur de la République et disponible auprès du greffe du Tribunal d’Instance.

DÉCISION DU JUGE Après avoir reçu les proches et la personne concernée et s’être assuré des liens étroits et stables entre les parties, le juge désigne la personne habilitée et fixe l’étendue de ses pouvoirs. L’habilitation peut être générale, délivrée pour une durée maximale de dix ans (inscription en marge de l’acte de naissance de la personne protégée) ou limitée aux actes de disposition (cessation de l’habilitation lorsque les actes concernés sont accomplis ou pour la durée dans la décision du juge)

LE POUVOIR DES PARTIES Pas de compte à rendre au juge de la part de la personne habilitée, à condition de rester dans le cadre strict de l’habilitation. Néanmoins, étant responsable des actes de gestion, elle peut être amenée à justifier des décisions prises et doit garder les éléments concernant celles-ci. En cas de signalement de comportement ou de décisions inappropriés, le juge peut modifier l’habilitation.

Après les privations du Carême et les rigueurs de l’hiver, le repas de Pâques symbolise la joie, le renouveau du printemps et le retour de l’abondance. Un peu partout en Europe, les gâteaux de Pâques sont riches en œufs et en beurre, deux ingrédients interdits pendant la période du carême.

En France, chaque région a sa recette traditionnelle : la galette ou alise pacaude en Vendée, le campanile ou cacavellu (couronne décorée d’œufs durs) en Corse, lou chaudèu ou échaudé dans le Comté de Nice (couronne parfumée à la fleur d’oranger), le fameux oschterlammele ou agneau pascal et dans le Limousin, la Cornue. L’Italie possède sa brioche en forme de colombe, la , garnie de zestes d’orange recouverte d’un glaçage à base de sucre et d’amandes. Les Espagnols confectionnent la mona de Pascua, une brioche farcie avec des œufs durs. Les Grecs ont une recette assez comparable, le tsoureki. En Sicile, on sert une , un délicieux aux amandes fourré d’une crème à base de ricotta et de fruits confits. Au Portugal, le gâteau de fête est le Pao de Lô, une sorte de génoise très riche en œufs et bien d’autres encore… Le gâteau polonais est le et le russe le koulitch. Enfin au Royaume-Uni, on confectionne pour l’occasion des hot cross buns, petits pains briochés décorés d’une croix.

LA CORNUE LIMOUSINE est une brioche individuelle dessinant peu ou prou la forme d’un Y, longue d’une douzaine de centimètres, assez dodue, à la croûte doré foncé et à la mie moelleuse. Il en existe aussi des modèles familiaux .

Un peu d’histoire

La tradition de la cornue se perpétue depuis plus de huit siècles. En effet, une chronique datant de 1175 rapporte que l’abbé Hysembert fit distribuer, le second dimanche de Pâques, de ces gâteaux cornus à tous les frères de l’abbaye de Saint-Martial, à Limoges…

Traditionnellement préparée pour les Rameaux, le dimanche précédent Pâques, il était d’usage que le parrain l’offre à son filleul, pour favoriser sa virilité ! En effet, cette brioche flanquée de trois cornes, censées représenter la Sainte Trinité, évoque une forme phallique. À tel point qu’en 1750, l’évêque de Limoges, Monseigneur Jean-Gilles de Coëtlosquet, aurait demandé aux pâtissiers d’en « moraliser » l’aspect .

Résultats des jeux :

• Les Manifestations du 2ème trimestre 2020…

• Correspondance  Adresse Postale Les Cœurs Joyeux 87 - 7, rue du 8 mai 1945 - 87510 NIEUL

 Tél : 06 22 22 31 38 mail : clubcj87@ laposte.net ou [email protected]

Site du club http://coeursjoyeux.wordpress.com Où vous trouverez toutes les photos des différentes manifestations

• Informations…

En semaine n’hésitez pas à nous rejoindre, salle Trigari

▪ Cours informatique le mardi de 9h30 à 11h30 pour les initiés Le mercredi de 14h à 16 h pour les débutants ▪ Danse folklorique et danse en ligne le jeudi à 9h30 ▪ Belote et jeux divers le jeudi à partir de 14h

Si vous avez d’autres idées, faites-les-nous connaître. C’est avec plaisir que nous essaierons de réaliser vos souhaits.

Ce Bic N° 38 a été réalisé avec la collaboration de Marcelle Curé, Louis Delaire, Philippe Grenier, Christiane Marsolier, Lucette Pinardon-Thévet, Josiane Vidal.

Ce bulletin sera transmis par mail à tous ceux qui possèdent une boîte mail. Pour les autres, il sera remis comme d’habitude sur papier. Vous pouvez découvrir tous les trimestres le Bic en couleur sur le site officiel de la mairie de Nieul : www.nieul87.fr/rubrique : Toutes les Actualités. Cette revue trimestrielle est mise à disposition dans divers points de la commune. (Mairie, Bibliothèque, Maison de Retraite, CCAS)

Bonne Lecture