Agence de Développement et d ’Urbanisme du Pays de Montbéliard

Communauté de communes de la Vallée du Rupt Compléments au diagnostic 2008 préalable à un Schéma de Développement intercommunal Approfondissement sur les équipements scolaires - scénarios pour l’avenir

septembre 2011

INTRODUCTION Dans le cadre du Contrat Fidel du Conseil général du , la Communauté de Communes de la Vallée du Rupt (CCVR) avait engagé en 2008 un diagnostic territorial avec pour objectif de travailler à l’élaboration d’un schéma de développement intercommunal. L’ADU avait réalisé ce travail qui n’a pas été poursuivi par la réalisation d’un schéma durant les années 2009 et suivantes. Par ailleurs, les élus de la CCVR s’interrogent sur l’avenir de leurs écoles, en particulier d’un point de vue patrimonial. Ils font le constat que leurs équipements scolaires sont très disparates et que certains sont condamnés à la fermeture à plus ou moins brève échéance. En effet, ils ne semblent plus offrir des conditions d’accueil optimum pour les enfants. Les écoles du secteur nord de la communauté de communes ont plus particulièrement besoin de rénovation ou restructuration. Dans un souci de cohésion territoriale, les instances de la Communauté de Communes de la Vallée du Rupt ont souhaité engager une réflexion globale sur les équipements scolaires, au service de chacune des communes adhérentes. Pour cela, une mise à jour du diagnostic territorial de 2008 et plus particulièrement des éléments de démographie (nombre et âge des habitants), de logements et d’effectifs scolaires a été inscrite au programme de travail partenarial de l’ADU. Ce diagnostic approfondi est également complété par une analyse architecturale et fonctionnelle des bâtiments d’enseignement. Il s’agit par ce travail d’apporter aux élus de la CCVR des éléments objectivés (et avec un « regard extérieur ») qui puissent les aider à prendre des décisions en terme d’investissement et de réorganisation des écoles (en lien avec l’Education Nationale) en disposant d’une perspective globale des incidences de leurs choix. A cette fin, différents scénarios d’évolution sont exposés mais aucun ne constitue une solution « clé en main » pour l’avenir. / septembre / 2011

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CCVR –CCVR réflexion sur les équipementsscolaires – ADU

INTRODUCTION ...... 2 PARTIE 1 - ETAT DES LIEUX, POPULATION, EQUIPEMENTS SCOLAIRES, SERVICES ...... 6 1. Les grandes tendances à l’échelle de la communauté de communes ...... 6 1.1. Une croissance démographique continue ...... 6 Deux grandes périodes dans la croissance démographique ...... 6 Le solde migratoire cause principale de la croissance ...... 7 Une augmentation du nombre de ménages ...... 8 Un quart de la population a moins de 20 ans ...... 8 1.2. Un parc de logements peu diversifié ...... 10 Une importante dynamique de construction neuve ...... 10 Une majorité de propriétaires et de maisons individuelles ...... 10 Des ménages qui habitent leur logement depuis de nombreuses années ...... 11 1.3. Des effectifs scolaires en stagnation ...... 11 Une évolution globale des effectifs scolaires qui se déconnecte de la croissance de population ...... 11 Une situation des effectifs différenciée selon les regroupements scolaires ...... 12 2. Etat des lieux des bâtiments scolaires ...... 13 Périmètre pédagogique des équipements scolaires ...... 13 2.1. Ecole intercommunale : , Désandans, , ...... 14 Aibre : école maternelle et élémentaire ...... 14 Désandans : école élémentaire ...... 16 Le Vernoy : école élémentaire ...... 18 Semondans : école maternelle ...... 20 2.2. Regroupement pédagogique intercommunal (RPI) : , ...... 22 Issans : école élémentaire ...... 22 Laire : école maternelle ...... 24 2.3. Regroupement pédagogique intercommunal (RPI) : Echenans, , Saint- Julien-les-Montbéliard, Sainte-Marie ...... 26 Sainte Marie : école maternelle et élémentaire ...... 26 Raynans : école élémentaire ...... 28 / septembre / 2011 2.4. Ecole intercommunale : , Dung, Présentevillers ...... 30 Présentevillers : école maternelle et élémentaire ...... 30 Dung : école élémentaire ...... 32 2.5. Ecole communale d’Arcey ...... 34 L’école élémentaire d’Arcey ...... 34 L’école maternelle d’Arcey ...... 36 L’accueil périscolaire et la restauration ...... 36

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3. Les services autour du temps scolaire ...... 38 3.1. L’organisation des transports scolaires ...... 38 Etat des lieux des transports à l’échelle de la communauté de communes ...... 38 Ecole intercommunale : Aibre, Désandans, Le Vernoy, Semondans ...... 39 Regroupement pédagogique intercommunal Issans Laire ...... 40 Regroupement pédagogique intercommunal : Echenans, Raynans, St-Julien-les- Montbéliard, Ste-Marie ...... 41 Ecole intercommunale : Allondans, Dung, Présentevillers ...... 42 3.2. L’accueil périscolaire et la restauration ...... 43 Les structures existantes ...... 43 Les assistantes maternelles ...... 44 PARTIE 2 - LE FUTUR SOUHAITE ...... 45 1. Poursuites de tendances ...... 45 1.1. Un accroissement de population modéré ...... 45 1.2. Les effectifs scolaires ...... 46 Quelques précisions méthodologiques ...... 46 Entre 550 et 590 élèves à l’horizon 2020 ? ...... 47 2. Les éléments financiers ...... 47 2.1. Les capacités financières des collectivités ...... 47 2.2. Références financières de projets d’équipements scolaires ...... 49 Ecole des Trois Fontaines ...... 49 Ecole de Langouët, agglomération de Rennes ...... 50 3. Structures juridiques ...... 51 3.1. Syndicat intercommunal ...... 51 3.2. Convention de moyens ou de prestations ...... 51 3.3. Le contexte de la réforme des collectivités territoriales (loi du 16.12.2010) ...... 51 4. Les services autour du temps scolaire ...... 52 4.1. Transports : vers une réorganisation du transport méridien à partir de 2012 ...... 52 Un service entre l’école et la restauration collective ...... 52 Une période de transition 2012 – 2014 ...... 52

/ septembre / 2011 Principes de financement du transport méridien ...... 52 Localisation de la restauration pour optimisation des temps de transports ...... 53 4.2. Les services de restauration et d’accueil périscolaires : éléments de référence .. 53 Investissements : des coûts importants mais des aides mobilisables ...... 53 Fonctionnements : des coûts qui peuvent freiner le développement du service ...... 53 L’exemple de la Communauté de communes des Balcons du Lomont ...... 54 L’exemple de Dampierre les Bois : engagement d’un service à l’essai...... 54 L’exemple de : recours à un service existant sur une commune voisine .. 55 L’exemple de : du prestataire à la régie ...... 55

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PARTIE 3 – LES SCENARIOS D’ORGANISATION ...... 57 1. Scénario 1 : le statu quo, maintien de l’organisation actuelle ...... 57 2. Scénario 2 : maintien et optimisation des regroupements existants ...... 58 2.1. Ecole intercommunale Aibre, Désandans, Semondans, Le Vernoy ...... 58 2.2. RPI de Issans, Laire ...... 58 2.3. Ecole intercommunale d’Allondans, Dung, Présentevillers ...... 59 2.4. RPI Echenans, Raynans, St-Julien, Sainte-Marie ...... 59 3. Scénario 3 : redistribution des regroupements existants et périscolaires ...... 60 3.1. S3 – Variante 1 : trois écoles ...... 60 3.2. S3 – Variante 2 : quatre écoles ...... 61 PARTIE 4 - SYNTHESE DE L’ETAT DES LIEUX ET SCENARIOS : LES ELEMENTS DE DEBAT62 1. Synthèse de l’état des lieux ...... 62 1.1. L’organisation schématique ...... 62 1.2. Le tableau de synthèse de l’état des lieux, fonctionnement actuel ...... 63 2. Le futur attendu ...... 65 3. Synthèse des scénarios de redistribution des regroupements ...... 66 3.1. L’organisation schématique 3 écoles ...... 66 3.2. L’organisation schématique 4 écoles ...... 67 3.3. Tableau de synthèse des scénarios au regard du service « idéal » ...... 69 4. Pour conclure, la meilleure solution…...... 71 ANNEXE : EFFECTIFS SCOLAIRES DETAILLES 2010-2011 ...... 72 Ecole intercommunale Aibre – Désandans – Semondans – Le Vernoy ...... 72 Ecole intercommunale Allondans – Dung – Présentevillers ...... 72 RPI Issans – Laire ...... 73 RPI Echenans – Raynans – St-Julien-les-Montbéliard – Ste-Marie ...... 73 Ecole maternelle et élémentaire d’Arcey ...... 73 / septembre / 2011

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PARTIE 1 - ETAT DES LIEUX, POPULATION, EQUIPEMENTS SCOLAIRES, SERVICES

1. Les grandes tendances à l’échelle de la communauté de communes

1.1. Une croissance démographique continue

Deux grandes périodes dans la croissance démographique Depuis 1962 la Vallée du Rupt a connu un développement démographique continu. Le nombre d’habitants des 12 communes est passé de 2 913 à 6 262, soit une augmentation de 3 349 personnes en 45 ans.

source : Insee, RGP Cette croissance continue ne s’est cependant pas réalisée au même rythme sur l’ensemble de la période : - entre 1962 et 1982 la population a augmenté de 76% en 20 ans. - entre 1982 et 2007 la croissance a été un peu moins rapide : 21% en 25 ans, soit 45 habitants supplémentaires par an. Cependant, entre 1999 et 2007 le rythme de croissance s’est à nouveau accéléré après la période de tassement entre 1982 et 1990. / septembre / 2011

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Le solde migratoire cause principale de la croissance La croissance de la population est principalement due au solde migratoire (les arrivées de ménages dans la communauté de communes sont plus nombreuses que les départs). Le territoire de la CCVR reste attractif pour l’accueil de nouveaux ménages, même si le phénomène a été moins important entre 1982 et 1990. Depuis 1990, il est réaugmente et permet à la Vallée du Rupt de garder un rythme relativement soutenu de croissance démographique. Parallèlement, le solde naturel devient négatif : les naissances ne parviennent plus à compenser les décès à partir des années 90. La croissance naturelle ralentit régulièrement jusqu’en 1982 et elle est inexistante depuis 1990. Le nombre de naissances est régulièrement en baisse avec une reprise dans les années 2000.

source : Insee, RGP

1968 à 1975 à 1982 1982 à 1990 1990 à 1999 1999 à 2007 1975 Variation annuelle moyenne de la + 3,2 + 3,0 + 0,6 + 0,5 + 1,3 population en % - due au solde naturel en % + 0,7 + 0,4 + 0,3 - 0,1 0,0 - due au solde apparent des entrées + 2,6 + 2,7 + 0,2 + 0,7 + 1,3 sorties en % source : Insee, RGP / septembre / 2011

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Une augmentation du nombre de ménages Le nombre de ménages augmente régulièrement, mais à un rythme plus élevé que celui de la population. En effet la taille moyenne des ménages est en diminution constante, passant de 3.5 personnes par ménage en 1962 à 2.6 personnes en 2007. La diminution de la taille des ménages est le résultat de la conjugaison de plusieurs phénomènes : - le vieillissement de la population avec une augmentation de personnes âgées seules dans leur logement, - le départ des jeunes du domicile parental (décohabitation), - la diminution des familles nombreuses (plutôt 2 enfants par ménages que 3 ou 4).

source : Insee, RGP

Un quart de la population a moins de 20 ans En 2007, les moins de 20 ans sont au nombre de 1 645. Ils représentent un peu plus d’un quart de la population totale, soit 26%. Cette part était la même en 1999 (pour 1 417 jeunes), mais elle a fortement diminué depuis 1982. A l’époque les moins de 20 ans représentaient 34% de la population. En chiffre absolu la diminution est moins importante : -127 jeunes. Leur nombre a d’ailleurs légèrement augmenté entre 1999 et 2007 (+167).

Année 0-19 ans part / population totale 1982 1 771 34% / septembre / 2011 1990 1 515 28% 1999 1 477 26% 2007 1 644 26%

source : Insee, RGP

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source : Insee, RGP Entre 1982 et 2007 les tranches d’âges n’ont pas évolué de façon identique : - les 0-4 ans ont connu une augmentation entre 1999 et 2007, - les 5-9 ans sont restés stables, - les 10-14 accusent une diminution à partir de 1990 et sont restés stables ensuite, - les 15-19 connaissent une diminution régulière depuis 1982. Entre 1999 et 2009, la Vallée du Rupt a connu 58 naissances par an en moyenne. Mais la tendance sur les trois dernières années est plutôt à la baisse : 55, 50 et 48. / septembre / 2011

source : Insee, Etat civil

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1.2. Un parc de logements peu diversifié

Une importante dynamique de construction neuve

source : DRE, Sitadel La Vallée du Rupt est depuis plusieurs décennies un territoire de périurbanisation ; la construction neuve y est importante. Comme pour la démographie, deux périodes de croissance de logements se distinguent : - entre 1968 et 1982, +872 logements, soit +86% d’augmentation, - entre 1982 et 2007, +603 logements, soit +32% d’augmentation. Entre 1990 et 2010, c’est en moyenne 32 nouveaux logements par an qui ont été construits. La période la plus dynamique se situe entre 1995 et 2003 avec une moyenne de 41 logements par an. Le rythme de construction neuve est plus modéré depuis. Les logements construits sont presque exclusivement des maisons individuelles, même si quelques projets d’individuels groupés ou de logements collectifs ont été réalisés : - logements collectifs à Allondans (4), Aibre (3), Arcey (8), Dung (9), - logements individuels groupés à Allondans (3), Arcey (3), Dung (3), Désandans (14).

Une majorité de propriétaires et de maisons individuelles

/ septembre / 2011 En 2007, les propriétaires représentent 90% des ménages. Cette proportion était à peine plus élevée en 1999 (91%). Entre les deux périodes la CCVR a accueilli 283 propriétaires supplémentaires contre seulement 56 nouveaux locataires.

1999 2007 évolutions propriétaires 1787 2070 283 16% locataires 185 241 56 30%

1999 2007 Evolution maisons 2028 2321 293 14% appartements 45 157 112 249%

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Le parc de logements est presque exclusivement composé de maisons individuelles. En 2007, la Vallée du Rupt ne compte que 157 appartements. C’est peu, mais l’augmentation a été importante depuis 1999, puisqu’à cette date ils n’étaient que 45.

Des ménages qui habitent leur logement depuis de nombreuses années Les 90% de propriétaires de la Vallée du Rupt, habitent leurs logements depuis 21 ans en moyenne. Il s’agit donc de ménages qui « vieillissent » dans le même logement et dont les enfants quittent progressivement le domicile parental. Les locataires occupent leur logement depuis 7 ans en moyenne. Le renouvellement de population est donc beaucoup plus régulier pour ce type de logement et d’occupation. De part les caractéristiques du parc de logements – maisons individuelles, propriétaires, construction neuve importante – la Vallée du Rupt connait une occupation très « statique » qui ne permet pas un renouvellement régulier des habitants et un apport constant d’enfants dans les écoles.

1.3. Des effectifs scolaires en stagnation

Une évolution globale des effectifs scolaires qui se déconnecte de la croissance de population

source : Inspection académique, Insee - RGP Entre 1984 et 2010, la courbe des effectifs scolaires se déconnecte progressivement de la courbe de la population. Ce phénomène est particulièrement visible à partir de 2003-2004 où malgré la hausse démographique les effectifs scolaires ont commencé à stagner puis à baisser.

En 25 ans, le nombre d’élèves de la Vallée du Rupt est passé de 493 en 1985, à 609 en 2010. Le septembre / 2011 maximum a été atteint entre 2002 et 2004 avec presque 650 élèves. nombre nombre nombre nombre Années Années Années Années d'élèves d'élèves d'élèves d'élèves 1985 493 1992 577 1999 561 2006 599 1986 503 1993 544 2000 565 2007 620 1987 529 1994 522 2001 590 2008 596 1988 527 1995 525 2002 647 2009 609 1989 535 1996 534 2003 641 2010 609 1990 559 1997 539 2004 642

1991 549 1998 568 2005 633 source : inspection académique

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Une situation des effectifs différenciée selon les regroupements scolaires

source : inspection académique L’évolution des effectifs est plus ou moins régulière. L’école intercommunale Aibre – Le Vernoy – Désandans – Semondans est celle qui a connu les plus fortes variations avec une hausse importante au début des années 90 et une chute régulière jusqu’en 2000. L’école intercommunale Allondans – Dung – Présentevillers est celle qui connaît une baisse récente d’effectif la plus marquée.

Aibre - Le Vernoy Allondans Raynans Issans Total Arcey Désandans Dung Ste Marie Laire CCVR Semondans Présentevillers St Julien -Echenans 1985 119 110 67 58 117 471 1986 136 134 65 53 115 503 1987 143 124 72 53 112 504 1988 151 115 68 49 111 494 1989 153 124 92 49 117 535 1990 144 151 93 53 118 559 1991 151 170 96 52 115 584 1992 153 163 93 50 118 577 1993 146 147 84 49 118 544 1994 133 134 88 55 112 522 1995 130 130 95 57 113 525 / septembre / 2011 1996 137 123 98 61 115 534 1997 134 118 100 68 119 539 1998 143 107 99 68 131 548 1999 144 97 104 64 126 535 2000 150 90 106 66 128 540 2001 173 94 109 65 122 563 2002 187 116 118 67 135 623 2003 191 140 119 61 130 641 2004 187 141 122 57 134 641 2005 182 140 116 61 134 633 2006 184 139 118 65 133 639 2007 180 134 111 71 124 620 2008 173 129 103 75 116 596 2009 164 146 92 70 137 609 2010 177 144 87 67 134 609

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2. Etat des lieux des bâtiments scolaires

Périmètre pédagogique des équipements scolaires

Ecole intercommunale : Aibre, Désandans, Le Vernoy, Semondans. 6 classes. Regroupement pédagogique intercommunal (RPI) : Laire, Issans. 3 classes. / septembre / 2011 Regroupement pédagogique intercommunal (RPI) : Echenans, Raynans, Saint Julien les Montbéliard, Sainte Marie. 6 classes. Ecole intercommunale : Présentevillers, Dung, Allondans. 4 classes. Ecole communale : Arcey. 7 classes (+1 salle de classe non occupée). CCVR : 26 classes,1 école communale, 2 écoles intercommunales, 2 RPI

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2.1. Ecole intercommunale : Aibre, Désandans, Le Vernoy, Semondans

Aibre : école maternelle et élémentaire

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Situation L’école est située à l’intersection de la D683 (Héricourt) et de la D37 (Issans, Raynans).

Accès Un parking mitoyen permet sa desserte par les bus.

Aspect général de l’école La construction principale sur deux niveaux, (partie rectangulaire du bâtiment) date de 1956 avec une petite cour de récréation mitoyenne. Une extension a été réalisée en 1980.

Etat général des locaux Dans la partie principale du bâtiment : au rez-de-chaussée, deux salles de classe. L’étage est occupé par un logement en location, une pièce servant de salle de repos et une deuxième pièce servant de lieux de réunion et bureau de la Directrice. L’extension comprend au RDC, deux préaux couverts et des sanitaires, et à l’étage, une bibliothèque et une salle informatique. La partie ancienne du bâtiment ne répond plus aux normes d’isolation en vigueur, simples vitrages sur les menuiseries extérieures. La rénovation de cette partie de l’école semble indispensable.

Effectifs de l’école intercommunale

/ septembre / 2011 Années Effectifs Années Effectifs Années Effectifs Années Effectifs 1985 110 1992 163 1999 97 2006 139 1986 134 1993 147 2000 90 2007 134 1987 124 1994 134 2001 94 2008 129 1988 115 1995 130 2002 116 2009 146 1989 124 1996 123 2003 140 2010 144 1990 151 1997 118 2004 141 1991 170 1998 107 2005 140

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Désandans : école élémentaire

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Situation L’école est située face à l’église en centre bourg. Elle est mitoyenne avec une maison d’habitation.

Accès Accès étroit, pas de parking.

Aspect général de l’école primaire - Construction de 1826 avec une petite cour de récréation mitoyenne en contrebas, clôturée et petit préau couvert. - Enceinte clôturée. Bâtiment rénové, menuiseries PVC double vitrage.

Etat général des locaux Au rez-de-chaussée, une salle de classe, des sanitaires et des locaux annexes. A l’étage, une seconde classe, un bureau et des locaux annexes (sanitaires, dégagement). Bon état général (vu de l’extérieur, école non visitée).

Effectifs de l’école intercommunale

Années Effectifs Années Effectifs Années Effectifs Années Effectifs / septembre / 2011 1985 110 1992 163 1999 97 2006 139 1986 134 1993 147 2000 90 2007 134 1987 124 1994 134 2001 94 2008 129 1988 115 1995 130 2002 116 2009 146 1989 124 1996 123 2003 140 2010 144 1990 151 1997 118 2004 141 1991 170 1998 107 2005 140

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Le Vernoy : école élémentaire

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Situation L’école est située dans le bâtiment de la mairie le long de la D37.

Accès Pas de parking, un arrêt de bus devant l’accès à la cour de récréation.

Aspect général de l’école élémentaire Le bâtiment de la mairie date de 1789. L’école y est installée depuis une vingtaine d’années. Cour de récréation mitoyenne et petit préau couvert. Enceinte clôturée.

Etat général des locaux Une salle de classe au RDC accessible depuis un petit hall d’entrée desservant des sanitaires et un local de service. Chauffage par convecteurs électriques, menuiseries bois double vitrage.

Effectifs de l’école intercommunale

Années Effectifs Années Effectifs Années Effectifs Années Effectifs septembre / 2011 1985 110 1992 163 1999 97 2006 139 1986 134 1993 147 2000 90 2007 134 1987 124 1994 134 2001 94 2008 129 1988 115 1995 130 2002 116 2009 146 1989 124 1996 123 2003 140 2010 144 1990 151 1997 118 2004 141 1991 170 1998 107 2005 140

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Semondans : école maternelle

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Situation L’école est située dans le bâtiment de la mairie le long de la D228.

Accès Parking commun avec la mairie. Difficulté d’accès, de stationnement et de retournement des bus (voie d’accès en forte pente, pas d’aire d’arrêt spécifiques).

Aspect général de l’école maternelle Le bâtiment de la mairie date du XIXème siècle. La cour de récréation est mitoyenne et petit préau couvert. Enceinte clôturée.

Etat général des locaux Une salle de classe au RDC accessible depuis un petit hall d’entrée desservant des sanitaires et un local de service. La salle de repos des maternelles se situe à l’étage et est accessible par un escalier étroit et raide. Les menuiseries, le système de chauffage ont une trentaine d’années. Les frais de chauffage sont importants. L’ensemble nécessite d’importants travaux de remise aux normes.

Effectifs de l’école intercommunale

septembre / 2011

Années Effectifs Années Effectifs Années Effectifs Années Effectifs 1985 110 1992 163 1999 97 2006 139 1986 134 1993 147 2000 90 2007 134 1987 124 1994 134 2001 94 2008 129 1988 115 1995 130 2002 116 2009 146 1989 124 1996 123 2003 140 2010 144 1990 151 1997 118 2004 141 1991 170 1998 107 2005 140

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2.2. Regroupement pédagogique intercommunal (RPI) : Laire, Issans

Issans : école élémentaire

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Situation L’école est implantée sur deux sites : une classe située dans le bâtiment de la mairie et une classe dans un «préfabriqué». Un petit préau couvert et la cour de récréation se trouvent sur une parcelle située de l’autre côté de la D37.

Accès Pas de parking à proximité. L’implantation de l’école sur deux sites séparés par la D37 pose de nombreux problèmes de sécurité pour les enfants qui doivent traverser la voie pour accéder à la cour de récréation et au préau.

Etat général des locaux Le préfabriqué date de 1970 et n’est plus adapté aux normes en vigueur de surfaces, d’isolation et de chauffage. La classe située dans la mairie est entretenue régulièrement et est dans un très bon état général.

Effectifs du regroupement pédagogique intercommunal

Années Effectifs Années Effectifs Années Effectifs Années Effectifs

1985 58 1992 50 1999 64 2006 65 septembre / 2011 1986 53 1993 49 2000 66 2007 71 1987 53 1994 55 2001 65 2008 75 1988 49 1995 57 2002 67 2009 70 1989 49 1996 61 2003 61 2010 67 1990 53 1997 68 2004 57 1991 52 1998 68 2005 61

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–CCVR réflexion sur les équipementsscolaires – ADU

Laire : école maternelle

/ septembre / 2011

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CCVR –CCVR réflexion sur les équipementsscolaires – ADU

Situation L’école est située à l’arrière du bâtiment de la mairie.

Accès Accès piéton depuis le parking situé en contrebas de la mairie (escalier).

Aspect général de l’école L’école date de 1980. En 2001 ont été réalisés divers travaux d’isolation, de sécurisation, toiture etc.. Petite cour de récréation mitoyenne. Enceinte clôturée.

Etat général des locaux Une salle de classe au RDC accessible de plain-pied depuis un petit hall. A l’étage, la salle de repos des maternelles ainsi qu’une tisanerie et des locaux annexes.

Effectifs du regroupement pédagogique intercommunal

Années Effectifs Années Effectifs Années Effectifs Années Effectifs / septembre / 2011 1985 58 1992 50 1999 64 2006 65 1986 53 1993 49 2000 66 2007 71 1987 53 1994 55 2001 65 2008 75 1988 49 1995 57 2002 67 2009 70 1989 49 1996 61 2003 61 2010 67 1990 53 1997 68 2004 57 1991 52 1998 68 2005 61

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–CCVR réflexion sur les équipementsscolaires – ADU

2.3. Regroupement pédagogique intercommunal (RPI) : Echenans, Raynans, Saint-Julien-les-Montbéliard, Sainte-Marie

Sainte Marie : école maternelle et élémentaire

/ septembre / 2011

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CCVR –CCVR réflexion sur les équipementsscolaires – ADU

Situation L’école est excentrée, et située à environ 600 m de la mairie et du centre bourg. Elle est mitoyenne du nouveau pôle de service, siège de la Communauté de Communes de la Vallée du Rupt, de la salle des fêtes et du plateau sportif.

Aspect général du Bâtiment Construction récente (1992), cour mitoyenne. Enceinte clôturée. Matériaux récents. Menuiseries double vitrage et chauffage au gaz. Chaufferie dans bâtiment indépendant.

Accès Manque de lisibilité dans les accès de l’ensemble du secteur. Les circulations des bus et des véhicules ne sont pas différenciées. Un projet de liaison douce entre le centre du village et le groupe scolaire est en cours de réflexion.

Etat général des locaux Quatre salles de classe et un espace pour les maternelles sont organisés autour d’une zone centrale comprenant un préau couvert, des bureaux, des locaux annexes et une bibliothèque. L’étage est occupé par un logement en location. L’ensemble est en bon état général.

Potentiel Un projet d’accueil périscolaire est en réflexion sur un terrain communal mitoyen à celui de l’école.

Effectifs du regroupement pédagogique intercommunal / septembre / 2011

Années Effectifs Années Effectifs Années Effectifs Années Effectifs 1985 117 1992 118 1999 126 2006 133 1986 115 1993 118 2000 128 2007 124 1987 112 1994 112 2001 122 2008 116 1988 111 1995 113 2002 135 2009 137 1989 117 1996 115 2003 130 2010 134 1990 118 1997 119 2004 134 1991 115 1998 131 2005 134

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–CCVR réflexion sur les équipementsscolaires – ADU

Raynans : école élémentaire

/ septembre / 2011

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CCVR –CCVR réflexion sur les équipementsscolaires – ADU

Situation L’école est située en centre bourg sur une parcelle mitoyenne de la mairie et ancien bâtiment du siège de la Communauté de Communes de la Vallée du Rupt (transféré à Ste-Marie).

Aspect général du Bâtiment Construction du XIXème siècle sur deux niveaux. Cour mitoyenne clôturée. Bâtiment entièrement rénové (depuis environ 10 ans). Menuiseries double vitrage, isolation et peinture. Chauffage au gaz (réseau de chaleur par bois en plaquette en cours de réalisation pour l’ensemble des locaux communaux). Travaux de remise aux normes d’électricité, de peinture et de sécurité incendie et anti-intrusion réalisés en 2009-10.

Accès Petit parking à proximité.

Etat général des locaux Une salle de classe et de petits locaux annexes. L’étage est occupé par un logement en location. L’ensemble est en très bon état général.

Effectifs du regroupement pédagogique intercommunal

septembre / 2011

Années Effectifs Années Effectifs Années Effectifs Années Effectifs 1985 117 1992 118 1999 126 2006 133 1986 115 1993 118 2000 128 2007 124 1987 112 1994 112 2001 122 2008 116 1988 111 1995 113 2002 135 2009 137 1989 117 1996 115 2003 130 2010 134 1990 118 1997 119 2004 134 1991 115 1998 131 2005 134

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–CCVR réflexion sur les équipementsscolaires – ADU

2.4. Ecole intercommunale : Allondans, Dung, Présentevillers

Présentevillers : école maternelle et élémentaire

/ septembre / 2011

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CCVR –CCVR réflexion sur les équipementsscolaires – ADU

Situation L’école et l’accueil périscolaire sont situés en centre bourg et sont distants d’environ 200 m.

Aspect général du bâtiment Construction récente (1997). Cour mitoyenne. Enceinte clôturée. Matériaux récents. Menuiseries double vitrage et chauffage par le sol (fuel).

Accès Facile, proximité de deux parkings : un pour les parents, l’autre pour l’accès des bus. Les voies de circulation n’ont qu’une fonction de desserte du quartier résidentiel (pas de trafic de transit).

Etat général des locaux Deux salles de classe (élémentaire et maternelle) avec pour chacune un préau couvert, une vaste salle d’évolution une salle de repos, une salle informatique et bibliothèque et des locaux annexes (sanitaires, bureau). Bon état général, un rafraichissement des peintures est à prévoir.

Potentiel L’école est mitoyenne d’une zone agricole facilement mobilisable pour un éventuel projet d’extension.

Effectifs de l’école intercommunale

septembre / 2011 Année Effectifs Année Effectifs Année Effectifs Année Effectifs 1985 67 1992 93 1999 104 2006 118 1986 65 1993 84 2000 106 2007 111 1987 72 1994 88 2001 109 2008 103 1988 68 1995 95 2002 118 2009 92 1989 92 1996 98 2003 119 2010 87 1990 93 1997 100 2004 122 1991 96 1998 99 2005 116

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–CCVR réflexion sur les équipementsscolaires – ADU

Dung : école élémentaire

/ septembre / 2011

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CCVR –CCVR réflexion sur les équipementsscolaires – ADU

Situation L’école est située le long de la D326 à environ 50 mètres de la mairie à proximité immédiate de terrain de sport et de la salle des fêtes communale.

Aspect général du bâtiment Construction de 1902, cour mitoyenne. Enceinte clôturée. Bon état général.

Accès Facile, proximité d’un parking et d’un arrêt de bus. L’accès à la salle de classe se fait par un escalier étroit protégé par une barrière de protection.

Etat général des locaux La salle de classe occupe une partie du rez-de-chaussée ainsi que la chaufferie et des locaux annexes. L’étage du bâtiment est occupé par deux logements communaux en location (entrée séparée depuis la rue). Le préau couvert est mitoyen et la cour de récréation, vaste, est entièrement clôturée. Chauffage au fuel. Menuiseries extérieures double vitrage (env. 10 ans). Façades et toiture (env. 15 ans).

Effectifs de l’école intercommunale

/ septembre / 2011

Année Effectifs Année Effectifs Année Effectifs Année Effectifs 1985 67 1992 93 1999 104 2006 118 1986 65 1993 84 2000 106 2007 111 1987 72 1994 88 2001 109 2008 103 1988 68 1995 95 2002 118 2009 92 1989 92 1996 98 2003 119 2010 87 1990 93 1997 100 2004 122 1991 96 1998 99 2005 116

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–CCVR réflexion sur les équipementsscolaires – ADU

2.5. Ecole communale d’Arcey

L’école élémentaire d’Arcey

/ septembre / 2011

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CCVR –CCVR réflexion sur les équipementsscolaires – ADU

Situation Les écoles élémentaire et maternelle ainsi que l’accueil périscolaire sont situés à environ 500 m du centre bourg sur de vastes parcelles mitoyennes.

Accès Accès et parking communs pour les trois sites, desservis par une voie à sens unique. Liaison piétonne sécurisée entre les trois bâtiments. Un cheminement piéton sécurisé relie le centre du vieux village et le groupe scolaire.

Aspect général de l’école élémentaire Construction récente (1989) avec cour de récréation mitoyenne aménagée. Enceinte clôturée.

Etat général des locaux Cinq salles de classe forment la partie principale du bâtiment. Une bibliothèque, une salle informatique et un bureau sont dans une annexe accolée. Un projet de préau couvert d’environ 100m² est actuellement en cours d’études pour des travaux programmés en 2011. L’ensemble est en très bon état.

Effectifs de l’école communale / septembre / 2011

Années Effectifs Années Effectifs Années Effectifs Années Effectifs 1985 119 1992 153 1999 144 2006 184 1986 136 1993 146 2000 150 2007 180 1987 143 1994 133 2001 173 2008 173 1988 151 1995 130 2002 187 2009 164 1989 153 1996 137 2003 191 2010 177 1990 144 1997 134 2004 187

1991 151 1998 143 2005 182

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–CCVR réflexion sur les équipementsscolaires – ADU

L’école maternelle d’Arcey

L’accueil périscolaire et la restauration

/ septembre / 2011

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CCVR –CCVR réflexion sur les équipementsscolaires – ADU

Ecole maternelle Bâtiment réalisé en 1991. Une extension accolée à l’arrière du bâtiment a été rajoutée en 2000. Le plan se compose de diverses salles de classes implantées autour d’un préau couvert. Les fonctions dédiées à chaque niveau scolaire sont implantées dans des secteurs bien distincts. Une mezzanine affectée aux activités de lecture et de repos vient compléter chaque salle de classe. Aspect général du bâtiment : Très bon état (construction récente), cour de récréation aménagée. Enceinte clôturée.

Périscolaire – restauration scolaire Bâtiment réalisé en 2008 (programmation FIDEL 2007). De forme rectangulaire, il est composé de deux zones distinctes séparées par la salle à manger : - des salles d’activités et des locaux annexes (sanitaires, bureau), - une zone de service pour la restauration. Aspect général du Bâtiment : - Très bon état (bâtiment neuf), matériaux récents, - Menuiseries double vitrage, chauffage par le sol (fuel). Enceinte clôturée. / septembre / 2011

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–CCVR réflexion sur les équipementsscolaires – ADU

3. Les services autour du temps scolaire

3.1. L’organisation des transports scolaires Les transports scolaires sont organisés et pris en charge par le Conseil général du Doubs. Depuis le début des années 80, quatre trajets par jour et par lieux de scolarité sont ainsi assurés : matin (domicile-école), fin de matinée (école-domicile ou école restauration), début d’après midi (domicile- école ou restauration-école), soir (école-domicile). Les trajets de fin de matinée et début d’après midi sont appelés « transports méridiens ». Ces derniers sont assurés par le Conseil général depuis une vingtaine d’années, mais en dehors de ses compétences obligatoires. Le renouvellement du marché public des transports est l’occasion pour le Conseil général de se recentrer sur ses compétences obligatoires (cf. partie 2 : « le futur souhaité »). Actuellement les transports sont confiés à la société « Mouchet cars ».

Etat des lieux des transports à l’échelle de la communauté de communes / septembre / 2011

Les distances entre les communes ne sont pas très importantes. Les bus de transport scolaire effectuent entre 5 et 10 km cumulés par trajet. Selon le nombre de lieux de scolarité les parcours ont une organisation plus ou moins complexe et les temps de trajet sont plus ou moins longs. Actuellement, 4 circuits sont assurés par le Conseil général. Ils concernent toutes les communes de la CCVR sauf Arcey qui est la seule à disposer d’une école communale.

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Ecole intercommunale : Aibre, Désandans, Le Vernoy, Semondans

Distribution des élèves de chaque commune dans les trois autres du regroupement scolaire.

Trajet type « aller » : Durée et Fréquence: 1 - Le Vernoy Aibre 2.3 km Le trajet complet : départ le Vernoy et retour dure 30 mn pour 12 km. 2 - Aibre Semondans 1.5 km Quatre trajets par jour : matin midi (aller et retour) 3 – Semondans Désandans 1.9 km et le soir, quatre jours par semaine. 4 - Désandans Semondans 1.9 km 5 – Semondans Aibre 1.5 km 6 - Aibre le Vernoy 2.3 km

L’organisation des transports de cette école intercommunale est la plus complexe : 4 communes de résidence, 4 communes de scolarité. Des enfants de chaque commune sont scolarisés dans les trois autres communes. Le trajet complet est de 30 minutes. Pour les enfants les temps de trajet les plus longs sont entre : - Le Vernoy et Désandans : 5.8 km, 17 minutes avec un départ le matin à 08h05,

- Aibre et Semondans : 5.3 km, 17 minutes avec un départ à 08h10. Ces enfants, ont donc septembre / 2011 01h10 de trajet par jour pour 23 km.

NB : pour les effectifs détaillés se reporter à l’annexe p.72

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Regroupement pédagogique intercommunal Issans Laire

Trajet : Durée et Fréquence : Laire Issans 3.3 km Le trajet aller et retour Laire - Issans dure 11 mm pour 6.6 km Issans Laire 3.3 km Quatre trajets par jour : matin, midi (aller et retour) et le soir.

Chaque trajet entre Issans et Laire est de 3.3 km pour 5 minutes de bus. Les enfants n’étant pas scolarisés dans leur commune font donc 13.2 km et 20 minutes de trajet par jour.

NB : pour les effectifs détaillés se reporter à l’annexe p.73 / septembre / 2011

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Regroupement pédagogique intercommunal : Echenans, Raynans, St-Julien- les-Montbéliard, Ste-Marie

Trajet : Durée et Fréquence: 1 - Echenans Raynans 2.3 km Le trajet au départ d’Echenans et retour Raynans dure selon les moments de la journée 2 - Raynans St Julien 1.6 km entre 22 et 30 mn pour une distance de 8.5 km. 3 - St Julien Ste Marie 1.5 km Quatre trajets par jour : matin, midi (aller et 4 - Ste Marie St Julien 1.5 km retour) et le soir, quatre jours par semaine. 5 - St Julien Raynans 1.6 km

Le trajet complet dure entre 22 et 30 minutes. Les enfants effectuant le trajet le plus long sont ceux qui habitent Echenans et sont scolarisés à Ste-Marie : 5.6 km en 15 minutes, 4 fois par jour, soit 1 heure de trajet par jour pour 22.4 km.

NB : pour les effectifs détaillés se reporter à l’annexe p.73 / septembre / 2011

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–CCVR réflexion sur les équipementsscolaires – ADU

Ecole intercommunale : Allondans, Dung, Présentevillers

Trajet : Durée et Fréquence : Allondans Dung 2 km Le trajet au départ d’Allondans et retour à Dung dure 10 mn pour un peu plus de 4.1 km de Dung Présentevillers 2.1 km distance. Présentevillers Dung 2.1 km Quatre trajets par jour : matin midi (aller et retour) et le soir, quatre jours par semaine. Les enfants effectuant le trajet Allondans – Présentevillers ont 10 minutes de bus pour 4.1 km, soit 40 minutes de trajet par jour pour 16.4 km.

NB : pour les effectifs détaillés se reporter à l’annexe p.72 / septembre / 2011

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CCVR –CCVR réflexion sur les équipementsscolaires – ADU

3.2. L’accueil périscolaire et la restauration

Les structures existantes En 2010, la CCVR compte 3 structures d’accueil périscolaire et de restauration : Ecole d’Arcey, Ecole Intercommunale de Présentevillers et RPI de Sainte-Marie. Les communes d’Arcey et de Présentevillers ont des bâtiments spécifiques pour l’accueil des enfants (financés en partie par le contrat Fidel du Conseil général 2004-2008). La commune de Sainte-Marie a ouvert un service dans des locaux provisoires en attendant une montée en charge de l’utilisation du service, des décisions d’organisation scolaire et un plan de financement adéquat.

Arcey (pour l’école d’Arcey) Le service a ouvert pour l’année scolaire 2006-2007 dans des locaux provisoires : salle polyvalente pour la restauration et locaux de l’école maternelle pour le périscolaire. De nouveaux locaux ont été inaugurés en juin 2008. La commune délègue le service à un prestataire. Il s’agit des Francas : animation et gestion des repas (cuisine de Villersexel). 60 enfants sont accueillis en restauration et 25 à 30 le soir et le matin. L’accueil est également assuré pendant les vacances en centre de loisirs.

Présentevillers (pour l’école intercommunale) L’équipement communal a ouvert pour la rentrée 2004-2005. La capacité d’accueil est de 24 enfants/jour. Le service fonctionne également pendant les vacances scolaires en centre de loisirs. Prestataire : Léo Lagrange (qui gère également les repas avec Midirest) : 2 animateurs Coût annuel de fonctionnement 64 000 euros : reste à charge annuel pour la commune entre 20 et 30 000 € (déduction faite des subventions CAF « contrat enfance jeunesse »). Difficulté pour faire participer les communes de Dung et Allondans. Les coûts de fonctionnement correspondent à : - 45 000 € pour Léo Lagrange - Femme de service, femme de ménage - Chauffage, etc.

Sainte-Marie Ouverture d’un service en septembre 2008. Marché avec Léo Lagrange, y compris les repas (fournis par Midirest). Personnel : 1 directeur Léo Lagrange le matin, le midi, le soir. 1 ATSME de Sainte Marie le matin. 1 dame de service le midi. Coût restant à charge pour les communes au prorata des habitants du RPI. En 2009, 8,33 euros par habitant. septembre / 2011 Locaux : Périscolaire dans la bibliothèque de l’école. Repas dans la salle des associations à 100 mètres de l’école. Des locaux spécifiques deviennent urgent, surtout dans la perspective de 2014 quand il n’y aura plus de transports médians par le CG et qui provoquera sans doute une hausse de la demande. Effectifs moyens en 2010-2011 : - Matin : 8.4 - Midi : 17.6 - Soir de 16h30 à 17h30 : 5.4. Soir de 17h30 à 18h30 : 2.8 Quand il y a plus de 20 enfants le midi, une deuxième ATSEM est nécessaire pour l’encadrement et le service des repas.

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Les assistantes maternelles

2008 2011 2008 2011 nombre nombre nombre de nombre de Communes Evolution Evolution d'ass.mat d'ass.mat places places Aibre 8 5 -3 23 14 -9 Allondans 1 1 0 2 5 3 Arcey 30 25 -5 81 69 -12 Désandans 8 15 7 32 40 8 Dung 13 10 -3 31 24 -7 Echenans 1 2 1 4 7 3 Issans 5 8 3 16 22 6 Laire 8 12 4 27 32 5 Présentevillers 5 3 -2 17 8 -9 Raynans 0 1 1 0 4 4 Saint-Julien-lès-Montbéliard 1 4 3 6 12 6 Sainte-Marie 8 8 0 31 27 -4 Semondans 4 1 -3 14 6 -8 Le Vernoy 4 2 -2 10 7 -3 TOTAL CCVR 96 97 1 294 277 -17 source : Conseil général du Doubs-PMI, 25 septembre 2008, 5 avril 2011

277 places d’accueil En 2011, dans la CCVR, sont recensées 97 assistantes maternelles agréées par le Conseil général. Elles peuvent accueillir théoriquement 277 enfants de 3 mois à 11 ans, dont 157 de moins de 3 ans. Le nombre théorique de places a légèrement diminué depuis 2008, moins 7 places, mais ne permet pas de préjuger du nombre réel de places : toutes les assistantes maternelles agréées ne sont pas en activité et elles n’accueillent pas forcément autant d’enfants que leur agrément leur permet, etc. A l’inverse certaines assistantes accueillent plus d’enfants que leur agrément….

Un « taux d’équipement » de 30% Les places d’accueil chez les assistantes maternelles représentent 45% des effectifs scolaires de l’année 2010-2011 (277 / 609). Par contre, en prenant en compte la population enfantine de 0 à 10 ans, les places ne permettent d’accueillir que 30% des enfants de la Vallée du Rupt. Avec un taux d’accueil faible par les assistantes maternelles, le territoire de la CCVR n’est pas à même de répondre aux demandes des nouvelles populations qui sont en majorité composées de ménages jeunes, avec enfants et double actifs.

D’importantes disparités entre les communes

/ septembre / 2011 Avec 1 353 habitants, Arcey est la commune la plus peuplée de la Vallée du Rupt. Logiquement c’est également elle qui accueille le plus d’assistantes maternelles (25). Le rapport poids de population / nombre d’assistantes maternelle est par ailleurs relativement confirmé sauf pour Ste-Marie qui n’a que 8 assistantes maternelles pour 721 habitants et Laire qui en compte 12 pour 389 habitants.

Complémentarité entre modes de garde D’après les professionnels du secteur (Relais RAM, CAF, prestataires de périscolaires…), la concurrence entre les assistantes maternelles périscolaires et les accueils collectifs périscolaires n’existe pas vraiment. Pour une nouvelle structure collective il faut en général 1 à 2 ans avant d’atteindre un fonctionnement stabilisé et avoir un taux de remplissage optimum. Après une période d’adaptation un équilibre est généralement trouvé, les assistantes maternelles accueillant souvent des fratries (pré scolaires et périscolaires) ou des enfants dont les parents ont des amplitudes horaires « larges », comme par exemple les commerçants. Par contre, l’offre d’accueil pour les parents travaillant en horaires décalés de tournée n’existe pas vraiment. Cela suppose de faire garder les enfants la nuit et les familles n’en ont généralement pas les moyens. Des solutions familiales ou non déclarées sont alors probablement mises en œuvre.

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PARTIE 2 - LE FUTUR SOUHAITE Un débat apparaît nécessaire pour orienter un choix collectif en matière d’organisation scolaire. Le débat devrait prendre en compte les intérêts et les contraintes de chaque partie prenante : élus, familles et enfants, enseignants, etc. Les éléments suivants peuvent permettre aux élus d’alimenter ce débat de fond au sein de la communauté de communes.

1. Poursuites de tendances

1.1. Un accroissement de population modéré Les projections démographiques sont réalisées par poursuite de tendances d’une période de référence et vers un ou plusieurs horizons déterminés. Plus les horizons sont éloignés plus les résultats sont incertains. En fonction des évolutions passées, plusieurs périodes de références ont été retenues : - 1968-2007 - 1975-2007 - 1990-2007 - 1999-2007. Les horizons choisis sont : 2015 (futur très proche), 2020 et 2030.

2007 2015 2020 2030 septembre / 2011 Scénario 1968-2007 6 940 7 290 7 980 scénario 1975-2007 6 720 7 010 7 580 6 262 scénario 1990-2007 6 600 6 860 7 370 scénario 1999-2007 6 870 7 250 8 020 Les scénarios de références prenant en compte les fortes périodes de croissance démographiques, 1968-1982 et 1999-2007, sont ceux qui montrent le plus fort accroissement de population : environ 8 000 habitants à l’horizon 2030. A contrario, les scénarios prenant en compte des périodes de croissance moins dynamiques annoncent entre 7 300 et 7 500 habitants à l’horizon 2030. Cependant, quelque soit le scénario de référence, les projections démographiques montrent un accroissement de population très modéré. Les fortes périodes de croissance des années 60 et 70 ne

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–CCVR réflexion sur les équipementsscolaires – ADU

se reproduiront plus, surtout dans un contexte national d’une consommation de foncier agricole modéré (lois Grenelle). Scénario 1982-2007 1982 1990 1999 2007 2015 2020 2030

0-4 ans 237 273 270 372 385 409 456

5-9 ans 405 406 377 476 460 471 493

10-14 ans 539 381 438 440 393 379 352

15-19 ans 590 455 392 350 256 209 116

Moins de 20 ans 1 771 1 515 1 477 1 638 1 494 1 468 1 416

Les poursuites de tendances pour les habitants de moins de 20 ans montrent même une baisse de cette catégorie de population.

1.2. Les effectifs scolaires

Quelques précisions méthodologiques Les projections d’effectifs scolaires par poursuites de tendances peuvent se faire soit à partir des effectifs scolaires, soit à partir des enfants d’âge scolaire. Les données de 1999 et 2007 (recensement) montrent que les 3-10 ans sont plus nombreux que les élèves scolarisés dans la Vallée du Rupt. Le nombre d’élèves représentait 96% des 3-10 ans en 1999 et seulement 86% en 2007. Les projections de tendances seront donc significativement différentes.

Age scolaire Effectifs part des élèves (3-10 ans) scolaires /3-10 ans 1999 584 561 96% 2007 718 620 86% source : Insee RGP, Inspection académique Afin de faire des prolongements de tendances des 3-10 ans, il est nécessaire d’estimer leur nombre. A partir des données connues des deux derniers recensements, il est possible de faire « glisser » les cohortes d’années en années. Est également intégré sur le même principe le nombre de naissances de la vallée du Rupt. Ces données ne sont cependant pas exactes puisqu’elles ne prennent pas en compte les migrations résidentielles (emménagement – déménagement) de la Vallée du Rupt. Il s’agit bien de disposer d’ordre de grandeur. Avec ces résultats, en 2010 le nombre d’élèves scolarisés représenterait 98% des enfants de 3 à 10 ans.

âge âge âge âge âge âge âge âge Total

année 3 ans 4 ans 5 ans 6 ans 7 ans 8 ans 9 ans 10 ans 3-10 ans

/ septembre / 2011 1999 57 68 82 74 72 73 86 72 584 2007 78 70 94 83 101 99 92 102 718 2008 58 78 70 94 83 101 99 92 675 2009 72 58 78 70 94 83 101 99 655 2010 67 72 58 78 70 94 83 101 623 2011 50 67 72 58 78 70 94 83 572

Données Glissement de Naissances (Etat civil par Nb des 3-10 ans par

Recensement cohorte glissement de cohorte) glissement de cohorte

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Entre 550 et 590 élèves à l’horizon 2020 ? Les écoles de la Vallée du Rupt totalisent à la rentrée 2010-2011 609 élèves, 26 classes avec un effectif moyen de 23 enfants par classe. Les projections d’élèves par poursuite de tendance donnent une augmentation ou une diminution du nombre d’élèves selon les scénarios choisis.

Poursuites de tendances des effectifs scolaires Effectifs scolaires Nombre de classes (25/classe) 2015 2020 2015 2020 scénario 1985-2010 660 685 26 27 scénario 1999-2010 643 657 26 26 scénario 2002-2010 573 544 23 22 scénario 2007-2010 596 586 24 23 source : Inspection académiques

Poursuites de tendances des enfants d’âge scolaire âge scolaire (3-10 ans) nombre de classe (25/classe) 2015 2020 2015 2020 scénario 1999-2010 702 734 28 29 scénario 2007-2010 469 316 19 13 source : Insee RGP et Etat Civil

Concernant les poursuites de tendances d’effectifs scolaires, à l’horizon 2020, selon le scénario de référence les effectifs varient de +76 élèves à -69 élèves, soit + 1 classe à -4 classes. Pour les tendances d’âge scolaire, selon le scénario de référence les résultats sont de +93 à -140 élèves, soit +3 classes à -13 classes. Les poursuites de tendances à partir des effectifs scolaires paraissent plus « sûres », mais les scénarios les moins optimistes (2002-2010 ou 2007-2007) sont les plus plausibles. En effet, au regard des caractéristiques du parc de logement et de la construction neuve (35 logements par an, maisons individuelles et propriétaires majoritaires), la croissance de population et l’apport régulier de jeunes enfants ne seraient pas très importants.

2. Les éléments financiers

2.1. Les capacités financières des collectivités Les éléments suivants sont issus de la rencontre qui s’est tenue en septembre 2010 entre l’ADU et le percepteur de Sainte-Suzanne, en présence du président de la CCVR. septembre / 2011 Il s’agit de disposer d’éléments financiers concernant les communes afin d’appréhender leurs capacités d’investissements dans les prochaines années. En 2009, la capacité d’auto-financement cumulée pour les 14 communes de la CCVR n’atteignait pas tout à fait 1 million d’euros. Par ailleurs, les emprunts contractés par certaines communes sont importants et ne leur laisse que peu de marge de manœuvre pour des investissements futurs.

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Capacité Annuités de la Année d'autofinancement dette par par commentaires total/an total/an 2009 habitant/ habitant/a (€) (€) an (€) n (€) Emprunts en cours : A partir de 2012 un emprunt se termine -> +15 00 € au 21 000 € d'auto financement 7 autres emprunts en cours sur de longues périodes Aibre 45 21 000 50 000 (échéances à fin 2010 jusqu’à fin 2032). Ressources : TP de LGV (compensation qui perdurera plus longtemps que les travaux TGV) carrière Pas d'emprunt en cours. Ressources : loyers d’une quinzaine de logements Allondans 336 70 000 2 communaux. Investissements à venir : Travaux du temple, école, équipements sportifs Désandans 130 93 000 28 20 000 Ressources : projet de locatifs en autofinancement Pas d'emprunt en cours. Ressources : Lotissement communal en cours. Dung 88 60 000 0 0 Baisse des revenus de la carrière (en cours de remblaiement). Emprunts : A partir de 2011 nouvel emprunt 115 000 € pour réaménagement de la mairie / Echenans 197 24 000 8 950 création d’une salle de convivialité. Durée : 20 ans 8 500 € à déduire de la capacité d'autofinancement Emprunts : 2 emprunts terminés en2011 et 2016 +11 000 €/an à partir de 2012 +10 500 €/an à partir de 2017 Laire 53 20 000 63 23 000 Remarque : Syndicat des eaux / assainissement avec Tavey en Haute-Saône coûteux pour la commune. Ressources : TP de la LGV Emprunts : plusieurs en cours sur 10 à 12 ans. Périscolaire jusqu'en 2016, lotissement communal, Présentevillers 208 100 000 63 31 000 maison Demougeot (à transformer en locatifs). Ressources : Recettes de carrière 95 000€/an Emprunts : à venir 45 000€ / an pour logements locatifs/chaufferie bois Raynans 93 30 000 38 13 000 Situation « tendue ». Lotissement communal en finalisation (reste 2 parcelles libres). Ressources à venir : les recettes de loyers. Saint-Julien 114 20 000 65 11 000 Emprunt : à venir 30 000€ pour ? Emprunt : à venir 70 000€ prévu en 2011. / septembre / 2011 Sainte-Marie 65 48 000 83 60 000 Travaux en cours, route de Lougre Emprunt : 1 terminé en 2014 : 6 700€/an Remarque : en 2009 pas d’autofinancement ! Semondans 0 0 29 9 000 Budget 2010 : 25 000 € d'autofinancement prévu Combiné à la fin de l’emprunt Emprunt : 1 emprunt jusqu'en 2016 Ressources : encore quelques parcelles à vendre Le Vernoy 157 21 000 23 3 000 dans le lotissement communal TP de la LGV Arcey 346 470 000 33 44 000 Ressources : carrières, artisans… Addition de l’autofinancement 2009 des TOTAL 977 000 communes de la CCVR

NB : il manque les éléments d’Issans . Source : entretien avec le percepteur de Sainte-Suzanne, septembre 2010

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2.2. Références financières de projets d’équipements scolaires

Ecole des Trois Fontaines Les trois villages, , et , au nord du Pays de Montbéliard ont créé un syndicat intercommunal en 2008. Il a pour objectif de réfléchir à la création d’un groupe scolaire réunissant à la fois, l’enseignement, la restauration collective et l’accueil périscolaire. Les besoins ont été définis comme suit : - Capacité d’accueil : 220 élèves - Nombre de classes : 9 à 10 + salle de langues + salle informatique - Restauration - Accueil périscolaire - Assiette du terrain : 8500 à 9000 m² (y compris espaces extérieurs et cour de récréation). - Bâtiment école : 2300 m² et périscolaire : 300 m² Le syndicat a fait réaliser une étude de faisabilité par un bureau d’étude spécialisé en programmation, pour un montant HT de 16 320 € (les 6 offres répondant au cahier des charges rédigé par Pays de Montbéliard Agglomération s’échelonnaient de 10 000 à 40 000 €). Le coût prévisionnel de la construction d’une école neuve avec restauration et périscolaire, dans une « solution économique » était 3 126 000 € HT. Le syndicat a alors orienté l’étude vers la réhabilitation des trois sites scolaires existant et la construction d’une restauration et d’un accueil périscolaire. Le coût prévisionnel s’établit en avril 2011 à 3 133 000 € HT, dont 317 000 € HT pour la restauration – périscolaire. Le choix d’une option n’est aujourd’hui pas encore arrêté, mais la faisabilité du projet, quelle que soit la décision, est compromise au regard des capacités financières des trois communes concernées. Une solution envisagée est de garder des écoles de compétence communale associées à un périscolaire créé et géré par le syndicat des Trois Fontaines. / septembre / 2011

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Ecole de Langouët, agglomération de Rennes Fiches technique du site internet du réseau BRUDED (Bretagne Rurale et rUrbaine pour un DEveloppement Durable) : réseau de collectivités bretonnes pour échanges d’expériences et de pratiques sur le développement durable.

/ septembre / 2011

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3. Structures juridiques

3.1. Syndicat intercommunal Le syndicat intercommunal est un Etablissement Public de Coopération Intercommunale (EPCI). Il s’agit d’une coopération de forme associative permettant de créer et gérer ensemble des activités ou des services publics, par opposition aux formes fédératives qui regroupent des communes autour d’un projet de développement local et favorise l’aménagement du territoire. Il est créé par arrêté préfectoral sur sollicitation des communes. Il est à vocation unique ou multiple. Le syndicat à vocation unique peut gérer plusieurs œuvres ou services à condition qu’ils soient complémentaires.

3.2. Convention de moyens ou de prestations Pour les écoles, des conventions peuvent déterminer les règles de fonctionnement et de répartition des charges entre plusieurs communes et leur approbation fait l’objet d’une décision du conseil municipal. C’est une solution souple pour les signataires qui peuvent la réviser en fonction des besoins.

3.3. Le contexte de la réforme des collectivités territoriales (loi du 16.12.2010) Adoptée le 16 décembre 2010, la loi portant sur la réforme des collectivités territoriales crée de fait un contexte de négociation et d’ajustement pour les collectivités jusqu’en 2013. En effet, le processus de réforme vise la simplification des structures territoriales, la refonte des intercommunalités. Concernant la refonte de l’intercommunalité, les objectifs de la loi sont le rattachement des dernières communes isolées, la rationalisation du périmètre des Etablissements de coopération intercommunale (EPCI) et la suppression des syndicats obsolètes. A cet effet, un schéma départemental de coopération intercommunale devra être élaboré avant le 31 décembre 2011 par le Préfet. Ainsi, le contexte d’élaboration de ce schéma rend l’Etat peu enclin à valider la création de nouveaux syndicats lorsque les communes l’interrogent ; en l’occurrence lorsque les communes de la CCVR concernées ont sollicité le Sous-Préfet sur les possibilités de création d’un syndicat pour porter un projet d’école, ce dernier ne s’est pas montré favorable. Mais la priorité des communes de la CCVR est sans doute d’arrêter un projet d’organisation, le portage financier par des instances existantes ou à créer viendra en second temps. / septembre / 2011

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4. Les services autour du temps scolaire

4.1. Transports : vers une réorganisation du transport méridien à partir de 2012 L’organisation des transports du matin et du soir ne changera pas et continuera d’être pris en charge par le Conseil général. Des changements d’importance concerneront le transport méridien : à la sortie de l’école en fin de matinée et avant les cours de l’après midi.

Un service entre l’école et la restauration collective A partir de la rentrée scolaire de septembre 2012, le Conseil général ne prendra en charge les transports que pour les trajets entre le lieu de scolarité et le lieu de restauration collective (fin de la prise en charge école domicile sur le temps méridien) . Le transport sera assuré quelque soit le lieu de restauration, y compris dans un autre regroupement scolaire, une autre communauté de communes, un collège, etc. Ces trajets peuvent se faire en dehors des limites départementales. Pour les communes et écoles intercommunales (ou RPI) sans restauration : - soit elles passent convention avec un autre équipement et les enfants fréquentant cet équipement sont transportés, - soit elles financent le transport pour les élèves qui rentrent au domicile le midi. Dans tous les cas, le Conseil général n’assurera plus « gratuitement » le transport méridien école- domicile.

Une période de transition 2012 – 2014 Le désengagement financier du Conseil général se fera progressivement sur les trois années scolaires 2012-2013, 2013-2014 et 2014-2015. La contribution financière pour le transport méridien demandé aux communes se fera en fin d’années scolaires, les répercussions sur les budgets communaux se feront donc entre 2013 et 2015. - 2012-2013 : le Conseil général finance 50% du transport méridien école-domicile, - 2013-2014 : le Conseil général finance 25% du transport méridien école-domicile, - 2014-2015 : le Conseil général finance 0% du transport méridien école-domicile. Cette période de transition pourrait être négociée si les élus ont un projet de mise en place de service de restauration collective (soit dans une nouvelle structure, soit dans une structure existante par convention entre communes).

Principes de financement du transport méridien Le Conseil général peut rester prestataire transport pour les communes qui le souhaitent (y compris pour des transports méridiens école-domicile). / septembre / 2011 Le prix forfaitaire est de 50€ par jour de classe et par véhicule (pour 1 aller/retour méridien et quelque soit le type de véhicule). Le budget du transport méridien annuel est donc d’environ 7 500 euros (coût négocié par le Conseil général et répercuté aux communes). Si les élus décident : - de ne garder que le transport école – restauration scolaire : 0€ à charge pour les communes - de déposer des enfants à domicile entre l’école et la restauration scolaire : 25€/jour à charge pour les communes - de conserver la desserte domicile : 50€/jour à charge pour les communes.

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Localisation de la restauration pour optimisation des temps de transports Pour une optimisation des transports méridiens vers la restauration scolaire et un meilleur confort des enfants transportés (temps de parcours moins longs), il vaut mieux éviter de localiser la restauration au centre géographique du regroupement scolaire. Localisation optimisée localisation non optimisée

4.2. Les services de restauration et d’accueil périscolaires : éléments de référence

Investissements : des coûts importants mais des aides mobilisables Pour la création d’une structure de restauration scolaire et/ou de périscolaire, les collectivités peuvent solliciter différents types d’aides. Jusqu’en 2009, les deux principaux partenaires financiers ont été la Caisse d’Allocations Familiales et le Conseil général du Doubs par le biais du contrat FIDEL. Trois structures ont ainsi été aidées entre 2004 et 2009 pour le Contrat Sud Aire urbaine : Etouvans, Présentevillers et Arcey : montant des travaux 596 790 € HT, subvention Fidel de 178 737 € (30%). Depuis l’arrêt du Contrat Fidel, les aides du Conseil général sont mobilisables au travers de l’enveloppe territoriale pour les projets répondant aux objectifs de Doubs 2017 et aux priorités définies par le département : petite enfance, jeunesse, services à la personne…. Par ailleurs, les aides de la CAF restent mobilisables.

Fonctionnements : des coûts qui peuvent freiner le développement du service Concernant les coûts de fonctionnement, la CAF est le principal partenaire des collectivités. Elle aide les communes au travers de contrats. Jusqu’en 2006, deux types de contrats existaient : le « contrat enfance » pour l’accueil des moins de 3 ans (crèches), le « contrat temps libre » pour les plus de trois ans. Ils ont été fusionnés dans le « contrat enfance jeunesse ». Ce nouveau dispositif prend en charge au maximum 55% du résiduel à charge des communes, après coût payé par les familles, pour une période de 4 ans. Les dispositifs précédents pouvaient atteindre 70% du coût résiduel. Par septembre / 2011 ailleurs, il est basé sur des paramètres de résultats, en particulier de taux d’occupation et de prix de revient. Si les résultats ne correspondent pas à la réglementation de la Caisse Nationale d’Allocations Familiales une dégressivité des aides est mise en place. Cette réforme des aides peut être problématique pour de nombreuses communes qui n’ont pas la capacité financière pour assurer le fonctionnement et qui peuvent hésiter à créer une structure ou à étendre la capacité ou le service. De façon générale, le contrat enfance jeunesse est un dispositif complexe pour les collectivités, malgré l’accompagnement réalisé par la CAF.

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L’exemple de la Communauté de communes des Balcons du Lomont

La CCBL dispose de 6 sites d’accueil périscolaire qui couvrent les 12 communes : Roches-lès- (Roches, , Ecurcey, ) : accueil du matin et du soir à l’école maternelle – restauration à la salle des fêtes, Meslières (Glay et Meslières) : 2 salles dédiées à l’école de Meslières, Abbévillers : locaux dédiés en mairie, Blamont : locaux dédiés appartenant à la mairie, Villars-lès-Blamont (Villars-les-Blamont et Pierrefontaine-les-Blamont) : 1 salle pour l’accueil du matin et du soir + 1 salle pour la restauration scolaire, -Roide, ne fonctionne plus actuellement faute d’effectif : 1 salle pour l’accueil du matin et du soir à l’école + 1 salle des fêtes pour la restauration. Les effectifs scolaires sont de 580 enfants en 2010 – 2011. La fréquentation moyenne en 2010 est de : - 22 enfants le matin, - 65 enfants le midi, - 35 enfants le soir.

Personnel La CCBL passe annuellement une convention d’objectifs avec les Francas. Ces derniers gèrent l’ensemble de l’animation, des inscriptions, de la facturation. Ils gèrent également la commande des repas auprès de Midirest-Scolarest. Une dizaine de personnes engagées par les Francas travaillent exclusivement dans la CCBL, dont seulement 2 à temps plein. La communauté de communes dispose de 6 agents pour le service des repas et l’entretien des locaux (temps non complets).

Budget La communauté de communes avait en 2009 un budget de 315 914 euros pour l’ensemble de ses actions enfance et jeunesse : crèche, périscolaire et restauration, centre de loisirs (mercredi et vacances), actions 12-18 ans. Dans le cadre du Contrat Enfance Jeunesse, la CCBL touchait une subvention de la CAF de 130 000 euros (41%). Les dépenses liées uniquement au périscolaire et à la restauration étaient de : - 105 401 euros pour les Francas, - 61 762 euros pour le personnel de service et l’entretien des locaux.

/ septembre / 2011 L’exemple de Dampierre les Bois : engagement d’un service à l’essai La commune de Dampierre les Bois, qui appartient à la communauté d’agglomération du Pays de Montbéliard, compte 1 616 habitants. Elle a engagé une réflexion pour la création d’un service périscolaire durant l’année 2011. Soucieuse d’agir vite mais prudemment, elle proposera dès la rentrée de septembre 2011 un service calibré à 10 enfants de l’école élémentaire accueillis dans une salle de convivialité existante. La commune devra investir dans des aménagements de la salle, notamment pour créer et équiper une cuisine (fours et réfrigérateurs). Des tarifs prévisionnels sont annoncés : 1,4€ par heure le matin et le soir ; 4 à 7,5 le repas (y compris l’accueil) selon le coefficient familial.

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L’exemple de Vandoncourt : recours à un service existant sur une commune voisine Vandoncourt est une petite commune de 800 habitants qui appartient à la communauté d’agglomération du Pays de Montbéliard. Elle a constitué un RPI avec la commune de Montbouton de 433 habitants située dans le Territoire de Belfort. Ces communes utilisent le service mis en place par la commune voisine de . N’ayant pas de compétence périscolaire, le ramassage des enfants est assuré par la compagnie de transport de la communauté d’agglomération du Pays de Montbéliard (minibus de 32 places). Une vingtaine d’enfants bénéficie du service (sur 72 élèves du RPI à Vandoncourt). Le coût du repas et le temps d’accueil (6,5 €) facturé par la commune de Dasle est intégralement à la charge des familles (pas de tarification selon coefficient familial). La commune de Vandoncourt établit un budget d’environ 1 000 € par an correspondant au temps de secrétariat pour organiser le service, aux heures du personnel ATSEM et à la prise en charge de la carte d’abonnement au transport collectif pour les enfants concernés. Le maire précise que la participation financière des familles couvre les frais de personnel dès que 5 enfants sont présents à l’accueil périscolaire ; situation finalement fréquente dans un contexte où les assistantes maternelles ont atteint leur quota. Il indique également que des parents bénévoles peuvent être mobilisés pour accompagner les enfants à la restauration scolaire. Un point annuel est organisé avec les familles qui jusqu’à présent se disent satisfaites de l’organisation du service.

L’exemple de Bavans : du prestataire à la régie Les écoles maternelle et primaire commune de Bavans, 3 600 habitants, comptent 359 élèves. Le service de restauration scolaire accueille une centaine d’enfants chaque midi. L’accueil est organisé sur 2 sites : à l’école maternelle pour limiter les déplacements des petits. A la salle polyvalente pour les élèves du primaire qui effectuent leurs déplacements à pied, soit une dizaine de minutes par trajet.

Après avoir privilégié un contrat avec un prestataire de services, au vu des coûts et de la montée en charge des effectifs concernés, la commune a intégré l’organisation et la prise en charge de l’accueil et la restauration périscolaire dans le fonctionnement de ses propres services.

Le budget annuel de fonctionnement est de 240 000€ (chiffre 2011) pour le personnel de service communal et le personnel d’entretien. Ces dépenses sont couvertes par une subvention la CAF (60 000€), la participation des familles et de la ville. Les tarifs de l’accueil périscolaire s’élèvent à 1,70€ / heure et de 3,3 à 5,5 pour le repas (y compris le service d’accueil) selon le coefficient familial. / septembre / 2011

Ces différents exemples veulent illustrer qu’il y a plusieurs réponses possibles à la question de l’accueil périscolaire. Les communes offrent un service en fonction du besoin des familles, en fonction de leurs opportunités de réutiliser des locaux et limiter les investissements, en fonction d’accords qu’elles peuvent solliciter auprès de communes voisines, en fonction de leurs finances et des arbitrages à conduire (limiter l’accueil à x personnes)… Ce service peut évoluer au fil des ans, mais l’expérience montre qu’un service proposé est rarement supprimé faute d’effectifs. Le besoin est réel et va sans doute croissant, c’est un facteur d’attractivité dont les communes doivent tenir compte pour conduire leurs actions en faveur de l’accueil des nouveaux ménages.

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PARTIE 3 – LES SCENARIOS D’ORGANISATION

1. Scénario 1 : le statu quo, maintien de l’organisation actuelle

L’organisation actuelle est maintenue. Une intervention est proposée pour les cas les plus problématiques Issans (RPI) et Semondans (EI). Issans : quel avenir pour le préfabriqué ? Démolition-reconstruction ? - soit d’1 classe de remplacement septembre / 2011 - soit de 2 classes pour l’ensemble des effectifs Semondans : quel niveau d'intervention sur la classe ? - Soit une rénovation lourde - Soit construction d’une classe

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2. Scénario 2 : maintien et optimisation des regroupements existants Les regroupements sont maintenus, accompagnés d’une redistribution des effectifs

2.1. Ecole intercommunale Aibre, Désandans, Semondans, Le Vernoy

L’organisation est complexe et mériterait d'être simplifiée. Une optimisation des investissements et de l’organisation pourrait être : - la fermeture de la classe de Semondans, - l’accueil de cette classe à Aibre dans l’ancienne bibliothèque communale. La faisabilité est cependant faible. L’ancienne bibliothèque pourrait permettre l’agrandissement d’une salle de classe, plutôt que la création d’une nouvelle classe.

2.2. RPI de Issans, Laire Variante 1 Variante 2 / septembre / 2011

S2 - Variante 1 La classe de Laire est maintenue en l’état. Construction de 2 nouvelles classes à Issans.

S2 - Variante 2 Fermeture de la classe de Laire et construction de trois classes à Issans.

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2.3. Ecole intercommunale d’Allondans, Dung, Présentevillers Variante 1 Variante 2

L’ensemble des classes est regroupé à Présentevillers : S2 – Variante 1 : optimisation des locaux actuels par une réorganisation des espaces des classes maternelles. S2 – Variante 2 : construction d’une classe en extension.

2.4. RPI Echenans, Raynans, St-Julien, Sainte-Marie Variante 1 Variante 2 / septembre / 2011

Regroupement de toutes les classes à Ste-Marie : S2 - Variante 1 : optimisation des locaux actuels (utilisation de la salle périscolaire car projet d’accueil périscolaire en cours de réflexion), S2 - Variante 2 : construction d’une classe en extension.

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3. Scénario 3 : redistribution des regroupements existants et périscolaires

3.1. S3 – Variante 1 : trois écoles

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L'école d'Arcey est maintenue. Les écoles de Sainte Marie et Présentevillers sont restructurées et étendues. Trois écoles de 8 à 10 classes. Fermeture de toutes les autres écoles. Les services périscolaires de Présentevillers et Arcey sont renforcés et celui de Ste-Marie est calibré pour accueillir tous les enfants du regroupement.

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3.2. S3 – Variante 2 : quatre écoles

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L'école d'Arcey est maintenue. Les écoles de Ste-Marie et Présentevillers sont optimisées sans extension. Une 4° école en appui : - soit par la restructuration et la rénovation lourde de l’école d’Aibre - soit par la réalisation d’un nouvel équipement pour le secteur localisé selon les opportunités foncières. Périscolaire : création d’un service pour le nord (en fonction opportunités foncières) et/ou calibrage des services existants : Ste-Marie, Arcey, Présentevillers.

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PARTIE 4 - SYNTHESE DE L’ETAT DES LIEUX ET SCENARIOS : LES ELEMENTS DE DEBAT

1. Synthèse de l’état des lieux

1.1. L’organisation schématique - Une école : un équipement qui anime la vie des villages - 11 écoles de 1 à 5 classes - Des trajets plus ou moins complexes - 3 accueils périscolaires - Des organisations et des fonctionnements intercommunaux variés - Une nécessité de faire évoluer cet état des lieux

Le tableau suivant, permet une lecture détaillée et synthétique des éléments de l’Etat des lieux.

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1.2. Le tableau de synthèse de l’état des lieux, fonctionnement actuel

Bâtiments : Eléments financiers de Eléments financiers des Communes du Communes avec - bon état périscolaire / fonctionnement - travaux- Effectifs scolaires Déplacements communes regroupement école - à rénover restauration entretien : écoles et Année 2009 - mauvais état périscolaires

Déplacements complexes. Pour les 4 communes : 4 écoles : 6 classes 144 élèves ECOLES : 4 communes : bon état : 2 classes Trajets les plus longs : cumulé et par an: Aibre : 2 classes Aibre : 48 Pour les 4 communes, Ecole intercommunale Aibre, Désandans, à rénover : 3 classes - Le Vernoy - 135 000 euros Désandans : 2 classes Désandans : 49 pas de service environ 48500 euros / an Aibre - Désandans - Semondans - Le Vernoy Semondans, Le mauvais état : 1 Désandans : 5,8 km, d'autofinancement Semondans : 1 classe Semondans : 25 plus 1 poste d'Atsem + 1 Vernoy classe 17 mm - 123 000 euros d'anuités Le Vernoy : 1 classe Le Vernoy : 24 poste de ménage - Aibre Semondans : de la dette 5,3km, 17 mm

Restauration- Pour les 3 communes : périscolaire à ECOLES : 2 écoles : 4 classes 87 élèves Trajet le plus long : cumulé et par an : 3 communes : Présentevillers. 24 pour les 3 communes, Ecole intercommunale Dung : 1 classe Dung : 24 bon Etat : 3 classes Allondans - 230 000 € Allondans, Dung, places (enfants de environ 16 700 €/an Allondans - Dung - Présentevillers Présentevillers : 3 Présentevillers : à rénover : 1 classe Présentevillers : 4,1 d'autofinancement, Présentevillers Présentevillers, plus PERISCOLAIRE : classes 63 km, 10 mm - 31 000 euros d'annuités quelques enfants de environ 30 000 €/an de la dette l'EI)

20 000 € 2 écoles : 3 classes 69 élèves bon état : 2 classes ECOLE : d'autofinancement Regroupement Pédagogique Intercommunal 2 communes : Trajet le plus long : Laire : 1 classe Laire : 23 mauvais état : 1 pas de service Pour les 2 communes, 23 000€ d'annuités de la Issans - Laire Issans, Laire 3,3km, 20 mm Issans : 2 classes Issans : 46 classe environ 16 800 €/an dette MANQUE ISSANS ECOLE : Pour le fonctionnement Restauration- des écoles du RPI : 96000€ Pour les 4 communes : 4 communes : Ste- périscolaire à Ste- (2009-2010). Clef de cumulé et par an : 2 écoles : 6 classes 134 élèves Trajet le plus long : Regroupement Pédagogique Intercommunal Marie, Raynans, Marie (pas de locaux répartition entre les 4 - 122 000 € Ste-Marie : 5 classes Ste-Marie : 113 bon état : 6 classes Echenans - Ste Marie : Ste-Marie - Raynans - St-Julien - Echenans St-Julien, dédiés). 25 places (si communes en fonction de d'autofinancement, Raynans : 1 classe Raynans : 21 5,6 km, 15 mm Echenans plus de 20 enfants, la population et du nombre - 11 000 € d'annuités de

2ème ATSEM). d’enfants. la dette. septembre U / 2011 PERISCOLAIRE : 8,33 € par habitants (2009)

ECOLE : Environ 10 230 €/an de 2 écoles : 7 classes 470 000 € 177 élèves Restauration- fonctionnement et 142 900 Ecole communale (maternelle - élémentaire) 1 commune : - maternelle : 2 bon état : 8 classes d'autofinancement - maternelle : 51 Pas de trajet périscolaire : 60 € de travaux en 2010 (dont Arcey Arcey classes (dont 1 de vide) 44 000 € d'annuités de la - primaire : 107 places préau, toiture) - primaire : 5 classes dette PERISCOLAIRE : Eléments à capitaliser

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2. Le futur attendu Il correspond à un service rendu « idéal »pour les enfants et les enseignants, pour les familles et pour les communes. Plusieurs éléments ou critères doivent être considérés :  La taille des établissements : des écoles maternelles-élémentaires de 5 à 7 classes, de 130 à 180 élèves,  Le nombre d’élèves par classe : des effectifs peu nombreux voire inférieurs aux normes de l’Inspection Académie, soit 27 enfants / classe, Au-delà du nombre d’élèves par classe, la composition des classes (nombre de niveaux) est aussi à prendre en compte. Une classe nombreuse de plusieurs niveaux rend plus difficile le suivi individualisé des apprentissages (en particulier pour les élèves en difficulté),  La qualité des bâtiments : bâtiments aux normes, agréables et fonctionnels (taille des classes, locaux annexes, espaces extérieurs, équipements de l’école),  La localisation : l’école à proximité des autres services et équipements des villages / bourgs (centres ?),  Le service périscolaire et de restauration : une offre suffisante qui permette un choix pour toutes les familles,  Des déplacements limités et possibles en bus  ….  … avec des finances publiques permettant ce niveau d’offre. U / septembre U / 2011

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3. Synthèse des scénarios de redistribution des regroupements

3.1. L’organisation schématique 3 écoles Des écoles de 9 à 10 classes Des trajets plus longs Des périscolaires à requalibrer Des organisations intercommunales à mettre en place (conventions, syndicats)

Illustration d’une hypothèse possible…

Le tableau pages suivantes permet une lecture détaillée et synthétique des éléments de scénarios. U / septembre U / 2011

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3.2. L’organisation schématique 4 écoles Profiter de la redistribution des regroupements pour tendre vers le service « idéal » : - Des écoles de 5 à 7 classes - Des trajets à réorganiser - Des périscolaires à requalibrer et à créer - Des organisations intercommunales à mettre en place (conventions, syndicats)

Illustration d’une hypothèse possible…

Le tableau page suivante permet une lecture détaillée et synthétique des éléments de scénarios. U / septembre U / 2011

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3.3. Tableau de synthèse des scénarios au regard du service « idéal » Scénario S2 : maintien et optimisation des regroupements existants S3 : redistribution des regroupements / 3 écoles S3 : redistribution des regroupements /4 écoles SERVICE "IDEAL" S3 / 3 écoles : S3 / 4 écoles : S2 : services rendus S2 : conséquence incidences techniques S3 : 3 écoles : services rendus S3 : 4 écoles : services rendus conséquences conséquences POUR LES ENFANTS Des écoles de 6 à 7 classes : entre 100 et Ecole 180 élèves par école nombre Un nombre restreint d'élèves par classe Des écoles dans 7 communes sur 14 Des écoles dans 3 communes sur 14 Des écoles dans 4 communes sur 14 d'enfants par (normes Inspection Académique : 27 pour classe les élémentaires, 30 maternelles). Taille de la salle de classe, salle de Bâtiment aux motricité, de repos, sanitaires, isolation 8 communes 7 communes 4 communes supplémentaires n'ont plus normes thermique et phonique, espaces Fermeture de 5 ou 6 classes Fermeture de 11 classes supplémentaires n'ont Fermeture de 9 ou 11 classes supplémentaires d'école actuelles extérieurs, abords sécurisés, équipements plus d'école n'ont plus d'école informatique, bibliothèque, etc. Tous les enfants peuvent accéder à un service périscolaire ou de restauration en Ouverture d'un ou Ouverture d'un ou Accueil fonction des besoins et avec le meilleur plusieurs services Ouverture d'un ou plusieurs services plusieurs services périscolaire bien être (nombre de places, amplitude Offre supplémentaire en lien avec la Offre supplémentaire en lien avec la Offre supplémentaire en lien avec la supplémentaires ? supplémentaires ? supplémentaires ? et horaire, bon encadrement, qualité des restructuration des écoles restructuration des écoles restructuration des écoles Fréquentation Fréquentation d'un service existant ? Fréquentation d'un service restauration repas). Répondre à toutes les demandes d'un service existant renforcé (y compris offre chez les ass.mat), et au existant renforcé bien être des enfants Les enfants des communes sans école se Des transports plus longs Seuls les enfants d'Arcey, Ste Marie Certains enfants, pour certaines années de Seuls les enfants d'Arcey, Ste Marie Transports : Transports collectifs possible. Temps de déplaceront toutes les années de leur et pour plus d'enfants (ex et Présentevillers plus autre une Des transports à leur scolarité devront se déplacer dans une et Présentevillers n'ont pas de durée trajets les plus court possible. scolarité : augmentation légère du nombre le Vernoy Arcey et Laire commune n'ont pas de réorganiser autre commune déplacements d'enfants transportés Ste Marie). déplacements POUR LES PARENTS / FAMILLES Accès aux Ecole intégrée dans une offre de services équipements diversifiée (école, commerces, services et services publics….) Localisation Ecole en centre village ou centre bourg à de l'école proximité des autres services Des trajets limités (temps) qui peuvent se Transports faire à pied ou pris en charge par la collectivité Amélioration de l'offre Amélioration de l'offre Offre existante pour tous les enfants pour Amélioration de l'offre (augmentation de la Coût de la (augmentation de la capacité (augmentation de la capacité choix possible, à un coût capacité d'accueil). Coût restant à charge restauration d'accueil). Coût restant à charge pour d'accueil). Coût restant à charge acceptable/accessible pour toutes les pour les familles estimé entre 4 et 8 euros /périscolaire les familles estimé entre 4 et 8 euros pour les familles estimé entre 4 et 8 familles (repas+encadrement 11h30-13h30) (repas+encadrement). euros (repas+encadrement). POUR LES COMMUNES Variante 1 : construction de 2 classes, Coûts de construction ou optimisation de 3 classes (locaux existants). restructuration d'école / salle Coûts de

Quel financement ? Communal, Quel financement ? Communal, septembre U / 2011 Capacité financière suffisante pour Variante 2 : construction de 5 classes, de classes. Coûts de construction ou construction ou Selon les variantes : fermeture de 5 ou 6 intercommunal ?prise en charge par intercommunal ?prise en charge par Ecole assurer le service (investissement et optimisation d'1 classe. Quel devenir pour Investissements pour 2 salles restructuration d'école / restructuration classes 3 syndicats intercommunaux / 4 syndicats intercommunaux / fonctionnement) de l'école les écoles fermées ? Quel financement ? de classes : de 1200 à 2000 salle de classes d'école / salle de conventions intercommunales ? conventions intercommunales ? Communal, intercommunal ?prise en euros/m2 (pm une salle de classes charge par un syndicat ? classe 50m2 environ) Désengagement du CG pour transports Coût transport 7500 Coût du méridien pour les communes sans Coûts des 0 € pour les communes (pris en charge par euros/an/par regroupement Transport méridiens assurés entre Coûts des transports pris Transport méridiens assurés entre service périscolaire. Prise en charge financière transports pris en CG), jusqu'en 2012 sans offre restauration école et restauration en charge CG école et restauration transport progressive, soit transport, soit charge CG scolaire, soit 6 communes périscolaire. Organisation Organisation complexe (trajets, Toutes les communes sont desservies du transport accompagnement) Finalisation du projet périscolaire de Ste Coûts d'investissement et de Coût du Coûts d'investissement et de Coûts d'investissement et de Marie (bâtiment) en prenant en compte les fonctionnement à réfléchir et à organiser Montage du service Montage du projet, étude de fonctionnement à réfléchir et à Montage du projet, étude fonctionnement à réfléchir et à besoins des autres communes. Création en intercommunalité (syndicats, com projet, étude de restauration programmation…. organiser en intercommunalité de programmation…. organiser en intercommunalité d'un 4 ème pôle pour un service dans les com…) 8 à 22 euros par/an/ habitants selon programmation…. - périscolaire (syndicats, com com…) (syndicats, com com…) communes du nord de la CCVR les cas (30€/habitants pour la CCBL)

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4. Pour conclure, la meilleure solution…

Cette étude n’a pas pour objet de proposer un scénario d’organisation scolaire « clés en main » aux élus de la Communauté de Communes de la Vallée du Rupt. L’objectif est bien de réunir un ensemble d’éléments qui peuvent faciliter une prise de décision. L’état des lieux thématique - organisation administrative des écoles – populations – logements - effectifs scolaires - diagnostic des bâtiments… permet ainsi de mettre à plat les éléments avec un degré de détail fin et un croisement des problématiques. Il permet une vision collective et objective et peut servir de base pour des échanges à l’échelle intercommunale. Cependant, cet état des lieux donne une vision relativement instantanée. En particulier les données chiffrées auront évolué au moment où un projet s’engagera. Il est donc important pour les élus de s’attacher à définir en commun un futur souhaité. Le scénario idéal ne peut exister, et chaque scénario proposé trouve ses limites dans le poids donné à un critère par rapport à l’autre. Par exemple, quelle importance donne-t-on à l’accueil matériel dans les salles de classes par rapport à un service de restauration et d’accueil périscolaire, par rapport à la capacité financière et l’endettement des communes ?.... Les solutions et les moyens palliatifs pour répondre à la préoccupation d’une meilleure organisation scolaire restent à inventer. Pour conclure, sur les bases de ce document, les élus de la communauté de communes doivent construire un scénario commun en fonction de trois éléments principaux : - l’état des lieux de la situation actuelle qui permet d’avoir une vision objective et partagée, - des marges de manœuvres financières des communes et de la CCVR afin de construire un projet réaliste, - de la volonté de coopération entre les communes.

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ANNEXE : EFFECTIFS SCOLAIRES DETAILLES 2010-2011

NB : l’historique détaillé par commune n’est pas possible à partir des données de l’inspection académique qui ne donnent qu’un effectif global par RPI ou école intercommunale.

Ecole intercommunale Aibre – Désandans – Semondans – Le Vernoy Année scolaire 2010-2011 lieu de résidence Lieu de nb d'élève nb d'élève Le classe niveau Semondans Aibre Desandans scolarité / classe / niveau Vernoy maternelle PS 18 5 7 4 2 Semondans 25 PS/MS MS 7 2 1 3 1 maternelle MS 10 0 5 4 1 Aibre 23 MS GS GS 13 2 3 4 4 élémentaire GS 3 0 2 1 0 Aibre 25 GS/CP CP 22 6 5 8 3 élémentaire CE1 17 6 2 7 2 Desandans 24 CE1/CE2 CE2 7 4 2 0 1 élementaire CE2 9 1 2 3 3 Desandans 25 CE2/CM1 CM1 16 3 7 6 0

élémentaire Le Vernoy 24 CM1 3 0 0 0 3 CM1/CM2 CM2 21 6 7 7 1 TOTAL 35 43 47 21

Ecole intercommunale Allondans – Dung – Présentevillers année scolaire 2010-2011 Lieu de résidence nb Lieu de nb d'élèves classe niveau d'élèves/ Présentevillers Dung Allondans Autres scolarité / classe niveau PS 8 3 3 2 Présentevillers PS et MS 23 MS 15 5 7 3 GS 8 2 2 4 GS, CP, Présentevillers 16 CP 5 2 2 1 CE1 CE1 3 3 CE1 et CE1 9 6 1 2 U / septembre U / 2011 Dung 24 CE2 CE2 15 7 6 2 CM1 et CM1 9 1 6 2 Présentevillers 24 CM2 CM2 15 6 7 2 TOTAL 87 87 29 39 17

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RPI Issans – Laire Année scolaire 2010-2011 lieu de résidence Lieu de nb d'élève nb d'élève classe niveau Laire Issans Autre scolarité / classe / niveau PS 6 3 3 maternelle Laire 23 MS 8 4 2 2 PS/MS/GS GS 9 7 2 CP 6 2 3 1 élémentaire Issans 23 CE1 10 5 4 1 CP/CE1/CE2 CE2 7 3 4 CE2 7 1 6 élémentaire Issans 23 CM1 10 5 2 3 CE2/CM1/CM2 CM2 6 4 1 1 TOTAL 69 69 34 27 8

RPI Echenans – Raynans – St-Julien-les-Montbéliard – Ste-Marie année scolaire 2010-2011 lieu de résidence Lieu de nb d'élève nb d'élève Ste St classe niveau Raynans Echenans Autre scolarité / classe / niveau Marie Julien Maternelle PS 16 8 6 2 0 0 Ste Marie 25 PS/MS MS 9 5 0 0 2 2 Maternelle MS 10 2 2 2 2 2 Ste Marie 24 MS/GS GS 14 10 3 1 0 0 élémentaire Ste Marie 22 CP 22 12 3 2 4 1 CP élémentaire CE1 14 5 5 2 1 1 Ste Marie 21 CE1/CE2 CE2 7 3 2 1 1 0 élémentaire CE2 11 6 5 0 0 0 Ste Marie 21 CE2/CM1 CM1 10 9 0 0 0 1 CM1 8 0 3 3 2 0 Raynans élémentaire 21 CM1/CM2 CM2 13 7 5 0 0 1 TOTAL 134 134 67 34 13 12 8

Ecole maternelle et élémentaire d’Arcey Année scolaire 2010-2011 lieu de scolarité Classe nb d'élève / classe niveau nb d'élève / niveau PS 16 maternelle PS/MS 25

MS 9 septembre U / 2011 MS 9 maternelle MS/GS 26 GS 17 élémentaire CP 22 CP 22 Arcey élémentaire CE1 23 CE1 23

élémentaire CE2 22 CE2 22 élémentaire CM1 20 CM1 20 élémentaire CM2 20 CM2 20 TOTAL 158 158

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Etude réalisée dans le cadre du programme de travail partenarial - 2011

Directeur de publication : Dominique Musslin Rédacteur en chef : Charles Bergounioux Réalisation – rédaction – cartographie : Isabelle Grivart, Samia Ropital, Elisabeth Schmitt Mise en page : Christine Maffli Photos : ADU