SCHÉMA D’AMÉNAGEMENT ET DE GESTION DES EAUX

DU BLAVET ATLAS CARTOGRAPHIQUE SOMMAIRE

Données générales page 1

La ressource en eau page 7

L'assainissement page 10

L'agriculture page 13

Les plans d'eau page 20

Les zones humides et les sites Natura 2000 page 22

Les milieux aquatiques page 24

La qualité de l'eau page 27

Les programmes territorialisés page 34

La Directive Cadre sur l’Eau et les objectifs du SAGE page 35

Ce document a été réalisé avec les concours financiers de l’Agence de l’Eau Loire-Bretagne, du Conseil Régional Bretagne, du Conseil Général des Côtes d’Armor et du Conseil Général du .

Réalisation graphique : Yvon GARROS Cartographie et traitement des données: ISL Angers

Document réalisé en Octobre 2005 1 1. Blavet en Europe du SAGE Localisation énérales onnées Le territoire du SAGE s’étend, au centre de la Bretagne, des Côtes d’Armor à la rade de de la Bretagne, du SAGE s’étend, au centre Le territoire plus de 200 Il comprend dans le Morbihan, selon une orientation nord-sud. 000 habitants sur une superficie de 2090 km2. Le bassin versant du Blavet est un fortement artificialisé fait de l’existence sur son cours et de sa canalisation plus la moitié du deux ouvrages de retenue linéaire. au sein du bassin versant, le barrage de Guerlédan est lieu où les inté- Véritable barrière l’amont et l’aval. A l’amont, l’enjeu majeur est le maintien du lien social, entre rêts divergent le développement du tourisme autour lac de Guerlédan est considéré et à ce jour, A l’aval du barrage, le Blavet représente comme une donnée importante pour y parvenir. de plus en importante pour l’eau potable. avant tout une ressource les prélèvements d’eau, voies canalisées sont le lieu d’activités de loi- Par ailleurs, outre aucune véritable politique de développement touristique n’est mise sirs variées. A ce jour, en place de façon concertée. Une réflexion sur le devenir ces voies canalisées est désormais incontournable. aux pages 6 à 15 du diagnostic. Pour plus d’informations, il convient de se référer D G 2. Blavet en Bretagne du SAGE Localisation 3. Blavet périmètre du SAGE Le

2 3 5. La topographie du bassin versant 5. La 4. La géologie du bassin versant 4. La 6. réseau hydrographique Le 7. densité de population par commune La

4 5 9. communautés d'agglomérations et de communes Les 8. L'évolution de la population en nombre d'habitants 10. possibilités de navigation sur les voies canalisées Les

6 7 11. structures de distribution l'eau potable Les /an. Ceux 3 /s). 3 /an et ceux pour 3 /an, et celle pour l’industrie qui 3 au E /an. 3 /an. 3 Un bassin versant très sollicité pour les prélèvements d’eau pondant à environ 10% du volume prélevé, pondant à environ du volume prélevé. sentant 90% environ - 37 captages souterrains, 20 dans les Côtes d’Armor et 17 le Morbihan, corres- - 8 prises d’eau superficielles, 2 dans les Côtes d’Armor et 6 le Morbihan, repré- essource en a Les prélèvements par les syndicats et communes ont deux origines : Les prélèvements d’eau par les collectivités conduisent à des échanges avec bassins de ce qui est prélevé sur le bassin versant dis- 70% environ versants voisins. A ce jour, tribué sur place, 16% est exporté et les pertes sont estimées à 14% . principalement du bassin 16% de l’eau distribuée est importée. Celle-ci provient En outre, qui permet d’alimenter les populations de et Lorient ainsi que la du Vilaine. la part pour l’ali- Pour les volumes d’eau consommés sur le bassin versant, on retiendra mentation en eau potable : un peu plus de 10 millions m il est prévu d’augmenter les capacités de prélèvement des usines Pour les années à venir, bassins ver- de façon plus soutenue, d’autres situées dans le Morbihan, afin d’alimenter, estival de la zone littorale. sants (notamment l’Oust), et de sécuriser l’approvisionnement aux pages 20 à 24 du diagnostic Pour plus d’informations, il convient de se référer Les prélèvements sont majoritairement publics et représentent 17 millions de m publics et représentent Les prélèvements sont majoritairement un peu plus de 7,5 millions m par les industriels représentent effectués s’élève à un peu plus de 7,3 millions m La présence des retenues de Kerné Uhel et de Guerlédan font du Blavet un bassin versant La présence des retenues permettant un pré- en eau est importante sur le plan quantitatif, premier où la ressource le second, un débit réservé à l’aval important (2,5lèvement dans la retenue, m l’agriculture, un peu moins d’un million del’agriculture, m L R 12. prélèvements publics et industriels Les importations et exportations Les 13.

8 9 15. prélèvements pour l'irrigation Les 14. périmètres de protection captage pour l'AEP Les 16. L'état d'avancement des zonages communaux d'assainissement tif de qualité qui lui est assigné, - 19 stations n’engendrent pas de déclassement du cours d’eau au regard de l’objec- pas de déclassement du cours d’eau au regard - 19 stations n’engendrent un déclassement de 1 classe qualité, - 19 stations engendrent - un déclassement de 2 classes qualité, 9 stations engendrent un déclassement de 3 classes qualité. - 11 stations engendrent ’assainissement Sur les 109 communes incluses dans le périmètre du SAGE, 30 communes, dont 21 dans Sur les 109 communes incluses dans le périmètre exclusivement de l’assainissement non collectif. relèvent les Côtes d’Armor, 75 % de la population du bassin versant est desservie par l’assainissement collectif. Les 69 stations d’épuration présentes sur le bassin versant ont une capacité équivalente à plus de 650 000 eqhab dont 45 % sont localisés sur la zone aval (Lorient, , Lanester…). moyen, il est de 86% pour l’azote, 64% le Concernant épuratoire le rendement (avec une variabilité importantephosphore plus : 50 stations abattent moins de 50%, trois les performances plus faibles sont observées pour organique, de 90%). Pour la matière les plus petites stations. des objectifs du SAGEAu regard : déterminé pour 11 stations. sur le milieu récepteur n’a pu être L’impact aux pages 29 à 31du diagnostic Pour plus d’informations, il convient de se référer L

10 11 18. localisation et la capacité des stations d'épuration La 17. parts de l’assainissement collectif et non par commune Les ne plus être en conformité avec l'objectif de bon état demandé par le SAGE 19. stations dont les rejets risquent de déclasser cours d'eau et Les

12 13 20. nombre d'UTA Le par commune reste la principale activité, essentiellement centrée sur la production laitière, la principale activité, essentiellement centrée sur production reste et avicoles, une prédominance des élevages hors sol, porcins limi- où la SAU occupe une fraction de territoire une activité secondaire l’agriculture tée. - La zone amont, correspondant à la partie costarmoricaine du Blavet où l’agriculture - La zone amont, correspondant - La zone médiane, qui englobe les secteurs de et Baud, caractérisée par forte, fait de foncière - La zone aval, de Hennebont à la mer qui, du fait d’une pression ’agriculture Ces caractéristiques agricoles jouent un rôle majeur sur l’occupation de l’espace et la qua- lité de l’eau. La présence importante d’élevages hors sol est liée au développement des industries agroa- dont la densité plus forte se situe dans le sud-est du bas- Le cheptel porcin, limentaires. en volailles 1988 et 2000. L’effectif sin versant (Evel), a notamment augmenté de 25% entre stable alors que le cheptel bovin a diminué de 14%. est resté comme les céréales (surtout maïs-grain, En parallèle, les surfaces de certaines cultures 1988 et 2000). Les céréales (+ 27% entre maïs-semence et blé) ont fortement progressé occupent près des 2/3les prairies temporaires en Herbe a, de la SAU. La Surface Toujours pour sa part, globalement diminué de 38%. du bassin versant Blavet compte 17 cantons sur 28 classés en Zone Le périmètre la plus forte est notée sur la pression de l’azote organique, Au regard d’Excédent Structurel. organique en phosphore à l’Evel. La pression et sur celui de la Sarre le sous-bassin du Tarun sur les 4 sous bassins de l’Evel et ceux du Daoulas la plus importante est enregistrée d’azote organique, du Sulon. Si les bovins contribuent pour près de la moitié à production ce sont les volailles. organique, de phosphore pour la production aux pages 31 à 33 du diagnostic. Pour plus d’informations, il convient de se référer L’agriculture représente une activité économique majeure sur le bassin versant du Blavet. une activité économique majeure représente L’agriculture répartis sur 3700 5000 UTA La population totale active s’élevait, en 2000, à environ agricole s’ajoutent 9000 salariés employés dans 123 exploitations. A cette main d’œuvre essentiellement situées dans la partie morbihannaise du agroalimentaires entreprises du SAGE. périmètre zones agricoles et rurales : Schématiquement, on distingue trois L entre 88 et 2000 entre Evolution de cette surface 0 0 0 2 agricole des communes en 22. Importance de la surface en maïs par rapport à 21. localisation des industries agroalimentaires et ses emplois La

14 15 24. densités de bovins en UGB Les par HA SAUE par commune entre 88 et 2000 entre Evolution de cette surface 0 0 0 2 agricole des communes en 23. Importance de la surface en herbe par rapport à 25. densités de porcins en UGB Les par HA SAUE par commune 26. densités de volailles en UGB Les par HA SAUE par commune

16 17 par sous bassin versant 28. productions d'azote par les différents cheptels Les par HA SAUE par sous bassin versant 27. quantités d'azote organique produites en KG Les par sous bassin versant 30. productions de phosphore par les différents cheptels Les par HA SAUE par sous bassin versant 29. quantités de phosphore organique produites en KG Les

18 19 31. pressions azotées par canton Les 32. nombre de plans d'eau par commune Le sont répartis sur 85 communes du SAGE Blavet (8 2 lans P . 2 au es 808 plans d’eau de plus 1000 m Les sous-bassins où la densité est plus forte sont ceux situés en rive gauche du Blavet du (sous-bassins de l’Evel, du Tarun, morbihannais où les étiages sont plus sévères Pontivy et l’Oust). de la partie du canal situé entre de Pontivy, nord Parmi les impacts des plans d’eau, citons l’aggravation étiages et la détérioration de diminution de l’oxygène et provoquant la qualité de l’eau des cours d’eau (réchauffement variation de pH en suspension…). Cette détérioration ajoutée ; accumulation de matières à certains obstacles physiques liés aux plans d’eau a des conséquences sur les habitats aquatiques et les peuplements piscicoles. Enfin, certains plans d’eau ont été créés sur des biologique naturel. zones humides anéantissant leur fonction de filtre aux pages 35 et 36 du diagnostic. Pour plus d’informations, il convient de se référer plans d’eau par commune en moyenne, variant de 1 à 36). 43% de représentent plus grands plans d’eau (Guerlédan, Kerné Uhel et Korong) Les trois plans d’eau s’élè- la surface totale des 808 plans d’eau. La taille moyenne 805 autres ve à 7400 m L d’E

20 21 34. densités de plans d'eau par sous bassin versant Les à la surface des sous bassins versants 33. L'importance de la surface des plans d'eau par rapport et tourbières (inventaires DIREN - milieux remarquables) 35. 61 Les zones humides inscrites aux inventaires ZNIEFF umides et les atura 2000 H N - les têtes de bassin du Blavet et de l’Hyères ; - les têtes de bassin du Blavet et l’Hyères de Daoulas ; landes de Liscuis et gorges - la forêt de Quénécan, vallée Poulancre, forêt de Pont Calleck ; et Sarre, Scorff - les rivières de Gâvres-Plouhinec. - le massif dunaire ites ones es Pour plus d’informations, il convient de se référer aux pages 41 à 43 du diagnostic. Pour plus d’informations, il convient de se référer 61 zones humides remarquables sont à ce jour répertoriées dans le cadre des inventaires sont à ce jour répertoriées dans le cadre 61 zones humides remarquables cette qualification, seules 29 méritent encore de la DIREN. Toutefois, ZNIEFF et tourbières soit n’existent plus, dont 14 sites qui sont inclus dans des Natura 2000. Les 32 autres, soit se sont banalisées. De multiples facteurs à l’origine de cette évolution : fermetu- et travail du sol, drai- des milieux, création de plans d’eau, plantations, mise en culture re nage, urbanisation et eutrophisation… comme la régulation des intérêts reconnus Les zones humides présentent de nombreux et l’amélioration de la qualité des eaux, en eau, l’autoépuration, la protection ressources des sols... Elles contribuent également à la biodiversité. stabilisation et la protection Par ailleurs, il importe de ne pas oublier les zones humides plus banales, non connues car non inventoriées à ce jour. des zones humides passe par la connaissance et gestion de ces der- Ainsi, la protection nières. Par ailleurs, le bassin versant est concerné par 4 sites Natura 2000 : L Z S

22 23 36. sites Natura 2000 Les 37. réseau de mesures la qualité biologique Le quatiques A ilieux es Trois sources de données permettent à ce jour de mesurer la qualité de l’eau d’un point de données permettent à ce jour mesurer sources Trois vue biologique et pisci- : Les indices biologiques (IBGN et IBD), le réseau hydrobiologique cole (RHP) et l’état des contextes piscicoles, issus Plans Départementaux Pour la Gestion piscicoles (PDPG) mesuré au travers du Réseau d’Observation des Milieux (ROM). et de leur répartition sur le peu important de stations mesures Compte tenu du nombre pour appréhender sont insuffisants réseaux de mesure bassin versant, les deux premiers la situation. au ROM, les contextes piscicoles sont en majorité perturbésSi l’on se réfère sauf sur la du Blavet morbihannais. Parmi situés en rive droite partie amont ainsi que sur les affluents les facteurs dégradants, on note sur le cours principal un déficit important de zones frai entravant sa à de multiples difficultés la truite est confrontée Sur les affluents, du brochet. et sa circulation. reproduction accès aux zones de frai De même, les migrateurs dont le saumon, n’ont pas suffisamment les bar- du fait de la présence d’obstacles infranchissables. Parmi ces obstacles figurent centrales, d’étangs…, certains situés pourtant sur rages d’écluse, de moulins, micro de l’article L 432- 6 du code l’environnement. classées à migrateurs au titre des rivières marine, espèces comme l’anguille, la lamproie Peu d’information existe au sujet d’autres l’alose… aux pages 44 à 50 du diagnostic. Pour plus d’informations, il convient de se référer L M

24 25 du code de l'environnement L 432-6 l'article 39. rivières classées à migrateur au titre de Les d'observation des milieux (ROM) 38. états des contextes piscicoles d’après le réseau Les 40. franchissabilité des obstacles pour le saumon La

26 27 41. réseau de mesures la qualité physico-chimique l'eau Le au E ualité de l’ a La qualité de l’eau est un enjeu majeur pour les usages et la biodiversité. du bassin versant fait l’objet d’un suivi de la qualité des eaux douces superfi- L’ensemble objectifs. Il en résulte visant différents réseaux de mesures cielles au travers de différents analysés et des fréquences d’analyses, ainsi au niveau des paramètres une hétérogénéité que des manques (flux). Les résultats disponibles indiquent une stabilité ou amélioration des concentrations et oxydables (MOX). organiques pour les matières années, la qualité de l’eau nitrate, bien que stable sur les dernières du paramètre Au regard mauvaise (grille SEQ Eaureste : 25-50 mg/l) avec une dégradation de l’amont vers l’aval. la qualité de l’eau se dégrade d’amont en aval même En ce qui concerne le phosphore, dans la rade que dans le temps. Des pics de concentration sont observés l’on retrouve de Lorient. et de Kerné concerne Uhel, les deux étangs du Korong d’eutrophisation La problématique le lac de Guerlédan, ainsi que certains biefs du Blavet canalisé. conséquences dont la présence, à cer- entraîne différentes On notera que l’eutrophisation taines périodes, de cyanobactéries. pour indiquer une interpréta- peu nombreuses Pour les pesticides, données sont trop tion fiable. On note parfois un dépassement des normes de potabilité. touchés par la dégradation de qualité Deux bassins versants sont particulièrement l’eau nitra- et le Sulon (en particulier pour paramètre paramètres) : l’Evel (pour différents te). de la qualité l’eau zone estuarienne répondent les réseaux de mesures Nombreux, à des objectifs variés. Dans la rade de Lorient, les activités conchylicoles sont limitées pour des raisons sani- taires. sont constatés. La rade de Lorient est Des pics de concentration en azote et phosphore comme l’indiquent les pics de phytoplancton obser- exposée à un risque d’eutrophisation, vés. aux pages 53 à 63 du diagnostic. Pour plus d’informations, il convient de se référer L Q 42. L'évolution des teneurs en COD 43. L'évolution des teneurs en NH4

28 29 45. L'évolution des teneurs en Pt 44. L'évolution des teneurs en NO3 ) 2 0 0 2

-

0 0 0 2 ( qualité de l'altération matières organiques et oxydables 46. L'évolution des teneurs en chlorophylle a 47. La

30 31 ) 2 0 0 2

-

0 0 0 2 ( 49. qualité de l'altération nitrates La ) 2 0 0 2

-

0 0 0 2 ( 48. qualité de l'altération matières azotées La 51. réseau de mesures dans la zone estuarienne Le ) 2 0 0 2

-

0 0 0 2 ( 50. qualité de l'altération matières phosphorées La

32 33 des coquillages vivants de la zone estuarienne 52. classement sanitaire des zones de production Le les opérations de type “bassin versant” 53. contrats restauration entretien (CRE) et Les erritorialisés T . Bretagne Eau Pure (BEP) sur le Haut Blavet et Frémeur Eau Pure . Bretagne . Contrat de type bassin versant sur le canton Baud du Blavet morbihannais. - Les Contrats Restauration Entretien (CRE)- Les Contrats Restauration Entretien : sur le Haut Blavet et certains affluents - Les contrats de type bassin versant : rogrammes es Les premiers permettent notamment de lutter contre les pollutions diffuses d’origine agri- les pollutions diffuses permettent notamment de lutter contre Les premiers des et l’entretien cole. Les seconds ont pour objectif principal de planifier la restauration cours d’eau. Deux types de contrats territorialisés sont actuellement en cours sur le bassin versant : L P

34 35 des objectifs de la DCE 54. masses d'eau superficielle vis à du respect Les . La Directive impose également l’absen- . La Directive bjectifs du O du bon état des eaux de surface (du point vue chi- et les être réalisées qu’en plusieurs étapes excédant le délai de 2015, être les améliorations du milieu dès 2015. - les améliorations nécessaires ne peuvent, pour des raisons de faisabilité technique, - les améliorations nécessaires serait exagérément coûteux, - l’achèvement des améliorations nécessaires - les caractéristiques du milieu, et notamment son inertie, ne permettraient pas de voir a mique et écologique) des eaux souterraines pour les eaux de surface et souterraines, ainsi ce de dégradation complémentaire là où s’appliquent déjà c’est à dire des objectifs dans les zones protégées que le respect dans le domaine de l’eau. les textes communautaires en 2015. En terme d’échéance, l’article 4 précise que l’objectif de bon état est à atteindre en 2027, sans que atteint en 2021, et au plus tard Ce bon état peut éventuellement être davantage, dans 3 cas précisl’état des masses d’eau ne se détériore : la qualité de l’eau et et de reconquérir Afin de se caler sur ces exigences réglementaires le SAGE dans des milieux aquatiques, la Commission Locale de l’Eau a décidé d’inscrire une stratégie ambitieuse dont un des fondements est la désignation de secteurs prioritaires d’actions spécifiques. pour la mise en œuvre La Directive Cadre sur l’Eau (DCE) fixe “les principes de base d’une politique durable Cadre La Directive et pour les eaux sou- l’eau”, à la fois pour les eaux de surface, y compris côtières, terraines. Son objectif principal est l’atteinte L DCE SAGE programmes d'actions renforcées 56. secteurs prioritaires pour la mise en place de Les des objectifs de la DCE 55. masses d'eau souterraine vis à du respect Les

36 37 de type “bassin versant” 58. secteurs prioritaires pour la mise en place d'opérations Les d'une gestion des zones humides locales 57. secteurs prioritaires pour la mise en oeuvre Les pour déterminer leur évolution sur le plan de la qualité 60. masses d'eau nécessitant des études complémentaires Les 59. décharges à réhabiliter Les

38 39 d'opérations de réhabilitation des habitats 61. bassins versants prioritaires pour la mise en œuvre Les Centre d'Exploitation de la Niel 56 920 Noyal-Pontivy Téléphone : 02 97 25 97 80 Fax : 02 97 25 97 81 Courriel : [email protected] calque 3/11/05 6:32 Page 1