Saint-Martin De Savigny : Archéologie D'un Monastère Lyonnais
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Université Lumière Lyon 2 UMR 5138 Archéométrie et archéologie (Maison de l’Orient et de la Méditerranée) École doctorale des sciences sociales (ED 483) Saint-Martin de Savigny : archéologie d’un monastère lyonnais Histoire monumentale et organisation spatiale des édifices cultuels et conventuels (IXe-XIIIe siècle) par Mme Olivia PUEL Sous la direction de M. Nicolas REVEYRON Thèse d’archéologie médiévale pour obtenir le grade de docteur de l’Université Lumière-Lyon 2 présentée et soutenue publiquement le 7 décembre 2013 Composition du jury : M. Nicolas REVEYRON – Professeur des Universités, Université Lumière Lyon 2 me M Eleonora DESTEFANIS – Professore, Università degli Studi del Piemonte Orientale M. Alain DUBREUCQ – Professeur des Universités, Université Jean Moulin Lyon 3 me M Élisabeth LORANS – Professeur des Universités, Université François Rabelais de Tours M. Christian SAPIN – Directeur de recherches au CNRS Tome 1, volume 1 Saint-Martin de Savigny : archéologie d’un monastère lyonnais Histoire monumentale et organisation spatiale des édifices cultuels et conventuels (IXe-XIIIe siècle) Tome 1 : texte (volume 1) Remerciements À Evelyne, qui m’a appris, par son exemple, à écouter les autres À mon grand‐père, qui m’a transmis le goût des livres et de l’histoire C’est à mon directeur de thèse, Nicolas Reveyron, que s’adressent d’abord mes remerciements au terme de cette recherche qu’il a encadrée avec patience et disponibilité. Je n’oublie pas nos longues discussions – souvent ponctuées de jeux de mots désopilants ! – qui m’ont aidée à mieux cerner mon sujet et à surpasser mes limites. Ses mails d’encouragements se sont également révélés très précieux, en particulier pendant les dernières semaines de rédaction. Je remercie également Eleonora Destefanis, Alain Dubreucq, Élizabeth Lorans et Christian Sapin d’avoir accepté de figurer dans mon jury de thèse et d’avoir manifesté leur intérêt envers mes travaux. Je ne compte plus les échanges oraux ou scripturaires que j’ai eu la chance d’avoir avec chacun d’entre eux, à l’occasion de diverses manifestations scientifiques. J’ai aussi beaucoup apprécié la présence d’Alain Dubreucq ou de Christian Sapin à certaines journées d’études organisées dans le cadre du PCR sur l’abbaye de Savigny. J’ai également une pensée particulière pour Anne Baud pour sa présence tout au long de ces années de recherche. Elle a pensé à moi lorsque s’est présentée l’opportunité de travailler sur l’abbaye de Savigny – au moment du DEA, il y a longtemps déjà ! – et elle a surtout trouvé les mots pour m’encourager lorsque j’étais en proie aux doutes. Son soutien est pour moi très important et j’espère avoir encore l’occasion de travailler avec elle à l’avenir. Je remercie infiniment Jean‐François Reynaud qui, dans mon souvenir le plus ancien, nous proposait un cours sur les sarcophages mis au jour à Lyon… En plus d’avoir relancé les recherches sur l’abbaye de Savigny, il s’est toujours montré présent et passionné au cours de ma thèse. Je ne saurais pas dire le nombre de fois où il est venu à Savigny pour voir et commenter avec moi les dernières découvertes ! J’ai également une pensée très émue pour Denise Devos, qui a ouvert la voie à mes travaux en publiant un premier article sur les édifices monastiques de Savigny. Je garde un excellent souvenir de notre rencontre à Paris en mai 2011 : elle s’est montrée tellement enthousiaste devant les découvertes archéologiques qu’elle avait elle‐ même rêvé de faire que c’était un réel plaisir de les lui exposer. À ce jour, je conserve aussi précieusement les manuscrits de son oncle, Amédée Cateland, qu’elle m’a confiés à charge pour moi d’en faire bon usage avant de les verser à un service d’archives. D’autres chercheurs m’ont accordé de leur temps, en venant visiter mes chantiers archéologiques, en me communiquant leurs impressions sur des articles ou simplement en abordant avec moi des questions scientifiques qui ont nourri mes recherches. Que Dominique Allios, Julie Aycard, Marie‐Laure Bassi, Jean‐Claude Béal, Jean Berger, Dominique Bertin, Charles Bonnet, Catherine Bonnin‐Magne, Emma Bouvard, Sébastien Bully, Gérard Charpentier, Hervé Chopin, Yann Codou, Marie‐Pierre Feuillet, Anne Flammin, Charlotte Gaillard, Fabrice Gauthier, Philippe Griot, Heike Hansen, Delphine Hanquiez, Andreas Hartman‐Virnich, Alban Horry, Catherine Magne, Florence Margo, Nathalie Mathian, Véronique Monnoyeur, David Morel, Aude Morelle, Anelise Nicolier, Isabelle Parron, Bruno Phalip, Alain Rauwel, Noëlle‐Christine Rebichon, Annie Regond, Patrick Roussel, Michel Rubellin, Arnaud Timbert, le père Bernard de Vregille, Anne Wagner et Olivier Zeller trouvent ici l’expression de ma reconnaissance. J’espère ne pas avoir omis trop de personnes en établissant cette liste non exhaustive… Ma gratitude est acquise pour tous les membres du PCR ! Gérald Bonnamour, Lorène Cellard, Franck Chaléat, François Demotz, Pierre Ganivet, Mathilde Gardeux, Pauline Gendry, Christian Gensbeitel, Gilles Rollier et Renato Saleri se sont tous investis, à des degrés divers en fonction de leurs disponibilités, dans nos travaux collectifs et pluridisciplinaires. Les éditions de texte que Pierre Ganivet et Pauline Gendry ont gentiment mis à ma disposition pour que je décortique toutes les mentions des édifices cultuels et conventuels ont donné à ma thèse un relief que je n’aurais pas atteint sans eux. Je leur en suis très reconnaissante. Pierre, tu possèdes une place toute particulière dans ce groupe… Merci pour tes mails en latin et tes plans tracés à la main ( !), merci surtout pour ta présence, ton soutien, tes encouragements et ta propension à accepter toute discussion relative à Savigny, quelque soit l’heure… 3 J’ai aussi une profonde reconnaissance envers mes nombreux relecteurs. Anne Baud, Gérard Charpentier, Hervé Chopin, Pierre Ganivet, Charlotte Gaillard, Christine Oberlin, Anne Schmitt ou encore Benoît Van Reeth ont tous gentiment accepté de relire des passages liés à leurs propres spécialités. Jacques Cazeaux, Frédérique Hatt, Yann Philippe et deux de mes anciens professeurs de français, Alain Bosdecher et René Robert, que j’ai sollicités pour l’occasion, se sont quant à eux montré intraitables envers les erreurs de forme ! J’espère leur faire honneur avec la version finale de mon texte. Au cours de mes séjours plus ou moins longs à Savigny, j’ai reçu énormément de soutien aussi bien de la part des élus et des membres de l’association Savigny : Patrimoine d’hier et de demain que des habitants du bourg. Je remercie en particulier Christian Martinon et Bénédicte Dumas, André Bouvier, Odile Coste, Jacqueline Debarnot, Marielle Gidon, Frédérique Hatt, Odile Moinecourt et Alain Perrot. Je n’oublie pas non plus tous ceux qui, en un joli matin de mars 2011, nous ont aidé à reboucher les sondages ouverts dans l’emprise de l’abbatiale et du cloître : Marielle Gidon, Frédérique Hatt, Guillaume Hermand, Pierre Joannin et Jacky Pillard se sont livrés à l’exercice avec une bonne humeur communicative… Certains habitants ont accepté d’ouvrir leurs portes et d’accueillir les archéologues de l’équipe dans leurs propriétés. Ils occupent évidemment une place singulière dans mes pensées au moment de rédiger ces quelques remerciements. Sans eux, il n’aurait pas été possible de réunir et d’analyser les vestiges archéologiques des édifices monastiques. Que Philippe et Odile Lorain, René Beaujolin, Frédérique Hatt, la famille Roux, Blandine Girard, Brigitte Poulard, Bernard Thibaut, … sachent que je leur dois une bonne part de mon travail. J’ai une pensée émue pour Paul Roux, qui ne perdait pas l’occasion de bavarder quelques minutes et qui était heureux de nous offrir les délicieuses cerises de son jardin pour agrémenter nos petites pauses matinales…Je remercie aussi du fond du cœur Frédérique Hatt, qui est bien plus qu’une habitant de Savigny à mes yeux. Je viendrais toujours avec plaisir passer quelques heures à la campagne et partager d’excellents moments autour d’un communard ! Les fouilleurs bénévoles, le plus souvent issus de l’Université Lyon 2, ont formé une autre composante de ma thèse. Tous ont participé aux campagnes de terrain avec sérieux et compétence, avec joie et bonne humeur : Natacha Barré, Corentin Biets, Romain Boissat, Julien Brunet, Laure de Chavagnac, Camille Collomb, Émilie Comes, Aurélie Devillechaise, Benjamin Dufix, Mathilde Duriez, Lise Eneau‐Brun, Diane Fabre, Isabelle Frath, Charlotte Gaillard, Mathilde Gardeux, Tiffany Goncalvez, Adeline Jammes, Julie Jérome, Anahide Kéfélian, Hedy Kernafi, Pauline Larrieu, Romain Lauranson, Anouck Luquet, Marine Muscédère, Anelise Nicolier, Benjamin Oury, Nivad Phantadara, Lauriane Philippeaux, Sandra Piotrowski, Baptiste Quost, Guillaume Tisserand, Muriel Winsback. Plusieurs d’entre eux n’ont pas hésité à venir plusieurs fois et à s’investir dans le travail de post‐ fouille : Camille Collomb a assuré l’analyse des échantillons de mortier, sous les conseils d’Isabelle Frath ; Romain Boissait et Romain Lauranson se sont chargés de l’étude du mobilier céramique ; Camille Collomb, Lise Eneau‐Brun, Charlotte Gaillard, Benjamin Oury ou encore Baptiste Quost ont réalisé des mises au net infographiques. Au cours de mes travaux, j’ai été amenée à côtoyer le personnel de nombreuses institutions, que je souhaite ici remercier à titre personnel : au sein du Service régional de l’Archéologie Rhône‐Alpes, Anne le Bot, Laure Devillard, Michel Lenoble et Robert Royer ont toujours été à mon écoute et m’ont prodigué de nombreux conseils très utiles pour la conduite de mes opérations archéologiques. Je partage aujourd’hui leur quotidien puisque je suis chargée de mission à la carte archéologique, auprès de Fiorella Cocco et Laurence Ollivier. Je leur suis très reconnaissante de m’avoir accordé les quelques jours de congés nécessaires à l’achèvement de cette thèse. Anne Pariente m’a recrutée au Service Archéologique de la Ville de Lyon lors des campagnes de relevés effectuées à Saint‐Irénée avec Jean‐François Reynaud : elle m’a ainsi fourni l’occasion de travailler dans un cadre professionnel et de rencontrer une équipe fort sympathique ! Je l’en remercie avec sincérité.