LES CAMPAGNES ANTIQUES AUX CONFINS DES CITÉS DES CORIOSOUTES ET DES RLEDONES LE CAS DU BASSIN CALCAIRE DU QUIOU ET DE SA PÉRIPHÉRIE (ILLE-ET-VILAINE ET CÔTES-D'ARMOR)

RAPPORT DE SYNTHÈSE CAMPAGNES DE PROSPECTION 2004-2007

Par Catherine Petit-Aupert (Université Rennes 2) Françoise Labaune-Jean (INRAP Bretagne) Nicolas Mathieu (Université Grenoble 3) Daniel Pichot (Université Rennes 2) REMERCIEMENTS

Cette étude n'aurait pu voir le jour sans le concours de nombreuses personnes, qu'il nous est agréable de remercier ici :

- Stéphane Deschamps, Conservateur Régional de l'Archéologie qui l'a soutenue ;

- Les prospecteurs bénévoles, étudiants de l'Université de Rennes 2 qui ont affronté les intempéries bretonnes : En Master 1 Archéologie et Histoire M. Amaya, G. Barracand, N. Bastard, X. Bernardeau, I. Brunie, J. Cavanillas, G. Chantreau, L. Chappé, M. Clabaut, L. Corouge, Y. Dieu, M. Dinard, X. Faureau, M. Fontaine, C. Franch, M. Garnier, E. Gauge, L. Gourio, C. Graindorge, A. Grissault, A. Guesdon, G. Guitet, A. Hamon, A. Hermann, A. Hervouet, L. Jeanneret, N. Jouanet, P. Lagarrigue, J. Le Bomin, O. Lierville, C. Lietar, C. Madec, H. Marzin, A. Moisdon, N. Morelle, V. Munier, J.-B. Sinquin, E. Tourlonias, E. Grandclaudon ;

Licence Histoire de l'Art et Archéologie S. Barbe, C. Bellamy, J. Bonniec, A. Bourhis, J. Breard, G. Brigot, M. Craipeau, M. De Laage, L. Demay, A. Doglio, C. Dumas, E. Dufresne, J. Durin, C. Fougeray, P. Guénolé, E. Jaffré, M. Foucher, C. Frappier, T. Guillossou, J. Jeanclaude, G. Lamerant, A. Lemay, L. Leroux, M. Levis, A. Marchand, H. Michel, C. Monfort, R. Orain, C.-C. Penard, E. Pichon, H. Pioffet, A. Quilliew, M. Rapilliard, D. Seïté, B. Simier, Z. Wen ;

- Les prospecteurs/collaborateurs : - J.-C. Arramond, responsable de la fouille de la villa de la Gare (Le Quiou) ; - F. Gallet, A. Salaun ; - M. Chaigneau-Normand, directrice du département Histoire de l'Art et Archéologie ; - Et surtout, tous les agriculteurs qui nous ont donné l'autorisation de prospecter leurs parcelles. 3

INTRODUCTION

1. LA PROBLÉMATIQUE DE RECHERCHE p. 4

II. LES MÉTHODES D'INVESTIGATION p. 5

L La consultation des photographies aériennes de l'IGN p. 5 1.1. La recherche des sites archéologiques p. 5 1.2. L'analyse des formes du paysage p. 6 2. La prospection pédestre p. 6 2.1 Le choix de la méthode p. 6 2.2 Les objectifs p. 6 2.3 Les conditions p. 6

III. LE CADRE HISTORIQUE : BILAN ET PERSPECTIVES p. 8

1. Perspectives pour une approche de la connaissance historique des limites des deux cités P- 8 2. La zone du Quiou à l'époque médiévale p. 10

IV. LES RÉSULTATS p. 12

1. Les limites de la méthode : problèmes d'interprétation p. 12 2. Les formes de l'habitat rural p. 13 2.1 Le deuxième âge du Fer : des données encore lacunaires p. 13 2.2 La période antique : une grande diversité d'établissements p. 14 2.2.7 Les villae P- 14 2.2.2 Les fermes : des unités agricoles plus modestes p. 17 2.2.3 Les sites à tuiles : des annexes agricoles p. 19 3. Les vestiges épars : hypothèses d'interprétation p. 20 4. Les périodes préhistorique, protohistorique et médiévale p. 20

V. L'ÉTUDE DU MOBILIER CÉRAMIQUE P- 21 1. La commune du Quiou P- 21 2. La commune de P- 23 3. La commune de Saint-André-des-Eaux P- 23 4. La commune de Saint-Judoce P- 24 5. La commune de Saint-Juvat P- 25 6. La commune de Trévérien P- 25

CONCLUSION P- 28

FIGURES P- 29 BIBLIOGRAPHIE P-30

ANNEXE Mobilier découvert dans les parcelles prospectées p. 34 4

INTRODUCTION

En raison des différents problèmes administratifs rencontrés à l'université de Rennes 2 durant ces trois dernières années et liés au versement de la subvention de 2005 allouée à cette opération, nous n'avons pas pu mener, comme nous l'aurions souhaité, nos prospections pédestres et notre étude des photographies aériennes verticales anciennes archivées à Saint-Mandé. Même si les campagnes de prospection systématiques ont été chaque année réduites, elles offrent toutefois des données nouvelles qui suscitent parfois quelques interrogations et qui méritent une présentation synthétique avant la poursuite de cette étude. En effet, il nous a semblé opportun de dresser un premier bilan des résultats obtenus durant ces quatre campagnes de prospection (de 2004 à 2007), afin de mettre l'accent sur l'apport de la méthode d'investigation à la connaissance des modalités de l'occupation des sols de cette partie de la Lyonnaise occidentale et de souligner ses limites qui influent indéniablement sur l'interprétation des données. Il a également été nécessaire de revoir avec F. Labaune le mobilier découvert en 2004 de façon à pouvoir l'intégrer dans notre synthèse. Enfin, ce rapport présente deux études en cours sur le cadre historique : l'une sur l'Antiquité ; l'autre sur l'époque médiévale. Nous rappellerons, tout d'abord, la problématique de recherche, puis nous présenterons les méthodes d'investigation mises en œuvre et, enfin, la synthèse comportant les études sur l'histoire de la région et les résultats de campagnes de prospection 2004-2007 qui ont porté sur les communes du Quiou, Plouasne, Saint-André-des-Eaux, Saint-Judoce et Trévérien.

I. LA PROBLÉMATIQUE DE RECHERCHE

Ce programme de recherche, qui a débuté en 2004, porte sur les campagnes antiques aux confins des cités des Coriosolites et des Riedones. Notre étude est focalisée sur une entité géographique tout à fait originale dans la région, le bassin du Quiou. Toutefois, les espaces périphériques sont également intégrés, afin de pouvoir mesurer l'impact du milieu dans l'occupation des sols. L'espace choisi inclut donc des paysages naturels différents, vraisemblablement complémentaires dans une économie de type ancien. Cette étude, conçue en synergie avec la fouille programmée de la villa du Quiou (responsables : J.-Ch. Arramond et Ch. Requi), vise à insérer cette villa au sein d'un terroir et, plus largement, de proposer une reconstitution du paysage antique de cette partie occidentale de la Lyonnaise. Cette recherche s'effectue en complémentarité avec le mémoire de master 1 (Master Archéologie et Histoire) de M. Guinguéno intitulé : L'occupation des sols dans le bassin du Quiou et sa périphérie à l'époque antique : le canton d'Evran. La zone englobe l'ensemble des communes du canton d'Evran dans les Côtes-d'Armor : Champs-Géraux, Evran, Plouasne, Le Quiou, St- André-des-Eaux, St-Judoce, St-Juvat et Tréfumel, et couvre une superficie de 11 997 hectares. Ce travail a pour objectif de dresser un premier bilan des connaissances de ces campagnes ; il est fondé sur la documentation existante, enrichie par les nouvelles découvertes sur les sites connus et par les résultats de prospections systématiques effectuées dans des zones-tests (Saint-Juvat, Plouasne et Tréfumel). En raison du temps imparti, généralement très limité dans le cadre d'un travail universitaire, il était impossible à M. Guinguéno de couvrir une zone très vaste en prospection systématique, voire d'effectuer une étude globale sur les formes du paysage. Nous avons donc choisi d'approfondir cette recherche en mettant en œuvre essentiellement la prospection systématique sur plusieurs 5 communes, citées précédemment. Nous avons également étendu la zone vers l'est, en intégrant à notre étude la commune de Trévérien, en Ille-et-Vilaine (soit au total 13 205 ha, fi g. 1). Plusieurs aspects du monde rural seront ainsi traités : - les cartes de répartition des établissements pour les différentes époques, doivent permettre de formuler des hypothèses à propos des structures agraires, en particulier de la superficie moyenne des exploitations qui se partagent le territoire. Plusieurs méthodes de calcul seront mises en œuvre : polygones de Thiessen, étude du parcellaire et calcul de la superficie moyenne des exploitations en divisant la superficie totale, ou S.A.U., de la zone d'étude par le nombre d'exploitations inventoriées ; - l'élaboration d'une classification de sites à partir de différents critères (quantitatifs et qualitatifs) doit fournir des données sur les différentes formes de l'habitat rural de cette micro- région ; - il s'agit également de mettre en évidence les facteurs qui déterminèrent l'occupation des sols : le rôle du relief, de l'eau, de la nature des sols, ainsi que celui des voies de communication, dans l'installation des centres moteurs de ces exploitations et des habitats de moindre importance ; - l'étude des principales phases de la mise en valeur du terroir sera bien évidemment fondée sur l'analyse du mobilier archéologique recueilli sur les sites ; elle tentera de mettre en évidence les processus de rupture, de continuité et de transition ; - enfin, sera abordée la question des productions de ces villae et des ressources naturelles qui leur sont associées, en particulier les carrières d'extraction de matériaux. Au cœur de notre zone d'étude, le substrat, est en effet constitué de sédiments détritiques marins, les faluns (fîg. 2), qui ont été utilisés pour la fabrication de la chaux et comme amendement, les bancs compacts fournissant la pierre de jauge pour la construction.

II. LES MÉTHODES D'INVESTIGATION

Les données obtenues grâce à l'enquête préliminaire (analyse des sources, enquête orale, étude des photographies aériennes verticales de l'IGN) et aux prospections systématiques, permettront de dresser un corpus exhaustif des établissements antiques autour de la villa du Quiou.

1. La consultation des photographies aériennes de l'IGN

1.1 La recherche des sites archéologiques

L'étude des photographies aériennes verticales de l'IGN est toujours en cours. Certaines missions (1981, 1986, 1990, 1991, 1993, 1998 et 2001) ont révélé, des traces rectilignes de parcellaire fossile (communes du Quiou, Saint-Juvat, Tréfumel et Trévérien), d'autres, de possibles vestiges de structures incomplètes en matériaux périssables ou en dur, de forme circulaire ou ovalaire et de dimensions variables (communes du Quiou et de Saint-Juvat). Ces données font l'objet d'une vérification de terrain, mais les observations terrestres ne nous autorisent pas, pour l'instant, à les intégrer dans une catégorie précise.

1.2. L'analyse des formes du paysage

L'analyse des formes du paysage se fonde sur la carte « compilatoire » qui est en cours de réalisation. Sur les deux fonds de carte nécessaires à cette étude, seul celui qui a pour base le cadastre napoléonien est achevé (Th. Lorho) ; l'autre, concernant la mission aérienne de l'IGN de 1961, se poursuit. Nous reportons, soit les parcelles elles-mêmes, soit les plus petites masses parcellaires, c'est-à-dire les plus petits ensembles constitués par des parcelles de mode uniforme de groupement. Ces deux documents seront, ensuite, superposés pour constituer une carte sur laquelle 6 nous mentionnerons toutes les données archéologiques issues de fouilles, prospections (aérienne et terrestre), et de la consultation de toutes les missions aériennes de l'IGN (Th. Lorho et C. Petit- Aupert). 2. La prospection pédestre

2.1 Le choix de la méthode

Les lacunes de la documentation archéologique étaient multiples. Tout d'abord, le peuplement antique, caractérisé par un habitat dispersé, offrait dans ce secteur une répartition très inégale des établissements. Or, il était impossible de préciser si l'absence de données dans certaines zones correspondait à une réelle réalité archéologique et historique ou s'il s'agissait, en fait, de secteurs n'ayant pas fait l'objet de recherches approfondies. De plus, la faible proportion de gisements antiques (18 gisements) et surtout la rareté des villae (9 au total) invitaient à supposer une mise en valeur du terroir par de grandes exploitations possédant un fundus d'une taille, très exceptionnelle en Gaule, d'environ 1 500 ha. Il était, en outre, frappant de constater que la majorité des sites, soit 42 sur 63, se rattachait à la série des enclos et posait à la fois des problèmes d'interprétation et de datation. Enfin, 36 établissements restaient de nature indéterminée en raison de l'absence de données chronologiques ou de mobilier. Aussi, seule une étude fine et rigoureuse pouvait permettre de répondre à certaines de ces interrogations. Nous avons donc choisi de mettre en œuvre, la prospection systématique qui offre des données variées et qui permet d'obtenir une vision complète et globale de l'occupation du sol dans un secteur défini. Les stratégies d'échantillonnage par bandes régulièrement espacées ou par carrés pris au hasard1 ont été éliminées, car elles présentaient le risque d'occulter une partie de l'implantation humaine. Une zone de l'ordre de 4000 à 5000 hectares a été délimitée couvrant les communes du Quiou, de Plouasne, de Saint-André-des-Eaux, de Saint-Judoce, de Saint-Juvat et de Trévérien.

2.2 Les objectifs

L'objectif principal était de rechercher les concentrations anormales de vestiges et de dresser une carte de répartition de l'implantation humaine dans ce secteur. Nous avons également tenté une expérience de ramassage systématique hors site. Cette démarche effectuée dans le but d'évaluer l'ancienneté de la mise en culture du terroir par le calcul de la densité de vestiges ramassés par hectare pouvait se révéler particulièrement fructueuse autour de la villa du Quiou, qui semble correspondre à une exploitation agricole d'une certaine importance.

2.3. Les conditions

A l'exception de la première année, où une seule campagne a été réalisée à l'automne, deux ont été nécessaires les années suivantes afin de recueillir des données complémentaires. Une première campagne de terrain au printemps durant les mois de mai et de juin a permis de prospecter les parcelles semées en maïs ; elles offrent, en effet, une très bonne visibilité. Les mois d'octobre et de novembre sont, quant à eux, également propice à la prospection de surface, en raison de la forte proportion de parcelles réservées à la culture du blé : certaines présentaient de très bonnes conditions de visibilité, car très récemment labourées ou semées, d'autres, emblavées plus anciennement, comportaient une végétation naissante, mais qui permettait encore le repérage des gisements. En outre, les pluies d'octobre fournissent une bonne visibilité sur

1 Sur les stratégies d'échantillonnages voir BUCHSENSCHUTZ 1988, 57-68. 7 les parcelles semées de maïs et moissonnées au début de l'automne. D'autres parcelles comportant de l'engrais vert, notamment des facélies, ont été prospectées lorsque le couvert végétal n'était pas trop dense. Enfin, certaines, en herbe, ont également été explorées, afin de noter les anomalies topographiques ou de structures, susceptibles de révéler la présence de vestiges archéologiques. Le seul obstacle, en cette saison, réside dans les conditions météorologiques parfois incompatibles avec les activités de terrain. Toutes les parcelles sont explorées, les prospecteurs avançant en ligne, répartis à intervalles réguliers, le long de l'axe le plus court du champ et collectant les vestiges au sol. Un intervalle restreint, de l'ordre de 4 m, a été adopté entre chaque prospecteur. Celui-ci permet, en effet, la localisation de tous les sites, quelles que soient leurs dimensions et leur nature. Il offre, en outre, la possibilité de collecter les artefacts isolés ou liés aux pratiques culturales. Chaque parcelle prospectée a été choisie comme unité d'échantillonnage et affectée d'un numéro indépendant du numéro cadastral. Celui-ci ne pouvait en effet pas être utilisé, car le découpage cadastral diffère souvent du parcellaire visible sur le terrain. Nous avons noté, pour chaque unité, le type de couvert végétal (maïs, blé naissant, moutarde, pré) ou les pratiques culturales (labour) et les conditions de visibilité. Celles-ci se répartissent en 5 catégories : très bonne visibilité pour les parcelles labourées et semées fraîchement et celles en blé naissant ; bonne visibilité pour les parcelles semées en facélie, après avoir été labourées ; visibilité moyenne : chaume et cultures dont la croissance était trop avancée ; visibilité nulle, attribuée essentiellement aux prés (cf. annexe). Deux documents graphiques ont été utilisés sur le terrain : la photocopie de la carte au 25 000e et un agrandissement d'une photographie aérienne de l'I.G.N., mission récente, du secteur (1991, 2003, 2004). C'est sur cette dernière que sont hachurées les parcelles prospectées, et que l'on note le type de culture, les conditions de visibilité et les découvertes. En ce qui concerne la collecte des vestiges, nous procédons à un ramassage exhaustif pour les artefacts liés aux pratiques culturales ; en revanche, pour les sites, les tuiles ne font l'objet que d'un comptage sur le terrain, un échantillon ayant été toutefois prélevé ; tous les autres vestiges sont ramassés. L'équipe est constituée d'étudiants de licence (Ll, L2 et L3) du département Histoire de l'Art et Archéologie (Université Rennes 2) et d'étudiants du Master Archéologie et Histoire (Universités de Rennes 2, Rennes 1 et Nantes). Au total, 291 étudiants ont participé à cette activité de terrain (26 en 2004 ; 92 en 2005 ; 98 en 2006 ; 75 en 2007). En 2007, les prospections du printemps (du 04/06/07 au 17/06/07) ont été réservées à la vérification de sites et d'indices de sites. La campagne de l'automne (20, 21, 27, 28, 30, 31 octobre et 1,2, 3 novembre) a essentiellement porté sur une nouvelle commune, Saint-Judoce. Après nettoyage du mobilier à l'université, l'ensemble du matériel archéologique a été comptabilisé à partir de fiches d'inventaire normalisé en usage dans la région Bretagne. Ce travail a, en partie, été mené dans le cadre de TD dispensés aux étudiants de Licence 3 d'Histoire de l'Art et Archéologie, sous la direction de F. Labaune-Jean. Tous les éléments ont ensuite été conditionnés en sacs en conservant la totalité du lot issu de chaque parcelle (sans tenir compte des différents matériaux) et déposé au laboratoire LAHM en vue d'une étude plus approfondie. 8

III. LE CADRE HISTORIQUE : BILAN ET PERSPECTIVES

1. Perspectives pour une approche de la connaissance historique des limites de deux cités

Cette présentation se situe dans le cadre du projet sur « Les campagnes antiques aux confins des cités des Coriosolites et des Riedones » sous la responsabilité de Madame Catherine Petit- Aupert depuis 2004, avec campagnes de prospection sur le territoire de trois communes du canton d'Evran dans les Côtes-d'Armor : Le Quiou, Saint-André-des-Eaux et Trévérien.

Les questions pourraient être les suivantes : dans quelle mesure, sachant qu'on est dans un espace frontalier, une enquête sur la toponymie et la microtoponymie permettrait-elle : -1) d'avancer dans la connaissance de la présence gallo-romaine dans la zone, - 2) de mieux connaître l'occupation et la mise en valeur du sol dans cette zone ?

Le bassin du Quiou est en effet situé dans le territoire de la cité des Riédons à proximité immédiate de la limite occidentale de cette cité avec celle des Coriosolites à l'ouest. Le cours de la Rance est reconnu pour être, dans ce secteur, en partant du sud, la limite entre les deux cités jusqu'à Evran - au nord du Quiou -, c'est-à-dire jusqu'à la confluence avec le Linon qui sert, à la suite, de frontière, depuis Evran, à l'ouest, jusqu'à Meillac ou Combourg, à l'est, avant de s'infléchir en direction du nord dans la région de Bonnemain, où elle prend à nouveau appui, jusqu'à la côte, sur un cours d'eau : le Biez-Jean. Ce bassin est aussi une marche frontière dans les mouvements de population à la fin de l'Antiquité et donc un lieu de mélanges d'influences linguistiques et sociales. La difficulté réside ici dans la détermination de l'influence du breton et des Bretons dans la survivance, la disparition ou la transformation de la toponymie romaine et gallo-romaine jusqu'au roman et parlers d'oïl. Rennes, chef-lieu de la civitas des Riédons en Armorique et, à l'époque moderne, ville de Haute-Bretagne, siège du parlement de Bretagne, a toujours été ville de parler gallo. Son rayonnement a toujours été important et est héritier de sa position géographique et de son statut dans l'antiquité : c'est un carrefour routier de l'ouest de la Lyonnaise2 une voie d'accès à l'Armorique, sinon dès la mise en place d'un réseau routier à l'époque d'Agrippa, du moins dès le Ier siècle de notre ère3.

L'objet d'une enquête à partir de la toponymie et de la microtoponymie - qui passe par des observations linguistiques et onomastiques - pourrait être de préciser la connaissance de l'occupation et de l'exploitation des deux ou trois premiers siècles de notre ère en faisant le partage entre un ensemble de noms consécutifs à la présence bretonne et un ensemble de noms qui se rattachent à l'époque de l'administration romaine. De telles enquêtes ont été entreprises ailleurs4. Elle est plus délicate ici du fait que le substrat gaulois (celtique) plus ou moins romanisé, n'est pas étranger au breton, qui appartient lui aussi aux parlers celtiques, et que l'influence des Bretons, consécutive aux migrations d'origine insulaire, s'est effectuée à deux moments de l'histoire de l'Armorique : dans un premier temps lors des difficultés que connaît l'Empire romain à partir du milieu du IIP siècle jusqu'au début du IVe et qui se traduisent peut-être par des abandons de villas dans certains secteurs sinistrés, brûlés ou pillés. Il y a probablement eu, à ce moment, arrivée sporadique et voulue par l'autorité romaine de Bretons pour assurer la défense de l'empire5. A partir des VT-VIIe siècle, d'après les textes et la tradition (mais aussi l'archéologie), une immigration bretonne d'origine insulaire eut lieu de façon plus massive. A l'échelle de l'Armorique, tout montre,

2 ÉVEILLARD, 1991. 3 PAPE, 1990. 4 Par exemple, CHAMBON, 2004. 5 GlOT, GUIGON, , 2003. 9 d'après la toponymie notamment6, que la partie occidentale a été plus fortement marquée par cette présence et que cette Basse-Bretagne ou « Bretagne bretonnante » doit être distinguée de la Bretagne orientale, ou Haute-Bretagne, qui est fondamentalement demeurée gallo-romaine et où durent s'établir moins de Bretons. Cette seconde étape se situe à un moment de christianisation et d'organisation administrative et sociale nouvelle avec création de paroisses, d'ermitages souvent identifiés par un saint créateur. Se superposent ou se mêlent dans la région du Quiou trois ou quatre strates de noms d'un point de vue linguistique avec des évolutions variées : ■ un substrat celtique (gaulois) plus ou moins romanisé, ■une présence romaine attestée dans l'onomastique et la toponymie qui peut découler de l'onomastique personnelle dans le cas de fundi ou de villae qui ont pu être à l'origine d'un toponyme, ■ une présence bretonne plus ou moins affirmée qui peut être à l'origine de nouveaux noms ou de l'évolution de noms, d'autant plus que le substrat celtique n'avait pas forcément complètement disparu avec la présence romaine.

En effet, l'évolution vers les langues, romanes d'un côté, bretonne de l'autre, est plus ou moins marquée selon l'importance de la dynamique économique et démographique des populations. Le bassin du Quiou (et au-delà) est entre ces deux zones d'influence romaine puissantes qu'ont été les villes chefs-lieux de Rennes chez les Riédons et chez les Coriosolites voisins. Il est situé à proximité immédiate de la voie antique de Rennes à Corseul qui passait à Evran, toponyme qu'on fait venir du gaulois soit par variation d'un composé *ebur-one ou *Eburo-dunum1 ou *eburos, « if », soit A^Equoranda ou d'un dérivé qu'on trouve aujourd'hui dans les noms comme Aigurande, Ingrande(s), Yvrande8 et qui est en général considéré comme un équivalent du latin fines (ou ad fines). Ces toponymes sont en effet fréquemment présents aux limites des cités antiques des Gaules. Quelle qu'ait été l'importance de la romanisation, il n'y a pas eu disparition du gaulois. Même s'ils sont peu nombreux à être parvenus jusqu'à nous, les documents épigraphiques témoignent tous d'une présence de noms gaulois ou de racines gauloises dans l'onomastique et la toponymie aux deux premiers siècles de notre ère9. Sur le territoire des trois communes qui font l'objet du programme de recherche sur les campagnes antiques, la toponymie illustre la mixité linguistique et indique assez la difficulté de l'entreprise. Depuis les travaux de J. Loth10 et d'H. d'Arbois de Jubainville11, en termes généraux12 comme régionalement ou localement, la recherche dans ce domaine a fait de très nombreux progrès sur le plan linguistique13 : d'une part on ne considère plus, par exemple, que tous les noms en -ac dérivent d'un nom romain en -acus ou -acum14 d'autre part, la terminaison en -acos est gauloise et peut être antérieure à la présence romaine15. Ces terminaisons et désinences ne préjugent pas de la ou des racines qui, dans un nom composé, peuvent

6 Voir pour des indices statistiques d'après la nomenclature INSEE, LE MOING 1990 et dans la bibliographie toutes les contributions locales qui comportent des cartes illustrant ce constat. 7 DAUZAT, 19782, LACROIX, 2003, carte p. 20. 8 TANGUY, 1992. 9 A Corseul, ILTG, 340, avec un pérégrin à l'onomastique partiellement celtique [Sejdulus Sm[ ?] : il existe une racine celtique *smero-, smerto ; AE, 1999 [= CIL, XIII, 3143] qui mentionne une affranchie du nom de Cania Magiusa ; chez les Riédons : les inscriptions des notables du début du IIE s. qui ont été prêtres du culte impérial mentionnent des noms de pagi celtiques comme Matantis ou Sextanmanduus.

10 LOTH, 1883.

11 ARBOIS DE JUBAINVILLE (D'), 1890.

12 CHADWICK, 1999 = 1965. 13 FALCH'UN, 1950 et 1963 ; FLEURIOT, 1958,1980 et 1981 ; TANGUY, 1980 et 1981.

14 Contrairement à DAUZAT, 19782. 15 Voir les travaux de Pierre-Yves Lambert. Voir DELAMARRE, 20032. 10 précéder. En outre, en Haute-Bretagne, les noms en -a peuvent aussi bien venir d'un nom en -ac avec perte de la consonne finale que d'un nom en -au, breton, avec réduction de la diphtongue finale en -a. De même sur le plan historique et archéologique des découvertes et des progrès nombreux ont été accomplis depuis plus d'une vingtaine d'années autour des questions de toponymie et d'onomastique16. On dispose désormais d'outils précieux tant pour le latin17 que pour le gaulois18 ou le breton19 qui peuvent servir de point de départ à une enquête. C'est en s'appuyant sur eux et sur une collecte systématique des toponymes, sur le modèle des enquêtes menées chez les Coriosolites20 et chez les Riédons21, qu'on pourrait tenter de préciser la présence humaine et l'occupation du sol dans l'antiquité. En effet, on rencontre dans cette zone une grande diversité de noms dont une partie peut être aisément reconnue comme ailleurs en Bretagne et dont on donne ici quelques exemples : - des noms en ac ; - des noms en plou- avec variantes ; - des noms en tré-, teb-, tref- ; - des noms de saints éponymes ; - des noms mixtes dans la composition ou dans la signification. D faut éliminer certaines graphies contemporaines abusives et trompeuses sans rapport avec l'origine, la formation, la composition et les évolutions phonétiques couramment admises, qui résultent d'ignorances ou de contaminations. Ce travail de collecte peut prendre appui sur des cartes contemporaines et anciennes, le cadastre napoléonien et des chartes médiévales pour obtenir un état des dénominations traditionnelles. L'un des cartulaires les plus utiles est celui de l'abbaye Saint- Sauveur de Redon, récemment publié et rendu accessible22. Cette enquête ne devrait pas bouleverser la connaissance brossée à grandes lignes pour la péninsule, mais elle doit être menée en intégrant les données de terrains fournies par les prospections et les fouilles, car elle peut permettre d'affiner l'idée que nous nous faisons de la densité de l'occupation et de sa permanence. Nicolas MATHIEU Professeur Histoire romaine, Université de Grenoble 3

2. La zone du Quiou à l'époque médiévale Une première approche permet de situer la zone dans l'espace médiéval et de réaliser un bilan sommaire de l'occupation humaine. Il est trop tôt pour envisager les relations avec les résultats de la prospection pour la période antique, certaines permanences de sites sont envisageables, mais on ne peut trancher sur la question de la continuité de l'occupation. L'enquête s'est portée sur une zone un peu plus large que celle des prospections pour envisager un espace ayant quelque sens au Moyen Age. Le canton d'Evran comprenant les communes d'Evran, Le Quiou, les Champs-Géraux, Plouasne, Saint-André-des-Eaux, Saint-Judoce, Saint-Juvat, Tréfumel et dans le département d'Ille-et-Vilain, Trévérien. Le haut Moyen Age connaît une colonisation bretonne forte comme l'indique le nom des communes. Trois ploue apparaissent : Plouasne, et Pleugueneuc. Elles occupent de vastes espaces et à partir de l'époque féodale elles donneront naissance à d'autres paroisses mais les Champs-Géraux ne deviennent commune qu'au XXe siècle. A titre d'exemple, Plouasne est une très vaste paroisse primitive qui englobe les futures paroisses de Longaulnay, Saint-Pern, le Quiou,

16 GALLIOU, 2005 ; GlOT, GuiGON, MERDRIGNAC, 2003 ; KERNÉIS, 1998 ; TANGUY, 2001, pour l'histoire et la langue ; LEROUX, 1989 et 1991 ; PROVOST, LEROUX, 1990 ; LANGOUET, JUMEL, 1991, pour l'archéologie. 17 KAJANTO, 1965 ; SOLIN, SALOMIES, 1994. 18DELAMARRE, 20032 ; LACROIX, 2003. 19 LE MOING, 1990 ; TANGUY, 1981 et 1992. 20 LANGOUET, JUMEL, 1991. 21 LEROUX, 1989. 22 CHEDEVILLE, GUILLOTEL, TANGUY, 1998. 11

Tréfumel, Saint-André-des-Eaux, Saint-Thual et Bécherel. Tréfumel avec son préfixe en tré, atteste du développement d'un site habité modeste dès cette époque. Il faut ajouter comme témoignage de la présence bretonne les paroisses portant le nom de saints celtiques : Saint-Judoce et Saint-Juvat. Globalement, si l'on ajoute un certain nombre de toponymes en lan, tré et lis, se dessine une implantation soutenue des immigrants bretons. Par contre, il faut demeurer prudent dans l'analyse des limites communales actuelles. S'il est possible d'y retrouver d'incontestables traces anciennes, il ne faut pas généraliser. Outre le fait que, comme partout, leur établissement est le fruit d'une longue et progressive construction, bien des rectifications et échanges se sont produits au XIXe siècle.

A l'époque féodale (XP-XIIF siècles), l'ensemble territorial ne présente guère d'unité en ce qui concerne les institutions seigneuriales ou religieuses et se caractérise plutôt par sa situation dans une région de confins. Aux siècles précédents, elle appartenait d'ailleurs à deux pagi. Elle est au contact de deux diocèses, Saint-Malo et Dom, mais le premier prédomine. Les influences seigneuriales se révèlent diverses, mais le pouvoir dinannais s'affirme quand même par sa seigneurie puissante renforcé par le rôle du gros prieuré Saint-Magloire de Léhon, dépendant de l'abbaye tourangelle de Marmoutier à partir de la fin du XIIe siècle. D'importance quasi abbatiale, il possède après la réforme grégorienne, une bonne partie des églises paroissiales du secteur, cinq dans la zone étudiée et des biens et droits dans chaque paroisse. L'habitat semble s'organiser suivant le schéma classique de l'Ouest. De petites agglomérations, les futurs « bourgs », se constituent autour des églises entourées de leur cimetière. Ils ont du mal à prendre une certaine consistance. Le cas de Plouasne le démontre bien. C'est le seul centre réuni autour d'une motte arasée au XIXe siècle, (ce qui tend à prouver que l'église pourrait être une ancienne chapelle seigneuriale) et le cadastre napoléonien ne montre qu'un « bourg » très modeste et fort peu concentré. D'ailleurs, il est notable que plusieurs centres ou églises se sont déplacés. Si le phénomène n'est pas si rare dans l'Ouest, il est particulièrement accusé ici avec les cas du « bourg » d'Evran, ceux de Saint-André des Eaux et Saint-Judoce, sans doute peu affirmés, furent déplacés au XIXe siècle et même au début du XXe. Les XIIe et XIIIe siècles voient l'éclatement des anciennes ploue et la création de nouvelles paroisses, attestant à la fois d'un encadrement religieux plus étroit et aussi une expansion démographique. L'habitat s'affiche, dès cette époque, comme dispersé avec sans doute une préférence pour les hameaux. D'ailleurs certaines paroisses médiévales se sont développées sous forme de hameaux avec chapelle qui ont gagné ensuite leur indépendance. C'est le cas de Saint-Judoce, Evran etc. La toponymie est marquée par une abondante présence de nom en ière/erie et ais/aie, caractéristiques du monde roman. La plupart sont créés entre le XIe siècle et le XIIIe. Ils témoignent sans doute d'une extension de la terre cultivée, ce que d'autres indices sont susceptibles de suggérer, mais aussi du recul de la langue bretonne à cette époque au profit du parler roman. Les zones boisées et une toponymie fortement liée à la forêt particulièrement au nord, vers Evran et les Champs Géraux, ainsi qu'au sud, vers Plouasne conservent la trace d'un paysage encore assez peu ouverts au XIe siècle, puis mis en valeur dans un paysage ouvert de Champagne comme l'atteste le terme campus que l'on retrouve dans Les Champs Trénigan à Plouasne et bien sûr aux Champs- Géraux. La lande s'impose aussi dans ce paysage, ainsi que les terres humides et marécageuse au bord de la Rance. On peut citer particulièrement la grande prairie inondable de Bétineuc à Saint- André-des-Eaux. Comme partout, mais ici le fait est bien marqué, il subsiste quantité de manoirs dispersés dans la campagne et dont la construction dans son état actuel remonte à la fin du Moyen Age, en général le XVe, mais aussi le XVIe siècle. Ce sont des constructions prestigieuses comme le « château » du Hac appartenant à la grande famille des Hingant ou le plus souvent des édifices beaucoup plus modestes, qui attestent de la présence forte d'une petite aristocratie rurale. Ces manoirs, pour une part difficile à préciser mais sans doute importante, succèdent à des bâtiments antérieurs, car la présence aristocratique est ancienne et occupe mottes et maisons fortes. Les caractères médiévaux de cet espace regroupent des caractères communs à bien des régions proches et une étude approfondie est susceptible d'ouvrir des vues intéressantes sur l'histoire de l'occupation de l'espace dans l'Ouest.

DANIEL PICHOT Professeur Histoire médiévale UMR CNRS CERHIO, Rennes 2

IV. LES RÉSULTATS

1. Les limites de la méthode : problèmes d'interprétation

Au total 477 parcelles ont été explorées. Elles sont réparties sur les communes du Quiou, de Plouasne, de Saint-André-des-Eaux, de Saint-Judoce et de Trévérien. Les résultats nous invitent à nous interroger, d'une part sur le degré de fidélité de l'image du site en surface par rapport aux structures enfouies et, d'autre part, sur les formes de l'habitat rural dans cette partie de Lyonnaise. Outre la prospection systématique effectuée sur différents secteurs, nous avons consacré plusieurs journées en 2005, 2006 et la campagne de juin 2007 à la vérification de sites et d'indices de sites. Cette démarche s'avère indispensable dans notre secteur d'études. En effet, certaines données collectées posent de nombreux problèmes d'interprétation. Dans le cas de gisements clairement identifiés grâce à une concentration de mobilier dans un secteur déterminé, il est possible de délimiter précisément l'extension en surface du site lorsqu'il s'agit d'établissement de catégorie supérieure, tels que des villae (Trévérien et Saint-Judoce). En revanche, les gisements de moindre importance présentent une certaine densité de mobilier, mais les limites de celui-ci sont toujours assez floues. Ainsi, même si la présence d'un site semble indéniable, les éléments recueillis en une seule prospection ne vont pas permettre d'insérer le gisement dans une catégorie très précise en raison de l'absence de sa superficie ou du moins du caractère approximatif de celle-ci, critère pourtant essentiel dans toute classification de sites. Les difficultés d'interprétation s'accentuent encore lorsqu'il s'agit de quelques artefacts collectés dans une parcelle. En effet, dès la première année, nous avons constaté un nombre élevé et anormal d'indices de sites. Deux cas de figures ont été observés : certaines parcelles ont fourni du mobilier antique, soit quelques fragments de tegulae, soit des fragments de céramique antique associés à quelques éléments de construction. La rareté du mobilier collecté nous inviterait à ne pas retenir ces éléments comme susceptibles de signaler un site. Or, si l'on élimine ces données, en les considérant comme non représentatives d'un site, le réseau d'établissements serait limité presque exclusivement aux seules villae. Ce schéma différerait totalement de celui qui a été clairement identifié par diverses études fines sur toutes les provinces de Gaule, où il est constitué par un habitat dispersé très diversifié comportant des villae, des « établissements secondaires » que l'on nomme communément "fermes" et des annexes. Ce faciès particulier, qu'il faut intégrer dans les limites de la méthode et dans l'appréciation des résultats, s'explique par une agriculture intensive, pratiquée depuis quelques décennies dans ce secteur et qui n'est pas sans répercussions sur l'image du site en surface. En effet, les engins utilisés broient les matériaux, les dispersent et rendent donc difficile l'interprétation des découvertes. Si l'on prend l'exemple de la villa de Villery à Trévérien, qui a fait l'objet d'une prospection très fine et d'une collecte exhaustive du mobilier en 2004, force est de constater que, malgré de bonnes conditions de visibilité sur un semis récent et un temps important consacré à la collecte des artefacts (un après-midi pour une équipe de 5 personnes), le gisement n'a livré que peu de mobilier au moment de sa découverte. Il s'agit de fragments de céramique (deux de sigillée, quatre de commune 13 et une lèvre d'amphore) et d'éléments de constructions. Ces derniers, au nombre de 57, se composent essentiellement d'éclats de tuiles : seuls 9 fragments de tuiles à rebord et un fragment d'imbrex sont clairement identifiables. Si les centres d'exploitation fournissent si peu de mobilier caractéristique et datant, on peut donc s'interroger sur l'image en surface des sites de moindre importance. Ils sont donc, dans notre zone d'investigation, difficiles à localiser et les critères permettant leur identification se montrent plus fugaces que dans d'autres contrées. Dès lors, de très nombreuses vérifications s'imposent et ce n'est qu'au terme de notre étude que nous pourrons fournir des données très précises sur chaque site.

2. Les formes de l'habitat rural En raison des nombreuses limites de la méthode (cf. supra) et des conditions particulières dans notre zone, les critères de classification23 des sites utilisés dans d'autres régions s'avèrent pour un grand nombre d'entre eux inopérants. Aussi, dans l'état actuel de notre recherche, seuls deux critères sont retenus pour les établissements d'époque antique : l'extension du mobilier en surface et sa nature. Il nous paraît évident que la superficie du gisement est un indicateur essentiel pour l'élaboration de la classification, même si d'une part l'on doit prendre en compte la dispersion du matériel par les engins agricoles et, d'autre part le caractère encore flou des limites. La nature des matériaux collectés constitue également une donnée fiable. En effet, la présence d'éléments de décoration (marbre, plaques de schiste, enduits peints etc.), d'éléments de confort (matériel d'hypocauste) ou la qualité des vestiges d'appareils sont des traceurs importants, car effectivement révélateurs de constructions de haut niveau, et nous les retenons pour caractériser les villae. Pour les sites secondaires qui complètent le réseau d'habitats, nous retiendrons le caractère concentré des artefacts, même si cette concentration n'offre pas des limites toujours très précises. En ce qui concerne les autres périodes chronologiques, les gisements sont encore plus difficiles à mettre en évidence en raison de la rareté du mobilier collecté en surface. Nous ne présenterons donc ici que des données encore limitées, mais significatives et susceptibles de révéler des sites lors de prospections complémentaires.

2.1 Le deuxième âge du Fer : des données encore lacunaires

Ces établissements ruraux étaient antérieurement connus grâce à la photographie aérienne et présentent un système d'enclos parfois complexe. Ils constituent, dans notre zone d'étude, plus de 50% des découvertes. La prolifération des découvertes aériennes ces dernières années a conduit les chercheurs à proposer une typo-chronologie de ces ensembles que l'on doit, d'après les sondages effectués sur certains sites, utiliser avec prudence24. Malheureusement, la prospection au sol semble inopérante et ne corrobore que dans de rares cas une datation protohistorique. En effet, les traceurs sont rarement identifiables : « les céramiques fragiles, mal cuites et sombres sont soit, dans la majorité des cas, détruites par les agents d'érosion naturels ou anthropiques, soit, dans les rares cas où elles sont conservées, peu visibles »25. En raison d'un couvert végétal trop dense, aucun élément nouveau ne peut être apporté concernant les enclos identifiés sur ces communes. Signalons, toutefois que l'enclos au lieu-dit Le

23 Dans le Beaucairois 11 critères, quatre se rapportent aux aspects fonctionnels et morphologiques de chaque site, deux

à sa chronologie et cinq prennent en compte l'environnement, BESSAC ETAL. 1987,94-98. 24 P. Naas souligne que l'ancienneté supposée des enclos curvilignes doit désormais être reconsidérée. Des fouilles effectuées récemment dans le Finistère et en Ille-et-Vilaine ont, en effet, montré des occupations aux IIe

et Ier s. av. J.-C, NAAS 1999b. 25 MEURET 1999,45. 14

Bois26, de forme quadrangulaire simple (100 m x 90 m), a été, d'après le mobilier auparavant collecté au sol27, occupé sur une longue période : de la protohistoire à la période gallo-romaine. Les vérifications au sol n'ont pas apporté de données chronologiques complémentaires : seuls trois éclats de tegulae ont été collectés.

2.2 La période antique : une grande diversité d'établissements

2.2.1 Les villae La villa, reflet de la romanisation des campagnes, désigne un centre domanial comportant obligatoirement une partie résidentielle et des bâtiments d'exploitation. Malheureusement, la rareté des vestiges entraîne parfois des hésitations. Aucun problème ne se pose lorsque la photographie aérienne fournit le plan de bâtiments facilement identifiables ou lorsque la prospection au sol fournit un mobilier riche sur une surface importante, où, mieux encore, lorsque les deux éléments sont réunis. Les données que nous avons recueillies sont encore incomplètes mais parmi les sites identifiés comme villae, plusieurs catégories semblent se dessiner. Dans la catégorie supérieure, nous rencontrons la villa de grande taille, dans laquelle s'insère celle de la Gare sur la commune du Quiou. Outre des dimensions exceptionnelles (de l'ordre de plus de 8 hectares), dans cette partie occidentale de Lyonnaise, elle offre des aménagements internes et une décoration qui témoignent de la richesse de son propriétaire. Ce cas de figure semble toutefois exceptionnel. D'autres villae sont de dimensions plus restreintes, comme celle de Villery à Trévérien avec ses 25 000 m2 ou encore celle de La Ville-es-Mière à Saint-Judoce avec ses 20 000 m2.

Le Quiou, villa de la Gare : une villa aux dimensions exceptionnelles (fig. 3 et 5) L'édifice est installé en rive droite de la Rance, sur le tiers inférieur d'une légère pente orientée à l'ouest. Cette villa, dont la pars urbana actuellement en cours de fouille28, présente une composition générale autour de deux cours : une première, intégrée au corps résidentiel à l'ouest, et une deuxième dans le prolongement de ce dernier, est de plus grande ampleur. Si le plan de la pars urbana est clairement identifiable sur la photographie aérienne29, il n'en est pas de même des bâtiments d'exploitation, qui s'étendent vraisemblablement vers l'est autour de la deuxième cour. Ce constat a conduit les chercheurs à supposer que ces constructions étaient soit moins bien conservées, soit en partie construite en ossature de bois30. De fait, les prospections au sol ont révélé des concentrations de mobilier sur les côtés nord, est et sud de cette deuxième cour. Au nord, le matériel s'étend sur une longueur est-ouest d'un peu moins de 200 m pour une largeur d'environ 100 m, soit une vaste superficie de l'ordre de 20 000 m2. Même si l'on doit corriger cette valeur en raison des limites liées à la méthode, la surface du bâti doit être assez importante. La forte concentration de mobilier sur toute la zone inviterait à reconnaître ici la présence d'un seul grand bâtiment d'exploitation, ce qui tout de même semble peu probable. Le schéma le plus vraisemblable consiste à supposer la présence d'un ensemble de petits bâtiments alignés dans le sens est-ouest.

Photographie aérienne effectuée en 1995 par C. Bizien-Jaglin et J.-F. Duval. BIZIEN-JAGLIN ETAL. 2002, 270. ARRAMOND & REQUI 2007. Cliché de Loïc Langouet effectué le 24 juin 1989. ' ARRAMOND ETAL. 2003, 15. 15

Dans ce même secteur, une occupation ancienne a été identifiée grâce à la découverte d'une très faible mais nette concentration de céramiques de l'âge du Bronze (fig. 5, Le Quiou, secteur n°505C et annexe). Dans cette même zone, trois fragments de céramique commune d'époque protohistorique, ainsi que du mobilier daté du Ier-Iïïe siècle apr. J.-C. ont également été recueillis. Dans la partie est (fig. 5), des fragments de tegulae collectés sur toute la limite est des parcelles cadastrales n°200 et 230, confirment la présence à cet endroit de constructions fermant la cour agricole et qui s'étendent vraisemblablement vers l'est dans la prairie. Au sud, sur le troisième côté de la cour, une importante concentration de mobilier a été identifiée sur un léger replat (fig. 5, Le Quiou, secteur n°505G, annexe). Outre des éléments de constructions, les nombreux fragments de céramique (sigillée et commune) témoignent d'une occupation au Ier siècle apr. J.-C. Enfin, du matériel, daté du IIe siècle apr. J.-C, a été ramassé sur toute une bande est-ouest (fig. 8, Le Quiou, secteur n°505H, annexe) observée de ce même côté sur plus de 230 m de longueur et plus ou moins 35 m de largeur. Cette deuxième cour présente donc de vastes dimensions : 205 x 136 m environ soit 27 880 m2. Notons, également, la présence, sur le côté ouest, de tegulae, qui pourraient indiquer la limite sud de pars urbana. Dans les deux ensembles, des éléments de couverture, imbrîces et tegulae, en l'absence de tout moellon en surface, ne témoignent pas forcément d'une construction en dur. Le dispositif à deux cours est un modèle répandu en Gaule31 et présent également dans le territoire des cités des Riédons32 et des Coriosolites33. Les dimensions de la deuxième cour, bordée de bâtiments agricoles, sont, en tout cas, ici supérieures à celles observé à la villa de La Démardais (commune de Porcaro dans le Morbihan), où seules les dépendances ont été fouillées. Cet ensemble, qui comporte sept bâtiments organisés autour d'une vaste cour, ne couvre qu'une superficie de 1,5 hectare34.

La villa de Clos Lory (Plouasne, fig. 6) Cette villa localisée anciennement et partiellement fouillée entre 1966 et 197435 semble occupée du Ier au IVe siècle ap. J.-C. Seule une partie de la pars urbana a été reconnue. Il s'agit de pièces appartenant à l'aile thermale et d'une construction partiellement mise au jour, comportant un sol dallé de pierres plates et de briques. Si l'emplacement des espaces fouillés n'a pu être prospecté en raison d'un couvert végétal dense, nous avons observé à 250 m à l'ouest, en bordure du chemin communal (fig. 6, n°627), une forte concentration de mobilier sur une superficie de 400 m2 environ (superficie maximale 1500 m2). Ce mobilier composé de sigillée, de céramique commune et de 130 fragments de tegulae (cf. annexe) atteste une occupation entre le Ier et le IHe siècle Ces dernières découvertes semblent démontrer une extension ouest du site et donc d'une villa de grandes dimensions de plus de 3 ha. Cette hypothèse devra être vérifiée par de nouvelles prospections.

La villa de Villery (Trévérien, fig. 10) Les dernières vérifications de 2007 ont permis de préciser l'étendue de ce nouveau gisement implanté sur un plateau, rive droite de la Rance. L'établissement de Villery couvre une superficie maximale de 25 000 m2. Le mobilier (annexe n° 142=511=826=827), composé de céramique

31 En Aquitaine, chez les Nitiobroges à la villa de Granfonds à Castelculier (JACQUES & STÉPHANUS 1994, 31), avec des dimensions imposantes (80 x 80 m pour chacune d'elle), chez les Santons (MAURIN 1999, 236-237), chez les Bituriges Cubes (GANDINI2000,136-138) ; ce schéma domine dans la Somme, AGACHE 1978,251-387. 32 Un exemple reconnu par M. Gautier dans le bassin occidental de la moyenne Vilaine semble plus proche des modèles Picard, Naas 1999a, 173. 33 La villa de la Gauvenais II sur la commune de Corseul présente des dimensions plus modestes, BIZIEN-JAGLIN ETAL. 2002,125-126. 34 KAYSER, Bilan scientifique, SRA Bretagne, 1993,78. 35 BIZIEN-JAGLIN ETAL., 2002, p. 239-240. 16 sigillée, de céramique commune et d'amphores, situe l'occupation de la villa de la fin du Ier siècle au IIIe siècle La découverte d'un élément circulaire en brique cuite permet de classer assurément cet habitat dans la catégorie des villae.

La villa de La Ville-es-Mière (Saint- Judoce,fig. 8) Cet établissement découvert en 2007, installé sur un plateau, s'étend sur une superficie d'environ 2 ha. Toutefois la présence d'une forte densité d'artefacts en bordure sud pourrait signaler une extension du site dans cette direction. Le matériel recueilli est très abondant (annexe n°829 et 830). Il comporte des fragments de verre, de céramique (sigillée, commune et amphore) et des éléments de couverture. Même si les éléments de décoration font défaut, l'importante superficie nous semble un élément pertinent pour classer ce site dans la catégorie des villae.

L'établissement des Ruettes (Quiou,fig. 3) : une petite villa ? L'établissement des Ruettes, identifié par une prospection au sol, est implanté de part et d'autre d'un ruisseau. La partie la plus importante du gisement est toutefois située sur la moitié inférieure d'un versant exposé au nord. Des fragments de tegulae avaient été relevés sur une superficie d'environ 1875 m2. Un projet de lotissement touchait la partie ouest du site et un sondage d'évaluation a été réalisé, en 1983, sur une surface de 150 x 75 m. Outre la présence de fosses, la fouille a permis de dégager un bassin appartenant, d'après certaines hypothèses, à une salle d'un ensemble thermal. Cette donnée inviterait donc à classer ce site parmi les villae. Or, cette interprétation soulève quelques questions. En effet, le fouilleur décrit les vestiges, assez arasés, d'un bassin de dimensions restreintes (3,20 x 1,95 m), creusé dans le substrat, dont les murs, aménagés sommairement, sont renforcés intérieurement par du calcaire coquiller ; sol et murs sont revêtus de mortier hydraulique. Aucune autre structure n'a été identifiée et l'auteur souligne le caractère isolé de ce bassin. S'il s'agissait d'une partie thermale partiellement dégagée, ce bassin s'insérerait dans un ensemble et des tronçons de murs adjacents donc auraient dû être observés lors de la fouille. De plus, le caractère apparemment fruste de la construction et la faiblesse de l'épaisseur des murs, comprise entre 0,25 et 0,30 m, ne semblent pas corroborer l'interprétation comme élément d'une construction thermale. En revanche, on peut évoquer la possibilité d'un bassin d'ornement, dont la présence est souvent attestée dans la cour précédant le corps résidentiel. La présence de tegulae dans le remplissage du bassin et le voisinage d'une fosse-dépotoir, remplie de déchets alimentaires, avec une sigillée du IIe siècle36, renforcent en tout cas l'hypothèse d'un habitat Nos multiples prospections effectuées sur la parcelle (annexe n° 19=306=704=705) située à l'est de la partie fouillée, sur le même versant exposé au nord, ont mis en évidence sans conteste une extension du site sur une superficie maximale de 350 m2. Cette partie a livré sept fragments de sigillée, trente de commune, un d'amphore de Tarraconaise, des fragments de tegulae (trois avec rebord et 661 éclats) et un possible élément de brique ou de pilette. A 40 m au nord, rive droite du ruisseau, sur un versant exposé au sud (annexe n° 17=215=706=707), la présence de mobilier révèle également une extension du gisement. La concentration, située en fond de vallon, sur une bande de 70 m de long sur 10 m de large a fourni de nombreux éléments de toiture (133 fragments), de la sigillée, un fragment d'amphore de type Pascual 1 et de la commune. Le mobilier épars collecté sur le versant, pourrait, également, laisser supposer que le site s'étend plus au nord. La présence d'au moins deux constructions invite à s'interroger sur la nature du site. Il pourrait s'agir ici d'une petite villa dont les bâtiments sont difficiles à préciser, mais qui comporterait une partie résidentielle modeste agrémentée d'un petit bassin. Les constructions seraient installées de part et d'autre du ruisseau.

B1ZIEN-JAGLIN ETAL., 270. 17

Le site du Besso (Saint-André-des-Eaux, fig. 3) : villa ? A cet emplacement, le cadastre 1841 fait état d'une ruine circulaire dite « four de Métaire du Château ». En 1867, la découverte d'une cavité en « forme de four remplie de tuiles à rebords », avait permis de localiser le site37 sur une légère pente exposée à l'ouest. Ce dernier a été prospecté en 1967 par J.-P. Pincemin, qui a recueilli, sur 1200 m2, des tegulae, dont certaines étaient noircies ou vitrifiées. Ces données ont donc amené certains chercheurs à reconnaître ici un four de tuilier. L'image du site en surface diffère au niveau de son extension, qui apparaît beaucoup plus restreinte au premier abord : 300 m2 environ pour la plus forte concentration signalée antérieurement et qui n'a révélé que des tegulae (annexe, n°76, secteur A). En revanche, deux autres secteurs (à l'est : cf. annexe n°76, secteur B et au sud, annexe n°70=309=737) ont livré une quantité importante de mobilier qui, d'après la position topographique, ne peut être interprété comme relevant d'épandage. Il s'agit de sigillée, de verre et de tuiles qui situent l'occupation du site entre le IIe et le IIIe siècle apr. J.-C. Ces nouvelles données portent l'extension maximale du site à environ 20 000 m2, ce qui le place désormais dans une catégorie supérieure qui reste toutefois à préciser. En tout cas, la présence d'un rebut de cuisson de mortier (cf. infrd) semble corroborer l'hypothèse d'un atelier artisanal produisant à la fois des tuiles et des céramiques. Enfin, signalons la découverte d'un fragment de panse (d'oule ?) à décor à la molette (cf. infrd) que l'on peut dater des X7XF siècle et qui pourrait témoigner de la réoccupation des lieux durant cette époque.

2.2.1 Les fermes : des unités agricoles plus modestes

D'autres établissements offrent des dimensions plus restreintes et l'absence d'éléments de confort ou de décor invite à les intégrer dans une catégorie de rang inférieur. Ces établissements seront, par commodité, nommés « ferme ». La fonction agricole de ces établissements est en effet souvent difficile à établir en l'absence de fouilles. Toutefois, la présence de vaisselle de table, parfois d'amphores, indique qu'une partie était réservée à l'habitat et une autre, difficile à mettre en évidence par prospection, aux activités agricoles. Ces fermes, connues en Gaule, grâce aux prospections aériennes et aux fouilles, sont facilement identifiables. Elles se composent généralement d'un seul bâtiment de plan très simple : dans la majorité des cas, elles sont de plan rectangulaire38. La surface bâtie, lorsqu'on la connaît, est restreinte39 et l'extension du mobilier en surface n'est pas supérieure à 1000 m2 chez les Lactorates, à 2000 m2 chez les Arvernes40, entre 1000 m2 et 3000 m2 chez les Rutènes 41. Dans cette partie occidentale de la Lyonnaise, des établissements de même classe ont été identifiés. Chez les Riédons, dans le bassin de Rennes42, ou encore chez les Vénètes43, des

Ibidem, 273. Pour des plans simples, plusieurs exemples ont été identifiés en Aquitaine et en Narbonnaise. Pour l'Aquitaine, une fouille effectuée, à Pouche, dans la cité des Auscii, nous renseigne sur ce type de construction. Il s'agit d'un bâtiment rectangulaire de 15 sur 5 m, divisé en deux pièces. Edifié sous Claude, avec des murs liés au mortier, montés avec peu de soin, il avait des sols vraisemblablement en terre battue et l'ensemble était revêtu d'une toiture classique en tuiles ; BOUDARTCHOUK, 1998, p. 46. Ailleurs voir ROGER, 1993, La Cordenade 12-1 à 5 ; ROGER, 1993, Amourettes 12-1 à 5 ; FICHES, 1993, Saint-Pierre 30-1 à 2 ; pour des plans plus complexes, compacts avec ou sans cour voir MEFFRE, 1993, Les Sausses 84-1 à 8 et TRÉMENT, 1996, Les Soires 13-1 à 13-14. Signalons, que la présence de ces ensembles est confirmée par les découvertes effectuées en prospection aérienne chez les Lactorates et dans la cité voisine des Ausques: 7 essentiellement de plan linéaire chez les Lactorates cf. PETTT-AUPERT (à paraître), une proportion équivalente dans les Auscii d'après l'étude faite par F. Coléoni sur les campagnes à l'époque antique dans cette cité. 39 De 50 à 150 m2 chez les Lactorates, BALMELLE ET AL. 2001,220. 40 TRÉMENT, 2002,100. 41 SILLIÈRES, 2005,131.

42 PROVOST, 2000, 75. 43 Des établissements comparables existent chez les Vénètes, d'après P. Naas, « on assiste au cours du 1er apr. J.-C. à la création de nombreux petits établissements ruraux, témoins d'une première phase d'une romanisation 18 constructions pourraient se rattacher à ce type. Ces établissements diffèrent toutefois dans leur mode de construction : certains adoptent des techniques de construction en dur, d'autres pérennisent des savoirs techniques antérieurs. Parfois, ces bâtiments s'inscrivent à l'intérieur d'enclos et reprennent ainsi le modèle des établissements de l'âge du Fer. Si les constructions en terre et bois occupaient une place vraisemblablement essentielle dans cette région, ce même constat s'observe ailleurs et notamment dans le territoire des Bituriges Cubes : la moitié des établissements créés dans la première moitié du Ier siècle apr. J.-C. est en matériaux périssables et le demeure jusqu'à leur abandon44. Aussi, ces données sont-elles précieuses pour la connaissance des modes de vie et du rythme d'adoption des nouvelles techniques en Gaule, mais nous ne jugeons pas utile de créer deux catégories pour ces gisements, notre objectif étant ici de déterminer s'il existe des petites unités agricoles dont le statut diffère de celui de la villa. Nous mentionnerons bien sûr ces informations sur la fiche du site et cette question sera abordée lors de la synthèse.

Les établissements de Montmusson (Le Quiou,fig. 3) .-fermes ou villa ? Deux concentrations de mobilier distantes de 130 m ont été observé sur un plateau au nord-est de la villa de la Gare. Malgré de nombreuses vérifications, le matériel datant est assez pauvre et l'interprétation difficile. La première concentration située au nord, s'étend sur 750 m2, et a livré essentiellement des fragments de tuiles (annexe, n°214=708=750=852). La seconde, au sud (annexe, n°51=211=305=689=710=751=853), a fourni une quantité importante d'éléments de construction (tegulae, brique, quart de rond de colonne), mais peu de mobilier (un fragment de sigillée, un de commune, deux d'amphores). En revanche, une perle en verre, dont la datation est encore incertaine (époque protohistorique? époque antique?), a été découverte et témoigne de la richesse de son propriétaire. Insérer ces deux concentrations dans une catégorie précise reste, en l'état actuel de nos connaissances, un exercice impossible. Deux hypothèses peuvent néanmoins être formulées. Dans le premier cas de figure, nous serions en présence de deux fermes situées à une très faible distance l'une de l'autre. Mais, dans ce cas, la présence de la perle est assez difficile à expliquer. La deuxième possibilité serait d'identifier une villa partiellement révélée et dont ferait actuellement défaut toute la partie centrale. En effet, les deux sites sont séparés par une parcelle semée en pré offrant actuellement une visibilité nulle. On peut dès lors supposer que les artefacts découverts marquent les limites nord et sud d'un établissement important. Nous proposons donc de classer provisoirement ces gisements dans la catégorie des sites secondaires.

La Bourdelais : un établissement secondaire de la villa de Clos Lory (Plouasne, fig. 6) La prospection de la parcelle au sud de cette villa du Clos Lory (versant exposé au nord ; fig. 6, Plouasne n°613, 614 et 828) a permis de déceler un important mobilier antique. Même si de nombreux vestiges ont été collectés sur l'ensemble de la parcelle (1 fragment de verre, 9 de sigillée, 19 de céramique commune, 1 d'amphore et 143 fragments de tuiles, fig. 6, Plouasne, annexe n°614), la seule concentration a été observée sur la partie sommitale sur environ 1 600 m2 (fig. 6, Plouasne n°613). Malheureusement, nous avons, comme sur d'autres sites, rencontré des difficultés pour déterminer avec précision les limites du gisement. Différentes données invitent encore à la prudence en ce qui concerne l'extension de ce site. En effet, il pourrait atteindre une dimension nettement supérieure, car le mobilier collecté sur la parcelle est abondant et sa présence sur une telle superficie ne peut s'expliquer uniquement par la dispersion causée par les travaux aratoires. De plus, le propriétaire de la parcelle nous a signalé qu'il avait parfois observé, après labour, dans la partie

architecturalement peu marquée (constructions et toitures en matériaux légers). Un grand nombre de sites vénètes sont abandonnés avant la fin du siècle. D'autres perdurent, sous la forme de fermes modestes, qui connaissent parfois une architecture en dur. Enfin, dans certains cas, les petites fermes se transforment et donnent naissance à des domaines ruraux plus importants, de type villa », NAAS 1999a, 171-172.

44LAOT£rAZ,.,2005,352. 19 médiane, de nombreux fragments de tegulae. Même si des compléments s'imposent, il est clair que nous sommes en présence d'un site à mettre en relation avec la villa distante d'environ 250 m.

Goè'gomen, site satellite de la villa de Villery (Trévérien, fig. 10) Plusieurs prospections réalisées sur une parcelle (fig. 10 et annexe n° 147=518=845) située à 450 m à l'ouest de cette villa, ont fourni des artefacts de nature diverse. Divers fragments de matériaux de constructions (tegulae et imbrices), un fragment de verre de couleur bleu, des fragments de céramique commune confirment la présence d'un gisement de moindre importance. La présence dans la parcelle voisine de mobilier antique (fig. 10 et annexe n°145 : céramique commune, amphore et tuiles) signale vraisemblablement une extension vers l'est du gisement.

Un établissement en matériaux périssables à La Lindais (Saint-André-des-Eaux, fig. 7) Dans le secteur nord-est de la parcelle n°115 (cf. annexe =492=819), du mobilier céramique a été collecté sur une superficie difficile à évaluer en raison de la rareté et du caractère fragmentaire de la céramique. Nous en estimons la surface maximale à 2 000 m2. Constitué de 16 fragments de céramique commune et d'un possible tesson d'amphore, le matériel révèle la présence d'un petit établissement, installé sur un plateau et vraisemblablement construit en matériaux périssables en l'absence de tout élément de construction en dur, même de tuiles.

Gisement de La Lindais (Saint-André-des-Eaux, fig. 7) Implanté sur une légère pente exposé à l'ouest, un établissement d'une superficie minimale de 2 500m2 a été mis en évidence (annexe n°91=311). Des éléments de couverture en tuiles (26 fragments), de la sigillée et de la céramique commune ont été découverts.

Gisement Au Village (Au Quiou,fig. 4) La superficie maximale du gisement est de l'ordre de 2900 m2. Néanmoins la découverte des cinq fragments de sigillée en bordure d'une parcelle semée en pré et donc ne fournissant aucune visibilité en surface pourrait laisser supposer une extension vers l'est du site. Vingt-trois fragments de céramique commune et de nombreux éléments de construction ont également été collectés (annexe n°37=307=701=702=858 pour la partie sud du gisement ; 805 ; partie nord 209=714).

2.2.3 Les sites à tuiles : des annexes agricoles

Enfin, une dernière catégorie concerne les gisements de faibles étendues45 et qui ne fournissent, en surface, que des tuiles. Ces gisements peuvent correspondre à des cabanes ou encore des granges, installées dans X&fundus d'une villa. Il n'est toutefois pas exclu qu'il corresponde à des petites nécropoles à caisson et/ou couvercle de tuiles, le caractère humble de ces inhumations expliquant l'absence de céramique.

45 Des sites de dimensions restreintes ont également été identifié chez les Lactorates : il s'agit d'une série de gisements inférieurs à 400-500 m2, où la prospection aérienne ne nous a été d'aucun secours, car elle n'a pas permis de déceler des vestiges. Tous sont de modeste extension, qui va de faible à très faible. Mais, c'est surtout la nature du matériel qui invite à distinguer deux catégories : les sites de faible extension qui fournissent tuiles et céramique (autres établissements) et ceux de très faible extension qui ne donnent que des tuiles (sites à tuiles),

BALMELLE ETAL. 2001, 220. 20

Le Guémain (Le Quiou,fig. 4) Le nouveau gisement du Quiou, Le Guémain, s'étend sur environ 600 m2 et se classe dans cette catégorie. Le mobilier antique est composé uniquement de tegulae et ne nous permet donc pas de préciser la chronologie du gisement.

3. Les vestiges épars : hypothèses d'interprétation

La découverte trop fréquente d'artefacts en faible quantité dans les parcelles pose de réels problèmes d'interprétation. Trois cas de figures ont été observés et relèvent vraisemblablement de réalités archéologiques différentes. - On note tout d'abord la présence de vestiges isolés : il s'agit dans la majorité des cas d'un ou de deux fragments de tegula (annexe, parcelles n°l, 10=680, 13=802, 30, 44, 60, 61, 66, 203 du Quiou, fig. 3 et 4 ; n°608, 735 à Plouasne, fig. 6 ; n°81, 103, 118, 407, 682 de Saint-André-des- Eaux, fig. 3 et 7 ; n°812, 825, 854 de Saint-Judoce, fig. 8 ; n°128, 135 de Trévérien, fig. 9) et occasionnellement de céramique en très faible quantité (n°22=712, 41, 53, 64, 806 du Quiou, fig. 3 et 4 ; n°630 et 632 à Plouasne, fig. 6 ; 69, 72, 88, 102, 108, 112, 116 et 120 de Saint-André-des- Eaux, fig. 3 et 7 ; n°846 de Saint-Judoce, fig. 8 ; n°121,129,137,144 de Trévérien, fig. 9 et 10). - Ensuite, nous avons observé sur des surfaces importantes des artefacts épars, céramique et/ou tegulae : parcelles n°7=301, 11=303=753, 28, 29=717, 713, 715, 716 du Quiou, fig. 3 et 4 ; n°601, 625=650 de Plouasne, fig. 6 ; n°78=720, 80=723, 83=724=820, 101, 417, 425, 440, 452, 727, 734 de Saint-André-des-Eaux, fig. 3 et 7 ; n°831, 834, 835, 836, 840, 848, 850, 851, 855, 856 de Saint-Judoce, fig. 8 ; n°123, 134, 140 de Trévérien, fig. 9 et 10. Ces vestiges pourraient témoigner de la pratique de la fumure à l'époque antique et donc d'une exploitation intense du terroir. - Enfin, d'autres secteurs ont révélé du mobilier archéologique en quantité suffisante, mais sans concentration nette (annexe, parcelles n°3=681 et n°38, 23=24=25=711, 740 du Quiou, fig. 3 et 4 ; n°842=843 de Saint-Judoce, fig. 8 ; n°217=742, 218 de Trévérien, fig. 9 et 10). Ce mobilier n'est pas épars dans toute la parcelle, mais localisé dans un espace défini. Il est donc assez peu probable qu'il s'agisse d'épandage. Nous proposons donc de voir ici des indices de sites et d'effectuer de nouvelles prospections de façon à pouvoir à terme classer sûrement ces vestiges dans une catégorie précise.

4. Les périodes préhistorique, protohistorique et médiévale

Les périodes antérieure et postérieure ne sont représentées que par des artefacts isolés ou épars. L'outillage lithique, limité à quelques éclats ou fragments (cf. annexe), se rattache dans la majorité des cas au Néolithique. Quelques découvertes isolées sont toutefois à signaler : il s'agit d'une pointe de poignard et de trois pointes de flèche taillée dans du silex du Grand Pressigny. (tableau, n°83, 204,411 et 417). Notons également que la parcelle n°502 à Trévérien a livré sur une faible superficie (n°60 m2) quelques vestiges d'époque néolithique, dont une lame complète de hache polie en fibrolithe. Ce mobilier pourrait signaler la présence d'un site préhistorique dont l'image de surface est encore incomplète. En ce qui concerne l'époque protohistorique, certains secteurs ont révélé du mobilier céramique en faible ou très faible quantité (Le Quiou, n°40 ; Saint- André-des-Eaux, n°119, 472 ; Saint-Judoce, n°848, 851 ; Trévérien n°217, 501, 503, 520) à l'exception de la concentration observée sur le site de la villa de la Gare qui a fourni 17 fragments datés de l'âge du Bronze. Ces parcelles feront l'objet de nouvelles vérifications. Le même constat est à déplorer pour l'époque médiévale. Notons toutefois la présence de fragments isolés attribuables aux IXe-Xe siècle sur la commune du Quiou (annexe, parcelles n° 12 et 62) et de deux datés des Xe-XF siècle découverts à Saint-André-des-Eaux (annexe, parcelles n°76 et 21

425). Les multiples prospections effectuées sur ces différents secteurs n'ont pas permis de préciser s'il s'agissait d'indices de sites ou de trouvailles isolées.

V. ETUDE DU MOBILIER CÉRAMIQUE

Le rapport de prospection de 2007 pour les secteurs du Quiou, Plouasne, Saint-André- des-Eaux, Saint-Judoce, Saint-Juvat et Trévérien a été l'occasion de reprendre la totalité des collections recueillies sur le terrain. Au total, ce sont 14117 fragments de céramiques qui ont été collectés, associés à des matériaux de construction divers, fragments de verre, objets en fer, un peu de faune (coquillages et os animaux) ainsi que quelques éléments lithiques. Après une vérification de tous les ensembles, il est possible de fournir les indications suivantes par commune de prospection en se basant uniquement sur le mobilier céramique (récipient) :

1. La commune du Quiou Quelques tessons de panse présentent une pâte non tournée de teinte brune à composante sableuse permettant de les rattacher à la protohistoire sans précision possible en l'absence d'éléments de bords ou de décors caractéristiques. Ils sont issus des parcelles 40 et 688. Seuls les fragments peu cuits de la parcelle 505 (Villa de la Gare) correspondent plutôt à la période de l'âge du Bronze. La phase antique est relativement bien représentée, présente sur une vingtaine de parcelles (n°3, 301, 303, 17=215=706=707, 19=306=704=705, 712, 711, 28, 37=307=701=702, 41, 710=751, 53, 64, 708=709, 713, 715, 716, 740, 806, 822). Celles concernant la villa de La Gare (n°33, 34, 505, 688, 804, 809, 815) sont, bien évidemment, les plus riches. Les tessons ne présentent pas d'éléments particuliers par rapport aux récipients recueillis dans le cadre de la fouille de cette même villa. Les indices de datation couvrent la fin du Ier siècle au IIIe siècle pour l'essentiel, avec des productions de sigillée de Gaule du Sud et du Centre, des amphores importées (Tarraconaise probablement) et des productions gauloises (type 5 du Centre-Ouest et type 12 de Normandie), des tessons de terra nigra et des productions locales en commune sombre et claire.

Le Quiou. 2006. P688. 0 5 cm

Exemples de tessons antiques découverts dans la parcelle 688. (Relevé et infographie : F. Labaune /Inrap)

Trois parcelles (34, 12 et 62) ont livré des tessons isolés dont l'aspect correspond à des récipients en usage entre l'Antiquité tardive et le haut Moyen Âge. Pour la première, il s'agit d'un fragment de bord appartenant à une forme en commune sombre dont la lèvre correspond 22 au type Alzei 27 (=Petit IIA), en usage entre 360/370 et 410/420 après J.-C. (parcelle 34). Découvert sur la parcelle de la villa de La Gare, il est en accord avec des fragments du même type découverts lors de la campagne de fouille de 2007. Les deux autres appartiennent à des productions plus récentes. Il s'agit d'un fragment d'oule à décor de molette et d'un bord de jatte à vasque ouverte et lèvre triangulaire comme on en trouve sur les sites du haut Moyen Âge de la région au IX^X6 siècles.

_ m/A® 1/1 Le Quiou. 2004. P12.

Fragment à décor de molette. Parcelle 12. (Relevé et infographie : F. Labaune /Inrap)

La période médiévale est illustrée essentiellement par des éclats de panse montrant la pâte claire (beige à rose) riche en inclusion de quartz spécifiques des productions entre le XIIe et le XIVe siècle. Ils sont complétés dans quelques cas, par un morceau de lèvre à bandeau de oule ou de pichet (parcelles n° : 42, 51, 702,712, 713,716).

Le Quiou 2004. P62. 0 5 cm

Bord de pichet médiéval découvert dans la parcelle 62. (Relevé et infographie : F. Labaune /Inrap)

Des parcelles renferment quelques tessons dont la pâte ou les éléments de formes permettent d'identifier des récipients en usage entre le XVe et le XVIIe siècle. Ces derniers appartiennent surtout à des coquemars (type pot 3-1)46. On y trouve aussi des bords de pichets (type pichet 2 et 3), quelques fragments de lèchefrites glaçurés, ainsi que des pots destinés au conditionnement du beurre fabriqués dans la région de Laval (= « rose-bleue », type pot 5). A partir du XVIIIe siècle, on voit l'apparition des récipients en faïence. Cette catégorie est relativement bien représentée sur la plupart des parcelles prospectées avec trois types de production. On trouve les récipients en faïence blanche classique, surtout des assiettes et des pots de chambre (XIXe et XXe siècle). La faïence décorée regroupe des fragments d'assiettes et de bols, difficiles à dater précisément. Le dernier groupe correspond à des productions particulières regroupant deux types de formes : les plats et assiettes appelés « culs noirs » et les faïences brunes (au manganèse) correspondant à des formes fermées (marmites/soupières) en usage entre le XVIIIe et le XIXe siècle. Quelques tessons de porcelaine complètent le vaisselier utilisé en complément des formes en céramique commune. L'ensemble des récipients en grès est encore très présent (pots à beurre et encriers). Ces différents éléments se rencontrent sur la majorité des parcelles explorées. Ils sont bien souvent associés à des fragments de récipients plus contemporains. La distinction en quantité n'a pas été faite lors des comptages.

Ces références correspondent à la typologie mise en place sur Rennes et la Bretagne dans le cadre du réseau Iceramm. Coordonné par Ph. Husi, à l'université de Tours, ce groupe vise à mettre en place un système de classification similaire sur l'Europe du nord-ouest de manière à établir des outils des comparaisons régionales sur le vaisselier entre les VIe et XVIP siècles, (site : http : //iceramm.univ-tours.fr) 23

2. La commune de Plouasne

Cette commune ne présente, pour le moment, aucun élément mobilier protohistorique. L'occupation antique déjà identifiée sur la commune par les sondages menés sur les thermes d'une villa en 1967-1968, mais connue depuis 1885, est confirmée par des tessons de récipients de facture antique dans les parcelles prospectées ici (parcelles n° 601, 613, 614, 622, 625, 627, 632 et 650). Il s'agit d'éléments lacunaires couvrant l'ensemble de la période antique sans élément particulier à signaler. Les quelques tessons de céramique médiévales correspondent à des fragments de panse enregistrés dans cette catégorie en raison de leur pâte claire à inclusions de quartz, spécifiques des productions entre le XIIe et le XIVe siècle (n° 601, 614, 621).

La période moderne comprend une dizaine de tessons de céramique de production locale (avec ou sans glaçure) appartenant pour la plupart à des coquemars ou pot à cuire. Ils couvrent la fourchette XVe-XVIIe siècles (n° 601,614 et 621).

Comme pour la commune du Quiou, la majorité des parcelles prospectées a livré d'importantes quantités de vaisselles dont la datation est comprise entre le XVIIIe siècle et la période contemporaine (faïence blanche, céramique au manganèse, grès à glaçure, ...), le tout appartenant à des remblais provenant d'épandages.

3. La commune de Saint-André-des-Eaux

Les parcelles 119 et 472 à Saint-André-des-Eaux a livré quelques tessons d'époque protohistorique. Il s'agit uniquement de fragments de panse difficiles à identifier mis à part par la pâte modelée de teinte brune et riche en particules de quartz.

24 parcelles ont livré des quantités variables de tessons à rattacher à la période antique (n° 69, 72, 76=737, 88, 91, 101, 102, 108, 112, 115=492, 116, 120, 417, 425, 440, 452, 686, 687, 720, 723, 727, 734, 750 et 820). Dans la plupart des cas, il s'agit de quelques éléments épars à l'exception du site du Besso (n°70=76=737) qui a fourni 38 tessons. Les éléments identifiables couvrent principalement la fourchette IIe-IIIe siècles après J.-C. Au sein du mobilier de la parcelle 737 indiquant une fourchette à placer à la transition fin If-début IIIe siècle de notre ère, il convient de signaler un fragment de bord de mortier. De teinte grise, il présente une lèvre en collerette et un bord complètement déformés généralement identifiables comme rebut de production. Même s'il est hasardeux de parler d'atelier de production sur un seul tesson, l'hypothèse de ce type d'artisanat dans un secteur proche est toutefois à évoquer.

St André-des-Eaux-Le Be 2007. P737.

Fragment de bord de mortier surcuit et déformé. Parcelle 737. (Relevé et infographie : F. Labaune /Inrap) 24

Vue du fragment de bord de mortier surcuit et déformé. Parcelle 737. (Cliché : F. Labaune /Inrap)

Les 2 tessons à rattacher au haut Moyen Âge ont été mis au jour sur la parcelle 425 et la parcelle 76 et appartiennent respectivement à un bord de oule à lèvre en bandeau à gouttière interne caractéristique des récipients du Xe-XIe siècle dans la région et à une panse (de oule ?) à décor à la molette. Cette dernière présente un assemblage assez courant composé de deux lignes superposées de motifs rectangulaires juxtaposés.

Saint-André-des-Eaux. 2004. P76.

Fragment de panse à décor imprimé de molette. Parcelle 76. (Relevé et infographie : F. Labaune /Inrap)

Sept parcelles ont permis de mettre au jour des tessons de facture médiévale : n°69, 311, 417, 723, 727, 730, 734. Comme précédemment, cette identification repose uniquement sur la facture de la pâte (claire à inclusions de quartz). Le mobilier d'appartenance moderne se rencontre sur 13 parcelles (76, 81, 115=492=819, 119, 411, 417, 425, 452, 682, 720, 723, 727, 730). Parmi eux, on note surtout des éléments de coquemars, ainsi que des tessons de pichets, dont un bord de cruche dont on rencontre des exemplaires complets au château du Guildo dans des contextes du XVIe siècle. Aux côtés des productions locales (avec ou sans glaçure), quelques fragments appartiennent à des productions plus éloignées, telle que la « rose-bleue » produite sur le secteur de Laval et destinée au stockage du beurre et à son transport.

Les mêmes remarques que pour les communes précédentes sont valables ici encore pour la période moderne et contemporaine.

4. La commune de Saint Judoce

Là encore, la présence protohistorique est très ponctuelle. Elle se traduit par un tesson dans la parcelle 851 et deux dans la parcelle 848. Ces derniers possèdent une pâte modelée 25 renfermant d'importants grains de quartz angulaires généralement caractéristiques, dans la région, des productions de l'âge du Bronze.

L'Antiquité est présente sur les parcelles 829, 830, 834, 835, 836, 842 et 846, avec une plus forte concentration sur les deux premières (avec respectivement 67 et 30 tessons). Ces derniers correspondent essentiellement à des récipients à placer durant le Bas-Empire (avec, entre autres, quelques tessons à rattacher aux productions des ateliers du groupe d'Argonne).

Trois parcelles renferment des tessons médiévaux (n°823, 850 et 855). Il s'agit là encore de fragments de panse à pâte claire riche en inclusions de quartz.

Les tessons modernes sont issus des parcelles 823, 825, 840, 844, 849 et 854. Ils appartiennent à des coquemars à lèvre droite, des pichets à bec pincé ou encore des lèchefrites à glaçure interne.

Les périodes moderne et contemporaine sont toujours illustrées par la faïence blanche ou décorée, la porcelaine, les productions en grès et la céramique au manganèse. Elles constituent toujours l'essentiel des lots.

5. La commune de Saint-Juvat

La seule parcelle (n°741) prospectée sur cette commune a livré cinq tessons de récipients dont un fragment pouvant appartenir à une amphore antique de forme indéterminée (le tesson est trop petit et la pâte trop peu caractéristique pour avancer une proposition).

6. La commune de Trévérien

Quelques fragments de céramique attribuables à la protohistoire ont pu être identifiés sur les parcelles 217, 501, 503 et 520. A chaque fois, ils sont identifiés uniquement par leur pâte modelée brune à noire à dégraissent de quartz donnant un aspect moucheté de blanc à la surface.

Un petit ensemble de parcelles prospectées ont livré de petites quantités de céramique antique : n° 121, 123, 129, 134, 137, 140, 142=511=826=827, 144, 145, 147=518, 217=742, 218, 502. Comme dans les autres cas, il s'agit de quelques tessons épars, à placer entre le Ier et le IIIe siècle après J.-C. sans élément particulier significatif, même sur l'emplacement de la villa de Villery (142=511=826=827).

La période médiévale est représentée sur trois parcelles (n°502, 520 et 217). On y note la présence d'un bord de lèvre à bandeau correspondant aux formes en usage entre le XIIIe et le XIVe siècle.

Le mobilier datable des XVe et XVIIe siècles est présent sur plusieurs parcelles (n° 132, 134, 137, 140, 142, 216, 217, 508, 512, 517, 519, 520 et 521). Il se compose d'un lot assez important en provenance de la parcelle 217. Il renferme notamment des pots à cuire en céramique commune de production locale et des pots à beurre en grès normand, témoignant des importations en provenance de la région de Domfront exclusivement. 26

Fragment de bord de pichet en grès. Parcelle 216. (Relevé et infographie : F. Labaune /Inrap)

Les différentes étapes de cette étude permettent d'individualiser certains lots qui, par des concentrations d'éléments attribuables à une même période, laissent envisager des présences de sites sur les parcelles concernées. 27

Répartition générale du mobilier par période, commune et année de prospection

MÉD. MOD. XVHIE- TOTAL COMMUNE ANNÉE PROTO GR HT M CONTE A MP 2004 13 1272 1617 Le Quiou 2 326 2 2 12 1378 1431 St-André 1 39 1 - des-Eaux 5 513 548 Trévérien - 29 - 1 2005 7 554 594 Le Quiou 32 1 10 1147 1202 St-André 8 32 1 4 des-Eaux 712 728 Trévérien 1 15 - - - 2006 _ 366 898 Le Quiou 21 509 2 _ - 551 602 Plouasne 48 3 1 103 104 St-André - - - - des-Eaux 17 1961 2013 Trévérien 8 25 - 2 2007 13 1360 1627 Le Quiou 250 4 _ _ 245 251 Plouasne 4 2 9 697 745 St-André - 37 - 2 des-Eaux 7 1251 1378 St-Judoce 3 110 7 _ _ - 4 5 St-Juvat 1 . - - - 345 374 Trévérien 29 94 12459 14117 Total 44 1486 4 30

FRANÇOISE LABAUNE-JEAN Assistante d'études Inrap 28

CONCLUSION

Ces premières campagnes de prospection systématique ont permis de repérer quelques nouveaux sites, de préciser la nature de gisements déjà répertoriés, mais surtout de nous interroger sur les formes de l'habitat rural dans cette partie de la Lyonnaise. En effet, les découvertes laissent entrevoir un réseau dense composé d'une grande variété d'établissements ruraux : de la villa de taille exceptionnelle (plus de 8 ha pour La Gare) au modeste site à tuiles (600 m2 pour Le Guémain). Plusieurs gisements de type ferme semblent graviter autour des centres d'exploitation : deux voire trois à proximité de la villa de la Gare et un à proximité de chacune des villae de Trévérien et de Clos Lory à Plouasne. Par ailleurs la présence de mobilier épars dans de nombreuses parcelles semble témoigner de la mise en culture de vastes espaces dès la période antique. Les indices de sites feront l'objet de plusieurs vérifications afin de préciser s'il s'agit de fermes et/ou d'annexés agricoles. En tout cas, il est évident que la restitution du paysage antique autour de la villa du Quiou ne peut se concevoir que par la mise en œuvre d'une prospection systématique la plus fine possible. 29

LISTE DES FIGURES

Fig. 1. Localisation des communes concernées par l'étude. Fig. 2. Localisation des faluns du Quiou. Fig. 3. Prospection systématique. Commune du Quiou, secteur nord ; commune de Saint-André- des-Eaux, secteur sud. 1 /12 500e. C. P-A. Fig. 4. Prospection systématique. Commune du Quiou, secteur sud. 1/12 500e. C. P-A. Fig. 5. Villa de la Gare au Quiou : localisation des vestiges découverts en prospection. Fig. 6. Prospection systématique. Commune de Plouasne, secteurs nord et est. 1 /12 500e. C. P-A. Fig. 7. Prospection systématique. Commune de Saint-André-des-Eaux, secteurs nord, est et ouest. 1 /12 500e. C. P-A. Fig. 8. Prospection systématique. Commune de Saint-Judoce. 1/12 500e. C. P-A. Fig. 9. Prospection systématique. Commune de Trévérien, secteur nord. 1/12 500e. C. P-A. Fig. 10. Prospection systématique. Commune de Trévérien, secteur sud. 1 /12 500e. C. P-A. 30

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ANNEXE

MOBILIER DÉCOUVERT DANS LES PARCELLES PROSPECTÉES.

Commune N° Culture/Couvert végétal/ Condition de visibilité Mobilier parcelle Pratique culturale Le Quiou 1 (2004) Semis récent Très bonne visibilité F arcelle : tegula (1 éclat) céramique : XXe s. (4) tuile: XXe s. (1) Le Quiou 2 (2004) Labour ancien ; herbes Bonne visibilité 1 'arcelle : naissantes céramique : XIXe-XXes. (2) verre : époque moderne (1) Le Quiou 2=208 (2004) Semis de maïs Très bonne 1 'arcelle : tegula ? (1) céramique : XIXe s. (10) tuile: XIXe s. (1) Le Quiou 3 (2004) Labourée et semée en Bonne visibilité ïecteur A : facétie ; peu de tegula (2 avec rebord) végétation 'arcelle : tegula (13 éclats) céramique commune : FMir :D ■ céramique : XIXe-XXes. (6) - verre (1) - tuile : époque moderne (1) Le Quiou 3=302 (2005) Semis de blé Bonne Parcelle : - céramique : XTXe-XXes. (40) -verrerXrXVXX^.O) - tuile (28) Le Quiou 3=681(2005) Semis de blé Bonne Secteur A : - tegula (6 éclats) Parcelle : ■ céramique : XD^-XX6 s. (12) - verre (4) - tuile (6) Le Quiou 7 Chaume Bonne visibilité pour Parcelle : ce type de couvert - tegula (1 avec rebord). végétal. - céramique : XlXe-XXes. (21) Le Quiou 7=301(2005) Repousse ? Visibilité moyenne Parcelle : - tegula (15 éclats) - céramique commune : époque gallo-romaine (5) ■ céramique : XIX^XX6 s. (22) Le Quiou 9 Parcelle travaillée ; Mauvaise visibilité : Parcelle : repousses de facétie e t à l'est et à l'ouest, une - céramique : XDC-XX's. (16) mauvaises herbes bande en bordure avec - brique : époque moderne (1) une meilleure visibilité Le Quiou 9=675(2005) Semis de blé Bonne Parcelle : ■ céramique : XIXe-XXe s. ■ verre (1) - tuile (4) Le Quiou 10 Non travaillé depuis ui Î Visibilité moyenne Parcelle : an ; repousses d'herbes - céramique : XIXe-XXes. (16) - verre (2) Le Quiou 10=300(2005) Pré Visibilité nulle Parcelle : - céramique : XXe s. (3) - tuile (1) 35

Le Quiou 7+10=676 (2006) Semis de blé Bonne P arcelle : céramique : XIXe-XXe s. (22) verre (3) Le Quiou 10=680 (2006) Semis de blé Bonne S ecteur A : tegula (1 avec rebord) céramique : époque contem- oraine Le Quiou 11 Blé naissant Bonne à très bonne : •ecteur A : visibilité tegula (1 avec rebord) s îecteur B : tegula (1 avec rebord) >ecteur C : éclat d'entame, silex, 1 'arcelle : tegula (6 éclats) céramique : XIXe-XXes. (13) verre:XIXe-XXes. (13) Le Quiou 11=303 (2005) Repousse ? Mauvaise 'arcelle : ■ amphore, époque gallo-romaine :i) - céramique : XVIe s.-XVIf s. ;5)/XTXe-XXes.(7) ■ tuile : époque moderne (3) - verre : époque moderne (1) Le Quiou 11=753(2007) Parcelle : Partie est - tegula (1 éclat) Le Quiou 12 (2004) Blé naissant Très bonne visibilité Secteur A : - céramique : panse avec décor molette, IXe-Xe s. (1) Parcelle : - céramique : XIXe-XXe s. (1) Le Quiou 12=304(2005) Repousse ? Nulle Aucun mobilier

Le Quiou 12=801 (2007) Labour récent Très bonne à bonne - tegula (2 éclats) Le Quiou 13 (2004) Parcelle labourée et Visibilité moyenne Secteur A : semée en facélie - tegula (1 avec rebord) Parcelle : - céramique : XIX7XXe s. Le Quiou 13=802(2007) Semis de blé Bonne visibilité Parcelle : - tegula ? (1) - céramique : XIXe-XXe s. (7) - verre : époque moderne (1) Le Quiou 16 (2004) Chaume avec repousse Mauvaise visibilité Parcelle : e e d'herbes - céramique : XV -XVF s./XIX - XXe s. (10) - verre : époque moderne (1) Secteur A : Le Quiou 17 (2004) Chaume ; quelques Mauvaise visibilité - sigillée de Gaule du Sud ?: Extension bandes avec couver t bord de forme Drag. 37 ou 30, nord végétal moins dense 2nde moitié du IIe s.?(l) Les - céramique commune, PMIF s. Ruettes :D - tegula (3 avec rebord et 10 éclats) Parcelle : - céramique : XIXe-XXe s. (20) Secteur A : Le Quiou 17=215 (2005) Semis de maïs Très bonne - tegula (3 avec rebord, 15 Extension éclats) nord Parcelle : Les 36

Ruettes céramique : sigillée de Gaule i u Centre : bord de forme Drag. 3 7 (1) ; céramique commune (4)

> céramique commune ou 3 igillée érodée (1) tegula (13 éclats) céramique glaçurée : bord 5 CV*- XVIe s. (1) ; bord XVIe- 3 CVTT S. (1) céramique : XIXe-XXe s. (10) verre : XIXe-XXe s. (19) Le Quiou 17=706 (2007) Maïs naissant Bonne l Jecteur A : Extension • ébauche de foret, silex : nord îéolithique (1) Les amphore : Pascual 1(1) Ruettes céramique commune : IernT s. 3) tegula (65 éclats) • céramique : XTX^XX6 s. (11) ■ verre : époque moderne (1) - tuile : époque moderne (44) Le Quiou 17=707(2007) Maïs naissant Bonne Secteur A : Extension Parcelle - céramique commune, Icr-IIF s. nord 12) Les - tegula (37 éclats) Ruettes - céramique : XIXe-XXe s. (18) - verre : époque moderne (7) - brique : époque moderne (18) Le Quiou 19 (2004) Herbe semée Mauvaise visibilité ; Secteur A : Les Partie ouest de la quelques bandes, - sigillée de Gaule du Centre : Ruettes parcelle visibilité moyenne bord de forme Drag. 37 (1), IIe s. Extension est - céramique commune, Ier-IIIe s. [3) - tegula (3 avec rebord) Parcelle : ■ céramique : XIXe-XXes. (3) Le Quiou 19=306(2005) Blé naissant Bonne visibilité Secteur A : Les - céramique sigillée de Gaule du Ruettes Sud et Gaule du Centre (2) ; Extension céramique commune, Ier-ine s. est [10) - tegula (86 éclats) Parcelle : - céramique : XIXe-XXe s. (26) Le Quiou 19=704(2007) Maïs naissant Très bonne Parcelle : Les - céramique commune : rr-HF s. Ruettes [D Extension est Le Quiou 19=705(2007) Maïs naissant Très bonne Secteur A : Les - sigillée: Drag. 35, Curie 21, Ruettes Fr. (4) : IIe s. Extension - amphore : Dr. 2/4 Tarraconaise est [1) - céramique commune : : rr-IIIe 3.(16) - tegula (575 éclats) - brique ou pilette (3) Parcelle : - céramique : XIXe-XXe s. (14) 37

Le Quiou ; >1 (2004) 1 Blé naissant 1 îonne visibilité A ucun mobilier Le Quiou : 12 (2004) Pré 1 Mauvaise visibilité A LUCIUI mobilier Le Quiou :12=712 (2007) vlaïs naissant Irès bonne P arcelle : céramique commune : : ler-IHe s (2) céramique : bord de lèvre à b andeau : XIT-XIV6 s. (2)/ J [V-XvT s /-XIXe-XXe s. (45) verre (7) tuile (28) Le Quiou 23 (2004) Labour Bonne visibilité f ^ucun mobilier Le Quiou 24 (2004) Maïs moissonné, sur Très bonne visibilité 1 'arcelle : pieds céramique : XTXe-XXes. (3) Le Quiou 25 (2004) Pré Mauvaise visibilité 1 Vucun mobilier Le Quiou 23+24+25 Maïs naissant Très bonne 1'arcelle : céramique commune : FVIH' s. =711 (2007) 20) tegula (2 avec rebord, 11 sclats) céramique : XIXe-XXes. (63) ■verre: XIXe s. (6) ■ brique (26) Le Quiou 26 (2004) Parcelle anciennement Bonne visibilité 'arcelle : labourée ; quelques - céramique : XIXe-XXcs. (33) repousses d'herbe Le Quiou 26=205 (2005) Semis de maïs Très bonne Parcelle : - céramique : XIXe s. (58) -verre: XIXe s. (4) ■ tuile: XIXe s. (6) Le Quiou 27 (2004) Parcelle anciennement Bonne visibilité Secteur A : labourée ; quelques - lamelle ? silex. repousses d'herbe Secteur B : - talon de lame ? silex. Parcelle : - céramique : XIXe-XXe s. (11) Parcelle : Le Quiou 27=207 (2005) 1 Semis de maïs Très bonne - céramique : XIXe s. (12) -verre: XIXe s. (2) -tuile: XIXe s. (4) Parcelle : Le Quiou 28 (2004) | Parcelle récemmen Très bonne visibilité labourée - tegula (1 éclat) - céramique commune : Ier-IIIe s. [2) - mortier (1) ■ céramique: XVe-XVI7XIXe- XXe s. (67) - verre : époque moderne (4) Secteur A : Le Quiou 29 (2004) I Chaume Bonne visibilité - tegula (1 avec rebord) Parcelle : - céramique : XIXc-XXes. (137) Parcelle : Le Quiou 28+29 =200 (2005) 1 Semis de maïs Très bonne céramique : époque médiévale [3 dont 1 bord XVe-XVIe s./ e e 3.)/XIX -XX s.(367) Parcelle : Le Quiou 29=717(2007) 1 Maïs Très bonne -tegula (13 éclat) Bande au nord - céramique : XIXe -XXe s. ( 11) - verre : époque moderne (1) 38

- brique : époque moderne (2) Le Quiou 30 (2004) Maïs 1res bonne visibilité S ecteur A : couteau/grattoir sur bout de li une, silex S ecteur B : tegula (1 avec rebord) E 'arcelle : tegula (1 avec rebord) céramique : XIXe-XXes. (32) verre:X!Xe-XXes. (3) Le Quiou 31 (2004) Semis très récent Très bonne visibilité 1 'arcelle : céramique : XVe-XVles. /XIXe- : OCes.(7) Le Quiou 32 (2004) Semis très récent Très bonne visibilité 1 'arcelle : céramique : XTXe-XXes. (8) Le Quiou 33 (2004) Labour récent. Très bonne visibilité Secteur A : Villa de la céramique commune : Ier-IIIe s. Gare 6) Limite Marcelle : 3uest pars céramique : XIXe-XXes. (11) rustica Le Quiou 34(2004) Blé naissant Bonne visibilité Secteur nord : Bâtiments - sigillée de Gaule du Centre : d'exploitation Curie 15 (2), milieu IIe s.; nord Drag. 18 (1), fin Ier ; Drag 33 (1), milieu IIe s. ; Drag. 37 (2), début IIIe s. ; Ritt 9 (1), Ier s. ; Walter 79 ou 80 (1), fin 11er- débutlll's. ; - céramique sigillée de Gaule du Sud : Drag. 18 (1) ; Drag. 27 (2) ; Drag. 35-36 (2) ; Drag. 37 (1) ; céramique sigillée de Gaule du Sud (Graufesenque) : Drag. 18 (1) ; Drag. 37a (1) ; Hermet 28 (1), fin Ier s. ; fond d'assiette [D - céramique commune : terra nigra (6) ; bord de cruche (1), lte moitié IIe s.; bord de :ruche (4), IIe s. ; divers Fragments ; - amphore : lèvre, anse et fond de G5, IIe s. ; G12 - céramique : XIIIe-XVIe/XXes. Parcelle : - céramique sigillée (3) - céramique commune, f-HT5 3.(9) mortier (1) céramique : haut Moyen Âge, lXe-Xe s. (1) ■ céramique : XVe/XIXe-XXe s. [36) - verre : époque moderne (2) brique : époque :ontemporaire (1) Le Quiou 34=505A (2006) Semis de maïs Très bonne Secteur A : Villa de la Gare - sigillée : Drag. 18, Drag. 35, 39

Bâtiments C >rag. 37, Drag. 46, Curie 15 d'exploitation : 71) nord céramique commune : l^-TII* s. { 258) amphore : G'4, G5, Dr. 2/4, L )r. 20(13) céramique : XDT-XX6 s. (178) verre : époque moderne (9) Le Quiou 34=505C Semis de maïs Très bonne 5•ecteur C Villa de la Gare céramique : âge du Bronze { 17) Le Quiou 34=505G Semis de maïs Très bonne 5 Jecteur G : Villa de la Gare céramique sigillée (3) Bâtiment céramique commune, f-nf d'exploitation ! • (21) sud amphore : Dr 2/4 (1) Extrémité est céramique : XTXVXX's. (14) Le Quiou 34=505H Semis de maïs Très bonne secteur H : céramique : époque Villa de la Gare jrotohistorique (1) Bâtiments céramique sigillée (2) d'exploitation ■ céramique commune, T^-uT sud 3.(50) - amphore : Dr 2/4 (1) - céramique : XIXe-XXes. (13) Secteur I : Le Quiou 34=5051 Semis de maïs Très bonne Villa de la Gare - tegula (6 avec rebord, 15 Bâtiments éclats) d'exploitation est Secteur nord : Le Quiou 34=688(2006) Semis de blé Moyenne Villa de la Gare - céramique : époque protohistorique (3) Bâtiments - verre : époque gallo-romaine d'exploitation nord [2) - céramique sigillée (18) - céramique commune, F-W? 3.(70) - verre : époque moderne (2) - céramique : XIXe-XXe s. (55) Secteur nord : Le Quiou 34=804(2007) Semis de facétie Mauvaise - céramique sigillée (9) Villa de la Gare - céramique commune : r-HP s. Bâtiments r d'exploitation ;6i) - amphore (5) nord - céramique : XDT-XX's. (28) - scorie (1) Secteur nord : Le Quiou 34=809 (2007) ■ sigillée de Gaule du Sud et du Villa de la Gare Centre, -ffl6 s. (6) Bâtiments T - céramique commune : ^-ffl* s. d'exploitation r (44) nord ■ amphore : G4 (4), G5 (2) - céramique : XV-XDf-XX6 s. (12) - verre : époque moderne (2) Secteur nord : Le Quiou 34=815(2007) - sigillée : Drag. 37, Drag. 43, Villa de la Gare Drag. 46, Curie 21, -ITf s. Bâtiments ir (19) 1 d'exploitation 40 nord céramique commune : I^-LII* s. ( 81) céramique : XIXe-XXe s. (3) verre : époque moderne (3) Le Quiou 34=822(2007) 5 Jecteur nord : Villa de la Gare éclat retouché, silex : Bâtiments r téolithique (1) d'exploitation sigillée : T-IT s. (17) nord céramique commune : F-TLT* s. 75) amphore : G5 (1) céramique : XDT-XX' s. (26) verre : époque moderne (2) brique : époque contemporaine D Le Quiou 34=857(2007) îecteur nord : Villa de la Gare tegula (33 éclats) Bâtiments céramique : XTXVXX* s. (25) d'exploitation ■ verre : époque moderne (4) nord

Le Quiou 35 (2004) Semis très récent Très bonne visibilité 'arcelle : - céramique : XIXc-XXes. (4) Le Quiou 36 (2004) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Le Quiou 37 (2004) Blé naissant Très bonne visibilité Secteur A : Etablissement - tegula (1 avec rebord) Au Village - sigillée de Martres de Veyre : fond de forme Curie 21 ou de forme 96 de Lezoux, 2nde moitié du IIe s.- début IIIe s. (1) ; fr. (2) Parcelle : - sigillée de Gaule du Sud ? panse (2) - céramique commune : Fr-lir s. (6) - amphore du Centre Ouest (Thésée Pouillé) : fin du Ier-IIe s. (2) - céramique : XIXe-XXe s. - verre : époque moderne (2) Le Quiou 37=307(2005) Blé naissant Bonne visibilité Parcelle : Etablissement - céramique commune : Icr-IIIe s. Au (3) Village ■ tegula (30 éclats) ■ céramique : XVne/XTXe-XXe 3. (83) ■tuile (10) Le Quiou 37=701(2007) Maïs naissant Très bonne visibilité Secteur A : Etablissement - tegula (7 éclats) Au - céramique commune : Ier IIP" s. Village (6) - céramique : XTXe-XXe s. (7) Le Quiou 37=702(2007) Maïs naissant Très bonne visibilité Parcelle : Etablissement - tegula (248 éclats) Au - céramique commune : Ier-IIP s. Village (7) - céramique : époque médiévale (îyXV6 (3)/XIXe-XXe s. (176) - tuile (32) Le Quiou 37=703(2007) Maïs naissant Très bonne visibilité Parcelle : 41

tuile : époque moderne et Etablissement z 3ntemporaine (9) Au Village ecteur A : ^abour profond Mauvaise S Le Quiou 57=805 (2007) 1 tegula (1 avec rebord) Etablissement céramique : XIXe-XXes. Au Village arcelle : Labour Moyenne F Le Quiou 37=858(2007) tegula (8 éclats) Etablissement céramique : XIXe-XXe s. (1) Au Village verre (3) brique : époque moderne (1) •ecteur A : Labour récent Très bonne visibilité 5 Le Quiou 38 (2004) tegula (1 avec rebord et 15 éclats) 'arcelle : Semis en cours Très bonne visibilité Le Quiou 39 (2004) céramique :XTXe-XXe s. (10) verre : époque contemporaine (3) 'arcelle : Labour récent Très bonne visibilité Le Quiou 40 (2004) céramique : époque protohistorique (2) ■ céramique : XVI'-XVTT - XVnie-XIXe-XXes. (25) - verre : époque contemporaine (D Parcelle : Semis récent Très bonne visibilité Le Quiou 41 (2004) - céramique commune : la-llle (2) - céramique rXTXVXX6 s. (45) ■tuile: XXe s. Parcelle : Semis récent Très bonne visibilité Le Quiou 42 (2004) - céramique : Xffle s. (l)/XTXe- XXe s. (11) Visibilité nulle Aucun mobilier 43 (2004) Couvert végétal dense Le Quiou Bonne à très bonne Secteur A : 44(2004) Le Quiou visibilité - tegula (1 avec rebord) Parcelle : - céramique : XIXe-XXes. (10) Bonne Secteur A : Le Quiou 44=685(2006) Semis de blé - tegula (1 avec rebord) Parcelle : - céramique : époque contemporaine (1) - verre (1) Parcelle : Travaillée Moyenne Le Quiou 44=752 (2007) - céramique : XIXe-XXes. (3) - tuile : époque moderne (3) Aucun mobilier Pré Visibilité nulle Le Quiou 45 (2004) Parcelle : Couvert végétal Mauvaise Le Quiou 45=803(2007) - céramique : XIXe s. (1) Aucun mobilier Pré Visibilité nulle Le Quiou 46 (2004) Parcelle : Visibilité nulle Visibilité nulle Le Quiou 47 (2004) - céramique : XIXe-XXes. (1) Parcelle : Semis de maïs Très bonne Le Quiou 47=213 (2005) - céramique : XIXe-XXes. (38) - verre (7) Parcelle : Parcelle anciennemei it Bonne visibilité Le Quiou 48 (2004) - céramique : XIXe-XXes. (10) labourée ; repousse 42

l'herbe Le Quiou 49 (2004) Pré Visibilité nulle fi lucun mobilier Le Quiou 50 (2004) Pré ; quelques bandes de Visibilité moyenne F arcelle : terre céramique : XIXe-XXes. (1) Le Quiou 51 (2004) Moutarde naissante Bonne visibilité S ecteur A : Etablissement tegula (1 avec rebord) Montmusson F 'arcelle : tegula (5 éclats) céramique : époque médiévale ( D céramique : XVe-XVF s./ : 2)/XIXe-XXes.(13) verre : époque contemporaine D Le Quiou 51=211 (2005) Semis de maïs Très bonne t Secteur A : Etablissement tegula (5 éclats) Montmusson 'arcelle : céramique : plat à glaçure /erte XVe s. (1) ■ céramique : XTXVXX's. (13) ■verre:XrXe-XXes. (3) Le Quiou 51=305(2005) Blé naissant Bonne visibilité Secteur A : Etablissement ■ tegula (27 éclats) Montmusson Parcelle : -céramique: XIXe-XXes.(22) Le Quiou 51=689(2006) Couvert végétal Moyenne Parcelle : Etablissement - céramique : XVe s.- époque Montmusson moderne (4) Le Quiou 51=710(2007) Semis de maïs Très bonne Secteur A : Etablissement perle en verre : proto ? Montmusson antique ? - sigillée de Gaule du Centre : finlF-débutnPs. (1) -amphore : Gauloise ? (1) - céramique commune : f-ffl" s. (D - tegula (2 avec rebord, 84 éclats) - céramique : XIXe-XXe s. (34)) - verre : époque moderne (2) - tuile : époque moderne (40) Le Quiou 51=751 (2007) Labour Moyenne Secteur A : Etablissement - amphore : Gauloise (1) Montmusson - céramique commune : Pr-IIF s. (D - mortier (1) - brique : époque gallo-romaine (D -céramique: XIXe-XXe s. (60) - verre (14) - tuile : époque moderne (5) Le Quiou 51=853(2007) Semis de blé Bonne Secteur A : Etablissement - tegula (1 avec rebord, 19 Montmusson éclats) - quart de colonne en terre cuite (D -céramique: XTXe-XXe s. (4) - tuile : époque moderne (1) Le Quiou 52 (2004) Semis récent Très bonne visibilité Parcelle : céramique : XVe-XVIe- 43

XVIIe/XIXe-XXes.(24) tuile : époque moderne (1) Le Quiou 53 (2004) Semis récent 1res bonne visibilité F ■arcelle : céramique commune : rr-IIIe s. D céramique: XVe-XVIe-XVU7 XIXe-XXes.(26) verre (2) tuile : époque moderne (1) lecteur A : Le Quiou 54(2004) Herbe Visibilité moyenne 5 tegula (3 avec rebord, 24 Site à tuiles du Guémain éclats) céramique : XIXe-XXes. (3) Le Quiou 54=308(2007) Prairie artificielle Mauvaise visibilité S îecteur A : Site à tuiles tegula (3 avec rebord, 9 du Guémain éclats) 'arcelle : céramique commune : XVIe s. ;2) ■ scorie (1) Le Quiou 55 (2004) Pré Visibilité nulle \ucun mobilier Le Quiou 56 (2004) Herbe naissante Visibilité moyenne Parcelle : Partie sud non - céramique : XIXVXX's. (14) prospectée Aucun mobilier Le Quiou 57 (2004) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Le Quiou 58 (2004) Herbe naissante Visibilité moyenne Le Quiou 59 (2004) Blé naissant Bonne visibilité Parcelle : ■ céramique : XTX'-XX6 s. (57) - verre : époque contemporaine (3) - tuile : époque contemporaine (4) Le Quiou 60 (2004) Blé naissant Bonne à très bonne Parcelle : visibilité - tegula (3 éclats) - céramique : XTXe-XXes. (10)

Le Quiou 61 (2004) Blé naissant Bonne à très bonne Secteur A : visibilité - tegula (1 avec rebord) Parcelle : - céramique : XIXe-XXes. (25)

Le Quiou 62 (2004) Blé naissant Très bonne visibilité Parcelle : ■ lame retouchée à crête corticale, silex : néolithique (1) - céramique : bord de jatte, IXe- Xe s. (l)/XTXe-XXes.(24) - brique : époque contemporaine (2) Parcelle : Le Quiou 63 (2004) Blé naissant Très bonne visibilité - céramique : XTXe-XXe s. (22) • tuile : époque moderne et contemporaine (6) Parcelle : Le Quiou 64(2004) Blé naissant Très bonne visibilité - céramique commune : Ier-IIIe s. (D - céramique : XD^-XX" s. (78) Parcelle : Le Quiou 65 (2004) Semis de blé Très bonne visibilité - céramique : XIX'-XX' s. (7) Secteur A : Le Quiou 66 (2004) Blé naissant Bonne visibilité tegula (1 avec rebord)) Parcelle : 44

céramique : XIX'-XX6 s. (16) - tuile : époque moderne (16) brique : contemporaine (5) Le Quiou 68 (2004) Labour 1res bonne visibilité F arcelle : céramique : XIXe-XXes. (5) Saint-André-des- 69 (2004) Labourée et semée en Visibilité S ecteur A : Eaux facélie moyenne dans les trois - fr. proximal de lame, silex, quart de la parcelle ; le E 'arcelle : quart restant, bonne - céramique commune : Ier- visibilité (cf. photo 1 IIes.(l) aérienne). ' époque médiévale (l)/XTXe- OCes. (64) verre (6) Saint-André-des- 70 (2004) Maïs non labouré mauvaise visibilité (à 1 'arcelle : Eaux refaire) céramique : XTXe-XXcs. (2) Le Besso Partie sud Saint-André-des- 70=309(2005) Blé naissant Bonne visibilité îecteur A : Eaux tegula (9 avec rebord, 170 Le Besso éclats) Partie sud Parcelle : ■ silex (2) - céramique commune : époque gallo-romaine (3) - céramique : XTX7XXes. (38) - verre : époque moderne (3) Saint-André-des- 70+76=737(2007) Maïs Bonne Secteur A : Eaux - tegulae (30 éclats) Le Besso - sigillée : Dr. 37 (2), Dr. 43 (1), fr. (7), Tf-début llf s. - céramique commune : Ier-ITle s. (10) - mortier : rebut de cuisson antique (1) • céramique : XDC/XXes. (68) - verre : époque moderne (4) - schiste taillé (1) Saint-André-des- 71 (2004) Semé en herbe Mauvaise visibilité Parcelle : Eaux récemment - céramique : XXe s. (2) Saint-André-des- 72 (2004) Chaume avec repousse Mauvaise visibilité Parcelle : Eaux de végétation - céramique commune : F-ïïf s. (2) - amphore ? (1) - céramique : XIXe-XXe s. (32) Saint-André-des- 72=684(2006) Semis de blé Bonne Secteur A : Eaux - grattoir sur lame en silex : néolithique Parcelle : - céramique : XIXe-XXe s. (47) - verre (3) • tuile (2) Saint-André-des- 73 (2004) Semé en herb î Visibilité moyenne Aucun mobilier Eaux récemment Saint-André-des- 74 (2004) Blé naissant Bonne visibilité Parcelle : Eaux - céramique : XIXe-XXes. (25) Saint-André-des 75 (2004) Pré Mauvaise visibilité Aucun mobilier Eaux Saint-André-des ■ 76(2004) Blé naissant Très bonne visibilité Secteur A : Eaux - tegula (4 avec rebord, 8 éclats) Le Besso Secteur B : 45

sigillée de Gaule du Centre : a îortier de forme 96 de Lezoux l l) ; milieu IIe s. verre : panse (1) céramique commune : Ier-UT s.

{ 16) S ecteur C : panse avec décor à la molette, > C-XP (1) ! 'arcelle : céramique : XVe.XVIe s./XIXe- ! OCs. Saint-André-des- 76=310(2005) Epandage de fumier Visibilité nulle i Uicun mobilier Eaux Le Besso Saint-André-des- 77 (2004) Maïs Mauvaise visibilité 'arcelle : e e Eaux céramique : XTX -XX s. Saint-André-des- 77=755(2007) Labour Moyenne 'arcelle : Eaux céramique : XDC-XX's. Saint-André-des- 78 (2004) Terre labourée et semée Bonne visibilité Parcelle : céramique : XVIes.-XIXe-XXes. Eaux en facélie Saint-André-des- 78=720(2007) Maïs Bonne Secteur A : Eaux - céramique commune : PMIP 3.(2) - tegula (4 éclats) - céramique : XVe s./XIXe-XXe s. - verre : époque moderne (3) Saint-André-des- 78=722(2007) Maïs Bonne Secteur A : e e Eaux - céramique : XTX -XX s. - tuile : époque contemporaine (6) Saint-André-des- 78=817 (2007) Engrais vert Moyenne Secteur A : - céramique : XTXe-XXe s. (24) Eaux Saint-André-des- 78=818 (2007) Engrais vert Engrais vert Parcelle : e e Eaux - céramique : XIX -XX s. (22) - brique : époque moderne (3) Saint- André-des- 79 (2004) Terre labourée et semée Bonne visibilité Parcelle : e e Eaux en facélie - céramique : XIX -XX s. (6) Saint-André-des- 80 (2004) Maïs moissonné, sui Bonne visibilité Parcelle : Eaux pieds - céramique : XDC-XX* s. (203) Saint-André-des- 80=723(2007) Parcelle : - céramique commune : Ier-Iir s. Eaux (3) - céramique XTVe-XVe (îyxvr- xvir (3)/xrxe-xxe s. (132) - verre (7) - brique (21) Saint-André-des- 80=816(2007) Engrais vert Engrais vert Parcelle : - céramique : XIXe-XXes. (30) Eaux - verre (5) - brique : époque moderne (4) ; époque contemporaine (4) Saint-André-des - 81(2004) Terre travaillée/Maïs Bonne visibilité Parcelle : - éclat de taille ? silex, Eaux -céramique : XVe-XVIe s./XTX6- XXe s. (10) Saint-André-des - 81=725(2007) Maïs naissant Très bonne Parcelle : 46

Eaux tegula (1 éclat) e e - céramique : XIX -XX s. (10) verre (7) Saint-André-des- 12 (2004) Maïs moissonné, sur Bonne visibilité F arcelle : Eaux pieds céramique : XIX7XXes. (5) Saint-André-des- 33 (2004) Terre labourée et semée Bonne visibilité à S ecteur A : Eaux en facélie 'exception d'une ■ fr. de poignard, silex du Grand bande de 2 m de large F "ressigny, néolithique final, dans la partie ouest de ■ céramique : XTX'-XX's. (37) la parcelle Saint-André-des- 83=686(2006) Repousse Bonne E 'arcelle : Eaux céramique commune : la-lUe s. (3) céramique : XVIHe-XIXe-XXe s .(22) mile (1) Saint-André-des- 83=724(2007) Maïs naissant Bonne 'arcelle : Eaux tegula (2 éclats) céramique : XIXe-XXe s. (28) verre (2) Saint-André-des- 83=820(2007) Repousse Visibilité Parcelle : Eaux moyenne - céramique commune : T^-ÏH* s. 7) ■ céramique : XTXe-XXe s. (12) ■ verre : époque moderne (1) Saint-André-des- 84(2004) Semis de blé Très bonne visibilité Parcelle : Eaux - céramique : XTXe-XXe s. (6) Saint-André-des- 84=431(2005) Repousse Visibilité Aucun mobilier Eaux moyenne Saint-André-des- 85 (2004) Maïs moissonné, sur Bonne visibilité Parcelle : Eaux pieds -céramique iXIX'-XX6s. (3) Saint-André-des- 86(2004) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 87 (2004) Maïs moissonné, sur Bonne visibilité Parcelle : Eaux pieds - céramique : XIXe-XXe s. (3) Saint-André-des- 87=428(2005) Maïs moissonné, sur Moyenne à bonne Parcelle : Eaux pieds visibilité - céramique : XIXe-XXes. (5) - verre (1) - brique : époque moderne (1) Saint-André-des- 88 (2004) Maïs moissonné, sui Bonne visibilité Parcelle : Eaux pieds céramique commune : Ier-IIF s. (2) ■ céramique : XIXe-XXe s. (23) Saint-André-des- 88=430 (2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 89 (2004) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 90 (2004) Maïs moissonné, su r Bonne visibilité Parcelle : Eaux pieds ■ céramique : XTXe-XXe s. (8) Saint- André-des- 91 (2004) Blé naissant Bonne visibilité Secteur A : Eaux - tegula (3 avec Etablissement rebord, 30 éclats) La Lindais - sigillée : fond de vase, IIe s. (1) - céramique commune : Ier-IIF s. (1) Parcelle : - céramique : XIXe-XXes. (103) Saint-André-des - 91=311 (2005) Repousse Visibilité moyenne Parcelle : Eaux -céramique :époque médiévale ? 47

Etablissement < .4) La Lindais tuile : époque moderne (4) Saint-André-des- « )2 (2004) Terre labourée et semée Bonne visibilité P arcelle : Eaux ïn facélie céramique : XIX'-XX's. (71) Saint-André-des- 93 (2004) Pré Visibilité nulle 4 Lucun mobilier Eaux Saint-André-des- 94(2004) Pré Visibilité nulle ê mcun mobilier Eaux Saint-André-des- 95 (2004) Blé naissant Bonne visibilité F'arcelle : Eaux éclat de taille, silex céramique : XTXe-XXes. (2)

Saint-André-des- 96 (2004) Blé naissant Bonne visibilité l 'arcelle : Eaux céramique : XtX'-XX's. (17) tuile : époque moderne (3) Saint-André-des- 97 (2004) Chaume avec repousse Visibilité moyenne 'arcelle : Eaux d'herbes mile : époque moderne (1) Saint-André-des- 98 (2004) Maïs moissonné, sur Bonne visibilité Vucun mobilier Eaux pieds Saint-André-des- 99 (2004) Pré Visibilité nulle \ucune mobilier Eaux Saint-André-des- 100 (2004) Chaume avec repousse Visibilité moyenne Aucun mobilier Eaux d'herbes (à revoir) Saint-André-des- 101 (2004) Blé naissant Bonne visibilité 'arcelle : r e Eaux - céramique commune : r -III s. (3) - tegula (1 éclat) - céramique : XTXe-XXes. (12) Saint-André-des- 102 (2004) Chaume Bonne visibilité Parcelle : 3 Eaux - céramique commune : FMIT S.(D - céramique : XLXe-XXe s. (7) Saint-André-des- 103 (2004) Chapelle et parcelle Mauvaise visibilité Parcelle : Eaux environnante - tegula (1 avec rebord) Aucun remploi antique Saint-André-des- 104 (2004) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 105 (2004) Terre labourée et semée Bonne visibilité Parcelle : e e Eaux en facélie - céramique : XIX -XX s. (10) Saint-André-des- 106 (2004) Terre labourée et semée Bonne visibilité Parcelle : e e Eaux en facélie - céramique : XIX -XX s. (56) - brique : époque moderne et contemporaine (18) Saint-André-des- 107 (2004) Terre retournée après > Bonne visibilité Parcelle : Eaux culture de maïs - céramique : XTXVXX* s. (11) - brique : époque contemporaine [2) Saint-André-des- 108 (2004) Terre retournée aprè s Bonne visibilité Parcelle : e Eaux culture de blé ■ sigillée : Drag. 43, III s. (1) - céramique : XLXe-XXe s. (13) Saint-André-des- 108=730 (2007) Maïs Mauvaise Parcelle : e e Eaux - céramique : XTV -XV s. (l)/XVe-XVIes.(l)/XIXe- XX's.OO) ■ verre : époque moderne (1) Saint-André-des - 109(2004) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des - 110 (2004) Terre labourée et semé e Visibilité moyenne à Secteur A : Eaux en facélie : pousse s bonne - fr. de lame, silex : époque 48

jarfois hautes il lésolithique ? P arcelle : céramique : XTXe-XXes. (10) brique : époque moderne (1) Saint-André-des- 111(2004) vlaïs Visibilité moyenne i4 lucun mobilier Eaux Saint-André-des- 112(2004) Maïs Visibilité moyenne F 'arcelle : Eaux céramique commune : I^-Iir 5 • (2) céramique : XIXe-XXes. (5) tuile : époque moderne (1) Saint-André-des- 113(2004) Facélie Visibilité moyenne F 'arcelle : Eaux céramique : XTXe-XXes. (2) Saint-André-des- 114(2004) Terre retournée après Bonne visibilité ! 'arcelle : Eaux culture de maïs céramique : XTXe-XXe s. (4) Saint-André-des- 115(2004) Labour Bonne visibilité il 'arcelle : Eaux amphore ? (1) Etablissement céramique : XVe- XVIe s./XIXe- La Lindais SQCs. (20) verre (2) Saint-André-des- 115=492(2005) Maïs moissonné, sur Secteur A Eaux pieds ■ céramique commune : I^-III6 s. La Lindais [16) 'arcelle : - verre (7) -céramique : époques moderne et contemporaine (280) Saint-André-des- 115=819(2007) Maïs moissonné (pieds) Moyenne à mauvaise Parcelle : Eaux Secteur nord - céramique: XVe-XVIe/XIXe- XXe s. (71) - tuile : époque moderne (10) Saint-André-des- 116(2004) Semis (de blé ?) Bonne visibilité Parcelle : Eaux - céramique commune : I^-HI' s. [1) - brique : époque gallo-romaine [1) - céramique : XIXe-XXe s. (18) - verre (1) - brique : époque moderne (1) Saint-André-des- 117(2004) Semis (de blé ?) Bonne visibilité Parcelle : Eaux -tuile (2) Saint-André-des- 118(2004) Semis de blé Bonne visibilité Parcelle : Eaux - tegula (2 éclats) - céramique : XIXe-XXes. (25) - verre : époque moderne (1) - tuile : époque moderne (1) Saint-André-des- 119(2004) Blé naissant Bonne visibilité Parcelle : Eaux -céramique : époque protohistorique (1) - céramique : XVe-XVIe s ./XIXe- XXe s. (9) Saint-André-des- 120 (2004) Facélie Visibilité moyenne Parcelle : Eaux - céramique commune : I^-Iir5 s. [1) - céramique : XIXe-XXe s. (11) - verre (1) - tuile : époque moderne (7) - brique : époque contemporaine (6) 49

Trévérien 121 (2004) Semis récent 3onne visibilité P arcelle : sigillée (1) céramique commune : I^-III6 s. ; 1) céramique :XIXe-XXe s. (26) verre : époque moderne (1) mile : époque moderne (1) Trévérien 122 (2004) Semis récent Bonne visibilité t ^ucun mobilier Trévérien 123 (2004) Maïs moissonné, sur Bonne visibilité E'arcelle : 6 pieds céramique commune : I^-III s. ( 3) brique : époque gallo-romaine ; 1) céramique: XTX^-XX6 s. (26) brique : époque moderne (1) Trévérien 124 (2004) Semis de blé Bonne visibilité 'arcelle : céramique : XIXe-XXes. (4) verre (2) Trévérien 125 (2004) Semis de blé Bonne visibilité 'arcelle : céramique : XIX'-XX's. (1) Trévérien 126 (2004) Semis Bonne visibilité Parcelle : - céramique : XIX'-XX* s. (5) - tuile : époque moderne (1) Trévérien 127 (2004) Chaume Visibilité moyenne Parcelle : - toile : époque moderne (2) Trévérien 128 (2004) Maïs moissonné, sur Bonne visibilité Parcelle : pieds - tegula (1 avec rebord, 1 éclat) - céramique :XTXe-XXe s. (8)

h verre : époque moderne (2) Trévérien 129 (2004) Semis de blé Bonne visibilité Parcelle : - céramique commune : f-BT5 s. [1) - céramique : XTXVXX's. (1) Trévérien 130 (2004) Semis de blé Bonne visibilité Parcelle : - céramique : XTXe-XXes. (1) - verre (1) Trévérien 131 (2004) Semis de blé Bonne visibilité Secteur A : - fr. mésial de lame, silex Parcelle : - céramique : XTXe-XXes. (33) - verre (1) - brique : époque contemporaire (1) Trévérien 132 (2004) Semis de blé Bonne visibilité Parcelle : céramique : XVe-XVIes. [l)/XIXe-XXes. (8) - verre (1) - opaline (1) Trévérien 133 (2004) Chaume Visibilité moyenne Parcelle : - céramique : XTXe-XXe s. (3) Parcelle : Trévérien 134(2004) Facélie, végétatioiî Visibilité moyenne a e importante dans 4/5e d< - céramique commune : l -Ul s. la parcelle (à revoir) [4) - amphore : Dr. 20 ? (1) - céramique : XVe s. (l)/XIXe- XXe s. (11) Trévérien 135 (2004) Semis de blé Bonne visibilité Parcelle : - tegula (1 avec rebord) - céramique : XIXe-XXes. (9) 50

- mile : époque moderne (2) verre (1) Trévérien 136 (2004) Semis de blé Très bonne à bonne F arcelle : céramique : XTXe-XXes. (26) mile : époque moderne (1) Trévérien 137 (2004) Maïs moissonné, sur Bonne visibilité F 'arcelle : pieds céramique commune : PME* s. [ 2) céramique: XTVe-XVe s. ( l)/XIXe-XXes. (23) mile : époque moderne (8) Trévérien 138 (2004) Chaume Visibilité moyenne 1 'arcelle : céramique : XIXe-XXes. (16) verre (2) tuile : époques moderne et r :ontemporaine (6) Trévérien 139 (2004) Semis de blé Bonne visibilité 'arcelle : céramique :XIXe-XXe s. (20) verre (9) brique : époque contemporaine '6) Trévérien 140 (2004) Parcelle : ■ céramique commune : I^IIl6 s. [3) - tegula (2 éclats) - céramique : XVC-XVP s. (1) 0QXe-XXes. (8) Trévérien 141 (2004) Maïs moissonné, sur Bonne visibilité Aucun mobilier pieds Trévérien 142 (2004) Semis récent de blé Très bonne visibilité Secteur A : Villa de - sigillée : fond, HP s. (2) Villery - amphore : Gauloise 3 ou 4 (1) - céramique commune : P-IIP s. (4) tegula (9 avec rebord, 50 éclats) ; imbrex (1) ■ élément de pilette (1) - céramique : XV'-XDC-XX6 s. (21) Parcelle : - sigillée de Gaule du Sud : Drag. 29 ou 37 (1) - céramique commune : F-IIF s. (1) - tegula (3 éclats) - céramique : XVe-XIXe-XXe s. (24) Trévérien 142=511(2006) Semis de maïs Bonne à moyenne Parcelle : Villa de Villery - fr. proximal de lame en grès - sigillée de Gaule du Centre : Chenet 320, Curie 21, fr. nf s. [7) - céramique commune : P-IIP s. (13) - céramique : XIX'-XX's. (56) tuile (8) Trévérien 142=826 (2007) Engrais vert (Facélie) Bonne à moyenne Parcelle : Villa de Villery - céramique commune : fin P-IP 3. (3) - tegula (13) 51

céramique : XIXe-XXes. (12) verre (1) mile : époque moderne (4) Trévérien 142=827(2007) Engrais vert (Facélie) Bonne à moyenne Siecteur A : Kz7/a de Villery talon de hache, dolorite sigillée de Gaule du Sud : 1 )rag. 37, IHe s. (2) amphore (4) céramique commune : fin Ie- 1 Ie s. (16) mortier (1) tegula (23) céramique : XTXe-XXes. (28) Trévérien 144 (2004) Maïs sur pieds Bonne visibilité 'arcelle : céramique commune : F'-nf s. 2) ■ tegula (9) • céramique : XIXe-XXes. (8) Trévérien 145 (2004) Terre travaillée Bonne visibilité Parcelle : 6 Coëtgomen cf. ■ céramique commune : I^-III s. N°147 (2) -amphore : G4?(l) - tegula (2 avec rebord) - céramique : XLXe-XXe s. (15) brique : époque contemporaine (2) Trévérien 146 (2004) Facélie Mauvaise visibilité Parcelle : - céramique : XTXe-XXe s. (1) - mile : époque moderne (1)

Trévérien 147 (2004) Semis de blé Bonne visibilité Parcelle : 5 Etablissement - céramique commune : P^-Iir s. de U) Coëtgomen - verre (1) : époque gallo- romaine - tegula (2 avec rebord) ; éclats [12) ; imbrex (1) - brique : époque gallo-romaine (1) - céramique : XIXe-XXes. (99) Trévérien 147=518(2006) Semis de maïs Moyenne Secteur A : - tegula (12 éclats) Etablissement de Parcelle : Coëtgomen - céramique commune : P-irT s. [2) - céramique : XIXe-XXe s. (95)

Trévérien 147=845 (2007) Couvert végétal Mauvaise Secteur A : Etablissement - tegula (14 éclats) de Coëtgomen Trévérien 148 (2004) Semis de blé Bonne visibilité Parcelle : - céramique : XIXe-XXe s. (2)

Trévérien 149 (2004) Chaume, repousse > Mauvaise visibilité ; Parcelle : e e d'herbe. quelques bandes : - céramique : XIX -XX s. (2) meilleure visibilité - mile : époque moderne (1) Trévérien 150 (2004) Semis de blé Bonne visibilité Parcelle : - céramique : XtXe-XXe s. (8) - verre (1) Le Quiou 200 (2005) Cf. supra n°28-29 Parcelle : Le Quiou 201 (2005) Friche/bois Mauvaise - céramique : époque moderne 52

L D Le Quiou 202 (2005) Semis de maïs 1res bonne P arcelle : silex (1) céramique : XIXe s. (45) verre: XIXe s. (3) tuile : époque moderne (5) Le Quiou 203 (2005) Semis de maïs Très bonne S ecteur A : tegula (1 avec rebord) E 'arcelle : céramique : époque médiévale [ 1) céramique : XIXe-XXes. (68) mile : époque contemporaine ( 25) Le Quiou 204 (2005) Semis de maïs Bonne îecteur A : pointe de flèche (Néolithique) 'arcelle : céramique : XTXe-XXe s. (64) Le Quiou 204=808 (2007) Labour Moyenne 'arcelle : ■ tegula (1 éclat) ■ céramique : XIXe-XXes. (18) ■ verre (5) ■ brique : époque contemporaine :D Le Quiou 205 (2005)=26 Cf. supra n°26 Le Quiou 207 (2005)=27 Cf. supra n°27 Le Quiou 208 (2005)=2 Cf. supra n°2 Le Quiou 209 (2005) Semis de maïs Très bonne Secteur A : Etablissement - tegula (2 avec rebord, 3 éclats) Au Village - céramique : sigillée de Gaule Au nord de iu Centre, fond plat (1) ; fr. (1) n°37 - céramique commune (1) : Ier- IIe s. Parcelle : ■ céramique : XIXe s. (107) -verre: XIXe s. (9) -mile: XIXe s. (2) Le Quiou 209=714 (2007) Parcelle : Etablissement Au nord de 37 - tegula (3 avec rebord, 10 Au Village éclats) - imbrex (1) - céramique : XIXe-XXe s. (172) Le Quiou 210 (2005) Semis de maïs Très bonne Parcelle : - céramique : époque contemporaine (31) -verre: XIXe s. (7) -mile: XIXe s. (2) Le Quiou 211=51(2005) Cf. supra n°51 Le Quiou 212(2005) Semis de maïs Très bonne Parcelle : - céramique : XIXe s. (25) - verre : époque moderne (4) - mile: XIXe s. (1) Le Quiou 213=47(2005) Cf. supra n°47 Le Quiou 214(2005) Semis de maïs Très bonne Parcelle : Etablissement - silex (1) de Montmusson - céramique : XIX'-XX6 s. (75) - verre (20) - brique : XIXe-XXe s. (3) Le Quiou 214=708 (2007) Maïs naissant Très bonne Secteur A : Etablissement - tegula (4 avec rebord, 11 53

de é clats) Montmusson P arcelle : céramique : XTXe-XXe s. (2) Le Quiou 214=709(2007) Maïs naissant Très bonne P arcelle : Etablissement céramique commune : T^-ïïF s. de Montmusson ; 3) tegula (4 avec rebord, 66) céramique : XIXe-XXe s. (55) verre (3) mile : époque moderne (40) Le Quiou 214=750(2007) Labour/Maïs Bonne à nulle f'arcelle : 3 Etablissement céramique commune : P-flT s. de Montmusson 1) céramique : XTXe-XXe s. (3) verre (4) Le Quiou 214=852 (2007) Labour Bonne 'arcelle : Etablissement céramique : XIX'-XX* s. (2) de mile : époque contemporaine Montmusson 1) Le Quiou 215 (2007)=17 Zi. supra n°17 Trévérien 216 (2005) Maïs naissant Très bonne 'arcelle : ■ silex (1) ■ verre (23) - céramique : XLXe-XXe s. (93) - brique : époque contemporaine (6) - toile : époque moderne (2) Trévérien 217 (2005) Maïs naissant Très bonne Secteur A : - sigillée : panse Drag. 37, IIe- nPs. (1) ■ céramique commune : T^-ïïP s. [1) Parcelle : - céramique : époque protohistorique (1) ■ céramique commune : époque gallo-romaine (11) ■tegula (16 éclats) • verre : époque moderne (27) - céramique : époque moderne [3) - céramique : époque médiévale [5)/xvie-xvne/xrxe-xxe s. [170) Trévérien 217=742 (2007) Parcelle : - sigillée (1) - céramique commune : r^-HF s. [2) - tegula (152 éclats) - céramique : XTXe-XXe s. (270) Trévérien 218(2005) Semis de maïs Très bonne Parcelle : • céramique commune : époque gallo-romaine (1) - tegula (16 éclats) - céramique : XTX'-XX6 s. (30) Le Quiou 300 (2005)=10 Cf. supra n°10 Le Quiou 301 (2005)=7 Cf. supra n°7 Le Quiou 302 (2005)=3 Cf. supra n°3 0 Le Quiou 303 (2005)=11 Cf.s«pran ll Le Quiou 304 (2005)=12 Cf. supra n° 12 54

Le Quiou : 505 (2005)=51 C f. supra n°51 Le Quiou 506 (2005)=19 C f. supra n° 19 Les Ruettes Le Quiou 307 (2005)=37 C !f. supra n°37 Le Quiou 308 (2005)=54 c 1. supra n°54 Saint-André-des- 309 (2005)=70 c ï. supra n°70 Eaux Le Besso Saint-André-des- 310(2005)=76 c ï. supra n°76 Eaux Le Besso Saint-André-des- 311(2005)=91 c X supra n°91 Eaux Saint-André-des- 400 (2005) Pré Visibilité t ^ucun mobilier Eaux nulle Saint-André-des- 401 (2005) Pré Visibilité t ^ucun mobilier Eaux nulle Saint-André-des- 402(2005) Pré Visibilité \ucun mobilier Eaux nulle Saint-André-des- 403 (2005) Pré Visibilité \ucun mobilier Eaux nulle Saint- André-des- 404 (2005) Pré Visibilité Aucun mobilier Eaux nulle Saint-André-des- 405(2005) Pré/Jardin Visibilité Aucun mobilier Eaux nulle Saint-André-des- 406 (2005) Pré Visibilité Aucun mobilier Eaux nulle Saint-André-des- 407 (2005) Blé naissant Très bonne visibilité Secteur A : Eaux - tegula (lavec rebord)

Saint-André-des- 408 (2005) Pré Visibilité Aucun mobilier Eaux nulle Saint-André-des- 409(2005) Pré Visibilité Aucun mobilier Eaux nulle Saint-André-des- 410 (2005) Pré/Chaume Visibilité Aucun mobilier Eaux nulle Saint-André-des- 411(2005) Maïs moissonné, sui Bonne visibilité Secteur A : Eaux pieds - pointe de flèche (silex Grand Pressigny) Parcelle : - céramique commune : XVe- XVIe s./XIXe-XXe s. (67) - verre (2) - miles Saint-André-des- 412 (2005) Pré Visibilité Aucun mobilier Eaux nulle Saint-André-des- 413 (2005) Pré Visibilité Aucun mobilier Eaux nulle Saint-André-des- 414 (2005) Pré Visibilité Aucun mobilier Eaux nulle Saint-André-des- 417 (2005) Blé naissant Très bonne visibilité Secteur A : Eaux - pointe de flèche (silex Grand Pressigny) Parcelle : - céramique : sigillée de Gaule du Centre, fond(l) - céramique commune : époque gallo-romaine (3) - tegula (1 avec bord) 55

céramique glaçurée : XIVe- s. ? (3) céramique: XVe-XVIe s./XIX6- > [IXe s. (190) Saint-André-des- 418 (2005) Colza Visibilité fi Lucun mobilier Eaux nulle Saint-André-des- 419 (2005) Pré Visibilité f uicun mobilier Eaux nulle Saint-André-des- 420 (2005) Pré Visibilité t lucun mobilier Eaux nulle Saint-André-des- 421 (2005) Pré Visibilité t ùicun mobilier Eaux nulle Saint-André-des- 422 (2005) Prairie semée Visibilité /Uicun mobilier Eaux nulle Saint-André-des- 423 (2005) Pré Visibilité Vucun mobilier Eaux nulle Saint-André-des- 424 (2005) Pré Visibilité ^ucun mobilier Eaux nulle Saint-André-des- 425 (2005) Blé naissant Très bonne visibilité 'arcelle : Eaux céramique commune : époque gallo-romaine (5) • céramique commune : bord, Xe-XIe s. (1) - céramique : XVe-XVIes./XIXe- XIXe s. (160) -mile (3) Saint-André-des- 426 (2005) Prairie semée Visibilité Aucun mobilier Eaux nulle Saint-André-des- 427 (2005) Pré Visibilité Aucun mobilier Eaux nulle Saint-André-des- 428 (2005)=87 Cf. supra n°87 Eaux Saint-André-des- 429 (2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 430(2005)=88 Cf. supra n°88 Eaux Saint-André-des- 431(2005)=84 Cf. supra n°84 Eaux Saint-André-des- 432 (2005) plantation Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 433 (2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 434 (2005) Repousse Visibilité Parcelle : Eaux moyenne - céramique : époque moderne [3) Saint-André-des- 435 (2005) Blé naissant Très bonne Parcelle : 6 Eaux - céramique : XD^-XX s. (95) - verre (7) - mile : époque moderne (7) Saint-André-des- 436 (2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des-■ 437(2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des - 438(2005) Maïs moissonné, sur Mauvaise Aucun mobilier Eaux pieds visibilité Saint-André-des - 439(2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des - 440(2005) Blé naissant Très bonne Parcelle : - céramique commune : Ier-IIIe Eaux 56

3 (2) brique : époque gallo-romaine [ l) tegula (15 éclats) verre (9) céramique : XIXe-XXe s. (42) Saint-André-des- 441 (2005) Blé naissant Très bonne F arcelle : Eaux céramique : XIXe-XXes. (13) Saint-André-des- 442 (2005) Pré Visibilité nulle f Uicun mobilier Eaux Saint-André-des- 443 (2005) Blé naissant Très bonne E 'arcelle : Eaux verre (7) céramique : XIXe-XXes. (17) mile (5) Saint-André-des- 444 (2005) Pré Visibilité nulle l Vucun mobilier Eaux Saint-André-des- 445 (2005) Pré Visibilité nulle Vucun mobilier Eaux Saint-André-des- 447 (2005) Pré Visibilité nulle \ucun mobilier Eaux Saint-André-des- 448(2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 449 (2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 450 (2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 451 (2005) Chaume Visibilité moyenne à Parcelle : Eaux bonne - céramique : XTXVXX6 s. (114) Saint-André-des- 452 (2005) Chaume Visibilité moyenne à Parcelle : Eaux bonne ■ céramique commune : époque gallo-romaine (4) ■ amphore ? (1) -verre (2) - céramique :XVe-XVIe s./XLXe- XX* s. (70) - mile (4) Saint-André-des- 453 (2005) Chaume Visibilité moyenne à Parcelle : Eaux bonne - céramique : XIXe-XXes. (2) Saint-André-des- 454 (2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 455(2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 456(2005) Friche Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 457 (2005) Maïs moissonné, sur Visibilité moyenne Aucun mobilier Eaux pieds

Saint-André-des- 458 (2005) Pré/Friche Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 459(2005) Friche Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 460 (2005) Maïs moissonné, su r Bonne Parcelle : Eaux pieds - céramique : XIXe-XXes. (14) • verre (1) Saint-André-des - 461 (2005) Pré Mauvaise Parcelle : Eaux - céramique : XTX'-XX's. (1) Saint-André-des - 462(2005) Pré Visibilité moyenne à Aucun mobilier Eaux bonne Saint-André-des - 463 (2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier 57

Eaux Saint-André-des- < 164 (2005) 1Pré Visibilité nulle fiojcun mobilier Eaux Saint-André-des- 465 (2005) Pré Visibilité nulle fi mcun mobilier Eaux Saint-André-des- 467 (2005) Pré Visibilité nulle fi mcun mobilier Eaux Saint-André-des- 468 (2005) Pré Visibilité nulle t Uicun mobilier Eaux Saint-André-des- 470 (2005) Pré Visibilité nulle / lucun mobilier Eaux Saint-André-des- 471 (2005) Pré Visibilité nulle t Uicun mobilier Eaux Saint-André-des- 472(2005) Semis Visibilité nulle l 'arcelle : Eaux céramique : époque >rotohistorique (8) verre (2) céramique : XLXe-XXe s. (86) ■ tuile (1) Saint-André-des- 473 (2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 474 (2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 475 (2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 477(2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 478 (2005) Chaume travaillé Bonne Parcelle : Eaux - verre (2) - céramique : XlXxXX6 s. (28) mile/brique : époque contemporaine (22) Saint-André-des- 479 (2005) Blé naissant Très bonne Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 480 (2005) Maïs moissonné, sur Bonne à l'exception Parcelle : Eaux pieds de la partie nord-ouest - verre (6) - céramique : XTXe-XXe s. (20) ■ mile : époque contemporaine [7) Saint-André-des- 481 (2005) Maïs moissonné, sui Bonne Parcelle : Eaux pieds - céramique : XTXVXX6 s. (5) Saint-André-des- 482(2005) Maïs moissonné, sui Bonne Parcelle : Eaux pieds - verre (1) - céramique : XTXe-XXe s. (27) ■ mile : (2) Saint-André-des- 483(2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 484 (2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 485(2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 486 (2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des-■ 487(2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des - 488(2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des - 489(2005) Pré Visibilité nulle Aucun mobilier Eaux 58

Saint-André-des- < 190 (2005) 1 Pré Visibilité nulle A Lucun mobilier Eaux 1 Saint-André-des- -491(2005) 1 Maïs moissonné, sur Bonne visibilité P arcelle : Eaux J pieds céramique : XIXVXX^. (2) Saint-André-des- 492(2005)=115 C ]f. supra n° 115 Eaux Saint-André-des- 493 (2005) Maïs moissonné, sur Bonne visibilité F arcelle : Eaux pieds céramique : XTXVXX's. (13) mile (2) Trévérien 500 (2006) Semis de maïs Très bonne F 'arcelle : fr. proximal de lame en silex : r léolithique céramique: XVIïï7XIXe-XXe s .(46) verre (13) mile (9) Trévérien 501 (2006) Semis de maïs Très bonne Secteur A : fr. distal de lame en silex : léolithique 'arcelle : ■ céramique : âge du Bronze (1) • céramique : XD^-XX6 s. (102) ■verre (10) -mile (11) Trévérien 502(2006) Semis de maïs Très bonne Secteur A : - lame complète de hache polie en fibrolithe ; lame complète en silex ; pointe en grès : léolithique Parcelle : - céramique commune : T^-nf 3.? (3) - céramique : époque médiévale (2)/XIXe-XXes.(47) - verre (7) - mile (9) Trévérien 503(2006) Semis de maïs Très bonne Parcelle : - céramique : époque protohistorique ? (1) époque contemporaine (22) - verre (5) Trévérien 504 (2006) Prairie Nulle Aucun mobilier Le Quiou 505(2006) Cf. supra n°34 Villa de la Gare Trévérien 506(2006) Semis de maïs Très bonne Parcelle : - céramique : XIXe-XXe s. (22) - verre (5) -mile (3) Trévérien 507 (2006) Prairie Nulle Aucun mobilier Trévérien 508 (2006) Semis de maïs Bonne Parcelle : - grattoir en silex : néolithique - céramique: XVe-XVl7XIXe- XXe s. - verre (5) -mile (3) Trévérien 509(2006) Semis de maïs Bonne Parcelle : - céramique : XIXe-XXe s. (35) - verre (1) - mile (3) 59

Trévérien ; 510(2006) Semis de maïs 13onne P arcelle : céramique : XTXe-XXe s. (159) verre (7) mile (3) Trévérien 511(2006)=142 C ï. supra n°142 Trévérien 512(2006) Semis de maïs Bonne à moyenne P arcelle : fr. de lame en silex céramique : XV7XIXe-XXe s. ; 241) verre (16) tuile (8) Trévérien 513 (2006) Pré Nulle / \oicun mobilier Trévérien 514 (2006) Pré Nulle VUicun mobilier Trévérien 515 (2006) Semis de maïs Bonne 1 'arcelle : céramique : XTXe-XXe s. (71) verre (7) mile (5) Trévérien 516(2006) Maïs naissant Bonne 'arcelle : fr. d'éclat de racloir en silex ? fr. proximal de lame en silex ; ;clat retouché en silex : léolithique ■ céramique : XTXe-XXe s. (202) Trévérien 517(2006) Maïs naissant Bonne Parcelle : - fr. distal de lame en silex ; jerçoir en silex, outil non achevé en silex ; outil indéterminé en silex : léolithique - céramique: XVTXIX^XX6 s. [50) - verre (6) -mile (7) Trévérien 518 (2006)=147 Cf. supra n° 147 Etablissement de Coëtgomen Trévérien 519(2006) Maïs naissant Moyenne Parcelle : - céramique : XVIIe s./XTXe-XXe

5.(45) - verre (6) - mile : époque contemporaine [42) Trévérien 520 (2006) Maïs naissant Moyenne Parcelle : - fr. distal de grattoir sur lame sn silex ; éclat retouché de forme circulaire en silex ; deux éclats en grès : néolithique céramique : époque protohistorique (4) - céramique : XIHe-XTVe s. (2)/ XV-XVI* s.-XTXe-XXe s. (40) Trévérien 521 (2006) Maïs naissant Moyenne Secteur A : - céramique : XVe-XVIe s. XIXe-XXes. (113) -verre (11) Parcelle : - céramique : XVIe- XVUe s./

XDC-XX' S. (84) - verre (3) 60

tuile/brique : époque moderne [j Trévérien 522 (2006) 1 Maïs naissant ! Moyenne P arcelle : céramique : XIXVXX6 s. (136) verre (12) brique : époque moderne (1) Trévérien 523 (2006) Maïs naissant Moyenne P arcelle : céramique : XTXe s. Plouasne 601 (2006) Maïs sur pied Bonne S ecteur A : tegula (1 avec rebord) E 'arcelle : sigillée : T-ffl6 s. (2) céramique : époques r nédiévale (2), moderne et : ontemporaine (69) Plouasne 602 (2006) Prairie artificielle Nulle ( ^ucun mobilier Plouasne 603 (2006) Pré Nulle Y Uicun mobilier Plouasne 604 (2006) Pré Nulle Vucun mobilier Plouasne 605 (2006) Pré Nulle 'arcelle : céramique : XIXe-XXe s. (27) verre (2) ■tuile (12) Plouasne 606 (2006) Semis de prairie Très bonne 'arcelle : - céramique : XVIIIe s.- XIXe s. [10) ■tuile (30) Plouasne 607 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 608 (2006) Maïs sur pied/Labour Très bonne Secteur A : - tegula (1 avec rebord) Parcelle : - céramique : XTXe-XXe s. (9) Plouasne 609 (2006) Maïs sur pied Bonne Parcelle : - céramique : époque moderne ? [2) - tuile (1) Plouasne 610 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 611 (2006) Semis de prairie Bonne Parcelle : ■ céramique : XIXe s. (3) Plouasne 612 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 613 (2006) Semis de blé Très bonne Secteur A : Etablissement - céramique commune, T^-nf s. de [4) La Bourdelais Parcelle : - tegula (4 avec rebord, 132 éclats) - céramique : XIXe-XXe s. (11) Plouasne 614 (2006) Semis de blé Très bonne Parcelle : Etablissement - sigillée (9) de • amphore : G5 (1) La Bourdelais ■ céramique commune: f-IIF s. [18) ■ céramique : époque médiévale [l)/moderne et contemporaine Plouasne 614= 828 (2007) Couvert végétal Mauvaise Parcelle : Etablissement - verre : époque gallo-romaine de ^1) La Bourdelais - céramique commune: I^-III6 s. (1) ■ tegula (7 avec rebord) - verre : époque moderne (3) 61

- céramique : XDC-XX6 s. (25) Plouasne 515 (2006) Pré Nulle fiLucun mobilier Plouasne 616 (2006) Semis de prairie Très bonne F arcelle : céramique : époque ontemporaine (13) tuile (12) Plouasne 617 (2006) Pré Nulle t ^ucun mobilier Plouasne 618 (2006) Pré Nulle / ùicun mobilier Plouasne 619(2006) Semis de prairie Très bonne f 'arcelle : céramique : XTXVXX* s. (6) Plouasne 621 (2006) Semis de prairie Très bonne 1 'arcelle : céramique : XlF-XTV6 s. îyxrx6 s. (4) scorie (1) tuile (3) Plouasne 622 (2006) Pré Nulle \ucun mobilier Plouasne 623 (2006) Pré Nulle \ucun mobilier Plouasne 624 (2006) Pré Nulle \ucun mobilier Plouasne 625=650(2006) Semis de blé Très bonne Parcelle : ■ sigillée de Gaule de Centre (1) ■ céramique commune, r^-nT5 s. [2) - tegula (2 avec rebord, 33) - céramique : XVe s.- XVIIe s./ XIXe-XXe s. (180) - verre (4) - brique : époque moderne (4) - tuile (44) Plouasne 626 (2006) Semis de blé Bonne Parcelle : - céramique : XVIe s./ XIXe - XXe s. (65) - verre (6) Plouasne 627 (2006) Semis de blé Bonne Secteur A : Extension de la ■ sigillée (2) villa de Clos - céramique commune, T^-IIf s. Lory (5) - tegula (130 éclats) - céramique : XTX^XX6 s. (121) - verre (6) - brique moderne (1) Plouasne 628 (2006) Semis de blé Bonne Parcelle : - céramique : XIXe s. -tuile (19) Plouasne 629 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 630 (2006) Semis de blé Bonne Parcelle : - tegula (4 éclats) - céramique : XIXe s. (21) ■ tuile : époque contemporaine Plouasne 631 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 632 (2006) Semis de blé Bonne Parcelle : - céramique commune, f^-IIf s. ? (3) - céramique : XVIIIe-XIXe-XXe 3. - verre (4) ■tuile (5) Plouasne 633 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 634 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 635 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier 62

Plouasne 536 (2006) Pré Nulle fi iucun mobilier Plouasne 537 (2006) Pré Nulle fi i.ucun mobilier Plouasne 538 (2006) Pré Nulle fi oicun mobilier Plouasne 539 (2006) Pré Nulle fi mcun mobilier Plouasne 640 (2006) Pré Nulle fi Lucun mobilier Plouasne 641 (2006) Pré Nulle fi mcun mobilier Plouasne 642 (2006) Pré Nulle / lucun mobilier Plouasne 643 (2006) Pré Nulle t lucun mobilier Plouasne 644 (2006) Pré Nulle t lucun mobilier Plouasne 645 (2006) Pré Nulle t Vucun mobilier Plouasne 646 (2006) Pré Nulle 1 Uicun mobilier Plouasne 647 (2006) Pré Nulle t Uicun mobilier Plouasne 648 (2006) Pré Nulle t ^ucun mobilier Plouasne 649 (2006) Pré Nulle v Vucun mobilier Plouasne 650 (2006) £ Zf. supra 625 Plouasne 651 (2006) Semis de blé Bonne Scelle : céramique : XIXe s. (8) tuile (8) Plouasne 652 (2006) Pré Nulle \ucun mobilier Plouasne 653 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 654 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 655 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 656 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 657 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 658 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 659 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 660 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 661 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 662 (2006) Semis de prairie Mauvaise Aucun mobilier Plouasne 663 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 664 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 665 (2006) Semis de prairie Très bonne Parcelle : - céramique : XIXVXX6 s. (26) - verre (1) -tuile (10) Plouasne 666 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 667 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 668(2006) Semis de prairie Très bonne Parcelle : - tegula (2 éclats) - céramique : XIXe-XXe s. (27) - verre (1) Plouasne 669 (2006) Pré/Facélie Nulle Aucun mobilier Plouasne 670 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 671 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 672 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 673 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Plouasne 674 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Le Quiou 675 (2006)=9 Cf.rapran°9 Le Quiou 676(2006)=7+10 Cf. supra n°7=10 Le Quiou 677 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Le Quiou 678 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Le Quiou 679 (2006) Pré Nulle Aucun mobilier Le Quiou 680 (2006)=10 Cf. supra n°10 Le Quiou 681 (2006)=3 Cf. supra n°3 Saint-André-des-■ 682(2006) Semis de blé Très bonne Secteur A : Eaux - tegula (1 avec rebord) Parcelle : - céramique : XVe-XVIe s./ 63

S TX'-XX* s. (10) verre (5) tuile (1) Saint-André-des- 583 (2006) Semis de blé Bonne > [IXe-XXe s. (4) Eaux Saint-André-des- 584 (2006)=72 C If. supra n°72 Eaux Le Quiou 685 (2006)=44 c supra n°44 Saint-André-des- 686 (2006)=83 c :f. supra n°83 Eaux Saint-André-des- 687 (2006) Repousse Bonne 1 'arcelle : Eaux céramique : XIXc-XXe s. tuile (2) Le Quiou 688 (2006)=34 ( Zf. supra n°34 Villa de la Gare Le Quiou 689(2006)=51 2f. supra n°51 Le Quiou 701 (2007)=37 21 supra n°37 Secteur nord Le Quiou 702 (2007)=37 Cf. supra n°37 Parcelle Le Quiou 703 (2007)=37 Cf. supra n°37 Secteur est Le Quiou 704 (2007)=19 Cf. supra n° 19 Les Ruettes Parcelle Le Quiou 705 (2007)=19 Cf. supra n° 19 Les Ruettes Extension est Le Quiou 706 (2007)= 17 Cf. supra n°17 Secteur sud Le Quiou 707 (2007)= 17 Cf. supra n" Il Parcelle Le Quiou 708 (2007)=214 Cf. supra n°214 Le Quiou 709 (2007)=214 Cf. supra n°214 Le Quiou 710 (2007)=51 Cf. supra n°51 Le Quiou 711 (2007) Cf. supra n°23-24-25 =23+24+25 Le Quiou 712 (2007)=22 Cf. supra n°22 Le Quiou 713 (2007) Maïs naissant Très bonne Parcelle : - céramique commune : f^-III6 s. [4) - céramique : époque médiévale [2)/XIXe-XXes.(35) - verre (6) -tuile (29) Le Quiou 714 (2007)=209 Cf. supra 209 Le Quiou 715 (2007) Maïs naissant Très bonne Parcelle : - céramique commune : r^-IH6 s. [2) - tegula (1 avec rebord) - céramique : XIXe-XXe s. (32) - verre (7) - tuile (39 éclats dont 5 mécanique ) Le Quiou 716 (2007) Maïs Très bonne Parcelle : - céramique commune : rMlT* s. [8) - céramique : époque médiévale [l)/XVe-XVIe s.-XIXe-XXe S. tl58) 64

verre (12) tuile (18) jrique (16) Le Quiou 717 (2007)=29 C f. supra n°29 Le Quiou 718 (2007) 1 Vlaïs naissant Irès bonne P arcelle : céramique : XIXe-XXe s. (23) Le Quiou 719 (2007) ] Pré Nulle \ucun mobilier Saint-André-des- ' 720 (2007)=78 Maïs 3onne C f. supra n°78 Eaux Saint- André-des- 721 (2007)=78 Maïs naissant Très bonne C :f. supra n°78 Eaux Saint-André-des- 722 (2007)=78 C :f. supra n°78 Eaux Saint-André-des- 723 (2007)=8O C Zf. supra n°80 Eaux Saint-André-des- 724(2007)=83 [ Zf. supra n°83 Eaux Saint-André-des- 725 (2007)=81 [ Zf. supra n°81 Eaux Saint-André-des- 726 (2007) Maïs naissant Bonne 'arcelle : Eaux céramique : XIXe-XXe s. (8) Saint-André-des- 727(2007) Maïs naissant Très bonne Parcelle : Eaux ■ céramique commune : I^-IIf s. [S) - céramique : Xn'-XTV* s. {2)1 xrV-xv6 s. (îyxrx'-xx6 s. (49) - verre (1) - tuile : époque moderne (1) Saint-André-des- 728 (2007) Pré Nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 729 (2007) Pré Nulle Aucun mobilier Eaux Saint-André-des- 730 (2007)=108 Cf.«/pran°108 Eaux Le Quiou 731(2007) Maïs naissant Très bonne Parcelle : - céramique : XIXVXX6 s. (46) Le Quiou 732 (2007) Pré Nulle Aucun mobilier Le Quiou 733 (2007) Maïs naissant Très bonne Parcelle : - lame (couteau), silex : néolithique (1) - céramique : XDf-XX6 s. (3) - tuile : époques moderne et contemporaine (4) Saint-André-des- 734 (2007) Maïs naissant Très bonne Parcelle : Eaux - éclat retouché, silex : léolithique (1) ■ céramique commune : I^-IIf s. [3) - tegula (4 éclats) - céramique : époque médiévale/ (2)/XTXe-XXe s. (71) ■ brique : époque contemporaine (1) Plouasne 735(2007) Maïs naissant Très bonne Parcelle : - tegula (2 éclats) - céramique : XIXe-XXe s. (2) - verre (1) Saint-André-des - 737(2007) Cf. supra n°70+76 66

céramique : XIX^XX6 s. (27) - verre (21) brique : époque moderne (13) Saint-Judoce 514(2007) ]Vlaïs moissonné (pieds) 1Sonne à moyenne Parcelle : céramique : XIXe-XXe s. (37) verre (1) tuile : époque moderne (6) brique : époque contemporaine i 3) Le Quiou 815 (2007)=34 C ?f. supra 34 Saint-André-des- 816(2007)=80 C :f. supra n°80 Eaux Saint-André-des- 817 (2007)=78 c Zt supra n°78 Eaux Saint-André-des- 818 (2007)=78 [ 2f. supra n°78 Eaux Saint-André-des- 819(2007) ( :f.swpran°115 Eaux =115(2004) Secteur nord Saint-André-des- 820 (2007)=83 2f. supra n°83 Eaux Saint-André-des- 821 (2007) 'arcelle : e e Eaux ■ céramique : XIX -XX s. (6) Le Quiou 822 (2007)=34 Cf. supra n°34 Saint-Judoce 823 (2007) Maïs moissonné (pieds) Bonne à mauvaise Parcelle : - éclat retouché, calcédoine ? : néolithique ? (1) - céramique : époque médiévale (2)/XV7XIXe-XXe s. (106) - verre : époque moderne (1) - brique : époques moderne et contemporaine (15) Saint-Judoce 824 (2007) Maïs moissonné (pieds) Moyenne Parcelle : - céramique : XD^-XX6 s. (3) - brique : époque contemporaine (2) Saint-Judoce 825 (2007) Travaillée Moyenne Parcelle : - tegula (1 éclat) - céramique : XVe-XIXe-XXe s. (6) - tuile : époque moderne (2) Trévérien 826 (2007)=142 Cf. supra n°142 ratodeVillery Parcelle Trévérien 827 (2007)=142 Cf. supra n°142 F/7/adeVillery Concentration Plouasne 828 (2007)=614 Cf. supra n°6l4 Parcelle Saint-Judoce 829 (2007) Semis de colza Bonne Secteur A : K///adeLaVille - sigillée : Curie 15, Curie 21, Drag. 38, Drag. 43, Chenet, fr. es-Mière (29) - amphore : Dr. 2/4 ?, Dr. 20, Gauloise (4) • céramique commune : I^-IIf s. (34) - tegula (87) - verre : époque moderne (1) ■ céramique : XJXe-XXe s. (60) - tuile : époque moderne (4) 68

é clats) céramique : XVITXEX'-XX6 s.

{ 124) verre (5) tuile : époque moderne (1) Saint-Judoce 841 (2007) Engrais vert (moutarde) Moyenne F arcelle : céramique : XTXe-XXe s. (9) brique : époque moderne (2) Saint-Judoce 842 (2007) Engrais vert (moutarde) Moyenne S >ecteur A : sigillée de Gaule du Sud (2) céramique commune : I^-IU6 s. ! 1) ; bouchon (1) tegula (2 avec rebord, 59 I iclats) i 'arcelle : céramique : XTXe-XXe s. (71) Saint-Judoce 843 (2007) Engrais vert (moutarde) Moyenne 1 'arcelle : tegula (9 éclats) céramique : XIXe-XXe s. (17) verre (4) • tuile : époque moderne (2) Saint-Judoce 844 (2007) Semis de blé Moyenne 'arcelle : - céramique : XVe-XVIe/XIXe- XXe s. (12) - brique : époque moderne (1) Trévérien 845 (2007)=147 Cf. supra n°147 Etablissement de Coëtgomen Saint-Judoce 846 (2007) Semis de blé Bonne Parcelle : - éclat retouché très large (partie discale), silex : néolithique (1) - amphore : G (1) - tegula (2 éclats) - céramique : XIXe-XXe s. (43) - verre (6) Saint-Judoce 847 (2007) Semis de blé Bonne Parcelle : • céramique : XB^-XX* s. (4) Saint-Judoce 848 (2007) Engrais vert (moutarde) Moyenne Parcelle : - céramique : âge du Bronze (2) ■ tegula (4 éclats) - céramique : XIXe-XXe s. (24) - verre (1) - tuile : époque contemporaine [1) Saint-Judoce 849 (2007) Engrais vert (moutarde) Moyenne Parcelle : • céramique : XVIe s. (1)/ XVIIIe-XIXe-XXe s. (32) - verre (3) - brique : époque moderne (1) Saint-Judoce 850 (2007) Chaume Moyenne Parcelle : - tegula (5 éclats) - céramique : époque médiévale (2)/XIXe-XXe s. (40) - verre (1) - tuile : époque moderne (8) Saint-Judoce 851 (2007) Couvert végétal Bonne à moyenne Parcelle : - céramique : époque protohistorique ? (1) - tegula (6 éclats) 69

céramique : XD^-XX* s. (54) tuile : époque moderne (27) :f. supra n°214 Le Quiou 852 (2007)=214 Zf. supra n°51 Le Quiou 853 (2007)=51 Saint-Judoce 854 (2007) Chaume Moyenne à mauvaise 'arcelle : tegula (3 éclats) céramique : • époque moderne/XIXe-XXe s. T8) Saint-Judoce 855 (2007) Chaume Moyenne Parcelle : - pointe de flèche incomplète, silex : néolithique final ou âge du Bronze (1) - tegula (8 éclats) - céramique : époque médiévale (2)/XJXe-XXe s. (35) • tuile : époque moderne (2) - verre (1) Saint-Judoce 856 (2007) Engrais vert (Facélie) Bonne à moyenne Parcelle : ■ tegula (13 éclats) ■ céramique : XIXe-XXe s. (29) - tuile : époque moderne (10) ■ verre : époque moderne (1) Zf. supra n°34 Le Quiou 857 (2007)=34 Zf. supra n°37 Le Quiou 858 (2007)=37 Saint-Judoce 859 (2007) Chaume Moyenne Parcelle : ■ céramique : XIXVXX6 s. (60) - verre (8) - tuile : époque moderne (12) • brique : époque contemporaine (9) Le Quiou 860 (2007) Colza Mauvaise Parcelle : - céramique : XlXxXX6 s. (60) ^+w=^^T4 ^ laV0t ^''yvc

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2km

Fig. 1.- Localisation des communes concernées par l'étude. Fig. 2.- Localisation des faluns du Quiou (en jaune sombre). Carte géologique de la France, Caulnes XI-17 (1977). 1/50 000. 250 500 m

site antique indices de site d'époque antique

■■I vestiges épars d'époque antique zone habitée ■■i vestige antique isolé zone boisée m vestige préhistorique isolé

■■■ vestige (s) d'époque médiévale Fig. 3.- Prospection systématique. Commune du Quiou, secteur nord ; commune Saint-André-des-Eaux, secteur sud. 1/12 500 e. C. P-A. I

zone habitée HHHI site antique zone boisée indices de site d'époque antique

vestiges épars d'époque antique

vestige antique isolé

vestige préhistorique isolé

Fig. 4.- Prospection systématique. Commune du Quiou, secteur sud.l / 12 500 e. C. P-A. Localisation des vestiges antiques découverts en prospection pédestre

Localisation des vestiges de l'âge du Bronze découverts en prospection pédestre

D'après le plan de J.Ch. Arramond, Ch. Requi, F. Labaune, Th. Arnoux, I. Rodet-Belarbi

En grisé: cadastre section A.Feuille 2, § révisée pour 1933, édition t jour 1983 £ Levé rattaché au nivellement général de la France Coordonnées rattachées au système Lambert

Fig.- 5. Villa de la Gare : localisation des vestiges découverts en prospection.

250 500 m 1 site antique

zone habitée indices de site d'époque antique

zone boisée vestiges épars d'époque antique P = pré vestige antique isolé vestige préhistorique isolé vestige protohistorique isolé

Fig. 7.- Prospection systématique. Commune de Saint-André-des-Eaux, secteurs nord, est et ouest. 1 / 12 500 e. C. P-A. site antique indices de site d'époque antique vestiges épars d'époque antique vestige antique isolé vestige préhistorique isole LZZI zone habitée vestige protohistorique isolé zone boisée

Fig. 8.- Prospection systématique. Commune de Saint-Judoce. 1 / 12 500 < Fig. 9.- Prospection systématique. Commune de Trévérien, secteur nord. 1 / 12 500 e. C. P-A. site antique indices de site d'époque antique

vestiges épars d'époque antique vestige antique isolé

vestige préhistorique isolé vestige protohistorique isolé zone habitée zone boisée

0 250 500 m Fig. 10.- Prospection systématique. Commune de Trévérien, secteur sud. 1 / 12 500 e. C. P-A.