GUIDE DES VITRAUX Par Philippe Billé «Lucem Tuam Da Nobis, Deus» («Seigneur, Donne-Nous Ta Lumière») TABLE Introduction De

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GUIDE DES VITRAUX Par Philippe Billé «Lucem Tuam Da Nobis, Deus» («Seigneur, Donne-Nous Ta Lumière») TABLE Introduction De GUIDE DES VITRAUX par Philippe Billé «Lucem tuam da nobis, Deus» («Seigneur, donne-nous ta lumière») TABLE Introduction Description des vitraux (dans l’ordre alphabétique des lieux) Bibliographie générale Lexique et symboles Listes des personnages Citations Index des verriers Chronologie des millésimes Table départementale Introduction INTRODUCTION Les vitraux sont des images si aimables qu'à peu près tout le monde les aime, même les incrédules. Souvent, dans les églises qui ont le moins de charme, les vitraux, même médiocres, sont les seuls objets agréables à regarder. Cela tient à leur qualité particulière d'images lumineuses. Alors que la plupart des autres objets sont visibles parce que la lumière vient les éclairer par devant, les vitraux se voient mieux quand ils sont éclairés par l'arrière. Plus d'une fois un sacristain a cru me rendre service en allumant l'éclairage électrique, alors qu'au contraire le vitrail est mieux visible si le bâtiment est dans la pénombre, et ne reçoit que le jour extérieur. Un vitrail éclairé par devant, comme on les voit quand on se trouve à l'extérieur de l'église, devient terne et indistinct. Dans le vitrail, la lumière ne doit pas se refléter sur l'image, il faut qu'elle la traverse et rayonne en elle, comme dans une diapositive que l'on regarde à contre-jour. Parallèlement aux vitraux, j'ai aimé les diapositives, qui étaient ma forme photographique préférée, à l'époque des appareils à pellicule. Et j'ai toujours préféré regarder mes diapos à contre-jour, à travers un compte-fils, plutôt qu'en projection ou sur tirage en papier (la diapositive, me disais-je, petit vitrail du pauvre, si commun, mais petit vitrail moderne, si commode). Il fut une époque où j'errais souvent dans la ville, et où j'entrais dans les églises pour y trouver le moment de repos qu'elles seules me procuraient. A force de contempler les vitraux, j'en suis venu, dans la première moitié des années 90, à m'interroger sur leur signification. Certains ne contiennent que de la grisaille, des décorations plus ou moins abstraites ou stylisées, comme des frises, des quadrillages ou des motifs végétaux, quelques uns montrent des symboles ou des objets symboliques, les plus nombreux figurent un personnage, en pied ou réduit au portrait, d'autres enfin représentent des scènes. Le sujet n'est pas toujours évident. Certains vitraux sont clairement intitulés, d'autres portent des légendes plus ou moins explicites, mais souvent en latin, parfois en lettres gothiques, beaucoup sont muets. En cherchant à me renseigner, j'ai vite compris qu'il n'était pas facile d'obtenir les informations voulues. Souvent le curé lui-même ignore ce que montrent les fenêtres de son église, et la plupart des vitraux ne sont inventoriés nulle part. Comme j'ai le goût des listes documentaires, je me suis mis peu à peu à faire le relevé des vitraux, dans les églises que je visitais. Les premiers relevés que j'ai effectués, et que je n'ai pas repris depuis, témoignent de ce qu'au début, je travaillais avec plus de bonne volonté que de compétence. Mon instruction chrétienne était rudimentaire, mais au fil du temps ce travail m'a permis de combler une part de mes lacunes dans ce domaine. En l'absence de légende, la connaissance est importante pour identifier par exemple les personnages. En effet la plupart sont des personnages de l'Antiquité ou du Moyen Age, dont on ignore les traits réels, et que l'on individualise par leurs attributs, par exemple un objet qu'ils tiennent, un vêtement qu'ils portent. Dès le début j'ai mis au point une procédure pour mes relevés. Autant que possible, je fais le tour de l'église à partir du portail, en suivant le côté gauche jusqu'au choeur, puis en revenant par le côté droit. Il arrive que l'itinéraire ne soit pas aussi simple, quand il y a des vitraux à la fois dans le bas-côté et dans la claire-voie, ou quand l'architecture est compliquée, ou encore quand un ensemble de vitraux a été conçu pour être vu dans un autre sens. Sans quoi, mon schéma de base présente un double avantage. D'une part, il permet de suivre les vitraux de gauche à droite, comme nous lisons l'écriture, ou les cases d'une bande dessinée. D'autre part, dans les bâtiments de plan classique, le portail étant ouvert à l'ouest et le choeur tourné vers l'est, le côté nord, plus obscur, est dévolu aux représentations de l'Ancien Testament, et le côté sud, plus lumineux, au Nouveau Testament, si bien qu'une visite dans le sens des aiguilles suit en quelque sorte la chronologie. La part principale de ce travail est la série de notices consacrées aux églises. Elles sont rangées dans l'ordre alphabétique du nom des communes où elles se trouvent. Quand la commune comporte plusieurs églises ou chapelles, elles sont rangées dans un mélange d'ordre hiérarchique (la cathédrale ou la principale en premier) et d'ordre alphabétique du nom propre des autres bâtiments. L'entrée des notices est une ligne où figure d'abord le nom de la commune, puis le numéro du département français ou le nom du pays étranger, enfin le nom propre de l'église, quand j'ai pu le connaître (quand la commune porte un nom de saint, l'église porte en général le même). Suit la liste des vitraux, que je numérote dans l'ordre de la visite suggérée. En général je ne tiens pas compte des vitraux non historiés, ne relevant que ceux qui représentent des personnages, des scènes ou des symboles. Sauf indication contraire, des numéros différents sont attribués à deux ou plusieurs lancettes d'une même fenêtre, si elles sont clairement séparées par des meneaux et représentent des personnages différents. Par contre, un unique numéro désigne une lancette même si elle est constituée de plusieurs panneaux, une verrière consacrée à un seul sujet, ou une rosace. Pour les légendes, je note en capitales les inscriptions telles qu'elles figurent sur le vitrail, en minuscules mes propres descriptions ou commentaires. Je ne note pas les éventuelles mentions des donateurs, mais je relève autant que possible le nom du verrier, sa ville et la date, quand ces renseignements figurent et sont lisibles. Le cas échéant j'ajoute quelque commentaire sur le bâtiment ou sur ses verrières. Enfin, depuis quelques années, j'ai pris l'habitude de noter la date de ma visite. Les notices non datées sont donc les plus anciennes. Dans les premiers temps, j'ai envisagé de réaliser des inventaires exhaustifs dans certains secteurs géographiques, pour en faire des livres : guide des vitraux de Bordeaux, de Bergerac, de Saintes, de Niort, des banlieues de Bordeaux. Puis j'ai renoncé à ces projets peu réalistes, et j'ai abandonné ce passe-temps documentaire pendant quelques années. Enfin je l'ai repris, sans autre but que d'alimenter un fichier en accumulant indéfiniment des renseignements sur les vitraux que le hasard me donne l'occasion de voir. Par ailleurs, j'ai doté mon ouvrage de quelques appendices: - une bibliographie non exhaustive, dans laquelle j'ai recensé les documents dont j'ai eu connaissance, au sujet des vitraux en général, ou de certaines églises en particulier. - un lexique des principaux termes techniques et des symboles utiles à connaître. - une liste, cependant incomplète, des personnages représentés, avec quelques renseignements de base sur eux, liste qui pourrait donner lieu à un index. - un relevé de quelques citations remarquables des Ecritures, trouvées sur des vitraux. - un index des verriers, qui m'est cher. J'y mentionne le nom des verriers, quelques renseignements sur eux si j'en ai trouvé, et la liste des églises où j'ai vu de leurs réalisations. Mes prospections s'étant faites surtout dans le sud-ouest de la France, cet index révèle l'importance de l'oeuvre de Joseph Villiet, ainsi que de ses deux successeurs Henri Feur et surtout l'omniprésent Gustave-Pierre Dagrant. - une chronologie des millésimes relevés sur les vitraux. Elle fait apparaître que le renouveau de cet art date du milieu du XIXe siècle. Les rescapés du Moyen Age ou de la Renaissance, en général non datés, sont rares. - enfin une table départementale et internationale des bâtiments visités. Tant mieux si parfois quelqu'un peut trouver dans cette somme un peu d'agrément ou d'utilité. AIX (île d’, 17) église Saint-Martin. Petite vitrerie géométrique abstraite. (16 août 2005) AMBARES (33) église Saint-Pierre. Dans le petit baptistère, sur le côté gauche près de l’entrée, trois vitraux relativement grands pour l’endroit, les deux latéraux portant principalement des inscriptions, celui du milieu une scène imagée: 1. DEUS - PATER - FILIUS - SPIRITUS SANCTUS - UNUS DEUS - UNA FIDES - UNUM BAPTISMA. 1867. 2. Jean baptisant Jésus. Lieuzère à Bx, 1867. 3. DEUS - PATER - FILIUS - SPIRITUS SANCTUS - EST / NON EST. 1867. En poursuivant sur le même bas-côté gauche, trois fenêtres: 4. STE MARGUERITE avec palme. 5. Jésus montrant son coeur. 6. Saint Jean Evangéliste, avec serpent sortant d’un calice. Au chevet, très haut, dans un petit oculus: 7. un triangle blanc sur fond jaune, dans un cercle rouge. Sur le bas-côté droit, en revenant vers l’entrée: 8. Jésus bon pasteur. Lieuzère à Bx. 9. Sacré Coeur de Marie. 10. Saint Louis? 1867. 11. Colombe du Saint-Esprit. 1867. Dans la claire-voie au-dessus de la nef, huit vitraux (quatre de chaque côté) représentant des symboles mariaux. A gauche: 12. FONS AQUAE SALIENTIS. 1897. 13. TURRIS DAVIDICA.
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