Architecture Vernaculaire À Pierre Sèche Au Xixe Siècle En Milieu Rural Héraultais
Mémoire de Master 2 UFR III Sociétés, Art, Religions des Mondes Modernes et Contemporains Spécialité Histoire de l’art Architecture vernaculaire à pierre sèche au XIXe siècle en milieu rural héraultais : cabanes témoins Etude de cas dans les champs de garrigue et piémont d’Aumelas et de la Moure - communes de Saint-Pargoire et de Villeveyrac. Elodie FICHOU Sous la direction de M. Jean-François PINCHON, professeur des Universités Université Paul-Valéry - Montpellier III - 2010. REMERCIEMENTS Je tiens tout d’abord à remercier mon directeur de recherches, Monsieur Jean-François Pinchon, professeur des Universités, pour ses conseils méthodologiques, pour les nombreuses pistes de réflexion évoquées, mais aussi pour avoir vu l’intérêt et l’urgence d’étudier un tel sujet. Je tiens également à exprimer mes remerciements à Christian Lassure, fondateur et président du Centre d’Etudes et de Recherches sur l’Architecture, à l’association de construction et de restauration en pierre sèche Pierres d’Iris, aux propriétaires des parcelles étudiées, et aux « anciens » de Villeveyrac et Saint-Pargoire, pour leurs réponses à mes nombreuses questions. 2 AVANT-PROPOS Une première hypothèse pour un sujet de mémoire fut l’évocation d’une étude locale sur l’architecture de l’Abbaye cistercienne de Valmagne, - un exemple de ce qu’il est commun d’appeler la « grande architecture » -. Toutefois, lors de prospections aux alentours de cette abbaye, - que l’on appelle aussi « cathédrale des vignes » -, se mit rapidement en place le projet de s’intéresser à une autre forme d’architecture, certes tout aussi locale, mais néanmoins peu connue, plus modeste, dite « mineure », mais qui semblait pourtant tout aussi digne d’intérêt : l’architecture des « cabanes des vignes », ou cabanes en pierre sèche, environnant la dite abbaye.
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