PRESENTATION page 3

HISTORIQUE DES TRAVAUX page 7

ETAT DES LIEUX page 8

PROGRAMME D’INTERVENTION page 9

ESTIMATION DES COUTS D’ENTRETIEN page 12

PROGRAMME PLURIANNUEL ET FINANCEMENT page 13

L'objectif d'un tel programme est de permettre un écoulement naturel des eaux tout en contribuant au bon état écologique du cours d’eau ou, à défaut, à son bon potentiel écologique.

Pour y parvenir, une planification technique et financière des interventions à effectuer est nécessaire.

Ce document, pièce essentielle à une bonne gestion du cours d’eau, ne constitue qu’un cadre de travail susceptible d’être modifié pour répondre à des situations imprévues (tempête) ou à des besoins nouveaux inhérents au retour au bon état écologique.

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PRESENTATION

1) Aspect géographique

L’ prend sa source dans le département de la (51), sur la commune de Saint-Genest au lieu-dit « La Ferme de la Rivière ».

Après un parcours de quelques kilomètres dans ce département, l’Aubetin entre en -et-Marne, le traverse du sud-est au nord-ouest, sur environ 50 km, avant de confluer avec le (en rive gauche) sur la commune de .

Le bassin versant de l’Aubetin couvre, en Seine-et-Marne, une superficie d’environ 300 km 2 et compte 32 communes.

(cf. annexe n°1, carte du bassin versant)

2) Aspect humain

A l’exception de la partie aval, assez urbanisée, le bassin versant est plutôt à dominante rurale. L’activité agricole est orientée, à l’amont d’, vers des cultures intensives (céréales, maïs ou betteraves) ; dans la partie aval, les zones de cultures font place à des zones de prairies et des boisements plus importants.

3) Aspect hydrogéologique

La rivière coule sur des alluvions modernes qui reposent sur les Calcaires et les Marnes du Bartonnien, avec apparition des Calcaires plus profonds du Lutétien au niveau de Villiers-Saint-Georges. Jusqu’à la confluence, les alluvions reposent ensuite sur les calcaires de Champigny avec prédominance des marnes supragypseuses dans le secteur d’Amillis / .

Compte-tenu de la nature karstique du sous-sol, la rivière présente des phénomènes de pertes qui entraînent des variations de débits parfois importantes.

4) Aspect hydraulique

En période de crues, les débits peuvent présenter des valeurs élevées (15 m3/s à Mauperthuis en février 78). Sur le cours amont, les débits d’étiage sont relativement faibles compte- tenu des apports quasi nuls des affluents. Dans sa partie aval, les débits d’étiage sont plus élevés suite à des apports d’eau provenant de la nappe phréatique ou des affluents latéraux. La pente moyenne de la rivière est très faible, de l’ordre de 1,7 ‰, avec des valeurs plus marquées au niveau d’Augers-en-Brie, de Fortail et des cascades du Poncet à Pommeuse.

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L’Aubetin possède, en Seine-et-Marne, de nombreux affluents dont les principaux sont, de l’amont vers l’aval :

‹ ru de Turenne (RD) ‹ ru des Nouvelles (RG) ‹ ru Puisé (RG) ‹ ru de Volmérot (RD) ‹ ru de l’Etang (RG) ‹ ru de Saint Géroche (RD) ‹ ru de (RD) ‹ ru de Fontenelle ou ru de la Baguette (RD) ‹ ru Maclin (RD) ‹ ru de la Loef (RD) ‹ ruisseau de l’Oursine (RD)

Par ailleurs, le cours de l’Aubetin est entravé par 18 ouvrages ; ce sont d’anciens moulins n’ayant plus d’usages aujourd’hui ou des seuils installées par les pêcheurs.

5) Aspect qualité du milieu

Dans la partie amont et jusqu’à Amillis, la seule granulométrie qui constitue le fond du lit mineur est un substrat argileux, et la ripisylve est quasi ‐inexistante. Sur la partie aval, blocs et graviers apparaissent et les faciès lotiques sont dominants. La largeur de l'Aubetin varie de 3 m à l'amont à 6 m dans sa partie aval. Les habitats piscicoles sont quasi ‐inexistants sur le tronçon en amont d'Amillis, compte tenu de l'absence de granulométrie diversifiée, d'herbiers aquatiques et de sous ‐berges, ne permettant pas de trouver de zones de développement ni de reproduction favorables. Ce secteur est sensible aux assecs marqués. A l'aval, la diversification des faciès, les substrats hétérogènes et la pente plus marquée due à la présence de seuils naturels, favorisent le développement potentiel d'un peuplement ichtyologique équilibré. Ainsi, la granulométrie est constituée de blocs et graviers, accompagnés de sables plus ou moins fins dans les zones courantes, tandis que les sables et vases se déposent dans les zones lenthiques ; des herbiers de végétation aquatique apparaissent. Certains affluents (ru de l'Oursine, ru de Loef et ru Maclin) présentent des faciès favorables à la reproduction et la croissance de la Truite fario.

(source SDVP 77)

6) Aspect piscicole

Classé en 1ère catégorie piscicole sur toute sa longueur, l’Aubetin présente, dans sa partie amont où les habitats piscicoles sont inexistants, un peuplement ichtyologique atypique et excessivement appauvri. Dans le cours aval apparaît un peuplement piscicole mixte, où les espèces caractéristiques d’un peuplement salmonicole (Truite Fario, Chabot, Loche Franche) côtoient les espèces cyprinicoles d’eau vive (Chevesne, Gardon, Goujon ...).

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Au niveau de la pratique de la pêche, on recense une seule association agréée (l’A.A.P.P.M.A des Tire-Bouchons de Pommeuse) et 3 sociétés privées (la Truite Saint Augustinoise, la Truite de l’Aubetin à Béton-Bazoches et la Fario à Saints).

La gestion de la pêche sur le secteur de l’Aubetin concerné par le projet est encadrée par une société de pêche privé (la Fario à Saints) et non une A.A.P.P.M.A. Ce qui permet d’identifier le public cible à touché en vue d’une communication sur les aspects de continuité écologique.

7) Aspect réglementaire

L’Aubetin est un cours d’eau non domanial dont les polices de l’eau et de la pêche sont assurées par la Direction Départementale des Territoires (DDT).

8) S.A.G.E

Le Schéma d’Aménagement et de Gestion des Eaux (S.A.G.E) des 2 Morin est en cours de réalisation depuis septembre 2007, date de recrutement de l’animatrice.

La structure d’accueil de la CLE (Commission Locale de l’Eau), chargée de l’animation du S.A.G.E., est le S.I.V.H.M. (Syndicat Intercommunal de la Vallée du Haut Morin) situé à la Ferté Gaucher.

Le Diagnostic du SAGE des Deux Morin a été validé par la commission locale de l'eau le 31 mai 2011. Le projet de Schéma d’Aménagement et de Gestion des Eaux des Deux Morin a été validé par la CLE le 13 janvier 2014. Il est soumis à la consultation des assemblées jusqu’au 1er août 2014. La CLE a été renouvelée par arrêté préfectoral du 31 octobre 2014.

9) Les Syndicats de rivière existants

L’Aubetin compte, sur son cours, 3 syndicats :

‹ Syndicat Intercommunal d’Aménagement et d’Entretien du Bassin Amont de l’Aubetin (de Villiers-St-Georges à Frétoy)

‹ Syndicat Intercommunal d’Etudes pour l’Aménagement et l’Entretien du Bassin de l’Aval de Aubetin (réunit les communes d’Amillis et Beautheil)

‹ Syndicat Intercommunal d’Etudes et de Travaux pour l’Aménagement et l’Entretien du Bassin du Grand Morin (prend en charge l’Aubetin sur la commune de Pommeuse)

Par ailleurs, certaines communes telles que St Augustin, Mauperthuis, Saints ou , n’appartiennent à aucun syndicat. A noter cependant, qu’en 1998, plusieurs d’entre elles se sont rapprochées afin d’entretenir l’Aubetin ponctuellement par le biais d’un chantier d’insertion.

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10) Le syndicat de l’Aubetin aval et sa zone de compétence

Dans ce document, seul le tronçon de rivière sur les communes de d’Amillis et de Beautheil, soit 15 km environ, sera étudié puisque étant la zone de compétence du Syndicat Intercommunal d’Etudes pour l’Aménagement et l’Entretien du Bassin de l’Aval de Aubetin.

Ce Syndicat, dont le siège est à la mairie d’Amillis, regroupe les 2 communes suivantes : Amillis et Beautheil.

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HISTORIQUE DES TRAVAUX

1) Aménagement

De par son classement en domaine privé, le lit de l’Aubetin appartient aux propriétaires riverains qui, en contre partie, ont le devoir d’en assurer le bon entretien. Toutefois, suite au désintérêt de la plupart des propriétaires riverains et face aux fréquentes inondations, les communes se sont constituées en syndicat afin de se substituer à ceux-ci.

Les étapes importantes sont reprises ci-dessous :

1988 ÙÙÙ création du syndicat.

1989 ÙÙÙ Remplacement du ponceau endommagé sur le ru Maclin par un ouvrage neuf

1990 ÙÙÙ Aménagement de la rivière de part et d’autre du moulin d’Amillis (curage, enrochement)

ÙÙÙ Etude topographique du parc du couvent à Amillis

1991 ÙÙÙ Reconstruction et élargissement du pont du ru Maclin à Beautheil

à partir ÙÙÙ Plusieurs projets (vannage dans le couvent à Amillis, de 1992 élargissement du pont de Champ Blanchard, curage à Beautheil) n’ont pas vu le jour.

2) Entretien

Depuis les années 90, l’Aubetin n’a fait l’objet d’aucun entretien si ce n’est de la part de quelques riverains effectuant un broyage non sélectif de la végétation de berges.

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ETAT DES LIEUX

Le repérage effectué le 23 avril 2009 a permis de constater, outre un léger encombrement du lit, un état général relativement satisfaisant au regard de deux décennies d’abandon.

(cf. annexe n°2, planche photographique)

Pour plus de clarté, 3 secteurs ont été définis tenant compte de l’état de la rivière, il s’agit :

Secteur A – B (secteur boisé / 6300 m)

‹‹‹ présence de quelques embâcles ‹‹‹ ripisylve importante et équilibrée dans les tranches d’âge ‹‹‹ très peu de branches basses

Secteur B – C (secteur mixte / 4200 m)

‹‹‹ peu d’embâcles ‹‹‹ ripisylve relativement dense (forte repousse de jeunes sujets) ‹‹‹ nombreuses branches basses

Secteur C – D (secteur agricole / 3200 m)

‹‹‹ très peu d’embâcles ‹‹‹ ripisylve clairsemée (broyée par les riverains ) ‹‹‹ peu de branches basses

(cf. annexe n°3, carte de l’état des lieux)

La présence de tels embâcles, notamment les plus importants, représente un réel danger pour la sécurité des riverains de l’Aubetin. En effet, ils provoquent une augmentation de la hauteur d’eau de la rivière et une diminution des capacités d’écoulement, préjudiciable en cas de crue.

Outre l’aspect sécurité, les embâcles de grandes tailles ont des conséquences sur le vivant : en retenant les sédiments et en diminuant l’oxygénation du milieu, ils modifient les habitats aquatiques et entravent la circulation de la faune aquatique. (cf. annexe n°4, carte de l’état de la ripisylve)

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PROGRAMME D’INTERVENTION

Suite à ce repérage, il apparaît évident que le retour à une situation satisfaisante, à tous points de vue (hydraulique, biologique) passe par l’enlèvement des embâcles les plus importants.

L’objectif de l’entretien est de maintenir le cours d’eau dans un état satisfaisant et, si possible, l’améliorer par l’exécution de travaux légers tels que définis dans l’actuel code de l’Environnement :

« Art. L. 215-14 – Sans préjudice des articles 556 et 557 du code civil et des chapitres 1 er , II, IV, VI et VII du présent titre, le propriétaire riverain est tenu à un entretien régulier du cours d’eau. L’entretien régulier a pour objet de maintenir le cours d’eau dans son profil d’équilibre, de permettre l’écoulement naturel des eaux et de contribuer à son bon état écologique ou, le cas échéant, à son potentiel écologique, notamment par enlèvement des embâcles, débris et atterrissements, flottants ou non, par élagage ou recépage de la végétation des rives. »

Aussi, l’entretien régulier de l’Aubetin sera donc conduit, dans le détail, de la manière suivante :

1) Nature des travaux

Les travaux vont consister à rétablir un écoulement naturel en intervenant à la fois sur le désencombrement du lit (gestion des embâcles) et sur la végétation des berges afin de rétablir une ripisylve (élagage non systématique des branches basses, sélection des repousses, abattage des peupliers morts, taille des saules en têtard, plantations).

¶¶¶ Entretien du lit

Les travaux consistent à retirer les embâcles qui se sont formés et accumulés dans le lit de la rivière, notamment au niveau des ouvrages. Les petits embâcles seront laissés en place afin de servir d’abris ou de contre-courants.

L’élimination des embâcles formés de troncs, de branches et tout matériaux en bois sera réalisée selon le procédé décrit dans le paragraphe suivant.

Les détritus et déchets, autres que du bois, sont évacués conformément à la réglementation en vigueur.

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¶¶¶ Entretien des berges

Ils consistent essentiellement en un entretien de la végétation, associé ponctuellement à un nettoyage du lit, le tout ayant comme objectif une maîtrise de la végétation et un meilleur écoulement des eaux en préservant le potentiel biologique et paysager de cette vallée. Ils peuvent être détaillés ainsi :

® coupe sélective et non systématique des tiges et branches basses gênant l’écoulement des eaux,

® préservation de la végétation hygrophile (iris, roseaux, massettes…) installée en pied de berge et servant de refuge à de nombreuses espèces (poules d’eau) tout en conservant un chenal d’écoulement des basses eaux,

® coupe non systématique des arbres risquant d’être dessouchés et de basculer dans le lit de la rivière,

® recépage des jeunes pousses et des anciennes souches (à l’exclusion du peuplier qui sera éliminé) ayant rejeté en haut de la berge afin de sélectionner les meilleures tiges et de réinstaller un cordon végétalisé le long de la rivière,

® coupe d’espèces indésirables et inadaptées tels que les peupliers hybrides ou les résineux,

® sélection de ripisylve afin d’obtenir une diversité des essences et des âges du boisement présent,

® coupe têtard des vieux saules qui servent d’abris à de nombreuses espèces,

® enlèvement des embâcles majeurs induisant des contraintes physiques (libre écoulement des eaux, déstabilisation et/ou une érosion des berges, colmatage du lit) et des perturbations biologiques (migration piscicole) ainsi que les embâcles d’origine artificielle ou menaçant les ouvrages. Les petits embâcles seront laissés en place afin de servir d’abris ou de contre-courants.

Tous les produits provenant du déboisage et de l’enlèvement d’embâcles, tels que houppiers, branches et bois d’un diamètre inférieur à 15 cm, seront éliminés selon la réglementation en vigueur, c’est-à-dire qu’ils seront broyés, exportés ou laisser sur place (à 4 m minimum de la berge et uniquement dans les zones boisées) et serviront ainsi d’abri pour la faune. Il est à noter que le brûlage est interdit en vertu des dispositions de l’article 84 du règlement sanitaire départemental. Les arbres d’un diamètre supérieur à 15 cm seront coupés en grumes et mis en dépôt, sur la parcelle correspondante, à 4 m minimum de la berge.

Remarque sur la préservation de la ripisylve : outre son intérêt paysager, celle- ci assure une bonne tenue des berges par l’entrelacis de racines et, par l’ombrage procuré, prévient des proliférations d’espèces hygrophiles. L’Aubetin aval a des berges majoritairement boisées. Cependant, des plantations, issues d’espèces locales, doivent être envisagées sur les secteurs les plus dénudés.

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¶¶¶ Dispositions pratiques

L’ensemble des travaux d’entretien sera réalisé, de préférence, entre les mois de septembre et de novembre afin de réduire au minimum leur impact sur la faune et la flore aquatique et terrestre.

Afin de faciliter le bon déroulement des travaux, les riverains sont tenus de permettre le libre passage des engins mécaniques servant aux opérations de restauration de la ripisylve et ce dans la limite d’une largeur de 6 m comptée à partir de la crête de la berge.

2) Modalités d’exécution

Les travaux seront exécutés d’aval en amont, afin d’éviter l’afflux de grandes quantités d’eau dans les zones qui ne sont pas encore dégagées. Pour chaque zone de travaux, en revanche, ils se dérouleront de l’amont vers l’aval, pour utiliser le sens d’écoulement de l’eau et faciliter les travaux.

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ESTIMATION DES COUTS D’ENTRETIEN

1) Définition des secteurs

En règle générale, le retour d’entretien sur un même secteur ne peut excéder quatre ou cinq années. Ce délai est essentiellement imposé par la vigueur de la végétation des rives et des pistes en zones boisées. Ainsi, cinq secteurs ont été définis. (cf. annexe n°5, carte de sectorisation)

Il s’agit de l’aval vers l’amont :

Secteur n°1 : de la confluence entre ru Maclin et Aubetin (limite de compétence du syndicat) à la route de Niveté (Beautheil), soit 2200 ml et la fausse rivière entre la confluence avec Aubetin et Niveté soit 800 ml. Soit un linéaire total de 3000 ml.

Secteur n°2 : de la route de Niveté (Beautheil) à la Montagne (D 209), soit 2500 ml et la fausse rivière entre Niveté et confluence avec Aubetin sur 900 ml. Soit un linéaire total de 3400 ml.

Secteur n°3 : de La Montagne (D 209) au pont Bourba en amont d’Amillis, soit 3200 ml.

Secteur n°4 : du pont Bourba à la limite de commune Amillis/Dagny (GR 14) et le ru de Chevru entre la confluence avec l’Aubetin et limite de commune Amillis/Chevru, soit 4000 ml.

Secteur n°5 : le ru Maclin, de la confluence avec l’Aubetin jusqu’à Beautheil, soit 2000 ml.

2) Estimation financière

En s’appuyant sur des chantiers analogues et en tenant compte de la diversité des faciès, le coût moyen d’intervention est estimé à :

3,5 euro HT / ml de rivière

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PROGRAMME PLURIANNUEL ET FINANCEMENT

Devis estimatif

Année Secteur Linéaire Coût Divers Total HT TVA Total TTC d’entretien et en € en € en € en € imprévus (arrondi) en €

n n°1 3 km 10 500 1 000 11 500 2 254 13 754 (du ru Maclin à Niveté) + fausse rivière

n + 1 n°2 3,4 km 11 900 1 000 12 900 2 528 15 428 (de Niveté) à D209) + fausse rivière

n + 2 n°3 3,2 km 11 200 1 000 12 200 2 391 14 591 (de la D209 au pont Bourba)

n + 3 n°4 4 km 12 000 1 000 13 000 2 548 15 548 (du pont Bourba à (sur ce secteur Dagny) + Ru de le coût Chevru jusqu’à limite d’intervention de commune est estimé à Amillis/Chevru 3 € HT)

n + 4 n°5 2 km 7 000 500 7 500 1 470 8 970 (ru Maclin de l’Aubetin jusqu’à Beautheil)

Remarque : ce budget moyen de 13 700 € TTC / an est une estimation qui est susceptible de varier en fonction des interventions à réaliser (moyens à mettre en oeuvre, localisation des travaux, difficultés d’accès, etc.). Aussi, chaque année, un repérage préalable sera indispensable afin d’ajuster au mieux les dépenses.

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Financement

Le coût annuel de ces travaux étant évalué à 13 700 € toutes taxes comprises, le plan de financement est établi comme suit :

® Subvention de l’Agence de l’Eau Seine Normandie 5.480 € (40% du montant TTC)

® Subvention de l’Entente Marne 4.110 € (30% du montant TTC)

® Autofinancement du Syndicat 4.110€ (1) (le solde)

(1) soit environ 2.055 € par commune et par an.

lll

Définition de l’Entente Marne : Institution Interdépartementale regroupant les cinq Conseils Généraux du bassin de la Marne qui en assurent le financement (Aisne, Marne, Haute Marne, Meuse, Seine-et-Marne)

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1 – C ARTE DU BASSIN VERSANT

2 – P LANCHE « PHOTOS »

3 – C ARTE DE L ’ETAT DES LIEUX

4 – CARTE ETAT DE LA RIPISYLVE SUR L ’AUBETIN AVAL

5 – CARTE DE SECTORISATION

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