Marche Français De L'adaptation Cinematographique 2006 – 2013

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Marche Français De L'adaptation Cinematographique 2006 – 2013 SOCIETE CIVILE DES EDITEURS DE LANGUE FRANCAISE MARCHE FRANÇAIS DE L’ADAPTATION CINEMATOGRAPHIQUE 2006 – 2013 17/03/2014 17/03/2014 Etude SCELF – Marché Français de l’adaptation cinématographique 1 17/03/2014 Etude SCELF – Marché Français de l’adaptation cinématographique 2 1 TABLE DES MATIERES 2 PREAMBULE..................................................................................................................................... 5 3 PHOTOGRAPHIE DE L’ADAPTATION .................................................................................................. 7 4 REPARTITION DES ADAPTATIONS PAR GENRE DE L’ŒUVRE LITTERAIRE .......................................... 10 5 ŒUVRES SOUS DROITS / ŒUVRES DU DOMAINE PUBLIC ................................................................ 15 6 LES PAYS ADAPTATEURS D’ŒUVRES LITTERAIRES ........................................................................... 18 7 LA CONCRETISATION DES OPTIONS ................................................................................................ 22 8 ADAPTATIONS CINEMATOGRAPHIQUES : LE SUCCES EN SALLES ..................................................... 24 9 ANNEXES 1 A 4………………………………………………………………………………………………………………………………27 17/03/2014 Etude SCELF – Marché Français de l’adaptation cinématographique 3 La Société Civile des Editeurs de Langue Française La Société Civile des Editeurs de Langue Française a été créée en 1960, sous l’égide du SNE, fédérant des éditeurs d’œuvres littéraires de langue française, afin de les représenter au sein des sociétés de gestion partenaires, la SACD, la SACEM et la SCAM. La SCELF est une société de gestion collective mandatée par ses membres éditeurs aux fins de percevoir et de répartir les rémunérations dues au titre des adaptations audiovisuelles, théâtrales et radiophoniques ainsi que de leur diffusion. Elle a également pour mission de promouvoir l’adaptation audiovisuelle au travers d’événements, telles que les Rencontres du Salon du Livre. Depuis six ans, la SCELF organise, en effet, dans le cadre du Salon du Livre, des Rencontres professionnelles de l’Audiovisuel entre éditeurs et producteurs de cinéma et de télévision. Ces Rencontres sont organisées autour d’un catalogue d’œuvres adaptables spécialement établi annuellement, à partir des parutions récentes ou à venir. Le succès de cette manifestation ne se dément pas au fil des années et marque l’intérêt des éditeurs et des producteurs pour les passerelles entre écritures. Forte de cette expérience, la SCELF s’emploie à développer d’autres formats de rencontres professionnelles, telles que « Shoot the Book ! », qui seront organisées pour la première fois au Festival de Cannes 2014 à destination des producteurs étrangers. Enfin des partenariats ont été également constitués avec le Festival des Scénaristes de Valence et le Festival de Littérature Policière, Quai du Polar, afin de multiplier les liens entre audiovisuel et littérature et de favoriser les passerelles entre ces deux écritures. C’est dans ce contexte, que la présente étude a été réalisée, afin de mettre en lumière le dynamisme de l’adaptation et, en particulier, de l’adaptation des œuvres littéraires de langue française. 17 mars 2014 17/03/2014 Etude SCELF – Marché Français de l’adaptation cinématographique 4 2 PREAMBULE Cette étude est la première du genre, aucune donnée n’existant jusqu’à ce jour, permettant de mesurer le poids de l’adaptation cinématographique sur le marché français. Il nous est donc apparu que la SCELF, par laquelle transitent les rémunérations dues au titre de toutes les adaptations audiovisuelles et qui domicilie les contrats de cession de droits d’adaptation, pouvait utilement collecter les données auxquelles son statut et sa mission lui donnaient accès afin de les agréger et de les analyser. Méthodologie et périmètre de l’étude Cette étude porte exclusivement sur le cinéma, c’est à dire sur les films issus de l’adaptation d’une œuvre littéraire ayant fait l’objet d’une sortie en salles en France. Elle porte sur une période de huit années, allant des années 2006 à 2013 incluses. Néanmoins pour certaines données, comme celles concernant le taux de concrétisation des options consenties aux producteurs, l’étude ne porte que sur cinq ans, de 2006 à 2010 incluses. Les options sont en effet concédées pour des durées (durées initiales et renouvellement) de 18 mois à 3 ans. Les statistiques concernant cet aspect précis de l’étude sont à considérer avec une certaine prudence. En premier lieu, car il est possible que la SCELF n’ait pas été informée de toutes les options conclues, ensuite parce que certaines de ces options peuvent être renouvelées pendant cinq ans voire dix ans, avant de déboucher sur une production. L’absence d’informations contralisées sur cette question a rendu cette tâche difficile. Nous avons donc dû considérer chaque film sorti en salle en France sur les années 2006 à 2013, sur la base des listes des sorties publiées par le CNC, afin de déterminer quels étaient ceux qui résultaient de l’adaptation d’une œuvre littéraire. Nos informations prennent leur source dans des sites spécialisés dans le cinéma, tel que Allo Ciné et ImdB. Les listes d’adaptations établies par nos soins ont été ensuite vérifiées auprès des éditeurs membres de la SCELF et complétées lorsqu’il y avait lieu. Ainsi tous les films adaptés d’œuvres littéraires, que ces dernières soient françaises ou étrangères, sont recensés dans cette étude. En revanche, l’accent est mis sur les adaptations issues d’œuvres littéraires de langue française (ce qui inclut les œuvres d’auteurs belges, suisses ou québécois). Pour les besoins de cette étude, nous avons considéré comme adaptation cinématographique, tout film, dont les éléments puisent leur essence et leur origine dans une œuvre littéraire. Ce qui implique donc, en principe, l’existence d’un contrat entre l’éditeur de l’œuvre littéraire et le producteur du film correspondant. 17/03/2014 Etude SCELF – Marché Français de l’adaptation cinématographique 5 En revanche, nous avons été amenés à exclure : - les adaptations de pièce de théâtre qui mériteraient à elles seules une étude dans la mesure où elles ont donné lieu à 70 adaptations sur huit ans. Néanmoins, la détermination de l’antériorité de publication de la pièce de théatre par rapport à sa création sur scène n’est pas toujours aisée. C’est pourquoi, le choix a été fait de ne pas les intégrer dans cette étude. - les articles de journaux ; - les livrets d’opéra ou de comédie musicale, qui ne sont pas des œuvres littéraires mais musicales. Il arrive assez régulièrement que des adaptations résultent de l’utilisation de plusieurs œuvres littéraires. Nous avons mentionné expressément ces cas, de même que nous avons tenu compte de quelques situations dans lesquelles le producteur s’est inspiré, sans ambiguité de l’univers d’un auteur, sans adapter spécifiquement une œuvre particulière. L’objet et l’ambition de cette étude est de mettre en lumière l’évolution de l’adaptation littéraire dans le paysage cinématographique, de mesurer son poids dans la production cinématographique française et étrangère sur le territoire national. Par souci de clarté et de simplification, nous avons adopté la terminologie suivante : - Par « œuvres françaises », nous avons entendu aux fins de cette analyse, les œuvres littéraires de langue française (incluant par conséquent les œuvres dont les auteurs sont belges ou suisses ou exceptionnellement québécois), afin de refléter la diversité des membres que regroupe la SCELF, qui est la société de tous les éditeurs de langue française et qui compte, parmi ses associés, des éditeurs notamment belges ou suisses. - Par « adaptations françaises », nous avons entendu les films tirés de l’adaptation d’une œuvre littéraire de langue française. - Par « adaptations étrangères », nous entendons les films tirés de l’adaptation d’une œuvre littéraire de langue non française. - Par « films », nous entendons toutes les œuvres cinématographiques, qu’elles résultent ou non d’adaptations d’œuvres littéraires. 17/03/2014 Etude SCELF – Marché Français de l’adaptation cinématographique 6 3 PHOTOGRAPHIE DE L’ADAPTATION Le nombre de sorties en salles annuelles, apparaissant dans nos statistiques, recouvre les sorties en première exclusivité en France et exclut, par conséquent, toutes les reprises. S ‘agissant de l’année 2013, ne disposant pas des statistiques officielles du CNC, nous avons procédé à une estimation. Il ressort des tableaux I.A et I.B, que la part des adaptations par rapport à la totalité des films sortis en salles, est demeurée, depuis 2006, d’une grande stabilité au fil des années. Elle oscille entre 18% et 22%, mais affiche une constante autour de 20%. Un film sur cinq est donc une adaptation, que l’œuvre littéraire soit de langue française ou étrangère. Ce chiffre est à relativiser dans la mesure où le nombre de films sortant en salles ne cesse d’augmenter et dépasse le seuil des 600 films annuels depuis deux ans. Le nombre d’adaptations annuelles a, quant à lui, dépassé le seuil de 120 en 2009, avec un pic à 129. Il est particulièrement intéressant de souligner que si la part globale d’adaptations d’œuvres littéraires demeure très stable, la part d’adaptations d’œuvres de langue fançaise au sein de ces adaptations a, en revanche, augmenté très sensiblement et très régulièrement passant de 23% en 2006 à 32% en 2012. Une conjonction de plusieurs facteurs peut expliquer ce dynamisme des adaptations d’œuvres littéraires françaises : - La professionalisation des maisons d’édition
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