ERRATA Le texte de cet ouvrage ayant été tiré sur Duplicateurfaire des retouches GESTETNER, pourtant il était indispensables. impossible d'y les. le passagesLecteur suivants:voudra bien cependant rectifier p 4y dernier alinéa: ...et cecinettement est XVII°. p 27: M.POINCARE, il s'agit d' HENRI Poincaré'.XVIIo. p 28: etajouter surtout après "Le Pendule"(Les Tours à Salomon" Inachevées)": . de Vergès'. p 30: "après3° alinéa: le Traité Septembre de Paris 1264, (1259) ajouter consécu- ceci: bourg,tif aux bataillesHenri III de d'AngleterreSaintes et de exigeaTaill- end'occuper 1264." pendant 5 ans jusqu' p 34: 2° alinéa:Remplacer "Catherine d'Ornézan" parEn effet,"Suzanne le demaréchal Bassabat". de s'é- taithéritier remarié mâle ende 1611, son mariagefaute d'avoir avec Cathe-eu un lesrine datesd'Ornézan du cahier morte des en Intendants1599. Du reste,de Ro- quelaure (Arch. Départ. E. 94) révèlent . 1630l'activité dans lade construction Suzanne de duBassabat château. vers p 39: 2° alinéa: Rectifier la phrase: "Son ma- ri)entendu, le duc du deduc Roquelaure"; de ROHAN. il s'agit/bien p 40: Ri1° eutort alinéa: à MadameA propos du deBarry, la cessionil serait du Louisplus XVjuste donna de le dire,Rieutort en réalité:à Guillaume que du Barry pour le réoompenser d'avoir laconsenti favorite. à donner son nom et son titre à p 41. s 1° alinéas Charles VIII au lieu de VII. p 46: 2° alinéa: porte Louis XVI et non XIV. p 50: etLe nonsiège en 1763.de Maestricht a eu lieu en1673 p 60: 1° alinéa: La formule exacte de l'écri- nombreture est et. mesure"."Dieu a tout fait avec poids,, p 63: 1° alinéa: à supprimer "du Prince Noir" lesvainqueur incursions de Jean à le LavardensBon à Poitiers,dont sont bien postérieures (1343) entre3° alinéa: les clochersA propos de de'Roquelaure la ressemblance et de Lavardens,que l'architecte il y habituelaurait lieu des deRoquelaure signaler -dans selon les M.papiers Duoos desqui Roquelaurel'aurait découvert- serait Pierreétonner, Souffron, lorsqu'on cevoit qui lane maîtrisesaurait nousavec laquelletecturale ildu a châteauharmonisé de Lavardens.la courbe archi- Le Lecteur voudra bien nous excuser de ces nousquelques ne prétendonslacunes regrettables. pas que cet Pour ouvrage le reste, soit parfait.vait nous Tropsignaler heureux d'autres serions-nous erreurs, s'il ou nouspou- fournirserait faitde plusétat amplesdans lerenseignements, plus bref délai. dont il MERCI ...... P.V.S. , Pentecôte 1960 A V A N T - PR O PO S Il ne- m'appartient pas, Ami Lecteur, de te présenter directement cet - ouvrage. Mais de multiples raisons m'y ont obligé. D'abord sa présentation matérielle insolite. Si j'avais voulu le faire imprimer et paraître en librairie, il m'aurait fallu toute une pe- tite fortune dont, inévitablement, tu aurais fait les frais. Cette allure modeste qui le caractérise - tout en restant élégante et digne — m'a permis d'en abaisser notablement le prix de revient et donc de le rendre abor- dable . Quant à sa présentation psychologique, je n'en parlerai pas. Les préfaces que tu pourras lire sont d'amis très sûrs que je remercie de leur témoignage et de leur bienveillance. Ils ont bien compris le sens de ce livre... écrit à la gloire de la Gascogne et de Lavardens en particulier. Je te dirai, par ailleurs, que Lavardens, si cher à mon coeur, m'aura peut- être fourni l'occasion d'ouvrir un débat sur un point d'archéologie qui méritait d'être précisé. A mon sens, en effet, Lavardens vaut beau- * coup mieux que sa réputation relativement ré- cente. Pour moi, c'est avant tout un Haut-Lieu de l'Architecture Française - non seulement par la diversité des styles successifs qui le composent - mais par ce fait, unique en son genre, me semble-t-il, qu'on peut y retrouver les traces d'une évolution quasi complète de cette architecture en Gascogne d'abord et puis dans tout notre pays: la , et même dans le monde. C'est pourquoi j'ai voulu te présenter moi- même oet ouvrage sorti des profondeurs de ma pensée. Ai - je eu raison ?... Amie c'est a toi d'en juger.....

.. P. V. S. de la Société Archéologique du .

28 Mars 1960. VOICI un livre qui provoquera, je l'espère, parmi les érudits de l'archéologie et de l'histoire, d'utiles controverses sur les thèses qui y sont exposées hardiment. Mais mon propos n'est pas là: Je veux seule- ment saluer, aux premières pages de son ouvra- ge, le chantre passionné d'un de ces nombreux . villages de notre Gascogne dont il suffit d'é- tudier la vie passée pour y retrouver aussi- tôt, au premier rang, les noms les plus glori- eux de l'histoire de notre pays: La France. Que l'Auteur, Monsieur VINCENT, bien connu de moi depuis son installation dans notre ré- gion, ait été tout de suite saisi, conquis par le site incomparable de Lavardens, par son jo- li village, comme tendu vers la protection de l'église et du château, qu'il ait été frappé d'admiration devant la netteté si pure, pres- que athénienne,oserai-je dire,des lignes de ce château reconstruit par les Roquelaure, cela n'est point fait pour nous étonner, nous Gas- cons, qui, chaque jour, au hasard de nos cour- ses sur les chemins étroits de notre terre, cernés de haies que fleurit l'aubépine, voyons soudain apparaître, familiers à nos regards, tant de merveilles aussi belles, magnifiées encore par le souvenir de grands capitaines, de jurisconsultes, d'orateurs, de savants, d'écrivains, de diplomates, de princes de l'E- glise ou de martyrs de leur foi. Leurs noms éclatent comme des coups de cymbales dans les sonorités de notre accent: Lavardens, Flama- rens, Larresingle, , Verduzan, Ter- raube, Roquelaure, , Flaran, , etc..., etc... Et pour nous, tout itinéraire en Gascogne est un itinéraire de beauté et de gloire ! Le livre de Monsieur VINCENT en est le fer- vent et lucide témoignage. Qu'il soit donc le bienvenu parmi tous ceux qui s'intéressent à notre Province !

Auguste ESTINGOY LAPLAN. PRO J ET DE POSTFACE pour l'Histoire de LAVARDENS, de Mr VINCENT

Plus que de l'honneur d'écrire ici ces lig- nes, c'est de la joie de la sortie de ce livre que je remercierai. Qu'il ne fut pas écrit me paraissait lacune: Lavardens le méritait. A la première époque de ma présence en ce village, fin 1957, chaque fois qu'après mes incessantes courses je ré- tournais vers lui, mon coeur-se serrait à' la pensée de ces beautés architecturales vouées à l' abandon. Heureux, au j ourd ' hui d ' avoir c ontri- bué à sa sauvegarde,je souhaitais, qu'une "His- toire de Lavardens" fasse revivre le passé pour les fils du pays et pour les touristes si agréablement surpris; et, si personne ne l'a- vait entrepris, mon projet eut été de l'écri- re, malgré mon peu de loisir. Mon voeu est comblé: Lavardens, le beau, l'ancien, le grand, Lavardens, revit dans ces pages ! J'en ai suivi la genèse avec un vif intérêt, et puis témoigner des patients efforts déplo- yés pendant des mois, car, si le passé est ri- che, les sources sont plutôt rares et rédui- sent parfois à des hypothèses. Telle l'histoire de la collégiale St Michel, pourtant marquée des attentions de tous les cardinaux d'. Il me souvient ainsi du vi- trail du chevet, aux blasons cabalistiques. Parti d'un renseignement que j'avais fourni, l'auteur de ce livre court chercher le maçon et sa grande échelle, fait relever le dessin, consulte à Auch un armorial qui ne livre pas réponse, rapproche des faits, des dates... Laissant à d'autres le soin de juger jusqu'à quel point ce livre est une oeuvre de science, je puis témoigner qu'il est une oeuvre de pa- tience et de conscience. Heureux d'y retrouver - comme me le soulig- nait avec plaisir l'auteur - les noms et les oeuvres de mes prédécesseurs des temps d'apo- gée ou de temps plus récents, heureux d'y re- lire les notes inspirées à un sympathique pa- roissien par le regretté Abbé Daugé (alors cu- ré de mon annexe de Saint - Lary) , heureux sur- tout, par cet ouvrage,... de voir Lavardens ouvrir aux yeux de tous l'antique coffret de son trésor d'Art et d'Histoire !...

Pierre - Christian BRACH, curé de Lavardens. A MA MERE QUI M 1 APPRIT à AIMER

A MON PERE QUI M' APPRIT à NE PAS TRANSIGER

DANS LA PETITE HISTOIRE D'UNE VALLEE, ON PEUT RETROUVER LA GRANDE HISTOIRE TOURMENTEE D'UN PAYS, COMME L'ON VOIT UNE GOUT- TE D'EAU REFLETER UN MONDE. UN SIECLE D'EVENEMENTS ET DE VISA- GES S ' EST PROJETE SOUS MON REGARD TANDIS QUE JE REVAIS D'ECRIRE CE LIVRE ET LORSQUE JE L'EUS FINI. "PONTCARRAL" A. CAHUET.