COMPTE RENDU DE SEANCE

DU CONSEIL MUNICIPAL

DE LA COMMUNE DE SAINT-AUBIN DE BRANNE

--.

SEANCE N° 5.

La séance du Conseil Municipal de ce jour 02 JUILLET 2012 à 19 heures 30 est ouverte dans la salle principale de la Mairie, sous la présidence de Monsieur Le Maire conformément à la loi du 18 AVRIL 1884, du L 2124-14 du C.G.C.T. Elle est publique conformément à l’article L 2121-16/-18 du C.G.C.T.

Présents - 7 : Messieurs DELBURG ALAIN (maire)- FAURE ROBERT (adj.)- BERNARD (adj.)- TRASTE PHILIPPE (adj.)- Madame BIARNES LAURENCE (cm)-Messieurs LABRO PASCAL (cm)- BEREAU LAURENT (cm).

ABSENTS EXCUSES -4 / Messieurs BLOND XAVIER (cm) et CABBIBO YVES (cm)- Mademoiselle DUCLOT QUITTERIE (cm) (jusqu’à 20 heures).- Monsieur SAHUNET JEAN-MARIE (cm).

POUVOIRS - 3 / Monsieur BLOND XAVIER (cm) à Monsieur FAURE ROBERT (adj.).

MONSIEUR CABBIBO YVES (cm) à LABRO PASCAL (cm).

Mademoiselle DUCLOT QUITTERIE (cm) à Madame BIARNES LAURENCE (cm).

Monsieur SAHUNET JEAN –MARIE (cm) à Monsieur TRASTE PHILIPPE (adj.).

Conformément à l’article L 2121-20 du C.G.C.T.

SECRETAIRES DE SEANCE : Monsieur BAZAS BERNARD (adj.) et Madame BIARNES LAURENCE (cm). Par un vote à mains levées et à l’unanimité, conformément à l’article L 2121-15 du C.G.C.T.

DATE DE CONVOCATION AVEC L’ORDRE DU JOUR : 26 JUIN 2012, adressé par écrit aux Conseillers Municipaux à leur domicile par courrier, conformément aux articles L 2121-10 et L 2121-11 du C.G.C.T et la loi du 13 AOUT 2004.

DATE D’AFFICHAGE DE L’ORDRE DU JOUR DE LA SEANCE A LA PORTE DE LA MAIRIE : le 26 JUIN 2012 .Conformément à l’article L 2121-10 et R 2121-7- 11du C.G.C.T et de la loi du 13 AOUT 2004.

PRESENCE DANS LA SALLE :

Monsieur Le maire constate que le quorum est respecté conformément à l’article L 2121-17 du C.G.C.T, donne lecture de l’ordre du jour de cette séance qui comporte 2 sujets principaux et 1 question diverse. Fait adopter le compte rendu précédent, une nouvelle fois, du 08 JUIN 2012, qui a été affiché à la porte de la mairie conformément aux articles L 2121-25 et R 2121-11 du C.G.C.T./..

ORDRE DU JOUR.

1/ INTERCOMMUNALITE – FUSION ENTRE LA CDC DU BRANNAIS ET LA CDC DE L’ENTRE-DEUX MERS OUEST. Monsieur le Maire rappelle aux conseillers municipaux la loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 modifiée par la loi 2012-281 du 29 février 2012; Vu les articles L5212-33, L 5211-25, L 5211-5-1, L 5214-7 et L 5211-6-1 du Code Général des Collectivités Territoriales. Que le Schéma Départemental de la Coopération Intercommunale de la Gironde adopté par la CDCI du 15 décembre 2011 et arrêté par le Préfet de Gironde le 27 décembre 2011. L’arrêté de projet de périmètre de fusion du Préfet de Gironde en date du 11 avril 2012. Vu le projet de statuts proposé par la Préfecture de Gironde. Monsieur Le Maire de la commune de SAINT AUBIN DE BRANNE propose au conseil de se prononcer sur les statuts de la nouvelle communauté de communes issues de la fusion entre la communauté de communes de l’Entre- Deux Mers Ouest et la communauté de communes du BRANNAIS. Il rappelle au conseil les éléments constitutifs des statuts d’une communauté de communes, suivant l’article L 5211-5-1 du CGCT, et les propositions faites par le bureau des 2 communautés de Communes sur ces différents éléments et notamment : Le périmètre retenu formé par : Les communes membres sont Branne, , Camiac et Saint Denis, , , , Grezillac, Guillac, , , Naujan et Postiac, Nerigean, Saint aubin de Branne, Saint Quentin de Baron et Tizac de Curton. Le nom de cette nouvelle entité sera: La communauté de communes du BRANNAIS, sigle: CCB le siège sera à la Mairie de Branne. Le receveur sera le Trésorier de . Sa durée sera illimitée. Les recettes seront celles prévues par la loi, reprises à l’article L 5214-23 du CGCT. Les Compétences : La loi prévoit que la fusion de communauté conduit au transfert de l’intégralité des compétences obligatoires, optionnelles et facultatives des EPCI existants. Des assouplissements ont été prévus pour restituer certaines compétences après la fusion. Les compétences présentes dans les statuts ci-annexés correspondent à la loi, et aux propositions faites par les services préfectoraux. La composition de l’organe délibérant suivant la proposition N° 2 retenu lors de la réunion des Maires des 2 CDC sera celle-ci, pour les 15 communes :

Délégués titulaires Délégués suppléants.

BRANNE 4 1

CABARA 2 1

CAMIAC 2 1

DAIGNAC 2 1

DARDENAC 2 1

ESPIET 3 1

GREZILLAC 3 1

GUILLAC 2 1 ./… JUGAZAN 2 1

LUGAIGNAC 2 1

NAUJAN ET POSTIAC 2 1

NERIGEAN 3 1

ST AUBIN DE BRANNE 2 1

ST QUENTIN DE BARON 5 1

TIZAC DE CURTON 2 1

Totaux 38 15

Le bureau sera constitué conformément aux dispositions prévues à l’article L 5211-10 du CGCT. Conséquences comptables, budgétaires et patrimoniales de la fusion : l’intégralité du passif, de l’actif et du personnel employé par les deux communautés de communes seront intégralement repris par la nouvelle communauté de communes. Les résultats de fonctionnement et d’’investissement des deux collectivités, constatés à la date d’entrée en vigueur de la fusion conformément au tableau de consolidation des comptes seront également repris par la nouvelle communauté de communes. Après avoir entendu cet exposé et en avoir délibéré favorablement, à l’unanimité des présents avec pouvoirs, le conseil municipal se prononce favorablement sur ces différents points. Adopte les statuts et les principes de la fusion, tels qu’ils sont présentés dans les points décrits ci-dessus, et dans le document ci-annexé. Annexe: projet de statuts de la communauté de communes du BRANNAIS issue de la fusion entre la communauté de communes Entre Deux Mers Ouest et la communauté de communes du BRANNAIS. Le Conseil Municipal demande à Monsieur Le Maire de rédiger toute délibération nécessaire et signer tout document. Délibération portant le n° 2012/ 4-1 sera faite. Monsieur le Maire, certifie sous sa responsabilité le caractère exécutoire de cet acte qui sera affiché ce jour au siège de la collectivité, informe que la présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le Tribunal Administratif de dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat.

2/ -PROJET DE STATUTS COMMUNAUTE DE COMMUNES DU BRANNAIS ISSUE DE LA FUSION CCE2MO/ CCB.

ARTICLE 1 : CREATION

1.1– Liste des communes membres BRANNE, CABARA, CAMIAC ET SAINT DENIS, DAIGNAC, DARDENAC, ESPIET, GRÉZILLAC, GUILLAC, JUGAZAN, LUGAIGNAC, NAUJAN ET POSTIAC, NERIGEAN, SAINT AUBIN DE BRANNE, SAINT QUENTIN DE BARON, TIZAC DE CURTON.1.2 – Nom : Elle prend la dénomination de «Communauté de Commune du BRANNAIS ».1.3 – Siège :Le siège de la Communauté de Communes du BRANNAIS est fixé à la Mairie de Branne.1.4– Receveur :Les fonctions de receveur seront exercées par Monsieur le trésorier payeur de Rauzan.1.5– Durée : La Communauté de Communes du BRANNAIS est créée pour une durée illimitée.

./…

1.6– Composition du Conseil de Communauté : La Communauté de Communes du BRANNAIS est administré par un conseil de communauté dont la composition est fixée comme suit, conformément aux dispositions de l’article L5214-7 du CGCT, jusqu’au prochain renouvellement général des conseils municipaux, soit: proposition N° 2 retenue lors des Réunions de bureau des 2 Communautés de Communes. 1.7– Le bureau : le bureau est composé conformément aux dispositions prévues à l’article 5211-10 du CGCT. 1.8 – les recettes : Les recettes de la communauté de communes sont celles prévues à l’article L 5214-23 du Code général des collectivités territoriales. Elles comprennent notamment- Le produit de la fiscalité directe,- Les subventions de l’Etat et des autres collectivités publiques,- Le revenu de ses biens, - Le produit des taxes, redevances ou contributions des services assurés,- Le produit des dons et legs - Le produit des emprunts Lors de liquidation de la communauté, ou lors de la sorties anticipée d’une commune membre, les engagements correspondants aux dettes restantes seront prises en charge par la ou les communes concernées proportionnellement à leurs contributions fiscales.1.9 La modification des statuts est régie par les dispositions des articles L5211-17 et L5211-20 du CGCT. 1.10 : l’adhésion de nouvelles communes est régie par les dispositions de l’article L 5211-18 du CGCT, Le retrait d’une commune est régi par les dispositions des articles L5211-19 et L5214-26 du CGCT. 1.11 : la communauté de communes pourra être dissoute dans les conditions prévues par les articles L 5214-28 et L5214-29 du CGCT.ARTICLE 2: COMPETENCES DE LA COMMUNAUTES DE COMMUNES DU BRANNAIS : La communauté exerce de plein droit en lieu et place des communes membres les compétences dont la liste suit : A.COMPETENCES OBLIGATOIRESA/1. Développement économique : a)Réalisation de zones d'activités économiques. b) La communauté de communes se voit confier la création, la réalisation et la gestion de nouvelles zones d'activités industrielles, commerciales, artisanales, touristiques, portuaires ou aéroportuaires d'intérêt communautaire. Sont d’ores et déjà reconnues d’intérêt communautaire les zones suivantes : une zone majeure : la zone d’activités à créer sur les terrains de Branne, Grézillac et Lugaignac, tels que décrits ci-dessous : -Sur la commune de Branne, et sous réserve du zonage effectuée par la commune dans le cadre de son PLU, sur la section AD les n° 290, 291 et 294 -Sur la commune de Grézillac, et sous réserve du zonage effectuée par la commune dans le cadre de son PLU, sur la section AD, tout ou partie des n° 99,100,101,108,109,110,111,112,113,114,115,116,117,118,119,120, 216, 253, 255, 257,275,277,279 -Sur la commune de Lugaignac, et sous réserve du zonage effectuée par la commune dans le cadre de son PLU, la section A, dite A Jos, n°7 et 8 .Cette zone est à vocation commerciale, artisanale et tertiaire sur la commune de Branne, et sous réserve du zonage effectuée par la commune dans le cadre de son PLU, la zone située rue du Fort Bayard, section AD n°418 .Cette zone est à vocation commerciale et tertiaire sur la commune de Naujan et Postiac, et sous réserve du zonage effectuée par la commune dans le cadre de son PLU la zone dite des Fontaniques, sur la section AB les n° 175, 176, 177, 178, 181, 182, et 186 ,Cette zone est à vocation industrielle, artisanale et tertiaire,-sur la commune de Jugazan, et sous réserve du zonage effectuée par la commune dans le cadre de son PLU, la sections ZA n°7 a,-b-c-d-e-f, ZA n°31, ZA n° 48, ZA n°49 a-b-c-d-e, ZA n°50, ZA n°51 Cette zone est à vocation industrielle, artisanale, tertiaire et de loisirs) Soutien aux activités économiques L’application du régime de droit commun fixé par les dispositions du CGCT pour les communes ( art. L. 1511-1 à L. 1511-5 ; L. 2251-1 à L. 2251-4; L. 2252-1 à L. 2252-4; V. CE, 10 juin 1998) est retenu dans le cadre de l'interventionnisme économique de la Communautés de Communes du BRANNAIS.- Développement d’activités créant des emplois - Aide aux entreprises –Garantie des emprunts contractés par les entreprises ou leur cautionnement: Dans le respect des conditions fixées par les articles L. 2252-1 à L. 2252-4 du CGCT.– ./… Participation à des opérations concertées de soutien économique (OCMAC ....) d) Accueil, promotion économique et touristique Il est conféré à la communauté de communes : la responsabilité de gérer et développer, en régie ou en gestion déléguée, une structure touristique communautaire (type syndicat d’initiative ou office de tourisme) · la maîtrise d’ouvrage de la signalétique du patrimoine et des équipements touristiques, · la mise en œuvre d’initiatives tendant à favoriser le développement touristique par des actions communautaires de promotion. Ces actions sont menées en concertation avec le schéma touristique du Pays du Libournais. A/2. Aménagement de l'espace communautaire a) Aménagement du territoire- Participation à l’élaboration du schéma de cohérence territorial (SCOT) du Pays du Libournais et à des schémas de secteur.- Action en commun pour la défense, le maintien et le développement des services publics de proximité- Gestion des agences postales intercommunales existantes- Constitution de réserves foncières pour l’exercice des compétences Communautaires. b) Urbanisme :- Etude, création et réalisation de zones d’aménagement concerté.- Maîtrise d’ouvrage d’études relatives au développement commercial du territoire communautaire.- Harmonisation des documents d’urbanisme sur le territoire de la communauté de communes. Chaque commune reste compétente pour la gestion de son urbanisme.- Possibilité de coordonner et de développer un SIG communautaire et d’effectuer certaines missions pour le compte des communs membres dans ce cadre. C-Transports : Organisation de services de transport à la demande .Ces services pourront dépasser le périmètre de la communauté sous réserve de conventionnement avec les collectivités territoriales concernées. B. COMPETENCES OPTIONNELLES : B/1 Protection de l'environnement-Collecte et traitement des déchets ménagers et assimilés. A ce titre, la CCB sera substituée à 14 de ses 15 communes membres au sein du SEMOCTOM, et à la commune de Jugazan au sein de l’USTOM de Gironde est et du Velinois.-Actions de communication et d’incitation visant à produire moins de déchets - lutte contre les pollutions de toute nature.-Adoption d’une charte environnement ou d’un document cadre similaire. B/2 Politique du logement et du cadre de vie Politique du logement social d'intérêt communautaire et action, par des opérations d'intérêt communautaire, en faveur du logement des personnes défavorisées La communauté de communes du BRANNAIS assurera, entre autres, les actions suivantes :- Etude et réalisation d’une Opération Programmée d’Amélioration de l’Habitat (OPAH)- Programme local de l’habitat, notamment en matière de logement locatif et social et de l’amélioration du parc privé- Etude et réalisation de logements sociaux nouveaux ou dans le cadre d’opérations d’acquisition- amélioration- participation à la plate-forme de l’habitat, instance de coordination à l’échelle du Pays du Libournais pour accompagner les projets communaux et intercommunaux de logements. B/3 Équipements sportifs : Réalisation d’études, construction, aménagement, entretien et gestion d’équipements sportifs nouveaux, diffus ou structurants, présentant un impact, une attractivité et un rayonnement supra-communal ( salle omnisports, piscine, piste d’athlétisme, parcours sportif...) B/4 Équipements culturels : Réalisation d’études, construction, aménagement, entretien et gestion d’équipements culturels nouveaux, diffus ou structurants, présentant un impact, une attractivité et un rayonnement supra-communal (auditorium, médiathèque/bibliothèque, points jeunes...) Est d’ores et déjà reconnu d’intérêt communautaire le réseau de lecture publique en cours de constitution entre la bibliothèque de Naujan et Postiac, et la future médiathèque de Branne B/5 Actions culturelles et sportives Organisation de manifestations ou d’évènements culturels ou sportifs à caractère exceptionnel et ayant une portée intercommunale. -Soutien et développement des activités culturelles et artistiques en partenariat . /… avec le secteur associatif et les communes membres. B/6 Services à la population :- Petite Enfance, Enfance et Jeunesse : Etude, création, organisation et gestion, directe ou déléguée, d’équipements d’accueil de la petite enfance, de l’enfance et la jeunesse, à l’exclusion de l’accueil périscolaire. Les équipements existants à ce jour sont les suivants : Crèche Trottine, Relais Assistantes Maternelles (RAM) , Accueil de loisirs sans hébergement (ALSH).- Personnes âgées : Etude et mise en œuvre en gestion directe ou déléguée d’un service de portage de repas à domicile sur le territoire communautaire pour les personnes âgées, handicapées ou en difficulté temporaire , Gestion d’un service d’aide à la personne (ex SIAMD).- Adhésion au PLIE et à la Mission Locale du Libournais - Soutien financier à l’association des publics en difficulté « Les chantiers de l’Entre Deux Mers Remarque : les subventions aux associations de droit privé seront appréciées au cas par cas par la CCB, dans le cadre d’une politique définie. B/5 Voirie : Création, aménagement et entretien de voirie d’intérêt communautaire. A ce jour, sont reconnues d’intérêt communautaire la voie communale n°1 de Genissac à et la voie communale n°4 de Grimard à Espiet .COMPETENCES SUPPLEMENTAIRES : C/1Aménagement numérique du territoire, Exercice de la compétence aménagement numérique du territoire, tel que défini par l’article L 1425-1 du CGCT. C/2 Construction et gestion d’une gendarmerie. C/3 Actions diverses Dans la limite de ses compétences et dans des conditions définies par convention entre la Communauté de communes et les communes membres ou EPCI, la communauté pourra exercer pour son propre compte ou pour le compte d’une ou plusieurs communes ou EPCI toutes études, missions, réalisations ou gestions de services. -4/-COMPOSITION DE L’ORGANE DELIBERANT DE LA NOUVELLE COMMUNAUTE DE COMMUNES ISSUE DE LA FUSION ENTRE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES ENTRE DEUX MERS OUEST ET LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU BRANNAIS. Vu la loi 2010-1563 du 16 décembre 2010 modifiée par la loi 2012-281 du 29 février 2012 ; Vu les articles L5212-33, L 5211-25, L 5214-7 et L 5211-6-1 du Code Général des Collectivités Territoriales. Vu le Schéma Départemental de la Coopération Intercommunale de la Gironde adopté par la CDCI du 15 décembre 2011 et arrêté par le Préfet de Gironde le 27 décembre 2011. Vu l’arrêté de projet de périmètre de fusion du Préfet de Gironde en date du 11 avril 2012. Monsieur Le Maire propose au conseil de se prononcer sur la composition de l’organe délibérant de la nouvelle communauté de communes issue de la fusion entre la communauté de communes Entre Deux Mers Ouest et la communauté de communes du BRANNAIS . Il précise au conseil que la répartition des sièges est un élément des statuts, mais que les 15 maires réunis en bureau ont souhaité soumettre cette question au vote de façon indépendante. Il explique au conseil qu’il est appelé à se prononcer sur le nombre et la répartition des sièges du futur conseil de communauté selon les modalités prévues à l’article L 5214-7 du CGCT. Celui-ci prévoit 2 possibilités d’accord:-Soit à l’unanimité de l’ensemble des conseils municipaux des communes intéressées sur une proposition -Soit en fonction de la population, par décision des conseils municipaux intéressés, dans les conditions de majorité qualifiée soit de 2/3 au moins des conseils municipaux représentant la moitié de la population totale, soit 1/2 au moins des conseils municipaux représentant 2/3 de la population totale. Il présente au conseil les 3 propositions qui sont faites par les élus du territoire et leur indique que les membres des bureaux des 2 communautés ont suggéré d’exclure la proposition 3. L’origine des 3 propositions : La proposition 1 tient compte des populations dans un calcul de représentation proportionnelle à la plus forte moyenne. Elle sera appliquée par le Préfet de Gironde à défaut de délibération dans le délai prévu par la loi, ou à défaut d’accord de la majorité qualifiée décrite précédemment.

./… La proposition 2 tient compte des populations suivant la règle suivante : « chaque commune bénéficie de 2 sièges de titulaires, auxquels s’ajoute un siège au-delà de 700 habitants, un second au- delà de 1 000 habitants et un troisième au-delà de 1500 habitants ».Elle est issue d’un consensus entre plusieurs communes. La proposition 3 consiste en l’addition des 2 conseils communautaires existants. Concernant les suppléants, Il est possible de prévoir la désignation d’un ou plusieurs délégués suppléants appelés à siéger au conseil avec voie délibérative en cas d’empêchement du (ou des) titulaires.La proposition 1 inclut 1 délégué suppléant pour les communes n’ayant qu’un seul délégué titulaire, soit au total 26 délégués titulaires et 10 délégués suppléants. La proposition 2 inclut 1 délégué suppléant par commune, soit au total 38 délégués titulaires et 15 délégués suppléants. La proposition 3 reprend le même nombre et la même répartition des délégués .suppléants que dans les conseils actuels, soit 24 pour les communes de l’actuelle CC du BRANNAIS, et 14 pour les communes de l’actuelle CC de l’Entre Deux Mers Ouest. Au total 50 délégués titulaires et 38 délégués suppléants.

Nombre d’habitants PROPOSITION 1 PROPOSITION 3 PROPOSITION 2

BRANNE 1253 4 0 4 1 3 3

CABARA 392 1 1 2 1 3 3

CAMIAC 364 1 1 2 1 3 2

DAIGNAC 484 1 1 2 1 3 2

DARDENAC 92 1 1 2 1 3 2

ESPIET 712 2 0 3 3 4 2

GREZILLAC 701 2 0 3 1 3 3

GUILLAC 186 1 1 2 1 3 3

JUGAZAN 278 1 1 2 1 3 3

LUGAIGNA C 383 1 1 2 1 3 3

NAUJAN 496 1 1 2 1 3 3

NERIGEAN 867 3 0 3 1 4 2

ST AUBIN 362 1 1 2 1 3 3

ST QUENTIN 1738 5 0 5 1 6 2

TIZAC 279 1 2 2 1 3 2

Totaux 8578 26 10 38 15 50 38

./… Après avoir entendu cet exposé et en avoir délibéré favorablement à l’unanimité des présents, avec pouvoir, le conseil municipal choisit la proposition N° 2 pour la composition de l’organe délibérant de la nouvelle communauté et la répartition des sièges. Délibération portant le n° 2012/4-2 sera établie. Monsieur L e Maire, certifie sous sa responsabilité le caractère exécutoire de cet acte qui sera affiché ce jour au siège de la collectivité,- informe que la présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le Tribunal Administratif de Bordeaux dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. -2/ PLAN LOCAL D’URBANISME – REVISION SIMPLIFIEE ou DE MODIFICATION. Monsieur le Maire redit aux conseillers municipaux que notre PLAN LOCAL D’URBANISME, document de travail, a été approuvé par nous en délibération du Conseil Municipal le 01 FEVRIER 2011. Que nous pouvons apporter des modifications sur des secteurs, suite aux différents courriers reçus lors de l’enquête d’utilité publique. Ces secteurs sont : Labroue – Perey- Blanquine- Les faures- Le Monument. a/ LA PROCEDURE DE REVISION SIMPLIFIÉE DU PLU (ou POS) 1 — LE CHAMP D'APPLICATION En même temps qu'elle supprimait l'ancienne procédure d'application anticipée des POS en cours de révision, la loi SRU a mis en place une procédure nouvelle, destinée à permettre, dans certaines hypothèses, un remaniement rapide du contenu du PLU. Initialement dénommée « révision d'urgence », cette procédure est aujourd'hui organisée sous l'appellation « révision simplifiée » (article L. 123-13).1.1— LES HYPOTHESES DANS LESQUELLES ELLE PEUT ÊTRE MISE EN ŒUVRE réalisation d'une construction, d'une opération, à caractère public ou privé, présentant un caractère d'intérêt général, rectification d'une erreur purement matérielle affectant le PLU Si la loi subordonne le recours à la procédure de révision simplifiée à la condition que le projet présente un caractère d'intérêt général, il n'en résulte nullement que ce projet devrait être un projet d'intérêt général au sens des articles L 121-2 et R 121-3. L'article L 123-13 prévoit d'ailleurs expressément que la procédure de révision simplifiée peut être mise en œuvre pour permettre la réalisation d'une opération à caractère purement privé, dès lors qu'elle présente un intérêt général, notamment pour la commune ou toute autre collectivité. La procédure de révision simplifiée est réservée à des adaptations des PLU rendues nécessaires par des projets ponctuels dont les incidences, mêmes importantes, peuvent être appréciées lors d'une réunion unique consacrée à l'examen conjoint du projet. Chaque fois qu'elle est susceptible d'être mise en œuvre, cette procédure permet ainsi aux communes de réviser leur PLU, sans être pénalisées par des délais administratifs susceptibles d'être difficilement compatibles avec le calendrier envisagé pour la réalisation de l'opération projetée. La durée de celle-ci devrait être équivalente à celle d'une modification. Les remaniements ainsi apportés doivent toutefois être strictement limités à ce que rend nécessaire la réalisation du projet justifiant le recours à la procédure de révision simplifiée. Il est ainsi exclu que cette procédure puisse être mise à profit pour modifier le PLU, même à la marge, sur d'autres points. Par ailleurs, si plusieurs projets justifiant le recours à cette procédure sont conduits simultanément, il n'est pas possible de les inclure dans une seule révision simplifiée. Il est nécessaire d'engager autant de procédures qu'il y a de projets, quitte à ce que celles-ci soient menées conjointement. Le Code précise au surplus expressément, d'une part que la mise en révision d'un PLU ne met pas obstacle au recours à la procédure de révision simplifiée de celui-ci, d'autre part que «les procédures nécessaires à une ou plusieurs révisions simplifiées et à une ou plusieurs modifications peuvent être menées conjointement » (article L. 123-13). 2 — LE DÉROULEMENT DE LA PROCEDURE 2.1 — L'INITIATIVE DE LA REVISION SIMPLIFIÉE La révision simplifiée est engagée à l'initiative du maire. Toutefois, le conseil municipal aura à se prononcer sur les objectifs poursuivis et les modalités de la concertation avec le public. ./…

2.2 — L'ORGANISATION DE LA CONCERTATION

Cette procédure, même simplifiée, est une révision du PLU. Aussi, implique-t-elle, qu'en application des dispositions de l'article L.300-2-I du code de l'urbanisme que le conseil municipal délibère sur les objectifs poursuivis et sur les modalités de la concertation. La concertation porte sur le projet ayant justifié la mise en œuvre de la procédure et sur ses incidences sur le PLU. La concertation du public doit avoir lieu pendant toute la durée des études. Compte tenu du champ d'application de la révision simplifiée et de son objet limité à la prise en compte d'un projet présentant un caractère d'intérêt général, les modalités de la concertation retenues, si elles doivent permettre au public d'exprimer ses observations, pourront être mises en œuvre sur une durée relativement courte. A l'issue de la concertation, le maire présente le bilan devant le conseil municipal. Le dossier est alors tenu à disposition du public. Compte tenu du caractère spécifique du déroulement de la procédure, le bilan de la concertation peut être tiré au travers de la délibération approuvant la révision simplifiée du PLU. 2.3 — LE DÉBAT SUR LES ORIENTATIONS GENERALES DU PADD. En raison de son objet, la révision simplifiée n'implique pas, nécessairement, un débat sur les orientations du projet d'aménagement et de développement durable. Il n'en va autrement que lorsque la révision implique de changer les orientations du PADD et, dans cette hypothèse, le débat peut avoir lieu au cours de la séance du conseil municipal tenue pour organiser la concertation.2.4— L'EXAMEN CONJOINT DU PROJET :A l'initiative du maire le projet et ses incidences sur le PLU font l'objet d'un examen conjoint de la part des personnes publiques associées visées à l'article L.123-9 :le préfet, le président du Conseil Régional, le président du Conseil Général, le président de l'autorité compétente en matière d'organisation des transports urbains, le président de l'EPCI compétent en matière de programme local de l'habitat dont la commune est membre (si ce n'est pas la même personne que la précédente et ce, si la révision simplifiée a été prescrite après l'entrée en vigueur de la loi ENL du 13 juillet 2006),Les représentants des chambres consulaires. Les représentants des organismes de gestions des parcs naturels régionaux et nationaux (le cas échéant).Le président de l’établissement public chargé du SCOT lorsque la commune est limitrophe de celui-ci, sans être couverte par un autre schéma .Les maires des communes voisines. Les présidents d’EPCI voisins compétents. Cet examen doit avoir lieu avant l'enquête publique. Lorsqu’une association mentionnée à l'article L 121-5 souhaite être consultée, son président en adresse la demande au maire. L’examen conjoint fait l'objet d'une réunion à laquelle les personnes publiques associées sont conviées. Il donne lieu à l'établissement d'un compte rendu joint à l'enquête publique.2.5— LES CONSULTATIONS PARTICULIÈRES OBLIGATOIRES - Les avis particuliers obligatoires .Selon les effets que peut induire la révision simplifiée, le maire est tenu, de sa propre initiative, de saisir pour avis :la chambre d'agriculture qui, bien qu'étant au nombre des personnes publiques associées de plein droit à la révision simplifiée du PLU (et appelée, à ce titre, à participer à l'examen conjoint du projet), doit voir son avis spécialement requis lorsque le projet de révision simplifiée prévoit une réduction des espaces agricoles, le centre régional de propriété forestière en cas de réduction des espaces forestiers, l’institut national des appellations d'origine contrôlée en cas de réduction d'espace situé en zone d'appellation d'origine contrôlée, la chambre d'agriculture et la commission départementale d'orientation de l'agriculture ./…

en cas de changement d'affectation qui altère durablement le potentiel agronomique, biologique ou économique d'une zone agricole protégée, délimitée en application de l'article L 112-2 du Code Rural. En cas d'avis défavorable, le changement ne peut être autorisé que sur décision motivée du Préfet. La commission départementale de consommation des espaces agricoles (CDCEA) le cas échéant. Ces organismes doivent émettre un avis sur le projet de révision simplifiée dans un délai de deux mois à compter de leur saisine. A défaut, leur avis est réputé favorable (articles L 112-3 et R 112-1-10 du Code Rural et R 123-17 du Code de l'Urbanisme) trois mois pour la CDCEA. Toute réduction des espaces agricoles et forestiers effectuée après l'enquête publique, même pour prendre en compte les avis émis au cours de l'enquête publique nécessitera qu'un nouvel avis soit requis (article R.123-17) avant l'approbation de la révision simplifiée du PLU. Par ailleurs, si le représentant de l'ensemble des organismes d'habitations à loyer modéré, propriétaires ou gestionnaires de logements situés sur le territoire de la commune en fait la demande, le maire lui notifie le projet de révision simplifiée afin de recueillir son avis. Cet avis est réputé favorable s'il n'a pas été rendu par écrit dans un délai de deux mois (article L 123-8 du Code de l'urbanisme).- Le document de gestion de l'espace agricole et forestier. Conformément à l'article L 112-1 du Code rural, l'article R 123-17 du Code de l'urbanisme rend obligatoire la consultation par l'autorité compétente en matière d'élaboration du PLU, du document de gestion de l'espace agricole et forestier lorsqu'il existe. Ce document qui se substitue aux cartes des terres agricoles, constitue l'un des éléments d'appréciation de l'autorité compétente pour la détermination des orientations ou des règles à établir dans ces espaces (cf. circulaire n°99-63 du 10 septembre 1999). La consultation de ce document doit être mentionnée dans la délibération arrêtant le projet de PLU.2.3 — L'ENQUÊTE PUBLIQUE : L'enquête publique, n’appelle dans le cadre de la procédure de modification que deux observations particulières. En premier lieu, elle n'est pas précédée d'une délibération arrêtant le projet Afin de lancer la procédure d'enquête publique, sont joints les modèles de pièces suivants, Un dossier de modification devra être remis au commissaire-enquêteur, et un autre devra être annexé au registre d'enquête en mairie. Le modèle de lettre de saisine au Tribunal Administratif, le modèle d'arrêté de mise à l'enquête publique, le modèle d'insertions dans la presse. La phase « Enquête Publique. Au sujet des formalités de publicité d'enquête publique, je vous rappelle que l'insertion doit être faite à deux reprises dans deux journaux locaux. La première doit paraître 15 jours minimum avant le début de l'enquête la deuxième dans les huit premiers jours de l'enquête. Il est préférable d'éviter la période des vacances (juillet- août) pour les enquêtes publiques. Le Commissaire-Enquêteur vous adressera son rapport dans un délai d'un mois à l'issue de l'enquête publique Il conviendra de déterminer alors si les pièces des dossiers doivent être modifiées pour tenir compte d'éventuelles observations émises à l'enquête publique.2.7 — L'APPROBATION DE LA REVISION SIMPLIFIEE. La révision simplifiée est approuvée et devient exécutoire dans les mêmes conditions qu'une révision « de droit commun », c'est-à-dire selon les modalités prévues pour l'approbation de l'élaboration du PLU (modèles joints). ./… Le conseil municipal délibère pour approuver la révision simplifiée (ci-joint modèle).La délibération est affichée en mairie durant un mois et mention en est faite dans un journal. Trois dossiers et la délibération sont transmis à la Sous-préfecture (qui les tamponne, en garde 2 et en redonne 1 à la mairie).Cette délibération prise, il conviendra de retourner un imprimé d'opposabilité (ci-joint), complété par les dates d'affichage en mairie et d'insertion dans la presse de l'arrêté d'approbation à la DDTM — SAR/UA du Libournais. Le dossier de modification approuvé devra également être adressé à La DDTM — SAR/Unité Aménagement du Libournais — 35, rue de Géreaux — 33500 , pour mise à jour du PLU, Le Pôle ADS du Libournais, qui instruit les actes d'occupation des sols.-b/ LA PROCEDURE DE MODIFICATION DU PLU (POS).1 – LE CHAMP D’APPLICATION Conformément aux dispositions de l’article L 123-13 du Code de l’urbanisme, le recours à la procédure de modification est possible aussi longtemps que le remaniement :ne porte pas atteinte à l'économie générale du PADD, n’a pas pour effet de réduire un espace boisé classé, une protection édictée en raison de la valeur agricole des terres, des risques de nuisance, de la qualité des sites, des paysages ou de milieux naturels, ne comporte pas de graves risques de nuisance. Ainsi, la procédure de modification ne peut, désormais, en aucun cas, être mise œuvre dès lors qu'il est envisagé de :réduire les périmètres de zones naturelles (zones agricoles, dites « zones A » et zones naturelles et forestières, dites « zones N »),réduire une protection édictée en faveur d'un élément du paysage, notamment au titre de l'article L.123-1, 7° ou en raison des risques de nuisance au titre de l'article R.123-11b).En outre, il convient de relever que la frontière entre les procédures de modification et de révision est désormais fixée par référence à l’atteinte à l’économie générale, non plus du plan, mais du PADD.2 – LE DÉROULEMENT DE LA PROCEDURE. La procédure de modification demeure très proche de celle qui était prévue dans le régime des POS. Il existe néanmoins trois différences importantes : la procédure de modification ne requiert plus d’arrêté du maire pour être engagée, la procédure de modification ne fait plus jamais l’objet d’une concertation. En effet, compte tenu de son champ d’application, la modification ne peut pas porter atteinte aux orientations du PADD (s’il en va autrement, le recours à la révision est nécessaire), le projet de modification doit être transmis, avant l’ouverture de l’enquête publique, à un certain nombre de personnes publiques.2.1 – L’INITIATIVE DE LA MODIFICATION. La procédure de modification peut être engagée par simple délibération du conseil municipal (facultative) et sans arrêté du maire. Il appartient seulement au maire d’enclencher le processus, de façon informelle, en invitant ses services à procéder au remaniement du document ou en missionnant un bureau d’études à cet effet. Dans cette seconde hypothèse, l’intervention du conseil sera alors nécessaire pour autoriser le maire à passer le marché, chaque fois que la passation de celui-ci ne relève pas d’une procédure adaptée.2.2 – LA NOTIFICATION DU DOSSIER DE MODIFICATION AUX PERSONNES PUBLIQUES. Une fois le dossier de modification prêt à être soumis à enquête publique, la commune doit en envoyer un exemplaire complet à diverses personnes publiques et organismes énumérés à l’article L. 123-13.Il s’agit des personnes publiques associées aux procédures d’élaboration et de révision du PLU, afin de leur permettre d’être informées de l’évolution du document d’urbanisme et, le cas échéant, de formuler leurs observations (étant précisé qu’il ne s’agit pas alors d’avis, au sens strict du terme) Le Préfet, le Président du Conseil Régional, le Président du Conseil Général, la Chambre des Métiers, la Chambre de Commerce et d'Industrie, la chambre d'Agriculture. A cet effet, 6 dossiers devront être constitués.

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Si l’article L 123-13 du Code de l’Urbanisme impose la notification du projet de modification « avant l'ouverture de l'enquête publique », il ne prévoit aucun délai particulier entre la transmission du dossier et le début de l’enquête publique. Les observations susceptibles d’être émises par les personnes publiques ainsi informées peuvent être adressées directement à la commune ou être consignées au registre d’enquête publique. C’est pourquoi, il est préférable, dans le courrier d’accompagnement du dossier de modification, de préciser les dates auxquelles se déroulera l’enquête. Si les personnes publiques sont saisies suffisamment longtemps avant le début de l’enquête publique, la commune pourra ainsi, le cas échéant, tenir compte de leurs observations éventuelles pour modifier le document avant qu’il soit soumis à enquête. 2.3 – L'ENQUÊTE PUBLIQUE

L’enquête publique, n’appelle dans le cadre de la procédure de modification que deux observations particulières. La phase « Enquête Publique » venant d'être modifiée au, les En premier lieu, elle n’est pas précédée d’une délibération modèles nécessaires seront arrêtant le projet. transmis en temps utile.

Afin de lancer la procédure d’enquête publique, sont joints les modèles de pièces suivants :

 le modèle de lettre de saisine au Tribunal Administratif,  le modèle d’arrêté de mise à l’enquête publique,  le modèle d’insertions dans la presse.

Un dossier de modification devra être remis au commissaire- enquêteur, et un autre devra être annexé au registre d’enquête en mairie.

Au sujet des formalités de publicité d’enquête publique, je vous rappelle que l’insertion doit être faite à deux reprises dans deux journaux locaux. La première doit paraître 15 jours minimum avant le début de l’enquête, la deuxième dans les huit premiers jours de l’enquête. Il est préférable d’éviter la période des vacances (juillet-août) pour les enquêtes publiques. Le Commissaire-Enquêteur vous adressera son rapport dans un délai d’un mois à l’issue de l’enquête publique. Il conviendra de déterminer alors si les pièces des dossiers doivent être modifiées pour tenir compte d’éventuelles observations émises à l’enquête publique. 2.4 – L’APPROBATION Le conseil municipal délibère pour approuver la modification (ci- joint modèle).La délibération est affichée en mairie durant un mois et mention en est faite dans un journal. Trois dossiers et la délibération sont transmis à la Sous-préfecture (qui les tamponne, en garde 2 et en redonne 1 à la mairie)Cette délibération prise, il conviendra de retourner un imprimé d'opposabilité (ci-joint), complété par les dates d’affichage en mairie et d’insertion dans la presse de l’arrêté d’approbation à la DDTM – SAR/UA du Libournais. ./…

Le dossier de modification approuvé devra également être adressé à : La DDTM – SAR/Unité Aménagement du Libournais – 35, rue de Géreaux – 33500 LIBOURNE, pour mise à jour du PLU, Le Pôle ADS du Libournais, qui instruit les actes d’occupation des sols. Après avoir entendu cet exposé et en avoir délibéré à l’unanimité des présents, avec pouvoirs, le conseil municipal décide de mettre en place une commission de travail composée de Messieurs BLOND XAVIER (cm) –LABRO PASCAL (cm)- CABBIBO YVES (cm)- BEREAU LAURENT (cm) et de Mademoiselle DUCLOT QUITTERIE (cm). Les documents sont mis à leur disposition avec l’ensemble de la procédure. Cette commission rendra un compte rendu le plus rapidement possible. -3/ QUESTION DIVERSE. Repas des aînés. Monsieur le Maire informe les conseillers municipaux que le repas dit des aînés aura lieu le 14 JUILLET 2012. Un traiteur se déplacera. Les Invitations seront envoyées très prochainement. L’ordre du jour de cette séance étant épuisé, après en avoir débattu sans incident, sans interruption, dans autre question. Le compte rendu, rédigé, de cette séance a été lu puis a été adopté à l’unanimité par le Conseil Municipal. Monsieur le Maire lève cette séance n° 5 à 21 Heures. Le Maire : ALAIN DELBURG