SUPERCONDRIAQUE Clé

Comédie réalisée par Dany Boon , 2014, 110’

Rôles principaux

Romain Faubert Dany Boon Dimitri Zvenska Kad Merad Anna Zvenska-Lempereur-Faubert Alice Pol Anton Miroslav Jean-Yves Berteloot Nora Zvenska Judith El Zein

L’internet

Bande d’annonce: https://www.youtube.com/watch?v=3jomALyr0Po

CinéPerles 2015-2016 Supercondriaque Clé Ann Knaepen 1 RÉSUMÉ

Romain Faubert est un homme seul qui, à bientôt 40 ans, n’a ni femme ni enfant. Le métier qu’il exerce, photographe pour dictionnaire médical en ligne, n’arrange rien à une hypocondrie maladive qui guide son style de vie depuis bien trop longtemps et fait de lui un peureux névropathe. Il a comme seul et véritable ami son médecin traitant, le Docteur Dimitri Zvenska, qui dans un premier temps a le tort de le prendre en affection, ce qu’il regrette aujourd’hui amèrement. Le malade imaginaire est difficilement gérable et Dimitri donnerait tout pour s’en débarrasser définitivement. Le docteur Zvenska pense avoir le remède qui le débarrassera en douceur de Romain Faubert : l’aider à trouver la femme de sa vie. Il l’invite à des soirées chez lui, l’inscrit sur un site de rencontre, l’oblige à faire du sport, le coache même sur la manière de séduire et de se comporter avec les femmes. Mais découvrir la perle rare qui sera capable de le supporter et qui par amour l’amènera à surmonter enfin son hypocondrie s’avère plus ardu que prévu.

La presse

Source : http://www.premiere.fr/film/Supercondriaque-3662718/(affichage)/press

La critique de Premiere - Isabelle Danel

Le pitch du quatrième long métrage de Dany Boon est alléchant. L’ouverture, tonitruante et drôle, se déroule lors d’un réveillon du jour de l’An : la bise traditionnelle (vecteur de maladies) déclenche un ouragan de panique chez Romain. Le comique de situation s’efface peu à peu, et l’hypocondrie passe au second plan lorsque notre (anti)héros accro au gel hydroalcoolique se retrouve happé par une histoire de révolution dans un pays imaginaire des Balkans. Bizarrement construit, comme s’il y avait deux films en un, et d’une durée exagérée, Supercondriaque joue parfois maladroitement sur plusieurs registres, du burlesque le plus visuel à la comédie romantique, en passant par les quiproquos chers au théâtre de boulevard. On s’y perd un peu avant de s’y retrouver. Dans le duo reconstitué de Bienvenue chez les Ch’tis, avec Dany Boon en auguste et Kad Merad en clown blanc, ce dernier manque d’une partition construite et étayée. Reste la question principale : rit-on ? Oui, mais pas assez.

 A voir à lire - Frédéric Mignard

Aussi farfelue soit-elle, la nouvelle comédie de Dany Boon, plutôt de qualité dans son genre, échoue à vraiment réunir le binôme mythique de Bienvenue chez les Ch’tis. L’adhésion mutuelle des deux personnages l’un envers l’autre est tirée par les cheveux ; le tandem n’affiche pas la même complicité qu’auparavant, et l’on ne ressent aucune tendresse, ni pour l’un, ni pour l’autre. Les extravagances du malade imaginaire sont donc à prescrire à petite dose. Les allergiques souffriront dès les 5 premières minutes face à cet humour létal, quand les amoureux de la comédie populaire française savoureront avec modération cet humour battant, qui aura toutefois beaucoup de mal à fédérer autant que les précédents services du Dr. Boon.

 Toutlecine.com - Pauline Hodbert

L'humour occupe une place primordiale dans le scénario. L'autodérision de Dany Boon permet de se moquer lui-même de son hypocondrie. Seul regret, les scènes d'actions un peu trop exagérées et surréalistes qui faussent la réalité du sujet profond qu'il cherche à nous révéler. Mais Dany Boon démontre son talent à travers ses films à l'humour permanent, avec pour toile de fond un vrai problème de société.

CinéPerles 2015-2016 Supercondriaque Clé Ann Knaepen 2  Public - Florence Roman

Débordant d’énergie, hyper actif, grimaçant tel un de Funès 2.0, Dany Boon force la sympathie et réussit une comédie pétillante, dans la lignée des films de Francis Veber. Une fois de plus, le duo Boon/Merad fait boum. Frais et sans prétention, comme Dany, le film devrait séduire tous ses fans.

 Version Femina - Michele Geffroy

C’est certainement le film le plus abouti de Dany Boon, le mieux écrit et le plus sensible. Une réserve cependant, lorsque l’hypocondrie passe au second plan pour une histoire de révolutionnaires dans les Balkans, on perd un peu le fil avant, fort heureusement, de le retrouver pour un final réussi.

 Télé 7 jours - Julien Barcilon

Dany Boon est à son meilleur niveau quand il s’amuse avec beaucoup d’autodérision de sa propre névrose. Les gags s’enchaînent et son tandem burlesque avec Kad Merad est, une fois de plus, une bonne potion contre la sinistrose. Hélas, la déprime gagne dès lors que la comédie s’éloigne de son sujet et se perd dans une histoire abracadabrantesque de réfugiés politiques et d’usurpation d’identité.

 Culture box by france Tv - Pierre-Yves Grenu

Pour son retour à la réalisation, Dany Boon signe une comédie classique et plutôt réussie. Six ans après « Bienvenue chez les Chtis », son duo avec Kad Merad fonctionne toujours. Malgré quelques faiblesses scénaristiques, "Supercondriaque" approche son objectif : faire rire.

 Cinenews.be - Sophie Rizzi

Dany Boon a ici la double casquette d’acteur-réalisateur et s’en sort pas mal même si on est loin d’un « Bienvenue chez les Ch’tis ». On rit mais peut-être pas autant qu’on l’aurait souhaité…

 La Croix - Arnaud Schwartz

L’humoriste signe une nouvelle comédie populaire un peu bancale, un peu lourde, un peu drôle.

Ouest France - La rédaction de Ouest France

Boon (...) se révèle plus inspiré et efficace dans les échanges en duo que dans les numéros en solo.

 Nouvel Obs - Guillaume Loison

Plutôt qu’une inquiétude, c’est sans doute le malaise que Dany Boon entretient avec le cinéma que "Supercondriaque" raconte le mieux; un malaise récalcitrant, une inhibition tenace que ni les succès à répétition ni l’expérience accumulée des tournages ne semble estomper.

 Pariscope - Arno Gaillard

En réalité, dans cette comédie plus que réussie, aussi bien dans le rythme que sur le fond, l’auteur de « Bienvenue chez les Ch’tis » filme non pas un homme mais un pays. La France de 2014, cette grande hypocondriaque, est en réalité le vrai sujet du film.

 Télé 2 Semaines - Thomas Colpaert

Le duo que Dany Boon forme avec Kad Merad, son complice des Ch’tis, fonctionne à merveille, le premier exaspérant le second jusqu’à le rendre fou. Hélas, l’histoire change subitement de braquet : Romain, poussé par son médecin à s’ouvrir au monde, vient en aide à des réfugiés du Tcherkistan (!) et prend la place du leader de la rébellion locale auquel il ressemble

CinéPerles 2015-2016 Supercondriaque Clé Ann Knaepen 3 étrangement… L’intrigue perd alors son intérêt et souffre de relents sentimentaux (la sœur du docteur tombe amoureuse du héros) guère passionnants.

 Télé loisirs - Gwénola Trouillard

Une comédie burlesque et attachante portée par un tandem qui a déjà fait ses preuves !

 Excessif / TF1 News - Olivier Corriez

Dany Boon ne se ménage pas, il en abat au risque d'en faire parfois un peu trop et finir par agacer le spectateur. A vouloir en faire toujours plus, on frise la caricature. Pour contrebalancer ces excès, on peut compter sur le jeu plus posé de Kad Merad, qui anime chacune de ses apparitions et surtout de saluer les retrouvailles du duo qui fonctionne toujours aussi bien, dont la complicité est une évidence.

 Le Canard Enchainé - Jean-François Julliard

La première partie du film est affligeante (...) Puis l'histoire décolle dans un joyeux n'importe quoi (...) Commencée plus tôt, cette seconde partie, parodique et foutraque, aurait donné matière à une comédie originale et plaisante.

 L'Express - Christophe Carrière

Proprement filmé, pourvu d'un générique épatant, agrémenté de guest stars sympathiques, ce film n'en reste pas moins, dans sa première moitié, une suite d'amorces comiques...

 Les Fiches du cinéma - David Nathanson

Le nouveau film de Dany Boon, dont les ambitions ont été revues à la hausse, ressemble à une catastrophe industrielle de grande ampleur.

 RTL - Stéphane Boudsocq

Dany Boon signe une farce romantique bourrée d'actions sur la peur de la maladie mais plus généralement sur la peur de l'autre. C'est bien écrit et très bien filmé. Les comédiens sont remarquablement dirigés avec Dany Boon et Kad Merad évidemment, mais aussi celle qui est la révélation de Supercondriaque : Alice Pol. Cette jeune femme ravissante et irrésistible a tourné dans Les émotifs anonymes ou Un plan parfait. Elle a réussi trouver sa place au côté deux stars du film.

 StudioCiné Live - Sophie Benamon

A certains égard Supercondriaque est certainement le long-métrage de Dany Boon le plus abouti, dans l'écriture comme dans la mise en scène. Et Boon d'atteindre la saveur des films de Francis Veber des années 1980, jouant parfaitement du duo retrouvé entre Kad Merad et lui. C'est un des atouts de son quatrième film, à coup sûr, celui de la maturité.

 StudioCiné Live - Thomas Baurez

Supercondriaque est nul à plus d'un titre. Sa première partie tutoie les plus mauvais de Funès. (...) Ici Boon se contente donc de camper les obsédés de la propreté en gesticulant (...) Face à un tel néant dramatique le réalisateur-acteur-scénariste-dialoguiste (!) use du quiproquo et délaisse Funès pour Michel Leeb jouant sur l'imitation grossière d'un accent étranger.

 Le Figaro - Etienne Sorin

L'auteur Boon, soucieux de plaire au plus grand nombre, finit par ligoter le burlesque Boon. Supercondriaque s'achève en comédie romantique inoffensive et consensuelle. Dommage.

CinéPerles 2015-2016 Supercondriaque Clé Ann Knaepen 4  Le JDD - Danielle Attali

Le retour de Dany Boon acteur-réalisateur avec une comédie aux gags et aux effets appuyés qui bascule en une aventure délirante dans sa seconde partie.

 Libération - Didier Péron

Comme toujours, Kad Merad (qui s’est fait la tête de Gérard Jugnot pour jouer un médecin généraliste) apporte un peu de technique professionelle de jeu face à Dany Boon qui, lui, fait à peu près n’importe quoi : grimaçant, poussant des cris suraigus, roulant des mécaniques, gesticulant, montrant ses fesses et arborant des sourires mielleux de faux naïf. Le fan-club sera aux anges, les autres regardent leur montre.

 Le Monde - Jacques Mandelbaum

L'amateur reconnaîtra ici un moment déterminant de la dramaturgie « boonesque », à partir duquel la comédie sociale amorce un virage brusque vers le grand large de l'absurdité. Sauf que ce canevas respire, pour le coup, davantage l'enfantillage désuet que le dynamitage des convenances. On pourrait aussi y déceler, avec un peu de bonne volonté, une allégorie utile sur les bienfaits d'une plus grande tolérance aux corps étrangers. Mais enfin, tout cela est si manifestement conduit en pilotage automatique, si dépourvu de vraie folie, si conforme aux vieilles recettes industrielles, si peu habité par ses interprètes, que la morale de l'histoire, comme les ressorts du rire qui sont censés y mener, tombent complètement à plat.

 Le Parisien - Hubert Lizé

Sur un scénario bien huilé, le père de « Bienvenue chez les Ch'tis » réussit à rebondir avec un vrai remède contre la sinistrose. Cette comédie enlevée lorgne du côté de la romance et de l'action sans jamais perdre son efficacité comique. Et Kad Merad retrouve le top de sa forme au contact de son acolyte.

 Télérama - Pierre Murat

Un maladif trouillard passe pour un héros révolutionnaire aux yeux de celle qu'il rêve d'éblouir... De film en film, Dany Boon a créé un personnage, plutôt drôle. Le problème, c'est que ses intrigues deviennent de plus en plus surannées..

CinéPerles 2015-2016 Supercondriaque Clé Ann Knaepen 5 QUESTIONNAIRE

1. Quelle est la première chose qu’on voit en regardant ce film ? On voit la page d’accueil de Google et on voit que quelqu’un y introduit des saisies en rapport avec des maladies. Par contre, la personne ne semble pas oser appuyer sur ‘chercher’, apparemment il a peur des résultats. 2. Ensuite, que voit-on ? On voit une voiture des sapeurs-pompiers qui traverse à toute vitesse la capitale. A l’intérieur il y a une personne qui est allongée. 3. A quoi avez-vous pu remarquer qu’on est à Paris ? On voit l’Arc de Triomphe à Paris. 4. Quelle nuit sommes nous ? C’est le réveillon de Nouvel An. Partout il y des gens dans la rue qui se font la bise, il y a du feu d’artifice. On entend : ‘Bonne Année !’ 5. Qui est le personnage qui sort de l’ambulance ? Il s’agit de Romain Faubert. Il croit qu’il est malade, or les médecins ne voient rien sur les radiographies. 6. Est-ce la première fois que Romain est arrivé dans cet hôpital ? Non, là-bas on le connaît. C’est leur ‘grand malade’. 7. Quel est le problème fondamental de Romain Faubert ? Il est hypocondriaque, cela veut dire qu’il vit toujours dans un état d’anxiété par rapport à sa propre santé. C’est une sorte de malade imaginaire. 8. Qui Romain a-t-il fait venir à l’hôpital ? Il a demandé que le docteur Dimitri Svenska vienne. 9. Qui est-il par rapport à Romain ? C’est son médecin traitant. 10. Depuis combien de temps se connaissent-ils ? Depuis 18 ans. 11. En fait, que s’est-il passé ? Comment Romain est-il arrivé à l’hôpital ? Vous l’avez vu dans un flashback. Romain était invité au réveillon de nouvel an chez Dimitri Svenska. Il y avait beaucoup de monde, mais à minuit tout le monde a voulu lui faire la bise et comme il a énormément peur des germes il a commencé à gifler tout le monde et il a fait une crise. Ainsi, on l’a ramené à l’hôpital. 12. Vous souvenez-vous d’un élément assez drôle ? Pensez à ses vêtements. Il porte un manteau fourrure, du vison blanc, un manteau qu’il a pris dans sa hâte en quittant la maison du docteur Svenska. 13. Est-ce que Dimitri Svenska est content que Romain l’ait appelé ? Non, il est très fâché et il dit qu’il ne veut plus être son médecin traitant. 14. Quel est le métier de Romain ? Il est photographe pour un dictionnaire médical, Doctoweb. 15. Après son passage à l’hôpital , Dimitri rentre à la maison. Quelle y est la situation ? Les invités s’en vont, une femme cherche son vison blanc ( ! – Dimitri dit qu’il ne l’a pas vu…). 16. Quel autre problème surgit ? Anna, la sœur de Dimitri a hébergé une dizaine d’illégaux dans une des chambres de son appartement. 17. D’où viennent les illégaux ? Ils sont originaires d’un pays nommé le Cherkistan (pays imaginaire bien entendu), un pays d’où venait aussi le grand-père de Dimitri. 18. Décrivez l’appartement de Romain Faubert. Dans son living il y a un mur qui est constitué d’étagères qui sont remplies de médicaments et de petits appareils médicaux. 19. Pourquoi Romain retourne-t-il dans le cabinet du docteur Svenska ? Il veut lui donner un cadeau pour s’excuser de son comportement lors de la soirée de Nouvel An. 20. Pourquoi ne veut-il pas attendre dans la salle d’attente comme tout le monde ? Il dit que c’est fait pour devenir malade, il ne supporte pas l’idée de toutes ces microbes et ces germes qui y pullulent. 21. Quel cadeau Romain fait-il à Dimitri ? Il lui donne un stéthoscope. 22. A l’hôpital où Romain travaille avec son ami Marc, un homme entre avec des tâches rouges sur le corps. Quelle est la réaction de Romain ? Il met immédiatement un masque, un capuchon et des lunettes. 23. Pourquoi est-ce que cela n’est pas nécessaire ? Parce que la mycose n’est pas contagieuse. 24. Qu’est-ce que Romain donne à Marc ? Il lui donne des aspirines.

CinéPerles 2015-2016 Supercondriaque Clé Ann Knaepen 6 25. Pourquoi est-ce que ce détail à première vue innocent semble être important ? Le soir Marc et Romain vont boire un cocktail dans un bar et Marc tombe raide mort. Il a fait une hémorragie cérébrale foudroyante. Après, les médecins disent que l’aspirine a encore accéléré sa mort. Romain se sent donc coupable de la mort de son ami. 26. Où Romain se rend-il après cette nouvelle infortunée ? Il va à la maison de Dimitri et y dormira. 27. Quelle idée Dimitri a-t-il ? Il fait un profil de Romain sur un site de rencontres dans l’espoir qu’il trouvera une femme et que Romain le laisse en paix. 28. Comment ces rencontres se passent-elles ? La première femme s’en va tout de suite parce qu’elle voit que Romain a menti sur son âge et la deuxième mange avec les doigts ce qui dégoûte Romain. 29. Comment est-ce que Dimitri croit pouvoir guérir Romain ? Il l’emmène à une mission humanitaire, c.-à-d. l’arrivée d’illégaux qui viennent du Cherkistan. 30. Que se passe-t-il là-bas ? Romain va aider quelqu’un qui a été blessé. Par hasard c’est Anton Miroslav, le chef des Cherkistanais. Mais comme Romain voit du sang, il s’évanouit et c’est lui qui va être mis sur le brancard avec les papiers d’Anton Miroslav; car celui-là a pris les papiers de Romain Faubert. 31. De qui fait-il la rencontre sur le brancard ? Il y rencontre Anna, la sœur de Dimitri et il tombe amoureux. 32. Où est-ce qu’Anna l’emmène ? Elle l’emmène dans son appartement, croyant qu’il s’agit d’Anton Miroslav. 33. Anna s’étonne que ‘Anton Miroslav’ (Romain Faubert donc) parle tellement bien le français. Comment explique-t-il sa connaissance de la langue ? ‘Verlaine, Rimbaud, Balzac, besoin beaucoup poésie pendant guerre civile !’ 34. Où Anton Miroslav s’est-il réfugié ? Il est allé dans l’appartement de Romain Faubert. 35. Racontez quelques scènes très humoristiques. (la scène chez le pharmacien, la scène dans le scanner, la scène avec le petit chien, …) Laquelle vous a le plus plu ? 36. Comment Dimitri retrouve-t-il Romain ? Anna lui a demandé de venir chez elle pour ausculter Anton Miroslav, mais quand il arrive, il constate évidemment qu’il ne s’agit pas du héros cherkistanais, mais de son patient, Romain Faubert . 37. Quelle est la réponse de Dimitri quand Romain lui dit qu’ ‘Anna est la femme de sa vie’ ? Il dit : ‘Anna est la femme de mon beau-frère !’ 38. Où Romain est-il emmené ? Il est emmené au Cherkistan, parce qu’on croit que c’est lui Anton Miroslav. 39. Dans quelles conditions doit-il survivre au Cherkistan ? Il est emprisonné et doit dormir dans une cellule très sale avec des rats et des cancrelats. C’est dégueulasse. 40. Sera-t-il sauvé ? Oui, Anton Miroslav, Dimitri et Anna viendront avec une mission spéciale pour le libérer. 41. C’est une réussite ? Oui, ils réussiront à l’enlever. 42. Comment se termine le film ? Anna est amoureux de Romain et se marie avec lui (après avoir divorcé de son mari architecte), puis les deux auront aussi un enfant. Enfin, Romain est guéri ! 43. Avez-vous aimé le film ? Pourquoi (pas) ?

CinéPerles 2015-2016 Supercondriaque Clé Ann Knaepen 7 EXPLOITATION VOCABULAIRE

1. Indiquez le genre et puis employez les mots dans une phrase. - … la fièvre - … le mal de ventre - … une intoxication - … le malaise - … un gant - … une coupe de champagne - … une conversation - … une montre - … une pharmacie - … une urgence - … une nouveauté - … un SDF (sans domicile fixe) - … un clandestin - … une invention - … la clientèle - … la tension - … la souffrance - … la piscine - … le sang - … un brancard - … le deuil - … le crâne - … la nuque - … la vitesse - … un ascenseur - … un étage - … la solitude - … une qualité - … un défaut - … la participation

CinéPerles 2015-2016 Supercondriaque Clé Ann Knaepen 8 - … le poulet - … une hypocondrie - … un héros - … la révolution - … le mérite - … une phobie - … une capote - … la vérité - … un adultère - … une salade - … un régime

2. Traduisez en français/ en néerlandais.

- Gelukkig Nieuwjaar ! / Bonne Année! - Ik ben vrijwilliger. / Je suis bénévole. - Arrête de te plaindre. / Hou op met klagen. (met je te beklagen)

- Le malaise remonte à 45 minutes. / “Het onwel worden gaat 45 minuten terug.”  Iemand is 45 minuten geleden onwel geworden. - Ce n’est pas contagieux. / Het is niet besmettelijk.

3. Expliquez les expressions suivantes, les mots suivants.

- (En étant à Paris) ‘Les pompiers du XVième l’ont ramené ici : on parle ici des pompiers du quinzième arrondissement (disons un quartier, une partie) de Paris. - C’était qui ce dingue ? : C’était qui ce fou ? - des pots-de vin : de l’argent passé sous la table pour obtenir des bénéfices (steekpenningen) - Cette cellule est dans un état d’insalubrité avancée. : La cellule est très sale ; il faut la nettoyer.

CinéPerles 2015-2016 Supercondriaque Clé Ann Knaepen 9 4. Du verbe au substantif (indiquez toujours le genre) Verbe Substantif apprendre - un apprentissage assassiner - un assassinat bombarder - un bombardement changer - un changement condamner - une condamnation connaître - la connaissance couvrir - une couverture découvrir - la découverte défendre - la défense demander - une demande empêcher - un empêchement enregistrer - un enregistrement entendre - une entente essayer - un essai être fatigué - la fatigue guérir - la guérison hésiter - une hésitation inviter - une invitation mentir - un mensonge mériter - le mérite nager - personne : un nageur - action : la natation perdre - la perte proposer - une proposition prouver - une preuve réagir - une réaction regarder - le regard rencontrer - une rencontre rentrer - la rentrée repérer - le repère s’évanouir - un évanouissement transmettre - la transmission traiter - un traitement venir - la venue

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5. Combinez correctement les mots des deux colonnes.

1. une intoxication a. sa montre 2. les sapeurs b. fixe 3. un numéro c. politique 4. le médecin d. pompiers 5. regarder e. une porte 6. un dictionnaire f. cérébrale 7. déverrouiller g. alimentaire 8. un médicament h. imaginaire 9. un sans domicile i. un poème 10. un coup j. de fil 11. une conscience k. remboursé 12. de faux l. civile 13. porter m. ses origines 14. un malade n. de portable 15. un réfugié o. romantiques 16. la salle p. un toast 17. dénier q. de rencontre 18. une hémorragie r. politique 19. rattraper s. médical 20. réciter t. traitant 21. un site u. d’attente 22. une mission v. d’identité 23. une carte w. le temps perdu 24. la guerre x. papiers 25. un mandat y. d’arrêt 26. les auteurs z. humanitaire

1g 2d 3n 4t 5a 6s 7e 8k 9b 10j 11r 12x 13p 14h 15c 16u 17m 18f 19w 20i 21q 22z 23v 24l 25y 26o

CinéPerles 2015-2016 Supercondriaque Clé Ann Knaepen 11 6. Cherchez l’intrus les acariens – les germes – la moquette – les microbes le poulet – le rat – le chien – le cancrelat moche – con – seul – malade

7. ÊTRE, AVOIR ou FAIRE ? Je suis fatigué. J’ai besoin de faux papiers. Nous avons toujours peur d’être en retard. Elle n’est pas encore au courant. Elle a fait son devoir d’humaniste. Désolé, vous faites erreur, Madame ! Vous pensez que j’ai tort ? Vous n’avez aucun mérite. Au contraire, vous avez raison.

8. H aspiré ou H non aspiré (= muet) aspiré : la honte  honteux // muet : l’honnêteté (fém)  honnête Lisez correctement les combinaison suivantes (et dites si c’est Aspiré ou Muet) une boulette de hachis (A) les habitudes (M) les héros (A) les habitants (M) les hangars de notre grange (A) la Hollande (A) les hélicoptères (M) de haut en bas (A) l’héroïne (M) le huitième jour (A) la ballade des gens heureux (M) à la hauteur (A) l’hebdomadaire (M) le héros (A) le huit juin (A)

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GRAMMAIRE

1. L'accord du verbe avec le sujet. Introduisez les formes verbales à la forme demandée.

- Je le (connaître, ind. prés.) connais, ce n(être, ind. prés.) est pas la première fois qu’il (venir, ind. prés.) vient. - Le malaise (remonter, ind. prés.) remonte à trois quarts d’heure. - Je (aller, ind. prés.) vais chercher une autre coupe pour oublier cette conversation. - Tu le (défendre, ind. prés.) défends en plus ! - Un manteau de vison, cela (valoir, ind. prés.) vaut une fortune. - Je (pouvoir, ind. prés.) peux rester dormir une nuit chez toi ? - Tu ne me (ramener, ind. prés.) ramènes pas ? - Non, je (être, ind. prés.) suis médecin, pas taxi. - Ça vous (déranger, ind prés.) dérange que j’attends là ? – Oui, cela me (déranger, ind. prés.) dérange ! - J’(aller, imparfait) allais le faire. - Il n’y (avoir, fut. simple) aura pas de prochaine fois. Adieu ! - Tu (être, fut. simple) seras fier de moi. - La prochaine fois, je (se comporter, fut. simple) me comporterai correctement. - Qui (oser, cond. prés.) oserait inviter des illégaux à 2h du matin ? - Il faut que je (partir, subj. prés.) parte un peu avant minuit. - La moindre des choses c’est de demander avant d’inviter qui que ce (être, subj. prés.) soit. - Je (vouloir, ind. prés.) veux juste qu’ils (se taire, subj. prés.) se taisent et qu’ils (s’en aller, subj. prés.) s’en aillent. - Il faut vraiment que tu (se détendre, subj. prés.) te détendes. - J’(avoir, imparfait) avais tellement peur que tu ne m’(aimer, subj. prés.) aimes pas. - Ce n’est pas une chose à laquelle j’(penser, cond. passé) aurais pensé. - Tu (pouvoir, cond. passé) aurais pu me demander avant d’inviter quelqu’un à dormir dans mon cabinet !

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2. Introduisez la forme correcte de ‘tout’. - Je le fais seulement pour me débarrasser de toi une bonne fois pour toutes. - Je te dis de sortir tout de suite de mon cabinet. - J’ai mal au crâne et j’ai la nuque toute raide.

3. Introduisez un pronom, soit en tenant compte du sens de la phrase soit en remplaçant les parties soulignées. - Je dois la vérité à Anna.  Je lui dois la vérité. - Je ne peux plus mentir à Anna.  Je ne peux plus lui mentir. - Je t’ai aimé dès le premier regard. - Il ne fallait pas venir me libérer après tout ce que je vous ai fait là. - On jette Romain Faubert en prison.  On le jette en prison.

4. Introduisez la forme correcte de l’adverbe ou de l’adjectif. (médical) Je suis photographe pour dictionnaire médical. (évident – remboursé) Je veux évidemment dire en médicamentes remboursés ! (complet) C’est complètement con ce que tu dis. (correct) Je me comporterai correctement. (autre) Je vais chercher une autre coupe pour oublier cette conversation. (petit) J’ai chopé un petit rhume, mais ça va. (dingue) Il y a un monde dingue dans la salle d’attente. (fidèle) Je suis peut-être ton patient le plus fidèle. (chaud – humide) Cette maladie, on l’attrape dans des endroits chauds et humides. (préféré) Dison que t’es mon patient préféré. (sale) Il n’est pas sale notre chien.

DIVERS  A faire éventuellement avant le visionnement du film : Regardez attentivement l’affiche (p.1) de ce film. Vous y trouverez un tas d’infos sur ce que le film promet. A quoi pensez-vous pouvoir vous attendre ? Pourquoi le pensez-vous ?

 Regardez ces stills et racontez ce que vous voyez. Pouvez-vous également situer ces extraits dans la chronologie du film ?

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I – X – U – Q – K – G – D – V – E – L – C – B – A – J – F – P – T – N – S – M – O – Y – R - W

 Us et coutumes : ‘Au Nouvel An tout le monde se fait la bise.’ (exercice oral) Pourriez-vous énumérer (rechercher) quelques coutumes dans des pays différents par rapport au Nouvel An ? Pensez aux habitudes culinaires, les traditions religieuses, … De façon plus générale, connaissez-vous des coutumes très spécifiques lors de l’une au l’autre fête ?

 Paris, toujours Paris (exercice oral) Dans le film on voit à plusieurs reprises des monuments célèbres. Vous en souvenez- vous ? (L’Arc de Triomphe, la Tour Eiffel) Pouvez-vous raconter quelque chose d’autres monuments que vous connaissez (avez visités) à Paris ?

 Le malade imaginaire (exercice oral) Notre ‘supercondriaque’ de service, Romain Faubert, souffre d’une maladie qui a déjà été décrite il y a plusieurs siècles par un auteur très connu. Savez-vous de qui il s’agit ? Molière , ‘Le malade imaginaire’. Connaissez-vous ce syndrome ? Parlez-en !

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