Quatrième Année. — N 359 Bureau du Journal : Rue de la Mairie, 6. amedi, 22 Octobre 1864.

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CALENDRIER DU LOT. Départ des Correspondances SERVICE DES POSTES. Arrivée des Correspondances Arrivée Distribution RAT!JOURS. FÊTE. FOIRES. LUNAISONS. DESIGNATION DES ROUTES. Clôlure des | Dernière DESIGNATION DES ROUTES. chargements, i levée ibolte) des Courriers en Tille. —j Gram.nl Rodez, Brives, Tulle, Aurillac. - h. s. ~4 h 30 m. , Lauzès, St.-Géry. 3 h 30 s. 6 h soir. B P. Q.le 8 à 3 h. Valence-d'Agen, le Midi. Bordeaux, Agen, Charente, Vendée, Lyon. Castelnau. S li 30 s. 6 h. s. Marseille. 27 Jeudi.. s. Frumence. Gazais 46' du soir. h. s. 6 h 45 m. Gourdon, Catus, Cazals. S h 30 s. 6 h. s. i Libos n- 1, Paris, Limoges, Périgueux, Villeneuïe-sur-Lot, dé- , St.-Ceré , Souillac, Martel, Rodez, Aurillac. 8 h 30 s. 1 h. malin. 1 ©P.L le 13, à 6 h. partements du centre. h. m. 9 h 1S m. Libos no 2, Paris, le Nord, Agen, Puy-l'Évêque, . 2 h 45 s. 3 h 30 soir. 28 Vendr. st Simon. . 23' du mat. Moutauban, Caussade . h. s. 10 h soir. Libos n° 1, Castelfranc, , Agen, , Puy-l'Évêque, | @ D.Q.le 22, à 11 h, Gourdon, Martel, Sarlat, Souillac, Catus, St.-Ceré, Cazals, h. s. 9 b 30 s. Villeneuve-sur-Loi. 2 h 30 m. 7 h. matin. St.-Géry, Cabrerets, Lauzès-du-Lot. h. s. 10 h s. Limogne, , Villefranche-du-Rouergue. 5 h 30 s. 6 h. soir, 29 Samedi st Narcisse. . 37' du mat. Castelnau-de-Montratier. h. s. 10 h s. Montauban, Caussade, Toulouse. 9 h 30 s. 7 h. matin. § N.L.Ie30,à 6 h. Limogne, Lalbenque, Villefranche-du-Bouergue,'. h. s. 10 h s. Valence d'Agen, Montcuq, Lauzerte.le Midi, Bordeaux, Agen. S h 15 s. 6 h. soir. 37' du soir. Libos n* '£{'), Agen, Luzech, Castelfranc, Duravel, Eumcl,Puy-l'Év b. s. 11 h s. ! (') Tous ces bureaux partent également par Libos it" 1. Distribution rurale, 6 heures du matin.

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Cahors, le 22 Octobre 1864. Naples ne s'est pas montrée plus opposée. On se préoccupe sérieusement en Angleterre qui, en attendant, seront remis entre les mains des Bien des fois cette magnifique cité avait été pro- de la rareté des matelots propres au service de austro-prussiens ; on devra ensuite décider la ques- tion de la succession. Dans ce but la Prusse et posée pour capitale, on pouvait jusqu'à un la flotte. Les dix ans de service sont expirés BULLETIN l'Autriche, d'accord avec la Diète germanique, certain point reconnaître la légitimité de ses pour la plupart des marins et ils ne se soucient convoqueront une réunion de jurisconsultes. La convention du 15 septembre est accueillie prétentions. Mais un conseil de généraux décla- guère de se réengager à cause des sévérités ex- Toutes les nouvelles répandues au sujet d'une dans toute l'Italie avec un sincère sentiment de re que des motifs stratégiques s'opposent à ce cessives du nouveau code pénal maritime pro- préférence accordée par le gouvernement prussien aux satisfaction. On pouvait craindre de vives résis- que Naples soit la capitale de l'Italie, et les na- mulgué par le premier lord actuel de l'amirauté. prétentions à la sucession d'un des princes candidats tances de Naples et du Piémont. Nous recevons politains se soumettent sans murmure. C'est là Depuis le 18 l'Empereur et l'Impératrice de reposent sur des suppositionsou des aspirations parti- culières tout à fait étrangères à la Prusse. On devra un fait bien caractéristique et qui prouve com- Bussie sont sur le sol français. Mardi, à8 heures aujourd'hui l'assurance que les Piémontais et les attendre la décision des jurisconsultes, après quoi la Napolitains sont ceux qui ont accueilli, avec le bien l'esprit de patriotisme et d'abnégation est du soir, LL. MM. sont arrivées à Mulhouse, et Diète procédera à une résolution, en tenant dûment plus d'enthousiasme, le traité franco-italien. dominant en Italie. mercredi, à 9 heures, elles se sont remises en compte de celte décision et en prenant en considéra- Le Piémont, seul, lisons-nous dans une corres- route pour se rendre à Nice. Une foule considé- tion l'ensemble des intêrèls de la Prusse et de l'Alle- Le conflit dano-allemand est enfin à peu près magne. pondance particulière du Constitutionnel, pa- vidé. Le 17, la conférence s'est de nouveau réu- rable stationnait à l'arrivée et au départ de leurs raissait ne pas participer au contentement géné- majestés. Turin, 19 ocotbre. nie. L'on a dû présenter à cette séance, le pro- L'Italia Militare dément le bruit d'un désarme- ral, et on imputait cela au transfert de la capi- Pour le bulletin politique : A. LAYTOD. jet de document principal des traités de paix ment. Le renvoi de classes en congé illimité peut tale. rédigé par M. le baron de Brennes. être exécuté sans amoindrir la force de l'armée et Le Piémont vient de donner la preuve la plus comme simple mesure de finance. Les cadres restant Les élections vont avoir lieu en Espagne. M. Dépêches télégraphiques. éclatante de son accord avec les autres provinces intacts, les classes peuveut être rappelées sous les Gonzalez Bravo vient d'adresser à ce sujet une [Agence Havas). de l'Italie, dans l'approbation complète de la armes dans toute éventualité et dans l'espace de peu circulaire aux gouverneurs de province. Le mi- de jours. convention du 15 septembre et de toutes ses Londres, 19 octobre, soir. nistre de l'intérieur montre dans cette circulaire Lord Stanley a adressé, ce matin, un discours à conséquences. ses électeurs de King's lynn ; il a rappelé que lors l'esprit le plus libéral. Nous voyons dans le pas- Le Moniteur publie les états comparatifs Cette preuve il l'a donnée par les élections qui de la discussion danoise, dans le Parlement, le seul sage suivant une allusion aux dispositions de recettes par les impôts et revenus indirects ont eu lieu avant hier. Quatre collèges étaient va- but que son parti a cherché à obtenir a été l'expres- du parti progressiste qu'une dépêche nous an- pendant les neuf premiers mois de 1864 avec cants autour deTurin; tous les quatre étaient re- sion décidée de la Chambre en faveur de la non- nonce être favorable à l'abstention : velle intervention, ajoutant qu'il avait réussi à obtenir celles des époques correspondantes de 1862 présentés par des ministres. Ils étaient ces mêmes et 1863. « S'il existe encore des personnes jalouses de ce résultat. T.ord Stanley a ajouté : Je ne désire pas ministres qui, en arrivant au pouvoir, avaient Les neuf premiers mois de 1864 présentent » raviver sans raison, sans motif, et sans droit que l'Angleterre ne donne jamais de conseils ou n'ex- déclaré avant tout qu'ils maintenaient la con- sur les trois premiers trimestres de 1862 une » l'état de tyrannie anarchique et la sinistre prime jamais d'opinion ; mais je crois qu'il ne faut vention du 15 septembre et toutes ses consé- pas employer la menace. augmentation de 6,847,000 fr. et sur les trois » agitation par laquelle nous avons passé il y quences. L'occasion était belle si on voulait pro- Relativement à l'Amérique, il soutient que la poli- premiers trimestres de 1863 une diminution » a peu de temps, que la responsabilité des con- de 35,855.000 fr. Cette diminution impor- tester. tique de neutralité est parfaite ; il ne croit pas que la » séquences forcées d'un pareil aveuglement re- guerre soit bientôt terminée. Suivant lui de grands tante s'explique par la nouvelle législation sur Les partis contraires à la convention et au » tombe sur elles. Le gouvernement d'une gran- changements ne tarderont pas à se produire en Alle- les sucres, qui, en accordant un délai de quatre transfert l'avaient bien compris. Ils avaient cons- » de monarchie ne peut pas faire halte dans sa magne ; il espère que l'Angleterre n'interviendra pas mois pour l'acquittement des droits, en retarde titué des comités partout et cherché les candi- dans les événements qui pourront se produire. naturellement l'encaissement. De là la dimi- » marche, et la nation ne doit pas suspendre le dats les plus propres à atteindre leur but, qui Suivant lui encore, le démembrement de la Tur- ' nution temporairede 47,054,000fr., qui porte » majestueux progrès de ses forces vitales, parce était de combattre à outrance la réélection des quie n'est qu'une question de temps. sur les droits de douane à l'importation des su- » qu'une poignée de sujets sont malheureusement ministres. On n'avait rien épargné, pas même Enfin, lord Stanley termine en exprimant la pensée i cres des colonies françaises et dessucres étran- » les victimes d'une hallucination déplorable. » que des réductions pourraient être faites dans le \ gers et sur les droits de fabrication sur les su- les calomnies les plus noires. On allait jusqu'à budget de la marine. cres indigènes , diminution ramenée à répandre dans les collèges le bruit que les nou- La Nouvelle Presse libre publie que le gé- Quant à la question du droit éleetoral, une petite me- 35,855,000 fr. par suite de l'augmentation de néral mexicain , comte de Thun, s'est rendu à veaux ministres ne demandaient rien de mieux sure, a-l-il dit, ne plairait pas; une grande serait plus de U millions de francs, afférente aux que de ne pas être réélus pour avoir un prétexte Paris pour conclure un marché relatif au trans- impossible. autres impôts. de donner leur démission et faire ainsi tomber port des volontaires mexicains recrutés en très- Berlin, 19 octobre. Le total des receltes effectuées jusqu'au 30 la convention ! grand nombre en Autriche. Ce marché aurait été On lit dans la Correspondance provinciale : septembre 1864 pour les impôts et revenusin- Malgré tous les efforts, les quatre ministres fait avec les bâtiments de la ligne de St-Nazaire. Après la conclusion de la paix, la première chose diiects s'élève à 876,641,000 fr. dont il y aura lieu de s'occuper, dans les Duchés, piémontais ont été réélus à la presque una- On ignore si les navires viendront prendre Quant à l'impôt direct, sa perception s'opère sera de régler le gouvernement et l'administration dans les conditions les plus favorables. Nous nimité. les volontaires à Trieste.

— Je promets de me taire, répondit maître Wen- les remettrez, vous serez définitivement libre. feuillage et de guirlandes de fleurs; tout travail FEUILLETON DU JOURNAL DU LOT zel, tout tremblant. — Vous les aurez ! s'écria maître Wenzel, le visa- chômait; le peuple en habits de fête, poussait des du 22 octobre 1864. — En bon compatriote, vous vous plaindrez à vos ge rayonnant. cris joyeux, chantait des hymnes patriotiques et amis des traitements cruels des Français. — Mais attention! Si vous dites à âme qui vive un atlendait avec impatience le moment où le cortège Incessamment le Journal du Lot publiera — C'est entendu ! s'écria Wenzel, qui s'enflam- seul mot de notre entrelien, vous êtes perdus, vous, des volontaires sortirait de l'hôtel de-ville pour se diri- mait déjà. votre femme et vos enfants. J'ai le bras assez fort ger vers le palais impérial, y pousser un vivat à GÉSARI BORNÉO — Demain vous serez dans la rue avec tous vos pour vous frapper tous. l'Empereur, puis faire un tour par les rues, et enfin amis pour assister à la fête des volontaires et voir le — Je serai muet comme la tombe. Je n'élèverai la terminer la réjouissance, dans un local public riche- Roman historique touchant à l'histoire du Quercy. cortège. Savez-vous où est situé l'hôtel de l'ambas- voix que pour vanter au peuple notre cher e! sage ment décoré, par un banquet, des danses et des jeux. sade française? ministre Thugut, et pour l'animer contre ces Fran- Non-seulement le peuple, mais encore le monde — Oui, Marché au Charbon. çais qui ont l'audace d'arborer publiquement dans no- élégant prenait part à la solennité. Les fenêtres tre ville impériale le drapeau de la sanglante Répu- — Dirigez le peuple Je ce côté. L'ambassadeur étaient garnies de dames en grande toilette, armées blique. LE DRAME DE RASTADT arborera demain à son balcon le drapeau français. de bouquets destinés à être lancés aux volontaires à — Très-bien, mon ami ! Allez maintenant et ré- Nouvelle historique Le peuple de Vienne peut-il tolérer cela? leur passage ; et l'on voyait circuler avec lenteur fléchissez à tout ce que vous venez d'entendre. Reve- — Assurément non ! cria maître Wenzel. une interminable file des équipages les plus brillants IMITÉ DE L. MULHKACH. nez me trouver demain matin; je vous donnerai de — Vous direz cela aux gens, vous les soulèverez, de la noblesse et de l'aristocratie financière, qui vous demanderez tous à grands cris que l'ambassa- nouvelles instructions. Adieu, courez chez votre souriaient à l'enthousiasme populaire. deur enlève son drapeau. femme, et bouche close. Les ministres faisaient seuls défaut. On disait — Et s'il ne le fait pas ? — Hourral Vive M. le ministre 1 Hourra, je suis dans la foule que deux de ces Messieurs étaient mala- CHAPITRE II — Vous l'enlèverez, vous-mêmes en pénétrant libre ! cria maître Wenzel délirant de joie ; et il sortit des, et les autres à Laxenbourg auprès de l'Em- dans l'hôtel. en chancelant comme un homme ivre. pereur. LA. FÊTK DES VOLONTAITES. — Mais s'ils ferment leurs portes ? Thugut le suivit des yeux avec un sourire de pro- La prophétie de Thugut s'était donc réalisée : le ■ (Suite), — Enfoncez-les, comme vous l'avez fait chez moi fond mépris. ministre de la police, tombé malade, l'avait prié de l'année dernière. Et puis, n'y a-t-il pas des fenêtres, « Voilà, dit-il, comment il faut traiter le peuple. le remplacer pendant quelques jours. Mais Thugut » C'est bon, je vous crois, reprit gravement Thu- et des pierres qui les ouvrent ? En vérité, si nous pouvions faire passer à cha- lui-même avait été pris d'une indisposition subite, 8JK. Relevez-vous et écoutez-moi. Vous serez libre Nous permettez-vous de nous en servir? que Autrichien un an dans une maison de correc- qui le retenait dans ses appartements. Il avait donné « ce soi . Vous irez voir vos bons amis d'autrefois, tion, nous aurions tous bons et obéissants sujets. » r Je vous l'ordonne même. Ecoutez maintenant l'ordre de n'introduire personne auprès de lui et de "s leur raconterez que vous avez fait un voyage, quelle sera, quant à vous, votre mission particuliè- répondre à tout message qu'une fièvre violente ne Ule Y0US aV6Z élé relenu CHAPITRE III. ïou V° Pa^es Français. Si re. Quelques-uns de mes employés se tiendront tou- lui permettait pas de s'occuper d'affaires. ^ s dites jamais un seul mol de votre détention ici, jours auprès de vous. Une fois dans l'hôtel, vous L'ÉMEUTE. Par bonheur, cette fièvre n'était que la fièvre de 6 168 Perdu car enl Darti , ' j' ends et je sais tout, j'ai chercherez tout d'abord le cabinet de l'ambassadeur. l'impatience. La journée presque entière s'était f^outmes agents, qui surveilleront. vous Emparez-vous de tous les papiers que vous y trou- Le lendemain, une foule immense s'agitait dans écoulée sans le moindre désordre sans la moindre U les rues de Vienne. Les maisons étaient parées de cène de violence. Le peuple affluait dans les rues et "îwôauotion est interdite. verez et apportez-les moi. Dès l'instant où vous me s S: JOURNAL DU LOT

n'en voulons pour preuve que la diminution six ans, nons nous plaçons dans l'hypothèse. 9° C'est bien positivement q f > songe au dans les frais de poursuites, qui ne sont, en Mais qu'est-ce donc que cet esprit moderne, Vatican à ressusciter l'ordre de J dte, qui se 1864 avec les reco.uvrements, que dans la pro- que celle conscience moderne, qui ne trouvent composera de catholiques de tous les pays ; Au nombre des officiers qui ont mérité portion de 0 fr. 98 c. par 1,000 fr , tandis aucun reproche à faire au gouvernement Pié- 10" Dans l'intimité du Pape, on donne com- une mention spéciale à la suite des mémora- que celle proportion était l'année dernière, de montais dans sa conduite depuis 1859 qui me positive l'acceptation par le général Lamo- bles journées des 29 et 30 septembre (expédi- 1 fr. 04 c. absolvent les massacres commis en venu de la ricière du commandement d'une nouvelle ar- tion «l'Algérie), nous remarquons le nom de M. Emeric d'Aupias, de Blanal, sous-lieutenant Le montant des rôles, pour 1864, est de loi Pica, qui oublient les milliers de citoyens mée pontificale quelle qu'elle soit ; du 11e régiment de chasseurs. 519,664,000 fr. Les recouvrements effectués fusillés sans forme de procès dans les Étais 11° Le cardinal Antonelli. pour témoigner jusqu'au 30 septembre dernier s'élevaient à napolilains, qui n'ont rien à dire contre les des bonnes dispositions du Vatican et de sa « Blessé d'un coup de feu à la cuisse droite, 390,935,000 fr. dépassant ainsi de près de empiisonnemenls par centaines, par milliers, confiance dans la politique de l'Empereur Na- dit le Moniteur, il s'est tenu consomment dans l'angle le plus exposé, dirigeant le feu des 45 millions les 8 douzièmes exigibles. contre l'exil de cinquante évêques, contre la poléon, a prévenu le comte de Sarliges que le tirailleurs. » (Louis BELLEÉ. — (Patrie). spoliation dont les religieux ont élé victimes, Saint-Siège était tout disposé a reprendre el à contre la faim à laquelle on a condamné lant poursuivre les négociations pour la conclusion Nous sommes heureux de porter à la connai- de religieuses, de moines de prêtres? d'un traité de commerce el de postes avec la sance de nos lecteurs la conduite admirable Revue des Journaux Est-ce de la justice ? Est-ce là tenir la ba- ; d'un de nos compatriotes. A peine sorti de lance exacte? 12° Le gouvernement impérial de France a l'école militaire, M. d'Aupias se distingue par Le Constitutionnel estime qu'il est une action d'éclat. — Il tient à cœur de mon- La France. — Le journal XEurope lieu de se féliciter de ces déclarations du Va- impossible d'apprécier en meilleurs termes et trer, sans doute, que, dans notre brave Qnercy, prétend connaître les dispositions de la cour tican, qui sont un progrès notable sur le sen- avec plus de justice que M. Gladstone, dans la noble race des vaillants ne doit pas s'étein- de Rome au sujet de la convention du 15 sep- timent dont s'est montrée animée la cour pa- son discours à Manchester, le trailé inter- dre. tembre. Nous ne savons où ce journal a pu pale lors de la première communication qui veuu entre le gouvernement français et le puiser ces renseignements qu'il présente com- lui a été faite de la convention du 15 septem- gouvernement italien : MAIRIE DE CAHORS me étant, pour ainsi dire, officiels ; en les re- bre. «Sansdoule, ajouteM. Paulin Limayrac, M. produisant, nous lui en laissons l'entière res- Pour extrait : A Laytou. Gladstone raisonne ensuite au point de vue ex- OCTROIDB CAHORS ponsabilité. — A. Renauld. clusivement anglais ; mais nous sommes con- L'opinion publique, que rien n'a pu encore Chronique locale. Première affiche vaincu qu'en faisant ressortir les avantages que fixer sur la pensée du Vatican, relativement à la Grande-Bretagne peut retirer de sa position DEPECHE TÉLÉGRAPHIQUE la convention franco-italienne du 15 septem- (Moniteur du 19 octobre ) 11 sera procédé, le vingt-neuf novembre pro- insulaire, il est le premier à reconnaître les bre, pourra puiser de sûrs éléments d'apprécia- Notification du décès d'une princesse de Saxe- chain, mardi, à midi, en l'hôtel de ville, par nécessités particulières aux nations continen- tion dans les détails suivants, qui sont pour Weimar. le Maire, à l'adjudication, au plus offrant et der- tales. De même, quand M. le Chancelier de l'é- ainsi dire officiels : nier enchérisseur, à titre de bail à ferme, des chiquier dit avec beaucoup de tact et de goût Par décision du 20 octobre courant S. Exc. 1" Le Pape et le cardinal Anlonclli ont dû droits de l'Octroi Municipal de ladite ville, pour que le peuple anglais fait abstraction de ses M. le Ministre des finances a fixé la superficie er déjà, à l'heure qu'il est, faire connaître s M, deux années qui commenceront le 1 jan- convictions religieuses pour juger la question des terrains sur lesquels on pourra planter du de Sarliges que le Saint-Siège ne peut el ne vier 1865, et finiront le 31 décembre 1866. italienne simplement comme une question de tabac en 1865, dans le département du Lot, veut, pour le moment, ni examiner olïicielle- Les droits sont établis sur les boissons et les droit et de justice, il doit reconnaître que à 1,800 hectares en principal. menl avec le cabinet des Tuileries la conven- liquides, les comestibles, les combustibles, les d'autres puissances sont dans une situation La superficie autorisée, l'année dernière, tion du 15 septembre, ni émettre sur celle fourrages, les matériaux. différente, et . qu'il y a pour ces puissances, n'était que de 1,500 hectares; c'est donc une convention une opinion quelconque; La première mise à prix est fixée à cent à côté des intérêts politiques, des intérêts d'un augmentation de 300 hectares en principal qui 2° Le Pape elle cardinal Antonelli promet- quinze mille francs (115,000 francs) en sus des autre ordre, non moins respectables et dont est accordée au département. tent cependant d'étudier à loisir el mûrement charges, elles doivent tenir grand compte. » les arrangements que vient de prendre la Par arrêté de M. le Ministre des finances, On n'admettra aux enchères que des per- sonnes d'une moralité, d'une solvabilité et d'une Le Siècle ne pense pas que la circulaire France avec Viclor-Emmanuel, el la nouvelle [ en date du 19 octobre courant, ont élé nom- capacité reconnues, et qui, après s'être fait ins- adressée par le ministre de l'intérieur aux gou- situation que ces arrangements tendent à créer mes, percepteur à Figeac, M. Laporte, percep- crire sur le tableau des candidats, auront ob- verneurs civils en Espagne fasse à l'opposition au Saint-Siège ; teur de Sauzel, en remplacement de M. Certes, tenu du Maire, quatre jours avant l'adjudica- une situation si exceptionnellement mauvaise 3" Le cardinal Antonelli, dans les différen- admis à faire valoir ses droits à la retraite; tes conversations qu'il a eues avec M. de Sar- Percepteur à Sauzet, M. Valon, percepteur tion, un certificat d'admission, sauf recours au que celle-ci doive se croire obligée de recourir Préfet. à l'abstention. tiges, a répété à différentes reprises, avec une non installé d'Arzacq (Basses-Pyrénées), en Aucune personne attachée à l'administration « Une dépêche nous apprend, continue M. insistance significative, que le Saint-Père et remplacement de M. Laporte. des contributions indirectes, aux administrations Delord, que les deux tiers du comité progres- son gouvernement ne feront rien qui puisse Par arrêté de M. le Préfet, en date du 14 civiles, aux tribunaux, ou ayant une surveillance siste se prononçaient contre la présence du déplaire à l'Empereur Napoléon. octobre courant, M. Mommayou (Marc), a élé ou juridiction quelconque sur l'administration parti au scrutin. Cette conduite est trop en 4° Le cardinal Antonelli et en général le nommé percepteur-surnuméraire, en rempla- de l'octroi, ne pourra être ni adjudicataire, désaccord avec celle que nous avons toujours Sacré-Collége se monlrent plus rassurés sui- cement de M. Messenguiral, appelé à la percep- ni associée de l'adjudicataire, sous peine de rési- conseillée à nos amis en France et hors de tes conséquences que peut entraîner pour Ro- tion de Saint-Matré. liation el de tous dommages-intérêts. France pour que nous n'engagions pas les me la convention du 15 septembre; 5° Le cardinal Antonelli, dans son dernier Ne pourront pareillement'être admis aux progressistes espagnols à bien réfléchir avant M. le Préfet du Lot a accordé une gratifica- entretien avec le comte de Sarliges, a déclaré enchères, ceux qui feront un commerce de quel- de l'adopter. » tion au sieur Vernhel (Jean), marinier de Ca- que le Pape espérait, nonobstant la convention ques-uns des objets compris au tarif. hors, pour avoir sauvé, dans la journée du 10 Presse» — On lit dans la Presse sous du 15 septembre, que le gouvernement impé- Le cahier des charges, clauses et conditions octobre courant, le sieur Contival (Auguste), la signature de M. Jauret : rial continuera à proléger le S;iint-Siége; de l'adjudication est déposé au secrétariat de qui était en danger de se noyer dans le Lot. «Il circule, en ce moment, à Turin, la copie 6° Les intimes du Vatican se réjouissent la Mairie, où il en sera donné connaissance d'une lettre adressée tout récemment par Ga- hautement de la chute du ministre Peruzzi- à toutes les personnes qui s'y présenteront. Le sieur V. des Malhieux était occupé mer- ribaldi au général Avezzana, son ami. Garibaldi Il leur sera également fourni tous les ren- Minghetti, parce que ces ministres étaient les credi soir, à faire bouillir de la vendange. évite soigneusement dans cette lettre de porter seignements qu'elles pourront désirer, tant signataires de la convention du 15 septembre, Ayant quille un instant son fourneau, le feu se aucun jugement sur la convention du 15 sep- el qu'ils espèrent que les nouveaux conseillers sur le montant des produits, que sur la; communiqua, on ignore par quelle cause, aux tembre et sur le transport de la capitale. Celle nature, le nombre et la quantité des ob- de Victor-Emmanuel mettront moins d'ardeur objets environnants, et envahit bienlôt la mai- réserve, de Garibaldi est partagée par ses amis. pour une œuvre qui n'est pas la leur ; jets qui ont été imposés, depuis l'établisse- son lout entière. On essaya vainement de por- En général tous les partis imitent l'attitude 7° Les intimes du Vatican et le cardinal ment de l'octroi. ter du secours. Il ne resie du bâtiment que de ces derniers; personne ne veut s'engager Fait en l'Hôtel-de-Vill,e , à Cahors, le Antonelli en tête se félicitent non moins de la les quatre murailles. 55 barriques de ven- à l'avance. » présence du général La Marmora à la lête du vingt-deux octobre mil huit cent soixante- dange qui se trouvaient dans la cuve ont été quatre. gouvernement de Turin. « Avec le général, di- Monde* — On lit dans le Monde, sous perdues. Heureusement la récolte était assu- Le Maire, sent-ils, les Italianissimes ne sauraient vivre rée. la signature de M. Chanlrel : A. BESSIÈRES. L'esprit moderne, la conscience moderne, longtemps en bonne harmonie, et, grâce à lui, ajoutent-ils, les conseils des exaltés sont dès La compagnie des chemins de fer d'Orléans crie-t-on bien haut, ne peut approuver des Par arrêté du 14 octobre 1864, M. le Pré- aujourd'hui écartés du pouvoir. »; a notifié à M. le préfet un exemplaire du ta- énormités commecellede l'enlèvement du jeune fet de Tarn-et-Garonne, a autorisé le change- 8° Mgr de Mérode, le cardinal Antonelli et bleau n° 9 delà marche des trains sur ledit Morlara et du baptême du jeune Cohen : soit ; ment, au 1er mardi des mois de janvier et mai, tous les personnages influents du Vatican sup- chemin pour le service d'hiver modifié que la voilà deux faits graves à la charge du gouver- et au lundi qui suit la Saint-Augustin, des trois nement pontifical et commis dans l'espace de putent et calculent les moyens d'organiser compagnie est dans l'intention démettre en une armée pontificale ; foires qui se tiennent dans la commune de vigueur à dater du 24 octobre courant. Vazerac. sur les places en torrents de plus en plus épais; tirades, simplicité et vérité ! Que se passe-t-il? plus en plus menaçant. Un petit détachement de lancées contre les fenêtres de la maison qu'occupe mais partout régnaient la bonne harmonie el la — Le drapeau français est arboré. Nous étions troupes sort de la rue voisine. L'officier invite douce- l'ambassadeur. Profondément indigné de tant d'inso- gaîté, partout on riait et on chantait paisiblement. dans la rue avec quelques milliers de joyeux compa- ment le peuple à se séparer, mais en vain; letumulle lence, il prie M. de Thugui d'ordonner à l'instant C'était là, ce qui faisait bouillir le sang du mi- gnons. Maître Wenzel venait d'entonner de toute la va croissant, on commence à arracher des pavés et les recherches nécessaires pour que les auteurs du nistre et précipitait les battements de son cœur, si force de ses poumons le Dieu garde l'empereur à les lancer dans les fenêtres el sur le drapeau. délit soient découverts et punis, de manière à ce que froid par nature. Il marchait à grands pas dans son François! et une multitude de voix répétaient en Et les soldats? leur châtiment serve d'exemple. L'ambassadeur de la cabinet, murmurant parfois des paroles entrecoupées, chœur ces couplets comme pour donner une séré- — Ils se rangent tranquillement de côté. — Mais... République française ne doute pas que ses réclama- ou s'approchant d'une fenêtre pour jeter avec précau- nade à l'ambassadeur de France. Tout à coup le on frappe à cette autre porte. Ouvrirai-je, Excel- tions ne soient accueillies avec tout l'empressement tion un regard sur la foule qui encombrait la rue. général Bernadotte paraît au balcon, en grand uni- lence ? qu'elles doivent inspirer, et que désormais la police La pendule sonna six heures. forme, entouré de tout le personnel de l'ambassade et — Ouvrez. » ne soit assez vigilante pour prévenir toute scène sem- « Six heures, et rien encore ! grommela Thugut, de quelques serviteurs portant un immense drapeau. Le second secrétaire intime de Thugut parut, te- blable, qui ne pourrait se renouveler sans entraîner je ferai jeter ce maître Wenzel dans un cachot sou- Nous nous taisons au milieu de notre hymne patrio- nant une missive cachetée. les conséquences les plus sérieuses, d'après l'inten- terrain pour le reste de ses jours, el je renverrai tous tique, et le peuple s'arrête, levant des regards curieux « Qu'ya-t-il, Heinle? demanda le ministre avec tion très-ferme où est l'ambassadeur de repousser mes agents, si rien....» vers le balcon, d'où ces messieurs ont disparu, mais calme. jusqu'à la moindre insulte, à plus forte raison des Il s'interrompit et prêta l'oreille. On venait, lui où le drapeau est resté. Il pendait tout flasque, lors- — L'ambassadeur français envoie cette lettre à excès aussi scandaleux. semblait-il, de frapper un léger coup à la porte que survient à propos un coup de vent qui l'enfle et Votre Excellence. » P. S. M. de Thugut est prié de remarquer que masquée qui donnait sur un escalier dérobé. En nous montre, flottant majestueusement sur nos têtes, — Et qu'avez-vous dit au porteur? l'on a beaucoup à se plaindre dés agents de la police. effet, on frappa une seconde fois el plus fort. l'étendard aux couleurs françaises, avec ces mois en — Que le médecin défend de déranger, sous aucun Plusieurs qui ont dit être employés par elle ont été « Entrez! » dit Thugut. grandes lettres d'or : Liberté, égalité, fraternité! prétexte, Votre Excellence, qui a une fièvre épou- requis pour dissiper l'attroupement, et, au lieu de Son secrétaire intime, Hubschle, entra précipi- — Quelle audace! murmura Thugut. vantable. remplir les intentions de l'ambassadeur, ils sont res- tamment, hors d'haleine et le visage en feu. — C'est bien le mot ! s'écria Hubschle. Et c'est — A la bonne heure ! Retournez à votre poste, et tés froids spectateurs de ces désordres révoltants. » « Excellence, s'écria-t-il, la bombe éclate ! La aussi celui-là que se mit à hurler maître Wenzel, et failes bonne garde. Quant à vous, Hubschle, redes- Quel langage arrogant ! s'écria Thugut. Ne dirait- meule.se lance contre le cerf! Oh ! elle va joliment la foule de répéter après lui : « Quelle audace ! A cendez vile voir ce qui se passe à l'ambassade fran- on pas que cet honime est le maître ici7." ... On le réduire aux abois, j'en suis sûr. » bas le maudit drapeau! Nous ne sommes pas aussi çaise, et rapportez-moi promptemenl des nouvelles. » frappe ; serait-ce déjà Hubschle ? Thugut jeta un regard de mécontentement sur ce bête que les Milanais, les Vénitiens et les Romains, « Et maintenant ajouta le ministre, resté seul, C'était lui, en effet. pétulant petit homme joufflu. nous n'acclamons pas le drapeau français. Nous n'en voyons ce que m'écrit M. l'ambassadeur. » « Excellence, dit-il tout essoufflé, j'ai rencontré «t Vous avez encore bu, Hubschle, malgré ma voulons pas, nous le détestons ! C'est une offense pour Il décacheta le pli et lut à demi-voix : à la porte un de nos gens qui m'a donné des nou- recommandation d'êlre sobre au moins aujourd'hui, l'Empereur que ce drapeau étranger avec celte abo- « L'ambassadeur de la République française pré- velles toutes fraîches, et je remonte quatre à quatré... — Excellence, je l'ai été, je vous le proteste ; je minable inscription, Qu'on nous l'ôte ! » vient M. de Thugut qu'au moment où il lui écrit, — Point de préambules, bavard. Au fait. n'ai bu qu'autant que ma soif l'exigeait. — Très-bien! dit Thugut en souriant; ce Wenzel une populace fanatique ose former un attroupement — En effet, votre soif exige toujours des quantités a du bon ; et après ? devant la porte de son habitation. Les motifs qui La suite au prochain numéro. énormes, dit Thugut en riant. Mais voyons, parlez — La foule affluait de plus en plus ; le cri : à bas animent ces attroupés ne peuvent pas être l'objet du vite, et soyez bref et précis. Pas de détours, pas de le drapeau ! devenait de plus en plus formidable, de plus léger doute, puisque plusieurs pierres ont été

'^'î*1-* . .-W^^&i^f' > .*»iSÏÏ-V *«Ï>Z.S* .J*.' —Jtf . -..^SS- -'liât' que ce terrain n'ayant pas été nécessaire pour cette cons- autorisation , au remboursement des fonds partui détournés municipal de a demandé la création de quatre nou- sitions, qui ne donnent lieu à aucune discussion, sont adoptées Conseil général par le Conseil. truction et le trouvant par conséquent disponible, ce pro- de leur destination , et à la reititution du mobilier dont la velles foires qui se tiendraient au chef-lieu de cette commune, le disparition serait constatée ; qu'elle proposait, en outre , Chemin vicinal d'intérêt commun n» 70. —Demande de classement priétaire était parfaitement en droit de le revendiquer. Il 27 de chacun des mois de septembre, octobre, novembre et dé- l'ouverture d'un crédit de 500 fr. pour pourvoir aux frais Séance du 24 août t%64. cembre. La 3« commission qui a eu à examiner cette question, con- au rang des routes départementales. — Ajournement. invoque , à l'appui de son opinion , une consultation de Divers habitants des cantons de Gramat et de Gourdon ont de- M. Dufaure , avocat et bâtonnier de l'Ordre, à Paris , qui, du procès. ( suite ) sidérant que la position de la commune de Puybrun située dans Un membre prend la parole et dit que la mesure proposée un pays où depuis plusieurs années le commerce des bestiaux mandé parunepétition dumois d'avril dernier, que le chemin vici d'après lui, démontre que le droit de préemption que de- Caisse de retraite des employés de la Préfecture. lui parait bien rigoureuse, surtout à l'égard d'un homme de boucherie a pris un grand développement, et que les foires nal, n°70,de Gourdon à Gramat fût classéau rang des routes dépar- mande à exercer le Sr. Valet ne saurait être contesté ; il La commission propose de maintenir l'allocation de 1,800 fr. dont l'honnêteté et la probité ne sauraient être mises en qui y existent prennent de jour en jour une nouvelle importance tementales. Aprèsavoir pris connaissance de cette pétition,l'admi- termine , en disant que la prétendue servitude concédée au destinée à la caisse des retraites des employés de la préfecture ; doute; que cet ancien fonctionnaire peut bien avoir à se et sont devenues insuffisantes, propose d'émettre un avis favora- nistration a voulusavoir quelles seraient les dépenses qu'auraitàfaire Sr. Lacassagne n'est , en définitive , qu'une aliénation elle émet en même temps le désir que M. le Préfet veuille bien reprocher quelques irrégularités,mais qu'il a agi de bonne ble. Cette proposition est adoptée parle Conseil. le département^ pour donner satisfaction aux pétitionnaires; elle a déguisée , pour enlever au propriétaire dépossédé , malgré communiquer, à la session prochaine, la situation de cette caisse, Arrêté réglementaire de la culture du tabac. —Demandes de modi- pris des renseignements auprès de M. l'Ingénieur en chef qui a lui , de sa propriété , une faculté que lui donne la loi. foi , et que cette circonstance devrait le mettre à couvert des les sacrifices que lait le département devant cesser, lorsque le fication de certaines dispositions.—Renvoi de la demande à M. le répondu que les frais de l'établissement de la route demandée se Après ces observations, M. le Président met aux voix les poursuites dont il est menacé : l'action qu'on se propose déficit occasionné par la dernière conversion de la rente aura été Préfet. porteraientà 3't0,000 francs. En présence d'un chiffreaussiélevé, la conclusions de la commission , qui sont adoptées par le d'intenter ne serait pas d'ailleurs à ses yeux sans incon- comblé. Un membre de la 3e commission donne connaissance au Con- 2e commission à laquelle^ élé envoyée celte pétition, a pensé que Conseil. En conséquence , M. le Préfet est autorisé à plaider vénients , puisque, d'après lui , elle pourrait engager la Société d'agriculture de Cahors. — Subvention départementale. seil d'une lettre qui lui est adressée par M. Berton, avoué à Ca- dans la situation financière où se trouvait le département, il n'é contre le Sr. Valet : un crédit de 500 fr. , qui sera inscrit responsabilité du chef de l'administration qui a ordonnancé Comices agricoles. — Subvention départementale. - - hors, qui, comme membre de la société d'Agriculture du Lot a tait pas possible d'y donner suite quant à présent et qu'on devait les mandats au moyen desquels ont été payées les dépenses La commission propose aussi de maintenir la subvention de à l'art. 16 du sous-chapitre 20, est ouvert pour subvenir cru devoir appeler son attention sur diverses mesures prises par se borner à exprimer le regret qu'éprouvait le Conseil de se aux frais du procès. faites par M. De Bessonnies. II se résume en disant si avant 4,000 fr. annuellement accordée à la Société agricole et indus- l'administration des tabacs, mesures qui, d'après lui, seraient con- trouver dans la nécessité d'ajourner la réalisation du vœu émis Budget de l'instruction publique. d'en venir à des voies de rigueur, il ne conviendrait pas de trielle du département du Lot ; mais, comme d'après elle, le but traires aux intérêts du cultivateur. En rendant compte de cette par les pétitionnaires. Cette manière de voir est aussi partagée par faire de nouveau un essai de conciliation. de cette institution est principalement d'encourager les comices e Un membre de la même commission soumet au Conseil le réclamation, M. le rapporteur dit que la 3 commission a examiné le Conseil général. Il est répondu à ces observations que le droit du dépar- agricoles, elle serait d'avis que sur la subvention qui lui est budget de l'instruction primaire , pour l'exercice de 1865 avec intérêt la lettre qui a été adressée au Conseil général à l'oc- tement, d'obtenir le remboursement de dépenses si irrégu- donnée on prélevât une somme de 400 fr. qui serait également et en propose l'adoption. Il croit devoir faire observer que casion de la culture du tabac, qu'elle a trouvé dans l'examen des Séance du S5 août. lièrement faites, ne peut être sérieusement contesté ; que, répartie entre les comices de Puy-1'Evêque et de qui la commission a appris que le nombre des instituteurs reçus diverses questions qui y sont traitées des observations qui lui ont sans doute , il est rigoureux d'en venir à de pareilles extré- sont entrés dans une voie qui lui a semblé devoir être encouragée. Étaient présents : Son Exc. le Maréchal CANROBBRT , se trouvait hors de proportion avec les besoins du service ; semblé mériter l'attention bienveillante de l'autorité et qu'elle mités envers un ancien fonctionnaire dont la probité n'est Cette proposition est combattue par un membre qui fait observer président ; MM. DELTHF.IL et Comte MCRAT , vices-présidents; que , par suite , beaucoup de ces instituteurs se trouvaient avait été d'avis de renvoyer cette lettre à M. le Préfet, avec prière mise en doute par personne, mais que cette considération ne que la subvention accordée à la Société d'agriculture a déjà été BESSIÈRES, LIMAYRAC, BRDGALIÈRES, DCPCY, BOQCES, PRADINES, sans emploi , ce qui n'était pas sans inconvénient; que dans d'accueillir favorablement les réclamations du pétitionnaire dans doit pas arrêter les représentants du département lorsqu'il réduite dans la dernière session d'une somme de 1,000 fr., que les dispositions que sa sagesse et sa justice lui feront reconnaître DELPECH , PAGES , DEMEAUX , DE , DUPHÉNIECX, ces circonstances le nombre des élèves admis à l'Ecole nor- s'agit de la conservation de ses intérêts ; que bien que M. si elle est l'objet d'une nouvelle réduction il est à craindre que les CIPIÈRE , D'ARCIMOLES , LABORIE , DBLPON , DE LAVAUR- male, de Montauban lui avait paru trop élevé, et qu'elle devoir être admises. de se soit jusqu'ici montré peu disposé à en venir efforts que fait cette Société pour l'amélioration de la situation Conformément à cette proposition, le Conseil décide que la LABOISSE , G LAN DIX , SÉRAGER , CALMON , CUNIAC , MATERRE , exprimait le désir que ce nombre fût provisoirement réduit à une transaction , rien ne s'oppose à ce qu'avant d'intenter agricole du département soient paralysés ; il ajoute qu'il ne lettre qui vient de lui être communiquée sera renvoyée à M. le BESSB DE LAROMIGUIÈRE , secrétaire. de deux.—M. le Préfet dit qu'il est disposé à tenir compte du l'action on n'accorde un délai ainsi que vient de l'exposer s'oppose pas à ce que l'on donne aux comices agricoles de Puy- Préfet M. le Préfet assiste à la séance. vœu exprimé par la commission, mais qu'il croit devoir cons- M. le Préfet, dans un but de conciliation et de convenance l'Evêque et de Vayrac, lès-encouragements proposés, à la condition Sous-Préfectures de Gourdon. — Augmentation du fonds d'abon- Le procès-verbal de la dernière séance est lu el adopté. tater que les instituteurs qui ont suivi les cours de l'École toutefois que ce ne sera pas aux dépens de la Société d'agriculture nement. — Vœu. dont le Conseil appréciera la valeur. Budget.—Sous-chapitre 21. normale ont une supériorité bien reconnue sur les autres qui a besoin de toutes ces ressources. Après ces observations, le Le Conseil appuie l'avis émis par le Conseil d'arrondissement Après cette discussion , les conclusions de la commission re instituteurs qui sont reçus par le comité d'examen du Conseil général maintien fallocalion de quatre mille francs desti- Un membre de la l commission propose l'adoption du mises aux voix par M. le Président sont adoptées par le de Gourdon tendant à ce que le fonds d'abonnement de la Sous- département, initiés qu'ils sont aux meilleures méthodes née à la Société d'agriculture, et décide que le crédit porté à l'ar- sous-chapitre 21 , concernant les dettes départementales , Conseil, qui autorise M. le Préfet à agir judiciairement préfecture de Gourdon soit augmenté; le. fonds actuel étant d'enseignement, et que ce fut cette considération qui porta ticle 6 sera augmenté d'une somme de 400 fr. qui sera également depuis longtemps reconnu insuffisant, pour assurer le service de pour dépenses autres que les dépenses ordinaires , et appar- contre M. de Bessonnies , à se pourvoir devant le CoKseii le Conseil général à créer un certain nombre de bourses à répartie entre les comices de Puy-l'Evêque et de Vayrac. Cette la Sous-préfecture et rémunérer convenablement les employés. tenant à l'exercice de 1862 ou à ceux antérieurs à cette d'Etat à l'effet d'obtenir l'autorisation exigée par l'art. 75 l'École normale de Montauban, après la suppression de décision a été appuyée par M. le Préfet. époque. A l'occasion d'une somme de 87 fr. , demandée de la constitution de l'an VIII , et alloue une somme de Création d'une école d'Arts et Métiers à Montauban. — Vœu. celle de Cahors. Conseil d'hygiène et de salubrité. — Réduction de la subvention pour couvrir les frais supplémentaires de l'illumination des 500 fr. pour subvenir aux frais de l'instance à engager. Le Il appuie aussi la demande de la chambre consultative des Délégués cantonaux.—Observations. départementale. Arts et Manufactures de Tarn-et-Garonne et du Conseil municipal bâtiments départementaux les jours de fêles publiques , il Conseil décide néanmoins qu'il sera sursis aux poursuites A l'occasion du crédit de 200 fr. demandé pour les dépenses du de Montauban qui sollicitent l'établissement, dans cette ville, dit que la commission a exprimé le désir que les allocations M. le rapporteur dit aussi que l'on voit avec peine que les pendant le délai de trois mois. Conseil de salubrité, M. le rapporteur dit que cette somme avait d'une ime école d'Arts et Métiers; cet établissement ne pouvant accordées pour les dépenses de cette nature ne fussent pas , délégués cantonaux ne prennent pas plus au sérieux leurs Mines du bassin houiller de St.-Perdoux.—Suite donnée à un vœu du parue hors de proportion avec les dépenses que pouvaient avoir qu'être avantageux aux départements dont la ville de Montauban autant que possible, dépassées. M. le Préfet fait observer fonctions , et que dans nos campagnes les écoles primaires Conseil général. à faire ces comités qui ne se réunissaient que fort rarement et que se trouve être le centre. que si , en 1863 , les crédits alloués ont été dépassés , c'est ne soient pas surveillées avec plus de vigilance. M. le Préfet Dans sa dernière session le Conseil général émit le vœu que la commission proposait de réduire le crédit au chiffre deâOfr., répond qu'à cet égard il ne peut que faire un appel au zèle Cadastre. — Vœu pour le renouvellement. — Ajournement. qu'il a fallu réparer les appareils destinés à cet usage. l'Administration favorisât le plus possible l'exploitation des proposition qui est adoptée par le Conseil. Dans plusieurs de ses sessions, le Conseil général a émis le vœu Le Conseil vole le sous-chapitre 21 et alloue tous les cré- des membres du Conseil général , qui, chacun dans leur cir- mines du bassin houiller de St-Perdoux. Ce vœu a été com- Ces modifications opérées, le Conseil vote en son entier le sous- que les opérations cadastrales fussent renouvelées pour les cantons dits qui s'y trouvent inscrits et qui s'élèvent à la somme de conscription , sont plus que personne à même de s'informer muniqué à MM. les Ingénieurs du service des mines qui ont chapitre 17. Par suite des décisions qu'il vient de prendre, la anciennement expertisés. Dans son rapportsur le répa"tement de 31,050 fr. 63 c. de la manière dont sont dirigées les écoles de leur canton. répondu que le seul moyen de favoriser cette exploitation totalitédes crédits qui y figurent s'élèventà la somme de 13,500 fr. 1865, M. le Directeur des Contributions directes ayant exprimé Terrains restes sans emploi à la constructiou du palais de justice.—Autori- Après ces observations , le Conseil général vote le budget consislerait à construire , dans son entier, la ligne vicinale Budget. — Sous-Chapitre 19. le désir que ce vœu fût renouvelé , la 3e commission s'est de sation de plaider contre le sieur Valet.—Vote d'un crédit de 500 fr. de l'instruction primaire pour 1865, tel qu'il a été proposé qui traverse les bassins exploitables. Pour s'assurer s'il était Le même rapporteur entretien le Conseil du sous-chapitre 19 nouveau occupée de l'examen de cette question. Apres s'être fait Le même membre rappelle au Conseil que , par une par M. le Préfet. possible de donner satisfaction au vœu émis par le Conseil qui est relatif à l'assistance publique ; il propose de réduire le Rapport du Conseil départemeutal de l'instruction publique. général, M. le Préfet a consulté M. l'Agent-voyer en chef er rendre compte des dépenses que- nécessiterait le renouvellement délibération en date du 27 août 1863 , il fut arrêté que la crédit de 4,000 fr. porté à l'article 1 d'une somme de 1,200 fr., de ces opérations, elle a reconnu que, vu le chiffre élevé qu'elles Le même rapporteur donne aussi connaissance au Conseil sur les dépenses que pourrait occasionner l'établissement représentant le traitement du sous-inspecteur dont l'emploi parcelle de terrain restée sans emploi du côté sud du palais atteindraient elles imposeraient une charge trop lourde aux dé- de justice de Cahors, conserverait une destination d'utilité du rapport qui est présenté par le Conseil départemental de ce chemin. Des renseignements fournis par ce chef de a élé supprimé, proposition qui est adoptée. L'article 6, réduit à partements ; en conséquence, elle a été d'avis que tout en re- de l'Instruction publique, sur la situation de l'enseignement service , il résulte que ces frais s'élèveraient à une somme une somme de 1,500 fr., est voté avec cetteobservation que l'alloca- publique et que le département , tout en conservant la connaissant l'utilité de la mesure, il y avait lieu de se prononcer dans le département. Le Conseil accueille avec satisfaction de plus de 40,000 fr., somme que les communes que tra- tion qui y est inscrite, neconcerne que les malades qui se trouvent propriété de ce terrain . concédait au Sr. Marcellin Lacas- pour son ajournement, avis qui a été partagé par le Conseil l'exposé qui lui est fait de la situation du service, et ordonne verse cette voie de communication sont dans l'impossibilité dans le cas pévu par la circulaire du 20 avril 1835. Sur la pro- sagne un droit de servitude , aux clauses et conditions générla que ce rapport sera inséré dans l'Annuaire. de fournir ; il n'est donc pas possible , quant à présent, de position du même rapporteur le crédit inscrit à l'article 7 est aug- Cendarmerie. — Brigade de Castelnau. — Vœu. indiquées dans une pétition par lui adressée au Conseil menté d'une somme de 400 fr. qui sera destinée à la création général le 10 août 1863. Il ajoute que cette décision n'a Travaux à la Sous-préfecture de Figeac.—Procès contre M. de Bessonies , donner satisfaction au vœu précédemment émis par le Con- La ville de Castelnau se plaint de ce qu'on lui a mal-à-propos et ancien sous-préfet.—Vote d'un crédit de 500 fr —-Sursis de trois mois. seil général. d'une nouvelle bourse dans les institutions des. sourds-muets. Le sans motif plausible enlevé une brigade de gendarmerie à cheval point été acceptée par le Sr. Valet, ancien propriétaire du crédit de 300 fr. destiné,, au dépôt de la mèndicité est réduit à terrain en question , qui avait vu dans cette décision une Un membre de la 1™ commission , chargé du rapport Route impériale nMIl, dans la traverse de Soturac.—Vœu. qui était depuis longtemps établie dans cette localité, pour la de l'affaire concernant M. De Bessonnies, dit qu'il n'entrera Conformément à la proposition qui en est faite au nom ,100 francs. transférer à Montcuq, commune qui n'a pas l'importance de Cas- atteinte au droit de préemption que lui donnait la loi ; que pas, à ce sujet, dans des détails très-étendus, le Conseil de la 2e commission , le Conseil général émet le vœu que La commission serait aussi d'avis de réduire à 4,000 fr. la sub- telnau et par l'organe de son Conseil municipal, elle demande ce propriétaire ayant manifesté l'intention de faire décider ayant déjà eu plusieurs fois à s'en occuper; il se bornera à l'Administralion supérieure veuille bien ouvrir le plus tôt vention accordée habituellement à la Maison de refuge et de mi- que cette brigade à cheval soit réintégrée à Castelnau qui pos- la question par l'autorité judiciaire et d'actionner le dépar- me rappeler qu'en 1862 le Conseil général décida que M. De possible le crédit nécessaire au projet d'amélioration de la séricorde de Cahors, dirigée par M veuve Fournié ; mais sur sède une belle caserne et des écuries où les chevaux seront plus tement , M. le Préfet, avant de laisser engager cette action , route impériale n° 111 , dans la traverse de Soturac , projet l'observation faite par un membre que les mêmes raisons qui, convenablement installés qu'à Montcuq. En présence de ces con- avait cru devoir consulter de nouveau l'assemblée dépar- Bessonies serait tenu d'enlever le plus tôt possible le bâti- qui a déjà été approuvé par M. le Ministre des travaux dans la dernière, session, portèrent le Conseil généra à mainte- sidérations, la 3e commission propose d'appuyer d'un avis favora- tementale. U dit encore que la 1™ commission , après avoir ment par lui édifié , sans autorisation , dans l'enclos de la nir l'allocation, depuis longtemps accordée à cet établissement, ble la demande du Conseil municipal de Castelnau, proposition de nouveau examiné cette affaire , avait reconnu que les sous-préfecture , et à rembourser les fonds par lui détournés publics , el qu'il sérail urgent de mettre à exécution. existent encore, qu'il se trouve dans la même situation, qu'il a qui est adoptée par le Conseil. pièces nouvellement produites n'étaient pas de nature à de leur destination, et autorisa, en même temps, M. le Nouvel enseignement spécial.—Création d'une.grands école. Préfet à intenter une action judiciaire contre M. De Bes- Il est donné connaissance au Conseil d'une circulaire, en à craindre les mêmes embarras pour ses approvisionnements par Chemin Vicinal de Grande Communication n» 1. — Classement au infirmer la résolution arrêtée dans la dernière session; qu'il suite de la fâcheuse situation des secondes récoltes, le Conseil rang des routes départementales. — Ajournement. était de doctrine et de jurisprudence que , pour qu'un pro- sonnies , dans le cas où il se refuserait à faire cette démo- date du 13 août, par laquelle Son Exc. M. le Ministre de général maintient l'allocation proposée par M. le Préfet. Il vote Enexécution d'une délibération prise par le Conseil général priétaire pût exercer son droit de préemption, il ne suffisait lition et à effectuer ce remboursement ; que le Ministre l'instruction publique expose les avantages qui résulte- aussi tous les autres crédits inscrits au sous-chapitre S, qui, par le 29 août 1860, une enquête fut ouverte sur la proposition du pas que les biens dont il avait été dépossédé fussent dispo- ayant été consulté , et sa réponse communiquée au Conseil raient de la création d'une grande école où seraient formés suite des modifications adoptées parle Conseil, se trouvent réduits Conseil d'arrondissement de Gourdon tendant à faire classer le nibles , mais qu'il fallait , en outre , que l'Administration dans la dernière session , l'assemblée départementale crut les professeurs destinés au nouvel enseignement spécial dont à la somme de 26,700 fr. le chemin vicinal de grande communication, n° 1, de Cahors à eût manifesté l'intention de les aliéner, circonstance qui,ne devoir persister dans sa première résolution. Ce membre dit l'étendue doit être prochainement déterminée par une loi. Ecoles primaires.—Elèves les plus méritants,— Récompenses.-Prix spécial. Budget. — Sous-Chapitre 20. Gourdon au nombre des routes départementales, et à faire dé- encore que cette dernière décision ayant été aussi commu- se trouvait pas dans l'espèce , puisqu'elle se proposait de Par la même circulaire, Son Exc. appelle, en outre, Le même rapporteur propose l'adoption dans son entier du classer la route, n° 4, de Cahors à Gourdon pour la convenir en niquée au Ministre de l'Intérieur , Son Excellence a fait consacrer à un usage public le terrain revendiqué par le l'attention de l'assemblée départementale sur le bon effet sous-chapitre 20. En faisant cette proposition, M. le rapporteur chemin vicinal. Cette instruction faite, le dossier fut transmis a Sr. Valet ; que , d'après ces considérations , la commission observer que la voie que se propose de suivre le Conseil dit qu'il est chargé au nom de la commission de prier M. le M. le Ministre de l'Intérieur, qui, avant de se prononcer, a de- lui parassait bien rigoureuse, si longtemps après l'accomplis- que produirait la distribution , en fin d'année, de quelques avait été d'avis de donner suite aux résolutions consignées récompenses aux élèves les plus méritants des écoles pri- Préfet de vouloir bien surveiller l'emploi de la somme de 400 fr. mandé de nouveaux renseignements. L'examen de celte question dans la délibération du 27 août 1863 , d'autoriser M. le sement des f; ils, et qu'avant de s'y engager il serait conve- destinée à l'entretien des bibliothèques administratives delà pré- ayant été soumis à la 2S commission, elle a reconnu que l'état des nable d'essayer d'en venir à une transaction. Après cet maires et sur l'établissement, dans chaque canton, d'un Préfet à plaider contre le Sr. Valet et d'allouer une somme prix pour l'enfant de 15 ans et pour le jeune homme de fecture et des sous-préfectures; l'examen qu'elle a fait des livres ressources du département ne lui permettait pas de mettre im- de 500 fr. pour faire face aux frais que l'instance pourrait exposé, M. le rapporteur ajoute que M. De Bessonnies ayant acquis avant son administration, lui ayant fait remarquer que, 18 ans qui auront le mieux conservé et le plus accru l'en- médiatement à exécution la mesure sollicitée par l'arrondissement occasionner ; que telles étaient les propositions qu'il était rejeté les propositions de transaction qui lui ont été faites , dans le nombre il s'en trouvait qui n'avaient pas un caractère pu- seignement de l'école. de Gourdon et admise en principe par le Conseil général et elle chargé de faire au nom de la lre commission. il est de la dignité du Conseil général de venir à bout d'une rement administratif. Il dit aussi que la commission proposait x Le Conseil général, tout en reconnaissant les avantages propose par l'organe de son rapporteur de persister dans le vote Ces propositions sont combattues par un membre qui sou- résistance si contraire aux intérêts du département , et dè de réduire à 1,000 fr. la somme de 2,006 fr. 78 c. attachée aux émis le 29 août 1860 et d'ajourner le classement définitif du che- qui pourraient résulter pour le département de la réali- tient qu'aux termes de l'art. 50 de la loi du 23 mai 1841, sauvegarder un principe qui doit prévaloir sur des considé- dépensés imprévues et portée à l'article 11, réduction qui est min n° 1 en route départementale jusqu'au moment où la situa- sation des désirs de M. le Ministre , se voit dans la nécessité le propriétaire du terrain dépossédé a le droit de le reven- rations personnelles; que la commission proposait au Conseil prononcée par le Conseil. Sous le bénéfice de ces observations et tion financière du département lui permettra de pourvoir aux de persister dans ses précédentes résolutions qui consistaient de né pouvoir inscrire , quant à présent, à son budget au- •de ces modifications, le Conseil vote le sous-chapitre 20. dépenses que ce classement pourra nécessiter, avec cette réserve diquer du moment qu'il n'a pas reçu la destination pour cune allocation dans cet objet, eu égard à l'insuffisance des laquelle il avait été acquis ; que le Sr. Valet en avait été à autoriser M. le Préfet à poursuivre M. De Bessonies, pour Foires. — Puybrun. que le chemin n° 1 continuera à recevoir les allocations qui se- ressources départementales. La suite au prochain numéro. dépossédé pour la construction du nouveau palais de justice; le contraindre à l'enlèvement du bâtiment par lui édifié sans Par une délibération en date du 10 mai dernier. Le Conseil ront nécessaires à son amélioration et à son entretien. Ces propo- JOURNAL DU LOT

L'ILLUSTRATION DU MIDI l'Empereur et îe Czar se rendraient à Compiè- donc considérer celte édition o ne offrant Bureaux: Rue des Balances, 43, Toulouse. i gne, au retour de Nice. Cette conjecture ne ÉTAT CIVIL DE LA VILLE DE CAHORS Sommaire du 16 octobre 1864. le plus haut degré de fidélité, de •« mveaulé et parait reposer sur aucune sérieuse information. Texte : Galerie biographique du Midi de la France : et d'intérêt. h. H. Bée Is. Jasmin. — Courrier de Province, par M. de la Garon- A partir d'avant-hier, les délibérations du 21 octobre Dussan (Marguerite), sans profession, nière.—Revue, par M. G. Raynaud. — Chronique Conseil d'Etal ont repris leur cours habituel. » "1 ans, rue Fênêlon. parisienne, par M. Emile Lambry — Nouvelle comète. — Le château de Turenne. — Carthage. — Le château Plusieurs projets de loi sont soumis aux diver- Faits divers. 22 — Delpon (Baptiste;,-11 mois, à Toulous- de Bonaguil, par Roger de Quirielle. — Résidences histo- ses sections ; quant an budget, il ne leur sera que. riques de l'Albigeois, par A. de T.-L — Esquisses mé- remis que dans le courant de décembre. 22 — Valette (Pierre), propriétaire, 65 ans, ridionales, par M. Paulin Capmal. — Causerie agricole. Pour extrait : A. LAYTOD. Cabessut. — Les nouveaux cafés. — Nouveau wagon. — Théâtres. PRENDRE AUOtRU'Htl Gravures : Jasmin, le poète agenais. — Le château de 22 — Malique (Françoise), 10 mois, rue St- Turenne. — Le château de Bonaguil (Villeneuve-sur- (Tirages irrévocablement en novembre) Barlhélemy. Lot). — Résidences historiques de l'Albigeois : le château Bibliographie. de Saint-Géry. chez tous Libraires, Débitants de tabac, bil- Les mémoires de Madame Roland (1), par P. Faugère; lets à 25 c. de ces trois Grandes loteries auto- risées. DEPARTEMENT DU LOT. Le Tour du Monde. — Deux cent cinquantième livrai- M. P. Faugère vient de publier à la librairie son. — Voyagea Java, par M. de îlolins (1858-1861. Hachette une nouvelle édition des Mémoires Capital (ensemble) 2,375,000 francs. Arrondissement de Gourdon. — Texte et dessins inédits). Rédigé et mis en ordre par M. F. Coppée. pie Madame Roland, écrits durant sa capti- (Tous lots immédiatement payés en espèces.) Commune de . Sept dessins de M. de Molins, et un de M. Bida. vité. Celle nouvelle édition est revue et com- LOTEKlEDEsEiNFANTSPAUVRIiS(l,5000,00fr.) Publication du Plan parcellaire. plétée sur les manuscrits autographes, et ac- 603 Lots.—Gros lot 150 000 fr. pour 25 c. CAISSE D'EPARGNE DE CAHORS. compagnée de notes et de pièces d'une grand LOTIÎRIE DES AN DE LYS (750,000 francs.) Chemin vicinal ordinaire de première classe, Séance du 16 octobre 1864. intérêt. 310 Lois.—Gros lot 100,000 fr. pour25 c. numéro 1, de Payrac à , partie com- 1 f LOTERIE MUNICIPALE DE S -CLOUD. prise sur le territoire de la commune de Pay- H Versements 1,211 » Les Mémoires forment la partie intime, dra- rac. 7 Remboursements, dont 3 pour solde 1,658 26 matique, el, en quelque sorte, personnelle et Garanties complètes : tirages publics (Hô- Pour la chronique locale : A. LAVTOU. vivante de l'histoire. Ils offrent au lecteur un tel de Ville) sous la surveillance de l'Autorité. EXPROPRIATION a tira it semblable à celui d'une conversation qui, Si dans notre ville on ne trouve plus de POUR CAUSE D UT1LITÉ PUBLIQUE. ayant le prix d'une confidence, a de plus le billets, adresser immédiatement (en mandat Exécution de l'article 5 de la loi du Correspondance. mérite de mettre les événements mieux à sa de poste ou timbres-poste) au Directeur du 3 mai 1841 portée en les lui faisant connaître dans le dé- BUREAU-EXACTITUDE, 68, rue Rivoli, Paris, Avis au Public. Paris, 21 octobre. tail. Lorsque à ce caractère s'ajoute le prestige 5 francs pour recevoir par retour du courrier 20 billets assortis de ces trois Grandes Lote- Le Maire de la commune de Payrac donne avis Le conseil des ministres s'est réuni aujour- du talent, l'amour du bien el la haine de l'in- que le plan parcellaire des terrains à occuper par le ries. d'hui sous la présidence de l'Empereur, au justice, on a un livre qui présente l'intérêt chemin vicinal ordinaire de première classe, nu- palais de Saint-Cloud. méro 1, de Payrac à Fajoles partie comprise de l'histoire et le charme d'une œuvre d'art. sur le territoire de la commune de Payrac, présenté Tels sont les Mémoires de Madame Ro- Certificats Turcs fi °/ consolidés- par Monsieur l'Agent Voyer en chef du départe- — L'Empereurell'Impératrice de Russie ont u land. Bien qu'ils ne soient qu'une ébauche de ment du Lot, en exécution de l'article 4 de la loi quitté Mulhouse, ce matin, se dirigeant sur REMBOURSEMENT A 500 FRANCS PAR TIRAGES ANNUELS du 3 mai mil huit cent quarante-et-un, sur l'ex- premier jet, une sorte d'improvisation, rapide- EN 2z ANS Lyon et Nice. LL. MM., voyagent incognito, propriation pour cause d'utilité publique, a été dé- dement jetée sur le papier pendant les cinq Intérêts annuels, 30 francs pour f. 300, prix actuel. pose ce-jourd'hui vingt octobre courant, au secré- il ne leur sera rendu aucun hommage officiel; tariat de la mairie de Payrac, et qu'il y restera mois qui s'écoulèrent depuis son arrestation La Banque de Crédit et de Dépôt des Pays-Bas à toutefois les autorités ont ordre de se rendre pendant huit jours francs au moins, du vingt au jusqu'à sa mort, ils n'en offrent peut-être que Amsterdam et à Paris, 8, rue Drouot, délivre ces en habit de ville aux gares et aux stations prin- rs vingt-neuf octobre mil huit cent soixante-quatre, plus d intérêt, car ils sont comme le premier certificats au prix de f 300, jouissance du premier conformément aux prescriptions de l'article 3 de la cipales où le train impérial doit s'arrêter. La juillet. Dans toutes les villes où la Banque de France même loi. accent de son âme, le premier mot d'un lémoin visite de Napoléon III est toujours fixée à la a des succursales, on peut verser au Crédit de ladite On pourra prendre connaissance dudit plan, sans lin de cette semaine. qui n'a eu que le temps de dire la vérité. On Banque des Pays-Bas, et on recevra les tilres francs déplacement, pendant le délai de la publication. Les admire l'écrivain, a l'âme sloïqne et à l'esprit de port contre envoi du Reçu. personnes qui auraient à réclamer contre sa teneur sont — L'affaire Mirés conlre les liquidateurs de invitées à présenter, dans le même délai, leurs réclama- charmant, tantôt s'inspirant du contre-coup tions par écrit, ou à venir les faire verbalement à la Mairie. la caisse de Chemins de fer a été remise hier des événemenlsetdu bruit de la place publique, Avec un des prochains numéros, les abonnés de Fait à la Mairie de Payrac, le 20 octobre mil à quinzaine comme dernier délai par le tribu- tantôt s'isolanl dans le domaine tranquille des huit cent soixante-quatre. Y Illustration recevront le n° 9 du Parts nouveau nal de commerce. Dans une lettre adressée aux souvenirs de son enfance el de sa jeunesse. Il illustré. Ce numéro contiendra des vues intérieure- Le Maire, actionnaires, M, Mirés fait connaître qu'il a y a un charme tout particulier à voir la même du nouveau Tribunal de commerce, la fontaine Saints Signé : LAUVEL. reçu de M. le Ministre de la Justice l'autorisa- plume qui vient de déssiner avec vigueur la fi- Michel, des vues extérieures et intérieures des Halles tion de reprendre les opérations financières que gure de Danton, de Robespierre ou de Maint, centrales, des morceaux de sculpture décoratifs de BULLETIN FINANCIER. la catastrophe d'il y a trois ans a interrompues. dépeindre avec une sauve légèreté l'intérieur l'Ecole des Mines, du Conservatoire et du Square des Arts-et.Métiers, etc., etc. BOURSE DE PARIS, d'un couvent, et faire passer devant nos yeux Le Paris nouveau, ainsi que la France nouvelle — C'est à tort qu'un journal prétend que le au comptant: Dernier cours. Hausse. Baisse la physionomie de ceux qu'elle aima. illustrée, dont la deuxième livraison va être mise sous Conseil d'Etat va être saisi d'un Mémoire sur 20 octobre 1864. En 1846, la fille de Mme Roland confia h presse, paraissent au fur el à mesure des embellis- l'enseignement primaire obligatoire. Il n'est et 3 pour 100 .. 64 80 » 30 » » sements et changements qui se font, soit à Paris, M. P. Faugère les Mémoires mannscrlis de sa 3 p. °/ emprunt de 1864. 64 55 » » » 20 ne peut être question de rien de pareil, dans soit en province; ils formeront chacun un magnifi- 0 mère. Grâce à cette intéressante communica- 41/2 pour 100 91 90 » 10 » » le triple intérêt des instituteurs, des familles que volume de 3 ou 400 pages, dont moitié en gra- tion, il rectifia el complété en bien des endroits vit res. 21 octobre. et de l'état. au comptant : le lexle imprimé, et posséda dès lors un exem- Les neuf numéros parus du Pans nouveau, ain- Un grand nombre de fonctionnaires sont en 3 p. % emprunt de 1864. 64 90 » 10 » » plaire des Mémoires authentiques de M '"' Ro- si que le premier numéro de la France nouvelle il- ce moment à Paris. Cela fait remédie sur le 3 pour 100 65 70 » 15 » » land. C'est ainsi qu'il a pu nous en donner une lustrée, seront envoyés gratuitement à tout souscrip- tapis les bruits de changement dans le person- teur d'un abonnement d'un an à 1'ILLUSTRATION, 4 1/2 pour 100 91 85 » » » 05 édition vraiment nouvelle, exacte et augmentée dont le prix est de TRENTE-SIX FRANCS PAR AN. 22 octobre. nel administratif qui ont circulé il y a quel- au comptant : ques semaines. en outre de notes el de pièces inédites. On doit L'Administration envoie gratuitement, comme spé- cimen, un numéro du journal à toute personne qui 3 pour 100 65 10 » 20 » » Dans certains groupes, on disait encore que (1) 2 vol. in-18, jésus, 7 fr. AParis, librairie Hachette. en fait la demande par lettre affranchie. 4 1/2 pour 100 91 85 » » » » A Cahors, librairie Calmette.

Pour tous les articles et extraits non signés : A. LATTOD

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