Mémoire de l’Alliance Québec Animation Présenté à la Commission d’examen sur la fiscalité québécoise Dans le cadre des Consultations publiques et privées Représentants : Marie-Claude Beauchamp Co-Présidente
[email protected] Tél. Cell. 514 575 5062 Tél. Bur. 514 270 2522 poste 228 Bernard Lajoie Co-Président
[email protected] Tél. Cell. 514-893-9312 Tél. Bur. 514 849 4444 poste 223 Hugo Bossaert Coordonnateur
[email protected] Tél. Bur. 514 270 2522 poste 268 Déposé le 10 octobre 2014 Alliance Québec Animation 6630 Hutchison #300, Outremont, H2V 4E1 1 2 Sommaire exécutif Énoncé Qui croirait que la réduction de 20% du programme des crédits d’impôt mette en péril l’industrie de l’animation et des effets spéciaux, laquelle génère plus de 200 millions $, dont 150 millions $ en salaires, principalement auprès des jeunes, une industrie dont plus de 60% des revenus proviennent de l’extérieur du Québec? Contexte Bien que faisant partie de la vaste industrie du cinéma et de la télévision, l’industrie québécoise de l’animation en est très distincte: • Ses clients et ses partenaires, et conséquemment ses revenus, proviennent en majeure partie de l’étranger. Ses concurrents sont également situés à l’étranger, et au Canada anglais, notamment en Ontario. Nous sommes une industrie d’exportateurs. • La baisse des crédits va affecter à la baisse le volume d’activités de l’industrie du cinéma et de la télévision québécoise locale dans son ensemble, Cependant, comme mentionné plus haut, à cause de son caractère concurrentiel tant au national qu’à l’international si la baisse de 20% du programme des crédits d’impôt de services et de production est maintenue, le Québec devient non-compétitif face au Canada et au reste du monde.