Centimes

.«iiinmiiiitirtmim«M^NRTnnninir4 DIRECTION «t RÉDACTION 57, R o t Blatin , CLERMONT-FERRAND ADMINISTRATION . MARDI Rae Barbucon — Tél. 1-54, 2-07 »t 7-15 COMPTE CHÈQUES POSTAUX: No 085 SILLES BE BËPfCRES: ST. Innra Ses Ètate-SaU -57, ni» IW* ABONNEMENTS Poy-de-DAme e t On «a Six mol* 3 moto départ, llmltr. 40 fr 22 fr. 12 fr btm départ. tt cthniii 4 5 » 2 4 » 1 3 » JUILLET Itraaow et Union Pwtale 8 0 » 4 5 » 2 4 » Saint Alexis 5U PUY-DE-DOME ET DU CENTRE PUBLICITÉ La Publicité local* «t régional* *at . Quotidien Républicain reçu* à notre bureau spécial de publicité, 42, *T*nu* dsa Buta-Unla, Agence Havas. .. Publicité extra-régionale est repu* à CANTAL - CORRÈZE;• CREUSE - LOIRE - H‘*.LOIRE l'AGENCE HA VAS. ft2,r.de Richelieu. Parla

Le sermon LA RÉFORME ELECTORALE EN ITALIE Le 7 our de Cycliste LA CONFÉRENCE DE LA PAIX A LADSANN^ %

sur la montagneJe reviens à ce qui se dit pour et contre rien écrit que M. Iîymans n’ait dit à la nous par delà les frontières. Il n’y a per­ Chambre. C’est lui qui, au milieu da sonne d-’assez sot pour s’écrier: « Cela l’approbation de ses collègues, affirmai! < Alors que tous les journaux de France n’a pas d?importance ! » Ce propos té­ à plusieurs reprises la nécessité d tre vous des choses de la patrie. C’est du nettement. C’est une politique. Mais tiennent strictement* aux déclarations Trois d’entre eux, M. Gabriel Faure* choc des idées que jaillit la lumière », qu'ils ont faites devant la Chambre. sa femme et son fils, durent être trans-1 qu’on ait le courage de la faire au grand portés à l’hôpital Saint-André; les deux) yA ven ir approuve. jour, en..face du pays qui décidera. » Mais l’intérêt de la question n’est pas A première vue, cela ressemble assez autres, iqoihs grièvement .atteint», otrt Partîoiif reprennent les autres. Nous là. R n'est'm êm epa^"dansde fait de"9feb’- été dirigés sur teorà^omicifei. * à, de la vulgaire courtisanerie. Mais en ne voulons être les esclaves de personne, voir combien, parmi nos frères d’armes, y regardant de près, il n'est pas difficile pas plus que nous ne voulons exclure ont d’ores et déjà choisi, et combien ont d’y retrouver un système qui, d’ailleurs, quiconque. Mais la situation tragique où choisi conformément à leurs souvenirs, a fait ses preuves. nous nous trouvons veut, en cas de rup­ à leur tradition, à leurs vœux intimes. Si nos réactionnaires adoptent avec un ture entre la France et l’Angleterre, que 11 y a, en Belgique, comme ailleurs, dans pareil enthousiasme les deux thèses suc­ nous fassions notre choix. Comment les discussions sur la Ruhr, une sorte cessives. c'est parce qu’ils entendent les choisirions-nous? non pas conformé­ de rythme suivant que parlent ceux qui utiliser l'une et l'autre suivant les occa­ ment à nos vœux intimes, à notre tradi­ croient à l’opération ou ceux qui la con­ sions. tion, à nos souvenirs, mais conformé­ sidèrent comme infructueuse et dange­ , L’argument de l’intérêt national com­ ment à notre intérêt vital. Nous irions reuse. On ferait des remarques analo­ mandant l’abdication de toutes les ten­ là où notre pays éprouverait le moindre gues en parcourant les journaux anglais. dances devant le gouvernement établi, préjudice. Allons-nous donc nous voiler Le danger est que le nombre des seconds promu de la sorte à une infaillibilité.tou­ la face et nous boucher les yeux avant, augmente, tandis que celui des premiers te papale: c’est pour fermer la bouche que l’échéance redoutable soit arrivée? diminue. Me sera-t-il permis de faire fcux républicains qui veulent crier leur Allons-nous nier le péril au lieu de l’en­ cette unique et simple observation^ que mécontentement et leur dégoût. visager fermement? Allons-nous pousser le dernier discours de M. Poincaré n’a I L’avantage des libres polémiques et la frayeur de l’alume jusqu’à prétendre pas à l’extérieur conjuré ce danger? M. MUSSOLINI . ides chocs de pensées: c’est pour permet­ Mario ROUSTAN, qu’il n'existe pas? nié la liberté, à commencer par la liberté tre à tous les césarien- déclarés ou hon­ Au fond, ajoutent-ils, nous n’avons Sénateur. teux. d'injurier quotidiennement sans du travail et ils ont inventé un mot inju­ vergogne et sans crainte la République rieux contre les travailleurs libres. (Vifs applaudissements.) et les républicains. M. Mussolini se tourne alors vers les Les circonstances changent; les pré­ socialistes : textes se succèdent; mais le mot d’ordre — La liberté de réunion existe-t-elle en ne varie pas. (l'est toujours le même défi Russie? demande-t-il. que nous jettent les tenants de la dic­ Et la Chambre, à grands cris, de répon­ M il tature. Ils exigent la liberté au nom de dre.: « Non ». nos principes, et ils nous la refusent au M. Mussolini. — Est-ce que la liberté de nom des leurs, la presse existe en Russie, et bien d’au­ P. B. tres libertés? Le Char du trlompnateiir Toute la Chambre, de nouveau, crie : « Non ». M. Mussolini rappelle ensuite que son gouvernement qu’on veut représenter comme un gouvernement liberticide, a sanctionné la loi de huit heures, montre Dans la Ruhr son respect pour le suffrage universel, Londres, 16 ju illet. — M. Mac Neill donne aux femmes le droit de suffrage et Toulouse, 16 juillet. — La Chambre LE8 SAISIES DE OHARBOB A dit que le gouvernement britannique doit n’a édicté aucune loi d’exception, mais de Commerce de Toulouse, considérant attendre le résultat des conversations naturellement, dit M. Mussloini, la révo­ que les pouvoirs publics doivent s’ef­ Bruxelles, 16 juillet. — «D’après le» qui sont actuellement en cours entre les lution fasciste a bien le droit de se défen­ forcer de développer l’exportation du chiffres officiels belges, les stocks de, dre. vin en aidant les producteurs à trouver charbon saisis dans-la-Ruhr ont été de1 experts britanniques, français et espa­ 2 millions 517.000 tonnes et ceux de gnols, avant de soumettre la question de M. Mussolini nie qu’il désire l’abolition de nouveaux débouchés, en luttant con­ Tanger à la Société de9 Nations. du Parlement parce qu’il ne voit pas avec tre la fraude sur les marchés étrangers coke de 1.488.000 tonnes. On enlève quo­ M. Baldwin répond par l’affirmative quoi on pourrait le remplacer. et contre la politique du régime sec pra- tidiennement 15.000 tonnes de charbon à la question de M. Ramsay Mac Donald, M. Mussolini, s’adressant aux socialis­ tiquéa par certains pays, en diminuant et 10.000 tonnes de coke. j qui demande au premier ministre .s’il a tes, déclare qu’il serait heureux devoir les charges .fiscales qui'* frappent les — ~ ^intention de communiquer aux Etats- avec lui les masses ouvrières et qu’il vou­ bois,sons et en allégeant les tarifs des M. Malvy autorisé Unis, à titre d’information, le projet de drait avoir leurs représentants dans le transports, demande qu’il ne soit pris la réponse à la note allemande qu’il est gouvernement; il est prêt à leur donner à l’égard des pays avec lesquels nous à rentrer en France ien train de préparer. un des plus délicats ministères. avons des relations cordiales d’affaires Après le discours de M. Mussolini, la a,ucune mesure douanière susceptible de Chambre a voté par appel nominal sur provoquer des représailles dangereuses pour notre commerce d’exportation et Le « LEVIATHAN », paquebot américain de 60.000 tonnes, 'débarque ses passagers un ordre du jour présenté par M. Larussa Le discours de M. Poincare et ainsi conçu : émet à l’ùnaninàité le vœu qu’il ne soit en rade de Cherbourg car ses dimensions ne lui ont pas permis d’entrer dans le port. La Chambre, confirmant sa confiance porté aucune atteinte à l’accord franco- * CRITIQUES ANGLAISES Ce bâtiment semble d’une exploitation onéreuse quoiqu’un seul de ses appar­ dans le gouvernement, approuve les espagnolprin­ et qu’au contraire celui-ci soit tements coûte 70.000 francs pour le voyage de New-York en Europe, cipes de la réforme électorale et passe transformé à en une convention stable de ,f Londres, 16 juillet. — La « Pall Mail la discussion aes articles du projet. longue durée. ôazette » et 1’ « Evening Standard » cri­ La première partie de cet ordre du jour, , , . , «OH» ...... tiq u en t le discours de M. Poincaré à qui confirme la confiance dans le gouver­ jSenlis. nement, a été adoptée par 303 voix con­ ’affaire Quem Un « diplomate distingué » aurait, se­ tre 140 et 7 abstentions, sur 450 députés lon le premier de ces journaux, déclaré André Marlyest présents. ’ P aris,«ris, 16 16 ju juillet. ille t — Sezneca quitté ce que si les paroles du président du Con­ La seconde partie de l’ordre du jour matin le dépôt, escorté par deux gendar­ seil constituait une indication nette de Larussa est adoptée par 233 voix contre mes qui le remettront ce soir entre les l’attitude que la France se propose de à aller voir «a mere 139, sur 451 présents. Il y a 77 absten­ mains de leurs collègues de Rennes. garder, la Grande-Bretagne aurait à tions. L’inculpé sera demain à la disposition prendre, dans un avenir rapproché, nom - Paris, 16 juillet. — André Marty, dé­ de M. Champion, juge d’instruction de Vp de décisions d’importance. Paris, 16 juillet. — Le Congrès de la UN SINGULIER AVEU Chambre de commerce internationale, tenu à la prison de Clairvaux, a reçu Morlaix. Le « Star » trouve que le discours aujourd’hui un sauf-conduit du Gouver­ Rome, 16 juillet. — Au cours de ses dé­ n’est pas de bon augure pour l’accueil tenu récemment à Rome, avait élu eomme clarations à la Chambre, M, Mussolini a président M. Willis F. Booth pour succé­ nement, qui lui permettra d’aller à Per­ que fera la France au projet anglais pignan voir sa mère, qui est très gra­ défini la doctrine fasciste dans une phrase Je réponse à l’Allemagne. der à M. Clémentel, nommé président fon­ caractéristique : « C’est un fait, a-t-il dit, Graves incidents à Florence dateur. vement malade. 40» —------que la révolution russe, aussi bien que la On nous signalé l’arrivée à Paris de M. • D’autre part, M. Frédéric Brunèt, pré­ révolution,italienne, tendent à se dégager Willis H. Booth,-qui fut à Atlantic City, sident du Conseil général de la' Seine, de toute idéologie et en un certain sens de Accident d'aviationen 1919,: l’un des fondateurs de la Cham­s’étant rendu à la présidence du Conseil toutes les institutions libérales et démocra­ bre dë commerce international^. pour présentér à M. Poincaré les mem­ tiques issues de la Révolution française. » Il assistera le 19 juillet au « Comité fi­ Valenciennes, 16 juillet. — Au meeting bres du nouveau bureau 8e l’assemblée nancier international » de la Chambre de départementale, a fait part au! président 1e Valenciennes, un avion, piloté par Commerce internationale, chargé, de pro­ l’aviateur Chartier, ayant à bord 12 pas­ du Cdnseil du vote récent du Conseil voquer chez |es banquiers et financiers général en faveur de l’amnistie, y; . sagers, a été, par suite d’une panne des dont il est le porte-parole l’étude atten­ deux moteurs, obligé d’atterrir brusque­ tive et’continue de tous les problèmes fi­ M..P,oincaré a,répondu.que la question ment. Quatre ou cinq passagers ont nanciers internationaux de l’hcyrp pré­ de la grâce de Ma?tÿ sçrait tranchée ven­ àtesal»* : ' dredi nrochain au Conseil dtt miaiitrcL A midi, un banquet populaire a eu lieu TROISIEME CATEGORIE h l’hôtel JBoudicu, sous la présidence de (Cycles-cars, Side-cars, Motocyclettes) Association générale dss Etudiants La Fête Nationale M. Farnoux Annet, maire de Cournon, Ce 1. M. Billiet, directeur du garage Jeanne, / banquet, auquel assistaient près d’une d Are (une vasque Gallet). Les Sports çentaino de convives, a été fort bien 2. M. de Remacle, directeur d’assurances L’A. G. E. C. nous prie d’insérer le texte I Voici la liste des décorations qui ont été servi et empreint de la plus franchè (encrier bronze). de la réponsé que son président adresse remises an cours de la revue par M. le gé­ fi. M. Arnaudin (une pendulette). ■ à M. Matbiot. commissaire général de la néral Targe: gaieté. Au dessert, les chanteurs, parmi 4. M. Bueaière, c , ‘ Cyclisme t a lesquels nous citerons MM. Alexis Cha- roire-Exjposition : Officier de la Légion d’honneur: M, Mor- F replier du classement général M. : Dony, * Â Fnifn di N Ciasss iw leteix, Marcel Guillemin, Estôve et Char- surprime espèces de 10O franc». Monsieur le Cqmmissaire général, combes, médecin principal. • letoux, ont diverti agréablemént la nom­ . A l’issue du rallye, l’A. C. A. offrait un Je déplore avec vous l’incident désagréa COURSE DE LA PEDALE Chevaliers de la Légion d’honneur: MM. breuse société par leurs chansons. dîner intime dans le» salons du Café du bi©fi qm m il vient vinnè de Ja sem produire.IMA Je Ta h y renen*HAWtAM v ’ Paris, 16 Juillet. — La date.d'ouverture Montagne, capitaine-trésorier à la 13* lé­ De 47 & 48 heures, la Société Musicale Globe. M, le. maire de Clermont s’était ex­ druis pas si dans la lettre quo vou» m’avez 10 tours de la ville, soit 22 kilomètres ïe la session ordinaire du conseil de revi- gion de gendarmerie; a donné un concert des mieux réussis, cusé de ne pouvoir tenir sa promesse d’v as­ adressée, vous ne laissiez supposer qu’il i est 1. Rousseau, en 41*; *':kion de la classe 1924 est fixée au 1" août Cavard, capitaine hors-cadres, 13* région, sister, mais promu officier de la Légion d’hon­ ou u un mouvement d’impatience de ma part 2. Jnlly, à 400 mètr*s ; 3. Barithon; 4. Mi. sur la place du Château, devant un pu­ et a un manque initial de déférence envers enard Jean; û. Jouffrey, tous de la B.-dal» 1923. La séance de clôture aura lieu le 15 Duparc, officier d’administration au parc blic nombreux, qui ne lui a pas ménagé neur le matin même, il était reçu par son vous. : jl —»—«*' pour les départements d’artillerie des Gravanches. conseil municipal, à l’Hôtel de la Poste. Le gé­ Riomoise. — teraent de la Seine. ses applaudissements. néral Linder n’avait pu non plus se rendre Vou» savez çue l’Association des étudiants Conche, ex-maréchal des logis au 113* Le soir, tous les édifices publics l’invitation du docteur Dorel. F Conseil et les dates des d’artillerie. étaient brillamment décorée et illumi. • Athlétisme séances seront réglées par les préfets de Médailles militaires. — MM. Bourdassol, né3. Une retraite aux flambeaux par la . ------que vous ayez p u - façon à concilier dans toute la mesure du du 504 régiment de chars d ’assaut. Société Musicale et les sapeurs-pom­ un seul instant que nous n’étiçns pas capa- Challenges Cote-Blatin (possible les intérêts en présence et en con­ Laurie, chef de brigade de gendarmerie piers a clos la fête.' De nombreux bals sidération des conditions particulières de à Montferrand. publics ont retenu la jeunesse pendant Dimanche prochain 22 juillet, te Stade climat et de lieu, la période d’été et le A titre posthum e: - une 'bonne partie de la nuit et jusqu’au U»’ont qu’une parole et tout lè programme de ClermontoH orgnniso pour la 3»' 'année ies Jdébut de l’automne étant largement mis à Soldat Chabaud, du 3* zouaves. ' , breux camarades de l’A. C. A. et de l’Aé. SA, • .1-- »V VWM«. «V J/* l challciiKcs Cote-Blatin (Ira et 2« cotégories), son du fonnerre,-qui a terminé la fête, C. A. fête, vous le savez, était au point. au Htade des Ormeaux. feroflt pour la visite des jeunes gens dans lorsque l’aube est apparue. Bref, la fête Le repas signé « Gilbert Lcscher » a été \ 0llsr»-«av?z. Promis à deux reprises diffé­ Ses régions froides. rentes 2o0 tickets- d’entrée à la Foire-Expo- La première catégorie compte comme en- A a ote très belle et très réussie par une admirablement servi et ordonné. gagés Universitaire (te- ( Seront convoqués devant les conseils: les Au champagne, le docteur Dorel a lu la sition. Choque fois que je me suis présenté : Le Lyon Olympiqne journée d’un soleil ardent et d’une tem­ dans vos bureaux, vous étiez absent ainsi que nantvdn titre), le Paris CJniversité.Cluh, l’A. 'ajournés des classes 1921* 22 et 23. Ceux de Les fêtes présidentielles n’ont pas empê­ lettre d’excuses que lui avait adressée M. h. Montferrandaise et le Stade Clcrmontois. ■ pérature excessive. - ■> Marcombes, ainsi que celles du général Lin­ votre secrétaire, et on ne savait pas à quelle (la classe 1921 seront déclarés aptes au ser­ ché la ville de Chamalières de célébré* heure vous sefiez visibles. vice armé ou au serviee auxiliaire et feront comme il convient la fêté nationale, sa­ der et de M. Marcel Michelin. Puis, il a A : adressé ses félicitations a Mme Faure-Favier, Ajouterai-je, Monsieur, que »amedi l’auto­ tix mois de service ou seront définitive­ medi matin. recordwoman des vols et de l’altitude comme risation, de M. le Maire vçus était nécessairfe ment exemptés. Les ajournés de la classe Sous les voûtes ombragées des arbres et que dimanche cette autorisation donnée pronostic. A cause des fenaisons la fête nationale passagère en avion. Le L’ O. U. fera l’impossible pour conser­ & 922 seront déclarés aptes au service armé séculaires du parc municipal, M. Cha- Il a remercié M. Dollfusf d’être venu pour n’avait plus aucune valeur. M. Pitiot ne! est tous les ans célébrée le dimanche après s’est dévoilé qu’au moment où il a appris ver Je challenge, mais les Parisiens et les [ou au service auxiliaire et feront un an de trousse, maire, a reçu, à neuf heures du le 14. la deuxième fois survoler notre ville et en­ Uermontois oux-même» seront de bien redou- matin, le Conseil municipal, la Société traîner ù sa poursuite tqus les sportifs de que les choses allaient se gâter. Peu nous im­ «ervice ou seront suivant le cas ajournés Dès le 15 au matin, l’explosion de bom­ portait d’obtenir 250 entrée» gratuites après tabje» adversaires. ou définitivement exemptés. Enfin les ajour­ musicale, la compagnie des sapeurs-pom­ bes donnait le signal de la fête. Les bâti­ l’Aé-O. A. et de l’A. C. A. En £ catégorie, les équipes 2* de l’A. R. M. piers, l’Union sportive, adultes, pupilles et Puis, se tournant ver» M. Gilbort Sardier, la fermeture de l’Exposition. J ’imagine que nés de la classe 1923 seront déclarés aptes ments publics ainsi que beaucoup de mai­ il a loué son activité inlassable qui lui vaut votre secrétaire n’est pas le seul employé de et du Stade Çlermontois disputeront la pal ma [ou service armé ou au service auxiliaire section féminine, et les enfants des écoles sons particulières étaient pavoîsés. triomphes et succès dans sés meetings et ses la région qui pouvait recevoir vos ordres. nn\r • , •âuu^d Hportif Thiernois. let feront un an et demi de service ou, sui­ laïques reçus aux examens du certificat A la tombée de la nuit, le monument aux épreuves de l’air. Vous êtes bien bon de nous conserver votre ion01«™? u r 1 fit** «u programme: vant le cas, seront ajournés ou définitive­ d’études. combattants ainsi que l’arbre de la Vic­ H a aussi- remercié M. Moulin, le chef du amitié en ta n t que Directeur do j’Ecole de tra^haies 1 mètres plats; 200 n^è- Sous l’intelligente direction de son chef, protocole des fêtes enfantines, qui s’est dé- commerce et nous vous pn remercions, mais ment exemptés. . . . toire ont été embrasés. nous persistons à croire que le Commissaire Sauts en hauteur; • • ' Les sursis d’incorporation des jeunes M. Besson, l’Harmonie a annoncé, par Un brillant feu d’artifice avait attir iensé sans compter pojir assurer à M. Doll- 809 mètres relais (4 x 200). l’audition dé la « Marseillaise », l’ouver­ fus les préparatifs nombreux et minutieux général de la Foire.Exposition a voulu nous .igens de la classe 1924 ou des classes pré- une foule nombreuse. Les bals publics, tr du gonflage du ballon. berner et c’çst pourquoi nous avons protesté. Hors challenge (tontes catégories) ; Percho -Icédentes seront accordés, dans les condi- ture pe la réception. animés, ont duré jusqu’à l’aube. Veuillez agréer, Monsieur le Çommissairo J rois nommes seront tolères nu départ de Ensuite M. Chatrousse, dans une allocu­ Enfin, M. le docteur Dorel a constaté l’é­ tiions fixées par les art. 22 et 23 de la loi troite cohésion qui existe entre l’Aéro-Club général, l’assurance de mes sentiments les çnaque epreuve »nisi quo dons les sont«, mais tion heureuse, a dit combien il était heu­ plus distingués. m\x l*r avril 1923, au cours des séances de A MONTLUÇON et l’Automobile-Olùb qui savent unir leurs cb* 5sonicnt^,em,OM ®euk ,,îe,,t' compteront au •v

plat de champignons « préparés », offerts à ’Au dix-septième siècle, ön empoisonnerage J où l’entraîna une sensibilité trop vibran­cent, il évite de livrer le coupable. Cette sorte l’empereur Claude, et la coupe où Britannicus moins couramment son prochain. Mais cepen­te, vit le drame éternel du Paradis perdu. Lede compromis pèsera longtemps sur la cons­ but la mort. Les poisons de la Renaissance dant l’affreuse Voisin et la terrible marquise roman d’amour qui se dessine parmi des pro­cience de celui qui n’a pas eu le courage de foudroyaient parfois leurs victimes. Mais sou­ de Brinvilliers sèment jusqu’en des logis royaux pos de salons, se dénoue dans un drame où faire un jusqu’au bout le geste qu’il fallait faire Causerie vent aussi ils provoquaient une lente dissolu­ leurs poudres de succession. Au dix-neuvième don Juan moderne paie l’imprudence et l’odieuxet qu’il sera d’ailleurs obligé d’achever un jour tion organique, faisant tomber les cheveux, les si.cle, il y a l’affaire Lafarge, mais M. Charles de sa dernière aventure, contée avec une trèspour délivrer la famille du bénéficiaire du dents, rongeant peuà peu l’épiderme, et n’en­ Leleux ne croit pas à la culpabilité de celle jolie sensibilité féminine. Un type épisodique non-lieu des soupçons cruels que la décision di* traînant la mort qu’après une lente et doulou- qu’on appela « l’empoisonneuse de Glandier ».de vieux savant, épris des civilisations anti­ juge n’a pas suffi à dissiper. Livre captivai poison dans l'histoire et dans la criminalité moderne' Quelques — nouveaux reuse agonie qui durait parfois des années. Par contre, il nous présente des statistiques ques. M. Mendre, cerveau riche, tenue mina­ alertement écrit. Sujet développé à fond avO| romans La Juive, par M. J.-H. Rosny aîné. -La Toscanera, par M . Une jeune fille, en dansant, éprouvait soudain,d’où il résulte que les empoisonneuses sont ble, intelligence vive et moralité incertaine, une réelle habileté de mise en scène. à la main ou au bras, une légère douleur. On plus nombreuses que les empoisonneurs, 4 3 égaie ce livre du pittoresque d’une silhouette Dans La Princesse Fégoroff (Flammarior1 Max Daireaux. — La Cité de Joie, par Mme Jean d’ivray. — L e Fiançé constatait une simple égratjgnure. Quel en pour 1 0 0 des cas d’empoisonnement étant pro­que Ton devine observée et dessinée d’aprèsEdit) la comtesse F. de Baillehache traite ca inconnu, par Mlle Eveline Le Maire. — Derrière le Voile, par Mlle M a­ était l’auteur? Personne. Allez donc trouver voqués au surplus par des discussions domes­ nature. cas au moins imprévu : une femme jalousq le maladroit ou le mauvais plaisant dans une tiques. Donc, le poison continue de servir le Mlle Eveline Le Maire nous conte avec en­ d’elle-même et que désespère cette jalousie. thilde Alanic. — La princesse Fégoroff, par la comtesse de Baillehache. foule en fête qui tournoie. Et cependant, le crime, mais il n’est plus l’objet d’une industrie train une aventure sentimentale qu’elle inti­Cela peut vous paraître un peu obscur, mais cas, bientôt, s’affirmait très gravé. La jeune spécialisée ou même encouragée. La loi régle­ tule Le Fiancé inconnu (Pion, Edit.) Vous de­ la comtesse de Baillehache est douée d'un* — Le Sommeil éternel, 1612, par Sophius Michaëiis. fille palissait, perdait .connaissance ; on l’em­mente son emploi, la justice le surveille de vinez tout de suite le sujet, j'en suis sûr. Une sensibilité ^ aux curieuses nuances et que sert portait, on ne devait plus la revoir. Elle avait près, et tout cela, quoi qu’on puisse dire, sert tête se monte et un cœur se prend grâceà un tres réel talent de conteur. L’aventure at­ été frôlée par une bagüe, la « bague de mort »,bien à quelque chose. l’échange de quelques lettres plaisantes avec tachante dune fillette perdue que recueille, le contenant dans ses rayures, le poison qui ren­ • * un être mystérieux. Ce qui nous ramène un plus adorable des compositeurs permet de pré- Î 1 nous plaît parfois, 'en province, de res- (Lemerre, Edit.) témoignent, ’dé leur point dedait l’egratignure mortelle. Doux pays, douce peu au temps des correspondances pas tou­ senter, en un très habile contraste, les deux •nsciter le passé dans ses traditions aimables,vue, que le présent vaut souvent mieux que le Les romans, au mois de juillet, continuent jours inoffensives entre marraines et filleuls. époque! Une empoisonneuse de Naples, la de paraître en grand nombre. Nous en signa­ heroines de ce roman : Myrtille, enfant dis- [costumes, usages pittoresques, vieilles chan­ passé. Toffana, avait inventé un poison qui portait Mais le livre de Mlle Eveline Le Maire est, crete, humble, aimante, dévouée; Liouba Fé- sons, et même il nous arrive, sous le charme Car, enfin, si les tribunaux ont encore i ju­ lerons quelques-uns. lui, tout à fait inoffensife. son nom et qqi fut, durant ce siècle de tous M. J.-H. Rosny ainé a .crayonné fortement, goroff, magnifique artiste ne sortant de l’om­ îde ces évocations, de donner un peu d’enyieger fréquemment des empoisonneurs et des les arts, en grande vogue. L’^i'ioToffana était Un autre roman que Ton peut indiquer aux bre que pour voir le monde à ses pieds. À ces existences qu’ont vécues les grands-pè- empoisonneuses, l’empoisonnement criminel ne dans La Juive: Rachel et l’Amour (Flamma­ familles soucieuses de choisir des œuvres à la un corps sans odeur ni couleur, que l’on mê­ rion, Edit.) quelques types Israélites, très, re­ Enfin, signalons, sous une signature étran­ jes de nos grands-pères, si différentes de lase présente que sous l’a9pect de cas isolés ; il lait aux aliments à raison, d’une goutte par se­ fois vivantes, intelligentes et prudentes dans vie à la vapeur à quoi nous contraint le pro­ présentatifs et même un irréductible antisé­ gère*. un roman rétrospectif qui se rattache à a cessé d’être une industrie prospère, si pros­ maine. Il suffisait, à cette faible dose, de deux leur expression et dans leurs directions, nousnotre histoire napoléonienne. Le Sommeil grès. Un sculpteur de grand talent, que j’ai mite qui, par opposition, et dans une intrigue est donné par Mlle Mathilde Alanic, écrivain père qu’à Paris, au milieu du seizième siècle, ans pour tuer un homme valide. Cette Toffana éternel 1 8 1 2 (Pion, Edit) qui fut publié pat bien connu et qui est mort depuis quelques an­ on ne compta pas moins de trente mille magi­ ’kdroitement enchaînée, fait valoir les physio­ charmant et plein de tact Mlle Alanic n’ignore fit eçole comme, jadis, la fameuse Locuste, et nomies de la magnifique Rachel et du puissant un écrivain danois, M. Sophius Michaelis, er nées, ne cessait de déclarer que notre civilisa­ciens ou trafiquants, à qui l’ont pouvait ache­ son nom fnt même'repris à diverses reprises pas que l'esprit, modernisé, des jeunes filles, a tion eût évolué depuis le Moyen Age. Il exa­ Baruch. rçxx, à l’occasion de l’anniversaire dela ca­ ter .secrètement des toxiques et qui même se par des empoisonneuses qui prétendaient avoir des exigences et ne se contente plus des petitstastrophe où succomba la Grande Armée gérait un peu; il exagérait même beaucoup. J- chargeaient de les administrer. Le roman de M. Max Daireaux, La Tosco- livres sans culture et sans écriture, bâclés sur hérité de son secret Ce qui- semblerait prou­ hera (Albin Michel, Edit.) nous promène à vient d’être traduit en français parMme Hol- ne dis pas que tout soit popr le mieux dans la Une bonne partie de ce joli monde nous ve­ver que le métier, même exercé ostensiblement, le plan d’une morale conventionnelle. Dans vie sociale qui nous est faite dans le présent. travers l’Espagne, dans Tardent désert de la Itaz-Bretagne. L’auteur a imaginé une idyilt nait d’Italie, de cette Italie de la Renaissancecomportait plus de profits que de risques. Le son œuvre d’aujourd’hui : Derrière le Voile dans les neiges mortelles de la retraite, ce ou Néanmoins, elle présente quelques avantages plaine andalouse, dans Cordoue la Mauresque,(Flammarion, Edit.), Mlle Alanic s’est appli­ que l’on nomma « la vénéneuse ». Le poison,Florentin Rene, maître en toxiques raffinés, puis dans les villes mystiques (le la vieille pro­ est dune assez audacieuse fantaisie.Les ftîs appréciables sur celle du temps jadis qu’il ne au cours des quinzième et seizième siècles, ne ^ s’intUule-t-ii pas, en sa boutique du Pont quée à étudier un cas de conscience et à dé­ faut pas toujours juger selon les refrains d’o­ vince asturienne. Roman âpre et passionné ques ou se fixent les tragiques visions de la multiplie les drames dans les petites cours, les Saint-Michel, ^fournisseur dé la reine Cathe­ velopper les conséquences morales de certaines misère physique et morale d’une année dam pérette. Et la lecture des deux volumes que dans des paysages brûlants. réserves qui peuvent diminuer un geste de palais seigneuriaux ou les maisons des sim- rine? C’est l’époque où font fureur les gants Dans La Cité de Joie (Ferèriczi, Edit.), Mme les étendues glacées de Russie,sont d’un « M. Charles Leleux, avocat à la Cour de Pa- P‘cs, bourgeois. Lés toxiques avaient été ! per- parfumés, les • vêtements, manteaux, colleret­ probité humaine. Un homme, très honnête et jris, vient de consacrer à l’étude dufoison Jehan d’Ivray nous présente une délicieuse ettrès bon, le docteur Davier», iulervient nour plus près des réalités et qui, pour cette raisoa fectionnés avpc. une ingéniosité vraiment dia-tes, -dentelles également imnrégnég de parfumsdouloureuse jeune femme, Hélène de Tanriâc nous mteressent davantage. ^ l£uu l’histpirç-et dans la criminalité modernetojiqpe. On avait fait .des progrès depuis le et de pdiipa.* < empêcher, qu’une erreur judiciaire sou gu4 Jjjfrft %» bffi dans J’E& a Su­ Msn 5 U xsiutii 4 fan übérw Tüma> * u *IMM* fi*huAB»L UPfWC "

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ment, Il n’est, pour s’en convainc?.? que de cct élégant établissement sont 'quotidien­ llro les Impressions qui ro marquent sur vos nement acclamés. visages. Qu’y lit on en effoL ? Oh I sans doute i, Ä il la douleur, üungolsso de vos cœurs ulcérés à la penséo de la sanglante holocausto de la AUJOURD’HUI de B ourg-L astic moisson prdmaluréo de tant de vies humaines LA SAISON GRAND CASINO. — Concerts : « 91.., nu qui vous étaient si chères, mais aussi lo lé­ gitime orguci| d’appartenir à une commune ■■■ ' ■■ kiosque de i’Hôpitnl; à 15 il. 30, an kiosque dont tant de vaillants enfants ont fait volon­ du Père; à 20 h. 30, concert sous la v5randu. *

” . ,v _ ___ U M o m t B U W — . „— -— MtriU 1 Ï Juillet 1023 s& a e a

portefeuille. La Rand Mines s’inscrit k 909 et la Ooldûelds a 73.25. . Les valeurs pétro|lrère|, ainsi que les valeurs caoutchoutières sont blén orientées. DE LA REGION y La Do Beers cote 1.04Ô. LES DERNIÈRES » NOUVEAUTÉS CHIUlNtes oc MARBRE» 0OUR8 DU MARCHE DES OHANOE8 r du Lundi 16 Juillet 1923 PUY-DE-DOME 8AINT-GERMAIN-DE8-F088E8 MaisonZ A N Q tt DE CARTES è POCHETTES CORRESPONDANCE Grava accident d'auto. —* Samedi, sur la ViLLATTB W EUS âajoard'bai llir BKURIKREt route de Billy à Saint-Germain-dcs-Fossés, GRANDE FANTAISIE, DEPUIS 1 fp. 65 *Ütt felvtl rdu premier semestre 1823. — une auto conduite par M. Griffet, maire d’A- / O .X t U J . Londres. • .-« w r . . . 78 63 78 295 alssanoes : Allezard Allce-Jeanne et Dugay brest, a renversé un cheminot retraité, M. VI- New-York» •••••••••• 17 D65 17 G6 DE PAPIER A LETTRES gneaud, 6 8 ans, qui voulait se garer d’une bi­ Allemagne * •••••••••• 0 007 0 008 , ^écès^Paulze Jean, 85 ans ; Mlgnaval Elisa, cyclette et qui n’a pu éviter le choc. Belgique « ••••••••••• 82 90 82 80 Déclaration 3 ». F ranco 3.66 R écam icr ...... 4.75. Franco 5.45 B8 ans■ Bravard Jean-Benolt, 17 ans; Chaba- Le malheureux a eu le thorax défoncé et a Danemark. •••»•»»»*••: 299 25 297 . Point de Venise. 3.95. F ranco 4.60 Vélin toilé...... 6 ». Franco 8.70 5y Antoine, 79 ans; Forestier Marle-Céline, été transporté & l’hôpital de Vichy dans un fSspague. • • • • • • • • • • • . . 244 . 244 50 Au Cygne 4.25. F ranco 4.90 Rimes Galantes. 7.75. Franco 8.50 «4 ans; Veyret Benoît, «3 ans; Grauet Louise- état désespéré. _ _ _ _ _ 47 75 .. . • AUce. 7 ans; Bordei Marie-Albanie, 7 a n s.. TREVOL H ollande...... £69 25 664 75 Mariages : Morel Pötrus-PhHippe et Boyer CHASSE-MOUCHES Italie. 73 70 73 .. Dlarle-Rosalie; Veyret Jean-Antoine et Ve-«* Arrestation. — Le nommé Jules Colin, figé “ PYROLÉINE" « Norvège ••• .. e • • • • Se trouvent â la Salle des Dépêches du « Moniteur » eanne-Marie ; Malapert Pierre-Henrl et » de quarante et un ans, sans profession ni do­ . n n iuiiL i pour Lt Rirait Prague...’...... * 61 50 • • • • S eyron Marie-Joséphlne. micile fixes, originaire de Saînt-Rambert-des- Roumanie...... 8 85 8 80 31, avenue des Etats-Unis, 31 Serbie...... * .. . . • • •• Soit t naissances, 8 décès et 3 marlaw Levées (Maine-et-Loire), s’est introduit dans U Misa. e tr.-U D*ml-Bldoa. 8 tr.SO fendant la même période de 1922 11 y avait le parc du château d’Assilly, appartenant au Suède...... 452 50 * • • • • comte de Chabanne La Palice. Il a été surpris VENTE EN QftOS t Suisse...... *•>'.. •" 299 .. 298 .* naissances, 4 décès et 5 mariages. Droguerie vétérinaire j . c h en u ar un garde de la propriété au moment où MONTPKMRAND Vienne..v ...... 24 .. 24 .. m • ------CHA8 B coupait des branches de hêtre pourpre. Bulgarie ...... f • • • • Sachkt : O u 50 Eafol franco I titra fruti 4c S «cher, ci 4m Chèque sur Londres. 78 55 78 10 Cet individu a déclaré que, pour se procu­ f'WHtn «!•»•*« «| AcbMU mc, cmuc audit oo chtçua 4« 10 (r. V Journée Pasteur. — Uné quête ^Ue en fa- rer des ressources, il allait vendre aux Halles teèur des laboratoires par quelques élèves de de Paris des branches de hêtre pourpre com­ ARTHRITIQUES UN COURTIER pécole publique: Bordel Yvonne, Crégut Lu- ei Veite pjurmrr imis phuiasies . orosuebies . heriqbistehes . épicems, etc. me feuillages. Et il se les procurait dans la qui vous visitera des centaines de yillejf teette. Issertlne Fernande, Jacher Raymonde, propriété d’autrui. Issertlne René, Chalard R o ^ ftaR^ L ™ <îe Colin a été mis en état d’arrestation. par jour, c’est le ; Jaffeux Alphonse, a produit la SEUL TRAITEMENT Intente et “ “ ft *40 fr. 50. De plus, le Conseil municipal a. vo e URÇAY Prostatiquo e»raatitaa*t la iNcr/too dra K VICHY D idot - B o ttin la somme de 10 francs. Le total de 1a bo'*u‘.nWfEUWBR Sucres. — Ouverture, clôture, cote officielle Hôteliers et 'cafetiers, votre grand Certificat d'études primaires, -y* Aux éprevf- ne, revenaient en camion automobile de Ce- Clermont; Ph1" Boudleu, 23, av. Charras; marché clos. CELESTINS intérêt est d’avoir le BOTTIN chez vous. ‘bea du eertlllcat d’études primaires qui avait rilly lorsque, à trois cents mètres environ du Dumas, r. des G ras; Qros, pl. Delille; Cde Londres, 16 juillet* Élimine VAcide Uriqae e S’adresser à M. L. FAGEOT, agent Heu à Vertaizon le, 3 Juillet l’école laïque dé carrefour de Montaloyer, à 4 kilomètres d’Ur- Pharmacie, 38, r. Neuve, et Ttes bonnes Ph‘". Caoutchouc Para disp. 1 sh. 4. général, villa Simone à Royat (P.-de-D.);, Chas présentait trois élèves qui ont été reçus, çay, le feu se déclara dans le moteur dudit ca­ Cafés Santos disp. clos. savoir: Bordel Yvonne avec mention mion. ... . Le Havre, 16 juillet. gertine René aveo mention bièn et Chaiar En dépit de tous les efforts faits par les AU RENDEZ-VOUS DE8 PÊCHEURS EX IG EZ dans les bonnes Maisons • Ci Robert avec mention assez b,en-1a„_ÄÄtM deux occupants, le véhicule ainsi que son b u l l e t i n f i n a n c i e r Cotons. — Soutenue : janvier, 493 — fé­ • Nos félicitations aux Jeunes lauréats ainsi contenu subirent de très graves dommages qui vrier, 487 — mars, 485 — avril, 481 — mai, Hôtel et Restaurant du Chemin de fer Üepi sont couverts par la Cie d'assurance « L’U­ 477 — juin, 473 — juillet, 623 — août, 694 poui] leur dévoué maître. Parle, le 16 Juillet 1023. ~ Aucun événement — septembre. 643 — octobre, 616 — novem­ Les Nlartres-de-Veyre nion. ______important ne s’étant produit pendant ces derniers bre, o03 — décembre, 498. indi 'Vr - , OHAURIAT Jours et rien ne permettant encore de préjuger Brunet-Thiolière, propriétaire. Tél. 3 ü — Ârf dernier examen du certificat VARENNE8-8UR-ALLIER de3 Intentions définitives du cabinet anglais û Cafés. — Tendance soutenue, vente soute­ propos de la politique qu’il entend adopter, la nue. — Janvier, 168.75 — février, 165,60 — BON-SECOURS Blessée par Une auto. —1 Une cultivatrice Bourse reste dans l’expectative tout en maintenant mars, 164,25 — avril, 162,25 — mai, 161,50 du village de Rachalière, commune de Saint- ses bonnes dispositions. La liquidation de quinzaine — juin, incoté — juillet, 195,50 — août, Vulnéraire * Stomachique Bravard. a obtenu un brau »“«A3- deut Pourçain-sur-Sioule, Mme Marie Mathieu, âgée s’est effectuée dans les meilleures conditions, l’ar­ M aladies GROS : REVEL, 83. r‘* de Vienne. LYON gent pour les reports s’établissant au taux de 186 — septembre, 181,25 — octobre, 176,25 de 51 ans, a été renversée dans le bourg de 4 ■i/o cf0. — novembre, 171,60 — décembre, 170. Varennes-sur-Allier parr une automobile con­ Les Rentes Françaises font toujours bonne con­ Paris, 16 juillet. g ,? * ® « , félïouatlon. amt deux duite par M. Jean Jobert, hongreur, demeu­ tenance. , . Bourse du Commerce, marché clos. de la Femme rant au bourg de Bessay-sur-Allier. Los établissements de crédit font également guéries par le VEINAMOL qui rétablit et main­ \f I M naturel, 2 0 0 f. la pièce de 215 lit. Vurdâtea et » leur dlaunguée maître,se. La malheureuse a été gravement blessée* l’objet d’un bon courant d’échanges. La Banque de Paris s’inscrit a 1.435; l’Union Parisienne a 850; BARCHE DE LA VILLETTE tient la bonne circulation du sang. — Dépôt: WI lu Franco port, fût, régie compris, Plainte a été portée à la gendarmerie. le Comptoir d’Escompte a 1.002; le Crédit Foncier, Phie Dumas, 3, rue des Gras, CLERMONT-Fd. Raymond Gaussen, Sommières (Gard)* qui va procéder prochainement a une opération en Amenés Invendus ExtrSmes ' v«at st*« du 1** aemeatrd. “ Naissances: ' YZEURE raveur du irouverncment chérlflen s’établit a 1.314, et le Crédit Lyonnais a 1.585. Bœufs • «kMMaeuae«M»e> I I I 693 . . . . 3 50 7 00 Dans les P. T. T. Mlle Lavergne, rece­ Aux valeurs do transports, nos grands chemins Vaches...... 921 ^ .. 3 50 7 20 veuse des postes à Cognat-Lyonne, est nom­ de fer maintiennent facilement aux cours précé­ Taureaux 210 .. 3 50 6 10 mée receveuse à Yzeure, en remplacement de dents. Le Métropolitain termine a 516. Veaux •••»RRRR2.528 61 S 00 9 50 GREFFE DU Etude de M* PARCELIER, Etude de M* P. COHADONc Les valeurs cuprifères sont toujours recherchées. Moutons...... 9-904 685 8 00 II 80 gisset, Jeanne-Antolnette Védrine M Mme Régnier, appelée àSt-Plerre-le-Moûtier. TRIBUNAL de COMMERCE commissaire - priseur à notaire à MontferrandU Le Rio Tinto a 2.678; le Boléo a 609; Lapennaroya Porca. m*»..... 2*739 •• 6 58 9 14 ; François Montagnon, célibataire, ‘ ® « arle cote 1.055. de Clermont-Ferrand, 12, rue « e Blanchon, veuve Depailler, 66 ans, Mari Rarnnerle Say, sur l’annonce que la Société est Vente bonne, cours en hausse mtr toutes Blatin. iMsevre veuve Laborieux, 65 ans, Julie baisse de m décidée à faire une nouvelle répartition des ré­ espèces et principalement sur les veaux. CLERMONT-FERRAND CESSION eTlpouse Fiat, 63 ans; Anne Germain. H OCCASIONS serves s’inscrit a 3.175; les Sucreries d’Egypte Cita/mus gratis sont également bien disposées a 1.070. ■ Les titres ottomans, en raison de l'Indécision Imprimerie de la Su An« du de droits indivis dans. ''pub ^de® m S fe! BlanchoS Marti» * t t 8 t0 Es«eiTOï?»sâv qui règne toujours a propos de la conférence de Moniteur du Vuv-de-Vôme FAILLITE VENTE fultivateur, et Rodler Marîe-Francisca, sans Lausanne, restent discutés. La Banque Ottomane du sieur TREVEY Agricôl, un finit à 784. et des Imprimer1“ Mont- profession. • — Les mines d’or sont diversement traitées, res­ L ouis, Clermont. —- Le Gé­ entrepreneur de travaux aux enchères publiques CANTAL tant en général délaissées de la spéculation et du rant .* J Latoubxxbh. publics, 36, avenue de la (APRÈS DÉPART) Fonds de Commerce I LE VAULMIER République, à Clermont- ' A L L , E R MOULIN* Ferrand. Suivant acte reçu par M* Nécffloflle? — Nous apprenons le décès sur­ Le Mercredi 18 Juillet Juge - Commissaire 3 M. Cohadon, le vingt-neuf juin, venu mercredi, de M. ■bol, notaire au \ ani­ B O U R S E du 16 Juillet 1923 1923, à 9 heures du matin, mil neuf cent vingt-trois, mier, âgé de 42 ans. ■ Delaunay.. û Clermont-Ferrand, rue de Syndic 3 M* Izambard, Mme Maria Rollin, veuve Nos condoléances â la famille. la Cartoucherie (près La de Paul-Pierre Boige, chai* s£ ô t e S S 8 % perpétuel...... E6 37 Communales 1899.. . T.. 277 25 Maries .«»«.*..«•» 435 .. Pradelle), baraquement Mi­ cutière, demeurant à Mont- SORRÊZE 8 c/o amortissable...•••• 70 • Foncières 1903 3 % .... 316 .. Rio Tinto...... 2695 .. chelin n° 9, il sera procédé ferrand, rue de la Rodade, de MM. Marcel Régnier, Bén,at^ur de l Ailier, 3 % % amortissable.... 73 65 Communales 1906 3 %.. 302 .. Boléo ...... 610 .. MM. les Créanciers de la à la vente aux enchères B O R T -L E 8-O F .aU !E3 Foncières 1909 3 %.... n° 15, et Mme Marie-Jean* ©résident du Conseil général de ce déparle 0 B c/q 1916—16 . • 75 45 165 .- Pontglbaud ...... dite faillite sont invités h. publiques de ne Boige, épouse assistée ment: Carrère, secrétaire général de la Pré Joncoure-Folré. «-* Le Concour3-Foire ré­ 4 % 1017. 62 55 Communales 1912 3 % .. 160 50 Vieille Montagne...... 1348 !’ se présenter en personne Çecture; Bonhomme, a n c i e n vice-président du Foncières 1913 4 %..... et autorisée de Jean Fours, gional de Bort-les-Orpues, qui se tiendra en e 194 8...... «...... * 61 97 317 50 Dnieprovienne ...... 580 . ou par. fondé de pouvoirs, Conseil de préfecture du Puy-de-Dôme, etc. cette ville les 12 et 13 août prochain, promet 6 % 1820 amortie, libâr. 89 80 Foncières 1913 3 1 /2... 388 .. Sosnowlce ...... 1428 .. demeurant aussi à Montfer. Emp. 1917 ...... 2E0 .. Bergougnan ...... 1398 .. en la salle des audiences du rand, rue de la Rodade, n*- — * AUROUER d’être une manifestation agricole de caractère 6 c/c 1920...... ••«»«•• 87 20 e t régional de la première importance. Ch. fer Etat 4 %.—— Communales 1920 ...... 422 .. MARCHA EN BANQUE Tribunal de Commerce de 33, ont cédé à M. Jean-Loui» Emp. 1921 ...... r |s g méfaits dé lé foudre. Un incendie Les éleveurs de la Corrèze, du Puy-de-Dô­ v— 6 %.....»* 375 *• 5I4 .. Caoutchoucs ...... 159 • Clermont-Ferrand, sise pla­ Marius Boige, leur fils et iRumé nar la foudre a presque complètement me et du Cantal y présenteront les sujets d’é­ Crédit National 1 9 1 9 .... 458 25 Communales 1922 6 %.. Chartered ...... 51 25 ce de la Bourse, le 28 juil­ Objets Mobiliers frère, alors célibataire ma­ détruit un srrand corps oô bâtiment à usage lite des espèces bovine, ovine et porcine ex­ Crédit Nat. B LEZOUX Prix g 3 tr. Maupas, fermier, et Mme Plaincnant, proprié­ le flacon : 5 francs contre mandat On souscrit SANS FRAIS à concurrence Anaïs BRUN, qui a quitté CABINET DE LECTURE taire à Nevers. Tous deux sont assurée« M i‘* DUIIA8, 0, r, d ei G ras, Clermont EBREUIL j—O— HARIMGUES 'du disponible.. le domicile conjugal* 0i Rue Massillon, 0 ’

110 — rien et Simon vous fournira les viyres et Birbone et Scaparente était Une pièce « Mais qu’avais-tu à regarder si curieu­ dre une journée que d’Ortailles va blet Un VionSXrOx tou Moniteur da Pujf^ds-Dômi du 17 Juillet 1923 le vin en abondance... obscure, aux murs suintants, qui ne rece­ sement le Pimentel et les deux hommes employer. .« Demain soir, Happe-Sols et Vide-Gous­ vait d’air que par un petit soupirail à qui sont nos gardiens ?... — Croyez-vous qu’il ait dessein d’enlever, set vous conduiront hors de Tournon,*et peine assez grand pour laisser passer un — Je cherchais à me rappeler où j’avais Loyse demain sans nous ?.., ' ' vous vous trouverez avec nos camarades chat. vu ces deux visages de coquin... Et j’ai Benvenuto réfléchit... * qui auront eu la gentillesse d’emmener Sur le sol se trouvaient des bottes de fini par trouver... — Non... non... mes appréhensions sont ÎLE FILS Dpour vous deux bons et solides chevaux paille. « Pimentel, Happe-Sols et Vide-Gousset folles... qui nous conduiront en un rien de temps Mais nulle trace de flacons ou de ton­ sont les trois malandrins qui avaient voulu « Calme-toi ©t essaie de dormir, je veil* p a r ’ au lieu où nous devons travailler... neaux* me mettre à mal quand je me rendais à « J’ai dit.., Cette cave avait un air de prison. Paris, et des griffes desquels j’ai heureuse­ dSsriM VAYRk et Robert FLORIGNf Ce Birbone était décidément un homme Et les deux Italiens eurent tout à fait ment sauvé M. de Loyola qui, sans moi, gârdi^nsaroe qu’ils volent en compagnie .des étendant la m ain ...... Il Jeta sur la table deux pièces d'or, ce en rouge changeait suffisamment ma phy­ « Je pense que nous devrions poignarder grois, leurs compères ••e Les bandits éclatèrent de rire..« qui était payer royalement le vin bu par sionomie... d’ailleurs, ce freluquet ne m a nos deux gardiens, mais je me demande CHAPITRE XXX j ITOrtaiUes fronça les sourcils../ — Ce serment ne nous suffit pas, tous ces bandits, et se retira, suivi de vu que très rarement au Louvre... si ce ne serait pas une maladresse. f .Ji n’aimait pas qu’on osât s’attaquer monsieur de Birbone, dit Pimentel... Pimentel et de Brisefer. « C’est toi qu’il aurait pu reconnaître — Certes, dit vivement Leone, car qui La triste«««ds Loyal ' Bit roi, au dispensateur des faveurs et « Vous et votre ami, ne vous déplaise, Salvat et Miradou engagèrent une partie au son de ta yoix età l’éclat de tes yeux... nous conduirait au rendez-vous?... jdes fortunes... et même si cela vous déplaisait, vous cou­ de dés à laquelle s’intéressèrent Happe- « Mais tu as peu parlé et ce bandeau — Oui, fit Benvenuto, mais si, au lieu Loyse était miàri» Birbone, dit.il sévèrement, àpprenes cherez ici, en la cave de Simon le Borgne, Sols, Vide-Gousset et Priez-mon-Frère... qui te cache Une partie du yisage dissimu­ do nous conduire à ce rendez-vous ces au braf Mu’en ce pays nous respectons le roi, en compagnie de Vide-Gousset et d’Happe- Birbone, .prétextant la fatigue, se fit con­ lait bien tes traits... gredins nous gardaient prisonniers ?’ metre aire« et .que tout ee .qu’il lait est Sols, qui veilleront jalousement sur vous duire avec Scaparente dans le lieu qui leur « Les scélérats ne. se. doutent de rien... — Oh ! alors, il serait temps de les sun- jusqu’a demain soir... était fixé pour y passer la nuit... « Leur méfiance» envers deux jqconnus primer.r i m p r . ™ poire ». dMILBirbone avSrt InsouciantS« -A 4 tuivrêji r jyrr ■ & ' £SÎft UQUÄ.aurait fait

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