ého. ého. V et eillon R Blémerey, à Laneuveville-aux- Hériménil,

ndré Desenclos Desenclos ndré A vosgien le encore , , Emberménil,

Harbouey, Montreux et ou ou Nonhigny et Montreux , ezouze, V Domèvre-sur- ,

lément à à lément C héo T et Lauthe Jean , , rracourt, A

glise monument aux morts l’équipe composée des architectes architectes des composée l’équipe ngomont, A ncerviller, A d’ é ,

lbe, lbe, A hazelles-sur- C à ésar C Fernand

plans d’urbanisme des communes communes des d’urbanisme plans 1

contribution de qualité comme comme qualité de contribution libérale : il réalise notamment les les notamment réalise il : libérale Henry Deville réalise le plan

connus apportent aussi une une aussi apportent connus exerce parallèlement une activité activité une parallèlement exerce d’aménagement de la commune,

D’autre part, des noms moins moins noms des part, D’autre libérées de l’Est de la et et France la de l’Est de libérées c’est surtout le centre (Couvey) qui

compositions urbaines magistrales. urbaines compositions d’architecte en chef des régions régions des chef en d’architecte a été touché par les destructions. Il

Hornecker à qui livrent des des livrent qui Leintrey à Hornecker le gouvernement, la fonction fonction la gouvernement, le conçoit aussi le projet de «restitution»

arux ou Joseph Joseph ou arux P à Biet Georges Il se voit confier en 1922 par par 1922 en confier voit se Il de l’église dont la première pierre a

Nonhigny cole de Nancy comme comme Nancy de cole é l’ de vosgien. iémont P du et ezouze V été posée le 30 octobre 1921. Cette

église, mairie, monument aux morts des architectes de premier plan plan premier de architectes des des édifices institutionnels de la la de institutionnels édifices des reconstruction précoce, dès 1922, fut

de cette période on retrouve retrouve on période cette de

reconstruction des villages et et villages des reconstruction considérée alors comme le symbole de 2

omme autres figures importantes importantes figures autres omme C en 1919, est centrale dans la la dans centrale est 1919, en la renaissance des églises dévastées D’origine romane, l’église de guerre mondiale par un dôme l’arrondissement de Lunéville Lunéville de l’arrondissement du diocèse. Elle est la première église Nonhigny a été reconstruite durant en béton armé, sous la direction

è

salle des fêtes de cette commune. cette de fêtes des salle (1871-1939), architecte de de architecte (1871-1939), achevée dès 1923. L’église est à nef le second quart du XX siècle. de l’architecte Jean Lauthe

ezouze, ainsi que la la que ainsi ezouze, V Domèvre-sur- La figure d’Henry Wilfried Deville Deville Wilfried d’Henry figure La unique avec un clocher-porche à demi Elle présente un toit masqué (1925). Le plan d’aménagement

de Neuviller-lès-Badonviller, et de de et Neuviller-lès-Badonviller, de dans œuvre. L’importance de l’édifice par une balustrade, une solution est réalisé par Moitrier. Une

Baccarat (1924), la mairie-école mairie-école la (1924), unanimement reconnus et salués. et reconnus unanimement conduit l’architecte à opter pour une technique qui s’est avérée peu place plantée d’arbres constitue

aussi l’hôtel de ville et la poste de de poste la et ville de l’hôtel aussi cette production dès 1922, ont été été ont 1922, dès production cette solution de voûtement pour franchir adaptée au climat lorrain. Dotée l’articulation entre l’église et la

qu’il a construits, on peut noter noter peut on construits, a qu’il Moselle et les premiers résultats de de résultats premiers les et Moselle la portée. C’est l’entreprise de Jean d’une flêche néo-gothique aumairie-école. De beaux exemples

è

armi les bâtiments importants importants bâtiments les armi P sont mises en place en Meurthe-et- en place en mises sont Vercelli qui réalise le gros œuvre, et cours du XIX siècle, elle-même d’architecture domestiques sont

Maurice-aux-Forges et de . de et Maurice-aux-Forges La célérité avec laquelle les choses se se choses les laquelle avec célérité La met en œuvre les voûtes d’ogives en remplacée après la première observables dans la commune.

aint- S de Neuviller-lès-Badonviller, abondant de la pierre locale. pierre la de abondant béton armé. Les vitraux sont dûs à

1945), de Gerbéviller, d’Halloville, de de d’Halloville, Gerbéviller, de 1945), ancrage fort au territoire par l’usage l’usage par territoire au fort ancrage Jacques Gruber (1870-1936), artiste

d’Emberménil (détruite en 1939- en (détruite d’Emberménil du passé, et en recherchant un un recherchant en et passé, du connu pour avoir réalisé au début du

è Harbouey ezouze, ezouze, V Domèvre-sur- de (1922), tout en intégrant des citations citations des intégrant en tout XX siècle les vitraux et verrières des

église ncerviller ncerviller A d’ églises des projets courants artistiques de l’époque, l’époque, de artistiques courants bâtiments les plus significatifs de l’école Il conçoit, entre autres, les les autres, entre conçoit, Il

inspiration dans la production des des production la dans inspiration de Nancy. Il a hérité de nombreuses 3Cette église de la première

ôle et Xousse. et ôle P ainte- S Forges,

dans une modernité qui puise son son puise qui modernité une dans commandes en cette période de reconstruction a été conçue en 1925

aint-Maurice-aux- S Badonviller,

une volonté d’inscrire les édifices édifices les d’inscrire volonté une reconstruction et a notamment réalisé par les architectes Jean Lauthe (Nancy)

Bois, Montigny, Neuviller-lès- Montigny, Bois, par caractérise se econstruction R La La la reconstitution de vitraux des églises et Théo Clément (Belgique). Assez

d’Ancerviller, de Montreux, de , singulière, elle présente un style néo-

de Badonviller et d’Herbéviller. Ceux

P V I régionaliste hésitant : d’une inspiration émont i en ezouze de re i néra i

t de l’église d’Ancerviller représentent à mi-chemin entre des modèles superbement, entre autres, les d’architecture romano-byzantine et scènes de l’adoration des Mages, les formes plus épurées explorées du baptême de Jésus, du miracle par ces mêmes architectes dans le de la résurrection de Lazare ou de projet de Montreux. Un contraste la prophétie du Mont des oliviers. perceptible dans l’opposition de style entre le traitement du pignon, chargé Réalisé par le CAUE 54 à l’occasion du de marques et de symboles, et le colloque Architecture et urbanisme clocher dépourvu de décor. A après la Grande Guerre, organisé par l’intérieur se trouve un très beau la Direction Régionale des Affaires maître-autel et une grille de Culturelles et les Archives communion réalisés par Jules Cayette. modernes de l’architecture lorraine. i émont Couverture ontreux

P M Leintrey / © Collection musée Lorrain église en

Rédaction : Luc BONACCINI avec la à Montreux, le plan d’aménagement5 participation de Marie-Agnès SONRIER est de Moitrier. L’église de l’Assomption datait du XVIIIè siècle, d’aspect

Photographies : CAUE 54 et autres ezouze classique, son clocher-porche était

sources indiquées V

déjà couvert par un toit en pavillon. Antoine / Jacques © AOA

Conception graphique : Manon la première de Les architectes Théo Clément et Jean LEFRANC reconstruction Lauthe conçoivent un projet modeste Impression : Imprimerie CD 54 par ses dimensions, mais riche dans Septembre 2017 ses dispositifs architecturaux qui

dans le lunévillois t i néra i re Tous droits réservés I reprennent en partie les dispositions d’origine. Le programme est enrichi Parux par l’ajout de chapelles latérales qui église, place, architecture viennent donner au clocher un impact domestique visuel plus fort et où une archivolte, aux Le plan d’aménagement est4 réalisé auparavant réservé à des villes d’une dimensions monumentales, soutenue par Georges Biet et propose une certaine taille. » (Les Reconstructions par deux colonnes d’aspect ramassé, 48 Esplanade Jacques Baudot composition urbaine ambitieuse des années1920 et 1950 en Lorraine, imprime une sensation de gravité au Rue du Sergent Blandan dans laquelle une esplanade p.25). L’église détruite était à nef franchissement du seuil de l’entrée. contient l’ensemble des édificesunique avec un clocher-porche Au vide de l’embrasure fait écho en CO-900-19 institutionnels : la mairie-école, à demi dans œuvre. La nouvelle, négatif la massivité du monument 54035 NANCY Cedex l’église et le presbytère. Celle-ci a conçue également par Georges aux morts. à l’intérieur, Jules Cayette un caractère monumental de par le Biet, s’affranchit de ces dispositions réalise le maître-autel aux lignes Tél. 03-83-94-51-78 fort dénivelé du terrain et l’effet de avec un plan en croix grecque et massives avec une table soutenue Fax. 03-83-94-51-79 socle qu’elle donne à ces édifices, des bas-côtés dans un style romano- par des colonnes réduites à leur plus [email protected] équivalent à une hauteur d’étage. byzantin (modèle du Sacré-Coeur simple expression. Le tabernacle est http://www.caue54.com « Parux est l’un des exemples qui à Paris - Paul Abadie architecte). épaulé de volutes stylisées, décoré illustre le mieux la notion d’urbanisme On notera par ailleurs l’utilisation d’un rinceau réalisé en mosaïque aux rural, par la mise en place d’une d’une charpente métallique en couleurs éclatantes avec une porte véritable mise en scène de l’espace toiture. à l’intérieur les vitraux en laiton repoussé figurant un soleil. Ne pas jeter sur la voie publique. public ; ce type de configuration était sont l’œuvre de Jacques Gruber. Les vitraux sont de Jacques Gruber. Neuviller-lès-Badonviller Badonviller église, Mairie église église, mairie 6L’église détruite était à nef unique, avec 7 11 un clocher-porche à demi dans œuvre. Le plan de reconstruction de Historiques en Meurthe-et-Moselle de Le projet d’Henry Deville reste dans ces la commune a été dressé par 1929 à 1940 et réalisera notamment dispositions, les deux premiers niveaux l’architecte Armand Nicolas. Quant les travaux de restauration de la du clocher sont conservés. La baie haute Antoine / Jacques © AOA à elle, la mairie-école est l’œuvre porte de France et des remparts de conçue dans le même style gothique est des architectes Jacques Ogé, Henri Haut. Les architectes Jacques plus une évocation dont les contours Gilbert et Marcel Désiré Poutaraud Ogé et Henri Gilbert ont également participent à la géométrisation de la (1885-1981). Ce dernier sera nommé conçu l’église dont la réalisation a été composition. Les vitraux sont l’œuvre architecte en chef des Monuments confiée à l’entreprise Castelli en 1922. d’Albert Gsell (1867-1951), artiste formé aux Beaux-Arts, qui participe André Desenclos, architecte à de 1920 à 1925 à la reconstruction épinal, conçoit en 1920 les plans de des régions dévastées. Il réalise ainsi église, mairie, architecture reconstruction de Reillon, Blémerey également les vitraux d’Emberménil domestique et Vého. Seul celui de Blémerey sera et d’Halloville (disparus). Dans le 12 réalisé, mais l’influence de l’architecte chapelles, du chœur et de la sacristie. chœur de l’église Saint-Laurent, on lui transparaît en filigrane dans les deux L’église aux gouttières ornées de doit entre autres le vitrail de l’Exode. autres. Cet architecte dessine par gargouilles en béton présente le Ce dernier présente les Hébreux ailleurs l’ensemble des bâtiments même jeu de couleurs que l’ensemble mangeant les herbes amères avant de institutionnels de Reillon. L’église, de Gondrexon. D’autre part, cette quitter l’Egypte, c’est à dire la Pâques construite par l’entreprise France- commune illustre le principe de

juive. Il est une préfiguration de la Cène, © Service de l’inventaire régional Lanord et Bichaton, est achevée en dédensification des villages lorrains. On mais dans les régions dévastées par la 1925. Aux galbes de son clocher- cherche à reconstruire de manière plus première guerre mondiale, elle est ainsi Le plan d’aménagement de la est reconstruit par l’architecte des porche répondent les lucarnes- aérée. Les fermes isolées tiennent ce assimilée au départ des populations commune est réalisé par Henry Monuments Historiques en utilisant pignons de la nef à la façon de caractère de la première reconstruction. fuyant sous les bombes. à l’intérieur Deville. L’église initiale, construite principalement du béton armé, le mobilier est de Jules Cayette, en 1788 selon les plans de François y compris pour la structure de la on trouve aussi un bénitier Daum. Michel Lecreulx (1729-1812), charpente et la couverture sphérique Vého est détruite le 12 août 1914. Les du clocher. Le beffroi est quant à lui en Henry Deville a également conçu le église, mairie, Leintrey couvertures et les charpentes chêne et les vitraux de cette église sont monument aux morts et la mairie-école. plan de reconstruction église, mairie, disparaissent, seuls restent les murs, eux aussi l’oeuvre de Jacques Gruber. 13 plan de reconstruction dont la façade principale dépourvue à observer également, le monument Domèvre-sur Vezouze Le plan de reconstruction proposé 14 d’une de ses quatre colonnes. L’édifice aux morts, qui ponctue le parvis. église, mairie, par André Desenclos est représentatif architecture domestique, des plans plus idéalistes conçus à plan de reconstruction Herbéviller cette période qui présente l’occasion 8 église, Mairie d’imaginer des villes et villages aux Le plan de reconstruction de des villages, de mise en valeur et formes nouvelles. Le tracé des axes fait Domèvre-sur-Vezouze est réalisé par de prise en compte du paysage. l’objet d’une attention particulière et Henry Deville et son dessin montre Très endommagée, l’église avec un 9 l’implantation de fermes accolées deux la sensibilité de l’architecte à la clocher dans œuvre a pourtant été à deux autour de cours est inhabituelle. présence de verdure dans les projets restaurée par Henry Deville. Celle- Ce plan fait référence au modèle de la © DRAC grand Est. Olivier Mathiotte/La Manufacture du Patrimoine. de reconstruction de ces villages ci présente un des aménagements cité-jardin, conçu par Ebenezer Howard à Leintrey, le plan d’aménagement l’axe de la composition. Chacun crée sinistrés. Les arbres bordent en effet la mobiliers les plus somptueux è au XIX siècle en Angleterre. Le plan est réalisé par l’architecte Armand une centralité avec une esplanade place centrale, à proximité de l’église, de l’artiste Jules Cayette (1882- ne sera pas réalisé sous cette forme et viennent agrémenter les rues. 1953) dont l’ensemble a été classé Nicolas. Il met en valeur l’ensemble autour de laquelle s’articulent les mais influencera la physionomie du mairie-école sur le plan de bâtiments institutionnels dans un plan Ces préoccupations s’inscrivent dans monument historique au titre village concernant l’implantation des des programmes d’embellissement des objets le 23 décembre 1998. 1919. Joseph Hornecker, figureen forme de «diapason». L’église, à fermes. L’église détruite présentait un emblématique de l’école de Nancy, nouveau détruite en 1944, n’est pas clocher-porche à demi dans œuvre reprendra ce plan trois ans plus reconstruite à l’identique faute de de style classique. C’est le même tard. Il parvient à concilier structure moyens. Paul Eschmann, architecte, architecte qui la reconstruit sur un autre villageoise et monumentalité en prend alors le parti de démarquer Le plan d’aménagement est réalisé et propose une composition sobre emplacement et dans des dispositions adoptant la solution imaginée par les volumes (clocher, nef, bas-côtés) par Armand Nicolas, il envisage de proche de l’aspect d’origine où seul différentes : la composition de façade Georges Biet à Parux où l’église pour créer une monumentalité pivoter l’implantation de l’église de le dessin de la porte varie ici aux asymétrique avec le clocher-porche occupe la position principale dans dans l’esprit des églises romanes. 90° afin de créer une grande place allures gothiques. à l’intérieur, dans excentré par rapport à la nef est © AD54 / 10 R 1699 publique. Cependant, le projet ne sera le chœur, on trouve des vitraux de dans un style néo-gothique «allégé». pas réalisé. Suite à une destruction Jacques Gruber, ainsi qu’un bénitier de l’église change, pivotée à 180°. aucourt totale de l’ancienne église, Jules de Daum. L’ameublement est en V L’église détruite présentait un clocher église, mairie, Criqui reconstruit l’église actuelle. grande partie dû à Jules Cayette. Il dans œuvre d’aspect classique, celle plan de reconstruction Cet architecte a manifesté une réalise en effet la grille de Emberménil conçue par Marchand suit les mêmes certaine audace dans les nombreuses communion, les bancs de la nef à rare En 1919, le plan16 d’urbanisme des dispositions hormis le clocher-porche mairie © AD54 / 10 R 1684 églises qu’il a construites en Lorraine. décor de personnages ainsi que les architectes Maurice Marchand et Emile qui est hors oeuvre, dans un style Concernant celle d’Herbéviller, il vantaux du portail d’entrée décorés 15 Erbeau propose de déplacer l’église et très géométrique aux accents Art- conserve les fondations existantes de croix de Lorraine et de chardons. la fontaine du centre vers le point haut Déco dans l’étagement en gradins du village afin de rectifier le tracé de la des contreforts et des colonnes aux Chazelles-sur-Albe route. Le plan ne sera finalement pas angles du beffroi figurées par de église, mairie, architecture domestique, domaine de grandseille réalisé et l’église ainsi que les bâtiments simples fûts octogonaux. La façade La commune ayant été détruite en à celui de l’église 10d’Herbéviller. détruits seront reconstruits aux mêmes est entièrement en pierre de taille totalité, le plan de reconstruction Fernand César est sans doute aussi le emplacements. Seule l’orientation et grés bigarré à dominante beige. est réalisé par Charles Yaher. L’église concepteur du projet de la mairie-école détruite était à nef unique avec un dans lequel l’utilisation de la brique clocher-porche à demi dans œuvre comme élément de composition est d’aspect classique. L’église a été un signe d’identification. En effet, la Pour la commune d’Emberménil, face à l’ensemble mairie-école où reconstruite par l’architecte Fernand solution du bandeau qui unit les baies totalement détruite, l’architecte Henry une nouvelle place fut créée. Selon César dans un style romano-byzantin est caractéristique de cet architecte. Deville propose un remembrement le premier plan de reconstruction, les revisité avec un curieux effet deLégèrement à l’écart de la commune de l’ensemble des parcelles bâties deux édifices avaient des situations vibration donné par les contours vers l’est, on peut également observer de part et d’autre de la rue centrale. interverties. L’église a été entièrement extérieurs accidentés des entourages l’ensemble du château de Grandseille à l’extrémité de cette dernière se détruite pendant la seconde guerre de baies. à l’intérieur, on note la qui fut totalement reconstruit après- trouvait l’église, irréparable, qui fut mondiale et reconstruite à nouveau

présence d’un bénitier Daum, identique guerre dans un style classique. reconstruite par ce même architecte par Paul Eschmann en 1954. © AD 54 / 10 R 1698