Revue De Presse « Défense »
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Revue de presse « Défense » (contact : [email protected]) Votre avis nous intéresse : si vous voulez réagir à un article de la Revue de presse, vous pouvez soit contacter directement le responsable de thème de Défense soit réagir en adressant un courriel à l’adresse indiquée ci-dessus. L’équipe de la Revue de presse Défense vous remercie de votre confiance et de votre intérêt pour son travail, toutes vos suggestions sont les bienvenues. Cette revue de presse paraît désormais sur le site de l’UNION-IHEDN, à l’adresse : http://www.union-ihedn.org/ Le 25 octobre 1854 a lieu la charge de la brigade légère. Date : 25 octobre 2014 Attention : il n’y aura pas de revue de presse défense demain – la prochaine revue de presse défense sera diffusée le lundi 27 octobre 2014 Sommaire des articles proposés 1) Enjeux de la Défense, Doctrine, Concepts, Missions : Selon le général Pierre de Villiers, sept responsables de l’attaque de Tiguentourine éliminés par l’armée française Sangaris bascule vers l’Est 2) Relations internationales - Europe de la défense - OTAN : Brésil « l’Amazonie est à nous » Vente d’armes Israël – Inde : révélations sur la signature d’un contrat de $144 millions l’OTAN ne veut pas de conflit avec la Russie 3) Armements - Industries - Économie : Elle sortira des usines Renault à Oran le 10 novembre : la Symbol algérienne en rodage Communiqué de presse relatif aux chiffres des demandeurs d'emploi pour le mois de septembre 2014 Grosses tensions sur les véhicules de l’armée de terre VGE : la France « risque de se retrouver dans la situation » de la Grèce 4) Les forces armées - Air - Marine - Terre - Gendarmerie : Relever le moral des troupes est un enjeu capital pour le chef d’état-major de l’armée de terre Des chefs d’entreprise en immersion dans les armées Le CEMA à l’inauguration du Laser Mégajoule Cérémonie en l’honneur du capitaine de frégate Bonzon 5) Zones de conflits : Alors que le gouvernement vient de fermer la frontière avec la Libye 6 terroristes abattus près de Tunis La bataille pour Benghazi n'est pas encore terminée Liban : la bataille fait rage au centre de Tripoli Kobane: les Kurdes tentent de résister jusqu'à l'arrivée des renforts 6) Renseignements et menaces : Gare au «cauchemar sécuritaire» L’État islamique soupçonné d’avoir mené des attaques au chlore en Irak En Irak, une garde nationale sunnite contre Daech Le Sud de la Libye : zone de transit et sanctuaire de jihadistes 7) Sécurité intérieure : Vérités sur les banlieues 8) Énergie environnement climat : Climat : le Conseil européen adopte un accord minimal 9) Géopolitique de la culture : Démocratie ou EIIL, la jeunesse du Maghreb face à un choix SOS lumières 10) Géopolitique de l’information : Facebook Rooms, un plagiat de Room ? Le premier Microsoft Lumia est pour « bientôt » Google Inbox : test en conditions réelles, avec 700 émails/jour 11) Jour après Jour : le 25 octobre 12) Revue de presse internationale en langue étrangère : For Iraq’s Sunnis, sectarian militias pose an extra threat Russia’s Putin blames US for destabilizing world order With First Case, Mali Boosts anti-Ebola Efforts Report : India Clears Defense Projects Worth $ 13.1 Billion 13) Liste d’articles non retenus mais pouvant être consultés sur demande. ***** Votre avis nous intéresse : si vous voulez réagir à un article de la Revue de presse, vous pouvez contacter directement le responsable de la revue, en adressant un courriel à : [email protected], ou au webmaster du site « union-ihedn.org ». 1/ ENJEUX DE LA DEFENSE - DOCTRINE - CONCEPTS – MISSIONS THEME 1 - 1 : Selon le général Pierre de Villiers, sept responsables de l’attaque de Tiguentourine éliminés par l’armée française Source, journal ou site Internet : El Watan Date 25 octobre 2014 Auteurs : Hacen Ouali Adressé par Jean-François Mazaleyrat Coup dur porté aux djihadistes qui ont mené l’attaque contre le site gazier de Tiguentourine (In Amenas) en janvier 2013. Sept des huit chefs de l’attaque ont été tués, a révélé le chef d’état-major des armées françaises, le général Pierre de Villiers. «Sur les huit chefs, nous avons neutralisé sept d’entre eux. Il n’en reste plus qu’un et nous l’aurons», a déclaré de Villiers sur les ondes d’Europe1. Le huitième chef terroriste serait Mokhtar Belmokhtar, alias le Borgne. Le chef des armées françaises ne fournit pas plus de précision ni sur l’endroit où a eu lieu l’opération de neutralisation des chefs terroristes ni sur le moment. Le général de Villiers, qui était en visite en Algérie à la mi-septembre, prévient : «Si on ne va pas les détruire sur place, un jour ils viendront nuire chez nous.» Pour sa part, l’AFP a indiqué que des responsables du ministère français de la Défense avaient assuré auparavant que «la plupart des responsables de l’attaque d’In Amenas avaient été tués» et que «l’attaque avait eu lieu en Algérie». Et de préciser que des djihadistes, dont Belmokhtar, se seraient «réfugiés en Libye». L’annonce du chef d’état-major des armées françaises intervient au moment où la France s’apprête à renforcer son dispositif militaire dans le nord du Mali dans l’objectif de «riposter à la recrudescence des attaques terroristes dans la région ces dernières semaines». Les groupes terroristes ont attaqué les positions des forces de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (Minusma) à Kidal. Une vingtaine de soldats africains de la mission ont péri durant ces attaques. Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, qui se trouve dans la capitale malienne, a déclaré : «Depuis quelque temps, il y a une recrudescence du terrorisme au nord du Mali. C’est dû à une volonté des groupes terroristes de revenir sur leur défaite de 2013. Il ne faut pas laisser ce mal revenir, c’est la raison pour laquelle nous avons commencé à renforcer notre effort au nord du Mali.» De l’autre côté des frontières, l’armée algérienne intensifie ses opérations, notamment sur la bande frontalière avec la Libye. Des unités d’élite sont mobilisées pour traquer les groupes terroristes qui se seraient repliés en territoire libyen. Si l’Algérie demeure attachée à sa doctrine de non-intervention militaire en dehors de son territoire, elle investit par contre le terrain diplomatique, notamment depuis l’arrivée de Ramtane Lamamra à la tête du ministère des Affaires étrangères. Alger, qui abrite le processus du dialogue intermalien en vue de parvenir à un accord entre Bamako et les groupes du Nord, s’apprête à accueillir les négociations interlibyennes. Le chef de la diplomatie algérienne, fortement impliqué dans ces deux processus parallèles, privilégie «l’approche politique à l’option militaire» dans le règlement des crises sécuritaires qui minent la région. THEME 1 - 2 : Sangaris bascule vers l’Est Source, journal ou site Internet : Bruxelles 2 Date : 25 octobre 2014 Auteur : Nicolas Gros-Verheyde Adressé par Jean-Claude Tourneur Point de situation entre la MINUSCA Et le GTIA Magenta à N’Gakobo (près de Bambari) (crédit : Etat-Major des armées / ECPA) (BRUXELLES2) En Centrafrique, les Français de Sangaris effectuent le travail d’entrée en premier. Après avoir sécurisé l’ouest du pays, et la route (vitale) d’approvisionnement vers le Cameroun, les forces françaises de Sangaris se concentrent actuellement sur les régions du Centre autour de Sibut (Kémo-Gribingui), Kaga Bandoro (Gribingui), Grimari et Bambari (Ouaka). Objectif : stabiliser le couloir central, puis basculer vert l’Est où la situation reste « tendue ». Tenir le centre puis basculer vers l’Est Le transfert d’autorité (TOA) a déjà été effectué avec la MINUSCA (la force des Nations- Unies) sur Bouar puis ce sera au tour de Boda et Bosangoa. Le 20 octobre, « , selon l’Etat-major des armées. Les deu derniers véhicules, toujours à Bangui, rejoignent le couloir central actuellement. Les Français sont déjà à Bria (Haute Kotto). Une compagnie du 1er régiment de tirailleurs (1er RT) « a du pays ». Un niveau de sécurité nécessaire L’objectif est « » explique un officier de Sangaris à B2. « Cela ne signifie pas automatiquement de revenir à la paix. Mais cela représente un niveau suffisant pour permettre à la MINUSCA de prendre le relais ; permettre aux ONG de nécessaire pour g justice, police ou gendarmes). » Le retour de l’administration Ainsi à Bouar, dans l’ouest du pays, la justice se remet en place, « des procès et des jugements sont rendus. Et des peines qui sont exécutées. » A Boda, une task force administrative a été mise en place qui va au delà de l’aspect régalien, s’attachant au questions de environnement et de santé. A Bangui, Sangaris demeure présent, en patrouillant, et en intervenant mais au second rang, en renfort de la MINUSCA ou des forces de sécurité intérieure. Mais le relais va être passé à terme aux forces de police, centrafricaines ou des Nations-Unies. Bangui : une zone police Bangui va devenir une « zone police avec 1800 policiers. Ce q g g . » Dans la capitale centrafricaine, on a « davantage affaire à des questions de délinquance, classique en zone urbaine, de banditisme armé » qui ressortent davantage d’un maintien de l’ordre civil, policier, que d’une intervention militaire. « Il ne faut pas être trop vertueux ou demander trop de choses. » 2/ RELATIONS INTERNATIONALES - EUROPE DE LA DEFENSE - OTAN : THEME 2 - 1 : Brésil « l’Amazonie est à nous » Source, journal ou site Internet :Diploweb Date : 24 octobre 2014 Auteur : Eric G Pinzelli * Adressé par Jean-François Mazaleyrat Comment le Brésil défend sa souveraineté sur le poumon vert de la planète ? *Historien militaire, trilingue français/anglais/portugais. L’auteur a vécu au Brésil de 2007 à 2011, notamment comme Directeur adjoint de l’Alliance française à Manaus.