COMMUNE DE VILLENAVE D'ORNON (33)

CONSTAT GEOTECHNIQUE DES DESORDRES APPARUS SUR HUIT MAISONS

par

S. BELPERRON

R 30935 AQI 4S 90 , le 30 mai 1990

BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL Service Géologique Régional Aquitaine Avenue du Docteur-Albert-Schweitzer - 33600 PESSAC Tél. 56 80 69 00 - Télex 540030 OGETEL - REF 128 - I -

COMMUNE DE VILLENAVE D'ORNON

CONSTAT GEOTECHNIQUE PES DESORDRES APPARUS SUR 8 MAISONS

RESUME

Sur la commune de Villenave d'Ornon (33), plusieurs maisons (8 au total) situées sur différents secteurs de la ville ont subi des dégra­ dations plus ou moins importantes (fissures, écaillages, ..). Considérant que les désordres apparus résultent d'un retrait des sols argileux de fondation suite à une sécheresse exceptionnelle, les habitants concernés ont constitué un groupement en vue d'obtenir l'application de la loi du 13 juillet 1982, relative à l'indemnisation des victimes de catastrophe naturelle pour la prise en charge des dégâts causés aux maisons d'habi­ tations.

La procédure pour la prise de l'arrêté interministériel de constat de catastrophe naturelle exige une étude permettant de constater les désor­ dres et de faire ressortir leurs origines. C'est à la demande de la Mairie de Villenave d'Ornon que le B.R.G.M. est intervenu.

Pour chaque maison, il a été réalisé pour constater les désordres :

- un dossier photographique sur les phénomènes les plus marqués, - un ou plusieurs sondages tarière pour reconnaître la coupe des terrains - des essais d'identifications au laboratoire, teneur en eau, limites d'Atterberg, limites de retrait.

L'accès aux jardins étant impossible, aucun échantillon intact n'a pu être prélevé (par puits à la pelle mécanique par exemple).

Hormis les maisons E, F et H pour lesquelles les sondages à la tarière n'ont reconnu globalement qu'une formation sableuse et pour lesquelles les essais classiques d'identification (Ip, WR) n'ont pu être réalisés, la synthèse des résultats concernant les maisons A, B, C, D et G montre que les désordres qui les affectent résultent d'un phénomène de retrait-tassement des sols argileux de fondation, suite à une période de sécheresse anormalement longue. - II -

CONSTAT GEOTECHNIQUE DES DESORDRES APPARUS SUR VINGT MAISONS

LISTE DES HABITATIONS CONCERNEES

A . Monsieur Albert VALADE 17, route de Léognan 33140 VILLENAVE D'ORNON

B . Monsieur Pierre COCHET 30, rue de la Paix 33140 VILLENAVE D'ORNON

C . Madame LECUSSAN 125, avenue des Pyrénées 33140 VILLENAVE D'ORNON

D . Madame SOULEYREAU 2, rue Pierre de Ronsard 33140 VILLENAVE D'ORNON

E . Mademoiselle DUPUY 22, rue Elie Lourmet 33140 VILLENAVE D'ORNON

F . Monsieur Francis RONZIER 24, rue Michelet 33140 VILLENAVE D'ORNON

G . Madame Paulette BORDES Lignac - Saint-Androny 33390

H . Monsieur ROCHÁIS 25, hameau de Laurende 33370.POMPIGNAC - Ill -

SOMMAIRE

Pages

RESUME I LISTE DES HABITATIONS CONCERNEES II SOMMAIRE Ill

1 - INTRODUCTION 1 2 - SITUATION GEOGRAPHIQUE 1 3 - CADRE GEOLOGIQUE 1 A - RESULTATS DE L'ENQUETE SUR PLACE 2 5 - CONCLUSIONS SUR L'ORIGINE DES DESORDRES 6 5.1 - Sécheresse exceptionnelle 6 5.2 - Résultats des sondages de reconnaissance à la tarière 6 5.2 - Résultats des essais de laboratoire 9

LISTE DES FIGURES

Figure 1 - Plan de situation générale. Figure 2 - Evolution des précipitations efficaces de 1976 à 1990. Figure 3 - Evolution des précipitations efficaces et de la pluviométrie de septembre 1988 à janvier 1990. Figure 4 - Diagramme de Casagrande.

LISTE DES ANNEXES

Annexe 1 - Copie de la circulaire préfectorale. Annexe 2 - Dossier photographique. 1 - INTRODUCTION

Suite à la multiplication de désordres affectant plusieurs maisons de Villenave d'Ornon (8 au total) , la Mairie de Villenave d'Ornon, confor­ mément à la circulaire préfectorale dont copie est donnée en annexe 1, demande au B.R.G.M. d'effectuer un constat géotechnique sur place.

La présente étude a donc pour seul objectif de définir la causalité des désordres apparus dans les maisons. Elle ne peut en aucun cas (bien que certains résultats d'essais de laboratoire soient utiles) suffire à la définition d'éventuels confortements à mettre en oeuvre.

2 - SITUATION GEOGRAPHIQUE (voir plan de situation générale fig. 1)

Les maisons affectées par les désordres se situent essentiellement dans le quartier entre la route de Léognan et l'avenue des Pyrénées.

3 - CADRE GEOLOGIQUE

D'après la carte géologique à l'échelle du 1/50 000 de Pessac,les maisons inspectées reposent sur les formations superficielles des sables à graviers argileux, les sables et argiles pouvant se présenter sous forme de lentilles très localisées. ^^^^&

195 km .TOULOUSE 250 km H '—"-—•*-•-^--;ITOULOUSE 250km

LÉGENDE (suite) - 2 -

4 - RESULTAT DE L'ENQUETE SUR PLACE

L'enquête effectuée les 4 et 20 avril 1990 a permis de visiter huit maisons particulièrement affectées par des désordres.

Le dossier photographique joint en annexe permet de mesurer l'impor­ tance des désordres qui affectent ces différents bâtiments.

4.1 - Habitation de Monsieur VALADE (notée A sur figure 1)

Sur cette habitation de plain-pied, construite en 1958 sur radier général, les premiers désordres sont apparus courant octobre 19S9 et n'ont cessé d'évoluer.

On a pu observer :

- de nombreuses fissures dans les murs porteurs, les cloisons, les planchers et les plafonds - un tassement du sol provoquant la désolidarisation de la cloison et du plancher au niveau du séjour - le décollement de la corniche dans la pièce du bureau.

Les façades extérieures étant recouvertes par du placoplâtre, aucune fissure extérieure n'a pu être observée.

4.2 - Habitation de Monsieur COCHET (notée B sur la figure 1)

Les désordres apparus durant l'été 1989 affectent l'appentis cons­ truit il y a une vingtaine d'année sur semelle filante. Ceux-ci se tra­ duisent par une fissuration verticale de la façade extérieure orientée ouest et par la fissuration des cloisons intérieures.

Les fissures rejointoyées depuis fin 89 n'ont pas subi d'évolution. - 3 -

4.3 - Habitation de Madame LECUSSAN (notée C sur la figure 1)

La maison de Madame LECUSSAN est un bâtiment de plain-pied construit en 1975 sur semelle filante (ancrage 0,60 m). Les désordres apparus fin septembre-octobre 1989 n'ont pas cessé d'évoluer et se traduisent princi­ palement par la fissuration des façades extérieures et des cloisons intérieures.

On note par ailleurs, la présence de pins et d'un peuplier à proxi­ mité de la maison.

4.4 - Habitation de Madame SOULEYREAU (notée D sur la figure 1)

La maison de Madame SOULEYREAU est une habitation de plain-pied construite en 1975 sur fondations superficielles.

Les désordres apparus en juillet semblent évoluer avec les mouvements de sols, certaines fissures s'étant refermées depuis le mois de février.

Les différents désordres constatés lors de l'enquête sur place ont été les suivants :

- murette extérieure affaissée - fissures verticales sur la façade sud - ouvertures gauchies - fissures diagonales sur cloisons - sol fissuré

4.5 - Habitation de Mademoiselle DUPUY (notée E sur la figure 1)

La maison de Mademoiselle DUPUY construite en 1910 possède un sous- sol partiel de 1,80 m de profondeur.

En 1968, un appentis fondé superficiellement a été accolé à la maison préexistante.

En novembre 1989, des désordres dont l'évolution semble constante affectent la bâtisse toute entière. Ces derniers constatés lors de l'enquête sur place sont les suivants : - 4 -

- fissures verticales de cisaillement sur la façade Est et la façade ouest situées dans les angles des portes et fenêtres - fissuration des plafonds et des cloisons intérieures - fissuration du mur Est de la cave - fissure horizontale et fissure de cisaillement en escalier sur la façade sud.

4.6 - Habitation de Monsieur ROCHÁIS (notée H sur la figure 1)

La maison de Monsieur ROCHÁIS est une construction de plain-pied édifiée en 1964 sur radier.

Les désordres apparus en juin 1989 sont les suivants :

- fissuration horizontale et verticale de la façade ouest (ouverture des fissures égale à 5 mm) - fissure dans les angles des fenêtres et des portes situées sur la façade Est (ouverture égale à 1 mm) - plafond et cloisons intérieures fissurées.

4.7 - Habitation de Monsieur RONZIER (notée F sur la figure 1)

La maison de Monsieur RONZIER de type R + 1 est une bâtisse de plain-pied fondée sur semelle filante.

Cette construction d'une vingtaine d'années a été affectée à partir de février 1989 par les désordres suivants :

- fissures de cisaillement et horizontales situées sur la façade ouest (ouverture 5 mm) et sud - fissuration de la façade Est principalement localisée sur les angles de fenêtres - fissuration des plafonds - fissuration du sol du garage

On note la présence de deux peupliers situés à 3 mètres de l'angle sud-ouest de la maison. - 5 -

4.8 - Habitation de Monsieur FERNANDEZ (notée G sur la figure 1)

La maison de Monsieur FERNANDEZ est une bâtisse de plain-pied cons­ truite sur semelle filante.

Les fissurations apparues, il y a des années, ont eu tendance à s'amplifier à partir de la fin de l'été 1989.

En effet, les fissures rejointoyées courant 19S8 se sont de nouveau reformées à la fin de l'été 1989,

Les désordres constatés lors de l'enquête sur place ont été les suivants :

- fissure horizontale sur la façade sud qui est la plus touchée - fissure de cisaillement sur les façades Est et Nord - terrasse extérieure sud fissurée - plafonds et cloisons intérieures fissurées - affaissement différentiel du plancher intérieur - 6 -

5 - CONCLUSIONS SUR L'ORIGINE DES DESORDRES

5.1 - Sécheresse exceptionnelle

Les graphiques (cf. fig. 2 et 3) concernant l'évolution des précipi­ tations efficaces annuelles à la station météorologique de indiquent clairement une période de sécheresse anormalement marquée et prolongée depuis l'hiver 1988.

5.2 - Résultats des sondages de reconnaissance à la tarière

Maison A - de 0,00 à 1,20 m : argile bariolée gris-vert à brun-jaune avec traces d'oxydation rouges

Maison B - de 0,00 à 0,45 m : sable et débris végétaux de 0,45 à 0,60 m : argile sableuse noire avec débris végétaux de 0,60 à 1,45 m : argile bariolée gris-vert à brun-jaune compacte avec traces d'oxydation

Maison C - de 0,00 à 0,30 m : terre végétale de 0,30 à 1,10 m : argile bariolée compacte avec traces d'oxydation

Maison D - de 0,00 à 0,60 m : terre végétale de 0,60 à 1,10 m : argile bariolée

Maison E - de 0,00 à 1,80 m : sable

Les quatre sondages effectués aux quatre coins de la maison n'ont rencontré que du sable.

Maison F - de 0,00 à 2,40 m : sable fin

Les quatre sondages effectués n'ont rencontré que du sable. - 7 -

Maison G - de 0,00 à 0,30 m : terre végétale de 0,30 à 1,20 m : argile plastique

Maison H - sable moyen à grossier sur 0,80 m d'épaisseur, refus sur l'alios.

Aucune arrivée d'eau n'a été observée lors des reconnaissances.

Les maisons A, B, C, D et G reposent sur une argile bariolée compacte qui a pu subir un phénomène de retrait-tassement lors de la période de sécheresse prolongée.

Les maisons E, F et H reposent globalement sur des formations sableuses ; les fissures constatées sur ces maisons lors de notre enquête peuvent s'expliquer par la présence de lentilles argileuses très loca­ lisées sous certaines parties des fondations. Fi<\Z>% évolution'des précipitations efficaces (station de Bordeaux)

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TABLEAU DES RESULTATS D'ESSAIS DE LABORATOIRE

Profondeur Habitations du W % WR % WL Wp Ip le prélèvement

> A Albert VALADE 0,45 - 0,55 22,3 0,55 - 0,65 26,1 16,5 64,5 20 44,5 0,86 0,85 - 0,95 26,5

B Pierre COCHET 0,40 - 0,85 30,5 0,85 - 1,00 33,2 15 65,5 31 34,5 0,94 1,00 - 1,20 30,1

C Mme LACUSSAN 0,40 - 0,65 21,3 0,65 - 0,80 24,8 19 45,5 21 24,5 0,84 0,80 - 1,10 25,9

D Mme SOULEYREAU 0,60 - 0,85 15,4 14,5 36 17,5 18,5 0,71 0,85 - 1,00 18,5 1,00 - 1,15 22,90

E Mie DUPUY 1,40 - 1,45 10,2 ..*. JU .i.

F Francis RONZIER 1,15 - 1,20 20,7 * * *

G Paulette BORDES 0,20 - 0,35 23,9 0,65 - 0,80 35 17 72,5 44,5 28 1,3 1,00 - 1,20 23,1

H M. ROCHÁIS Prélèvement impossible

* Limites d'Atterberg et de retrait non réalisables (échantillon sableux) - 9 -

5.3 - Résultats des essais de laboratoire (cf. fig. 4)

Les essais d'identification classiques sur argiles n'ont pu être réalisés sur les échantillons sableux provenant des maisons E, F et H.

Les autres échantillons testés se répartissent selon trois classes définies par le diagramme de Casagrande (cf. fig. 4).

Argile peu plastique pour les sols des maisons C et D Argile très plastique pour les sols des maisons A et B Limon très plastique pour les sols de la maison G

Les teneurs en eau (excepté pour les échantillons prélevés dans la maison G) augmentent sensiblement avec la profondeur.

Ces résultats ponctuels donnent une indication sur la zone d'in­ fluence de la sécheresse. Pour les cas étudiés, la zone pourrait être limitée à 0,70 m - 0,90 m de profondeur. La plupart des teneurs en eau mesurées (excepté celles de la maison D) sont supérieures aux limites de retrait ; cela indique qu'une sécheresse prolongée pourrait aggraver la situation. GO i ! I 1 1 / ... _j. ^ 1 o ^ ' . s- SO 3) j 1 ' K^v-- > M ¿ts. I 1 • <=v - r i s \ 4 .. . H3^I ' t .u - ,t,l I rA'¿ , i^ •\0¿ ^ vö 30 I i si iiS : - tS - »i-. P' i K 1I T ! ~,if " i <\° : :J\ „5 i ! ç • • ! v 1 \° C s- I 1 'J. vJ S ! , -¡4 r\ i V^é\ o lrv Y o'X_ V O i \x°t i $ I Wn 1 si • y 10 t i y ¿> r/ñonfí.p I 1 y 1 •z/ So/s orgortiouai. — 1 , ' • -.— I w . •fO 20 30 40 50 GO 70 30 9a •foe

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•fta, L Diagramme de CASAGRANDE ANNEXE 1

COPIE DE LA CIRCULAIRE PREFECTORALE MO HHxVbbyUbUbi' iy HiV yu 14:qu Mo.UUV P.U1

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RÉPUBLIQUE FRAN Ç AISE

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IÏÏKLUÏÛN Ü'L 1A1 Ktesdames et Messieurs les Moires DEFENSE CIVILE • du Département

ARRIVÉE (en communication sux Sous-Préfets)

03XT : Mouvements ds terrain consécutifs à la sécheresse.

Un certain nombre de communes m'ont sJgnalé le cas de par­ ticuliers dont les maisons d'habitation présentent des fissures causées par des mouvements de terrain pouvant avoir pour origine le tassement, sous l'effet de la sécheresse, du sous-sol argileux.

Les dommages aux bâtiments, consécutifs à des mouvements de terrain, relèvent en principe pour leur indemnisation de la procédure afférente aux catastrophes naturelles (loi du 13 juillet 1982) dans la mesure où les occupants disposent d'une assurance dommages.

Je crois utile de rappeler que l'état de catastrophe naturelle est apprécié au vu d'un dossier justificatif des dommages que les préfec­ tures doivent adresser, sur la proposition des collectivités, au Ministère de 1'Intérieur pour examen par une commission interministérielle.

Les persunnes qui estiment que les fissures affectant leur bâtiment résultent de l'intervention d'un agent naturel d'intensité excep­ tionnelle, en 1'occurrence la sécheresse, peuvent vous signaler leur cas étant précisé qu'elles devront produire à l'appui de leur déclaration une expertise des sols réalisée soit par le Bureau des Recherches Géologiques et Minières (BRGM) soit par le Centre d'Ctudes Techniques de 1"équipement (CCTET) de la région soit encore par un géotechnicien agréé.

.../... 'BUKÍULHÜ X No hHX-'bbyUbübi' iy i-tv ao ífl-.flü'No.uuí' p.u2

Vous voudrez bien me transmettre ces déclarations accompagnées d'un rapport de présentation, établi par vos services,sur la situation gé­ nérale des désordres apparus dans votre commune 5 si possible des photo­ graphies sur les bâtiments ou les biens endommagés seront jointes.

11 serait souhaitable que les premiers dossiers en votre possession me soient transmis avant la fin du mois de février.

LE PREFET,

C~'W* rrJASSlCWEUV J< Annexe 2.

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