Ken Loach Du 16 Au 18 Avril 2001

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Ken Loach Du 16 Au 18 Avril 2001 Ken Loach du 16 au 18 avril 2001 Lundi 16 avril > 20.45 My name is Joe de Ken Loach Royaume-Uni/France,1998-1h45mn Vendredi 18 avril > 23.05 Cinéma, de notre temps Citizen Ken Loach Documentaire de Karim Dridi France, 1996-1h Contacts presse Cinéma : Anne Sachot / Martina Bangert - 01 55 00 70 47 / 73 43 [email protected] / [email protected] Documentaire : Céline Chevalier / Nadia Refsi - 01 55 00 70 41 / 70 40 [email protected] / [email protected] Lundi 16 avril > 20.45 My name is Joe Royaume-Uni/France 1998-1h45mn VOSTF Fiche technique Scénario....................................... Paul Laverty Image........................................... Barry Ackroyd Son............................................... Ray Beckett Décors.......................................... Rhona Russel Montage....................................... Jonathan Morris Musique ....................................... George Fenton Coproduction............................... Parallax Ltd, Road Movies Vierte, Channel Four Films, ARD / Degeto Film / WDR/ ARTE , ARTE France Cinéma Distribution................................... Diaphana Distribution Fiche artistique Joe Kavanagh.............................. Peter Mullan Sarah Downie............................... Louise Goodall Shanks ......................................... Gary Lewis Maggie......................................... Lorraine McIntosh Liam ............................................. David McKay Sabine.......................................... Anne Marie Kennedy Prix d’interprétation masculine pour Peter Muller , Cannes 1998 Prix d’interprétation masculine pour Peter Muller , Valladolid 1998 Prix du meilleur film indépendant, British Independent Film Award 1998 Bodil 1999 du meilleur film non américain ALFS du Best New Comer of the Year à Peter Mullan, London Critics Circle Awards 1999 .2 Synopsis Joe Kavanagh, 37 ans, en a fini avec l’alcool depuis quelques mois. En quête de travail et d’amour, il c o n s a c re sa nouvelle vie à une équipe de foot minable (l’”équipe en or”), composée de gamins issus d’une banlieue pauvre de Glasgow. Le jour d’un match capital, un chauffard manque de tuer Joe et toute l’équipe. Ce chauff a rd s’appelle Sarah Downie, assistante sociale venue re n d re visite à Liam, jeune marié et membre de l’équipe en or... Après une légère prise de bec, l’entraîneur et l’assistante sociale se revoient. Joe lui propose de poser son papier peint “au noir”, mais il se fait pincer en flagrant délit par l’inspection du travail… A propos du film “My name is Joe and thank f**k I’m not an alcoholic”. C’est aussi ça, l’Écosse ! Un phrasé qui a du caractère, un accent légendaire (anglicistes, oubliez toutes vos leçons de phonétique) et un humour typically British. My name is Joe est un film du peuple, à des années lumière du mythe qui colle au pays. Ici, ni monstres ni fantômes, mais une ville, Glasgow, avec ses difficultés et l’insouciance de sa jeunesse. Le scénario du film ne laisse rien au hasard. Son auteur, Paul Laverty, ne s’est pas seulement contenté de rapporter la situation de la plus grande ville écossaise (l’une des plus vastes d’Europe). Il est allé sur le terrain, à la rencontre et à l’écoute des gens touchés, de près ou de loin, par la drogue et la prostitution. Son constat : derrière l’arbre des quartiers chics se cache la forêt d’une réalité sociale digne des plus grands romans sociaux du XIXe siècle. Il y a du Zola, du Dickens dans l’intimité de ce film. Ken Loach rompt avec une série d’opus internationaux (Land and freedom, Carla’s song) pour se consacrer à des vies modestes, centrée autour de la pauvreté présente même lorsque les gens travaillent. Une mise à nue débordante de fraîcheur, admirablement servie par un Peter Muller plus vrai que nature et prix d’interprétation masculine à Cannes en 1998. .3 Mercredi 18 avril dans Profil > 23.05 Cinéma, de notre temps Citizen Ken Loach Documentaire de Karim Dridi France, 1996-1h Production : Xavier Carniaux, AMIP Une tranche de vie de Ken Loach tournée par Karim Dridi : portrait d’une personnalité forte, authentique, d’une humanité bouleversante. 1996 : manifestation des dockers à Liverpool. La caméra galope derrière Ken Loach en plein tournage de son documentaire les Dockers de Liverpool pour ARTE. Une journaliste du Socialist Worker l’intercepte au bout de sa course effrénée : “Pourriez- vous faire une déclaration ?” Le cinéaste, perplexe : “Euh, la force de la gauche... dépend... de la diversité de la presse de gauche, de la presse radicale et révolutionnaire... Bonne chance. Et à bas le sectarisme !” La journée s’annonce sportive. Ken Loach déboule à nouveau dans les rues de Liverpool suivi par la caméra essoufflée : “Vous ne tenez pas la forme, Karim !” Le réalisateur se sépare quelque temps de Loach pour rencontrer ses proches collaborateurs : Ricky Tomlinson, acteur dans Riff Raff et Rainings Stones, Robert Carlyle dans Riff Raff et Carla’s song, le scénariste Kim Allen... Peu à peu la planète mystérieuse de Ken Loach se dessine... Un portrait en mouvement “Il est cinglé, mais je l’aime ; il est merveilleux”, lâche Ricky Tomlinson, enthousiaste sur la façon de travailler de Ken Loach. Spontanéité, authenticité et improvisation constituent sa base de travail : “Il ne dit même pas action ! Il dit OK ? Et vous vous levez !” Crissy Rock, artiste de cabaret qui tient le rôle de Maggie dans Ladybird, évoque avec un sourire franc sa première rencontre avec Loach, qu’elle avait d’abord pris pour un candidat à l’audition : “Je lui ai dit, j’espère qu’il faut pas s’allonger. Je baise mal.” Jim Allen, scénariste de Raining Stones et Land and Freedom, apprécie le style et la méthode du réalisateur, avec lequel il partage une même sensibilité politique. Puis vient la séquence, savoureuse, où Karim Dridi et Ken Loach discutent dans le train. Chacun s’offre l’un à l’autre, s’expose et s’oppose. Ken Loach explique le rapport qu’il entretient avec la caméra. Par respect pour les acteurs, il veut la tenir loin d’eux, pour les protéger, et leur faire oublier l’outil technique. D’ailleurs, un brin gêné, il demande à Karim d’éloigner l’objectif de son visage tout en dialoguant : “Il est trop près ce truc. Reculez, Karim.”Tout le travail de Ken Loach est basé sur l’authenticité : donner au spectateur l’illusion qu’il est au cœur de la réalité afin de mieux comprendre ses personnages. Enfin, l’œil attentif et généreux de Dridi laisse apparaître toute l’humanité et la sensibilité du grand réalisateur. L’espace d’un instant, leurs rôles s’échangent. Dridi propose sa caméra à Loach qui, d’abord surpris, l’accepte avec courtoisie. Les deux réalisateurs s’oublient, parlent de foot et de boxe…Avec Citizen Ken Loach, Karim Dridi nous offre à son tour des émotions réelles, des rapports authentiques et beaucoup d’humour. Deux films de Karim Dridi – Pigalle et Bye-Bye – sont édités en K7 par ARTE Vidéo. .4 KEN LOACH RÉALISATEUR (Période 1964 - 1998) Né le 17 juin 1936 à Nuneaton, près de Coventry, fils d’un responsable du service entretien dans une usine, Kenneth Loach, après deux ans dans l’armée de l’air, étudie le droit à Oxford puis s’intéressa à l’art dramatique. Il connaît une expérience de l’enseignement et entre à la télévision en 1960. Ses premiers travaux, documents ou fictions, produits en général par Tony Garnett, un de ses amis avec qui il créera Kestrel Films (du titre d’un de leurs films, Kes) portent déjà sa marque : réalisme social, sensibilité et revendications gauchistes (Loach se déclare trotskiste et surtout anti- stalinien), peinture chaleureuse des victimes et des défavorisés (classe ouvrière ou exclus du libéralisme). La Grande-Bretagne de Margaret Thatcher, avec sa politique jugée globalement anti-sociale, offre aux artistes engagés comme lui un terrain d’analyse et de mobilisation, même s’il existait déjà dans le cinéma britannique une tradition du réalisme et de la contestation (l’école de John Grierson des années trente et quarante, le Free Cinema des années soixante). “ Il suffit de regarder autour de soi et de raconter ce que l’on voit. Alors on est forcément anti-Thatcher “ déclarait Ken Loach (in “La Revue du Cinéma”, n° 476, novembre 1991). Et il ajoutait, à propos de son intérêt pour les personnages de condition modeste : “Ce sont ces gens-là qui font changer les choses. Leur expérience est plus intéressante, plus riche en émotions aussi. Ils n’ont rien à perdre, ils jouent plus gros. Les raisons de mon choix sont donc tout à la fois dramatiques et politiques. “ La plupart de ses films évoquent des situations contemporaines à leurs tournages, dans un cadre géographique précis des Iles Britanniques : l’enfant du Yorkshire apprivoisant un faucon (Kes), l’adolescente londonienne perturbée, victime de sa famille autant que de la psychiatrie (Family life), les jeunes de Sheffield face au chômage (Regards et sourires), le problème irlandais (Hidden agenda), l’humour et la vitalité de travailleurs précaires à Londres (Riff-raff), etc., jusqu’aux paumés d’un quartier difficile de Glasgow (My name is Joe). Une œuvre où les écarts dans le temps (Black jack, histoire à la Dickens située au XVIIIe siècle) et dans l’espace (Fatherland et le passé nazi, Land and freedom et la guerre d’Espagne, Carla’s song et le Nicaragua sandiniste) apparaissent comme des exceptions. (Monsieur Cinéma) .5 FILMOGRAPHIE Télévision 1964 Teletale : Catherine - Z Cars (3 épisodes : Profit by their Example, A Straight Deal, The Whole Truth - The Diary of a Young Man (épisodes 1, 3 et 5) 1965 A Tap on the Shoulder - Wear a very Big Hat - Three Clear Sundays - Up the Junction - The End of Arthur’s Marriage - The Coming out Party 1966 Cathy Come Home 1967 In Two Minds 1968 The Golden Vision 1969 The Big Flame (doc.) - In Black and White 1970 After a Lifetime 1971 Talk About Work (c.m.) - The Rank and the File 1973 A Misfortune 1975 Days of Hope (4 épisodes) 1977 The Price of Coal 1979 Auditions (doc.) 1980 The Gamekeeper 1981 A Question of Leadership (doc.).
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