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d'Auguste Trémont a la Villa Vauban Lors de la réunion du conseil communal de la Ville de du lundi 21 janvier 1980, le Bourgmestre a rendu hommage à Monsieur , Bourgmestre honoraire de la Ville de Hommage a Paul Wilwertz Luxembourg, en ces termes:

Il y a un peu plus de quinze jours, nous étions rassemblés au cimetière Notre- Dame pour rendre un dernier hommage Paul Wilwertz, Bourgmestre honoraire de la Ville de Luxembourg, qui nous a quittés au cours des derniers jours de l'année 1979. Paul Wilwertz était né a. Wiltz et était fier de ses origines ardennaises. Il a toujours été fidèle à sa ville natale. Et pourtant il aura été et restera pour nous le Bourgmestre de la Ville de Luxembourg. Paul Wilwertz, au cours de sa longue carrière administrative et politique, a servi la cause publique à peu près dans toutes les hautes fonctions qui sont celles de l'Etat grand-ducal: Chef d'administration, Conseiller communal, Echevin et Bourgmestre de la Ville de Luxembourg, Conseiller d'Etat, Ministre de l'Economie nationale, Député et Président du Groupe parlementaire socialiste, Vice-Président de la Chambre des Députés. De toutes ces fonctions il en était une — c'est lui- même qui avait coutume de le dire — laquelle il était le plus profondément attaché, celle de Bourgmestre de la Ville de Luxembourg. En cette première séance du Conseil communal de l'année 1980, c'est évidemment avant tout la mémoire du responsable communal, de l'homme politique étroitement lié à sa ville, que je voudrais évoquer.

Couverture: La G-alerie d'Art Municipale présente actuellement (et jusqu'au 20 avril) une exposition rétrospective de l'oeuvre d'Auguste Trémont (voir page 25) Dès la fin de la deuxième guerre quoique modifié, reste aujourd'hui mondiale, de 1945 à. 1946, Paul encore d'application. En outre, il Wilwertz fit partie, en qualité d'échevin, convient de rappeler que c'est Paul du Collège échevinal d'union nationale. Wilwertz qui a donné l'impulsion Ensuite et jusqu'à 1954 il devait — sans décisive devant mener en 1968 â l'accord interruption — appartenir au Conseil entre l'Etat et la Ville quant à la communal. Appelé â. d'autres hautes construction de l'hôpital municipal et, responsabilités il devait alors quitter la partant, à la création du Centre scène communale sans pour autant Hospitalier de Luxembourg. oublier la Ville de Luxembourg et sans Si c'est avant tout l'activité du négliger la défense de ses intérêts. En responsable communal que je voulais 1964, il revenait â. la place Guillaume en rappeler ici ce soir, il ne me semble pas qualité de Bourgmestre, mandat qu'il possible d'évoquer le nom de Paul assuma jusqu'en 1969. Wilwertz sans citer dans la même haleine le domaine du sport il Il n'est étonnant nous auquel donc pas que était si profondément attaché. Président devions ici même et à l'unanimité de la Fédération du décider le 12 1970 de lui accorder Sport Cycliste janvier et membre du le titre de honoraire. Luxembourgeois Bourgmestre Directoire de l'Union Cycliste Monsieur Paul Wilwertz devait Internationale, Président du Comité continuer à appartenir à notre conseil en Luxembourgeois pendant de Conseiller communal Olympique qualité de années et inspirateur de la 1975. longues jusqu'en «table ronde» et du «livre blanc» qui L'énumération que je viens de faire devait mener â. la rénovation du sport illustre à quel point Paul Wilwertz avait luxembourgeois, il consacrait ainsi mis toute son activité professionnelle et même ses loisirs â. l'intérêt général. politique, tout son savoir-faire, toute sa Au nom du Conseil communal de la compétence au service du bien public. Ville de Luxembourg, je tiens Assumant la responsabilité de premier présenter â. la famille de Monsieur Paul magistrat de la capitale en 1964, il Wilwertz, aux membres de son groupe acceptait une lourde tâche car les temps au Conseil communal et au Parti étaient difficiles. Son activité restera Ouvrier Socialiste Luxembourgeois nos marquée notamment par très vives et très sincères condoléances. l'assainissement des finances Je vous prie de bien vouloir garder une communales, oeuvre dont nous minute de silence pour honorer la bénéficions â. ce jour, et l'adoption d'un mémoire du Bourgmestre honoraire, projet général d'aménagement qui, Monsieur Paul Wilwertz. Wou d'Parkplaze rar sin muss een débrouillard gin Sommaire page 4 Fußgänger auf dem Vormarsch page 12 Les parkings â la une page 18 Les activités du conseil communal

pages intercalées La commune à votre service Die Gemeinde zu Ihren Diensten Il comune a vostro servizio A Comuna ao vosso serviço

page 19 Interna page 20 Der hauptstädtische Schlachthof page 23 Trémont und unsere Briefmarken page 26 Was bedeuten die Straßennamen der Stadt? page 28 Rondrëm eis Sprooch an d'Jéinescht

page 31 Bibliothèque Municipale - Nouvelles acquisitions

page 32 Théâtre Municipal - Un entracte avec Dany Carrel page 34 Activités culturelles

page 36 Galerie d'Art Municipale - Trésors du Musée J.P. Pescatore

page 37 Syndicat d'Initiative et de Tourisme - Calendrier culturel

Ons Stad — No 3 Mars 1980

Edité par l'administration communale de la Ville de Luxembourg Imprimé sur les presses de l'Imprimerie Saint-Paul S.A., Luxembourg Collaborateurs rédactionnels: Evy Friedrich, Gaston Holzmacher, Richard Ries, Lex Roth, Alix Weides-Wagner Photos: IMEDIA, Marcel Schroeder Layout: Dieter Wagner Caricatures: Romain Lenertz Coordination: Fred Junck Tirage: 37 000 exemplaires Distribution à tous les ménages de la Ville de Luxembourg FUSSGÄNGER

1\4 an spricht wieder vom Fußgänger! Nachdem er während Jahren, vor allem durch die Vorherrschaft des Automobils, aus unserm täglichen Wortschatz verdrängt worden war, tritt er nun wieder in den Vordergrund! Wer hätte in der Tat vermutet, daß halb Diekirch, die Brillstraße in Esch und schließlich die hauptstädtische Großstraße eines Tages nach ihm, dem Fußgänger benannt würden? „Fußgängerzonen", das städteplanerische Schlüsselwort für die Zukunft? Noch beherrschen die Vierräder den hauptstädtischen Verkehr, doch haben die Fußgänger, mit Hilfe der lokalen Instanzen, in einigen Teilen der Oberstadt wieder Fuß gefaßt. Ob 1980 wohl das Jahr des Fußgängers wird? AUF DEM VORMARSCH uxemburgs routinierte „Trierer" L und „Metzer" wissen sie längst zu schätzen: die Fußgängerbereiche inmitten der Einkaufsviertel, in denen man euphorisch von einer Straßenseite zur andern, von einem Kaufhof zum andern hasten kann, in denen der Fußgänger, vor allem aber der Konsument König ist. Dort hat das Auto ganz einfach draußen zu bleiben, und man hält sich daran. Dafür bleibt der Stadtkern attraktiv; ein Bummel durch solche Fußgängerzonen hat viele -- angenehme Seiten, denn auf diesem Pflaster ist immer was los, vom Straßenmusikanten bis zum Würstchenverkäufer, und wo sonst könnte man im Sommer unter freiem Himmel seinen Kaffee genießen ohne gleichzeitig mit Auspuffgasen beglückt zu werden? In Luxemburg haben derartige Oberlegungen erst seit zwei Jahren Früchte getragen. Im Mai 1978 machte Diekirch den Anfang mit einer konsequenten Schließung des Stadtkerns für den Autoverkehr. Damit war das Eis gebrochen und Fußgängerzonen waren auch bei uns kein Ding der Unmöglichkeit mehr. Im darauffolgenden Jahr wurden in der Minettemetropole Brillstraße und Bahnhofsavenue feierlich dem Fußgänger übergeben. Und in der Zwar hat es in der Hauptstadt? 1¦C 1,02 Vergangenheit fußgängerfreundliche ItC At Ansätze gegeben: von Bretzelsonntag bis Weihnachten 1973 war die Großstraße für Personenverkehr gesperrt. Doch blieb es, teils auf Drängen der Geschäftswelt, teils aus PK. anderen Überlegungen, bei diesem ersten Experiment. Ein Fußgängerbereich in der Hauptstadt will allerdings auch auf lange Sicht hinaus durchdacht sein, soll er doch mit seinen mannigfaltigen Funktionen das Stadtbild in Zukunft wesentlich prägen. Während es sich in Diekirch und Esch um rein ökonomisch orientierte Fußgängerstraßen mit einem gesteigerten Dienstleistungsangebot und verbesserten Einkaufsmöglichkeiten handelt, welche zwar auch in gewisser Hinsicht zur Belebung des Ortskerns beitragen, darf nicht vergessen werden, daß die Fußgängerzone nicht ausschließlich geschäftliche Zwecke verfolgen soll. Darüberhinaus spielt die aus der Geschichte erwachsene Gestaltung des Stadtkerns eine wesentliche Rolle. Die Altstadt mit ihren Gassen um den Fischmarkt bietet dafür ein gutes Beispiel. Dort sind schon seit längerer unterirdischen Parkhauses in der eine einzige geschlossene Schlange; wer Zeit mehrere Straßen für den Oberstadt sollte der akute Mangel an in diese Falle hineingerät, muß Geduld Kraftverkehr geschlossen, ohne daß sie Parkraum ausgeglichen werden. Daß es haben. .. Hier müßte durch eine noch trotz der bessere Abhilfe zur Fußgängerzone erklärt wurden! Im trotzdem nicht langt, und dies Beschilderung ansonsten die Grunde genommen besitzt die zusätzlichen Instandsetzung des geschaffen werden, Hauptstadt mit ihrer ,Corniche" die gesamten Glacisfeldes, hat sich, ein Fußgängerzone ihr Ziel, nämlich eine älteste Fußgängerzone des Landes halbes Jahr danach, schnell gewisse Verkehrsberuhigung im schlechthin! herausgestellt. Es muß nach Stadtkern, verfehlt. Fraglich wird dann zusätzlichen wie die restlichen Am 4. August 1979 war es dann soweit. Parkmöglichkeiten auch, jemals Etappen mit der des gesucht werden. So sollen durch den des gesamten Fußgängerprojektes Gleichzeitig Eröffnung daß ein Parking Knuedler wurden Großgasse, auf dem Heilig-Geist-Plateau zustandekommen, denn Poststraße und Montereyavenue ab geplanten Bau des Kammergebäudes Fahrverbot in einigen Teilen der weitere 500 noch keine „Plessdarem", sowie die rue Génistre Parkplätze geschaffen Großgasse lange werden. Andere im dürfte wohl für den Autoverkehr gesperrt. Antwort Parkingvorhaben Fußgängerzone schafft, auf die Bahnhofsviertel und auf dem jedem einleuchten. Ziel der geschwulstartige Ausdehnung in der Einkaufszentren außerhalb der Theaterplatz sind im Gespräch. verantwortlichen Instanzen, die sich Darüberhinaus müßte ernsthaft auf einer Stadt, letzte Rettungsaktion für eine an spezifischen Arbeitsgruppe Verkehrskollaps und Auspuffgasen eine verantwortungsbewußtere zwecks Ausbau der Fußgängerzone ist es erstickende Stadt, oder schlichter Haltung der Verkehrsteilnehmer zusammengefunden haben, werden: nicht kann vielmehr, den inneren Leistungsbeweis von Politikern, dies hingewiesen jeder gesamten sei dahingestellt. Wie dem auch sei, die seinen Pkw dicht an der Stadtkern dem Fußgänger zu abstellen. Die erschließen. Fußgängerzone war für Presse und Fußgängerzone Verkehrsmittel müßten im Bevölkerung eine willkommene öffentlichen Nicht nur die Großstraße und die Abwechslung in dieser ereignislosen Stadtkern mehr in Anspruch unmittelbaren Nebenstraßen, sondern Sommerzeit. Zwar blieb die Großgasse genommen werden. Insgesamt wäre auch andere Teile der Oberstadt sind in eine etwas dem furs erste das was sie immer war, abgewogenere Haltung diesem Globalkonzept einbegriffen. Pkw am Platze! nämlich eine graue Straße mit gegenüber Dazu gehört beispielsweise die Fahrbahn und Bürgersteig, und auch Verkehrstechnisch gesehen hat die fußgängerfreundliche Instandsetzung die Fußgänger konnten sich bis dato Absperrung der Großgasse oder besser des gesamten Regierungsviertels. noch nicht so recht auf die neuen gesagt des unteren Teils der Großgasse Kongregationsgasse und Gegebenheiten einstellen, schauen die ebenfalls eine ganze Reihe von Maximilianplatz sind die ersten meisten doch immer noch ängstlich Problemen heraufbeschworen, galt es Etappen dieses Projektes. In gleichem nach rechts und nach links, bevor sie doch eine Umverteilung des Maße wie eine Stadt wächst und sich eine die Fahrbahn überqueren, aber es sollte Verkehrsvolumens vorzunehmen, die stufenweise ausdehnt, kann auch nur Schritt ja auch nur ein kleiner, gutgemeinter notgedrungen zu Lasten einiger Fußgängerzone langsam, für Viel wurde denn Anfang sein. Erstes Ziel war, das Auto Nebenstraßen gehen mußte. So hat sich Schritt, gelingen. welches sich auf derart unverschämte beispielsweise die Einbahnstrecke auch bereits über das neue Gewand Art und Weise in unserer Stadt breit Enneschtgaass-rue du Fossé-rue du und die definitive Bestimmung des Das wilde gemacht hatte, zunächst aus einem Curé-rue Chimay als wahrer „Knuedler" gerätselt. bestimmten Teil zu entfernen. Mit der Teufelskreis erwiesen. An Parken auf dem unfertigen Belag an gleichzeitigen Eröffnung eines zweiten Spitzenstunden bilden hier die Autos den vorweihnachtlichen IAA" ÁTIS-S 111.1001sergsalimillinegoimmemmii

verkaufsoffenen Sonntagen ließ bereits Terrassenbesuchern im Sommer den vom „Roude Pötz" bis zur rue düstere Vorahnungen aufkommen. Aufenthalt vermiesen, soll es in naher Philippe II sowie die rue Génistre Sollte der Traum von einer zweiten Zukunft ebenfalls ruhiger werden, da (Lantergässelchen) endgültig für die „Stuff" der Hauptstadt vorbei sein, die man zusätzlich zu den in diesem Sinne Fußgänger eingerichtet werden. Beide Autofahrer wieder die Oberhand bereits beschilderten, sämtliche, die Straßen werden ihrer Bürgersteige gewonnen haben? Dem soll nicht so Place d'Armes umgebenden Straßen entledigt, ein psychologischer sein! Bis Ende Oktober wird der für den Kraftverkehr sperren will. Ein Schachzug, um die Fußgänger Knuedler mit Pflastersteinen belegt neuer Kiosk wird der guten Stube der dazuzubringen, die ganze Breite der sein; Ruhebänke und Pergolas über Hauptstadt schließlich den letzten Straße zu benutzen. Anschließend wird den unästhetischen Schliff geben. Geplant, aber leider ein in ausländischen Fußgängerzonen Entlüftungsschächten des nicht realisiert, wurde ein Autoverbot übliches Zierpflaster gelegt. Der unterirdischen Parkinghauses sowie in der Poststraße und auf dem „Roude Pötz" selbst soll seinem Kettensperren werden den Bäderplatz. Die äußerst enge rue de la Namen durch die Errichtung eines Gesamteindruck positiv ergänzen und Poste hätte sich schon allein deswegen Brunnens gerecht werden. In einem die Vierräder endgültig verbannen. Die vorzüglich als Fußgängerbereich Künstlerwettbewerb soll das beste Tatsache, daß nur noch drei geeignet, weil man hierdurch von der Projekt herausgesucht werden. Auf Luxemburger die uralte handwerkliche Place d'Armes quer zum zentralen besonderen Wunsch des Großherzogs Kunst der Straßenpflasterung Aldringenplatz hätte schlendern wird der neue Brunnen ein Motiv des beherrschen und diese zusammen pro können. Wer jetzt diesen Weg nehmen „Hämmelsmarsches" tragen. Wenn das nicht mehr 90 um seinen Bus zu Tag als qm schaffen will, erreichen, kein Wunschbrunnen wird. .. können, erklärt, warum erst im sich am besten mit dem schlängelt Wer allerdings nun glaubt, nie mehr ein mit der Rücken zur Wand auf dem Spätherbst endgültigen winzigen Auto in der Großgasse zu Gesicht zu Fertigstellung zu rechnen ist. Bürgersteig bis zum Aldringenplatz, bekommen, der irrt gewaltig. Die denn vom Immerhin aber wird bis dahin auch der mehr Platz wird ihm totale Fußgängerzone wäre insofern neu gegossene „Fiischen" in frischem Fahrverkehr kaum zugestanden. Was eine Illusion, als die dort ansässigen den so Glanz erstrahlen und der Zwist um Bäderplatz anbelangt, hätte hier Geschäfte beliefert werden müssen, seinen verschwundenen Interim- — sogar mit dem Einverständnis der und den Notdiensten der Zutritt Geschäftswelt — eine Bruder sicherlich beigelegt sein . .. Wo angenehme schlußendlich auch nicht verwehrt aber im kommenden Mai der Ruhezone entstehen können, trotz des werden darf. Darüber hinaus hat die Oktavmärtchen abgehalten werden Durchgangsverkehrs in der Bädergasse. Gemeindeverwaltung noch zirka 100 Bedauerlicherweise aber entschloß sich soll, steht bislang noch in den Sternen; Vignetten an Anrainer, der da die Zwischenlösung vom Schöffenrat dann doch kurzfristig, Bauunternehmer und sonstige vergangenen Jahr diesmal aufgrund der 16 Parkplätze zuzugestehen. Von dem Privatpersonen verteilt. Die Infrastrukturarbeiten auf dem ursprünglichen Projekt, das die viereckigen Autoschildchen gewähren Knuedler schwer denkbar ist, bleibt zuständigen Verwaltungen ihren Besitzern, je nach Farbe, diese sind sieben das Schicksal dieser alten Tradition ausgearbeitet hatten, oder jene Zufahrtsrechte. Bleibt zu nach wie vor ungewiß. Bäume, eine Terrasse und einige hoffen, daß diese Nächste Station ist dann die Blumenkübel übriggeblieben. Schade! Sondergenehmigungen sich nicht „Plëssdarem". Dort wo heute noch Die Pläne für die Großstraße selbst vermehren. täglich Dutzende von Autos heillos sollen dagegen umso ansprechender Was nützt die schönste Fußgängerzone, durcheinander parken und den sein. In einer ersten Etappe soll der Teil wenn nichts auf diesem RUE PIETONNE

RUE PIETONNE GRAND-RUE _ _J Fußgänger auf dem Vormarsch neugewonnenen Stück Bepflasterung geboten wird, möchte man fragen. „Animation" heißt das Schlagwort, auf das alle warten, und man denkt unwillkürlich an die Handwerkskünstler von Paris, die ihre Ware auf der Straße feilbieten, an Straßenmusikanten, Straßenmaler, an Pantomimen, Feuerschlucker und Schlangenbeschwörer, an Tanztruppen, Popcorn-Verkäufer und die Heilsarmee. Dies alles in der Großgasse aufziehen zu wollen, wäre wohl glatter Unsinn, doch ein Bruchteil davon würde eigentlich auch schon reichen. Daß wir, sowohl von der Mentalität als auch vom Gesetz her, noch weit davon entfernt sind, beweist der Fall jenes jungen Mannes, der unlängst in der Großgasse ein paar Takte auf seiner Gitarre spielen wollte, bis dann zwei schwerbewaffnete Ordnungshüter auftauchten, um ihn blitzschnell eines Besseren zu belehren. Kein Wunder auch, daß sich keine Straßenverkäufer blicken lassen, denn laut unserem Marktgesetz müssen Künstler, ähnlich wie die Flohmarktverkäufer, die ihre Waren an den Mann bringen wollen, sich zuvor eine entsprechende Genehmigung im Mittelstandsministerium besorgen. Hier wäre doch wohl etwas mehr Toleranz und Taktgefühl angebracht, damit das, was sich spontan vollziehen soll, nicht an bürokratischen Barrieren verödet. Aber bis zum Sommer vergehen ja noch einige Monate, 111 während denen man sich hierüber den Kopf zerbrechen kann. Neue Initiativen und Impulse sollten indes nicht nur von der Gemeindeverwaltung ausgehen, sondern auch und besonders von den betroffenen Anrainern, die sich ja immerhin nicht, wie dies im Ausland gang und gäbe ist, zu 50% an den Realisierungskosten der Fußgängerzone beteiligen müssen. So kann man nur hoffen, daß bis zur Touristensaison neue Impulse festzustellen sind, z. B. daß Terrassen eingerichtet werden. Praktisch wäre auch eine Art Schließfächer, in denen die Kunden ihre Pakete abstellen könnten; diese letzte Maßnahme könnte einige dazu verleiten, ihr Auto zu Hause zu lassen.

Eines sollte man indes nicht versuchen: 41241200.,7*V.,—.440.42Maigir aus unserer immer noch kleinen Hauptstadt eine City mit Großstadtatmosphäre basteln zu wollen. Die Fußgängerzone in der Altstadt: wie sie heute ist und was VILLE DE LUXEMBOURG sie morgen werden soll. Lediglich die Großgasse, die rue centre ville—haute Génistre, die an die Place d'Armes LÉGENDE: grenzenden Teile der rue de la Poste und zone piétonne projetée der Monterey- Avenue sowie rue/place piétonne projetée verschiedene kleinere Gassen der ruelplace interdite a la circulation automobile au 1.1.80 Altstadt sind heute far den Autoverkehr ceinture de desserte Doch gesperrt. das rues et routes ouvertes a la circulation automobile soll einmal anders werden, dann quartier a stationnement règlementé nämlich wenn progressiv der P parking souterrain gesamte innere P Stadtkern bis zum parking en surface Heiliggeistplateau und zur 1999i parc de la ville Schloßbrücke— laut

Plan ersichtlich — dem Fußgänger erschlossen werden. Dem privaten Autofahrer bleiben dann lediglich die hier orangefarben und gelb eingezeichneten o- Anfahrstraßen. o- In welchen Zeitabständen die einzelnen Phasen o- indessen realisiert werden, steht auf einem andern Blatt, O- hängt aber auch zu einem großen Teil von der Schaffung zusätzlicher Parkmöglichkeiten o- ab. So sind 0_

beispielsweise auf , port diesem Plan 3, teils ØŒNove geplante, teils aufs Eis gelegte 0- unterirdische GO- Parkhäuser eingezeichnet (Heiliggeistplateau, Theaterplatz, Park- 0-o- 0- Monterey). Daneben °- steht die des \\ a N Realisierung 0,(:\ 0- sich mittlerweile auf o- der Prioritätenliste D- 0 0- befindenden Tunnels o- bis zum Eicherberg o. 0- noch im Raume, eine C conditio sine qua non zur Bewältigung der mit der 0- eines o- Schaffung o. solchen 0_ Fußgängerbereiches 0_ verbundenen 0- o- Probleme. o:/o-c-/ 10 0- 0_ Œ 0- o- 0_

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En remontant de Clausen vers la vieille bleues au milieu. Des passants harassés La commune aimerait bien n'avoir ville, devant la silhouette majestueuse jetant des coups d'oeil furtifs de tous comme administrés que des marcheurs du Bock, on se rend compte à quel les côtés de peur de se faire écraser les a pied ou des utilisateurs des transports point notre capitale est privilégiée doigts de pied. en commun, mais devant une situation quant au site géographique. Le centre Mais notre mentalité semble ainsi faite de plus en plus problématique, il faut n'a des délimitations moins trouver que naturelles, que nous voulons tout et le contraire de pour le essayer de des rochers ou Nos solutions. parcs. occupants tout. Des mots comme «écologie» et successifs savaient bien que «qualité de la vie» sont sur toutes les l'appellation Gibraltar du Nord n'était lèvres, mais allez donc dema rder De la zone bleue aux horodateurs un vain mot. Malheureusement pas quelqu'un de garer sa voiture aux Jusqu'en 1965, date de l'introduction cette fière Gibraltar du pour nous, portes de la vieille ville. On se plaint de de la zone bleue, aucune limitation serait le Nord plutôt aujourd'hui la laideur des horodateurs et de la voire restriction du parcage n'existait du Nord. Garage prolifération des poteaux dans la capitale. Avec le disque Des voitures partout dans le Centre- d'interdiction, mais il faut bien mettre obligatoire dans les tronçons de rue Ville, serrées des deux côtés de la un peu d'ordre dans cette jungle, faisant partie de la zone bleue, les chaussée avec une queue aux volutes puisque le bon sens semble faire défaut. initiateurs avaient coupé court au

12 parking sauvage. Toutefois le ne plus correspondre à la réalité. Ce développement spectaculaire du parc furent donc de gigantesques panneaux automobile — après tout le pays ne portant la mention «tickets» qui, un comptait que 33 000 voitures en 1960—, beau jour de l'an 1975, sonnaient le glas (aujourd'hui: pas loin de 200 000) d'une bonne partie du régime à disque. de nouvelles mesures face à un imposait L'installation de toute une gamme de nombre croissant de chauffeurs parcomètres et de nouveaux appareils désirant garer leur véhicule jour après dits «horodateurs» avait définitivement jour au beau milieu du centre. annoncé l'ère du stationnement sujet à Ainsi fallait-il éviter en premier lieu taxe. Dès lors le conducteur était l'emprise des stationneurs à longue confronté à trois modes de durée sur le peu d'emplacements stationnement, à savoir le disque, le disponibles. En plus, avec la mise sur parcomètre et l'horodateur. pied de tout un effectif en vue de la Aujourd'hui le bilan des emplacements surveillance du stationnement publics, accessibles à tout le monde, réglementé, le parking gratuit semblait parait tout à fait appréciable. Le

11 voitures nombre des emplacements gratuits Toutefois le nombre des chauffeurs en Le premier peut héberger 182 ayant sensiblement diminué, — en ville quête d'un bout d'asphalte, sillonnant tandis que le souterrain de la place haute il n'en reste plus que 523 et au les ruelles du centre, n'a pas diminué. Il Guillaume offre 398 emplacements. (Il quartier de la gare 1 187— celui des fallait donc chercher d'autres solutions. s'agit là uniquement des places au ce n'est stationnements réglementés soumis au accessibles public). Mais pas payement d'une taxe a fortement L'ère des parkings souterrains tout: à voir les projets en cours, on est tenté de croire l'avenir toutes les progressé depuis 1975, de sorte que la C'était devenu inévitable: face aux qu'à ville haute en dispose maintenant de revendications des commerçants, voitures vont disparaître des rues pour 1 436 et le quartier gare de 1 348. exigeant des lieux de stationnement s'engouffrer au «sous-sol». Priorité sera les Ajoutons que le régime disque a été fixes et disponibles à tout moment, et accordée durant prochaines conservé pour 296 emplacements en devant la nécessité de créer des années au quartier de la gare avec la ville haute, respectivement pour 510 possiblités de stationnement à longue construction d'un parking souterrain à la des aux alentours de la gare. Tout compte durée pour la population active en ville, place Martyrs (Rousegärtchen); fait, le nombre des parkings la construction de parkings souterrains, 400-500 cases y sont prévues. disponibles dans ces secteurs centraux usuels dans les capitales étrangères, Soulignons dans ce contexte qu'au sens s'élève à 5 300. s'imposait. Une première étape fut littéral du mot, l'administration Le parking payant encadré par des franchie en 1975 avec la réalisation d'un communale ne compte nullement encaisseurs ayant été supprimé, le immeuble dans le quartier de la gare, marcher sur les plates-bandes de cette stationnement taxé se fait plus précisément rue Glesener avec 219 place si remarquablement aménagée, exclusivement par les 44 horodateurs et emplacements publics. Vint ensuite la mais qu'au contraire tous les rosiers les 568 parcomètres installés ville haute: le parking Aldringen en seront replantés pour conserver actuellement sur le territoire de la ville. 1977 et le .Knuedler» en 1979. l'authenticité de ce site. L'ouverture de

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de le la soumission est prévue pour le mois et à la place du Théâtre (400 protestations qui renvoyèrent aux calendes de mai, de sorte que la réalisation de ce emplacements). Finalement un projet, projet grecques. projet se fera durant les 2 prochaines qui, jadis a fait couler beaucoup d'encre Reste â. mentionner la nouvelle formule invitant les années. Il en est de même pour le dans les milieux écologiques, semble du parking de dissuasion, parking souterrain projeté â. la place de réapparaître à la surface. Il s'agit du automobilistes à garer leur véhicule aux la ville et a utiliser les Paris avec une capacité de 500 parc Edmond Klein, où selon les abords de véhicules, ainsi que des 300 mêmes procédés qu'on va employer transports en commun pour accéder au centre. a été emplacements prévus près de la la place des Martyrs, un souterrain Une première tentative nouvelle poste. Une seconde étape devait être aménagé afin de desservir les amorcée avec l'aménagement du encore faut-il la comprendra la mise en oeuvre de 2 régions â l'ouest de la capitale, tout en Glacis, mais dire que autres souterrains â. la ville haute, â respectant les considérations distance jusqu'au centre de la ville est sorte nombre savoir au plateau du St. Esprit près de écologiques. La perspective de voir très courte, de qu'un la future Chambre des Députés (500 disparaître 70 arbres dans cette partie élevé d'automobilistes profite en effet emplacements), du parc avait déclenché une avalanche de ces parkings gratuits. Un second

16 parking de dissuasion est envisagé a la rue de Bouillon, destiné cette fois-ci aux usagers de l'autoroute Esch- Luxembourg. Or, il paraît du moins douteux que le Luxembourgeois soit réellement disposé a se plier aux exigences de cette nouvelle formule. Quant au parking projeté au-dessus des installations ferroviaires entre la rue de Bonnevoie et la Gare Centrale, — mesure créant quelque 600 stationnements nouveaux —, il faut dire que, du point de vue technique, l'affaire ne se présente pas sans difficultés et un délai précis de réalisation ne peut donc être avancé.

La répression des abus Pour qu'une réglementation soit tant soit peu efficace, il faut de toute évidence mettre en place un contrôle systématique. Ceci, évidemment, n'est pas du goût de tout le monde et l'avalanche des avertissements taxés n'a pas manqué d'engendrer la morosité des automobilistes. Saviez-vous qu'en 1979 la moyenne des avertissements distribués chaque jour a été de 340? Une augmentation de 149% par rapport a 1978. Il faut dire que l'administration communale occupe actuellement 67 gardes municipaux (dont 8 dames) a la répression des abus. Ces gardes ne sont pas dans une situation très enviable: leur conscience professionnelle a un effet dévastateur sur leur cote de popularité. Au-delà de ce jeu de dupes, ce qu'il faudrait en fin de compte, c'est déclencher chez l'automobiliste un processus de réflexion qui pourrait engendrer un,changement d'habitudes, seul remède vraiment valable a cette situation tragi-comique. Mais il est plus facile de changer de voiture que d'habitudes. Les activités du conseil communal

technique budgétaire, on peut dire que le Il est impossible de donner ici un aperçu conseil communal établit un état des général sur les nombreuses questions ont eu les affaires Généralités recettes et des dépenses, et arrête son posées et qui pour objet d'activités l'année les diverses. Ceux qui s'y intéressent Depuis la du dernier numéro programme pour plus parution suivante. trouvent tous les détails dans le compte .Ons Stach>, en novembre 1979, le conseil rendu communal s'est réuni à dix reprises. Les principales caractéristiques du budget analytique. 1980 seront données loin. Les conseillers communaux ont encore fait A vue ce nombre élevé de plus première d'un autre droit d'initiative. Il s'est dont ont eu lieu au mois de Une autre dans les séances usage réunions, cinq part importante de à. l'ordre du ont agi de l'inscription points décembre, peut étonnant. Mais la du conseil pris les questions posées par paraître est établi le échevinal multitude des séances le fait les conseillers communaux. Si en principe le jour qui par collège s'explique par séances. et pour les différentes que c'est tous les ans vers cette époque que temps de poser ces questions d'y le conseil communal est appelé à se répondre est limité à une demi-heure par ce est en très prononcer sur le budget de l'année à venir. séance, temps pratique Sans vouloir entrer dans les détails de la souvent dépassé. Décisions prises budget 1980 Le budget pour l'exercice 1980 a été approuvé le 17 décembre 1979 par les voix de la majorité contre celles de l'opposition. Les recettes ordinaires de ce budget dépassent pour la première fois le montant de 5 milliards de francs, dont plus de 4 milliards sont dépensés pour faire fonctionner les nombreux services communaux. Il y a une trentaine d'années les recettes et les dépenses ordinaires étaient de respectivement 320 et 265 millions. Ces recettes et dépenses sont donc aujourd'hui seize fois plus élevées! Cela s'explique, d'une part, par la dépréciation constante de l'argent, et, d'autre part, par l'augmentation des tâches dont s'occupe l'administration. L'augmentation des tâches a eu pour conséquence une augmentation des effectifs. Ainsi en 1950 la ville a occupé 1.250 employés et ouvriers, alors que les effectifs dépassent aujourd'hui les 2.000 unités. Les dépenses pour le personnel représentent en chiffres ronds 45% des dépenses ordinaires, soit tmilliard et 900 millions. A peu près le même montant (1 milliard et 800 millions) est nécessaire pour permettre à la ville d'assurer à ses administrés tout un nombre de services: approvisionnement en eau, gaz et électricité; enlèvement des ordures ménagères; organisation des transports en commun; entretien de la L'administration communale a ‘'z dans la rue porte fait apposer Gasperich, qui voirie; etc. son nom, une plaque commémorative en l'honneur de JEAN GASPARD DE Pour compenser ce volet .dépenses», la de né en 1622, CICIGNON, Seigneur Oberwampach, (probablement) ville doit avoir des recettes. Ce sont commandant de ingénieur militaire, général-major, forteresse, gouverneur notamment les impositions communales, la . . est d'avoir reconstruit la ville de etc. Son plus grand titre de gloire part dans différents impôts de l'Etat, les Trondheim en Norvège après l'incendie qui la détruisit en avril 1681. ventes d'électricité, de gaz et d'eau. J.G. de Cicignon est mort le 12 décembre 1696. (suite page 19)

18 Les activités du conseil communal Interna

A côté de cet aspect courant et traditionnel Une autre motion, présentée par (ordinaire) il y a l'aspect exceptionnel l'opposition (POSL et PC) demandant (extraordinaire) du budget. Dans cette l'arrêt immédiat des productions polluantes rubrique le budget 1980 prévoit plus de 900 jusqu'à l'installation de tous les millions pour financer des travaux équipements anti-pollution a été écartée par extraordinaires. la majorité. Parmi les projets en voie de réalisation Le conseil communal reviendra à la figurent entre autres: la restauration de question avant le Ier mai 1980. l'ancien théâtre, une nouvelle école Dommeldange, le parc de Belair, le pont reliant le plateau de Kirchberg au village de Kirchberg, le camping Kockelscheuer et la travaux zone piétonne. Parmi les projets et devis approuvés par le Les comptes établis après l'exercice 1980 conseil communal il y a lieu de signaler plus permettront de constater dans quelle particulièrement: mesure les prévisions faites ont été exactes. — celui relatif à la restauration de l'ancien théâtre, rue des Capucins. Monsieur Georges Thorn, docteur en est au a sommaire avait été droit, entré conseil communal la conventions et contrats Un avant-projet date du 11 février 1980 en de approuvé en 1978. Le projet définitif a remplacement Parmi les nombreuses conventions M. René n'habite la trouvé l'approbation du conseil en date du Hengel qui plus par le conseil communal il y a approuvées 15 octobre 1979. Le devis porte sur un capitale. lieu de citer quelques actes d'acquisition montant de 246 millions. plus importants. Visite officielle du Lord Mayor de la Cité - celui concernant l'extension des Ainsi la ville a des terrains d'une de Londres acquis installations du service route de ares aux abords de la rue d'hygiène, Les 5 et 6 mai 1980 le Lord de la superficie 16,23 d'Arlon. Mayor Adolphe Fischer pour se créer une réserve Cité de Londres, Sir Peter GADSDEN, Il s'agit d'un sommaire dont la de terrains en vue de la construction d'une avant-projet G.B.E., M.A., D.Sc., C.Eng., accompagné est estimée à 10 nouvelle école au quartier de la gare. dépense provisoirement de la Lady Mayoress et de quelques millions. sera en visite officielle C'est dans le même but, en tant qu'objet collaborateurs, — celui la construction d'échange, que l'immeuble au no 37 de ayant pour objet Luxembourg. d'un funérarium avec obitoires et logement l'avenue de la Liberté a été acquis. C'est pour la deuxième fois que la ville de service près de l'entrée principale du le Lord de la Cité de Londres Finalement la ville a un ensemble de reçoit Mayor acquis au rue cimetière de Merl, carrefour de la — terrains et bâtiments a The Right Honourable The Lord ayant appartenu des et du val Ste Croix. l'ancienne société Secalt, sis dans la vallée Aubépines Mayor —. Il d'un entre Bonnevoie et Hamm, aux abords de la s'agit également avant-projet Le Lord Mayor préside la .Court of dont le coût est rue Godchaux. Ces terrains, d'une surface sommaire, provisoirement Alderman et la .Court of Common estimé à 43 millions. de 3.400 ares, sont destinés à conserver et à Council., l'organe exécutif de la étendre la zone de verdure qui y existe. Une Corporation of London qui gouverne la partie des terrains sera aménagée en City. Le Lord Mayor est le magistrat promenades publiques. suprême de la City. Sa résidence officielle urbanisme est Mansion House. En 1973 le conseil communal avait inscrit environnement au projet d'aménagement général une zone d'industrie des deux côtés de la route Au cours de sa séance du 3 décembre 1979 légère s'étendant dans les grandes le conseil communal a adopté une motion d'Esch, lignes du débouché du dans la route concernant l'usine CASA à Dommeldange. Kohlenberg la Cloche d'Or. Dans cette motion le conseil communal a précitée jusqu'à Comme cette zone était relativement demandé au gouvernement d'imposer à la le conseil a décidé le 26 firme en question de faire différents restreinte, novembre de et cela en la aménagements aux installations, afin de l'agrandir, prolongeant de et d'autre de la route ramener les incommodements pour le part d'Esch l'auto-route et en voisinage dans des limites acceptables, et il a jusqu'à la profondeur a la invité le ministre du travail et de la sécurité augmentant par rapport route du côté est. sociale à fermer l'usine pour le cas où ces aménagements ne permettraient pas Un écran de verdure séparera la zone d'obtenir une amélioration sensible de la d'industrie légère des quartiers résidentiels situation actuelle. existants.

19 Ein Jubilar mit Zukunftschancen: Der hauptstädtische Sclilachthof

Nur selten steht er im Rampenlicht; Schlagzeilen macht er kaum: der städtische Schlachthof. Dabei kommt diesem kommunalen Betrieb eine vitale Bedeutung zu: heute und morgen genauso wie vor Jahrzehnten, in den Gründungsjahren. Die Anlagen in Hollerich mogen sich — von außen gesehen — bescheiden ausnehmen. Passanten gehen oder fahren meist achtlos an ihnen vorbei, verschwenden keinen Gedanken an die Arbeit, die dort geleistet wird. Ein wenig mehr Aufmerksamkeit verdient dieser Schlachthof dennoch: nicht nur weil er vor wenigen Wochen seinen 50. Geburtstag feiern konnte. Am 30. Dezember 1929 waren nämlich die heute noch bestehenden Anlagen in Hollerich in Betrieb worden. Die genommen Bau entschlossen. Damals standen 2 Kellerräumen befanden: Das bedeutete Geschichte des städtischen Standorte zur Wahl: einmal der Raum des Unannehmlichkeiten für den Schlachthofwesens aber in Metzger, greift zweitens ein Grundstück in Nachteile für die Wirklichkeit viel weiter in die Glacis, schwerwiegende Anlieger, Pfaffenthal in unmittelbarer Nähe des aber auch eine Gefahr für Vergangenheit zurück. Sie ist nicht zuletzt zugleich ständige Eisenbahnviadukts befindet sich die öffentliche Gesundheit. Ab 1876 war auch ein Indiz dafür, daß im (heute dort die rue du Fort damit Schluß. innerstadtischen Bereich schon vor Jugendherberge, langer Die Wahl fiel letzten Endes auf Zeit zur der Olisy). Allerdings zeigte sich nach einiger Zeit, daß Bemühungen Verbesserung dieses zweite Grundstuck. Ab 1874 wurden allgemeinen Verhältnisse die Pfaffenthaler Anlagen den wachsenden hygienischen die neuen errichtet mit einem unternommen wurden. Anlagen Anforderungen nicht mehr entsprachen. Kostenaufwand von 226 818 Franken. Zwei Höhere Einwohnerzahlen und bessere Jahre später konnten sie in Betrieb soziale Verhältnisse führten zu einer genommen werden. verstärkten Nachfrage nach Fleisch und Ein Blick zurück Das war ein erheblicher Fortschritt. Denn Fleischwaren. Zudem waren die Anlagen inzwischen veraltet. Seit 1876, also seit 104 Jahren, verfügt bis dahin war das Schlachten der Tiere nämlich die Stadt Luxemburg über einen ausschließlich in den Privatschlächtereien Das bewies vor allem ein Seitenblick auf eigenen, offentlichen Schlachthof. Neun der Metzger vorgenommen worden, die den neuen Schlachthof, der 1902 auf dem Jahre vorher hatte sich der Stadtrat für den sich meistens in niedrigen dunklen Gebiet der damaligen Gemeinde Hollerich

20 ritrAL,11111111111111MNI1 Ill

eröffnet worden war. Außer anderen Einführung rationellerer und In den siebziger Jahren folgte die technischen Errungenschaften verfügte er hygienischerer Schlachtmethoden, die Modernisierung der Rinderhalle mit dem insbesondere über die erste Kühlanlage des tiefgreifenden Umstellungen in der Einbau eines automatischen Schlachtbandes Landes. Fleischvermarktung auf nationaler und — die bislang modernste Anlage des Landes. internationaler sowie letzten Endes neben kleineren Nach dem ersten Weltkrieg stieg die Ebene, Ferner, einigen Einwohnerzahl der Hauptstadt sprunghaft die EWG-Vorschriften über die Investitionen, wurde eine der im mit an und bald wurde klar erkennbar, daß Ausstattung Rinderbetäubungsfalle Treibgängen beide Anlagen- in Pfaffenthal wie auch in innergemeinschaftlichen Handelsverkehr und Warteboxen errichtet. Hollerich — überfordert waren. Der Bau zugelassenen Schlachthöfe erforderten eine Weit über 50 Millionen Franken wurden der an die eines neuen Schlachthofes drängte sich auf. konsequente Anpassung Anlagen seit 1950 im Schlachthof investiert. neuen Bedürfnisse und Nach der Eingemeindung von Hollerich, Auflagen. Aber damit nicht genug: die im Jahre 1920 fiel die Entscheidung. Eine Umfangreiche Modernisierungsarbeiten Schlachthofdirektion plant einen weiteren Schlachthofkommission befürwortete wurden im Laufe der letzten 25 Jahre Ausbau. Vorgesehen ist die unumgängliche damals einmütig den Bau eines einzigen, durchgeführt. Reorganisation des Fleischmarktes, die in zentralen Schlachthofes mit Kühlanlagen Zunächst wurden in den fünfziger Jahren diesem und im kommenden Jahr und Fettviehmarkt. Als Standort wurde die Schweinestallungen vergrößert und die durchgeführt werden soll. Hollerich ausgewählt, wo ein vier Hektar Schweinehalle modernisiert. Damals wurde großes, an den alten Schlachthof ebenfalls eine leistungsfähigere neue Areal zur stand und Zehn grenzendes Verfügung Heißwasseranlage eingerichtet. Jahre Eine neue Verkaufshalle ausreichend Raum für die geplanten später wurde ein Fleischmarkt mit Anlagen bot. Verkaufsständen, Kühlräumen und Dieses Projekt dürfte eine der wichtigsten eigenen sein: die Investitionskosten Am 30. Dezember 1929 nahm der neue einem Tiefkühlraum installiert; zugleich Ausbauetappen für dieses Vorhaben werden nämlich auf 70 Schlachthof den Betrieb auf. Er wurde am wurden für eine optimale Einrichtungen Millionen Franken Die hohen 20. 1930 von Gaston tierärztliche Kontrolle der wachsenden veranschlagt. Juni Bürgermeister sind durch die Natur des Diderich offiziell seiner geschaffen. Zu den Ausgaben bedingt Bestimmung Fleischimporte ist der Bau einer übergeben. wichtigsten und kostspieligsten Projektes. Vorgesehen Investitionen gehört der 1968 neuen 1 800 Quadratmeter großen Verkaufshalle mit vorgenommene Umbau der gesamten ebenerdigen Parkplätzen Kühlanlagen und die Einführung des am Rande der Escher Autobahn,d.h. am Modernisierung modernen Schnellkühlverfahrens: zwei Standort des derzeitigen Schnellkühltunnels für je 100 Großtiere, Ausweichparkings. großgeschrieben drei Tunnels für insgesamt 600 Schweine, Die neue Verkaufshalle wird den letzten Seitdem sind die Hollericher Anlagen in sowie mehrere Lager- und Tiefkühlräume Erkenntnissen moderner Technik und Betrieb. Sie haben allerdings bis heute eine wurden eingerichtet. Allein letztgenannte Hygiene Rechnung tragen. Vorgesehen ist grundlegende Metamorphose erfahren. Das Umbauten erforderten einen Aufwand von die Einrichtung von 3 oder 4 ständig wachsende Schlachtvolumen, die 26,5 Millionen. Verkaufsständen („cheville") und

21 Der hauptstädtische Schlachthof

verschiedenen Standen für den unverkennbar im Interesse sowohl der Hausmeister. Sie alle gewährleisten die Fleischzwischenhandel. Jeder der offentlichen Gesundheit als auch der volle Funktionsfähigkeit der Anlagen. Verkaufsstände verfügt iiber einen Fleischqualität. In den angegliederten Betrieben ist individuellen Kühlraum, einen Der Viehauftrieb ist übrigens beachtlich: zusätzliches Privatpersonal beschäftigt. Zu klimatisierten Verschneideraum, einen wöchentlich werden nämlich etwa 400 bis ihnen gehören die Lohnschlächter, die besonderen Verkaufsraum, sowie über 500 Rinder angeliefert, sowie 500 bis 600 Kuttler, die Vieh- und Fleischagenten, die Büro- und Sozialraume. Großes Gewicht Schweine. Von den verkauften Rindern Angestellten des Fleischgroßhandels, die wird bei der Planung auf EWG Hygiene- werden zweidrittel in Hollerich Fleischtransportarbeiter, die Angestellten Normen gelegt. Der Fleischmarkt wird von geschlachtet, der Rest wird von den der Bankagenturen usw. .. Insgesamt bietet den übrigen Schlachthofanlagen wie Landmetzgereien bzw. von ausländischen der Schlachthof etwa 120 Arbeitsplätze. N'iehmarkt und Schlachthallen streng Abnehmern übernommen (Die Schweine getrennt. Innerhalb der Arbeitsräume wird werden alle in Hollerich geschlachtet.) Publikumsverkehr unterbunden: Leistungsbilanz positiv jeglicher Der selbst erfordert einen Für die Kunden — Privatkonsument, Schlachtprozeß erheblichen Arbeitsaufwand: im Kommunalen Betrieben wird mitunter Handler oder Kommissionäre — Metzger, wurden 12 090 Stuck nachgesagt, wirtschaftliche Gesichtspunkte sind besondere vergangenen Jahr Kundengange vorgesehen. Großvieh und 28 300 Schweine seien ihnen unbekannt. Für den Auf strikte Hygiene wird ebenfalls bei der Schlachthof trifft dies mit geschlachtet, gekühlt und an die Metzger hauptstädtischen Fleischanlieferung geachtet. ausgeliefert. Jedes einzelne Schlachttier Sicherheit nicht zu. In den letzten dreißig Dieser Neubau ist ohne Zweifel eine hatte die wird einer genauen, gesetzlich Jahren (1949-1979) Verwaltung zwingende Notwendigkeit. Der vorgeschriebenen tierärztlichen Ausgaben in Höhe von 344 Millionen Fleischmarkt hat mit der Zeit zu verbuchen für ordentliche Untersuchung unterzogen. Ergeben sich Franken ungewöhnliche Ausmaße angenommen: anomale oder krankhafte Befunde, wird Ausgaben und Aufwendungen für Der Umsatz übersteigt zur Zeit 4 000 zusätzlich eine bakteriologische Investitionen. Anlagenabschreibungen, Tonnen Frischfleisch im ein Fünftel und Jahr; Nachuntersuchung vorgenommen. Verzinsung der, Investitionen davon an an in geht Privatkundschaft, Ein Wort noch der im Zentralverwaltungsbeiträge sind diesem Haushalte, die als Großabnehmer die Erläuterung mit dem rituellen Betrage nicht inbegriffen. wirtschaftlichen und sanitären Vorteile der Zusammenhang Schlachten, dem Schächten: Dem gegenüber stehen Gesamteinnahmen in Gefriertruhen nutzen sogenannten Lagerung optimal dieses Verfahren ist in unserem Lande in Höhe von 391 Millionen. wollen. gesetzlich streng geregelt. Der Die finanzielle Lage des Schlachthofes ist Zu den Kunden des Fleischmarktes hauptstädtische Schlachthof in Hollerich ist demnach gesund, auch wenn infolge der gehören aber vor allem die Metzgermeister, der einzige Schlachthof des Landes, der die stark defizitären nationalen Restaurateure und Großkuchen. Es zeigt Genehmigung besitzt, rituelles Schlachten Schweineproduktion und der ständig sich übrigens, daß sich der Trend zum vorzunehmen. Allerdings wurde das wachsenden Fleischimporte die Zahl der Großeinkauf Ware fertig zugeschnittener Schächten vor mehr als einem halben Jahr Schlachtungen in den letzten Jahren etwas beim Fachhandel von Jahr zu lahr eingestellt. abgenommen hat. N-erstarkt: dieser kann sich in der Tat auf Zu den Aufgaben des Schlachthofes gehört Um auch in Zukunft den diese Weise besser mit besonders begehrten der modernen und Fleischstiicken im darüberhinaus die tierärztliche Kontrolle Herausforderungen gefragten versorgen, zu werden und Interesse einer wirtschaftlicheren der Fleischimporte. Sie erstreckt sich nicht Fleischvermarktung gerecht nur auf lebende Tiere und Frisch- bzw. so die Kompetitivität im nationalen und Betriebsfiihrung. Indem der neue Gefrierfleisch, sondern auch auf europäischen Rahmen zu erhalten, sind die Fleischmarkt zur Diversifizierung des Geflügel und Fleischprodukte in Dosen. Besonders nun vorgesehenen Investitionen aber Angebotes beitragt, ermöglicht er eine unerläßlich. optimale Befriedigung der Nachfrage. Kälberimporte werden einer genauen Kontrolle unterzogen. Bei Geflügel und Denn für die Stadtbevölkerung ist und Dosen sind aus verständlichen Gründen bleibt der gemeindeeigene Schlachthof Die AktivitHten nur Stichproben möglich. Insgesamt zeigt unverzichtbar. Er gewährleistet eine sich aber nach Auskunft der optimale Fleischversorgung und bietet auf dem Schlachthof Verantwortlichen, daß die nicht zuletzt eine Gesundheitsgarantie im Is liegt auf der Hand, daß der Arbeitsanfall Untersuchungen, die an Ort und Stelle oder Interesse aller Benutzer und Verbraucher. beeindruckend und zugleich sehr vielseitig aber vom staatlichen Hygieneinstitut und Das alles bedeutet gute Zukunftschancen dem tierärztlichen Laboratorium für einen verdienstvollen Jubilar, der sich in Zur Erleichterung der Versorgung ist durchgeführt werden, nur in wenigen der Vergangenheit konsequent den Fallen Anlaß zu namhch vor nunmehr einem halben Beanstandungen geben. Anforderungen seiner Zeit angepaßt hat bleibt für Jahrhundert em wochentlicher und der auch künftig offen jeden Schlachtviehmarkt eingerichtet worden. Er Das Schlachthofpersonal vernünftigen Fortschritt. ist der Treffpunkt, an dem die Viehagenten wischen den Landwirten und den Ein Betrieb, der die Größenordnung' des Metzgern das Schlachtvieh vermitteln. Hier Hollericher Schlachthofes erreicht, bedarf werden ebenfalls die angelieferten Tiere einer ausgedehnten Infrastruktur. Dazu unverztiglich einer tierarztlichen gehören nicht nur ausgefeilte, moderne Untersuchung unterzogen. Bei dieser technische Anlagen, dazu gehört vor allem lebendbeschau fahndet der Tierarzt nach ein umfangreicher, hochqualifizierter Anzeichen von Seuchenerkrankungen. Er Personalbestand. Diese Voraussetzung ist achtet auf den Gesundheitszustand der in Hollerich gegeben. Allein im Dienste der Tiere, prüft, oh sie durch den Transport Stadtverwaltung stehen 24 Personen: drei erhitzt sind, verordnet gegebenenfalls eine Tierärzte, zwei Verwaltungsbeamte, acht Ruhepause. Diese Lebendbeschau ist Techniker, zehn Arbeiter und ein

22 Trémont und unsere Briefmarken

Es darf einen schon wundernehmen, daß ein national und international anerkannter Künstler erst über ein halbes Jahrhun-dert alt werden muß, ehe er vom eigenen Staat mit der Anferti-gungvon Briefmarken betraut wird. Damit soll beileibe nicht gesagt sein, dieser Staat habe den Künstler vorher ganz ignoriert! Nein! Das entspräche nicht der Wahrheit, da eben vorher schon manche Staatsaufträge an den Künstler gingen für Bauornamen-tik,freistehende öffentliche Skulpturen und sogar für eine Geldscheinzeichnung. Nun ist aber gerade der Anerkennungs-undReklamewert der Briefmarken nicht zu übersehen, da auf den Briefmarken der Künstlername staatlicherseits millionenfach land- und weltweit in Erinnerung gerufen und, im nachhinein, ebensooft in Briefmarkenkatalogen wachgehalten wird. Eine billigere oder verbreitetere Kenntnisvermittlung über ein artisti-schesOeuvre gibt es nicht!

Trémont zeichnete ebenfalls diesen Ersttagsstempel. Anderthalb Monate später wird er den Kopf des heraldischen „Roten Löwen" als Briefmarkensujet verwenden.

Der Muttergottes-Block des Jahres 1945 ist vielleicht die anekdotenreichste all unserer Briefmarken. ihr Postverkaufspreis von 100 Franken, davon 50 F Frankaturwert und 50 F karitativer Zuschlag, ist bis heute Rekord. POSTE5 Dem Zeichner brachte sie 5 000 F ein und i!UKRBO R dem Stecher den Ruf, ein Bravourstück geleistet zu haben, das Bild einer katholischen Heiligen, welches ihm später, laut eigenen Worten, einen islamischen Orden eintrug. Die Briefmarke mußte ungezihnt verausgabt werden, weil dem Hersteller damals kein der Briefmarkengröße angepaßtes Zähnungsmodul zur Verfügung stand. Die monatelange Verzögerung der Ausgabe führte zu ungehaltenen „Briefen an die Redaktion". Um das genaue Ausgabedatum wird übrigens heute noch in Sammlerkreisen gestritten. In rauhen Mengen eingekauft, wurde der ungestempelte Block zum Schulbeispiel einer verfehlten Briefmarkenspekulation. Zuguterletzt wurde das Madonnenbild durch zahlreiche betrügerische Abstempelungen zum Risikoeinkauf.

23 Säugetier, Fisch, Vogel, ein Querschnitt durch das Tierreich, wie man ihn von einem „Animalier" erwarten darf. Der Zaunkönig befindet sich auf der letzten von Trémont gezeichneten Briefmarke.

Auguste Trémonts Briefmarkenepoche arbeitete, wo die meisten unserer ersten uns ebenfalls noch keine Analyse und beginnt kurz nach der Befreiung und Nachkriegsausgaben gedruckt wurden. künstlerische Würdigung der spannt sich über ein Dies vereinfachte die Zusammenarbeit Trémontschen Briefmarken zu Gesicht Vierteljahrhundert. In den Jahren von mit den Stechern und den Druckern. gekommen. 1945 bis 1970 hat Trémont sechzehn An manche Trémontschen Thematisch gehört der Großteil der luxemburgische Briefmarkenausgaben Briefmarkenausgaben knüpft sich eine Trémontschen Briefmarken zu den entworfen, gezeichnet oder Künstleranekdote an. Der einen oder „Luxemburgensia", zu Heraldik, mitausgearbeitet. Insgesamt 34 Sujets andern Briefmarkenausgabe gebührt Brauchtum, religiösem Leben, auf 52 Briefmarken, wohl ein Rekord. ein eigenes Kapitel in der Geschichte Zeitgeschichte, Volkswirtschaft. Wir Genaue, detaillierte Angaben über die der Post und der Philatelie. Von den 16 sehen Porträts, Szenen, Allegorien. Auflagehöhe der einzelnen Biefmarkenausgaben bestehen deren 9 Landschaftsbilder sind ebenso Briefmarken fehlen in den Katalogen. aus Zuschlagsmarken, die z. T. dazu vertreten wie Industrie- und Aber aus den dort vorliegenden Zahlen dienten, den Fonds der Weihnachten Gebäudezeichnungen. Gezeichnet sind kann man errechnen, daß die 52 1944 in London ins Leben gerufenen Menschen, Dinge, Tiere. Die Breite der Briefmarken in gut etwa 20 Millionen Oeuvre Nationale de Secours Grande- Skala eines Alleskönners! Exemplaren gedruckt wurden. Duchesse Charlotte zu speisen. Dem Tiere! Der Tiermaler, -zeichner und Briefmarkenzeichner Trémont wurden -bildhauer der wohl Trémont mag anfangs zugute par excellence, gekommen sein, daß sein Patriotismus selbstverständlich schon Beiträge in ebensoviele Säugetiere, Vögel und nie in Frage stand. Auch daß er in Paris einschlägigen Veröffentlichungen Fische abgebildet hat, wie Brehms gewidmet, so in der Post- Tierleben Wörter zählt, hat ebenfalls Sondernummer der Cahiers vor allem den Tierabbildungen einen Luxembourgeois des Jahres 1952 und, hervorragenden Platz auf den 1979, im Moniteur du Collectionneur, Briefmarken eingeräumt: Heraldik dem Organ der einheimischen einbegriffen, haben zwei Drittel der 34 Briefmarkensammlerföderation, und Briefmarkensujets so oder so mit zwar anläßlich der Ernennung Tieren zu tun. So bleibt denn auch in Tremonts und seiner Gattin zu der Vielfalt der Briefmarkenthemen das Ehrenmitgliedern der Union des Cachet des „Animalier" erhalten. Timbrophiles de Luxembourg, der Das Internationale wird auf einigen ältesten luxemburgischen Briefmarken betont, aber immer im Briefmarkensammlervereinigung, die Zusammenhang mit Luxemburg. Rein heuer ihr 90stes Wiegenfest feiert. internationale Briefmarken, solche für Jedoch in andern Veröffentlichungen, die Vereinten Nationen, kamen nicht die sich mit der Biographie und dem über Wettbewerbsentwürfe hinaus. Werk des Kiinsters befassen, fehlen Die Ausführung der Marken erfolgte unverständlicherweise Hinweise auf teils in Stich, teils in Helio, ein- oder diesen Aspekt des Oeuvre. Bisher ist mehrfarbig, je nachdem.

24 Der Ausstellungsblock des Jahres 1946 zeigt eine Montanindustrieszene, wie sie der Künstler dreißigJahre vorher oft Gelegenheit hatte, in Düdelingen zu beobachten. Sie darfals philatelistisches Gegenstück zum numismatischen Puddler angesehen werden, den man auf den luxemburgischen Ein- und Zweifrankenstücken der Jahre 1924 bis 1964 vorfindet.

Insgesamt betrachtet, wären so die Briefmarken dazu angetan, den Zeichner und den Maler Trémont wiederzugeben. Die preislich günstigen Briefmarken erlauben es jedermann, sich zuhause ein kleines 52teiliges Trémont-Privatmuseum anzulegen. Fügt man ihnen noch drei nicht von Trémont selbst angefertigte aber drei seiner Skulpturen zeigenden luxemburgischen Briefmarken hinzu, so hat man ebenfalls den Bildhauer Trémont in der eigenen Sammlung. Allerdings muß man sich davor hüten, in den Briefmarken die künstlerische Persönlichkeit des Autors voll und ganz herausschälen oder erkennen zu wollen, da, in der Regel, dem Künstler in die Ausführung der Briefmarken mithineingeredet worden ist von der Postverwaltung und den Druckereien.

Niedrigst- und Höchstwert der 4 Marken begreifenden Ausgabe touristischer Landschaftsbilder aus dem Jahre 1948. Die 7-F-Marke, nach einer Aufnahme Bernard Wolffs aus dem Jahre 1906, wurde nur relativ kurze Zeit verausgabt, während die 20-F-Marke bis weit in die 70erJahre hinein an den Postschaltern erhältlich war.

A l'occasion de l'exposition rétrospective Auguste Trémont (du 22 mars au 20 avril a la Galerie d'Art Municipale - Villa Vauban), la Section des Arts et Lettres de l'Institut Grand-Ducal vient de publier, avec le concours de la Ville de Luxembourg, une réédition du livre de Georges Schmitt (photographies: Marcel Schroeder) sur Auguste Trémont. Cet ouvrage est, par son format, le choix et le nombre de ses illustrations et sa reliure, totalement différent de celui paru en 1975 (et qui fut rapidement épuisé). En effet, il comporte 144 pages (format: 27,5 X 23 cm), dont 12 avec des reproductions en 4 couleurs et 74 avec 80 planches en noir (peinture, dessins, gravures, sculptures). Imprimé sur papier couché 170 g, avec une reliure pleine toile, revêtue d'une jaquette en couleurs, ce livre est en vente à la Villa Vauban pendant l'exposition Trémont au prix de 1020 francs. Barrès (Rue Maurice) Verbindet die Route d'Esch mit der Was bedeuten Rue de Cessange. (Cessingen) die Straßennamen Französischer Schriftsteller (1862- 1923). Würdigte u.a. unsere der Stadt? Mosellandschaft.

Barrière (Rue de la) Während der deutschen Besetzung: Schrankenstraße. Verband früher die Route de Longwy mit der Rue de Cessange. (Merl-Cessingen) und ist heute durch das Autobahnnetz unterbrochen. ca' Benannt nach der früheren Eisenbahnschranke der Strecke nach Béatrix (Rue) Arlon und Longwy. Verbindet die Route de Longwy mit Badesse (Rue François) dem Boulevard Marcel Cahen. (Men) Verbindet den Boulevard Prince Felix Beatrice de Bourbon (1316-1383) war mit der Rue Jean-Pierre Sauvage. Bastogne (Rue de) die zweite Frau Johanns des Blinden, (Kirchberg) Früher Rue du Lavoir. Während der der sie 1334 heiratete. In Prag wurde deutschen Bastnacher Geboren 1896 in Bettemburg, Besetzung: sie 1337 zur Königin gekrönt. Mutter gestorben 1967 in Paris. Arzt, Straße. Verbindet die Rue de Beggen Wenzels I. Krebsforscher und Leiter der mit der Rue H. Dunant (Beggen). Bastogne gehörte bis 1839 zu radiologischen Abteilung der Pariser Beaumont (Rue) Fondation Curie und des Hôpital Luxemburg. Von 1798 bis 1807: Rue de la Liberté. Américain. Verbindet die Avenue de la Porte- Baudouin (Rue) Neuve mit dem Theaterplatz. (Zentrum) Baden-Powell (Boulevard) Verbindet die Route d'Esch mit der Rue de l'Aciérie Graf de Beaumont, Sohn des Prinzen Führt von der Rue Pierre Krier in (Hollerich). Balduin von von Chimay, war 1668 Richtung der Rue Jean-Pierre Pier. (1285-1354), Erzbischof Trier und war Festungskommandant und von 1676 (Bonneweg) Kurfürst, der Sohn des Grafen Heinrich VI. Als bis 1684 Gouverneur des Herzogtums Engländer. Gründer der Staatsmann, und Gelehrter war er berühmt. Luxemburg. In dieser Straße befand internationalen Scoutbewegung (1857- Stratege Er liegt im Trierer Dom begraben. sich während der Festungszeit die 1941) Militärbäckerei.

Bains (Rue des) Beck (Rue) Verbindet die Rue Aldringen und die Während der deutschen Besetzung: Avenue Amélie mit dem Bäderplatz. Beckstraße. Verbindet die Rue de la (Zentrum) Poste mit der Grand-Rue. (Zentrum) Benannt nach der an ihr liegenden Johann Beck wurde 1588 im städtischen Badeanstalt. Stadtgrund geboren und starb 1648 in der Schlacht von Lens. Seiner militärischen Erfolge wegen und weil Baldauff (Rue) er ein Komplott Wallensteins gegen Verbindet die Rue Marie de Zorn mit den Kaiser vereitelte, wurde er von der Rue Jacques Stas. (Gasperich) diesem geadelt und zum Reichskanzler Die Wohltäterin der Stadt Luxemburg ernannt. 1642 wurde er Gouverneur Mme Caroline Baldauff-Rothermel von Luxemburg und Chiny. lebte von 1866 bis 1936.

Barbie (Rue Nicolas Ernest) Führt von der Rue Pierre Federspiel zum Centre Hospitalier. (Rollingergrund) Der aus Strassen stammende Ingenieur und Konstrukteur Nicolas Ernest Barblé (1837-1915) war von 1904 bis 1914 Schöffe der Stadt Luxemburg. 10.

1st". RLLS oz. SLILi. DE xr....-;-arewerEr orrislar Ercifitra C..tr GS.A.u..sr COL.IAKELAL.I(LREG I th, us run Ausavavs ,f/AVICC ns.in Arn 'Got , LT CA 7orVr n, ,,,, 0v."/, I.V Nt: L Beethoven (Rue Ludwig van) Berlaimont (Rue du Fort) Dirthon (Rue Mathias) Verbindet die Rue de Gasperich mit Verbindet durch das Verbindet die Rue Henri Pensis mit der der Rue Christophe Plantin. Verwaltungsgebäude I auf Kirchberg Rue du Père Raphaël. (Gasperich) die Avenue John F. Kennedy mit der 1598 gründete Mathias Birthon die Deutscher Komponist. (1770-1827) Rue du Fort Thungen. (Kirchberg) erste einwandfrei festgestellte Das Fort Berlaimont (Fondation Druckerei in Luxemburg, die nach Beggen (Rue de) Pescatore) wurde nach dem Grafen seinem 1604 erfolgten Tode von seinr Führt von der Rue d'Eich nach Florent der Berlaimont et de Lalaing Witwe bis 1618 weitergeführt wurde. Walferdingen. (Beggen) (1550-1626) benannt, der von 1604 bis Er war 1598 und 1599 Schöffe der Stadt 1607 Gouverneur von Luxemburg war. Luxemburg. Beggen gehörte bis zur 1921 erfolgten Eingemeindung zu Eich. Bertels (Rue Jean) Bischoff (Rue) Beicht (Rue Jean-Pierre) Zweigt von der Place de France zur Verbindet die Rue Lamormesnil mit Verbindet den Square Edouard André Rue Marguerite de Bragance ab. (Merl) der Rue de Laroche. (Weimerskirch) Bertels mit dem Boulevard Pershing. Jean (1544-1607) wurde 1573 Jean Bischoff war von 1443 bis 1462 (Limpertsberg). Abt von Neumünster und 1594 Abt geschworener Schöffe der Stadt. Jean-Pierre Beicht (1869-1925) wurde von Echternach. Er verfaßte die bekannt als Musiklehrer, Komponist aufschlußreiche „Historia (Letzebuerg de Lëtzebuerger) und Luxemburgensis". DisserzvegBisserwe langjähriger Domorganist. Führt von der Alzette-Brücke im Stadtgrund nach Pulvermühle. (Stadtgrund) Bender (Rue) Wahrscheinlich abgeleitet von Führt vom Wallis-Platz zur Kreuzung Büsserweg, wegen der dort Rue Neipperg/Eisenbahnbrücke Rue durchziehenden Prozessionen. des Trévires.

Blanc (Rue Pierre) Verbindet den Boulevard de la Fraternité mit der Rue Auguste Charles. (Bonneweg) Porträt- und Landschaftsmaler (1872- 1946).

Bertholet (Rue Jean) Unter der deutschen Besetzung: Benannt nach dem österreichischen Arnold Lewald-Straße. Feldmarschall Blasius Columbanus Verbindet den Boulevard Grande- Baron von Bender (1713-1799), der Duchesse Charlotte mit der Rue Ernest vom 21. November 1794 bis zum 7. Koch. (Belair) In Vielsalm in Belgien Juni 1795 die Festung Luxemburg 1688 geboren und in Liége 1755 erfolglos gegen die französischen gestorben, verfaßte Jean Bertholet Revolutionstruppen verteidigte. Diese während eines längeren Aufenthalts in zwangen die Stadt durch.Aushungern Luxemburg eine von 1741 bis 1743 zur Kapitulation. Bender war letzter erschienene achtbändige „Histoire Zivil- und Militärgouverneur des écclésiatique et civile du Duché de Herzogtums Luxemburg. Luxembourg et Comté de Chiny". Bleuets (Rue des) Zweigt von der Rue des Muguets nach Bellevue (Rue) Beving ab. mit der Neudorf (Neudorf) Verbindet die Rue des Cerisiers (Rue Marguerite Séraphine) Rue des Glacis. (Limpertsberg) Verbindet die Rue du Cimetière mit der Rue E. d'Huart. (Bonneweg) Blochausen (Rue Félix de) In Echternach 1818 geboren, schon mit Verbindet die Rue de Bonnevoie mit 26 Jahren Witwe von Pierre-Antoine dem Boulevard de la Fraternité. Pescatore, widmete sich Marguerite (Bonneweg) Séraphine Beving der Armenpflege, Félix de Blochausen (1834-1915) war gründete das Waisenheim in Itzig und von 1866 bis 1867 Minister und von das Altersheim in Grevenmacher. Sie 1874 bis 1885 Staatsminister. starb 1875. Eigentümer von Schloß Birtringen. Aus dem Jéinesche sin ower en etlech Ausdréck an eis „normal" Sprooch eragerëtscht; a mir gebrauchen se, ouni emol ze wëssen, datt et jéinesch Wiirder sin. Rondrëm eis Sprooch an creléinescht Wa mir mengen, all Fransous géng jidfer Wuert kennen, dat am Larousse steet, da si mir um Holzwee; datselwecht kann een an deem Streech fir aditschland, England, Italien oder aner Länner soen. Grad esou koppeg as et, fir unzehuelen, datt jidfer Lëtzebuerger kënnt oder misst all Wuurt aus eisern Dictionnaire verstoen, oder esouguer gebrauchen. !Tr, Och bei äis gët et no de Géigenden, den Uertschaften an dacks stroosseweis déi nëmmen a soss Ausdréck, do, De Professer Jos. Tockert, e geléierten néirens am Gebrauch sin. Dat weist an op vil! Manéieren intressante natiirlech datt och hei bei äis drop hin, Mënsch, huet d'Jéinesch op d'Fieder am ewei an anere Länner „Mini", grad geholl, an dat vum Lakersch mus am Zort „Maxi" eng Mëttelsprooch zesummegeraf, wat nach do war besteet, an datt déi sech duerch Radio, („Vierteljahresblatt der Luxbg. Zeitung a Beruffsverkeier nach ëmmer Sprachgesellschaft", 1937/38). Haut weider opdeet. Wat heescht „Staadter, fanne mir nach Leit, déi sech d'Lëscht .. ."? Veianer, Wëlzer, Iechternacher vun deenen Ausdréck eirewou Dat sin dacks nëmme verschidde jo erausgeschriwen hun; anerer versuergen och wann Parti Klank-Faarwen, eng eng verknujhelt wei en Wiirder hei oder do hirt Nascht Copie speziell Testament ... dofir hu mir et hun. geduecht, wir vläicht nët vu Muttwëll, wa mir Iech Et gët, loosst mer léiwer soen, et guf hei an dëser Zeitung d'Lëscht vun deene ower hei zu Weimeschkiirch eng jéineschen Ausdréck génge gin; vläicht „Sprooch", vun deer dacks geschwat kritt Dir och Spaass domat. gët, wa vu Lëtzebuergesch rieds geet; 1.r. eng Sprooch, vun deer emol hei een e Wuurt weess an aus deer do een e Saz

kennt ... d'Sprooch selwer as praktesch mat deene Leit vergaang, déi „d'Lakerte" genannt gufen. Dovu koum och hiren Numm: Lakerschmus, nach besser bekannt als „Jéinesch". Loosst mer et gläich soen, datt d'Jéinescht am Joseph TOCKERT Fong näischt mat eiser Sprooch ze din LINGUISTE ET FOLKLORISTE LUXEMBOURGEOIS hat .. . dat war säin Zweck . . . jo grad 1875-1950 et sollt jo just kee verstoen, wat d'Lakerten ënnert sech gemauschelt hun!

28 jenssen = kräischen, jéimeren Jéinesch oder Lackersprooch Jitzert =- Baartmëcher / Straubejitzert = Haarschneider mat den vum Professer Tockert zesummegesat Opzeechnungen Jos. Jok = Preiss Juchem Wäin / Juchem stäerkt de Knëff achelen =- iessen Fënn -= Pond Wäin stierkt de Mënsch = bachelen = machen, reenen fitschen schmeechlen pippi = = = en kächelen keichen bäikäntech = dobei sin, mir hocken b. Fitschert dreckege Schmeechler houschten, = = och Schéiwerlek mir sëtzen zesummen / Scheif b. Flachert Teller Käckelcher Aen, flanzen = / De Grandi- Kaffert -= Bauer komm mi no / Span de b. gëf uecht op maachen, spillen = -= = domme Kierel den do sehe flanzen bretzen Käilef uergt Päerd = Katt = Mark / Kattchen = 50 Pfenneg Batz = Kaffi, och Zäppchen Flapp Patent = = = Flodi Waasser Keff Hënner bauen: e kritt Mackes gebaut e get flosseren -= reenen = maachen Kibbes = och Hibbes zerschlon, e kritt d'Streech pippi (och Kapp, bedoften bestueden nach bachelen) Kis = Geldbeidel = WC Kitt = och Zaster / Kitten beieren = stierwen, kabott gon / den as Flosserkusch (pissoir) Suen, Geld, = = = Flossert och d'Suen afhuelen den as dout / méng Trëttleke Waasser, Flosswaasser, zoppen gebeiert -= = Floss oder Steen Kittenilles Portmonni scheffe gebeiert meng Schung sin zrass = Fësch = / = Päerdsfleesch Flossestrummer Kittchen Prisong, och Hôtel Misär gebeierten Trappen = = = = Fock / ech hu Fock ech sin klaatscheg Fra Beies = Haus / Schontebeies WC Honger Kläftchen Klaatsch, klauen = och = schwäätzen / Strumm hongreg stielen, gannefen beinen, béngen = = = lonken kachen Klauner, Klanner Bochs, Kostüm schibes a béng nobes maach dech Fonkert = Feier klausen = nolauschteren / Knëffercher ewech a so naischt Fonkes, Friddmëcher = Matratz klausen = lauschtere no bekan = do sin / Scheff bekan komm d'Jonge = -= Kléck, Kläck Auer, och Téckerchen / heihin / D'Zankerten hocke bekan = Gaatscher Kand = Gaatsert, d'Kléck kuck op d'Auer d'Gendaarme sin do = Span op Galschter Kand Klecksen = Leis -= bedrecksen = beschonten beklaatschen, -= Här Gallach Paschtouer, geestlechen Kleis = Mëllech uschmieren = Kand watt Kand, Schoulkand, = och Kittchen oder -= mat beliich- Galpes Klemmes Prisong, besténkeren engem Känki leeft ten / de Schuurk besténkert Hôtel Misère Span, dass = Kand, Schoulkand klénken -= = Won beliicht Gampes sabbelen, schnuddelen hockt, gëf uecht datt dai / = stehlen Gannef Déif gannefen = Schnuddeler as Klénkert Sabbeler, -=- / = e Gatsch e Mann Kowwergatsch Kloft = Kleedong Bëttchen = Ee (oeuf), och Datzelchen Wiirt Klont = schmuddeleg Fra = nach eng Bich Geld, och Mécken, Péil, = / mer Gatt den Hënneschten Schmonk Knecksert = Noss Wäck, Goss, Drot = Knapp, ... Spéin, de Gatt leck mech am A = staarke = Knëff jonge Kerel, Jong Blénkert =- Gattschmonkert en dreckege Schmie- knausen = verstoën / Bloën, de bloën Zwir = Schnapps / E kneisen, kennen, rert knaus du deen Hautz = kenns du dee Kattche Bloën = e Kareli. Och nach: E Gaudi -= Taschemesser. Och Kniffo Mann Gefénkelten oder Schnorri, Schnorres = Gefaach Dueref Kniffo = Täschemesser. Och Gaudi Schnikkes = Gehechelten Kuch Knutsen = Knachen = = / Schanken, Bolt Bett Tisch An de B.strummen = Gieten Goldsteck = Wiirt = Wiirtshaus -= / am Kowwergatsch schlofe Masommen = goën Quant Girel Säitentäsch = = Kräbbelcher Wandleis B. vil! Suen an der Tlisch = Gendaarm Drëppche vum Su = = eng Kräbleken Filzleis Bosse! Kuerf fir Uebst = = Glanzert Fënsterscheiw Spigel Kribänksklëmmer = Dirwiechter Bossert -= Fleesch Brëll Krommen = Hues Bott = Schmier Glëmmerkusch = Kichen = = kuffen schloën, zerschloën, leën / botten iessen achelen) = (oder Glëscht Kiirch zoukuffen = zouschloën / verkuffen = Bottert Fréisser / Fellekeschnallbottert Glimm = Feier = zerschloën Gromperenzoppsfréisser Glimmert / Glëmmere,-.11 = Uewen Kufferlek = fir ze werfen hongreg Steng bottlakeg Globopsiechter = Zyli.iderhutt Kuffert ---- e braukes = och schauten Kläpper geckeg, Goi = fromm Fra / Den l Bréimer séng Goi Kuffes = Bréimer = Paschtouer Kläpp = Paschtoësch Kächen = Haus = Zëmmer / Glëm- -= Kusch klengt Brillassei Brach = Goussert Dëppegéiss / = = merkusch Kichen Limrnerkusch Bugger Jong / kranech = grouss, dichteg / Si Bakes / Schlummerkusch = Schlofzëm- =- granech Butzert Polizist = hockt kranech si as dichteg mer / Schondkusch = WC och Däll, Dälichen, Dëllchen = Meedchen Grëffleck -= Hand Schonte-beies Dätzelchen Ee (oeuf) wéi Bëttchen Kuwweler = Schënner Delleri Hutt hannerkäntech = hannebei Lack = Karbrantwäin dibberen = schwätzen / dibber nobes = so Härlek / Harrlek -= Kou lacken, belacken = mat Brantwäin voll- näischt Hautz = Papp, elere Mann, Bauer / De maachen = heeschen Grandechen Hautz =- = diichten Grousspapp Lackert =- Brantwäinsëffer Dobberech = Tubak. Och Schmächert Här groussen Laken = Lompen docken -= = Geck gin (donner) Héijel Lakert -= Lompekréimer / Lakersprooch, = schéin / En Dellchen = e = geckeg doft gutt, doft héijelzech (och braukes) Lakerschmus = Gaunersprooch schéint Meedchen / E schaskelt doft — helleres = hei / Ech scheffen helleres = Lassei = Mëllech, och Kleis en drénkt / Doft beschaskelt = MI sin hei gutt lau = neischt / fir lau = fir neischt Hëtzerlek -= och Glëmmerech besoff Uewen, = Bauch. Och nach = Leibes, Leiper Raipert, Doft = Kiirch. Och nach Glëscht oder Hibes, Hibbes Kapp Raipes, Wammes Hock -= Schlofkummer Schapell Leimes = Hiem = Leinduch / de Leimes = Int hocken =-- sëtzen = stoën = sin / Drecksbratschel (canard) beschonten = d'Hiem bedrecksen / de Drot = Geld / Granechen Drot = viii D'Zan-kertenhocken bekaant = d'Gendarmen Leimes begowen -= idem Geld / boren Drot = Bargeld sin do / En hockt pleiten = en ass dout Lësch = Stallanter, Lanter fir e Won / kuff Holter = Meeschter Falz = Dir d'Lësch aus = maach d'Luucht aus (porte) =- Horcherten, Horchleken Oueren = = Farek = Merkel / Fareke = Fierkel Uscht Dir / kuff d'Lëscht maach passen Hornéckel --= Ochs, Stéier kafen d'Dir op Hôtel Misère / Kittchen = = Prisong = Fei Drénkgeld / déni hockt keng Fei am Lëtzel Harmonika = Nines = dee gët keen Drénkgeld iiwerach = schiiwerach Lëtzert Musikant, Spillman Feling = Uhr Liefchen = Pond Felleken = Gromperen / Fellekeschnall = jaukert = deier' Limm = Brout / Limmerkusch = Bakes Gromperenzopp Jempi = Gendaarm, och Zankert Limmerok = Bakuewen

29 Mackes = Schléi = Streech Schécks Meedchen Spraussen = Miwclen / Quant Spr. = mackessen Streech gin -= schloën Schéck = Nues schei M. manke schéiwen = heesche goën Scheepchen, Schaipchen klenge ronnen Spréngerleck = Flou manken ---- heeschen och aarmséilege Keerel Spreuss Fett / spreiselen = mat Fett Mankert = Heeschesak scheffen, schëffen verstoën / De Knëff besprëtzen / gespreusst = fetteg Masik = e këppegt Nerd, e Geck schefft Batze vun nobes Stapp = liichtsënnege Mënsch Masommen = Suen = Geld Schëffleken = Schong, och Trëttleken stappes = verbassen Meckes = Mo Scheifleken = Strëmp Stëbs = Miel Mëschelen = Quetschen Scheiwerlek, Scheinerlenk = Aen, och stécken = gin / stéck mer e puer Kitten = Meter = Frang Käckelcher / E spaant mat de Scheinerle- gëf mer e puer Kitten Méweri, Mewerech, Méwertchen Kaz ken -= e kuckt genee no / Scheiwerleken Stëfft Léieriong Sparfeiss = Oueren, och nach Horchleken Stenkert = Petrol / Stall Miff = e Peggi Schéiwel = Appelkuerf Stillchen = Klischten Milott = Herrgott schéiwen = fortgoën, fortlafen / Schéif Stomp = Ierger / stompen streiden Moss = eng Fra, eng Mamm swënns = maach dech ewech / Schéif Strauberten, Straupleken = Haar / Strau- mosselen = schwetzen och dibberen quant = addi / Ech schéiwen platteren bejitzert = Coiffeur Muskei = Dreck -=- ech spine mat der Kaart Stréimleken = Been, och Schreckeisen Schëttelplak = Teller och Flachert stroumen, stromen = lafen = Nennert = Bébé, Këndchen Schibes man = fortgon Stroumert, Strummert Handwierks- Nilles = e Sak, Portemonni, eng Boll oder schiiwerach = virun / Den Trappert sché- borscht = Humpen en Nil les Plempert = en ift quant schiiwerach = d'Paerd geet gutt Stuurz Kap Humpe Beier Schineejel =- Aarbecht / schineejelen = swënns = fort, weg / scheif swënns = = maach dech fort Nisch eng Drepp schaffen = neischt nobes schlommeren = schlofen nobis, nobes gedibbert Talentekëscht = Hauseierkaschten = neischt Schlummerkusch = Schlofzëmmer gesot = Kaz, och Schmäch = Paif och Tappféischen Sparféiss eng Schmuergel Téckerchen = Auer och Kléck Schmächert = Tubak och Dobberech Oltemësch, oltesch, ooltesch = al / Den Trëttleker, Trëttleken, Trazleken = schmoren = drénken, iessen Oltemesch = schmorren, oder Feiss Oldméscher, Papp, och raachen Schong / Dé, Oltesch = trommes = drei / Trommesblietchen = Mëscnter, Grousspapp = Zocker Schmëlzerlek och Schmëlzert Kléiblat Groussmamm och Séisslek -= Danz Schmonk = Botter och Ham Tschikängi = flécken, Schong flécken Fett, Speck, pachen Schmuckert -= Kuss Pachert =- fléckschouster uewerkäntech = bäikantech Schmull = Mond / Kuff d'Schmull = hal passen -= kafen / verpassen = verkafen och bestueden de Mond verankeren = verkafen och verkinnijen Schmus = Geschwätz = = huelen / = verkneisen verstoën, och kneisen pecken Schondpeckert = = Grom- = Drecksack Schnall Zopp Fellekeschnall verkuffen zerschloën, och kuffen = och Peckes, Peckes = Schnaps. Och Bloen oder perenzopp verpassen verkafen, passen verzénken = sech de Wee mierken, Schnorri Schneiwert = Gesucht lo kriss de de = zeechnen Pénkert, Pénkes, Pinkes Protokoll Schneiwert gekufft = lo kriss de Gesi- Penn = Auberge icht zerschlon Walterten, Waltecher = Leis Pläffert, Plëffert = e Frang Schnick = Schnaps, och Schnicki, Schnor- Wammes = Bauch, och Raipes, och = Platteren, Plättercher Kaartespill res, Bloën, Peckes Raipert plaite scheiwen sech ewechmaachen, Schnock, Schnockert = Polizist oder Wammesch = Kostiim / wammeschen = stierwen Butzert sech kleeden / En hockt quant gewam- plattféissen danzen Feb schéiwe mat schnoll = vill Dat hockt schnoll = et as mescht =- en as gutt gekleed, och der Schécks plattfeissen = ech gi mam vill do wanefen, wanneschen Meedchen danzen Schnorri, Schnorres = Schnaps, och Wëllem = Groschen / Wëllemchen = Plauten = Offal! V Woll Schnick halwe Sou Plautert = Plakapp schnuffen = stielen och zoppen Wintës = 20 F a Gold Schnuffert = Déif = Flou festhuelen / = Plautespéngert Schnut = Schnëss zaangen Zaangert = Beier Genda arm Plëmpert Scholleken = Gromperen och Schackel- Pokes = Tisch = Gendaarm cher an och Felleken Zankert, Zaangert Poufert -= Revolver oder lient zantes = honnert. Och mai Schont, Schontes = Schontwur oltemë- = och oder sche Schont --= aalt Eisen, Dreck, Zäppchen Kaffi, Zëppchen quant gutt, schein Batz = Geld Sch. . . dreck Quatz(en) Zaster = Geld, och Kitt e Schontkeckert Drecksak Quikert \Jun = = boeien, stielen / zop- = = Fouerman mat Päerd zoppen Humpen Quinn Hond, Quinnert, Quinnchen Schoupert / as = as Schréckerten = och pen gezoppt gezoppt gespillt e klengen Hond Schreckeisen, Been, (beim = e Stréim leken gespillt Kaartespill) Quonkert Fixspoun = =- = Zossem Páerd, och schuffen schaffen / schuff dech pass Trappert zwëss = zwe Raipert = eng Tasch och Bauch op, kuck mol, hal stëll = Bauch. Och Leibes Schuurk -= Won, Kar / dass de Raipes Span : -= = -= -= Zuelen 1 2 bäis, 3 kimmel, = hockt kuck datt ënnef, Reedel e Reedel Dobberech Schuurk bestenkert = eng Staang 4 = dolles, 5 = häi, 10 = jus, 20 kaff, = Tobak de Won belucht as eng Staang 30 = 50 = non, 100 = mai, Schwenk = Siessel lammets, och zant Salem = Hierk Schwiftche = Judd Schachtert = Händler, Aarbechter / Hu- Séissleck = Zocker, och Schmelzerléck Sä t z : Knëff, dibbert den Ooltert zu sén- urteschachtert = Kuerfmecher Soten, Sotes = Deiwel och Stäppche / De gem Bugger, steck mer méng Schmuergel Schackelcher Gromperen och Felleken Sotes bekaant dech oder de Stäppche a main Dobberech, da gëtt emol eng Schapell Kiirch och Doft oder Gléscht schuppt dech = I )en Deiwel hëlt dech geschmorrt. Sou, dat as quant! Nu stéck Schask = Besoffenheet E schaskelt doft sott = domm mer och nach Quonkerten. = en drënkt Souter = Salz gutt Déi baikäntech Schécks huet kaff Liefche schaufel = krank, schlecht ./ E schefft = z. schma- spanen kucken, oppassen eng Stëbs Si huet dem Hautz et fir = et him schlecht = e falsche Bieck geschuppt. schaufel geet per Span Meter verankert. Schaufele Masematten = Schlecht Sparfeiss, Spaassfeiss = Kaz, och Tap- jus Ge-schaften feisschen, och Mewerech E Galpes mat Klecksen, deen hockt gesond, Schautert = Geck, e rosent Nerd schau- Speessert = Fett och Spreuss eng Moss mat Kräbleken, déi hockt eng tesch = geckeg Spëtzlecken = Huewer Mont.

30 Bibliothèque Municipale Nouvelles acquisitions Matthias Mander Etonnante odyssée, propre à. donner, Florence Trystram: „Der Kasuar" Roman comme le souhaite l'auteur, le goût de Le Procès des Etoiles l'aventure. Mais aussi le de la Ed. Dieser der als literarische goût Seghers (276 p) Roman, science et de la comme le Sensation des im ist poésie, La réalité la fiction! Ce «Récit Jahres Gespräch dans sa Haroun dépasse souligne préface de la trois und dessen Autor an die Seite von Tazieff. prestigieuse expédition de Broch und Dorerer gestellt wird, soll savants français en Amérique du Sud et nach der Absicht des Haupthelden, des mésaventures qui s'ensuivirent, Rausak, ein Lebenslehrbuch für seine 1735-1771» se lit comme le plus Kinder sein. Rausak fertigt Listen mit captivant roman de Jules Verne. Et den Lebensdaten wirklicher Personen pourtant, ici, rien n'est imaginé, rien an, die klassifizierende Überschriften n'est rêvé. die Toten, die die tragen: Religiösen, Envoyés en mission officielle sous Künstler, die Liebenden, die Fachleute, l'équateur pour y mesurer un arc du die die die Politiker, Irren, Schlechten. méridien terrestre, ces académiciens Das ganze Werk ist in sieben Bücher ont su mener à bien leur tâche et deren erstes eingeteilt, Überlegungen rapporter une masse de renseignements über diese Listen enthält. Die scientifiques. Mais leur expédition fut sind betitelt: folgenden Vorberichte, aussi, et avant tout, une exceptionnelle Berichte, Klagen, Preisungen, Briefe, épopée, une suite d'aventures, parfois Die Personenfülle ist Stylen. comiques, le plus souvent tragiques, de beträchtlich und umfaßt viele luttes et d'épreuves, de découvertes historische Persönlichkeiten. An der terrifiantes sur les conditions de vie Spitze der Hauptfiguren stehen Vater, dans l'Eldorado: voir Joseph de Jussieu Gattin und Kinder Rausaks. dans l'enfer des mines de Potosi.

Max Frisch „Der Mensch erscheint im Holozän" Erzählung Pierre Gascar: L'Ombre de Frisch erzählt hier den eines Robespierre Alltag Françoise d'Eaubonne: Gallimard einsamen alten der (325 p) Mannes, glaubt, Moi, Kristine, Reine de Suède über das in er En à des documents abgelegene Tal, dem Ed. Encre (273 p) retraçant, grâce breche eine souvent la vie de Marc-Antoine wohnt, sintflutartige Collection: La Mémoire des Femmes inédits, Katastrophe herein. Dabei geht es ihm Jullien, l'enfant prodige du Par la sa vor allem darum, aufzuschreiben, was singularité de conduite, la fille jacobinisme, l'auteur nous fait revivre de Gustave se au er nicht vergessen will. Nach und nach Adolphe place ce «rêve terrible et merveilleux» que fut nombre des les begreift er jedoch, daß er in das figures historiques plus la Révolution française, ses Unbewußtsein der Natur eingehen déconcertantes. Une personnalité enthousiasmes et ses espérances, ses wird, in die Erdgeschichte mit ihren exceptionnelle, que peut revendiquer erreurs et ses désillusions. auch wenn juste titre le mouvement féministe Jahrmillionen, die Période où un D'où la dédicace â exceptionnelle, Katastrophe schließlich nicht eintritt. contemporain. adolescent de 18 Eliacin de la Simone de Beauvoir. ans, Terreur, qui n'appartient qu'à son idéal Cette reine brillante, intelligente, qui de justice et de liberté, a pu jouer un en savait ä elle seule plus que toute la rôle politique important pendant les Sorbonne réunie, parlait huit langues, mois qui précédèrent Thermidor. se connaissait en en peinture, musique, Nous savons donc maintenant fut en sut aussi être sans qui archéologie, libre, le dont s'est préjugé, foncièrement anti-conformiste personnage historique inspiré Anatole France pour créer et accessible aux plus violentes MAX FRISCH Evariste Gamelin, le héros pur, mais passions. (Lire la mise à mort de des Dieux ont soif, dont le DERMENSCH Rinaldo Monaldeschi à Fontainebleau). sanglant, ERSCHEINT_JI' zèle républicain sacrifie sans remords Une «autobiographie» supposée, qui des vies humaines sur l'autel des dieux HWAIrpl rappelle par endroits l'oeuvre maîtresse populaires. Le livre de Pierre Gascar, 'il'SI/H d'une autre femme écrivain: Les qui nous séduit aujourd'hui par son Mémoires d'Hadrien, de Marguerite intérêt documentaire, n'en devient que Yourcenar. Ce qui, pour Françoise plus passionnant. (Autre ouvrage d'Eaubonne, n'est pas un mince historique de Pierre Gascar: Le Bal des compliment. Ardents)

31 Un entracte avec Dany Carrel

Dany Carrel a été la vedette de FEYDEAU FOLIES présenté par les Galas Karsenty-Herbert au Théâtre Municipal. Nous l'avons rencontrée à l'entracte

Ons Stad: Vous avez débuté très jeune au critiques et, à partir de ce moment-là, j'ai eu ma cinéma? place au théâtre. Je pense qu'il faut faire un peu de tout et le cinéma ne vous offre Dany Carrel: Oui, j'avais 16 ans quand j'ai pas toujours vous avez envie faire. commencé au cinéma et c'est René Clair qui m'a les rôles que de donné ma vraie chance dans LES première O.S.: Quelles satisfactions le théâtre vous pro- GRANDES MANEUVRES (1955). C'était un cure-t-il? petit rôle, mais dans un film important. René D.C.: Immenses ... C'est une relation Clair m'a encore engagé pour PORTE DES directe, un contact direct avec le Dans les scènes LILAS (avec Pierre Brasseur et Georges public. on entend rire la Bras-sens)et je dois dire que je lui dois beaucoup. comiques par exemple, quand salle, c'est une jouissance extraordinaire, on est O.S.: Normalement, les comédiens commencent soulevé du sol. Mais j'aime beaucoup le cinéma par faire du théâtre avant de venir au cinéma. aussi, c'est une sorte de dédoublement de la Vous avez suivi le chemin inverse. .. personnalité. Lorsque je vais voir un film dans D.C.: au cours des années Après avoir, 50, lequel j'ai tourné, j'oublie que j'en suis l'héroïne tourné de films en eu un beaucoup vedette, j'ai et je trouve cela miraculeux, surtout quand le petit trou, une petite faiblesse dans ma carrière film est réussi. au moment de l'arrivée de la Nouvelle Vague. C'était la mode alors de prendre des jeunes filles O.S.: Vous avez tourné avec les deux metteurs en scène les sur totalement inconnues. On me proposa de français reputes plus tyranniques un et re-prendreau théâtre L'IDIOTE de Marcel Achard plateau: Julien Duvivier Henri-Georges Clouzot. après Annie Girardot, un bien grand rôle pour mes petites épaules. Mais le producteur et D.C.: Avec Duvivier, cela avait mal commencé Mar-celAchard m'ont convaincu, j'ai joué la pièce et dans POT-BOUILLE (1957). On ne s'entendait cela a très bien marché. J'ai eu de très bonnes pas bien. Je lui ai dit: si on ne m'aime pas, je ne

32 peux pas travailler, j'ai besoin d'être entourée de D.C.: Je l'ai tourné grâce à Clouzot. Il a montré sympathie. Après, il m'a fait la gueule. On a eu à Cayatte les rushes de L'ENFER. PIEGE des scènes terribles. Je lui disais: si ma tête ne POUR CENDRILLON a eu de très bonnes vous convient pas, je m'en vais. Si vous me critiques et moi aussi, mais le film n'a pas fait regardez de travers, je vais tout jouer de travers. d'argent du tout. Cela a fait un trou immense Pourquoi d'ailleurs m'avoir prise dans ce film? dans ma carrière, parce que vous savez, quand A partir de là, il m'a adorée, on est devenus on fait un film qui ne marche pas, c'est pire que copains, c'était un être comme ça. Avec quand on n'en fait pas du tout. Je suis resté deux Clou-zot,j'ai tourné deux fois, L'ENFER d'abord qui ans sans travailler après. J'ai arrêté de faire du est malheureusement resté inachevé. Henri- cinéma, je n'ai pratiquement plus fait que du Georges a eu sa crise cardiaque, on avait fait théâtre et de la télévision. Car, à la télévision, on deux mois d'essais, trois mois de tournage m'a offert des rôles de femmes, des rôles effectif, mais le film n'est pas sorti et je le intéres-sants.Au cinéma, on me proposait toujours le regrette. C'aurait été une oeuvre magnifique, même genre de rôle: des petites vertus. avoir tourné à gigantesque. On doit peu près O.S.: Votre film préféré? une heure. D.C.: C'est quand même PIEGE POUR O.S.: Pourquoi Clouzot n'a-t-il pas repris le film CEN-DRILLON,car je trouve que c'est le travail le après sa crise cardiaque? plus intéressant qu'on m'ait demandé de faire au D.C.: Les assurances n'ont pas voulu l'assurer, cinéma. Mais le meilleur souvenir, c'est POT- elles avaient perdu 500 millions. BOUILLE, parce que j'ai passé trois mois avec Gérard et c'était extraordinaire de O.S.: Mais il a quand même tourné des films par Philipe la suite. Notamment LA PRISONNIERE, avec tra-vailleravec lui. L'homme était merveilleux, bon vous d'ailleurs. camarade, chaleureux, direct, aimant les gens; vraiment quelqu'un de très estimable. D.C.: Mais ce dernier film a coûté beaucoup moins cher. L'ENFER avait un budget de deux, O.S.: Est-ce si rare dans le monde des artistes de trois milliards, c'est pour cela qu'on n'a pas pu le rencontrer quelqu'un comme Gérard Philipe? reprendre. Il a tourné LA PRISONNIERE sans D.C.: Dans le monde des artistes, c'est vraiment être assuré. C'est un film très personnel pour l'être le plus exceptionnel que j'ai rencontré. lequel il a malheureusement été très critiqué. Dans la vie, il n'avait rien d'une star, il était très J'étais très copine avec lui, je l'aimais beaucoup. proche des gens, il s'intéressait à eux, il était entre sur le Il était charmant deux films, mais modeste, humble. C'était un grand gamin plateau il faisait régner une sorte de terreur. tou-chant,pudique, merveilleusement intelligent et Mais cela aide aussi l'acteur quand il a un rôle cultivé. Il avait tout pour lui. Je suis très dramatique difficile. Avec Clouzot, quand on heureuse de l'avoir connu. avait une scène dramatique, on la sortait du fond O.S.: Des projets a votre retour à Paris? de soi, il vous mettait déjà en condition la veille. Pour moi, seul le résultat compte, peu importe la D.C.: Je dois tourner quelques jours avec façon d'y arriver. Claude Lelouch, mais je suis incapable pour le moment de vous dire n'en sais rien. O.S.: PIEGE POUR CENDRILLON d'André quoi, je Cayatte a également été un film important pour O.S.: Merci pour cette interview et bonne vous. chance!

33 Activités culturelles

Galerie d'art municipale (Villa Vauban): L'exposition rétrospective Edward Steichen (1879-1973), organisée à l'occasion du centenaire de sa naissance au Luxembourg, a connu un succès public considérable. Les visiteurs ont pu admirer beaucoup d'oeuvres peu ou prou connues de ce maitre de la photographie moderne, oeuvres prêtées par le Musée d'Art de la Ville de Toulon (du 23 novembre au 23 décembre 1979) Nos photos: en bas, Edward Steichen au crépuscule de sa longue vie. En haut à gauche: autoportrait de l'artiste (1898), à droite: portrait de Greta Garbo (1928).

34 Cinémathèque Municipale: La salle du .Vox., louée par la ville, a été rénovée et remise en état afin de permettre aux spectateurs toujoursplus nombreux de voir les classiques du 7' Art dans des conditions de projection et de confort améliorées. Cette salle, située Place du Théâtre en plein centre, connaît actuellement un succès grandissant auprès d'autres organisations quipeuvent la louerpour une somme modeste.

Cinémathèque Municipale: Péristyle de l'Hôtel de Ville: •Nital• En collaboration avec l'Ambassade des du Nouvel An de Etats-Unis la L'exposition Estampes d'Amérique, Chine, en collaboration avec a dans la salle organisée Cinémathéque présenté l'Ambassade de la .Vox. Bob République Populaire l'exposition Willoughby: de Chine au Grand-Duché, a été Photographies d'Hollywood. pour beaucoup de visiteurs une révélation, Willoughby a été un photographe de cette forme d'art étant pratiquement plateau célèbre a pour Hollywood qui, inconnue chez nous (du 9 au 25 son a les à-côtés et plaisir, photographié novembre 1979) les coulisses de la métropole du cinéma. Depuis qu'il vit en Irlande, l'artiste a trouvé des sources d'inspiration plus poétiques, photographiant notamment des nus très délicats de jeunes filles en fleur. Cette exposition et l'affiche éditée ci cette occasion ont trouvé un écho très favorable auprès des connaisseurs. Notre photo: L'ambassadeur des Etats-Ums, M. James G. Lowenstein, pendant son allocution lors du vernissage de l'exposition Bob Willoughby.

Cinémathèque Municipale: „30labre Film in der DDR": sous ce titre, la Cinémathèque a présenté une rétrospective du cinéma de la République Démocratique Allemande depuis la fin de la 2' Guerre Mondiale (du 4 au 19 décembre 1979). Notre photo: M. Manfred Lichtenstein, directeur-adjoint de la Cinémathèque est-allemande, était venu a Luxembourg pour présenter les films de son pays. fia égalementparticipé à un colloque avec un groupe d'étudiants de l'Université Populaire de Trêves.

35 Trésors du Musée J.P. Pescatore

Sous la rubrique Trésors du Musée J.P. ciliés à l'étranger, se complètent et se vers la fin du siècle acquiert surtout des Pescatore, «Ons Stad« présentera continuent. En effet, si Jean-Pierre Pesca- peintures des écoles belges et hollandaises doréna-vantdans chaque livraison un tableau tore, banquier et fabricant de tabacs, contemporaines auxquelles il joint des faisant partie des Collections Municipales établi à Paris, a réuni, entre 1840 et 1853, oeuvres françaises du 19e en même temps (exposées en permanence à la Villa à côté d'un fonds très important de que quelques Hollandais du début du 17e Vau-ban,sauf lors d'expositions spéciales). ta-bleauxhollandais du 17e siècle, des siècle. Le troisième legs par contre, donné oeu-vresde du 19e Madame Le Musée J.P. Pescatore est constitué par peintres français siècle, par Eugénie Pescatore-Dutreux, trois legs, dont les deux premiers: la auxquelles s'ajoutent quelques toiles est constitué par un fonds plus ancien, réuni à au cours collection Jean-Pierre Pescatore et la bel-geset hollandaises de la même époque, Luxembourg du 18e col-lectionLéon Lippmann, rassemblées, Léon Lippmann, banquier, établi à siècle et, semble-t-il, sans intention bien Am-sterdam,son côté et comme s'il avait définie. l'une vers le milieu, l'autre vers la fin du de voulu la collection 19e siècle par des Luxembourgeois domi- compléter Pescatore, Jan Steen (Leyde 1626-1679): La Fête des Rois

Ce tableau est le plus précieux des Collections Municipales. Il avait appartenu au Roi Georges IV d'Angleterre et passa dans la collection du Roi de Hollande Guillaume II par l'intermédiaire du marchand Nieuwenhuys. J.P. Pescatore l'acquit pour 3 000 florins à la vente des collections du Roi, à La Haye, en 1850. Peint entre 1661 et 1669, durant le séjour de Steen à Haarlem, le tableau, d'après C. De Witt, représente, rétrospectivement, une scène de famille à laquelle le peintre avait été très intimement mêlé: La Fête des Rois, célébrée dans la maison du peintre van Goyen, et le jeune homme qui la regarde, immobile au milieu de l'agitation générale, ne serait autre que le peintre lui-même. Steen allait épouser Giertjen van Goyen, à La Haye, en octobre 1649. Ce tableau que Hofsteedt de Groot a qualifié de «très beau» est une oeuvre maîtresse du peintre, tant par l'exquise harmonie de son chromatisme que par l'acuité de la notation psychologique. (Extrait du «Guide du Visiteur» du Musée J.P. Pescatore, Editions Edouard Kutter, 1973) SYNDICAT VILLE D'INITIATIVE DE ET DE TOURISME LUXEMBOURG ETE MUSICAL 10° ANNIVERSAIRE N V PREMIERE PARTIE — du 6 au 10 juin 1980: 6.6. DUO JEAN-MARIE LECLAIR de PariEParis — violon et clavecin 8.6. BRASS ENSEMBLE DU CONSERVATOIRECONSERVA' ESCH/

ALZETTE — oeuvres de Tommasi etc. 9.6. RECITAL CARMEN WELTER-JANDER, soprano et PIERRE NIMAX, piano 10.6. ORCHESTRE DE CHAMBRE JEAN-FRANÇOIS PAILLARD de Paris et le MADRIGAL DE LUXEMBOURG, direction J.F. Paillard et LES CONCERTS Daniel Schertzer DU SYNDICAT D'INITIATIVE 7.7. REQUIEM de G. Verdi en la Cathédrale Notre-Dame (orchestration réalisée par le professeur René Defossez, 2 avril 1980 Bruxelles), Musique Militaire Grand-Ducale, Maîtrise de Cercle Municipal —20.30 heures: la Cathédrale Notre-Dame, des solistes de renommée SOIREE IDA GOTKOVSKY internationale par la Musique Militaire Grand-Ducale sous la direction du direction: Major Pierre Nimax Major Pierre Nimax DEUXIEME PARTIE — du 14 au 24 juillet 1980: Semaine du 7 au 12 avril 1980 14.7. BERNARD LAGACE, orgue, présenté par les AMIS DE Concert par les PETITS CHANTEURS DE NOTRE-DAME de L'ORGUE de St-Michel Paris 15.7. BORIS PERGAMENSCHIKOV, violoncelle et l'ensemble LES JEUNES MUSICIENS 20 avril 1980 16.7. ANDRE ISOIR, orgue Eglise Saint-Jean (Grund)— 17.00 heures: 17.7. ORCHESTRE DE RADIO TELE LUXEMBOURG sous la THE EXETER SINGERS, Grande-Bretagne direction de HENRI PENSIS jr. 18.7. RECITAL JULES BASTIN, bariton Concerts-apéritif a la place d'Armes, le dimanche matin 22.7. ANNE GALLET, clavecin 24.7. ENSEMBLE TUDOR DE 11.00 heures du 6 avril au 21 septembre 1980. MONTREAL, Canada, madrigaux

Expositions: 22 mars - 7 avril: «Am Kazett» Cercle Municipal, Place d'Armes, Luxembourg 11 avril -21 avril: «Am Kazett» Centre Marcel Noppeney, Differdange 1945 1.1M1ration des camps 19 avril - 30 avril: «40 Joër zweete Weltkrich» Conférences publiques: «Ratskeller» — Cercle Municipal, entrée: rue du Vendredi, 28 mars, à 20 heures, A l'Athénée de Curé. Luxembourg, bd Pierre Dupong Semaine cinématographique: du Centre de Simon Wiesenthal, directeur du 'mardi 8 avril au samedi 19 avril A la Docu-mentationde Vienne Cinémathè-queMunicipale, Place du Théâtre, A Luxembourg «Erkenntnisse des Widerstandes zur Frage der (Salle Vox). Séances A 20 heures. Entrée libre! Au Menschenrechte» programme notamment: «Au nom du Führer», «Des Jeudi, 10 avril, A 20.30 heures, A la Bibliothèque Teufels General», «Die Deutschstunde», «Mein Nationale (Salle Mansfeld), rue Notre-Dame Kampf», «Le père tranquille», etc... ainsi que les Dr Maurice Goldstein, président du Comité courts métrages: «Nuit et brouillard» et «La rose et Interna-tionaldes Anciens d'Auschwitz: Ie réséda». «Auschwitz — Un les témoins disparaîtront» jour Journée nationale de la déportation Vendredi, 25 avril, A 2030. heures, A la Bibliothèque Dimanche, 27 avril Nationale (Salle Mansfeld), rue Notre-Dame 16.00 heures: Séance académique dans la grande Prof. Dr Herbert Steiner, secrétaire du «Dokumen- salle du Théâtre Municipal, en présence de S.A.R. le tationsarchiv des österreichischen Widerstandes»: Grand-Duc. «Vom Widerstandskampf gegen den Nationalsozia- 21.00 heures: Veillée commémorative devant la lismus zum Widerstand gegen den Neonazismus». «Croix de Hinzert».

37 MAI Calendrier 1 C.m. Johnny Guitar de Nicholas Ray (USA 1953) avec Joan Crawford et Sterling culturel Hayden (19 h) 1 C.m. Bigger than life (Derrière le miroir) de Nicholas Ray (USA 1956) avec James Ma- son et Barbara Rush (21 h) 2 T.m. Het Nationale Ballet Amsterdam 3 T.m. Het Nationale Ballet Amsterdam Théâtre Municipal (T.m.) 8 C.m. The woman on the beach (La femme sur Cinémathèque Municipale (Cm.) la plage) de Jean Renoir (USA 1946) avec et Robert AVRIL Joan Bennett Ryan (19 h) C.m. Invasion of snatchers 2 T.m. Revue 1980 vum Joco 8 body (L'invasion (Letzeburger de Don Theater) des profanateurs de sépultures) Siegel (USA 1956) (21 h) 3 T.m. Concert RTL 15 C.m. Shanghai Express de Josef von 3 C.m. The mark of Zorro (Le signe de Zorro) de Stern-berg(USA 1932) avec Marlène Dietrich Fred Niblo (USA 1920) avec Douglas (19 h) Fairbanks (19 h) 15 C.m. Foolish wives (Folies de femmes) de 3 C.m. Henry V de Laurence Olivier (GB 1944) Erich von Stroheim (USA 1921) (21 h) avec Laurence Olivier (21 h) 22 C.m. Hitler's madman de Douglas Sirk (USA 7 T.m. Revue 1980 1943) avec John Carradine (19 h) 9 T.m. Revue 1980 22 C.m. A time to live and a time to die (Le temps d'aimer et le de mourir) de 10 C.m. Madame de... de Max Ophüls (France temps Sirk avec John Ga- avec Danielle Darrieux et Charles Douglas (USA 1958) 1953) vin et Liselotte Pulver Boyer (19 h) (21 h) 29 C.m. Les vacances de M. Hulot de 10 Cm. Lola Montés de Max Ophüls (France/ Jacques Tati (France 1953) avec J. Tati (19 h) Allemagne 1955) avec Martine Carol (21 h) 29 C.m. Mon oncle de Jacques Tati (France 1958) avec J. Tati 11 T.m. Revue 1980 (21 h) 13 T.m. Zar und Zimmermann (musikalisches Lustspiel von Albert Lortzing; Staats-theaterKassel) 5 C.m. Way of a gaucho (Le gaucho) de Jac-quesTourneur avec 14 Tm. Zar und Zimmermann (USA 1952) Rory Calhoun et Gene Tierney (19 h) 15 T.m. Zar und Zimmermann 5 C.m. Curse of the demon (Rendez-vous avec 17 Cm. Lettres de mon moulin de Marcel Pagnol la peur) de Jacques Tourneur (GB 1958) (France 1954) (19 h) avec Dana Andrews (21 h) 17 C.m. Angèle de Marcel Pagnol (France 1934) 12 C.m. Justin de Marseille de Maurice Tourneur avec Orane Demazis et Fernandel (21 h) (France 1935) avec Berval (19 h) 19 T.m. Biedermann und die Brandstifter von 12 C.m. Volpone de Maurice Tourneur (France Max Frisch mit Fritz Tillmann. Regie: 1940) avec Harry Baur et Louis Jouvet Harry Buckwitz (21 h) 20 T.m. Biedermann und die Brandstifter 19 C.m. Tirez sur le pianiste de François Truffaut avec Charles Aznavour et T.m. (France 1960) 24 Helga Feddersen Marie Dubois (19 h) 24 C.m. for error de Otto Preminger (USA Margin 19 C.m. La peau douce de François Truffaut avec Joan Bennet (19 h) 1943) (France 1964) avec Jean Desailly et Nelly 24 C.m. Bunny Lake is missing (Bunny Lake a Benedetti (21 h) de Otto disparu) Preminger (USA 1965) 26 C.m. The crowd (La foule) de King Vidor (USA avec Laurence Olivier (21 h) 1928) avec Eleanor Boardman et James 29 T.m. Deidamia Oper von Georg Friedrich Murray (19 h) Haendel (Badisches Staatstheater 26 C.m. Man without a star (L'homme qui n'a pas Karls-ruhe) d'étoile) de King Vidor (USA 1955) avec 30 T.m. Deidamia Kirk Douglas et Jeanne Crain (21 h)