Histoire Interinterprétésprétés Comme Étant Des Lieux De Cultes En 1884, Lors De La Démolition De L’Ancienne Ééglise,Glise, on Domestidomestiques.Ques
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La villa comprenait une latrine adadjacentejacente à une villvillasas romainesromaines aavecvec lala constructionconstruction de voiesvoies romainesromaines cuisine, 4 ppiècesièces maçonnées s’ouvrant sur un esespacepace dont on retrouve des vestivestigesges aux GlezysGlezys.. dédégagégagé doté d’un portique. 2 petits locaux sont Histoire interinterprétésprétés comme étant des lieux de cultes En 1884, lors de la démolition de l’ancienne ééglise,glise, on domestidomestiques.ques. Sans être isolée, cette villa était située découvrit une largelarge table de pierre portant des lettres en zone rurale. Elle est abandonnée vers 150 aaprèsprès JC de 10 et 12 centimètres de haut, l’inscril’inscriptionption laissant sans qqu’aucunu’aucun élément observé n’en exexpliqueplique la supposer qu’il s’agits’agit de la pierre tombale d’un rraison.aison. employé ou d’un fonctionnaire de Néron ((54/6854/68 après , JCJC).). Cette pièce a été remise au musée d’Annecy. - Lors de la construction de l’églisel’église en 1886, à environ #,> 2 B) 1,50 mètre de pprofondeur,rofondeur, sur un lit de bribriquesques et de LLaa ffonctiononction de centrecentre esestt mmaintenueaintenue susurr llee ssiteite de llaa maçonnerie, un ouvrier à trouvé des ppiècesièces de vieille égliseéglise au moins jjusqu’enusqu’en 1040, date de la monnaie en arargent,gent, deux de ces pièces portant le donation au monastère de SaviSavigny,gny, d’une éégliseglise nom de Saint-AuSaint-Augustingustin le Preux. Elles doivent IRQGpHIRQGpHSDU6DLQW-RUHDX;qPHVLqFOHDÀQGHFUpHUXQSDU6DLQW-RUHDX;qPHVLqFOHDÀQGHFUpHUXQ Le nom de la commune serait issu de variantes du nom de Saint-Georges, Bienheureux pprobablementrobablement dater du IIème siècle aaprèsprès JésuJésuss C Christ.hrist. pprieuré.rieuré. C’est la 1ère aapparitionpparition du nom de la Jore. Le village est appelé Macellum (marché ou port) à l’époque romaine, puis Mezel Par ailleurs, de la monnaie en argentargent et en bronze à commune. Le site de la vieille éégliseglise semble avoir été O·HIÀO·HIÀJLHGHO·HPSHUHXUURPDLQ$XUpOLHQ DSUqVJLHGHO·HPSHUHXUURPDLQ$XUpOLHQ DSUqV un petit bourgbourg d’environ 300 mètres de lonlong,g, avec un (lieu humide, marécageux), Mayestz, avant d’être nommé Saint-Jore en Mezel du nom JCJC)) avait été découverte au lieu dit « c chezhez DDoucetoucet » ».. marché et probablement un port, le rivarivagege étant 100 du moine Jore. De Saint-Jore, le nom a dérivé pour donner aujourd’hui Saint-Jorioz. '·RODFRQÀUPDWLRQGHODUp'·RODFRQÀUPDWLRQGHODUpSDUWLWLRQGXWHUULWRLUHHQSDUWLWLRQGXWHUULWRLUHHQ mètres plus proche qu’auqu’aujourd’hui.jourd’hui. Du Moyen Âge au début du 20ème siècle Un village préhistorique sur pilotis UnUn villagevillage gallo-romaingallo-romain La maison-forte de Villard-Chabot Découverts dés 1856, les sites palafittes du lac Au 1er siècle avant JC, la commune est organiséeorganisée en La maison-forte de Villard-Chabot appartient au XIIème siècle à la zzonesones d’habitatsd’habitats structurésstructurés ou villasvillas romainesromaines reliéesreliées d’Annecy, aujourd’hui inscrits au Patrimoine Mondial famille de Cengle, d’Allèves, commune située de l’autre coté du entre elles par des chemins ((voiesvoies romainesromaines)) dont le de l’UNESCO au titre des « sites paléolithiques Semnoz. En 1339, elle est vendue à la famille des Asinari, des Lombards, préhistoriques autour des Alpes », comptent 2 sites sur maillamaillagege est la base de notre réseau de déplacements riche famille de banquiers d’Asti. En 1477 alors que La maison-forte actuels. L’agricultureL’agriculture et l’élevagel’élevage y sont prospères et le territoire de la commune. appartient alors à la famille de Beaufort qui le gardera jusqu’en 1620, les échangeséchanges actifs. un dominicain vice-inquisiteur, instruit dans une salle située aux dessus Le site dit des Mougets (- 1803 et -1766) à cheval sur les des écuries, un procès contre des habitants du Villard accusés de communes de Sevrier et de Saint-Jorioz comprend un Sur la rive droite du Laudon ((lele centre actuelactuel)) plusieurs sorcellerie. emplacement en prolongement des Marais de l’Enfer. découvertes corroborent l’hl’hypothèseypothèse d’un « hab habitatitat », Lorsqu’il entre en possession de la maison-forte, François de Vichard de Le site dit des Marais a été découvert en juin 1989. peut-êtrepeut-être d’une « vill villaa » de ttypeype rustirustique,que, sur un territoire 6DLQW5pDODSSRUWHG·LPSRUWDQWHVPRGLÀFDWLRQVjODEkWLVVHTX·LOWURXYH C’est le plus ancien du lac d’Annecy à contenir un agricole.agricole. Les monnaies retrouvées couvrent une en assez mauvais état. Il fait démolir le donjon du midi et le corps des périodepériode d’environ 4 siècles. Lors de la construction du bâtiments latéraux, réduisant notamment les dimensions de la niveau archéologique conservé. Il est daté – 3783 cabinet médical situé face à l’église,l’église, des éléments maison-forte. Il fait construire la demeure ainsi que le grand escalier. (il est attesté que les arbres abattus pour la construction conservés parpar Mme Burret et l’entrel’entrepriseprise Charvin C’est donc lui qui lui donne son apparence actuelle vers 1770. des pieux l’ont été en – 3783 avant JC). laissent supposersupposer de la pprésencerésence d’une habitation La partie centrale du gisement longue de165 mètres gallo-romaine.gallo-romaine. En 2006, le permis de construire déposé et large de 30 mètres, parallèle au rivage, montre un au nom de la SCI les Talmeliers déclenche la procédureprocédure Le château du Noiret petit niveau organique préservé de l’érosion et prévueprévue pparar les codes de l’urbanisme et du patrimoinepatrimoine Le Noiret est un véritable château au Moyen Âge, dont il ne reste plus en matière d’archéolod’archéologiegie préventive. Ainsi les fouilles jODÀQGX;,;qPHVLqFOHTX·XQHPDLVRQERXUJHRLVHHWOHVPXUVGH contenant des débris végétaux, des restes de faune, confirment la présence de vestigesvestiges d’habitat de soutènement délimitant le jardin. Au XVème siècle, il appartient à la GHVGpEULVGHKDFKHVGHURFKHVYHUWHVHWGHÁRWWHXUV famille Derée de Duingt qui le vend au milieu du XVIème siècle à la O·pSRTXHJDOORURPDLQH PXUVHWFpUDPLTXHVGHODÀQO·pSRTXHJDOORURPDLQH PXUVHWFpUDPLTXHVGHODÀQ famille Pelard dont plusieurs membres sont magistrats. En 1677, la veuve d’André Pelard épouse le seigneur GHÀOHWHQERLVDLQVLTXHGHVIUDJPHQWVGHMDUUHj du 1er siècle avant JC au 1er siècle après JC).JC). Les GH0RQSLWRQ,OHVWG·KXPHXUEHOOLTXHXVHHWQHVRQJHTX·jDJUDQGLUVRQÀHI$JUDQGUHQIRUWGHEUXWDOLWpVLO profils sinueux. Ces mobiliers archéologiques sont fouilles complémentairescomplémentaires mettent en évidence un impose sa nouvelle autorité seigneuriale. Impliqué dans l’assassinat du révérend Joseph Durand en 1708, il attribués à la période du néolithique moyen. Il s’agit fossé, conduisant à ppenserenser qqueue les deux ensembles, est condamné aux galères perpétuelles où il décède en 1723. Lorsque le bien est revendu en 1757 à Jean d’un site tout droit sorti de la préhistoire, au moment celui sous le cabinet médical et celui sous les Talmeliers,Talmeliers, 'HIIUHQHODFKDSHOOHQ·HVWSOXVTX·XQPXUHWGHSLHUUHV(OOHV·pFURXOHUDGpÀQLWLYHPHQWHQ6DYHXYH sont distincts. Les marqueurs chronologiqueschronologiques ((monnaie,monnaie, épouse en seconde noces le Dr Félix Anthonioz qui sera maire de Saint-Jorioz en 1865. A sa mort en 1866, il où les chasseurs se sédentarisent. Les hommes du murs maçonnésmaçonnés)) indiquent que les deux ensembles ont lègue son bien du Noiret aux Hospices civils d’Annecy. En contre partie, 2 ou 3 lits sont réservés aux Hospices, néolithique ont choisi avec soin un emplacement fonctionné de manière contemcontemporaineporaine ppendantendant 2 pour les malades pauvres de la commune. En 1890, un violent incendie ravage le bâtiment. Il sera reconstruit abrité des vents et tout proche d’un delta. Le Nant du siècles aprèsaprès JC. L’emplacementL’emplacement étudié en 2007 dans des dimensions plus réduites. Villard leur amène du bois mort, de l’argile qu’ils correspondcorrespond à une zone d’habitat, le planplan étant celui utilisent pour leurs constructions ou leurs poteries. d’une villa située à la campagne,campagne, à vocation agricoleagricole et date d’environ 75 aaprèsprès JC. 4 BULLETIN MUNICIPAL N°17 - DÉCEMBRE 2013 le patrimoine de la commune « Molard » désigne une élévation de terre Histoire naturelle (une butte – un tertre) sur lequel était construit un château ou un ouvrage de défense La Chapelle du Puit selon certains, et une zone de bonnes terres selon d’autres. Une multitude de hameaux Jusqu’à la révolution, une chapelle fondé par les moines du Puy en Velay au XIVème siècle, se dressait sur le site. « Besson » HQSDWRLVVLJQLÀH©MXPHDXª Le village de Saint-Jorioz s’est principalement développé Aujourd’hui, il ne reste qu’une statue en bois sculptée, en plaine sous la forme de hameaux dispersés. C’était qui semble avoir été offerte par le comte Guillaume de alors quelques maisons, disséminées dans les champs, « Doucet ªQRPGpULYpGXPRW©GRX[ª entourées de prés et de bois, répartis sur un territoire Genève. étendu. Au milieu du XIXème siècle, il y a plus de 20 « ProvensªPRWVLJQLÀDQWSURGXLWUHYHQXUHQWH hameaux, éloignés les uns des autres par des chemins boueux ou par des sentiers à travers champs. Les Le site de l’ancienne église « ªHQSDWRLVVLJQLÀH©WDRQªPRXFKHj hameaux – Sales, la Vieille-Eglise, les Chapelles, Epagny, TavanT EHVWLDX[ Machevaz, les Moulins, Monnetier, Filly, Bordon, le Villard, En 1040, dans les marais se trouvent une église achetée Cublier, Entredozon, le Villaret, la Rivaz, Paterier, le par l’abbaye bénédictine de Savigny pour en