Pour les abonnements et ABONNEMENTS t LE RÉPERTOIRE DU CINÉPHILE les demandes d'anciens numéros France Etrangla adresser correspondance 24 numéros 18 ir. 17 ffc. et mandats à CINE 12 numéros 8 fo>. 9 fr. Studio Pa'.hé, 13, rue du Bois, Vincennes 62. Numéro de PAQUES 1920 (1 fr.). — SES- Pierre HENRY, directeur POUR PUBLICITE LIVRES (Roquette 35-99). SUE HAYAKAWA. — « Mon idéal mas- TECHNIQUE Cinéma-Studio, 7, rue des Réservoirs, Join- culin », par huit e stars » ; « Mon Idéal 92, rue de Richelieu, Paris (2«) S'adresser : G. Vantillard & Ote Le Cinéma, Dar Coustet ; Edition Hachette, ville-le-Pont (Seine). Téléph. : Joinville 112. féminin » par six « stars » ; Lars 121-123, rue Montmartre, Paris 70, boulevard Îaint-Germain, Paris (5 fr.). Studio Eclair, 2, avenue d'Enghien, Epinay- Hanson j Henri Bosc ; Henri Roussel!. Téléphone : Louvre 46.49 TOUS Le Cinéma, Dar H. Diamant-Berger : Edi- sur-Seine. — Pearl White et Douglas Falrbanks Téléphone : Central 82-15 tion « Renaissance du Livre », 78, boulevard Studio Eclair-Menchen, 10, rue Dumont. (photos). — Où placer votre scénario ? paraît tout les 14 jours, le Tendredi Saint-Michel, Paris (5 fr.). Epinay-sur-Seine (Téléphone : Epinay 43). 63. ANDREE BRABANT (biographie illustrée). Le Cinéma pour tous, par Arnaud et Boisy- Studio d'Asnières, 14, rue de l'Ouest, As- S4. WILLIAM RUSSELL (biographie illustrée). von ; Edition Garnier, G, rue des Saints-Pè- nlères (Seine). — Comment on a tourné Le Rive. res, Paris (6 fr. 90). Studio du « Film d'Art », rue Chauveau. 65. MARY MILES MINTER (biographie iiliu- ART Neuilly-sur-Seine. (Téléphone : Wagram 74-34, trée). — Comment on a tourné Rlan- Cinéma et Cie, par Louis Delluc ; Edition Wagram 94-06). chette. L'ACTIVITÉ CINÉMATOGRAPHIQUE Bernard Grasset, 61, rue des Saints-Pères, Studio Eclipse, 32, rue de la Tourelle, Bou- 66. WILLIAM HART (comment II tourne ses Paris (5 fr.). Iogne-sur-Seine. (Téléphone : Auteuil 06-31). films). — Ce que gagnent les vedettes. Photogénie, par Louis Delluc ; Edition De Studio « Gallo-Film », 3, boulevard Victor- 67. PEARL WHITE. — Article sur la Pro- Hugo, Neuilly-sur-Seine (Tél.: Wagram 94-21). en FRANCE Brunoff, 32, rue Louis-le-Grand, Paris (10 fr.). duction Triangle 1916-1917. Le lac d'Argent, par Gaston Roudès, aura lieu à New-York fin septembre Cinéma, par Jean Epstein ; Editions de la Studio S. C. A. G. L.-Pathé, 1, rue du Ciné- 68. ANDRE NOX (biographie illustrée). — avec Georges Melchior, Mme Jalabert Sirène. matographe, Vincennes. (T. : Roquette 48-60). HUGUETTE DUFLOS (biogr. Ulmtr.). On tourne : dans une salle qui exploitera le film r DIVERS COTE D'AZUR : 69. MARGARITAFISHER (biogr. illustr.). et Régine Bouet. en exclusivité jusqu'à épuisement du Le Code du Cinéma, par E. Meignen ; Edi- Ciné-Studio, Chemin Saint-Augustin, Car- 70. EDOUARD MATHE. — L'envers du ci- Aux jardins de Murcie, d'après la succès. Robin Hood paraîtra sans tion Dorbon aîné, 19, boulevard Haussmann, ras-Nice (Alpes-Maritimes). néma. pièce de José F. Codina, par Louis 71. SE VERIN-MARS. - - Le marché cinégra- doute en France l'hiver prochain. Paris (12 fr.). Studio Gaumont, Chemin Saint-Augustin, 2, Geneviève Félix, au cours d'une Editions de la Lampe Merveilleuse, 29, bou- Carras-Nice (A.-M.). phique mondial. Mercanton et René Hervil, avec Ar- De même pour Tess, que Mary levard Malesherbes, Paris. (El Dorado, J'ac- Studios de la Société des Ciné-Romans, rue 72. La revue des films de l'année 1921. — iette Marchai, Ginette Maddie, Pâque- scène assez violente tournée au studio GENEVIEVE FELIX. l'ickford vient de terminer sous la cuse, etc.). de la Butta. 23. et boulevard du Tsarévitch, rette, Pierre Daltour, Maxudian, Blan- du Film d'Art, où les extérieurs de La I Le Tout-Cinéma, annuaire du monde ciné- 78. Ce qu'il faut savoir pour devenir inter- direction de John Robertson, le réa- Nice. matographique ; un fort volume cartonné de Studio de la Monte-Carlo-Film, à Saint- prète de cinéma. — Adresses Interprètes chard et Monfils. (Film Mercanton, Dame de Montsoreau sont réalisés, a lisateur de Jekyll-Hyde. plus de 000 pages ; prix : 30 francs. Editions Laurent-du-Var, près Nice (Alpes-Maritimes). Scandinaves, anglais, italiens, russes, Edition Aubert). été légèrement blessée et prend actuel- Millo, 3, boulevard des Capucines, Paris (2«). Studio Pathé, route de Turin, Nice. allemands. lement un repos forcé. Studio Ambulant Mercanton, bureau : 23, 74. CHARLIE CHAPLIN en Europe. — Peur Koenigsmark, d'après Pierre Benoit, PHOTOS rue de la Michodière, Paris-IIe. devenir scénariste. — MAY ALLISON. par Léonce Perret, avec Huguette Du- Alla Nazimova, ayant terminé son 75. DOUGLAS FAIRBANBS (biographie illus- La plupart des artistes envoient leur photo- trée). flos (Princesse Aurore), Jaque-Cate- second film pour United Artists' : graphie dédicacée a ceux de leurs admirateurs 76. ALLA NAZIMOVA (au travail). lain (Vignerte), Marcya Capri (Mélu- Diverses notes ont été déjà publiées Salofné, annonce son intention de re- qui la leur demandent. CINE 77. LE GOSSE (The Kld). — Pollyanna. sine), Henri-Houry (grand-duc Rodol- dans la presse, relativement au film venir à la scène. C'est ce qu'ont déjà On trouvera les adresses des artistes fran- a 78. MARGELLE PRADOT. — FERNAND çais dans le n° 96 ; des artistes américains POUR TOUS Publie : phe), Vaultier (duc Frederick), Petro- destiné à honorer et à faire honorer fait Maë Marsh, Theda Bara, Madge dans le n° 97 ; des suédois, Italiens, danois, 1. CHARLES CHAPLIN (biographie). HERRMANN. — Comment on a tourné la mémoire de Pasteur. russes, etc. dans le n° 73. 3. RUTH ROLAND. la Charrette Fantôme. vitoh (Hagen), Liabel (baron de Boo- Kennedy, Pauline Frederick et Ses- Recommandez-vous toujours, dans votre 8. HAROLD LOCKWOOD. — La revue des 79. G. SIGNORET. — Comment on a tourné se), de Roméro (prince Tumène). Nous croyons nécessaire d'annoncer sue Hayakawa. Les Trois Mousquetaires, en France et demande, de notre revue ; pour les artistes films édités en 1919. en Amérique. (Perret-Pathé C. C). que l'Edition Française Cinématogra- Charles Chaplin a teraiiné sa der- français, joignez toujours à votre lettre un 9. FLORENCE REED. phique et Cosmograph se sont réunis franc en timbres pour les frais. lt. Le scénario illustré de la Sultane de l'A- 80. JACKIE COOGAN (« Le Gosse »). — 11AB La Résurrection de la Terre, de Ro- nière comédie — en trois parties — mour. (Comment on a tourné ce film). MARSH. — La cinématographle lotu- bert Boudrioz et Abel Gance, par Ro- en vue d'éditer ce film, lors des fêtes marine. pour First National : titre The Minis- APPAREILS DE 11. BRYANT WASHBURN. bert Boudrioz, avec Jean Tou'out et du centenaire du grand savant, qui ter (Le Prêtre). Après quelques semai- 12. PEARL WHITE (une visite à son studio). Chacun de ces numéros peut vous Numès. •auront lieu dans quelques mois. L'exé- PRISE DE VUES 14. RENE CRESTE. . - Itre envoyé franco contre la somme de 0,50 nes de repos, Chaplin commencera 15. CHARLIE CHAPLIN (comment il compose (en timbres-poste, ou mandat au nom de P. La Bouquetière des Innocents, d'a- cution en est déjà commencée, par les Photo-Ciné SEPT, 86, avenue Kléber, Paris. e son premier grand film pour être Etablissements E. Mallier, 26, avenue de la et réalise ses films). Henry, 92, rue de Richelieu, Paris (2 ). près Anicet Bourgeois, par Jacques soins de M. Jean Epstein. 1S. MAX LTNDER. édité par United Artists'. Grande-Armée, Paris. Nouvelle série : envoi franco contre 0.75 : Hobert, avec Jacques Guilhène, De- Le scénario a reçu la complète Mazo, 33, boulevard St-Martin, Paris (3e). 17. VIVIAN MARTIN. Il est probable que Norma Tal- 18. CHARLES RAY. 81. MUSlDORA. — Mary Johnson. — Le mer- cœur, Modot, H. Baudin, Genica Mis- approbation de M. Vallery-Radot, veilleux & l'écran. — Un ménage de madge viendra sous peu tourner en 19. EDNA PURVIANCE (la partenaire de sirio, Paul Duc, Claude Mérelle, Simo- ainsi que du Docteur Roux, directeur FILM VIERGE Charlie Chaplin). — D. W. GRIFFITH « stars » : Doug. et Mary. — Lei Algérie les extérieurs de La Voix du grands films américains en 1921. — ne Vaudry, Céline James et Mlle Cons- de l'Institut Pasteur. Kodak, avenue Montaigne, 39, Paris. 2». JUNE CAPRICE. Minaret, sous la direction du réalisa- 24. EDDIE POLO. — Léon Mathot dans l'Ami Résultats du concours des réalisateurs. tantini. (Gaumont). Les éditeurs ont, en outre, trouvé FILMS USAGÉS Fritz (photo). 82. BLANCHE MONTEE. — Le mouvement au auprès des Pouvoirs publics, des Mu- teur de La Femme X : Frank Lloyd, 28. HOUDINI. — C. B. de Mille, le réalisateur cinéma ; ses périls. — Jack Warreo- L'Ile sans nom, d'après Maurice Le- et avec Eugène O'Brien pour parte- Lefort-Delon, 43, rue des Petits-Carreaux, Kerrigan. — La prononciation des nicipalités et des Universités, l'appui Paris. de Forfaiture. vel, par René Plaissetty, avec Mau- naire. 3*. TEDDY. noms des « stars >. moral et matériel qui leur était néces- Central-Union-Cinéma, 105, avenue Parmen- 83. CH. DE ROCHEFORT. — FRANCE DHE- rice Lagrenée, Paul Amiot, H. Duval, tier, Paris (XI*). 31. DIANA KARENNE. — Nos grands Hlms à saire pour mener à bien cette œuvre l'étranger. LIA. — WILLIAM FAVERSHAM. — En Saint-Ober, Clairius et Marie Massard. Cinématographes Baudon Saint-Lo, 3-15, rue quoi le cinéma est un art. — Conseils éminemment patriotique, au sens le Saint-Martin, Paris (Tél. : Archives 49-17). 32. BEBE DANIELS et HAROLD LLOYD. Ma petite maison d'Auteuil, d'après Marshall Neilan, le metteur en scène 33. MABEL NORMAND. aux scénaristes débutants. plus large du mot. ir 84. CLAUDE MERELLE. — Comment on a Paul Bourget, par Jean Manoussi, avec de Papa-longites-jambes, Le roman de 34. MONROE SALISBURY. André Nox. APPAREILS DÉ 36. Photo d'Ajidrew Brunelle. — Article sur tourné L'Agonie des Aigles. — MAH- Mary, Grain de Son, etc., vient d'é- LON HAMILTON. (« Papa-longuei- les dessins animés. Le Cotu-rier de Lyon, par Léon Poi- pouser Blanche Sweet, la vedette qu'on PROJECTION 37. DESDEMONA MAZZA.— Miss IVY CLOSE. j amb es »). en AMÉRIQUE 85. GEORGES LANNES ; PAULTNE FREDE- rier, avec Roger Karl (Lesurques-Du- • Pathé-Kok », Pathé-Enseignement, 67, 38. BESSIE LOVE. — LARRY SEMON (Zigoto). a pu voir en France dans plusieurs faubourg Saint-Martin, Paris (Xe). 39. MARCELLE PRADOT. — CREIGHTON RICK (biographies illustrées). bosc), Blanche Montel (Mme Lesur- Douglas Fairbanks a terminé la pri- films, récemment. 86. LEON MATHOT. — STEWART ROME. — ques). Myrga (La Bréban), et Horace, « Solus », Etablissements Bancarel, 59 bis, HALE. — Qu'est-ce qu'une « étoile » 7 JANE NOVAK. — La Photogénie. se de vues de Robin Hood. On pro- Jack Pickford vient d'épouser, en rue Danton, Levallois-Perret. 40. JAQUE-CATELAIN. — BESSIE BARRIS- 1 Mendaille, Bourdel, Saint-Ober, Clai- cède actuellement au montage et à la Etablissements « Union », 6,' rue du Con- CALE. 87. MAE MURRAY. — Trois interprètes de secondes noces, Marilynn Miller, une servatoire, Paris (9e). 42. MOLLIE KING. Griffith : Carol Dempster, Ralph Gra- rius, Suzanne Bianchetti, Rosni-De- composition de la partition qui ac- ves et Charles E. Mack. — Le rôle de grande étoile de « musical comedy » « Phébus », 43, rue Ferrari, Marseille. 13. IRENE VERNON-CASTLE. — Comment on l'adaptateur. rys, Aimée Vautrin, etc. compagnera le film. La « première » P. Burgi, 42, rue d'Enghien, Paris. . forme des • vedettes ». de New-York « Gaumont-Matériel », 35, rue des Alouet- 44. WILLIAM HART. 88. MARY PICKFORD ; sa personnalité. — tes, Paris (19e). Los Angeles, centre de la production 47. PRISCILLA DEAN. — GEORGES BEBAN. américaine. On sait que le coût d'un film de mé- E. Laval, 10-10 bis, boulevard Bonne-Nou- 48. SUZANNE GRANDAIS. ont été jugées excellentes, le sujet a paru velle, Paris. 49. OLIVE THOMAS. — Le Benjamin des 89. EMMY LYNN ; biographie illustrée. — trage ordinaire ne peut être amorti par la la Production Française quelconque et mince. Radiguet et Massiot, 15, boulevard des Fil- réalisateurs : PIERRE CARON. Maurice Laijrenée. — « La Vérité », seule exploitation en France, Belgique et les-du-Calvaire. 50. EVE FRANCIS. scénario et « découpage ». —- C. Gard- Suisse, dès qu'il dépasse cent mille Le Penseur (The Thinker) a été plus Etablissements E. Mollier, 26, avenue de la 51. Les meilleurs films de l'année 1920. ner-Sulllvan. Grande-Armée, Paris. 90. WALLACE REID ; sa personnalité. — francs - et encore faut-il qu'il ait beau- a 1 Etranger heureux et on a apprécié, outre l'interpré- e 52. RENEE BJORLING. — ANDREW F. BRU- coup de succès. tation et la réalisation, la vigueur et l'ori- Vignal, 66, rue de Bondy, Paris (X ). NELLE. Louise Iluff. — Thomas H. INCE. — e ginalité du scénario. Mazo, 33, boulevard St-Martin, Paris (3 ). 53. FATTY et ses partenaires. Anita Loos. On comprend doue toute l'importance Le scénario, quoique hautement fantas- 91. Nathalie KOVANKO. — Francelia Bil- 54. MARCELLE PRADOT (photo). — CHAR- de l'accueil fait A nos films à l'étranger, tique, a été jugé narré de si réaliste façon Le Carnaval des Vérités (The Carnival STUDIOS LES HUTCHISON. lington. — Hobarl Bosworth. — Eric où nos producteurs vont chercher les re- que la conviction du spectateur est vite Stroheim. — Grâce Darmond. — LE of Truth) a surtout charmé .par le côté REGION PARISIENNE : 55. Numéro de NOËL 1920 (1 fr.). — LEON CINEMA RUSSE. cettes complémentaires qui leur sont in- laite. La réalisation doit surtout sa va- MATHOT «photo) ; vingt pages illus- réalisation et photographie. On a estimé 92. PEARL WHITE (biographie Illustrée). — dispensables. leur au fait que l'on a tourné sur les le scénario passablement artificiel. Studios Gaumont, 53, rue de la Villette, lieux mêmes de l'action. L'interprétation Paris-XIX« (Nord 40-97). 56. LILIAN GISH, RICHARD BARTHEL- Gaston Modot. — Comment on a tour- Voyons quels sont les films français qui Studio des Films Lucifer, 92, rue de l'Aml- MESS, DONALD CRISP. né La Terre du Diable. ont paru devant le public anglais durant est excellente ; mais, c'est bien juste si Les Cinq gentlemen maudits (The fivé ral-Mouchez, Paris-XIIIe. 57. MARY PICKFORD (au travail). 93. Le personnage de CHARLOT. — Ivan Mos- là saison écoulée, et comment, d'une façon par instants Stacia Napierkowska ne cursed gentlemen) a plu surtout à cause Studio Hervé, 93, rue Villiers de l'Isle-Adam, 58. TOM MIX (biographie Illustrée). fouklne. — Robert Boudrloz. — Marlon tombe pas dans la vulgarité. dé son ingénieux scénario. Paris-XX» (Roquette 51-57). Fairfax. — Ce qu'on reproche aux mau- générale, ils ont été accueillis. 59. VIOLETTE JYL ; JUANITA HANSEN. vais films. lEn résumé, spectacle intéressant, sédui- Studio des Lilas, rue des Villegranges, Les 60. WALLACE REID (biographie illustrée). — sant et varié. Le Dieu du Hasard (The god of Luck) Lilas (Seine). André Antoine. 94. JEAN DAX. — Marjorle Daw. — Charles avait pour principal atout. Gaby Deslys ; Studio Ermolieff, 52, rue du Sergent-Bo- 61. FANNY WARD (biographie illustrée). — Burguet. — Ce qu'on aime dans lei L'Atlantide a été exploité en exclusi- L'Ami Fritz, paru en Angleterre sous le heureusement car ni le scénario, ni la réa- billot, à Montreuil-sous-Bois (Seine). (Télé- bons films. vité l'hiver dernier au Covent-Garden de lisation n'ont attiré l'attention. pone : Montreuil 08-57). Henri Roussell. — David Evremond. — titre In old Alsace, n'a plu qu'à moi- Comment on a tourné les Trots Masques. 95. THOMAS MEIGHAN. — La revue Illus- Londres pendant plus d'un mois. tié, car si l'atmosphère et l'interprétation trée des films de 1921-1922. L'homme du large (The Judgment of the Deep), a été remarqué pour l'excellen- intéressant, émouvant et pittoresque. on a trouvé surtout les scènes finales de ce de l'atmosphère bretonne et la valeur La Rafale avait pour elle Fannie Ward; Réjane tout à fait remarquables. Pour ne pas avoir la peine de re- ment puisqu'il s'identifie avec l'objet dramatique de certains passages. La pho- heureusement, car si la réalisation a été L'Ami des Montagnes (Friend of the chercher et d'acheter des scénarios tographie et le jeu de Roger Karl ont été jugée satisfaisante, le scénario a été esti- Mountains) a plu surtout à cause des pay- originaux, pour attirer le public par qu'il décrit comme la littérature avec admirés ; mais les scènes du bouge à mé trop malsain. sages et de l'interprétation ; scénario dé- l'appât du nom d'un écrivain célèbre tes la parole à formuler. Ce qui est du matelots a soulevé des critiques. La Sultane de l'Amour (A Thonsand- nué d'originalité et assez mince. ou d'un ouvrage connu, les firmes domaine de l'un n'est pas du domaine Narayana a été également bien accueil- and-one nights) paru en couleurs en An- Petit Ange (The little diplomat) n'a pas cinématographiques adaptent à l'é- de l'autre ; il est donc impossible de li, en dépit de ce que le scénario a de fan- gleterre n'a guère plu. Scénario trop fai- attiré particulièrement l'attention. cran des œuvres littéraires, c'est-à- adaptations faire d'un livre vraiment littéraire tastique. ble.. LirHang le cruel n'a pas plu du tout ; dire les transforment en scénarios ap- un film vraiment visuel. Si l'on passe outre, le film manque Le Comte de Monte-Ccristo IL été jugé Miarka, la fille à l'ourse a intéressé ; scénario excessif. tes à être tournés. Mais, par l'abus de un film réalisé avec les méthodes de d'intérêt et de valeur artistique : l'on cette pratique, les scénarios directe- la littérature, du théâtre surtout ; voi- ment composés pour l'écran sont de- voit des gens gesticuler sur un carré là ce qu'ont été les films avant la de toile, c'est tout, et c'est peu ; tout venus une exception, le cinéma vit au> guerre, ce qu'ils sont trop souvent nibilité, la jeune Anita se vit octroyer son premier grand dépens de la littérature et ne pe-it le reste a été laissé en route dans" la rôle, celui de The Wood Violet (La violette des Bois), qui maintenant ; voilà les inconvénients transposition" du livre au, film ; de chercher librement sa voie, les films que doit traîner avec elle une adapta- fut d'ailleurs son premier succès. ne sont plus du cinéma, ils ne sont l'un à l'autre, il ne s'est guère conser- Sous la direction de Ralph Ince, qui devait par la suite tion, qu'elle essaiera en vain de cor- vé que les descriptions, quelques rares que l'illustration animée d'un récit. riger complètement, qu'elle n'arrivera épouser Lucille Stewart, la sœur d'Anita, la nouvelle Tout film adapté 'porte en lui un actions visuelles, et la gesticulation de « star » de Vitagraph trouva, de 1915 à 1917, ses meil- jamais à effacer ; car les méthodes du personnages qui ne vivent que par ce défaut : il doit exprimer des faits qui cinéma sont différentes de celles-là — leurs rôles dans : The Sins of Mothers, The Goddess, The ont été imaginés pour être exprimés et qu'ils sont sensés prononcer et penser, Juggernaut, Philipa, The Combat, The Daring of Diane, et il se doit de les employer s'il veut paroles et pensées que l'on nous mon- mis en valeur par des moyens diffé- être du vrai cinéma. Tandis que la A million Bid, et surtout My lady's Slipper (paru en rents de ceux qu'il devrait employer; tre par de nombreux sous-titres. Ces France sous le titre : Le soulier de sa Dame), qu'elle littérature travaille avec ordre, le ci- légendes condensent les conversations des faits qui sont, par là, souvent im- néma, au contraire, par sa merveil- tourna au Earle Williams. • possibles à rendre ou impuissants à importantes, résument les disserta- En 1918, Anita Stewart, atteinte par l'épidémie) de leuse faculté de déplacement de la tions, les réflexions. Et l'on arrive à faire valoir les modes d'expression vision et de la pensée, mêle dans une grippe espagnole qui fit alors tant de victimes, dut rester spéciaux au cinéma, ainsi que le pour- ce résultat lamentable d'un livre ra- éloignée des studios durant de longs mois. Rétablie, elle magnifique confusion calculée les massé en quelques sous-titres illustrés raient des faits spécialement combi- multiples éléments de ses images vi- termina son contrat avec Vitagraph, tournant entre autres nés. Le roman a été construit pour par des tableaux vivants, par des films : The « Mint-the-paint » girl. vantes, il revient avec aisance et rapi- fantômes sans vie, souvent grotesques, rendre la vie par des mots et non par dité à un point important, à un leit- En 1919, Anita Stewart signait un contrat avec Louis des images. Le cinéma est un mode incompréhensibles pour nous ; leurs B. Mayer et le First National Exhibitors' Circuit, aux ter- motiv, il reprènd au vol une action pensées, leurs paroles sont intraduisi- d'expression personnel et nouveau, et, interrompue un instant, insiste sur un mes desquels elle tournerait une série de quinze films, ce qu'il exprime, il doit l'exprimer bles à l'écran, et, cependant, c'est en aux appointements hebdomadaires de 4.500 dollars. objet par plusieurs courtes visions, au liaison avec elles qu'ils y agissent, par les moyens qui lui sont propres. lieu d'épuiser en une seule fois toute Voici les titres français et américains de ces films : Vouloir concevoir un film suivant les qu'ils y vivent. A Midhight Romance (La baigneuse inconnue), réalisé sa valeur. La littérature suit, la plu- Et, s'il s'agit de la transcription règles de la littérature ou du théâtre, part du temps, docilement la filière par Loïs Weber. donner à traduire à ses ressources d'une pièce de théâtre, tous ces dé- Virtuous Wives (Lys Sauvage) réalisé par George Loane de l'action, ne l'interrompt que rare- fauts seront accentués et d'autres particulières des faits composés pour ment pour montrer un à-côté ; le ci- Tuckcr. être rendus par les moyens particu- viendront encore s'y ajouter... Mary Regan (La Sacrifiée), réalisé par Loïs Weber. néma, au contraire, fait participer, à Mais empressons-nous de dire que liers de la littérature, ce ne sont là cause justement de sa mobilité, les à- Her Kingdom of dreams. que non-sens... que l'on rencontre A ce n'est là que théorie, que toute adap- In old Kentucky, réalisé par Marshall Neilan. côtés à la vie de l'action, crée l'am- tation n'est pas forcément chargée de tout instant. biance en même temps qu'il raconte The Yellow Typhoon. Chaque art s'exprime d'une façon à ces fautes grossières et que celles-ci The Fighting Sherpherdess (Le bonheur en péril). et mêle ces éléments suivant un ordre ne sont pas non plus le monopole des lui particulière : le cinéma procède si savamment combiné, une cadence Puis : Harriet and the Piper, Sowing the Wind (L'En- par juxtaposition de parcelles de vie, films adaptés, les films originaux se si délicatement réglée que, malgré la chargeront d'en prendre leur bonne fant du Passé), Human Désire, Playthings of Desliny, Her la littérature par juxtaposition de confusion apparente, les impressions mad Bargain, A question of Honor et Rose of the Sea. mots. Le cinéaste ne peut donc pas part. L'adaptateur peut être un hom- naissent d'elles-mêmes dans l'esprit me intelligent, un artiste conscien- traduire un sentiment de la même ma- du spectateur. Le lecteur d'un livre, nière que le littérateur : l'un emploie- cieux, le livre adapté peut être visuel suit la pensée de l'auteur qui scrute — tout cela peut se présenter. Et, ra un gros plan révélateur des moin- des caractères, des sentiments, analy- dres nuances, une action, un détail dans le film, on peut avoir ajouté au se toutes les phases d'un acte. A la squelette d'action conservé de l'œuvre visuel dénonçant une pensée ; l'autre vision d'un film, on n'assiste pas à écrira ce que pense en lui-même, ce littéraire, la chair de tout ce qui fait cette décomposition, l'auteur dispa- le génie propre du cinéma, la parure que dit l'homme dont il veut nous raît, on n'a devant les yeux que le faire saisir le caractère, les sentiments. de tout ce qu'il peut imaginer de mer- résultat de son travail, des morceaux veilleux. Mais, toutefois, la trame d'un En considérant leur tendance géné- de vie qui se succèdent rapidement, Anita SteWart rale, la littérature dit la pensée elle- ouvrage littéraire, même réduite à sa et, sans que l'on s'en doute, l'impres- plus simple expression, aura toujours Anita Stewart, la jolie vedette américaine qu'on vient même, le cinéma en montre les effets. sion voulue se forme dans l'esprit Et le rythme, qui mêle les images et moins de chance d'être appropriée de revoir dans L'Enfant du Passé, est née à Brooklyn sous la pression de ce désordre, de aux moyens d'expression photogéni- (New-York) en 1896. par leur enchevêtrement crée l'art, le cette profusion de parcelles de vie rythme ne peut, en général, exister ques qu'une trame spécialement com- Après avoir suivi les cours de l'Erasmus-Hall High- qui toutes convergent vers l'effet re- binée pour le cinéma par un vrai ci- School, elle étudia le chant, se destinant au théâtre. dans un film serrant de près un ro- cherché. Le littérateur procède plutôt man. Dans la littérature, le plus sou- néaste... Et il sera bien difficile de Sa famille logeait à peu de distance des studios que la par analyse, le cinéaste — s'il a dû distinguer ce qu'il faut supprimer, par- Compagnie Vitagraph possède à Brooklyn, et il lui prit vent, l'action est suivie, ou s'attarde analyser pour découvrir et isoler tous sur un point et on ne passe à un au- ce que nuisible ou intraduisible, de ce fantaisie, un beau jour, de s'y aller proposer comme fi- ces éléments — crée par synthèse la qu'il faut conserver, parce qu'utilisa- gurante — son dessein étant plutôt de voir de la sorte tre que si on a dit tout ce qu'on croit sensation qu'il veut faire naître dans devoir dire. L'action et ses caractéris- ble visuellement... Et les avantages des ce qu'était un studio et comment on y « tournait » les l'esprit du spectateur. adaptations, qu'en reste-t-il ? On films...... tiques se retrouvent les mêmes dans La littérature choisit des faits, des croyait simplifier le travail ? Vous Une figuration suivie de deux ou trois petits rôles épi- l'adaptation cinégraphique que dans anecdotes, des détails aptes à être ra- l'ouvrage littéraire. D'où, par cette avez pu vous rendre compte qu'il est sodiques firent bientôt d'elle une habituée des studios contés et mis en valeur par les pro- beaucoup plus long, plus difficile, Vitagraph. Les metteurs en scène prirent aussi l'habi- pratique de l'adaptation, l'intrusion cédés qui lui sont particuliers, aptes plus ingrat de faire une bonne adap- tude de la demander par téléphone quand au dernier dans les films des méthodes littéraires, aussi à faire rendre à ces procédés tation que d'écrire un scénario origi- moment il leur manquait quelque jeune interprète. méthodes contraires à l'esprit du ci- leur maximum d'effet. Son domaine nal. L'intérêt de la vision d'une œu- En 1914, Anita Stewart abandonnait définitivemènt ses néma : continuité monotone de l'ac- est, avant tout, celui de la parole : les vre célèbre ? Mais si l'adaptation a études de chant pour se consacrer au cinéma. tion se déroulant passivement sur l'é- moyens littéraires atteignent leur été bien faite, il ne reste plus grand'- craii, sans déplacements de vision, meilleur rendement quand ils formu- chose de ce qui faisait la beauté du • sans gros plans, sans antithèse d'ima- lent la parole ou simplement la pen- livre — et qui est, le plus souvent, On la vit alors dans une infinité dé petits rôles de fikns ges qui s'opposent, sans rappels, sans sée ; quand ils décrivent, ils ne peu- justement ce qu'il y a de littéraire, de tous genres tournés alors par la Vitagraph. En 1915 créations d'impression par touches vent jamais s'approcher assez du mo- c'est-à-dire d'intraduisible. Sur la elle était remarquée pour son interprétation dans un film successives, réglées, dosées, dans tou- dèle pour le faire voir exactement base nue d'où l'on avait auparavant de propagande de Stuart-Blackton et, bientôt, le départ tes les nuances que l'on peut obtenir comme le voyait l'auteur. Le cinéma, délogé tout ce qui constituait la litté- 'de Norma Talmadge à la Cie Triangle créant une dispo- par le jeu merveilleux de la combi- au contraire, ne peut pas rendre la rature, on a construit un film avec naison des images. Voilà ce que serait parole, mais il peut décrire parfaite- d'autres matériaux, ceux propres au Ciné pour Tous 1 Ciné pour Tous Blanche Sweet, 6737, Witïey Terrace, Bobby Vernon, Christie Studios, 6101, Frank Mayo, Universal Studios, Uni- cinéma. Du livre, il ne survit dans le plus souvent le côté littéraire, la ma- nent toujours par leur dissemblance Los Angeles. Sunsert boulevard, Los Angeles. versal-City (Cal.), U.S.A. film bien adapté que la carcasse com- nière, le style, et cela a prèsque en- avec ceux bâtis par notre fantaisie. Norma Talmadge, United Studios, 5341, Niles Welch, 1616, Gardner Street, Los Thomas Meighan, Lasky Studio, 1520, mune de l'action : la forme littéraire tièrement disparu dans l'autre ; on Et que de travail infécond pour le Melrose Avenue, Los Angeles. Angeles. Vine Street, Los Angeles. a été remplacé par le modelé photo- vient de le voir, du reste. cinéaste qui doit perdre son temps Estelle Taylor, Fox Studios, 1401, Wes- e Frank Mills, 264, West 57th Street, New- génique, et c'est l'essentiel. à chercher longuement — comme tern Avenue, Los Angeles. York. L'action a été, pour les besoins de Si, pour que le film soit bon, il ne Florence Vidor, Ince Studios, Culver- Tom Mix, Fox Studios, 1401, Weslern la cause, modifiée, souvent profondé- Baroncelli pour Le Rêve, par exem- Roscoë Arbuckle, Buster Keaton Studio, doit rien rester de l'intérêt personnel ple — des paysages conformes à ceux City (Cal.), U.S.A. Avenue, Los Angeles. ment, et l'on souffrira de ces accrocs 1025, Lillian Way, Los Angeles. du livre, pourquoi adapter ? décrits par le romancier ! Que de dif- Pearl White, Pathé-Seitz Studio, 134th Owen Moore, Selznick Studios, West faits à ce que l'on considérait comme John Barrymore, Lambs' Club, New- Si le film doit être mauvais quand ficultés stériles dans les hésitatiôns Street and Park Avenue, New-York. York-City. Fort-Lee (N. J.), U. S. A. une vérité intangible ; l'on veut conserver la personnalité du de l'adaptation ? Et cela, pour quel Kathlyn Williams, Lasky Studio, 1520, George Beban, 7018, Hawthorne Street, Tom Moore, Lasky Studio 1520, Vine livre, pourquoi adapter ? Les personnages ne correspondent résultat '? Qu'oppose-t-on à ce fais- Vine Street, Los Angeles. Los Angeles. Street, Los Angeles. Alors ? jamais complètement à la description ceau de désavantages ? Le seul ennui Clara Kimball Young, 4500, Sunset Bou- Noah Beery, 6421, Ivarenne Street, Los Antonio Moreno, Goldwyn Studio, Cul- du livre, et, encore moins, à l'idée que de la recherche, la seule économie de levard, Los Angeles. Angeles. ver-City (Cal), U.S.A. s'en faisait chaque spectateur, idée l'achat d'un scénario original, le seul Wallace Beery, 1346, Harper Avenue, Harry Myers, Universal Studios, Uni- . Autre inconvénient : le lecteur d'un tyrannique qui entrave l'imagination attrait du public pour les romans cé- O Los Angeles. versal-City "(Gai.), U.S.A. livre sera toujours déçu par son adap- Wheeler Oakman, 5611, Hollywood et l'empêche de vibrer aux exploits lèbres, toutes choses, on l'a vu, bien Mary Alden, Goldwyn Studios, Culver- Lon Chaney, 1575, Edgemont at Holly- tation cinégrapbique ; Boulevard, Los Angeles. d'un héros différent de celui de ses précaires ou fausses. City (Cal.), U.S.A. wood (Cal.), U.S.A. Ce qui plaisait dans l'un était le rêves ; de plus, les cadres surpren- (A suivre.) Pierre PORTE. Charles Chaplin, 1416, La Brea Avenue, Eugène O'Brien, Selzn'ick Studios, West. Kate Bruce, Griffith Studios, Orienta Fort-Lee (N. J.), U.S.A. Point, .Mamaroneck (N.Y.), U.S.A. Los Angeles. Mary Carr, Fox Studios, lOth Avenue Charles Glary, 1774, North Vine Slreet, , Warner Oland, 257, West 86th Street, and 55th Street, New-York. Los Angeles. New-York. William Conklin, 1766, La-Brea Avenue, Gertrude Claire, ince Studios, Culver- Wallace Beid, Lasky Studio, 1520, Vine City (Cal.), U.S.A. Los Angeles. Street, Los Angeles. Clyde Cook, Fox-Sun.shine Studios, 1401, William Russell, Fox Studios, 1401, Vera Gordon, Cosmopolitan Productions, ADRESSES DES INTERPRÈTES Western Avenue, Los Angeles. Western Avenue, Los Angeles. Second Avenue ami 127th Street, New- William Desmond, Athletic Club, Los York. Herbert Rawlinson, Universal Studios, Baby Peggy Mon.tgomer'y, Universal Stu- Wright and Càllender Building, Los An- Angeles. Universal-City (Cal.), U.S.A. Elliott Dexter, Goldwyn Studios, Cul- dios, Universal-City (California), U.S.A. DU CINEMA geles. • Q Will Rogers, Lasky Studio, 1520, Vine Wanda Hawlèy, Lasky Studio, 1520, ver-City (Cal.), U.S.A. Street, Los Angeles. Vine Street, Los Angeles. Bichard Dix, Goldwyn Studios, Culver- Al. Saint-John, 4411, Victoria-Park Pla- Ben Alexander, 1800, Winona Boulevard, Barbara Bedford, Fox Studios, 1401, Leatrice .loy, Lasky Studio, Vine Street, City (Cal.), U.S.A. ce, Los Angeles. AMERICAIN Los Angeles. > Western Avenue, Los Angeles. Los Angeles. William Duncan, Vitagraph Studios, Monroë Salisbury, 5956, Hollywood Wesley Barry, care of Neilan Produc- Constance Binney, Lasky Studio, 1520, Alice Joyce, Vitagraph Studios, East 1708, Talmadge Street, Los Angeles. Boulevard, Los Angeles. Constance Talmadge, United Studios, tions, Goldwvn Studios, Culver-City (Cal.), Vine Street, Los Angeles. loth Street and Locust Avenue, Brooklyn Douglas Fairbanks, Pickford-Fairbanks Tom Santschi, 1275, Sweltzer Avenue, 5341, Melrose Avenue, Los Angeles. U.S.A. Jewel Carmen, Care oT Bolaud West (N. Y.), U.S.A. Studios, Hollywood (California), U.S.A. Los Angeles. Gladys Wallon, Universal Studios, Uni- Jackie Coogan, United Studios, 5341, Prod., 260, West 42nd Street, New-York. Anhette KeMer'man, 707, Oak Street, Dustin Farnum, Fox Studios, 1401, Larry Semon, Vitagraph Studios, 1708, versal-City (Cal.), U.S.A. Melrose Avenue, Los Angeles (Cal.) U.S.A. Viola Dana, 7070, Franklin Avenue, Los South Pasadenâ (Cal.), U.S.A. Western Avenue, Los Angeles. Talmadge Street, Iîos Angeles. Lois Wilson, Lasky Studio, 1520, Vine Frankie Lee, 7600, Fountain avenue, Angeles. Alice Lake, Métro Studios, Romaine and William Farnum, Fox Studios, 1401, Milton Sills, 1320, Crescent Heights Street, Los Angeles. Los Angeles (Cal.), U.S.A. Bebe Daniels, Lasky Studio, 1520, Vine Cahuenga Avenue, Hollywood (Cal.), U.S.A. Western Avenue, Los Angeles. Boulevard, Los Angeles. William Faversham, Lambs Club, New- Street, Los Angeles. Louise Lovely, 1746, Wileox Avenue, Russell Simpson, 5158, Hollywood Bou- O York. Mildred Davis, Hal Boach Studio, 406, Los Angeles (Cal), U.S.A. levard, Los Angeles. Sam de Grasse, 1729, Winona Boule- Court Street, Los Angeles. Enid Bennett, Fairbanks Studio, Hol- Katherine Mac Donald, Mayer Studios, Wyndham Standing, care of Willis and vard, Los Angeles. Marjorie Daw, 6609, St-Frances Court, lywood (Cal.), U.S.A. Richard Barthehness, Inspiration Pic- Inglis, Wright and Callender Building, 3800, Mission Road, Los Angeles. Mahlon Hamilton, care of Willis and Los Angeles. Francelia Billington, 127. West Chest- tures, 565, Fifth Avenue, New-York. Los Angeles. Martha Mansficld, Selznick Studio. West Inglis, Wright and Càllender building, Los Carol Dempsicr, Griffith Studio, Orienta nut Street, Glendale (Cal), U.S.A. Monte Blue, Griffith Studios, Orienta Roy Stewart, 641, North Hobart Bou- Fort Lee (N. J.), U.S.A. Angeles. Betty Blythe, 1820, La Brea Street, Los l'o nt, Mamaroneck (N. Y.), U.S.A. levard, Los Angeles. Point, Mamaroneck (N.Y.), U..S.A. Doris May, R. C. Studios, Corner Gower Kenneth Harlan, United Studios, 5341, Angeles. Casson Ferguson, 6826, Odin Street, Los Conway Tearle, United Studios, 5341, Heien Jérôme Eddy, R.C. Studios, Cor- and Melrose Streets, Hollywood (Cal.), Melrose Avenue, Los Angeles. Alice Brady, Paramount Studios, Pierce Angeles. Melrose Avenue, Los Angeles. ner Gower and Melrose Streets, Los An- U.S.A. William S. Hart, 1215, Bâtes Street, Los Avenue and Sixth Street, Long-Island- Harrison Ford, Lasky Studio, 1520, Vine geles. Marguerite de la Motte, 1918, Pinehurst Angeles. Ben Tin-pin, Sennett Studios, 1712, Ales- Ann Forrest, Distinctive Productions, City (N. Y.), U.S.A. Street, Los Angeles. sandro Street, Los Angeles. Road, Los Angeles. Raymond Hatton, 4600, Kingswell Ave- ■ i 366. Madison Avenue, New-York. Billie Burkc, Paramount Studios, Pierce Allah Forrest, Athletic Club, Los Ange- Henry B. Walthall, 25, Arcadia Terrace, Mac Murray, 344. West 44th Street, New- nue, Los Angeles. Avenue and Sixth Street, Long-Island-Citv , les. Dorothy Gish, Inspiration Pictures, 565, York (U.S.A). Sessue Hayakawa, R. C. Studios, Corner Santa-Monica (Cal.), U.S.A. (N. Y.), ILS A. Ralph Graves, Goldwyn Studio, Cul- Jack Warren-Kerrigan, .1743, Cahuenga Fifth Avenue, New-York. Alla Nazimova. United Studios, 5341, Gower and Melrose Streets; Hollvwood Irène Casile, 120, Lexington Street, New- ver-City (Cal.), U.S.A. Avenue, Los Angeles. Corinne Griffith, Vitagraph Studios, Melrose Avenue, Los Angeles. (Cal.), U.S.A. York. .Jack Gilbert, Fox Studios, 1401, Wes- Bryant Wasburn, 7003, Hawthorne Ave- East 15th Street and Locust Avenue, Anna Q. Xillson, 1901, Wileox Avenue, Stuart Holmes, Métro Studio, Romaine tern Avenue, Los Angeles. nue, Los Angeles. Brooklyn (N.Y.), U.S.A. Hélène Chadwick, Goldwyn Studios, Cul- Los Angeles. and Cahuenga Avenue, Hollywood (Cal.), Gaston Glass, Formosa apts, Los Ange- Earle Williams, Vitagraph Studio, East Louise Huff, 64, West 49th Street, New- ver-City (Cal.), U.S.A. Kathleen O'Connor, 1723, Garfield Pla- U.S.A. les. 15th Street and Locust Avenue. Brooklyn York. Ethe'l Clayton, B. C. Studios, Corner ce, Los Angeles. Jack Holt, Lasky Studio, 1520, Vine Creighton Haie, Griffith Studios. Orien- (N. Y.), U.S.A. Lila Lee, Lasky Studio, 1520, Virie Gower and Melrose Streets, Hollywood Seeha Owen, Cosmopolitan Productions, Street, Los Angeles. Street, Los Angeles. (Cal.), U.S.A. Second Avenue and 127th Street, New- ta Point, Mamaroneck (N. Y.), U.S.A. Gareth Hughes, Métro Studios, Romaine Charles (Buck) Jones, Fox Studios, 1401, • Bessie Love, 7021, Hollywood Boulevard, Betty Compson, Lasky Studio, 1520, Vi- York. Western Avenue, Los Angeles. and Cahuenga Avenue, Hollywood (Cal.), George Arliss, Distinctive Productions, Los Angeles. ne Street, Los Angeles. Eilcen Percy, Fox Studios, 1401, Wes- Mitchell Lewis, 418, Mason Building, U.S.A. 366, Madison Avenue, New-York. May Mac Avoy, Lasky Studio, 1520, Vine Grâce Darmond, 7216, Franklyn Avenue, tern Avenue, Los Angeles. Los Angeles. Cullcn Landis, Goldwyn Studiis, Cul- Street, Los Angeles (Cal.), U.S.A. Los Angeles. Dorothy Phillips, 1510, Laurel Avenue, Elmo Lincoln, 2718, Sunset Boulevard, Hobart Bosworth, Beverlev Hills Hôtel, Shirley Mason, Fox Studios, 1401. Wes- Dorothy Dalton, Lasky Studio, 1520, Los Angeles. ver-City (Cal.), U.S.A. Los Angeles: Beverley Hills (Californa), U.S.A. tern Avenue, Los Angeles. Vine Street, Los Angeles. Marie Prévost, Universal Studios, Uni- Buster Keaton, Métro Studio, 1025, Lil- Bert Lytell, Lasky Studio, 1520, Vine Frank Currier, 6665, Selma Avenue, Los Mary Miles Min ter, Lasky studio, 1520, Mariori Davies, Cosmopolitan Prod., Se- vcrsal-City (Cal.), U.S.A. lian Way, Los Angeles. Street, Los Angeles. Angeles. Vine Street, Los Angeles. Harold Lloyd, Hal. Roaeh Studio, 406. cond Avenue and 127th Street, New-York. Edna Purviance, 402 A. Wcstlake Ter- Wallace Mac Donald, 3920, Whilshire Charles Gillingwater, Goldwyn Studios. Colleen Moore, Goldwyn Studios, Cul- Priscilla Dean, Universal Studios, Uni- Court Street, Los Angeles. race, Los Angeles. Boulevard, Los Angeles. Culver-City (Cal.), U.S.A. ver-City (Cal.), U.S.A. versal-City (Cal.), U.S.A. Florence lîeed. Zicgfield Cinéma Corp., Douglas Mac Lean, Ince Studios, Culver- Percy Marmont, Fox Studios, 1401, Mabel Normand, .Sennett Studios, 1712, Elsie Ferguson, Paramount Studios, 5th Avenue and 44th Street, New-York. Citv (Cal.), U.S.A. Western Avenue, Los Angeles. Frank Keenan, Ince Studios, Culver-City Alessandro Street, Los Angeles. Pierce Avenue and Sixth Street, Long-ls- iRutb Roland, 605, Soutli Norton Ave- Jack Mower, Elk's Club,.Glendale (Cal.), (Cal.), U.S.A. Eva Novak, 6629 1/2, Hollywood Boule- land (N. Y.), U.S.A. nue, Los Angeles. U.S.A. Melbourne Mac Dowell, 1047, Everett vard, Los Angeles. Pauline Frederick, R. C. Studios, Cor- Aima Rubens, Cosmopolitan Prod., Se- Jack Pickford, Pickford-Fairhanks Stu- quand vous écrivez aux ve- Street, Los Angeles. i Jeanne Paige, Vitagraph Studios, East ner Gower, and Melrose Streets; Los An- cond Avenue and 127th Street, New-York. dios, Hollywood (Cal.), U.S.A. dettes, recommandez-vous de Charles Ogle, Lasky Studio, 1520, Vine 15th Street and Locust Avenue, Brooklyn geles. Mary Thurman, 133, Edgcliff Drive, Los Charles Ray, Ch. Ray Studios, 1428, Street, Los Angeles. CN.Y-l); U.S;A. Lillian Gish, Griffith Studios, Orienta Angeles. Fleming Street, Los Angeles. Joseph Schildkraut, Griffith Studios. "CINÉ POUR TOUS" Théodore Roberts, Lasky Studios, 1520, Mary Pickford, Mary Pickford Studios, Point, Mamaroneck (N. Y.), U.S.A. Anita Stewart, Mayer Studios, 3800, Vine Street, Los Angeles. Hollywood (California), U.S.A. Louise Glaum, Parker Read Prod., Ince Mission Road, Los Angeles. Orienta Point, Mamaroneck (N. Y.), U.S.A. Les lettres pour l'étranger doivent être Walt Whitman. Fairbanks Studios, Hol- Zasu-Pitts, 532, South Fremont Avenue, Studios, Culver-City (Cal.), U.S.A. Gloria Swanson, Lasky Studio, 1520, Rodolphe Valentino, Lasky Studio 1520, lywood (Cal.), U.S.A. Los Angeles (Cal.), U.S.A: .luanita Hansen, c/o Willis and Inglis, Vine Street, Los Angeles. Vine. Street, Los Angeles. affranchies à O fr. 30 les enfants de l'écran

et ailleurs, plusieurs petits acteurs jouissaient déjà d'une certaine répu- courte mais déjà bien remplie com- tation. porte d'événements saillants. En France, en se rappelle Bout-de- Le petit Jack doit au hasard d'une Zan, qui tourna une longue série de rencontre avec Charles Chaplin d'être petits films pour Gaumont ; « Bébé s devenu ce qu'il est à présent. Le Gosse, (le petit Abélard) qui tournait chez tourné en 1919-1920, alors qu'il avait Pathé ; et le petit Willy, pour l'Eclipsé. quatre ans et demi, lui a valu d'être En Amérique, tournaient à la même saçxé « star » d'emblée. Et Le Gosse époque : Mary Mac Allister, Carmen Infernal, suivi de Mon Gosse, Trouble, de Rue, Bobby Connelly, Leslie Love- ridge, Violet Wilkie (des anciens films et Olivier Twist ont affirmé ses quali- de Griffith), et Thalma Salter (des tés vraiment exceptionnelles. films de Th. Ince), etc. En Angleterre. Edna Hamel, Gladys Johnston, les REGINE DUMIEN. .sœurs Irving, etc.. BABY PEGGY Régine Dumien est née en 1915. En 1920, elle débute dans Irène où elle MARIE OSBORNE. REGINE DUMIEN Les premiers en France nous avons personnifie, au cours d'une simple scè- publié en son temps la biographie de Mais la première véritable étoile ne, le petit dieu Cupidon. Remarquée Helen Stone, qui a débuté aux côtés Marie Osborne ; et, plus récemment, enfantine du cinéma n'est venue qu'en par Luitz Morat, elle tourne, sous la di- de Tom Mix et qui vient de paraître celle de Jackie Coogan. Pour être tout 1915. C'est Marie Osborne. rection de ce dernier, Petit Ange, où à fait équitables nous nous devions de avec Pauline Frederick dans Une Fille de modestes acteurs d'une on lui fit faire des choses très compli- mère. parler aussi un peu des autres petits quées. Par la suite Régine Dumien a acteurs de l'écran. troupe provinciale, Marie Osborne John Henry, le bébé des Comédies tourné de petits rôles dramatiques Discuter les mérites de ces petits avait quatre ans et demi quand ses Mack-Sennett. prodiges est chose à peu près im- parents, alors en représentations en Ca- dans : Roger-la-Honte, dans To be or Stanley Goëthals, remarqué dans possible. Certains doivent beaucoup à lifornie, la confièrent à un metteur en not to be, et dans Les Mystères de Révoltée. la chance, d'autres doivent beaucoup scène de cinéma pour interpréter un Paris. Une toute récente révélation enfan- à l'intelligente direction de ceux qui petit rôle dans un drame. Il arriva que Parmi les autres petits acteurs du tine, en Amérique, c'est Baby Peggy les ont èmployés, certains ont eu le les scènes tournées par l'enfant furent cinéma français, citons : Roger Pineau Montgomery, qui, engagée aux Centu- succès qu'ils méritaient, d'autres mé- poignantes de vérité, à tel point qu'on (né en 1915) qu'on a vu dans Les chè- ritaient mieux que ce qu'ils ont éu. ry-Comedies de l'Universal-Film, pour décida défaire de Marie Osborne la res images, d'André Hugon, dans La tenir compagnie au fameux chien D'ailleurs on peut étendre les mêmes Croisade et dans l'Empereur des Pau- considérations à leurs aînés. vedette d'une série de petits films mi-- Brownie, dénommé en France : «Pom- vres ; la petite Francia, du Penseur, de Aussi nous bornerons-nous à enre- gais mi-dramatiques. Sous la compré- pon», a obtenu en peu de temps un tel gistrer des faits, sans discuter le bien- hensive direction de celui qui l'avait Perdue et de L'Ami Fritz ; etc., etc.. succès personnel qu'elle est devenue fondé de telles ou telles renommées. découverte, Henry King, Marie Osbor- Aux Etats-Unis, on remarque parti- l'étoile d'une série de bandes comi- ne a tourné, de 1916 à 1919 une lon- culièrement, dans les rôles d'enfants ques. Baby Peggy va avoir quatre ans. des films des dernières années : gue série de bandes charmantes dont Enfin, "on a appris dernièrement Frankie Lee, né en 1915, a débuté Ce n'est pas d'aujourd'hui qu'on voici quelques titres : Le Joli rayon de avec regret le décès, à la suite d'un dans Le Miracle, puis a tourné La Mon- utilise les enfants au cinéma. Dès Soleil, Aube et Crépuscule, la Légende accident d'automobile, du petit Bree- avant-guerre, en France, en Amérique tagne Sacrée, L'Homme Inconnu, puis du Dragon d'Or, Nuages et Rayons de zy Eason, qui avait tourné pour Uni- Le Loupiot et d'autres films de Mary Soleil, Larmes et Sourires, etc.. JAtKIÈ OOGAN versal un grand film : Hors du Foyer. " L'AFRIQUE ' En 1919, Marie Osborne avait huit Miles Minter, et dernièrement The. ans. De plus des difficultés surgirent tits acteurs qui eut son heure de célé- Swamp, avec S.' Hayakawa et Bessie OLINDA MANO da Mano a tourné par la suite Barra- Love. dans la production de ses films, du brité : Francis Carpenter, Virginia Lee bas et Les Deux Gamines. fait du désaccord des parents de la Corbin et George Stone. Leurs films fu- La petite Peaches Jackson a paru rent : Les Enfants dans la Forêt, l'Ile Née en 1913, la petite Simone Gene- aux côtés de Mary Pickford dans Par petite « star », désaccord qui devait vois, bien qu'elle ait été l'étoile d'une se terminer par un divorce. Ainsi Ma- au Trésor, Le Petit Poucet, Aladin, Ali- Ventrée de service, puis dans La Prin- Baba, et une féerie chinoise : Fan-Fan. série de petits films, a connu une cesse Alice et A Prince there was, deux rie Osborne est-elle disparue du fir- mo udre popularité. On a pu la voir mament cinématographique. films de Thomas Meighan. OLINDA MANO. ans Protea, ou elle débuta à 4 ans et La principale rivale de Marie Osbor- Mary-Jane Irving a tourné avec Wil- demi, puis dans le Rêve de Simone, la liam Hart et avec Sessue Hayakawa ne était, à l'époque, la' petite Zoë Raë, Pendant ce temps tournaient en Tisane, Un ange a passé, puis dans (Le Temple du Crépuscule), qui tournait pour la Cie Universal. On France plusieurs petits interprètes ; Travail, Poucette et Mea Culpa. l'a vue en France dans un certain George Stone, qui après la série de l'un des plus connus est Olinda Mano féeries pour la Fox-Film mentionnées nombre de films de coite compagnie, qui, sans avoir porté à elle seule le L'AFRIQUE. plus haut, a tourné avec W. Hart : tels que le Grillon, Maud, Fille de Ma- poids de tout un film, a tourné si fré- rins, etc.. Le petit négrillon bien connu en Loin du Cœur. quemment dans les ciné-romans de France sous le nom de « l'Afrique », En UIO, tournait également aux Richard Headrick, a tourné Le Louis Feuillade qu'elle a de la sorte s'appelle en réalité Frederick-Ernest Jaguar de la Sierra, avec W. Hart, et Etats-Unis le petit Ben Alexander, dont acquis une certaine notoriété. Née à la meilleure interprétation fut son rôle Morrison, né en 1913, il fut choisi en Pour être aimée avec Mildred Harris. Paris le 21 octobre 1912, elle a com- des Cœurs du Monde (inédit en Fran- 1916 comme partenaire de Marie Os- Il est en outre déjà un nageur de pre- mencé à tourner en 1916. On l'a vue ce), de Griffith, et qu'on a revu depuis borne, avec qui il tourna jusqu'en mier ordre et a eu l'occasion derniè- dans plusieurs films de Bessie Barris- ainsi dans Judex, Herr Doktor, Déser- 1918. Depuis lors, on l'a vu dans les rement de le prouver en sauvanLime. cale. teuse, Le Bandeau sur les yeux, Ven- comédies d'Harold Lloyd et de Beau- petite fille de la noyade. Citons ensuite les petites Lee, Jane démiaire, tournés sous la direction de citron (Harry Pollard). Pat Moore, qu'on vient de voir dans et Catherine, qui tournèrent ensemble Louis Feuillade. Puis dans La Maison plusieurs comédies pour Fox-Film. La La Reine de Saba ; et son frère aîné d'Argile et La Course du Flambeau, et JACKIE COOGAN. Mickey Moore, qu'on a vu dans Un même compagnie produisit plusieurs Travail, produits par Pathé. Revenue féeries interprétées par un trio de pe- De Jackie Coogan nous avons dit dé- Cœur d'enfant et de nombreux films sous la direction de L. Feuillade, Olin- jà à peu près tout ce que sa carrière Paramount. !0 Ciné pour Tous

assassina, créé au Théâtre Antoine auparavant, que Jean nant au cinéma devra posséder la souplesse faciale, et nous ces progressions et évolutions que réside la grande difficulté Toulout a débuté au cinéma. De suite, il est remarqué par son venons ici à la question des mo3'ens nécessaires au comédien du « jeu cinématographique ». premier metteur en scène Andreani ; il interprète aussitôt les cinématographique. Pour compléter ces moyens d'expression du visage, l'artiste rôles de premier plan dans ' Jacques l'Honneur, les Enfants La sobriété est nécessaire dans toute expression, mais so- se destinant au cinéma devra posséder enfin des qualités de d'Edouard, le Porteur aux Halles. plastique afférentes à son tempérament dramatique ou comi- Sous la direction de R. Leprieur, Jean Toulout tourne en- briété ne veut pas dire atonie. Des comédiens français ayant que. suite L'Arriviste, d'après le roman de F. Champsaur. mal observé des artistes étrangers se complaisent maintenant à jouer un film d'un bout à l'autre en gardant une impassibi- Plus encore à l'écran qu'à la scène, la jeune première devra O être jeune et jolie, le jeune premier élégant et vrai. Chacun En 1918, c'est La mission du docteur Klivers, de G. de Buy- lité absolue. C'est une erreur, la physionomie de l'acteur ciné- matographique ne doit pas être passive, sans quoi, tout en étant dans son emploi, devra en outre s'assimiler de telle façon à sieulx et Maurice Landay, avec Olga Demidoff et Pierre Bressol. intelligent et sensible, il ne pourra s'extérioriser et transcrire son personnage que sa plastique devra entrer nécessairement La Dixième Symphonie, par Abel Gance, avec Emmy Lynn et sur sa face ce que le public devra percevoir. dans la composition et servir de langage au même titre qu'un Séverin-Mars. coup d'oeil, par exemple. L'on ne se sert pas assez à l'heure Croit-on que Sessue Hayakawa soit impassible ? Non, sa Puis : actuelle de l'expression d'un dos ou d'une main qui pourtant physionomie est souple et reflète les moindres pensées, mais La Faute d'Odette Maréchal, d'Henri Roussell, avec Emmy font partie de l'alphabet cinégraphique, alphabet assez res- ses expressions sont mesurées, et tantôt un battement des cils, Lynn, Joubé et Decoeur. treint pour ne pas en rejeter quelques lettres. Et dans les en- un" frémissement des narines, un plissement du front, un ric- La Fête Espagnole, de Louis Delluc, par Germaine Dulac, sembles, il sera encore nécessaire de faire appel à des comé- tus de la bouche, seront suffisants pour mettre en valeur les avec Modot et Eve Francis. diens ayant une ligne et une science, du geste, ce qui facilitera, sentiments qu'il a à exprimer. La Relie Dame Sans Merci, d'Irène H. Herlanger et Germaine en symbolisant quelquefois ou en marquant l'attention par Dulac, avec Tania Daleyme, Denise Lorys et Jean Tarride. C'est dans cette mesure, dans cette justesse d'expression, dans tout moyen de cet ordre, la compréhension du public. » La Nuit du Treize, par Henri Fescourt, avec Yvette Andreyor, André Dubosc et Vermoyal. Mathias Sandorf, d'après Jules Verne, par Henri Fescourt, avec Yvette Andreyor, Romuald Joubé, A. Tallier, Vermoyal et Modot. C'esl aux « Ambassadeurs » de Londres que Betty Bal- La Vivante Epingle, de J. J. Renaud et J. Robert, avec Jean four, âgée de dix-huit ans, a débuté à la scène en octobre Hervé et Lucienne Legrand. 1914. Auparavant elle avait donné des représentations Chantelouve, d'après L. Rey, par Monca, avec Yvette An- familiales et joué des saynètes au collège avec d'autres dreyor. amateurs. Distinguée par Lady Fitzmaurice, elle fut pré- Judith, d'après J. J. Renaud, par Monca, avec Yvette An- sentée à C. B. Cochran, le grand « producer » londonien; dreyor, Georges Gauthier et Elmire Vautier. d'où ses débuts à ce théâtre. La Conquête des Gaules, de Burel, Dyl et Yvonnet, avec J. Aux « Ambassadeurs » elle joua donc un rôle drama- David-Evremond et Le Tarare. tique dans un sketch en un acte intitulé From Louvain, Le Roi de Camarque, d'après Jean Aicard, par A. Hugon, et plusieurs personnages épisodiques dans la revue qui avec Claude Mérelle, Ch. de Rochefort et Elmire Vautier. complétait le programme. Xotre-Dame-dAmour, d'après Jean Aicard, par A. Hugon, L'année suivante, Betty Balfour crée, toujours au même avec Claude Mérelle, Ch. de Rochefort et Irène Sabel. théâtre, une autre revue : More ; et se fait principalement remarquer dans le rôle du « Petit radis rose ».

Cliché Gibory En 1916, C. B. Cochran prenant la direction du Coli- Jean Toulout a, sur la question de l'interprétation cinéma- seum de Londres, Betty Balfour l'y suit et joue les rôles tographique des opinions très nettes, qui méritent d'être si- principaux de AU Women, une revue à grand spectacle. gnalées : Après une tournée en province avec ce dernier spec- Jean Toulout « N'ayant pas la ressource d'un texte à dire, texte portant tacle, elle entre au Palace Théâtre de Londres et, dans en lui-même les éléments nécessaires à la compréhension d'un Airs and Grâces, en juin 1917, elle connut un vrai triom- Jean Toulout. est né à Paris le 28 septembre 1887. Se desti- public auditif, l'acteur de ciné doit d'abord posséder : nant d'abord au théâtre, il entre au Conservatoire dans la phe, principalement avec une chanson qui avait été 1° Une faculté initiale, l'intelligence. ajoutée aux dernières répétitions. classe de Leloir, et au bout de deux ans d'études, part au régi- L'intelligence de l'acteur de cinéma devra être souple . et ment. puissante ; souple, pour lui permettre de s'adapter au milieu On sait qu'à ce moment les Gothas et Zeppelins fai- A son retour il est engagé pour une période de cinq années dans lequel il aura à évoluer, à composer ses personnages et saient au-dessus de Londres de fréquentes et meurtriè- par Firmin Gémier, qui dirige alors le Théâtre Antoine. souvent à suppléer à une éducation imparfaite ; puissante, res incursions. Betty Balfour fut l'une de ces victimes, Là il reprend les principaux rôles du « patron », il joue pour lui permettre de refléter avec intensité les concepts de mais eut la chance de s'en tirer avec quelques mois de lit. certains plus de cent fois, comme Don Matéo, de la Femme et l'auteur et les imposer au spectateur ; On la retrouve plus alerte que jamais en 1919 aux le Pantin. Puis vinrent les créations : Le Procureur Hallers, 2° Une qualité presque indispensable, la sensibilité. Follies, puis à l'Alhambra de Londres, où elle crée le Le Chevalier au Masque, Le Sous-Marin l'Hirondelle et l'Homme Je n'entends pas par « sensibilité » le moyen d'exprimer rô'e de Violet Manstone, de Medorah. C'est alors qu'on la qui assassina, rôle de Falkland. C'est lui qui tint le rôle du uniquement la douleur et de tirer les larmes. La sensibilité est pressentit pour la première fois, de divers côtés, pour Roi dans Hamlet, interprété par Suzanne Després. Puis il suit est une qualité beaucoup plus générale, c'est la plus précieuse tourner plusieurs films. Gémier dans son Théâtre Ambulant, où il interprète à ses pour un acteur ; grâce à elle, il sera reconnu simple comédien côtés : La Rabouilleuse, Les Petits, Sherlock Holmes, Le Rar- ou artiste. Combien d'acteurs, comédiens, maîtres de leur bier de Séville, Anna Karénine, etc. talent seront nettement séparés par un abîme, si l'un est un . Entre temps, il paraît au Théâtre des Nouveautés dans La pur sensible, alors que l'autre n'est qu'un scientifique. Un Journée des Surprises, h la Porte St-Martin dans Montmartre, artiste fait de chair et d'os a une âme et un coeur ce sont Les représentations de Médorah terminées, Betty Bal- au Gymnase dans Les Cinq Messisurs de Francfort, à la Re- les vibrations de ces facteurs impondérables qui font goûter au four accepta une offre de l'une de ces firmes, la Welsh- naissance dans la Peur de l'Amour, etc.. spectateur les plus grandes joies ou les plus grandes douleurs. 'Betty Bal four Pearson C°, et interpréta le rôle amusant de la servante Jean Toulout ne quitte le Théâtre Antoine que pour partir Ce sont les battements du coeur de l'artiste qui lui donnent la Sally dans Nothing Else Matters, produit par M. Pearson. au front. Il rejoint le 21e bataillon de chasseurs à pied et s'y sincérité nécessaire pour transparaître à l'écran humainement. Ceux qui ont eu la chance de voir La Petite Marchande Ce filim, qu'on a vu en France sous le titre : Le Pantin distingue. A la bataille de la Marne, J. Toulout est blessé. Cette qualité est encore plus nécessaire à l'acteur cinéma- Deux fois on l'hospitalise. Enfin on le verse dans l'auxiliaire. dé fleurs de Piccadilly sont certainement allés voir une meurtri, est l'une des meilleures productions anglaises. tographique qu'au comédien de théâtre puisque les mots ne autre production de la même firme parue ensuite : Son Chez Réjane, on l'applaudit dans Mister Nobody. M. Jean sont pas là pour impressionner le cerveau d'un public auditif Depuis lors, Betty Balfour a tourné, avec le même pro- Toulout joue ensuite la Guerre et l'Amour, puis Montmartre. vieux Papa. Et cela en grande partie parce qu'ils y retrou- par des vibrations sonores. Le comique et le dramatique ont vaient la principale interprète du premier film : Bettj' ducteur : Mary find the Gold (Son Vieux Papa), où on la A PApollo, il met en scène l'Homme à la clé, l'Affaire du Cen- également besoin de cette qualité qui leur permet de ressentir tral-Hôtel et Eh perm. Balfour. retrouve aux côtés de Hugh E; Wright. Toujours avec les plus vivement la pensée d'un auteur et c'est pour exprimer Betty Balfour, inconnue, il y a quelques semaines du mêmes, _elle tourne ensuite Squibs (La petite marchande m cinématographiquement ce que le cerveau aura conçu et la sen- public des cinémas parisiens, est à présent déjà « quel- de fleurs de Piccadilly) et Mord Em'ly, que nous verrons C'est dans son rôle d'Archibald Falkland, de l'Homme qui sibilité enregistrée qu'en troisième lieu, le comédien se desti- qu'un », Parlons donc un peu de Betty Balfour. sous peu. Ciné pour Tous LES NOUVEAUX FILMS

Du 1er au 7 Septembre : DOROTHY DALTON — Partez, dit-elle, l'amour... on souffre... dans : Allah est juste oui, mais on vit... C'est une torture et un délice... partez... CAUCHEMARS ET SUPERSTITIONS OLAF FONiSS La jeune femme s'en va. Son petit enfant dans : l'Eclaboussure la suit, mais elle n'entend pas ses cris. Mais (Whén the clouds roll by) il tombe et crie plus fort en pleurant. L'Ins- composé pour l'écran par Douglas Fair- MARY MILES MINTER tinct maternel est plus fort que l'amour. Elle le prend dans ses bras. Le mari arrive. banks, L. Weadon et Tom Geraghty, et réa- dans : La substitution — Tu allais partir ? lisé par Victor Fleming WALLACE REID — Oui... protege-mol... garde-mol... La pauvre femme flétrie s'en va, épave, United Artists 1919. Ed. Artistes Associés > . dans : L'Invitée femme de nulle part... de nulle part... Et le jeune homme qui attend encore, allume une Daniel B. Brown .... Douglas Fairbanks nouvelle cigarette. Curtis Brown Ralph Lewis Du 8 au 14 Septembre : la Femme de Nulle Part .... Eve Francis Docteur Metz Herbert Grimwood le Mari Roger Karl Lucette Bancroft Kathleen Clifford LA FEMME DE NULLE PART la Femme Gina Avril Marc Dralce Frank Campeau composé et réalisé par Louis Delluc leur fillette la petite Denise Hobson Albert Mac Quarrie Alhambra-Film. Edition Cosmograph la nurse Noémi Seize Bobbie Daisy Robinson Une maison dans la campagne Italienne, non le Jeune Homme André Daven Roscoë (FATTY) Arbuckle loin de Gênes. Un mari soucieux. Une jeune le séducteur de jadis Michel Duran femme, blonde et jolie qui, l'esprit absent, Mabel Julienne Scott et Eddie Sutherland Annette Le RAIL songe à quelque chose, ou à quelqu'un... Le dans : Fatty, l'intrépide shérif mari doit partir : un ami qui s'embarque... Kellermann composé et réalisé par Lupu Pick une affaire. Il embrasse sa femme qui se VIRGINIA PEARSON Prod. Rex 19,21. Edition Superfilm recule avec froideur... Un jeune homme qui dans : La fille du milliardaire dans se cache, d'ailleurs maladroitement, saute JUSQU'A LA MORT Le père Werner Krauss dans le jardin, apporte une lettre, repart... Et (Li-Ting-Lang) DOROTHY DALTON soudain une femme grande, âgée, flétrie, mais LA REINE La mère Hermine Stassmonwitt qui dut être si belle... arrive. « Vous ne me tiré du roman de Howard P. Rockney par dans : Flétrie La fille Edith Posca connaissez pas, dit-elle au mari respectueux E. Richard Schayer et réalisé LHJA LEE DE LA MER L'inspecteur Paul Otto et inattentif ; mais j'ai vécu autrefois ici... On a dû vous parler de moi... une parente... par Charles Swickard dans : La double méprise Vous connaissez mon histoire. Je voudrais Prod. Robertson-Cole 1920. Edit. G. Petit WIILL ROGERS revivre quelques minutes ici, mes souve- LA NUIT DU 11 SEPTEMBRE nirs... » Le mari, peu soucieux de troubler Trois étudiants chinois de la Faculté de dans : Les Protégés de Jim tiré" du roman d'Ernest Daudet : Le crime cette rêverie, part. New-York sont reçus dans la société mon- Et la femme revit son passé, un triste passé daine de Long-Island. Ce sont trois amis. MADGE KENNEDY de Jean Malory, et réalisé par trop semblable à tant d'autres. Elle aimait, Deux d'entre eux, Li-Ting-Lang et Bob Mur- dans : Le Piège D. B. Descbamps elle est partie avec son amant qui l'a tôt ray s'éprennent de Miss Mary Head, une jeu- Prod. Ermolieff 1920 Edit. Pathé-C.-C. trahie... ne orpheline fortunée. JACK WARREN-KERRIGAN Et parallèlement à son rêve, la même his- Le cœur de Mary s'incline vers l'amour de dans : Le numéro 99 toire recommence. La jeune femme blonde va Li-Ting-Lang. Ils échangent des aveux, puis Jean Malory-de Brucourt .. Séverin-Mars au rendez-vous d'amour. Et la vieille incon- des promesses et leurs fiançailles deviennent • Ivan Goubine-Bidleben Vermoyal nue, qui a tout surpris, de lui dire : « Voyez officielles. Comtesse de Maldrée r... Mme Boldireff ma vie... ne partez pas !... » A quoi l'autre Ce projet de mariage ne va pas sans ren- LA GLORIEUSE AVENTURE Eve Daniel de Maldrée Svoboda répond : ' contrer de nombreux obstacles, car le prince (The glorioUs adventure) — Oui... mais vous, vous êtes partie... Li-Ting-Lany est appelé à monter sur le trône Francis Renée de Brucourt Karally — Je n'avais pas d'enfant. Vous n'avez pas de Chine, et la Famille Impériale n'admet pas tiré du roman de Félix Orman et réalisé le droit, vous qui en avez un, d'être plus d'union entre deux époux de races différen- par J. Stuart-Blackton avec le procédé de dans Omnia-Pathé, Pathé-Palace, Paris-Ciné, femme que mère. tes. cinégraphie en couleurs Prizma Palais des Fêtes, Lutetia, Artistic, Palais- La jeune femme se laisse convaincre. Elle Un émissaire, Yu-Chang, est envoyé de Chi- va*dire à son amant qu'elle ne le suivra pas. ne pour déranger les amours des fiancés Prod. Blackton 1921 Edit. A. Legrand LA FEMME Rochechouart, Secretan, Temple. Celui-ci, fou de désespoir, déclare qu'il va se qui, comprenant l'impossibilité de leur allian- tuer. L'inconnue surgit alors. Elle a réfléchi ce, se sont rendus leur parole. Li-Ting-Lang Lady Béatrice Fair Lady Diana Manners DE NULLE PART toute la nuit à cette aventure. a juré à Mary de l'aimer toujours. LA FILLE DES ETUDIANTS Hugh Argyle Gerald Lawrence Yu-Chang, ignorant cette rupture, endort la Bulfinch Victor Mac Laglan tiré du roman d'Esther Julin et réalisé princesse et annonce son suicide. A son ré- veil, Li-Ting-Lang, apprenant que la révolu- Rosemary Flora Le Breton par Ivan Hedquist tion a éclaté en Chine, demande à ce que le Lady Béatrice enfant . . Violette Blackton Prod. Svenska 1920. Edit. Gaumont bruit de sa mort ne soit pas démenti et il lui annonce le décès de son fils aîné. De ce tre son fils bien-aimé et le duc de Dorin- rejoint sa patrie. Mistress Nell Gwyne Loïs Sturt fait, Cédric, enfant de son second fils, de- court. Mignon Renée Bjorling Bob Murray croyant son ami mort a épousé Strephanie Dangerfield .. Alice Crawford vient l'unique héritier de son nom et de sa Cedric Errol (Lord fortune, le père de cet enfant ayant été Professeur Pojken Ivan Hedquist Miss Mary, et au cours d'un voyage ils ren- Walter Roderick Cecil Humphreys Fauntleroy) Mary Pickford contrent au Palace-Hôtel de Hong-Kong, le déshérité jadis pour avoir épousé une jeune Richard Roth Richard Lund prince Li-Ting-Lang, qui est chef de l'armée Charles II William Luff Américaine. Ravisham est chargé de ramener Dearest, sa mère g républicaine chinoise. Catherine de Braganza . . Bosalie Heath l'enfant en Angleterre. Revenons à New- Duc de Dorincourt . . Claude Gillingwater York, où la vie de Cédric est relativement Mary, dont l'amour pour son ancien fiancé Samuel Pepys Lennox Pawle Bevis Errol Colin Kenny FRERES ENNEMIS est resté grand, a une entrevue avec lui. Leurs gaie et semée d'incidents dépourvus de tris- (The little Shepherd of Kingdom Corne) souvenirs s'éveillent et ils rappellent leurs Barbara Castlemain Elisabeth Beerbohm tesse. Le jeune adolescent a pour bons amis William Havisham Joseph Dowling fiançailles défuntes, tout au long d'une scène Duchesse de Moreland Gertrude Sterrole l'épicier Hobbs, la marchande de pommes, Mme Mac Ginty Kate Priée tiré du roman de John Fox, junior et Mme Ginty, et le cireur de bottes Dick. En particulièrement émouvante. Humpty Rodolphe de Cordova Dick F. Malatesta réalisé par Al. Green Mais Yu-Chang les a surpris et il cherche somme, c est un enfant qui, bien qu'élevé Prod. Goldwyn 1920. Edition Erka à faire tomber Mary dans un guet-apens. Le Salomon Eagle Tom Heselwood avec soin, est doué d'un cœur affectueux. Hobbs, l'épicier James Marcus prince déjoue heureusement ce projet et après II donne son amitié désintéressée à tous les humbles et s'émeut des peines de ses sem- Minna Rose Dione Chad Jack Pickford une lutte acharnée il met en fuite ses adver- En exclusivité à partir du 8 septembre saires. au Gaumont-Palace. blables. Voici donc la mère et le fils rame- Le fils de Minna F. Marion Nathan Milton Ross Li-Ting-Lang se réconcilie avec Bob Mur- nés en Europe par le fidèle et dévoué Ra- Révérend Mordaunt Emmett King Caleb Hazel D. Crittenden ray et quand les jeunes époux quittent le port, visham. Sa grâce native et son affection sin- Mme Higgins Mme Bodamere Major Buford James Neil il regarde partir sur la mer le seul amour cère envers un grand-père Imposant et aca- de sa vie. riâtre gagnent progressivement le cœur du Dan Dean P. Jones Du 15 au 21 Septembre : vieillard. Cédric sait déjà qu'il est « Lord Eclairages réglés par William Johnson. Harry Dean Clark Marshall Li-Ting-Lang Sessue Hayakawa Fauntleroy ». Quelque temps après, une Opérateur de prise de vues : Charles grande fête est donnée en son honneur, pour Rosher. Mme Dean Edythe Chapmann Bob Murray Allan Forrest LE PETIT LORD FAUNTLEROY permettre à son grand-père de le présenter Marguerite Dean Clara Horton Mary Head Doris Pawn (Little lord Fauntleroy) comme futur duc de Dorincourt. Sa jeune Yu-Chang Marc Robbins mère, pourtant, par un restant d'orgueil de Melissa Pauline Starke adapté du roman de Frances Hodgson L'ECUYERE Priscilla Mayheu Francis Raymond caste, est reléguée dans un pavillon voisin Mme Turner Aggie Herring Burnett par Bernard Mac Conville et réa- du château, tandis que Cédric habite le châ- tiré du roman de Paul Bourget et réalisé Red Dalton Charles E. Mason teau même, auprès de son grand-père. Sur lisé par A. Green et Jack Pickford ces entrefaites, une aventurière accompagnée par Léonce Perret Film United Artists 1921. de son jeune fiLs se présente au comte et Le comte Guy de Maligny a sauvé, dans une Edition Artistes Associés revendique ses droits à l'héritage, se don- agression, Hilda Campbell, fille de Bob Camp- SPORTS DE ROIS nant pour veuve de Bévis, fils aine du duc de bell, riche marchand de chevaux, son four- AN-NETTE KELLERMANN La duchesse de Dorincourt est la veuve du Dorincourt. Mais la vérité éclate, l'impos- nisseur. Les jeunes gens se rencontrent par la adapté et réalisé par Arthur Rooke capitaine Errol, fils cadet du duc de Do- dans : La Reine de la mer ture est démasquée. Cédric et sa mère, qui suite dans des promenades à cheval, où la Pr. Granger-Davidson 1921. Ed. Gaumont rincourt ; elle vit à New-York avec son se préparaient déjà à quitter l'Angleterre, correction la plus absolue ne cesse d'exister. jeune fils Cédric, sous un nom d'emprunt. restent définitivement au château. Cédric est ETHEL CLAYTON DOUGLAS FAIRBANKS Dans une soirée chez la Barienta, riche demi- Elaine Winter Phillys Shannaw Le vieux duc, malade, habile en Angle- réintégré dans son titre de Lord Fauntleroy mondaine, la réputation d'Hilda est soumise terre un magnifique château avec un seul dans : Le Serpent dans "Cauchemars et Superstitions' Frank Rossdale Victor Mac Laglen et sa jeune et gracieuse maman habitera, à une rude épreuve. Pourtant Hilda est deve- ami, son chien Dougal. Le notaire Ravisham heureuse et fière, le château seigneurial, en- nue nerveuse, il est visible que le souvenir de 14 Ciné pour Toit» Ciné pour Tous 15

aime à raconter l'antique légende de Gam, le de Bangor, où sa femme entreprend l'éduca- AU FOND DE L'OCEAN AU « PAON » bandit qui, pour voler son seigneur et maî- tion d'Yvette.. tre, l'étrangla saus penser qu'une justice Soucieux d'assurer l'avenir de sa fille, le . {Deevp Waters) (Peacock Alley) immanente le poursuivrait pour lui reprocher comte prend la précaution de régler ses affai- tiré du roman de F. Hopkinson Smith : composé pour l'écran par Ouida Bergère son crime.' res en prévenant son notaire de transférer sur Lorsque l'assassin voulut cacher son. trésor la tête d'Yvette, la moitié de la somme qu'il Caleb Wiest, master diver, par Jack Gil- et Edmond Goulding et réalisé par dans les rochers, .la voix vengeresse de avait primitivement assurée à sa seconde bert et réalisé par Maurice Tourneur Robert Léonard l'Océan se fit entendre et, à la marée mon- femme. tante, surpris par les flots, la mer lui servit En apprenant cette nouvelle, Ethel songe à Prod. Paramount 1920. Edit. Paramount Prod. Tiffany-Metro 1921 Edit. Aubert de tombeau. sa débarrasser de celle qui, à son avis, lui A partir de ce jour, assis sur la pointe de vole la moitié de son futur héritage. Caleb West Broerken Christians Cléo Maë Murray la falaise, Gam le Maudit, changé en statue Dans le but de favoriser son hardi projet, Betty West Barbara Bedford Edmer Harmon Monte Blue de pierre, implore vainement son pardon. la vindicative Ethel médite de conquérir le Depuis ce tragique événement, exemple bien naïf Simplet. En effet, quelque temps après, Billy Lacey Jack Gilbert Abner Harmon ■ • ■ • Howard Lang fait pour frapper les habitants de Ban"or, la l'empire qu'exerce la jeune femme sur Pier- vie y est toute de droiture et de travail. Kate Leroy Florence Deshon Joseph Carleton William Tooker M rik augmente de plus en plus et un soir, pen- Henry Sanford Henry Woodward Phil Garrison Edmond Lowe Dans une modeste cabane, près de la grève, dant que les vagues battent les flancs des ro- la vieille Marie-Anne vit, laborieuse et tran- chers, Ethel suggère au jeune homme de de- Morgan Leroy . Jack Mac Donald quille, entre son fils Pierrlk, surnommé « le venir son complice. Simplet », à cause de la naïve crédulité de Après plusieurs incidents, pendant lesquels son âme fruste tout embrumée de supersti- la malveillante comtesse ne peut parvenir à WILLIAM FARM UN Ht tion, et Yvette, gentille orpheline confiée à accomplir son odieux projet, la justice imma- MAMAN PIERRE dans : Sabordeurs ses soins et qu'elle aime comme si elle était nente qui poursuit toujours les criminels, Gladys Jennings sa fille. composé pour l'écran par René Bizet et punit Ethel que les flots de la mer enseve- HOLMES HERBERT Dix ans auparavant, veuf et ruiné le comte lissent avec elle le secret de l'infamie qu'elle Jean Barreyre et réalisé par M. Chaillot Henry Houry de Kernevez père d'Yvette, s'était embarqué avait méditée. dans : Les Vautours pour l'Australie afin d'y chercher fortune. Prod. Natura-Film 1921. Edit. Gaumont Plus tard, par les journaux, Marie-Anne PAULINE BRUNIUS et Ethel Seylor Rachel Devirys Pierre Lambert André Roanne avait appris que le navire sur lequel se trou- et Renée Bjoriipg vait le comte, avait péri corps et biens dans Yvette Kernevez Hélène Pardiac Jean Angelo Yvette -. Damita le Pacifique et. depuis ce moment, n'ayant Marie-Anne Suzanne Marsy dans : Son fils reçu aucune nouvelle du naufragé, elle consi- Suzy Paulefte Ray dans dérait Yvette comme sa fille. Pierrik Pedro Avilar et Mlles Olga Noël, Marise Olivier ; MM. RUTH ROLAND Unis par une affection toute fraternelle, Comte de Kernevez J. Oliver Du Blanc, Nassiet et De Spoly. dans : l'Héritière du Radjah Yvette et Pierrik subviennent aux besoius de i l L' ÊCUYÈRE la maison avec le produit de leur pèche quo- tidienne, qu'ils vont vendre, leur journée terminée, au vivier du Camaret. Soudain, uue nouvelle stupéfiante vient rom- pre la monotonie des jours dans la cabane Maligny l'obsède et qu'elle se laisse entraî- Jock Corbin Henry-Houxy de la vieille bretonne ! Un télégramme lui entre nous ner à de douces rêveries auxquelles il n'est Le vagabond Albert Mayer annonce le retour du comte de Kernevez, qui, pas étranger. Le bon Jack Corbin, neveu de à la suite de son naufrage, avait atterri dans Bob Campbell, proteste de son affection et de Guy de Maligny Jean Angelo une île déserte où, après y avoir passé dix son dévouement pour sa jeune cousine. Mme de Maligny Valentine Petit années et découvert une mine d'or, avait été La Barienta, devinant dans Hilda une dan- La Barienta Marcya Capri sauvé par l'explorateur Taylor, dont il ve- gereuse rivale, fait publier dans K Paris-Po- nait d'épouser la fille. tins » une note perfide contre les deux jeunes Mlle d'Albiac Yvonne Devigne Le comte revenait en France avec sa nou- gens, dénaturant, par d'offensantes insinua- Mme Tournade . Jane Faber velle femme, pour reprendre Yvette et l'em- tions, le caractère de leur camaraderie. Jack mener avec lui en Australie. Corbin se fait un devoir d'admonester de Ma- (Mêmes salles que La Nuit du 11 sep- A la pensée que celle qu'elle considère ligny, mais ce dernier lui déclare hautement comme sa fille va la quitter une grande tris- qu'Hilda sera sa femme. Malheureusement, tembre.) tesse envahit le cœur de Marie-Anne. la mère du jeune comte, la comtesse de Ma- Dans le ravissement d'un retour inespéré, ligny, entre en fureur à l'annonce par son le comte de Kernevez ne s'aperçoit pas de la fils de ses projets de mariage et, atteinte LA VOIX DE L'OCEAN gène de Marie-Anne, d'Yvette et de Pierrik, d'une affection cardiaque, elle s'évanouit. Le pas plus que de la froideur d'Ethel, sa fem- docteur appelé ne peut répondre des jours de tiré du roman de Georges Toudouze et me, qui ne l'a épousé que pour sa fortune. la comtesse si une nouvelle émotion vient réalisé par Gaston Roudès Devant la peine que ressentent ses amis, le l'assaillir. Prod. Gallo-Film 1922 Edition Harry comte de Kernevez décide dé rester dans le Pour épargner la vie de sa mère, de Mali- Dans l'île de Bangor, non loin de la pointe village jusqu'à la fin de l'été, afin que la sé- gny brise ses projets d'amour. Le désespoir paration soit moins pénible plus tard. d'Hilda est grand, mais la raison lui interdit du Finistère, à l'heure où les roches escar- d'incriminer celui qui, la veille, était encore pées prennent, au crépuscule, des apparences Les jours passent, le comte de Kernevez son fiancé. Le père d'Hilda, ignorant des humaines, le vieux Job, pendant la veillée, s'est installé dans une charmante propriété événements qui viennent d'avoir lieu, se dé- sole, sans en deviner la cause, de. l'état de REPONSES POSÉES PAR langueur et d'abattement dans lequel sa fille LE PETIT LORD FAUNTLEROY vient d'être subitement plongée. Il rappelle AUX QUESTIONS NOS LECTEURS d'Angleterre le dévoué Jack, le priant de venir au plus tôt s'occuper de la santé d'Hilda. Une certaine Mme Tournade meurt d'envie de devenir comtesse, elle serait déjà Mme de Ma- ligny, si elle avait voulu assurer dans le Buguettc. — Lou Tellegen est de nationa- Vous verrez La Fille des Chiffonniers à par- dans ; il n'y a qu'une question de demande contrat de mariage l'apport d'une forte lité grecque ; né à Athènes le 26 novembre tir du 6 octobre. — Léon Poirier devait tour- et d'offre. Si ses films rapportent cette somme déterminée. On assiste, dès ce moment, 1881 ; a joué longtemps à Paris avant-guerre ner Paris, mais c'est resté un projet ; il somme, il est juste qu'il en soit seul béné- à la haineuse hostilité de Mme Tournade con- aux côtés de Mme Sarah-Bernhardt. Marié à tourne actuellement Le Courrier de Lyon. —; ficiaire ; d'ailleurs il faut décompter les tre Hilda, dans le monde, au cours d'une Géraldine Farrar en 1915 et partenaire de L. Feuillade termine Le Fils du Flibustier, frais de production, qui sont considérables. grande chasse chez la duchesse de Luz. De cette artiste jusqu'à leur divorce récent. On qui sortira le 13 octobre. — En effet, Olinda — Le Daily Mail est l'un des grands quoti- Maligny lui-même, vietime des intrigues de a vu Lou Tellegeu ici dans La Femme et le Mano n'a pas tourné depuis assez longtemps. diens anglais. Mme Tournade et des bruits malveillants qui Pantin, La Flamme du Désert et Une idylle Pou-Chi-Nett. — L'interprète de Lafrite, Suzdais. — Les deux se complètent ; et cha- courent dans son entourage, vient reprocher dans la tourmente. dans Le Crime du Bouif était H. Myrial. — amèrement a Hilda une déloyauté imaginaire cun a ses qualités. C. B. Florissant. — Vous pouvez écrire en On a tourné les extérieurs de La Lame de Dolly C. — Le livre de Chaplin : My trip et l'accuse de créer des obstacles à son ma- français à John Barrymorc ; il s'agit plutôt Montsoreau aux environs de Cherbourg. riage avec la jeune veuve. Indignée, Hilda lui abroad (Mon voyage en Europe) vient de pa- de son frère, Lionel, qu'on a vu dans Le héros Petite Belge. — Impéria ne sera certaine- raître en Amérique, édité par la Librairie répond : « Allez vendre votre nom et votre du silence. — Peut-être R. Joubé ; sa taille, jeunesse, vous n'existez plus pour moi ! » ment pas réédité. — Non, vous confondez, le Hàrper. Des extraits de ce livre ont paru Cependant, désabusée et cruellement offensée son poids et la couleur de ses yeux n'ont rien titre de ce film est : La Dixième Symphonie. déjà, dans Le Petit Parisien. — Les livres de dans sa douleur, Hilda se précipite dans la à voir avec son talent... Réédition improbable. —■ Tous les cinéphiles Doug. n'ont pas été traduits. -— De la haine rivière au cours d'une grande chasse à la Old Lncky S. — Aucune biographie de cet vous diront que la production italienne, à à l'amour est une production de Stuart- Bonelle. Jack se trouve la, heureusement, et, acteur n'a encore été publiée. — George B. tous points de vue est, depuis plusieurs an- Blackton, dout nous verrons sous peu La Glo- sautant de cheval, il se précipite et sauve sa Setitz, le metteur en scène de la plupart des nées, au-dessous de tout. rieuse aventure. — Pour les Blés d'or, je ne cousine. Miss Campbell, transportée chez elle, ciné-romans de Pearl White, interprétait Jackte Carey. — David Powell, Laskv stu- puis vous indiquer le nom du réalisateur. est déclarée, par le médecin, entre la vie et Globe-Trotter par amour, qu'il réalisait, en dio, 1520, Vine Street, Los Angeles tCal.), la mort. Pourtant, la jeunesse l'emporte et, outre. U.S.A. — Trente-cinq .ans. dans sa convalescence, elle entrevoit l'espé- Tanfépu. — Adresse dans ce numéro. Nous A. Burcher. —. Un homme est un bien vieux rance et peut-être le bonheur. En effet, si le ne vendons pas de photos. film que je n'ai pas vu ; sans doute Rhéa comte de Maligny a épousé Mme Tournade, Mitchell. — Mary Dunu et Jack Pickford Hilda devient la femme de Jack Corbin. Gloria S. — Edouard .Mathé ne fait plus partie des Etablissements Gaumont ; de mê- dans L'Intrus. — Pour Le lion qui som- D'un côté, on verra « l'argent », sous les meille, je "ne puis vous renseigner. traits du comte perclus de rhumatismes et me pour Jeanne Rollette et René Clair. — délaissé par sa femme, et, d'autre part, Cocorico-Cinéma, boulevard de Belleville. — Pinto. — Il n'y a pas d'exagération là-de- « l'amour », représentant Hilda auprès de son mari, en train de tricoter un charmant bon- net d'enfant. Prod. Perret 1922 Edit. Pathé-C.-C. Hilda Campbell Gladys Jennings Campbell Maupain <0> Ciné pour Tous

r,rji x -|-v r- et toutes chutes des cheveux FABRIQUE de MATELAS, SOMMIERS r G L/>\ L/ JL> repousse garanUe par le traitement DIVANS-LITS et LITS DE REPOS da BERDIÉ, 12, r. Clairaul, PARIS. - Prix : 16.60 tranco- i LITERIE <^ VENTE DIRECTE - PRIX TRÈS AVANTAGEUX PROFESSEUR DE DANSE 20, rue St-Nicolas (Faub. Saint-Antoine) PARIS MAISON DE CONFIANCE est demandé par l'Académie du Cinéma. S'adresser tous les après-midi, 23, boule- vard de la Chapelle (près du Fg. St-Denis). G. Rieuse. — GIna Relly tourne actuelle- ment en Allemagne. Sans doute ces films cinéma français y gagne de bonnes interprè- seront-ils édités en France l'hiver prochain. tes. Rappelez-vous Agnès Souret et autres I Dess. Polonais. — Le fait, pour Henry Rous- Mutuelle du Cinéma, 199, rue St-Martin, Paris. sell, d'avoir choisi pour vedette de son pro- Maro. — Sandra Milowanoff est née à Pe- Pensée Sauvage. — Ça n'a pas grande Im- chain film une autre artiste, n'implique pas tograd en 1897. Mariée à G. de Meck j une portance, vous savez, car 11 n'est qu'une bien qu'Emmy Lynn ait renoncé au cinéma ; petite fille. — Francesca Bertini est mariée minime partie du cinéma ; et le cinéma nous n'avons-nous pas annoncé, d'ailleurs, qu'elle à un industriel suisse, M. Cartier ; ne tourne intéresse bien davantage que les personna- allait tourner bientôt Phèdre, sous la direc- plus ; un peu plus de 35 ans. lités qu'il compte. tion de Marcel L'Herbier. — Je voulais dire Donnithorpe. — Lettre transmise au studio que par la suite personne n'a tiré d'Emmy Paramount de Londres. —- Edith Roberts, .4. N. — Louis Gauthier, 15, rue des Archi- Lynn autant que Gance, dans Mater Dolorosa. Lasky studio, 1520, Vine Street, Los Angeles ves, Paris. — David Powell, Lasky studio, Lella Meryem. — Margaret Loomls, Lasky (Cal.), U.S.A. — Erreur; dans Jusqu'à la mort 1520, Vine Street, Los Angeles (Cal.), U.S.A. studio, 1520, Vine Street, Los Angeles (Cal.), Sessue est remarquable. — Amelita Hermosa, Sinusia. — La distribution de ce film au- U.S.A. Vous la reverrez dans d-'autres films Films Luitz-Morat, 4, rue Auguste-Bartholdi, trichien n'a pas été Indiquée. — Oui, c'est Paramount. — Casson Ferguson, dans le rôle Paris. l'acteur de la Porte St-Martin et de l'Am- du fils, de La Femme X. — Jean Lord a tour- bigu. . R. D. — Eve Francis est en effet Mme Louis né : Illusions et Fabienne. — Jaque-Catelain Delluc. Oko-Sen. — Ames d'Etrangers a paru pour porte des moustaches, dans Don Juan et Faust. la première fois à Paris en 1917 ou 18 ; et Anita. — Adresse d'Annette Kellermann Le Boulonnais. — Parce que, des films en dans ce numéro. Mariée à J. R. Sullivan. 16 épisodes qu'ils achètent en Amérique, les depuis n'a pas été réédité. Vous ne reverrez certainement plus ce film d'Hayakawa, tourné Ettolettac. — Vous pouvez vous procurer la éditeurs français retranchent purement et nouvelle de Selma Lagerlof : Le Charretier simplement quatre ou huit épisodes. pour Paramount en 1915 et édité en France par Eclipse, 2, rue de Lancry. de la Mort, dont Siostrom a tiré La Charrette Margot. — Distribution des Trois Mousque- Fantôme. Librairie académique Perrin, 35, taires dans le numéro 75. Un curieux. — Aucun lien de parenté. — quai des Grands-Augustins, Paris (6e). Plaything. — Ce Monsieur m'est inconnu. Aucun de ces deux films n'a été tourné, en Flandre. — Vous êtes bien aimable. — On — Distribution de la Bâillonnée dans le nu- définitive ; cette interprète a abandonne le parle actuellement d'un divorce de William méro 91. cinéma pour consacrer tous ses soins à sa Hart et de Winifred Westover ; si tôt après famille. — Germaine Sablon n'a pas tourné la nouvelle de la naissance de leur bébé, cela Savigny. — Croyez bien que ces concours d'autres films que ceux que vous mentionnez. ne laisse pas de surprendre... Il nous reste d'étoiles masculines ou féminines n'ont d'au- à voir six films de Hart : Sand, The Toll- tre but que de faire lire les journaux qui les A. M. d'Aymeric. —■ Pas de table des ma- Gale, The Whistle, Travellng On, Three- organisent. Qu'a-t-on gagné à faire tourner tières. La liste publiée page 2 suffit. — Atten- word brand et White Oak. Agnès Sourêt et autres « reines » ? — Je ne dons que ces artistes paraissent dans d'au- Gabriel Ronnet. — Evidemment, il ne faut connais pas les titres de ces médiocres pro- tres films. — Faites relier par un relieur de votre ville. jamais oublier que le cinéma ne s'adresse pas ductions. — Je ferai rechercher le numéro en qu'à une élite ; c'est d'ailleurs le propre des question. — Merci de m'avoir communiqué M. Bigan. — Chacun a parfaitement le droit gens de talent ou même de génie de se faire ce journal : je le reçois déjà directement. d'émettre son opinion, et de discuter celle comprendre de tous. A. N. — Cela dépend de l'artiste... et du des autres ; mais encore, évidemment, faut- L. Montoby. — Le Rail, au fond, est plus directeur du studio. — Jacques de Féraudy il la motiver plus sérieusement que ne le fait intéressant que Les Trois Lumières, qui n'est est un acteur de théâtre qui tourne de temps 4 ce confrère. — Ne « vous en faites pas « en somme qu'un spectacle séduisant et varié. à autre. d'ailleurs, pour l'avenir de cet artiste, qui est — Si tous les films allemands sont aussi L'Azoulay. —■ Cette distribution sera pu- à l'abri du besoin ! intéressants, tant mieux pour le cinéma ; le bliée lors de la parution du film. Lone-Star. — Edna Purviance est la parte- seul défaut serait la note sinistre ou macabre qui s'y retrouve un peu trop souvent... René Kieff. — Merci beaucoup, ét de votre naire de Chaplin dans tous les films que ce envol, et de vos éloges. dernier a tournés depuis 1915. Mildred Har- Lewimichlly. — Il ne faut pas s'attarder ris n'a jamais tourné à ses côtés. Adresse de à considérer ces aboiements sans Importance. D. de Méridor. — Le rôle de William dans Mildred Harris : Mayer studios, 3800, Mis- F. Eric. — Demandez ce renseignement à Sa dette, avec Hayakawa et Jane Novak, est sion Road, Los Angeles (Cal.), U.S.A. Ils ont M. Guichard, Syndicat des Opérateurs de tenu par Francis Mac Donald. — C'était son eu un bébé, qui est mort au bout de quelques prise de vues, 11, villa Letourneur, Fonte- véritable nom. — Blanc et Noir, tel est le jours. — Ce film autrichien est une mauvaise nay-sous-Bols (Seine). — Vous voulez sans titre du film qu'Elmire Vautier tourne ac- copie de Caligari. — Non, l'Interprète d'Ai- doute parler d'Edith Johnson, qui a tourné tuellement avec Gaston Jacquet eh Autriche. mée, des Quatre Diables (en dépit de ce qu'a quantité de ciné-romans avec William Duncan — Cyprian Gilles ne tourne pas actuellement. annoncé l'éditeur français désireux de faire pour la Vitagraph. Emile Abel. — Evidemment ; et comme les de cette allemande une polonaise) est bien L. Meryem. — Cyprian Gilles, studio Eclair, droits sur les œuvres de Dumas et Maquet Margaret Schlegel, du Théâtre Max Reinhardt, 2, avenue d'Enghien, Epinay-sur-Seine ; a n'expirent qu'en 1928... le film que Douglas de Berlin ; et non comme vous le croyez, tourné La Nouvelle Mission de Judex et L'Ai- Fairbanks a tiré des Trois Mousquetaires ne ,Yadwiga Valevska, du Théâtre de Varsovie. glonne. — Adresse de Gina Palerme dans le sera visible en France que dans six ans. ■ — D'ailleurs, vous reverrez Margaret Schle- n° 96. — Le film Cocaïne est loin d'avoir la Nosfératu. — Aucune distribution du Maî- gel, avec son véritable nom, cette fois, dans valeur que vous lui attribuez. — La date tre des Fauves n'a été publiée. — Les Trois ' L'Ascension d'Annele Mattern. — Mylord Ar- d'édition de Don Juan et Faust n'est pas Lumières seront éditées en octobre. — Pas vu souille est un film autrichien. — Maurice encore arrêtée. ce film. — Le directeur du Barbès-Palace est Tourneur, Goldwyn studios, Culver-City (Cal.), Amy. — Pierre Scott, Films Luitz-Morat, 4, moins érudit que- la plupart de ses clients, U.S.A. — Tourneur est à présent citoyen rue Auguste-Bartholdi, Paris. puisqu'il affiche Les Proscrits, film danois, américain. — Emile Chautard, R. C. studios, B. Martin. — Excusez-moi de ne point par- alors que chacun sait que c'est là l'un des Corner Gower and Melrose Streets, Hollywood tager votre enthousiasme à l'égard de cet meilleurs films de la « Svenska » de (Cal.), U.S.A. — Non, c'est un scénario amé- acteur médiocre, en qui vous semblez surtout Stockholm. ricain, le titre est le même, voilà tout. voir un joli garçon. Petite fleur bleue. — Margarita Fisher ne Ned Hopes. — Voir adresses d'autre part. /. Henson. — En quoi était-ce « fatigant » ? tourne plus depuis près de deux ans ; ses — Ce sont surtout des étoiles de théâtre, car — Il n'existe pas une couleur photogénique, derniers films ont paru récemment à Paris ; elles jouent beaucoup plus souvent qu'elles ne mais des dessins et alliances de couleurs plus tournent. ou moins photogéniques. — Le concours Jackie la petite tigresse est du nombre. Née qu'organise Le Journal lui procure peut-être à Missouri-Valley (Iowa) en 1894. Divorcée plus de lecteurs pendant cette période de de H. Pollard, qui dirigea la réalisation de Aux lettres qui nous parvenues après le 27 morte-saison ; mais je doute fort que le •ses premiers films. — Nous ne vendons pas août, il sera répondu dans le prochain nu- de photos ; commande transmise. méro.

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