Procès-Verbal du conseil municipal du 26 juin 2019

Présents : Didier Labro, Jérôme Dietsch, Marcelle Teulières, Jean-Claude Moles, Adjoints, Agnès Beltzer, Chantal Chevriau. Michel Conquet, Corinne Dupin, Frédéric Faguet, Frédérique Olivier, Yves Panassié, Jean-Philippe Vignals. Excusés avec procuration : Antoine Ribeiro procuration à Didier Labro. Excusé : Christelle Tricoire. Absents : Saliha Ousmer Secrétaire de séance : Frédérique Olivier

I -) Validation du procès-verbal du 22 mai 2019 Le Procès-verbal est accepté à l’unanimité

Arrivée de Jean Philippe Vignals

II -) Décisions Modificatives de Budget pour achat tracteur tondeuse

Monsieur le Maire explique qu’il est nécessaire, afin de pouvoir effectuer le paiement du tracteur tondeuse, de prendre cette décision modificative. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, décide de procéder au vote de virements de crédits suivants sur le budget communal de l’exercice 2019 :

CREDITS A OUVRIR

Chapitre Article Opération Service Nature Montant Autres immobilisations 21 2188 70 2500.00 € corporelles

CREDITS A REDUIRE

Chapitre Article Opération Nature Montant 21 21534 94 Réseaux d’électrification 2500.00 €

Après en avoir délibéré le Conseil Municipal décide à l’unanimité, d’accepter la proposition.

Fait et délibéré les jour, mois et an que dessus.

III -) Accord local de recomposition du conseil communautaire du Grand pour le mandat 2020-2026 • Vu l’article L.5211-6-1 du Code général des collectivités territoriales (CGCT) ; • Vu la décision n° 2015-711 DC du Conseil constitutionnel du 5 mars 2015, relative à la loi autorisant l'accord local de répartition des sièges de conseiller communautaire, et notamment son considérant 10 ; • Vu l’arrêté n° DCL/2017/138 portant composition du Conseil communautaire de la Communauté d’agglomération du Grand Cahors, pris le 7 décembre 2017 par Monsieur le Préfet du ; • Vu l’avis de principe favorable du Bureau communautaire du Grand Cahors du 24 mai 2019 ;

Mesdames, Messieurs,

Pour le prochain mandat municipal / intercommunal 2020-2026, il est nécessaire que le nombre total de sièges au sein du Conseil communautaire du Grand Cahors ainsi que leur répartition entre ses communes membres soient rapidement déterminés. En vertu de l’article susvisé du CGCT, cela peut se faire : • Option 1 : par application des règles dites de droit commun, essentiellement fondées sur le poids démographique de chaque commune membre au sein de la communauté, • Option 2 : sur la base d’un accord local conclu entre les communes membres de la communauté, dérogeant aux règles de droit commun mais encadré par plusieurs critères définis par la loi.

Pour rappel, dans le respect de l’arrêté préfectoral susvisé, le Conseil communautaire du Grand Cahors est actuellement composé conformément aux règles de droit commun, car la configuration de la Communauté d’agglomération (peu peuplée, comptant un grand nombre de petites communes membres et une commune- centre représentant la moitié de la population intercommunale) rendait jusqu’alors impossible la conclusion entre ses communes membres d’un accord local valable.

En effet, la loi fixe cinq conditions cumulatives à la validité d’un tel accord, qui ne peuvent pas toutes être remplies pour composer l’organe délibérant du Grand Cahors alternativement aux règles de droit commun.

Toutefois, au titre d’une réserve d’interprétation du Conseil constitutionnel (cf. la décision susvisée) récemment confirmée par la Direction générale des collectivités locales (DGCL), qui vient donc de mettre à jour son simulateur interne de calcul du nombre total de sièges communautaires et de leur répartition entre les communes membres, l’une de ces cinq conditions peut être assouplie. Il s’agit de la suivante : « la part de sièges attribuée à chaque commune ne peut s'écarter de plus de 20 % de la proportion de sa population dans la population globale des communes membres, sauf (…) lorsque deux sièges seraient attribués à une commune pour laquelle la répartition effectuée en application du 1° du IV (règle de droit commun) conduirait à l'attribution d'un seul siège. » (I. 2° e) de l’article susvisé du CGCT). Cette exception légale permet de donner à certaines communes un ratio de représentativité supérieur à 120 %. Mais, selon une interprétation plus extensive qu’en a fait le Conseil constitutionnel, elle permet aussi de dégrader en contrepartie le ratio de représentativité d’autres communes membres : « en permettant, au troisième alinéa du e) du 2° du paragraphe I de l'article L. 5211- 6-1, d'attribuer un second siège à une commune ayant obtenu un seul siège au titre de la répartition à la représentation proportionnelle à la plus forte moyenne, le législateur a entendu assurer une représentation plus adaptée de ces communes et réduire les écarts de représentation entre les plus petites communes et des communes plus peuplées ; qu'une telle attribution d'un second siège est susceptible d'accroître l'écart à la moyenne de la commune à laquelle ce siège est attribué au- delà d'un seuil de 20 % et, le cas échéant, l'écart à la moyenne des autres communes membres de l'établissement public ; que l'attribution de ce second siège aux communes remplissant les conditions pour pouvoir en bénéficier ne saurait, sans méconnaître le principe d'égalité devant le suffrage, être réservée à certaines communes à l'exclusion d'autres communes dont la population serait égale ou supérieure ». En commentaire de sa décision, le Conseil constitutionnel explique en effet que cette exception : « peut accroître l’écart de représentation à la moyenne de l’EPCI pour les communes qui peuvent prétendre à un second siège en vertu de cette exception, en permettant même que cet écart dépasse 20 %, alors qu’en vertu d’une répartition des sièges au prorata de la population il était inférieur à 20 %. Elle peut également, par l’effet des sièges supplémentaires ainsi attribués, dégrader l’écart à la moyenne pour d’autres communes membres de l’EPCI. »

Sur ce fondement et au vu des résultats du simulateur DGCL actualisé, onze accords locaux sont aujourd’hui mathématiquement possibles pour recomposer l’assemblée du Grand Cahors à l’aune des prochaines élections locales. Néanmoins, sur ces onze accords, seuls quatre semblent cohérents (cf. tableau ci-joint). Parmi eux, l’accord numéro 11 (le dernier possible) permettrait à dix communes intermédiaires, moyennement peuplées, du Grand Cahors d’être mieux représentées au sein de son Conseil, comme en début de mandat 2014-2020. Il répartit en effet comme suit 72 sièges communautaires (contre 68 actuellement, par application des règles de droit commun) :

• 2 sièges de conseiller communautaire titulaire attribués aux communes membres par tranche de 800 habitants soit : • 24 sièges pour Cahors (contre 29 au titre de l’actuelle répartition), • 4 sièges pour Pradines (contre 5 au titre de l’actuelle répartition), • 2 sièges pour Bellefont-La-Rauze, Labastide-Marnhac, Mercuès, , Espère, Arcambal, Catus, Saint-Géry-Vers, , Trespoux- Rassiels (contre 1 seul au titre de l’actuelle répartition), • 1 siège pour chacune des 24 autres communes membres du Grand Cahors, à qui 1 siège de conseiller communautaire suppléant doit donc aussi être attribué (situation inchangée par rapport à l’actuelle répartition). Cet accord est très proche de celui conclu en 2013 (2 sièges par tranche de 750 habitants), entre les communes membres du Grand Cahors pour le mandat communautaire 2014-2020, devenu caduque en décembre 2017, car il n’était plus conforme à la loi qui avait été modifiée en 2015 (cf. article susvisé du CGCT). C’est pourquoi, le Conseil communautaire du Grand Cahors avait alors été recomposé selon les règles de droit commun.

Quelle que soit l’option (1 ou 2) retenue, Monsieur le Préfet du Lot constatera par arrêté pris avant le 31 octobre 2019 la recomposition du Conseil communautaire du Grand Cahors qui en découlera pour l’intégralité du mandat 2020-2026. Si l’option 2 est prise, l’accord local doit être approuvé avant le 31 août 2019, par deux tiers au moins des conseils municipaux des communes membres du Grand Cahors représentant plus de la moitié de leur population totale, ou l’inverse, y compris le conseil municipal de Cahors (commune dont la population est la plus nombreuse et représente plus d’un quart de la population totale du Grand Cahors). Le respect de ces échéances est important, dans la perspective des élections municipales de mars 2020, à l’occasion desquelles, pour les communes de plus de mille habitants, les conseillers communautaires seront fléchés depuis les listes de candidats à la fonction de conseiller municipal, comme en 2014.

J'ai donc l'honneur de proposer à notre assemblée :

• D’approuver la recomposition du Conseil communautaire du Grand Cahors pour le mandat 2020-2026 conformément à l’accord local suivant : • Nombre total de sièges de conseiller communautaire titulaire : 72 • Répartition de ces sièges entre les communes membres : 2 sièges attribués aux communes membres par tranche de 800 habitants soit : • 24 sièges pour Cahors, • 4 sièges pour Pradines, • 2 sièges pour Bellefont-La-Rauze, Labastide-Marnhac, Mercuès, Le Montat, Espère, Arcambal, Catus, Saint-Géry-Vers, Douelle, Trespoux- Rassiels, • 1 siège pour les 24 autres communes membres du Grand Cahors, à qui 1 siège de conseiller communautaire suppléant doit donc être attribué. Après en avoir délibéré, le Conseil municipal adopte les propositions du rapporteur à l’unanimité.

IV -) Désaffectation et déclassement de l’ancienne école de Pasturat La commune d’Arcambal est propriétaire de l’ancienne école primaire de Pasturat située 41/49 rue de Saint Géry 46090 Arcambal, sur la parcelle cadastrée section B numéro 86.

Ce bien se compose d’un logement de fonction, d’une salle de classe, d’un préau, d’une cuisine, d’un préau et d’un terrain autour.

Compte tenu de la fermeture définitive de cette école depuis de nombreuses années, la commune souhaite disposer librement du bien afin de pouvoir le vendre, un acquéreur ayant été trouvé pour l’ensemble immobilier.

Ce bien n’étant plus affecté à une mission de service public (école) depuis 1968, il convient d’en prononcer sa désaffectation.

Par ailleurs, Monsieur Le Préfet a fait connaître par courrier en date du 29 avril 1968 à notre collectivité sa décision de fermeture de l’école du hameau de Pasturat.

L’ensemble immobilier peut en conséquence, être déclassé du domaine public vers le domaine privé de la commune en vue de sa cession.

Le conseil municipal décide à 3 voix contre (Chantal Chevriau, Michel Conquet, Yves Panassié), 0 voix abstention,10 voix pour

- de constater la désaffectation de l’ancienne école, sise à Pasturat, cadastrée section n° B86 ;

- de prononcer le déclassement de cet ensemble immobilier du domaine public et de constater son intégration dans le domaine privé de la commune.

Fait et délibéré les jour, mois et an que dessus.

C.Chevriau : Question sur le bureau de vote : domaine public ou privé. Réponse du Maire : cela n’est pas considéré comme domaine public car cela peut être déplacé. Y. Panassié : Je vote contre

V -) Autorisation de la vente de l’ensemble immobilier de Pasturat et terrain autour Le maire rappelle au conseil municipal que suite au départ de la locataire, de l’appartement situé à Pasturat, d’importants travaux de rénovation et de mises aux normes sont à réaliser.

M. le maire propose au conseil municipal de procéder à la vente d’un ensemble immobilier, situé sur la parcelle de 625 m2 cadastrée B 86 au hameau de Pasturat, en zone U du POS de la commune et composé de :

- d’un appartement en pierre, avec charpente bois, comprenant 3 chambres, deux WC, salle de bains, cuisine, salle à manger, cave voutée, local chaufferie, d’une superficie habitable de 103 m2 environ. - Un garage de 15 m2 ,une salle de 58 m2 , une cuisine d’été de 12 m2 et d’un préau de 19 m2 .

M. le maire précise que cet ensemble immobilier loué par la commune jusqu’au 31 mai 2017, fait partie du domaine privé communal au regard des dispositions du code général de la propriété des personnes publiques. Il peut ainsi être aliéné librement par décision du conseil municipal, dans les conditions de droit commun.

Par ailleurs, la population de la commune d’Arcambal étant inférieure à 2000 habitants, les cessions de biens immobiliers communaux ne sont pas obligatoirement soumises à l’avis du service des domaines (CGCT, art. L2241-1).

Le conseil municipal,

Vu Le Code Général des Collectivités Territoriales, notamment ses articles L2241-1 et L2122-21,

Vu le Code Général de la Propriété des Personnes Publiques, notamment ses articles L2111-1, L2211-1, et L2221-1,

Après avoir entendu l'exposé de M. le maire,

Considérant le coût des travaux de rénovation estimé à 50 000 euros hors taxes minimum qui obligerait la commune à s’endetter pour y faire face.

Considérant que le retour sur investissement n’est pas garantie avant plusieurs années avec le risque d’un taux de vacance élevé, du fait de la position géographique de Pasturat.

Considérant qu’il est indispensable de rechercher toutes les sources d’économie budgétaires possibles afin de préserver les services actuels rendus à la population.

Considérant que la commune a besoin de ressources pour faire face à certaines dépenses nécessaires, notamment pour la mise en conformité de la défense incendie.

Considérant que, dans ces conditions il y a lieu de procéder à son aliénation ;

Décide de procéder à l’aliénation de gré à gré de la totalité de l’ensemble immobilier, situé au hameau de Pasturat, cadastré B 86, ainsi que le terrain attenant .

Décide de fixer le prix de vente pour l’ensemble à 90 000 € (quatre-vingt-dix mille euros) ;

Décide que l’aliénation sera réalisée devant notaire, les frais notariés étant à la charge de l’acheteur ; ainsi que tous frais éventuels liés à cette vente.

Autorise M. le maire à faire toutes les diligences nécessaires pour aboutir à l'aliénation de cet ensemble immobilier de gré-à-gré ;

Après en avoir délibéré, le conseil municipal accepte la proposition du maire par voix 9 pour, 4 contre (Panassié, Conquet, Chevriau, Ribeiro) et 0 abstention. Il l’autorise à signer tous les documents se rapportant à ce dossier.

Fait et délibéré les jour, mois et an que dessus Le Maire : • Du fait, des travaux importants qui seraient nécessaires afin de le relouer • Les frais importants de fonctionnement pour le nombre de jours d'utilisation dans une année, c’est l’intérêt général de la commune que de le vendre Un jeune couple + deux enfants vont faire revivre ce lieu

Y.Panassié : Lieu intéressant de Pasturat Passage touristique avec un pont vers St Géry Cet ensemble aurait pu servir pour un projet avec un regroupement de commune éventuellement J’étais pour une location en partie mais il y avait un problème de copropriété. Les 90 000 euros étaient proposés au départ pour une partie, on passe de 103 à 207 m2, il s’interroge donc sur l’avantage de cette vente Cet endroit aurait pu avoir un intérêt pour développer une activité sur Pasturat L’acheteur a plus de contact avec Y.Panassié car ses parents habitent les Parrots Sept 2009 : Cette question de suppression du bureau de vote a été abordé en décembre 2009, il y a eu beaucoup de personnes de Pasturat. Il rappelle les propos du 1er adjoint actuel à l’époque : « Il serait bien de reconsidérer la situation »

Position de Y.Panassié : Si j’avais été Maire d’Arcambal, je ne l’aurais pas vendu donc je voterai contre

Dans les mois qui viennent on aura l’occasion de s’en expliquer avec les habitants concernés au cours des réunions de campagne électorale En conclusion : je pense qu’il serait très intéressant de le garder

D.Labro : Souhaite revenir sur le prix, 90 000 euros était hors prix du marché donc beaucoup trop haut Le prix de ce jour est proposé au conseil municipal mais il pense que cela correspond au prix pratiqué actuellement sur le marché immobilier. Y.Panassié : Il aurait souhaité demander un avis aux domaines D.Labro : Les avis des domaines sont très longs à avoir et l’acheteur sera parti. Y.Panassié : Je connais l’expert qui avait donné son avis sur le 1er lot et je ne pense pas qu’il est expert, on aurait pu demander déjà l’avis des domaines. C.Chevriau : Se souvient de l’engagement de la liste pour la conservation du bureau de vote. Il n’y a pas eu d’information de la population avant. Au moins que la totalité était en vente. D.Labro : Sur l'annonce de la vente il n’était pas mentionné si c'était la totalité ou qu'une partie qui était mis en vente, donc les acheteurs auraient pu se manifester. Cela n’a pas été le cas. A.Beltzer : Etait d’accord pour promouvoir le projet mais malgré les stimulations, personne ne s’est manifesté. Elle pensait par exemple à un projet associatif. C.Chevriau : Il y a eu trois manifestations de 80 personnes. Y.Panassié : Trouve qu’il y a précipitation par rapport à l’évaluation des domaines. F.Faguet : Le service a déménagé à Albi Je suis ancien directeur des domaines Ils ne se déplacent pas d’Albi, ils n’auraient pas donné suite. D.Labro et M.Teulières : Plusieurs agences ont été sollicitées pour le prix et la vente.

Vote contre : 4 (Panassié, Conquet, Chevriau, Ribeiro), abstention : 0, vote pour : 9. VI -) Suppression du bureau de vote N°2 et de l'affichage électoral à Pasturat Le maire explique que suite à la vente du local où se trouvait le bureau de vote n°2, la commune n’a plus de lieu disponible à Pasturat pour recevoir les électeurs. Il propose donc à l’assemblée de supprimer ce bureau de vote ainsi que l’emplacement d’affichage place de l’église à Pasturat. Il ne subsistera dans notre commune qu’un seul bureau de vote situé en mairie d’Arcambal où tous les électeurs de la commune voteront. Un seul emplacement d’affichage demeurera place Fréjaville 46090 Arcambal. Après en avoir délibéré, le conseil municipal autorise le maire par : 10 voix pour - 3 voix contre (Panassié, Conquet, Chevriau) 0 voix abstention, à signer tous les documents permettant la fermeture du bureau de vote n°2 ainsi que l’affichage électoral à Pasturat.

Fait et délibéré les jour, mois et an que dessus.

D.Labro : Sur cette délibération il est souhaitable de rajouter le déplacement de l’affichage, il est vrai que nous nous étions engagés à ne pas le fermer mais nous avons changé de décision car : - Travail nécessaire pour un second bureau et cela a un coût - C’est inévitable de toute façon car le nombre d'électeurs est en baisse - Certains électeurs habitants des Mazuts demandent à voter à la mairie - Le principal c'est que cet ensemble revive Y.Panassié : On pourrait laisser un bureau de vote, indépendant de la vente M.Conquet : Lit un texte réglementaire - Redistribution de la carte électorale ne dépend pas du conseil municipal pour lui Y.Panassié répond : La différence c’est que le conseil municipal a autorité mais c’est l’arrêté préfectoral qui l’entérinera. D.Labro : La préfecture pose la question chaque année

VII -) Achat parcelle A-1741 pour implantation bâche à eau à Mondiès Le maire explique que pour poursuivre la mise en conformité de la défense incendie des biens et des personnes, il est nécessaire d’acquérir un terrain à Mondiès afin d’y installer une bâche à eau de 60 mètres cubes.

Le maire propose à l’assemblée l’achat de la parcelle cadastrée A 1740 d’une superficie de 104 mètres carrés appartenant à Madame Mignot Nadine au prix de 2 euros le mètre carré soit 208 € l’ensemble.

Les frais liés à cet achat (notaire, géomètre) seront à la charge de notre collectivité.

Les fonds nécessaires à la réalisation de cet investissement ont été inscrits au budget primitif 2019.

Après en avoir délibéré, le conseil municipal décide à l’unanimité.

- d’accepter la proposition d’achat de cette parcelle de terrain A-1740 au prix indiqué ainsi que les frais inhérents à cet achat

- d’autoriser le maire à signer tous les documents se rapportant à ce dossier.

Fait et délibéré les jour, mois et an que dessus.

VIII -) Questions diverses. • Demande d’une association A Bras Cadabra, personne de la commune, association nationale : en faveur des enfants prématurés, pour néonatale et la pédiatrie souhaiterait la salle de l’ancienne bibliothèque un samedi par mois pour fabriquer des vêtements. - Il faut limiter la durée pour examiner la situation. - du fait du renouvellement et des élections, nous proposons 30 juin. - Le conseil municipal à titre exceptionnel, du fait du caractère humanitaire de l’association est favorable.

• Point sur les travaux près de l’école : Nous avions demandé DETR : 35 850 €, accordés…. A la région : 25 000 € - accord pour 17 500 € car n’ont pas souhaité prendre en compte le bitume. Amendes de police : 7 500 € en attente de décision Total : 50 % de subventions pour cette opération, les travaux ont été demandés à A.Ribeiro pour le crépis. Le Maire demande son avis au conseil municipal car il s’agit d’un conseiller municipal Devis : 880 euros . Avis : 1 voix contre (Panassié), abstentions: 2 voix (Conquet, Chevriau) 9 voix pour. Le Maire précise qu’il fait travailler les artisans de la commune. Il n’y a pas eu d'autre demande de devis pour une petite somme. • Préparation d’un bulletin municipal : faire passer les articles.

L’ordre du jour étant épuisé la séance est levée à 21 h 30.

EMARGEMENTS DU PV 26 JUIN 2019 Didier Labro Agnès Beltzer

Jérôme Dietsch Chantal Chevriau

Marcelle Teulières Michel Conquet

Jean-Claude Moles Yves Panassié

Saliha Ousmer Absente Antoine Ribeiro Pouvoir à Didier Labro

Christelle Tricoire Excusée Corinne Dupin

Jean-Philippe Vignals Frédéric Faguet

Frédérique Olivier