RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS

N° 10 – OCTOBRE 2011

Depuis le 1er janvier 2010, les actes de l'agence régionale de santé Rhône-Alpes sont publiés dans des numéros spéciaux du recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes – adresse : 31 rue Mazenod – 69426 LYON Cedex 3 Internet : www.rhone-alpes.pref.gouv.fr

Date de parution : 9 novembre 2011

1 SOMMAIRE D'OCTOBRE 2011

REGLEMENTATION...... 13

I – ACTES DE LA PRÉFÈTE DE LA ...... 15

CABINET...... 16

BUREAU DE LA SÉCURITÉ ET DE LA POLICE ADMINISTRATIVE...... 16 ARRETE N° 316/2011 DU 03/10/2011 PORTANT AUTORISATION DE LA CRÉATION D'UN SERVICE INTERNE DE SECURITE AU SEIN DE LA SOCIETE « AKL» A SAINT ETIENNE...... 16

ARRETE N° 315/2011 DU 03/10/2011 PORTANT AUTORISATION DE LA CRÉATION D'UN SERVICE INTERNE DE SECURITE AU SEIN DE LA SOCIETE « LE CLOS DES BARRAUDES » A SAINT GENEST LERPT...... 16

ARRETE N° 307/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'HOTEL «ACE HOTEL MABLY» À ...... 17

ARRETE N° 319/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU SALON DE COIFFURE «ALLURE COIFFURE» À SAINT-ETIENNE...... 19

ARRETE N° 320/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU SALON DE COIFFURE «ALLURE COIFFURE» À SAINT-ETIENNE...... 21

ARRETE N° 312/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'ETABLISSEMENT «ATELIER CUISINE DUVERNOY» À SAINT-ETIENNE...... 23

ARRETE N° 301/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'ETABLISSEMENT «AVENIR AUTOMATISME» À SAINT-ETIENNE...... 25

ARRETE N° 330/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA BANQUE DE À ROANNE...... 27

ARRETE N° 289/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN «BERENICE» À SAINT-ETIENNE...... 29

ARRETE N° 329/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA BIJOUTERIE «MARTIN BOHY» À ...... 31

ARRETE N° 286/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA BRASSERIE «LE FLORID» À ROANNE...... 33

ARRETE N° 290/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA BOULANGERIE «COEUR DE GRAINE» À SAINT-ETIENNE...... 35

ARRETE N° 298/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN «COMMANDO AND CO» À SAINT-ETIENNE...... 37

ARRETE N° 321/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU CREDIT MUTUEL À ...... 39

2 ARRETE N° 323/2011 DU 05/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU CREDIT MUTUEL À SAINT-ETIENNE...... 41

ARRETE N° 322/2011 DU 05/10/2011 PORTANT MODIFICATION DE L'ARRETE DU 21 DECEMBRE 2010 AUTORISANT L'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU CREDIT MUTUEL À SAINT-ETIENNE...... 43

ARRETE N° 287/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA BIJOUTERIE «GOLD SWISS SERVICE» À SAINT-ETIENNE...... 44

ARRETE N° 295/2011 DU 04/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'HOTEL F1 ST ETIENNE- ANDREZIEUX À ANDREZIEUX BOUTHEON...... 46

ARRETE N° 292/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA BANQUE « HSBC » À SAINT-ETIENNE...... 48

ARRETE N° 308/2011 DU 04/10/2011 PORTANT MODIFICATION DE L'ARRETE DU 08 AVRIL 2011 AUTORISANT L'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN INTERMARCHE CONTACT À ...... 50

ARRETE N° 314/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA BOULANGERIE «LA MIE CALINE» À SAINT-ETIENNE...... 51

ARRETE N° 327/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU BAR PUB «LA MISERE DES PRINCES» À ROANNE...... 53

ARRETE N° 302/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'ETABLISSEMENT « LASER GAME EVOLUTION » À SAINT-ETIENNE...... 55

ARRETE N° 309/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN «LIDL» À ...... 57

ARRETE N° 304/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MANEGE ENFANTS «SALU» À VILLARS...... 59

ARRETE N° 324/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA PARFUMERIE «MARIONNAUD» À SAINT-ETIENNE...... 61

ARRETE N° 324/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA PARFUMERIE «MARIONNAUD» ÀLA RICAMARIE...... 63

ARRETE N° 325/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA PARFUMERIE «MARIONNAUD» À SAINT-ETIENNE...... 65

ARRETE N° 318/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'ETABLISSEMENT « MOBILIER DE FRANCE » À ROANNE...... 67

ARRETE N° 310/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA PHARMACIE DUBOIS À RIVE DE GIER...... 69

ARRETE N° 300/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA PHARMACIE TABOULOT À ...... 71

3 ARRETE N° 306/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA RESIDENCE «KORIAN VILLA JANIN» À SAINT-ETIENNE...... 73

ARRETE N° 296/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU RESTAURANT «PAUL GARE DE ST ETIENNE» A SAINT-ETIENNE...... 75

ARRETE N° 299/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'ETABLISSEMENT « SALAISONS MERLE » À POUILLY LES ...... 77

ARRETE N° 288/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'ETABLISSEMENT «ELIT'AUTOS » À MONTROND LES BAINS...... 79

ARRETE N° 317/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'ETABLISSEMENT «SARL JEANNET DEBIT» À ...... 81

ARRETE N° 291/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'ETABLISSEMENT « SOROFI SAS » À ROANNE...... 83

ARRETE N° 297/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU TABAC PRESSE «TABAC PEYRAMAURE» À ...... 85

ARRETE N° 293/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU TABAC PRESSE «LE FETICHE» À FIRMINY...... 87

ARRETE N° 313/2011 DU 05/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU TABAC PRESSE « LE LONGCHAMP » À SAINT-ETIENNE.....89

ARRETE N° 294/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU TABAC PRESSE « LE LUTETIA » À SAINT-ETIENNE...... 91

ARRETE N° 285/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN «TELECOM 1» À MABLY...... 93

ARRÊTE N° 328/2011 DU 07/10/2011 PORTANT DÉTERMINATION DES DISTANCES AUXQUELLES LES DÉBITS DE TABAC NE PEUVENT ÊTRE ÉTABLIS AUTOUR DE CERTAINS ÉDIFICES OU ÉTABLISSEMENTS...... 95

ARRETE N° 305/2011 DU 06/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA PLOMBERIE VILLENEUVE À REGNY...... 96 BUREAU DE LA COMMUNICATION ET DE LA REPRÉSENTATION DE L'ETAT...... 98 ARRETE MODIFICATIF N° 2011-43 DU 03/10/2011 NOMMANT LES DELEGUES DU PREFET AUX COMMISSIONS ADMINISTRATIVES DE REVISION DES LISTES ELECTORALES POUR 2011/2012...... 98

ARRETE PREFECTORAL N° 2011-38 DU 04/10/2011 POUR ACTE DE COURAGE ET DE DEVOUEMENT...... 99

ARRETE PREFECTORAL N° 2011-44 DU 04/10/2011 POUR ACTE DE COURAGE ET DE DEVOUEMENT...... 99 SERVICE INTERMINISTÉRIEL DE DÉFENSE ET DE PROTECTION CIVILE...... 100 ARRETE N° 17-2011 DU 14/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT DE L’AGREMENT DU COMITE DEPARTEMENTAL DE LA FEDERATION FRANCAISE DE SAUVETAGE ET DE SECOURISME...... 100

4 ARRETE N° 18-2011 DU 14/10/2011 PORTANT AGREMENT DU CLUB MONTBRISON NATATION...... 101 DIRECTION DE LA CITOYENNETE ET DES LIBERTES PUBLIQUES...... 101

BUREAU DES ELECTIONS ET DE LA RÉGLEMENTATION...... 101 ARRETE DU 07/10/2011 PORTANT HABILITATION DANS LE DOMAINE FUNERAIRE...... 101

ARRÊTE DU 18/10/2011 PORTANT RETRAIT D'HABILITATION DANS LE DOMAINE FUNERAIRE...... 102 DIRECTION DES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET DES AFFAIRES JURIDIQUES...... 103

BUREAU DU CONTRÔLE DE LÉGALITÉ, DE L'INTERCOMMUNALITÉ ET DES ENQUÊTES PUBLIQUES...... 103 ARRETE N° 420/2011 DU 03/10/2011 AUTORISANT L'EXTENSION DES COMPÉTENCES OPTIONNELLES DU SYNDICAT INTERCOMMUNAL D'ÉNERGIES DU DÉPARTEMENT DE LA LOIRE (SIEL)...... 103

ARRETE N° 409 DU 05/10/2011 PORTANT DISSOLUTION DE L ASSOCIATION SYNDICALE AUTORISEE DE L'IMPASSE DU DEPOT A ROANNE ...... 104

ARRETE N° 410 DU 05/10/2011 PORTANT DISSOLUTION DE L ASSOCIATION SYNDICALE AUTORISEE DE CHAMPROMIS A ROANNE...... 105

ARRETE N° 411 DU 05/10/2011 PORTANT DISSOLUTION DE L'ASSOCIATION SYNDICALE AUTORISEE VICTOR DUPRE A ROANNE...... 106

ARRETE N° 412 DU 05/10/2011 PORTANT DESIGNATION DU LIQUIDATEUR DE L'ASSOCIATION SYNDICALE AUTORISEE DU FUYANT DE L'OUDAN A ROANNE...... 106

ARRETE N°436 EN DATE DU 19/10/2011 PORTANT MODIFICATION DE L'ARRETE N°243 DU 27 MAI 2008 CONSTATANT LA COMPOSITION NOMINATIVE DU CONSEIL D'ADMINISTRATION DE L'ETABLISSEMENT PUBLIC D'AMENAGEMENT DE SAINT ETIENNE (EPASE)...... 107 SECRETARIAT GENERAL AUX AFFAIRES ADMINISTRATIVES ET ECONOMIQUES...... 108 ARRETE N° 2011-042 DU 21/10/2011 PORTANT SUR LA DECONSIGNATION DES FONDS ISSUS DES CONVENTIONS DE REVITALISATION MUTUALISEES...... 108 SOUS-PREFECTURE DE ROANNE...... 109 ARRETE N° 97/2011 DU 21/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT, POUR UNE PÉRIODE DE QUATRE ANS, DE L'HOMOLOGATION DU CIRCUIT DE MOTOCROSS SIS À SAINT PIERRE LA NOAILLE, «LA GOUTTE DU CHARME», ENREGISTRÉ SOUS LE N° 26...... 109 SOUS-PREFECTURE DE MONTBRISON...... 111 ARRÊTÉ N° 11/65 DU 17/06/2011 PORTANT HABILITATION DANS LE DOMAINE FUNÉRAIRE...... 111

ARRÊTÉ N° 11/100 DU 05/09/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D'HABILITATION DANS LE DOMAINE FUNÉRAIRE...... 112

ARRÊTÉ N° 11/110 DU 06/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D'HABILITATION DANS LE DOMAINE FUNÉRAIRE...... 112

ARRETE N° 2011-105 DU 23/09/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT DE L'HOMOLOGATION DE LA PISTE DE KARTING PERFORMANCE DRIVE A SAINT CYPRIEN POUR UNE DUREE DE QUATRE ANS...... 113

5 AUTRES SERVICES DE L'ETAT DANS LE DEPARTEMENT...... 115 DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES...... 115 ARRETE PREFECTORAL N° DT-11-743 DU 17/10/2011 AU TITRE DE L'ARTICLE L. 214-3 DU CODE DE L'ENVIRONNEMENT CONCERNANT LA MODIFICATION DU SEUIL DE PORTES SUR LE COURS D'EAU L'ANZON COMMUNE DE SAINT-SIXTE...... 115

ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N° DT-11-765 DU 19/10/2011 PROLONGEANT LA DURÉE DE LA DÉCLARATION D'INTÉRÊT GÉNÉRAL DES TRAVAUX D'ENTRETIEN SUR LES BASSINS VERSANTS DE LA MARE ET DU BONSON...... 119

ARRETE PREFECTORAL N° DT-11-744 DU 04/10/2011 FIXANT LES PRESCRIPTIONS DE LIMITATION DE CERTAINS USAGES DE L’EAU DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE...... 120

ARRETE PREFECTORAL N° DT-11-734 DU 28/09/2011 MODIFIANT L'ARRETE PREFECTORAL N°2009-301 MODIFIE PORTANT RENOUVELLEMENT ET MODIFICATION DE LA COMPOSITION DE LA COMMISSION DEPARTEMENTALE DE LA NATURE, DES PAYSAGES ET DES SITES...... 122

ARRETE PREFECTORAL N°DT-11-747 DU 05/10/2011 AUTORISANT LA CAPTURE D'ESPECES PISCICOLES A DES FINS SCIENTIFIQUES...... 123

ARRETE PREFECTORAL N° DTT-11-750 DU 17/10/2011 RELATIF A LA CREATION DE ZONE DE DEVELOPPEMENT DE L'EOLIEN DITE « FORÊT DE TAILLARD »...... 125

ARRETE PREFECTORAL N° DT-11-786 DU 24/10/2011 LEVANT LES RESTRICTIONS DE CERTAINS USAGES DE L'EAU DANS LE DEPARTEMENT DE LA LOIRE ...... 126

ARRETE PREFECTORAL DU 14/10/2011 PORTANT REGLEMENTATION PERMANENTE DE LA CIRCULATION SUR LA COMMUNE DE - INSTALLATION DE FEUX TRICOLORES À L’INTERSECTION RD 1082 X CHEMIN DE JOURCEY X RUE DE LA GUILLONNIÈRE...... 128 DELEGATION TERRITORIALE DE L'AGENCE REGIONALE DE SANTE...... 129 ARRETE ARS N° 2011-3827 DU 28/09/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DE L’ACCUEIL DE JOUR « ALOESS » AU CHAMBON FEUGEROLLES POUR L’ANNÉE 2011...... 129

ARRETE ARS N° 2011-3825 DU 28/09/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DU FOYER LOGEMENT « LE MAIL » À FIRMINY POUR L’ANNÉE 2011...... 130

ARRETE ARS N° 2011-3824 DU 28/09/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DU FOYER LOGEMENT « LE PARC » AU COTEAU POUR L’ANNÉE 2011...... 130

ARRETE ARS N° 2011-3826 DU 28/09/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DU FOYER LOGEMENT « LE PARC » À ROCHE LA MOLIERE POUR L’ANNÉE 2011...... 131

ARRETE ARS N° 2011-3820 DU 28/09/2011 MODIFIANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DE L’EHPAD « MARCEL SICRE » À ANDREZIEUX BOUTHEON POUR L’ANNÉE 2011...... 132

ARRETE ARS N° 2011-3821 DU 28/09/2011 MODIFIANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE À L’EHPAD « VILLA D’ALBON » À ROANNE POUR L’ANNÉE 2011...... 133

ARRETE ARS N° 2011-3822 DU 28/09/2011 MODIFIANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE À L’EHPAD « MAISON DE RETRAITE DÉPARTEMENTALE DE LA LOIRE » À ST JUST ST RAMBERT POUR L’ANNÉE 2011...... 134

6 ARRETE ARS N° 2011-3823 DU 28/09/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD MAINTIEN A DOMICILE DU FOREZ À ANDREZIEUX BOUTHEON POUR L’ANNÉE 2011...... 135

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3852 DU 03/10/2011 FIXANT LE MONTANT ET LA RÉPARTITION POUR L’EXERCICE 2011 DE LA DOTATION GLOBALISÉE COMMUNE PRÉVUE AU CONTRAT PLURIANNUEL D’OBJECTIFS ET DE MOYENS APPLICABLES AUX SERVICES ET ÉTABLISSEMENTS MÉDICO-SOCIAUX GÉRÉS PAR L’ASSOCIATION DÉPARTEMENTALE DES AMIS ET PARENTS DE PERSONNES DÉFICIENTES INTELLECTUELLES (ADAPEI)...... 136

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3853 DU 03/10/2011 FIXANT LE MONTANT ET LA RÉPARTITION POUR L’EXERCICE 2011 DE LA DOTATION GLOBALISÉE COMMUNE PRÉVUE AU CONTRAT PLURIANNUEL D’OBJECTIFS ET DE MOYENS APPLICABLES AUX ÉTABLISSEMENTS ET SERVICES D’AIDE PAR LE TRAVAIL GÉRÉS PAR L’ASSOCIATION DÉPARTEMENTALE DES AMIS ET PARENTS DE PERSONNES DÉFICIENTES INTELLECTUELLES (ADAPEI)...... 139

MENTION DE L'ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N° 2011-056 EN DATE DU 30/06/2011, SIGNÉ PAR M. PIERRE SOUBELET, PREFET DE LA LOIRE, DÉCLARANT D’UTILITÉ PUBLIQUE LES TRAVAUX DE PRÉLÈVEMENT D’EAU, LA MISE EN COMPATIBILITÉ DU PLAN LOCAL D’URBANISME DE LA COMMUNE DE ST MICHEL SUR RHÔNE, AUTORISANT LE SYNDICAT DE PRODUCTION DU CANTON DE PÉLUSSIN À UTILISER L’EAU EN VUE DE LA CONSOMMATION HUMAINE, ET INSTAURANT LES PÉRIMÈTRES DE PROTECTION DES PUITS JASSOUX 1 ET 2, ET LES SERVITUDES S’Y RAPPORTANT...... 141

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011- 4147 DU 19/10/2011 MODIFIANT L’ARRÊTÉ N° 2011-3218 DU 4 AOÛT 2011 QUI PORTAIT FIXATION DES FORFAITS GLOBAUX ANNUELS DE SOINS POUR L’ANNÉE 2011 DU FAM « CENTRE MUTUALISTE DES HANDICAPS » DE FEURS ET DU FAM « RÉSIDENCE ALPHA » DE ...... 142

ARRÊTÉ N° 2011/3940 EN DATE DU 06/102011 PORTANT AUTORISATION DE FONCTIONNEMENT DU LABORATOIRE DE BIOLOGIE MÉDICALE MULTI SITES LBM « SYNERBIO-PROGRES»...... 143

ARRÊTÉ N° 2011/3939 EN DATE DU 06/102011 PORTANT MODIFICATION DE L’AGRÉMENT DE LA SOCIÉTÉ D’EXERCICE LIBÉRAL DE BIOLOGISTES MÉDICAUX SELAS «SYNERBIO-PROGRES» SISE À SAINT ETIENNE...... 146

ARRÊTÉ N° 2011/132 DU 14/10/2011 PORTANT SUR L’ÉQUIPEMENT ET LA MODIFICATION DES VÉHICULES DE SOS MÉDECINS SAINT ETIENNE...... 147

ARRÊTÉ N° 2011 /127 DU 14/10/2011 PORTANT MODIFICATION D’AGRÉMENT D’UNE ENTREPRISE DE TRANSPORTS SANITAIRES PRIVÉS...... 148

ARRÊTÉ N° 2011/125 DU 14/10/2011 PORTANT MODIFICATION D’AGRÉMENT D’UNE ENTREPRISE DE TRANSPORTS SANITAIRES PRIVÉS...... 149

ARRÊTÉ N° 2011 /126 DU 14/10/2011 PORTANT MODIFICATION D’AGRÉMENT D’UNE ENTREPRISE DE TRANSPORTS SANITAIRES PRIVÉS...... 151

ARRÊTÉ N° 2011 129 DU 14/10/2011 PORTANT MODIFICATION D’AGRÉMENT D’UNE ENTREPRISE DE TRANSPORTS SANITAIRES PRIVÉS...... 152

ARRÊTÉ N° 2011/133 DU 14/10/2011 PORTANT MODIFICATION D’AGRÉMENT D’UNE ENTREPRISE DE TRANSPORTS SANITAIRES PRIVÉS...... 154

ARRÊTÉ N° 2011 /135 DU 24/10/2011 PORTANT MODIFICATION D’AGRÉMENT D’UNE ENTREPRISE DE TRANSPORTS SANITAIRES PRIVÉS...... 155

ARRETE ARS N° 2011-4123 DU 17/10/2011 MODIFIANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE À L’ACCUEIL DE JOUR « MAINTIEN À DOMICILE DU FOREZ » À ANDREZIEUX BOUTHEON POUR L’ANNÉE 2011...... 156

7 ARRETE ARS N° 2011-4122 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DE L’ACCUEIL DE JOUR « SOS MAINTIEN À DOMICILE » À RIVE DE GIER POUR L’ANNÉE 2011...... 157

ARRETE ARS N° 2011-4125 DU 17/10/2011 MODIFIANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE À L’ACCUEIL DE JOUR DE L’ADMR À USSON EN FOREZ POUR L’ANNÉE 2011...... 158

ARRETE ARS N° 2011-4124 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DE L’ACCUEIL DE JOUR « AIMV » À ST ETIENNE POUR L’ANNÉE 2011...... 159

ARRETE ARS N° 2011-4110 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD ROANNE ACSAR POUR L’ANNÉE 2011...... 159

ARRETE ARS N° 2011-4121 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD MONTAGNES DU MATIN À POUR L’ANNÉE 2011...... 161

ARRETE ARS N° 2011-4119 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD LA PLAINE À MONTROND LES BAINS POUR L’ANNÉE 2011...... 162

ARRETE ARS N° 2011-4118 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE LA COTE ROANNAISE À POUR L’ANNÉE 2011...... 164

ARRETE ARS N° 2011-4120 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DES CANTONS DE SAINT JUST EN CHEVALET ET NOIRETABLE POUR L’ANNÉE 2011...... 165

ARRETE ARS N° 2011-4116 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DES CANTONS DE SAINT GENEST MALIFAUX ET POUR L’ANNÉE 2011...... 167

ARRÊTÉ N°2011-4001 DU 10/10/2011 MODIFIANT LA COMPOSITION NOMINATIVE DU CONSEIL DE SURVEILLANCE DU CENTRE HOSPITALIER DE SAINT PIERRE DE BOEUF...... 168

MENTION DE L'ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N° 2011-091 EN DATE DU 08/08/2011, SIGNÉ PAR M. PATRICK FERIN, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE LA PRÉFECTURE DE LA LOIRE, DÉCLARANT D’UTILITÉ PUBLIQUE LES TRAVAUX DE PRÉLÈVEMENT D’EAU, LA MISE EN COMPATIBILITÉ DU PLAN LOCAL D’URBANISME DE LA COMMUNE DE NOIRÉTABLE, AUTORISANT LA COMMUNE DE NOIRÉTABLE À UTILISER L’EAU EN VUE DE LA CONSOMMATION HUMAINE, ET INSTAURANT LES PÉRIMÈTRES DE PROTECTION DES FORAGES F2 ET F3, ET LES SERVITUDES S’Y RAPPORTANT...... 168

ARRETE ARS N° 2011-4112 DU 17/10/2011 ANNULANT ET REMPLAÇANT L’ARRÊTÉ N°2010-1669 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE CHAZELLES SUR LYON POUR L’ANNÉE 2011...... 169

ARRETE ARS N° 2011-4108 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD SOS MAINTIEN A DOMICILE À RIVE DE GIER POUR L’ANNÉE 2011...... 170

ARRETE ARS N° 2011-4114 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE ROCHE LA MOLIERE POUR L’ANNÉE 2011...... 172

ARRETE ARS N° 2011-4117 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DU HAUT FOREZ À SAINT JEAN POUR L’ANNÉE 2011...... 173

8 ARRETE ARS N° 2011-4115 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DU PAYS DU GAND ET DU RHINS À SAINT SYMPHORIEN DE LAY POUR L’ANNÉE 2011...... 175

ARRETE ARS N° 2011-4113 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DU CENTRE HOSPITALIER DE BOEN SUR LIGNON POUR L’ANNÉE 2011...... 176

ARRETE ARS N° 2011-4111 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DU CENTRE HOSPITALIER DE ROANNE POUR L’ANNÉE 2011...... 178

ARRETE ARS N° 2011-4109 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DU CENTRE HOSPITALIER DE MONTBRISON POUR L’ANNÉE 2011...... 179

MENTION DE L'ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N° 2011-094 EN DATE DU 25/08/2011, SIGNE PAR M. PATRICK FERIN, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE LA PRÉFECTURE DE LA LOIRE, DÉCLARANT D’UTILITÉ PUBLIQUE LES TRAVAUX DE PRÉLÈVEMENT D’EAU, AUTORISANT LA COMMUNE DE LA VALLA EN GIER À UTILISER L’EAU EN VUE DE LA CONSOMMATION HUMAINE, ET INSTAURANT LES PÉRIMÈTRES DE PROTECTION DE LA SOURCE "LES BIAIS", ET LES SERVITUDES S’Y RAPPORTANT...... 180 DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS...... 180 ARRETE DU 03/10/2011 PORTANT COMPOSITION DU COMITÉ DÉPARTEMENTAL DE LUTTE CONTRE LA FRAUDE DE LA LOIRE...... 180

ARRETE N° 402-DDPP-11 DU 12/10/2011 PORTANT ATTRIBUTION DU MANDAT SANITAIRE PROVISOIRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE...... 181

ARRETE N° 392-DDPP-11 DU 27/09/2011 PORTANT ATTRIBUTION DU MANDAT SANITAIRE PROVISOIRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE...... 182

ARRETE N° 393-DDPP-11 DU 27/09/2011 PORTANT ATTRIBUTION DU MANDAT SANITAIRE PROVISOIRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE...... 183

ARRETE N° 390-DDPP-11 DU 06/10/2011 PORTANT ATTRIBUTION DU MANDAT SANITAIRE PROVISOIRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE...... 183

ARRETE N° 391-DDPP-11 DU 06/10/2011 PORTANT ATTRIBUTION DU MANDAT SANITAIRE PROVISOIRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE...... 184 DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA COHESION SOCIALE...... 185 ARRETE PREFECTORAL DU 04/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE DE FINANCEMENT DU CENTRE D’ACCUEIL POUR DEMANDEURS D’ASILE DE L’OUDAN À ROANNE GÉRÉ PAR ADOMA...... 185

ARRETE PREFECTORAL DU 04/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE DE FINANCEMENT DU CENTRE D’ACCUEIL POUR DEMANDEURS D’ASILE GÉRÉ PAR L’ASSOCIATION ENTRAIDE PIERRE VALDO...... 186

ARRETE PREFECTORAL DU 05/10/2011 MODIFIANT L’ARRÊTÉ PRÉFECTORAL DU 14 JUIN 2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE DE FINANCEMENT DU CHRS SOS VIOLENCES CONJUGALES 42 POUR L’ANNÉE 2011...... 187

ARRETE N° 2011-03 DU 14 /10/2011 PORTANT AGREMENT DE GROUPEMENT SPORTIF...... 189

ARRETE PREFECTORAL DU 14/10/2011 MODIFIANT L’ARRÊTÉ PRÉFECTORAL DU 04 OCTOBRE 2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE DE FINANCEMENT DU CENTRE D’ACCUEIL POUR DEMANDEURS D’ASILE DE L’OUDAN À ROANNE GÉRÉ PAR ADOMA...... 190

9 UNITE TERRITORIALE DE LA DIRECTION REGIONALE DES ENTREPRISES, DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION, DU TRAVAIL ET DE L'EMPLOI...... 191 ARRETE N° 11-48 DU 20/09/2011 PORTANT AGREMENT – QUALITE – D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° N-20.09.11-F-042-Q-039...... 191

AVIS RELATIF À L'EXTENSION D’UN AVENANT SALARIAL À LA CONVENTION COLLECTIVE DÉPARTEMENTALE DE TRAVAIL DES EXPLOITATIONS AGRICOLES DE QUELQUE NATURE QU'ELLES SOIENT, LES EXPLOITATIONS D'ÉLEVAGE, LES EXPLOITATIONS DE CULTURES SPÉCIALISÉES (HORTICULTURE, MARAÎCHERS, PÉPINIÈRES DE TOUTE NATURE) DU DÉPARTEMENT DE LA LOIRE DU 1ER JUILLET 1965 (IDCC 9421)...... 193

ARRETE N° 11-49 DU 20/09/2011 PORTANT AGREMENT – QUALITE – D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° N-20.09.11-F-042-Q-037...... 193

ARRETE N° 11-50 DU 19/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D’AGREMENT SIMPLE D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° R-19.10.11-F-042-S-040...... 195

ARRETE N° 11-51 DU 19/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D’AGREMENT SIMPLE D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° R-19.10.11-F-042-S-041...... 196

ARRETE N° 11-52 DU 19/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D’AGREMENT SIMPLE D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° R-19.10.11-F-042-S-042...... 197

ARRETE N° 11-58 DU 20/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D’AGREMENT SIMPLE D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° R-20.10.11-A-042-S-048...... 199

ARRETE N° 11-53 DU 20/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D’AGREMENT SIMPLE D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° R-20.10.11-A-042-S-043...... 200

ARRETE N° 11-54 DU 20/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D’AGREMENT SIMPLE D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° R-20.10.11-A-042-S-044...... 201

ARRETE N° 11-55 DU 20/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D’AGREMENT SIMPLE D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° R-20.10.11-A-042-S-045...... 203

ARRETE N° 11-56 DU 20/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D’AGREMENT SIMPLE D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° R-20.10.11-A-042-S-046...... 204

ARRETE N° 11-57 DU 20/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D’AGREMENT SIMPLE D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° R-20.10.11-A-042-S-047...... 205 II – ARRETES CONJOINTS...... 207 ARRETE N° 371/2011 DU 06/10/2011 PORTANT MODIFICATION DES STATUTS DU SYNDICAT INTERCOMMUNAL D'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF (SIANC) DU PILAT...... 208

ARRETE INTERDEPARTEMENTAL N° 372 DU 06/10/2011AUTORISANT LE RETRAIT DE LA COMMUNE DES SALLES DU SYNDICAT MIXTE DES « PAYS DU FOREZ »...... 209

ARRETE INTERPREFECTORAL N° 373 DU 06/10/2011 PORTANT MODIFICATION DES STATUTS DU SYNDICAT INTERCOMMUNAL DE LA VALLÉE DE L'ONDAINE (SIVO)...... 210

ARRETE N° 375/2011 DU 06/10/2011 PORTANT MODIFICATION DES STATUTS DU SYNDICAT INTERCOMMUNAL POUR L'ASSAINISSEMENT DE LA MOYENNE VALLÉE DU GIER (SIAMVG).....211

ARRETE INTERPREFECTORAL N° DT-11-738 DU 17/10/2011 CONSTITUANT LE COMITE DE RIVIERE ONDAINE - LIZERON...... 212

10 III- ACTES DES AUTRES AUTORITES...... 215

DIRECTION INTERDEPARTEMENTALE DES ROUTES CENTRE-EST SERVICE REGIONAL D'EXPLOITATION DE MOULINS...... 216 ARRÊTÉ N° 2011-M-42-079 DU 05/10/2011 PORTANT MISE EN PLACE DE RÉSINE SUR DEUX LONGRINES RN82 PR 16+900 À 16+970 COMMUNE DE BALBIGNY - RÉGLEMENTATION TEMPORAIRE DE LA CIRCULATION »...... 216

ARRETE N° 2011-M-42-081 DU 06/10/2011 TRAVAUX DE REFECTION DE LA COUCHE DE ROULEMENT RN9082 DANS LES DEUX SENS DU PR 0 AU PR 7 COMMUNE DE NEULISE ET – REGLEMENTATION TEMPORAIRE DE LA CIRCULATION...... 218

ARRÊTÉ N° 2011-M-42-089 DU 20/10/2011 PORTANT RÉFECTION DE LA COUCHE DE ROULEMENT RN7 SENS SUD/NORD DU PR. 31+700 AU PR 28+650 COMMUNES DE MABLY ET ROANNE RÉGLEMENTATION TEMPORAIRE DE LA CIRCULATION »...... 219 DIRECTION INTERREGIONALE DE LA PROTECTION JUDICIAIRE DE LA JEUNESSE CENTRE-EST...... 222 ARRÊTÉ DU 07/10/2011 PORTANT TARIFICATION 2011 DU CENTRE EDUCATIF FERMÉ « LA PLAINE DU FOREZ »IMPLANTÉ AU LIEU-DIT « LE DOMAINE DE LA TOUR » 42100 L’HÔPITAL LE GRAND GÉRÉ PAR LE PRADO RHÔNE-ALPES...... 222 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE SAINT-ETIENNE...... 223 DÉCISION N°2011-132 DU 20/09/2011 RELATIVE AU RECOUVREMENT DES CREANCES...... 223

DÉCISION N°2011-133 DU 20/09/2011 RELATIVE AU RECOUVREMENT DES CREANCES...... 224

DÉCISION N°2011-134 DU 20/09/2011 RELATIVE AU RECOUVREMENT DES CREANCES...... 224 IV – INFORMATION...... 225

DECISIONS DE LA COMMISSION DEPARTEMENTALE D'AMENAGEMENT COMMERCIAL DU 14/09/2011...... 226

DIVERS CONCOURS...... 226 DECISION N° 2011-678 DU 13/10/2011 PORTANT OUVERTURE D'UN CONCOURS SUR TITRES POUR LE RECRUTEMENT DE DEUX OUVRIERS PROFESSIONNELS QUALIFIES DE LA FONCTION PUBLIQUE HOSPITALIERE...... 226

ARRETE N° 2011/032 DU 25/10/2011...... 227

11 12 REGLEMENTATION

13 14 I – ACTES DE LA PRÉFÈTE DE LA LOIRE

15 CABINET

Bureau de la Sécurité et de la Police Administrative

ARRETE N° 316/2011 DU 03/10/2011 PORTANT AUTORISATION DE LA CRÉATION D'UN SERVICE INTERNE DE SECURITE AU SEIN DE LA SOCIETE « AKL» A SAINT ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

VU la loi n° 83-629 du 12 juillet 1983 modifiée, réglementant les activités privées de surveillance, de gardiennage et de transport de fonds, notamment son article 7 ; VU le décret n° 86-1058 du 26 septembre 1986 relatif à l'autorisation administrative et au recrutement des personnels des entreprises de surveillance, de gardiennage et de transport de fonds et de protection de personnes, notamment ses articles 1 et 6 ; VU le décret n° 86-1099 du 10 octobre 1986 relatif à l'utilisation des matériels, documents, uniformes et insignes des entreprises de surveillance et de gardiennage, transport de fonds et protection de personnes ; VU le décret n° 2002-329 du 8 mars 2002 pris pour l’application de l’article 3-1 de la loi n° 83-629 du 12 juillet 1983 et relatif à l’habilitation et à l’agrément des agents des entreprises de surveillance et de gardiennage pouvant procéder aux palpations de sécurité ; VU le décret n° 2005-1122 du 6 septembre 2005, modifié par le décret n° 2009-214 du 23 février 2009, relatif à l'aptitude professionnelle des dirigeants et des salariés des entreprises exerçant des activités de surveillance et de gardiennage ; VU la demande présentée par M. GONCALVES Georges en vue d'obtenir l'autorisation de fonctionnement d'un service interne de sécurité au sein de la société « AKL » située 2 cours Jovin Bouchard à SAINT ETIENNE ; CONSIDERANT que ce service interne de sécurité est constitué conformément à la législation en vigueur ;

A R R E T E

ARTICLE 1er : Le service interne de sécurité appartenant à la société « AKL » sise à SAINT ETIENNE est autorisé à exercer ses activités à compter de la date d'entrée en vigueur du présent arrêté.

ARTICLE 2 : Le gérant s'engage à faire connaître à l'administration, dans le délai d'un mois, toutes modifications survenant au sein de son service.

ARTICLE 3 : M. le directeur de cabinet de la préfecture de la Loire et M. le directeur départemental de la sécurité publique de la Loire, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs du département.

Saint Etienne, le 3 octobre 2011 Pour le Préfet et par délégation Le Directeur de Cabinet Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 315/2011 DU 03/10/2011 PORTANT AUTORISATION DE LA CRÉATION D'UN SERVICE INTERNE DE SECURITE AU SEIN DE LA SOCIETE « LE CLOS DES BARRAUDES » A SAINT GENEST LERPT Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

VU la loi n° 83-629 du 12 juillet 1983 modifiée, réglementant les activités privées de surveillance, de gardiennage et de transport de fonds, notamment son article 7 ; VU le décret n° 86-1058 du 26 septembre 1986 relatif à l'autorisation administrative et au recrutement des personnels des entreprises de surveillance, de gardiennage et de transport de fonds et de protection de personnes, notamment ses articles 1 et 6 ;

16 VU le décret n° 86-1099 du 10 octobre 1986 relatif à l'utilisation des matériels, documents, uniformes et insignes des entreprises de surveillance et de gardiennage, transport de fonds et protection de personnes ; VU le décret n° 2002-329 du 8 mars 2002 pris pour l’application de l’article 3-1 de la loi n° 83-629 du 12 juillet 1983 et relatif à l’habilitation et à l’agrément des agents des entreprises de surveillance et de gardiennage pouvant procéder aux palpations de sécurité ; VU le décret n° 2005-1122 du 6 septembre 2005, modifié par le décret n° 2009-214 du 23 février 2009, relatif à l'aptitude professionnelle des dirigeants et des salariés des entreprises exerçant des activités de surveillance et de gardiennage ; VU la demande présentée par M. MARTORINA Stéphane en vue d'obtenir l'autorisation de fonctionnement d'un service interne de sécurité au sein de la société « LE CLOS DES BARRAUDES » située Les Barraudes à SAINT GENEST LERPT ; CONSIDERANT que ce service interne de sécurité est constitué conformément à la législation en vigueur ;

A R R E T E

ARTICLE 1er : Le service interne de sécurité appartenant à la société « LE CLOS DES BARRAUDES » sise à SAINT GENEST LERPT est autorisé à exercer ses activités à compter de la date d'entrée en vigueur du présent arrêté.

ARTICLE 2 : Le gérant s'engage à faire connaître à l'administration, dans le délai d'un mois, toutes modifications survenant au sein de son service.

ARTICLE 3 : M. le directeur de cabinet de la préfecture de la Loire et M. le directeur départemental de la sécurité publique de la Loire, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs du département.

Saint Etienne, le 3 octobre 2011 Pour le Préfet et par délégation Le Directeur de Cabinet Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 307/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'HOTEL «ACE HOTEL MABLY» À ROANNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Jean-Marie WALCH, PDG, en date du 19 septembre 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

17 ARRETE

Article 1er : Le PDG de l'établissement « ACE HOTEL MABLY » est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0220 le système de vidéoprotection suivant :

Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 220 1 rue Branly Sécurité des personnes OUI NON 9 15 jours 42300 ROANNE Prévention des atteintes aux biens Protection Incendie/Accidents Lutte contre la démarque inconnue

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le PDG de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images.

18 La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 319/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU SALON DE COIFFURE «ALLURE COIFFURE» À SAINT- ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme Aîda M'DALLA, gérante du salon de coiffure, en date du 31 aout 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

19 ARRETE

Article 1er : La gérante du salon de coiffure « ALLURE COIFFURE » est autorisée à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0211 le système de vidéoprotection suivant :

Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 211 16 rue Louis Braille Sécurité des personnes OUI OUI 2 15 jours 42000 ST ETIENNE Prévention des atteintes aux biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est la gérante de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

20 Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 5 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 320/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU SALON DE COIFFURE «ALLURE COIFFURE» À SAINT- ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme Aîda M'DALLA, gérante du salon de coiffure, en date du 31 aout 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

21 Article 1er : La gérante du salon de coiffure « ALLURE COIFFURE » est autorisée à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0212 le système de vidéoprotection suivant :

Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 212 5 rue du 11 novembre Sécurité des personnes OUI OUI 2 15 jours 42000 ST ETIENNE Prévention des atteintes aux biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est la gérante de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

22 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 5 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 312/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'ETABLISSEMENT «ATELIER CUISINE DUVERNOY» À SAINT-ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Patrice SEON gérant, en date du 12 septembre 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le gérant de l'établissement «ATELIER CUISINE DUVERNOY » est autorisée à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0213 le système de vidéoprotection suivant :

23 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistre Transmis Nombre Durée de ment sion de conserva- caméras tion des images 213 8 rue des Trois Sécurité des personnes OUI OUI 3 10 jours Glorieuses Prévention des atteintes aux biens 42000 SAINT-ETIENNE Protection Incendie/Accidents

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le gérant de l'établissement

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

24 Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 5octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 301/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'ETABLISSEMENT «AVENIR AUTOMATISME» À SAINT-ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme. Sylvie PELLE Directrice Générale, en date du 05 juillet 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : La Directrice générale de l'établissement «AVENIR AUTOMATISME » est autorisée à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0180 le système de vidéoprotection suivant :

25 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 180 3 Allée du couchant Sécurité des personnes OUI OUI 4 15 jours 42100 SAINT- Prévention des atteintes aux ETIENNE biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est la Directrice générale de l'établissement

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

26 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 330/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA BANQUE DE FRANCE À ROANNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié, modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. le directeur départemental de la Banque de France, en date du 27 juillet 2011 ; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : M. le directeur départemental de la Banque de France est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0184, le système de vidéoprotection suivant :

27 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 184 82 rue Jean Jaurès Sécurité des personnes NON NON 5 0 jours 42308 ROANNE Prévention des atteintes aux biens Prévention d'actes terroristes

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le directeur départemental de la banque.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images dans le cadre de leur mission administrative ou judiciaire. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

28 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée au demandeur.

Fait à Saint Etienne, le 5 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 289/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN «BERENICE» À SAINT-ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Didier MICHALLET, co-gérant du magasin, en date du 27 juillet 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le co-gérant du magasin « BERENICE» est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0189 le système de vidéoprotection suivant :

29 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 189 20 rue Michelet Sécurité des personnes OUI OUI 2 30 jours 42000 ST ETIENNE Prévention des atteintes aux biens Protection Incendie/Accidents Lutte contre la démarque inconnue

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le co-gérant de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

30 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 329/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA BIJOUTERIE «MARTIN BOHY» À FIRMINY Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Alain MARTIN, gérant de la bijouterie, en date du 22 septembre 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le gérant de la bijouterie « MARTIN BOHY » est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0226 le système de vidéoprotection suivant :

31 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 226 16 rue Verdié Sécurité des personnes OUI NON 2 9 jours 42700 FIRMINY Prévention des atteintes aux biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le gérant de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

32 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 5 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 286/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA BRASSERIE «LE FLORID» À ROANNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Nicolas FONTAINE, gérant de la brasserie, en date du 31 aout 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le gérant de la brasserie « LE FLORID » est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0194 le système de vidéoprotection suivant :

33 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 194 1 place du Champ de Sécurité des personnes OUI OUI 4 10 jours Foire Prévention des atteintes aux 42300 ROANNE biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le gérant de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

34 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 290/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA BOULANGERIE «COEUR DE GRAINE» À SAINT- ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr Philippe GAITTE, gérant de la boulangerie, en date du 01 septembre 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le gérant de la boulangerie « COEUR DE GRAINE» est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0205 le système de vidéoprotection suivant :

35 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 205 9 rue du 11 novembre Sécurité des personnes OUI OUI 4 7 jours 42100 ST ETIENNE Prévention des atteintes aux biens Lutte contre la démarque inconnue

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le gérant de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

36 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 298/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN «COMMANDO AND CO» À SAINT-ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Philippe CHOSSON, gérant du magasin, en date du 06 septembre 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le gérant du magasin « COMMANDO AND CO » est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0207 le système de vidéoprotection suivant :

37 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 207 7 rue Léon Nautin Sécurité des personnes OUI NON 4 7 jours 42000 ST ETIENNE Prévention des atteintes aux biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le gérant de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

38 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 321/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU CREDIT MUTUEL À CREMEAUX Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié, modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présenté par M. le chargé de sécurité du Crédit Mutuel, en date du 07 septembre 2011 ; VU les observations formulées par le représentant de la gendarmerie territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : M. le chargé de sécurité du Crédit Mutuel est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0208, le système de vidéoprotection suivant :

39 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 208 Lieu dit le Bourg Sécurité des personnes OUI OUI 3 30 jours 42260 CREMEAUX Protection incendie/accidents Prévention des atteintes aux biens Prévention d'actes terroristes

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le chargé de la sécurité au sein de la banque.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images dans le cadre de leur mission administrative ou judiciaire. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

40 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée au demandeur.

Fait à Saint Etienne, le 5 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 323/2011 DU 05/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU CREDIT MUTUEL À SAINT-ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié, modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU l'arrêté préfectoral du 16 mars 2000 portant autorisation d'un système de vidéoprotection ; VU la demande de renouvellement d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. le chargé de sécurité du Crédit Mutuel, en date du 14 septembre 2011 ; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : M. le chargé de sécurité du Crédit Mutuel est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0217, le système de vidéoprotection suivant :

41 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 217 35 Cours Fauriel Sécurité des personnes OUI OUI 4 30 jours 42100 ST ETIENNE Protection incendie/accidents Prévention des atteintes aux biens Prévention d'actes terroristes

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le chargé de la sécurité au sein de la banque.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images dans le cadre de leur mission administrative ou judiciaire. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

42 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée au demandeur.

Fait à Saint Etienne, le 5 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 322/2011 DU 05/10/2011 PORTANT MODIFICATION DE L'ARRETE DU 21 DECEMBRE 2010 AUTORISANT L'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU CREDIT MUTUEL À SAINT-ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU l'arrêté préfectoral n° 334/2010 du 21 décembre 2010 portant renouvellement d'un système de vidéoprotection au bénéfice du CREDIT MUTUEL à SAINT-ETIENNE; VU la demande de modification présentée par M. Le Chargé de sécurité du CREDIT MUTUEL, en date du 01 septembre 2011 ; VU les observations formulées par le représentant de la police nationale territorialement compétente VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection dans sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : L'article 1er de l'arrêté préfectoral n° 334/2010 du 21 décembre 2010 est modifié comme suit :

43 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregistre FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU ment D'IMPLANTATION Enregistre Transmis Nombre Durée de ment sion de conserva caméras tion des images 2011/0199 35 Place Fourneyron Sécurité des personnes OUI OUI 5 30 jours 42000 ST ETIENNE Protection incendie/accidents Prévention des atteintes aux biens Prévention des actes terroristes

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Les autres articles restent inchangés.

Article 3 : M. le directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 5 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 287/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA BIJOUTERIE «GOLD SWISS SERVICE» À SAINT- ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme. Isabelle BARTHELEMY, gérante de la bijouterie, en date du 13 septembre 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

44 ARRETE

Article 1er : La gérante de la bijouterie « GOLD SWISS SERVICE» est autorisée à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0215 le système de vidéoprotection suivant :

Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 215 6 Avenue de la Sécurité des personnes OUI OUI 2 10 jours Libération Prévention des atteintes aux 42000 ST ETIENNE biens Protection Incendie/Accidents

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est la gérante de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

45 Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 295/2011 DU 04/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'HOTEL F1 ST ETIENNE- ANDREZIEUX À ANDREZIEUX BOUTHEON Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU l'arrêté préfectoral du 13 février 2001 portant autorisation d'un système de vidéoprotection ; VU la demande de renouvellement d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Rodolphe AVRIL responsable de l'hôtel, en date du 15 septembre 2011 ; VU les observations formulées par le représentant de la gendarmerie territorialement compétente VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection dans sa séance du 26 septembre 2011 SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

46 Article 1er : Article 1er : L'autorisation précédemment accordée à l'Hôtel F1 St Etienne-Andrezieux par arrêté préfectoral du 13 février 2001 est reconduite, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0219 concernant le système de vidéoprotection suivant

Numéro FINALITE DU Enregistre FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU D'IMPLANTATION SYSTEME ment Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conservat caméras ion des images 219 4 rue du 18 juin 1827 Centre Sécurité des personnes OUI NON 3 7 jours vie Prévention des atteintes 42160 ANDREZIEUX aux biens BOUTHEON

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est la responsable de l'hôtel.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

47 Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 292/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA BANQUE « HSBC » À SAINT-ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié, modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. le directeur de la sécurité de la banque HSBC, en date du 31 aout 2011 ; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

48 Article 1er : M. le directeur de la sécurité de la banque « HSBC » est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0196, les systèmes de vidéoprotection suivant :

Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 196 1 Place Jean Jaurès Sécurité des personnes OUI NON 3 30 jours 42000 ST ETIENNE Protection incendie/accidents Prévention des atteintes aux biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le directeur de la sécurité au sein de la banque.

Article 3 : Les images sont transmises à : Poste Central de Télésécurité (PCT) – 4, place Pyramide – 92800 PARIS LA DEFENSE.

Article 4 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 5 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 6 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 7 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 8 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 9 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 10 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images dans le cadre de leur mission administrative ou judiciaire. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

49 Article 11 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 12 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 13 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 14 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 15 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée au demandeur.

Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 308/2011 DU 04/10/2011 PORTANT MODIFICATION DE L'ARRETE DU 08 AVRIL 2011 AUTORISANT L'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN INTERMARCHE CONTACT À LENTIGNY Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU l'arrêté préfectoral n° 84/2011 du 08 avril 2011 portant autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection au bénéfice du magasin INTERMARCHE CONTACT à Lentigny ; VU la demande de modification présentée par Mr Maxime SAVEREUX, Pdg au sein de l'établissement, en date du 14 septembre 2011 ; VU les observations formulées par le représentant de la gendarmerie territorialement compétente VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection dans sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

50 ARRETE

Article 1er : L'article 1er de l'arrêté préfectoral n°84/2011 du 08 avril 2011 est modifié comme suit :

Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregistre FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU ment D'IMPLANTATION Enregist Transmis Nombre Durée de rement sion de conservat caméras ion des images 2011/0216 rue de la Bruyère Sécurité des personnes OUI NON 19 15 jours 42155 LENTIGNY Protection Incendie/Accidents Prévention des atteintes aux biens Lutte contre la démarque inconnue Cambriolages vandalisme

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Les autres articles restent inchangés.

Article 3 : M. le directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé. Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 314/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA BOULANGERIE «LA MIE CALINE» À SAINT- ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme Nadia AUBRY, gérante de la boulangerie, en date du 08 juillet 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ;

51 SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : La gérante de la boulangerie « LA MIE CALINE » est autorisée à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0186 le système de vidéoprotection suivant :

Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 186 27 Place du Peuble Sécurité des personnes OUI OUI 4 7 jours 42000 ST ETIENNE Prévention des atteintes aux biens Lutte contre la démarque inconnue

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est la gérante de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images.

52 La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 5 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 327/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU BAR PUB «LA MISERE DES PRINCES» À ROANNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Mohamed MARRIM, gérant du bar, en date du 13 juillet 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

53 ARRETE

Article 1er : Le gérant du bar « LA MISERE DES PRINCES » est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0185 le système de vidéoprotection suivant :

Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 185 3 rue Georges Ducarre Sécurité des personnes OUI OUI 4 3 jours 42300 ROANNE

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le gérant de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

54 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 5 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 302/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'ETABLISSEMENT « LASER GAME EVOLUTION » À SAINT-ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme. Nathalie CHARITAT gérante, en date du 25 mai 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : La gérante de l'établissement « LASER GAME EVOLUTION » est autorisée à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0187 le système de vidéoprotection suivant :

55 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 187 52 rue Gutenberg Sécurité des personnes OUI OUI 5 30 jours 42100 SAINT- Prévention des atteintes aux ETIENNE biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est la gérante de l'établissement

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

56 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 309/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN «LIDL» À VILLEREST Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Philippe BENOIT, directeur régional, en date du 20 septembre 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le directeur régional du magasin « LIDL» est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0223 le système de vidéoprotection suivant :

57 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregist Transmis Nombre Durée de rement sion de conserva- caméras tion des images 223 Lieu dit « La Mirandole Sécurité des personnes OUI NON 14 10 jours Nord » Prévention des atteintes aux 42300 VILLEREST biens Protection Incendie/Accidents Lutte contre la démarque inconnue Lutte contre les braquages

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le directeur régional de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

58 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 304/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MANEGE ENFANTS «SALU» À VILLARS Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Bastien COLLIN, gérant du manège, en date du 31 aout 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le gérant du manège « SALU » est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0198 le système de vidéoprotection suivant :

59 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 198 Chemin de Montravel Sécurité des personnes OUI OUI 2 30 jours C/Cial Auchan Prévention des atteintes aux 42390 VILLARS biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le gérant du manège.

Article 3 : Les images sont transmise à : Mr Bastien COLLIN 24 allée Nungesser 06210 MANDELIEU

Article 4 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 5 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 6 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 7 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 8 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 9 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 10 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 11 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

60 Article 12 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 13 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 14 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 15 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 324/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA PARFUMERIE «MARIONNAUD» À SAINT-ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Gaetano PEZZA, chargé de la sécurité des établissements Marionnaud, en date du 31 aout 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le chargé de la sécurité des établissements Marionnaud est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0195 le système de vidéoprotection suivant :

61 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 195 16 rue Louis Braille Sécurité des personnes OUI NON 4 15 jours 42000 ST ETIENNE Prévention des atteintes aux biens Protection Incendie/Accidents Lutte contre la démarque inconnue

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le chargé de sécurité de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

62 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 5 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 324/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA PARFUMERIE «MARIONNAUD» À Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Gaetano PEZZA, chargé de la sécurité des établissements Marionnaud, en date du 11 juillet 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le chargé de la sécurité des établissements Marionnaud est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0182 le système de vidéoprotection suivant :

63 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregist Transmis Nombre Durée de rement sion de conserva- caméras tion des images 182 C/Cial Géant Casino Sécurité des personnes OUI NON 4 15 jours 42150 LA RICAMARIE Prévention des atteintes aux biens Protection Incendie Accidents Lutte contre la démarque inconnue

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le chargé de sécurité de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

64 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 5 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 325/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA PARFUMERIE «MARIONNAUD» À SAINT-ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Gaetano PEZZA, chargé de la sécurité des établissements Marionnaud, en date du 21 septembre 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le chargé de la sécurité des établissements Marionnaud est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0225 le système de vidéoprotection suivant :

65 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 225 6 rue du Général Foy Sécurité des personnes OUI NON 6 15 jours 42000 ST ETIENNE Prévention des atteintes aux biens Protection Incendie/Accidents Lutte contre la démarque inconnue

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le chargé de sécurité de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

66 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 5 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 318/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'ETABLISSEMENT « MOBILIER DE FRANCE » À ROANNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Max SIMONET PDG, en date du 05 septembre 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le PDG de l'établissement « MOBILIER DE FRANCE » est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0204 le système de vidéoprotection suivant :

67 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 204 19/21 rue Noelas Prévention des atteintes aux OUI NON 5 7 jours 42300 ROANNE biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le PDG de l'établissement

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

68 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 5 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 310/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA PHARMACIE DUBOIS À RIVE DE GIER Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Vincent DUBOIS gérant, en date du 22 aout 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le gérant de la « PHARMACIE DUBOIS » est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0202 le système de vidéoprotection suivant :

69 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 202 2 rue Jean-Jaurès Sécurité des personnes – OUI OUI 3 15 jours 42800 RIVE DE GIER Protection Incendie/Accidents – Prévention des atteintes aux biens – Lutte contre la démarque inconnue - Cambriolages

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le gérant de l'établissement

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

70 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 5 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 300/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA PHARMACIE TABOULOT À CHARLIEU Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Marc TABOULOT pharmacien titulaire, en date du 25 juillet 2011; VU les observations formulées par le représentant de la gendarmerie territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le pharmacien titulaire de la « PHARMACIE TABOULOT » est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0192 le système de vidéoprotection suivant :

71 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 192 41 Boulevard Jacquard Sécurité des personnes OUI OUI 3 10 jours 42190 CHARLIEU Prévention des atteintes aux biens Lutte contre la démarque inconnue

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le pharmacien titulaire de l'établissement

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

72 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 306/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA RESIDENCE «KORIAN VILLA JANIN» À SAINT- ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme. Hayad PERRIGUEY Directrice, en date du 02 aout 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : La Directrice de la Résidence « KORIAN VILLA JANIN » est autorisée à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0193 le système de vidéoprotection suivant :

73 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 193 9 rue du Treyve Sécurité des personnes OUI OUI 7 15 jours 42000 SAINT- Protection Incendie/Accidents ETIENNE Prévention des atteintes aux biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est la Directrice de l'établissement

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

74 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 296/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU RESTAURANT «PAUL GARE DE ST ETIENNE» A SAINT- ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Jean-Christophe MARCHAND, responsable achats et matériels, en date du 28 juillet 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le responsable achats et matériels du restaurant « PAUL GARE DE ST ETIENNE » est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0191 le système de vidéoprotection suivant :

75 Numéro FINALITE DU Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU D'IMPLANTATION SYSTEME rement Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 191 Square Stalingrad Sécurité des personnes OUI NON 3 7 jours 42100 SAINT-ETIENNE Lutte contre la démarque inconnue Prévention d'actes terroristes

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le Responsable achats et matériels de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

76 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 299/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'ETABLISSEMENT « SALAISONS MERLE » À POUILLY LES FEURS Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Laurent MALOSSE Président, en date du 22 aout 2011; VU les observations formulées par le représentant de la gendarmerie territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le président de l'établissement «SALAISONS MERLE » est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0201 le système de vidéoprotection suivant :

77 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 201 279 rue Poliacus Sécurité des personnes OUI NON 4 30 jours 42110 POUILLY LES Prévention des atteintes aux FEURS biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le président de l'établissement

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

78 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 288/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'ETABLISSEMENT «ELIT'AUTOS » À MONTROND LES BAINS Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Orhan SERT gérant, en date du 20 septembre 2011; VU les observations formulées par le représentant de la gendarmerie territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le gérant de l'établissement « ELIT'AUTOS » est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0224 les systèmes de vidéoprotection suivant :

79 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 224 1910 Chemin de l'Etra OUI OUI 5 30 jours 42210 MONTROND Prévention des atteintes aux LES BAINS biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le gérant de l'établissement

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

80 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 317/2011 DU 05/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'ETABLISSEMENT «SARL JEANNET DEBIT» À NEULISE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Vincent VERNE gérant, en date du 20 septembre 2011; VU les observations formulées par le représentant de la gendarmerie territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le gérant de l'établissement « SARL JEANNET DEBIT » est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0222 le système de vidéoprotection suivant :

81 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 222 Les Bruyères Prévention des atteintes aux OUI NON 1 29 jours 42590 NEULISE biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le gérant de l'établissement

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

82 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 5 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 291/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'ETABLISSEMENT « SOROFI SAS » À ROANNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme. Sylvie KERGONOU, directeur général de l'établisement, en date du 01 aout 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le directeur général de l'établissement « SOROFI SAS » est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0190 le système de vidéoprotection suivant :

83 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 190 48 Quai Commandant Sécurité des personnes OUI OUI 5 15 jours Lherminier Prévention des atteintes aux 42300 ROANNE biens – Lutte contre la démarque inconnue Protection Incendie/Accidents

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le directeur général de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

84 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 297/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU TABAC PRESSE «TABAC PEYRAMAURE» À MACLAS Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme. Pascale PEYRAMAURE, gérante du tabac presse, en date du 31 aout 2011; VU les observations formulées par le représentant de la gendarmerie territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : La gérante du tabac presse « TABAC PEYRAMAURE» est autorisée à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0197 le système de vidéoprotection suivant :

85 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 197 3 route de Pélussin Sécurité des personnes OUI NON 4 20 jours 42520 MACLAS Prévention des atteintes aux biens Lutte contre la démarque inconnue

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est la gérante de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

86 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 293/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU TABAC PRESSE «LE FETICHE» À FIRMINY Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Emmanuel GIGUET, gérant du tabac presse, en date du 02 aout 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le gérant du tabac presse « LE FETICHE» est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0200 le système de vidéoprotection suivant :

87 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 200 1 Place du Mail Sécurité des personnes OUI OUI 2 07 jours 42700 FIRMINY Prévention des atteintes aux biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le gérant de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

88 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 313/2011 DU 05/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU TABAC PRESSE « LE LONGCHAMP » À SAINT-ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU l'arrêté préfectoral N° 547/2007du 7 novembre 2007 portant autorisation d'un système de vidéoprotection ; VU la demande de renouvellement d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Frédéric VINCENT dirigeant du tabac presse, en date du 19 juillet 2011 ; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection dans sa séance du 26 septembre 2011 SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Article 1er : L'autorisation précédemment accordée au Tabac Presse « LE LONGCHAMP » par arrêté préfectoral du 07 novembre 2007 est reconduite, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0183 concernant le système de vidéoprotection suivant

89 Numéro FINALITE DU Enregistre FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU D'IMPLANTATION SYSTEME ment Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conservat caméras ion des images 183 13 place Jean-Jaurès Sécurité des personnes OUI OUI 4 6 jours 42000 SAINT-ETIENNE Prévention des atteintes aux biens Lutte contre la démarque inconnue

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le dirigeant de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

90 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 5 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 294/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU TABAC PRESSE « LE LUTETIA » À SAINT-ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Jean-Louis DEMMELBAUER, gérant du tabac presse, en date du 31 aout 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le gérant du tabac presse « LE LUTETIA» est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0206 le système de vidéoprotection suivant :

91 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 206 88 rue des docteurs Sécurité des personnes OUI OUI 7 15 jours Charcot Prévention des atteintes aux 42100 ST ETIENNE biens Lutte contre la démarque inconnue

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le gérant de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

92 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRETE N° 285/2011 DU 04/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN «TELECOM 1» À MABLY Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Daniel KRYS Directeur général, en date du 29 aout 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le Directeur général de l'établissement « TELECOM 1 » est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0203 les systèmes de vidéoprotection suivant :

93 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 203 Rue Jean de la Fontaine Sécurité des personnes OUI OUI 1 30 jours C/Cial Carrefour Prévention des atteintes aux 42300 MABLY biens Lutte contre la démarque inconnue

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le Directeur général de l'établissement

Article 3 : Les images sont transmises à : EUROCOM SYSTEME 201 Avenue Laurent Cely 92635 GENNEVILLIERS CEDEX.

Article 4 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 5 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 6 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 7 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 8 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 9 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 10 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

94 Article 11 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 12 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 13 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 14 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 15 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 04 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

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ARRÊTE N° 328/2011 DU 07/10/2011 PORTANT DÉTERMINATION DES DISTANCES AUXQUELLES LES DÉBITS DE TABAC NE PEUVENT ÊTRE ÉTABLIS AUTOUR DE CERTAINS ÉDIFICES OU ÉTABLISSEMENTS Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

Vu le code de la santé publique et notamment les article L. 3511-2-2 et L 3335-1 ; Vu la circulaire conjointe du Ministre du travail de l'emploi et de la santé, et du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration, du 3 août 2011 relative aux mesures de lutte contre le tabagisme prévues par la loi n° 2009-879 du 21 juillet 2009 portant réforme de l'hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires ; Considérant la nécessité d'harmoniser les dispositions règlementaires applicables dans l'ensemble des communes du département ; Sur proposition de M. le sous-préfet, Directeur de Cabinet,

ARRÊTE

ARTICLE 1er : Aucun nouveau lieu de vente de tabac manufacturé (les débits de tabac, les revendeurs et acheteurs -revendeurs) ne peut être implanté à proximité des édifices et établissements suivants :

➢ édifices consacrés à un culte quelconque ; ➢ cimetières ; ➢ établissements de santé, maisons de retraite et tous établissements publics ou privés de prévention, de cure et soins comportant hospitalisation ainsi que les centres médicaux-sociaux du département ; ➢ établissements scolaires, publics ou privés, ainsi que les établissements de formation ou de loisirs destinés à la jeunesse ; ➢ stades, piscines, terrains de sport publics ou privés ;

95 ARTICLE 2 : La distance de protection de ces édifices et établissements est fixée à :

➢ 50 mètres dans les communes de moins de 200 habitants ➢ 100 mètres dans les communes de plus de 200 habitants à l'exception des établissements visés au 4°de l'article 1er, pour lesquels la distance pour toutes les communes est fixée à 50 mètres.

Ces distances sont calculées conformément à l'article L3335-1 du code de la santé publique.

ARTICLE 3 : Dans les zones qui font l'objet d'opérations publiques d'aménagement, notamment les zones d'aménagement concertées, les opérations de restauration immobilière, ou qui font l'objet d'une subvention dans le cadre d'opérations urbaines ou rurales au titre du Fonds d'intervention pour les services, l'artisanat et le commerce (FISAC), la zone de protection est réduite à 50 mètres si l'implantation du débit de tabac est de nature à contribuer à l'objectif recherché par l'opération publique d'aménagement.

ARTICLE 4 : Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, les sous-préfets de Roanne et Montbrison, le Directeur régional des douanes et des droits indirects de Lyon, le Directeur Départemental de la Sécurité Publique, le Colonel commandant le groupement de gendarmerie de la Loire, les Maires du département de la Loire,sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au RAA de la Préfecture

Saint-Etienne, le 7 octobre 2011 Pierre SOUBELET

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ARRETE N° 305/2011 DU 06/10/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA PLOMBERIE VILLENEUVE À REGNY Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Julien VILLENEUVE artisan gérant, en date du 27 juillet 2011; VU les observations formulées par le représentant de la gendarmerie territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 26 septembre 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le gérant de la « PLOMBERIE VILLENEUVE » est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0188 le système de vidéoprotection suivant :

96 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregistre FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU ment D'IMPLANTATION Enregistre Transmis Nombre de Durée de ment sion caméras conserva- tion des images 188 13 rue du 11 novembre Sécurité des personnes OUI OUI 3 caméras 8 jours 42630 REGNY Prévention des atteintes aux intérieures biens N° 1- 3 et 4

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le gérant de l'établissement

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

97 Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 06 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

Bureau de la Communication et de la Représentation de l'Etat

ARRETE MODIFICATIF N° 2011-43 DU 03/10/2011 NOMMANT LES DELEGUES DU PREFET AUX COMMISSIONS ADMINISTRATIVES DE REVISION DES LISTES ELECTORALES POUR 2011/2012 Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

Vu le code électoral modifié et notamment son article L 17 ; Vu la circulaire ministérielle n° NOR : INT/A/07/00122/C du 20 décembre 2007, modifiée, relative à la révision et à la tenue des listes électorales et des listes électorales complémentaires ; Vu mon arrêté n° 2011-42 du 18 août 2011 ; Sur proposition du Secrétaire général de la préfecture de la Loire ;

ARRETE

Article 1er : L'article 1er de l'arrêté du 18 août 2011 susvisé portant désignation des délégués du Préfet pour la révision des listes électorales, est modifié comme suit :

Sont nommés membres, délégués du Préfet, aux commissions administratives de révision des listes électorales, les personnes dont les noms suivent :

- Mme Monique MENARD, domiciliée à Saint Etienne, 22 rue Eugène Joly, en remplacement de Mme Marie-Hélène BOUVIER, démissionnaire, sur la commune de Çaloire, - M. René MENARD, domicilié à Saint Etienne, 22 rue Eugène Joly, en remplacement de Mme Marie-Josée PAGNAN, démissionnaire, (et à la commission chargé de dresser la liste générale des électeurs de la commune de Saint Genest Lerpt).

Article 2 - MM. les maires concernés par l'article 1, sont chargés de notifier le présent arrêté aux intéressés, arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Saint-Etienne, le 3 octobre 2011 Pierre SOUBELET

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98 ARRETE PREFECTORAL N° 2011-38 DU 04/10/2011 POUR ACTE DE COURAGE ET DE DEVOUEMENT Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

Vu le décret du 16 novembre 1901 relatif à l'attribution de récompenses honorifiques pour Actes de Courage et de Dévouement modifié par le décret du 9 décembre 1924, Vu le décret n°70-221 du 17 mars 1970, portant déconcentration en matière d'attribution de la distinction susvisée, Vu la circulaire ministérielle n° 70-208 du 14 avril 1970 relative à la déconcentration en matière d'attribution de la médaille pour actes de courage et de dévouement, Vu le courrier du 29 juin 2011 du capitaine Francis ODE, commandant en second la compagnie de Roanne relatant les faits commis ; Vu l'avis favorable de M. le Sous-Préfet de Roanne ; Considérant les qualités de sang-froid et de courage dont a fait preuve M. Eric FERNANDES, le 24 février 2011 à 23 h 30, lors d'un cambriolage à son domicile par un individu déterminé qui n'a pas hésité à lui tirer dessus à trois reprises. Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet,

ARRETE

Article 1er : Une médaille pour acte de courage et de dévouement, échelon bronze, est décernée à M. Eric FERNANDES, né le 19 août 1988 à Ambérieu en Bugey (Ain).

Article 2 : Le sous-préfet, directeur de cabinet est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera notifié à M. le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire et au récipiendaire, et publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Saint-Etienne, le 4 octobre 2011 Pierre SOUBELET

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ARRETE PREFECTORAL N° 2011-44 DU 04/10/2011 POUR ACTE DE COURAGE ET DE DEVOUEMENT Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

Vu le décret du 16 novembre 1901 relatif à l'attribution de récompenses honorifiques pour Actes de Courage et de Dévouement modifié par le décret du 9 décembre 1924, Vu le décret n°70-221 du 17 mars 1970, portant déconcentration en matière d'attribution de la distinction susvisée, Vu la circulaire ministérielle n° 70-208 du 14 avril 1970 relative à la déconcentration en matière d'attribution de la médaille pour actes de courage et de dévouement, Vu le courrier du 7 juillet 2011 du commandant de police Marc SELVINI, de la circonscription de Sécurité Publique de Roanne relatant les faits commis ; Vu le courrier du 26 juillet 2011 de M. le Sous-Préfet de Roanne ; Considérant les risques de représailles auxquels Mme Marie Isabelle MASSAVIE s'est exposée en contribuant à l'arrestation de deux malfaiteurs qui tentaient d'écouler une fausse coupure de 100,00 € à la caisse d'un supermarché. Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet,

ARRETE

Article 1er : Une médaille pour acte de courage et de dévouement, échelon bronze, est décernée à Mme Marie Isabelle MASSAVIE, née le 24 avril 1965 à Roanne (Loire).

Article 2 : Le sous-préfet, directeur de cabinet est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera notifié au récipiendaire et publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Saint-Etienne, le 4 octobre 2011 Pierre SOUBELET

99 SERVICE INTERMINISTÉRIEL DE DÉFENSE ET DE PROTECTION CIVILE

ARRETE N° 17-2011 DU 14/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT DE L’AGREMENT DU COMITE DEPARTEMENTAL DE LA FEDERATION FRANCAISE DE SAUVETAGE ET DE SECOURISME Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

VU la loi n°87- 565 du 22 juillet 1987 relative à l'organisation de la sécurité civile , à la protection de la forêt contre l'incendie et à la prévention des risques majeurs; VU le décret n° 91-834 du 30 août 1991 relatif à la formation aux premiers secours; VU le décret n° 92 514 du 12 juin 1992 modifié relatif à la formation de moniteur des premiers secours et modifiant le décret n° 91 834 du 30 août 1991 précité; VU l’arrêté du 8 juillet 1992 relatif aux conditions d’habilitation ou d’agrément pour les formations aux premiers secours; VU l’arrêté du 26 mai 1993 portant agrément au niveau national de la Fédération Française de Sauvetage et Secourisme; VU l’arrêté du 24 mai 2000 portant organisation de la formation continue dans le domaine des premiers secours; VU l’arrêté du 29 juin 2001 modifiant l’arrêté du 8 novembre 1991 relatif à la formation aux premiers secours ; VU l’arrêté préfectoral du 21 octobre 2009 portant agrément, pour une durée de deux ans, à compter de cette date, du Comité de la Loire de la Fédération Française de Sauvetage et de Secourisme ; SUR proposition de Monsieur le sous-préfet, directeur de cabinet

ARRETE

ARTICLE 1er: L’agrément départemental délivré à compter du 21 octobre 2009 au Comité départemental de la Fédération Française de Sauvetage et de Secourisme est à nouveau renouvelé pour une durée de deux ans soit jusqu’au 14 octobre 2013, en application des dispositions du titre II de l’arrêté du 8 juillet 1992 susvisé;

ARTICLE 2: L’association susvisée est autorisée à assurer les formations suivantes :

➢ Prévention et Secours Civique de niveau 1 (P.S.C.1) ➢ Premiers Secours en Equipe de niveau 1 (P.S.E.1) ➢ Recyclage ou formation continue aux Premiers Secours en Equipe de niveau 1 ➢ Premiers Secours en Equipe de niveau 2 (P.S.E. 2) ➢ Recyclage ou formation continue aux Premiers Secours en Equipe de niveau 2 ➢ Formation au Brevet National de Moniteur des Premiers Secours ( B.N.M.P.S.) ➢ Recyclage ou formation continue au Brevet National de Moniteur des Premiers Secours ➢ Formation au Brevet National de Sécurité et de Sauvetage Aquatique (B.N.S.S.A.) ➢ Recyclage au Brevet National de Sécurité et de Sauvetage Aquatique. ➢ Formation de formateurs de PAE 1 ➢ Recyclage ou formation continue de formateurs de PAE 1

Article 3: L’agrément accordé par le présent arrêté peut être retiré en cas de non respect de toutes les conditions fixées par l’arrêté du 8 juillet 1992 susvisé.

Article 4 : Le Secrétaire Général et le Directeur de Cabinet sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera inséré au recueil des actes administratifs de la Préfecture.

Fait à Saint-Etienne, le 14 octobre 2011 Pour le préfet, et par délégation Le sous-préfet, directeur de cabinet Rodrigue FURCY

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100 ARRETE N° 18-2011 DU 14/10/2011 PORTANT AGREMENT DU CLUB MONTBRISON NATATION Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

VU la loi n°87- 565 du 22 juillet 1987 relative à l'organisation de la sécurité civile , à la protection de la forêt contre l'incendie et à la prévention des risques majeurs; VU le décret n° 91-834 du 30 août 1991 relatif à la formation aux premiers secours; VU le décret n° 92 514 du 12 juin 1992 modifié relatif à la formation de moniteur des premiers secours et modifiant le décret n° 91 834 du 30 août 1991 précité; VU l’arrêté du 8 juillet 1992 relatif aux conditions d’habilitation ou d’agrément pour les formations aux premiers secours; VU l’arrêté du 24 mai 2000 portant organisation de la formation continue dans le domaine des premiers secours; VU l’arrêté du 29 juin 2001 modifiant l’arrêté du 8 novembre 1991 relatif à la formation aux premiers secours ; SUR proposition de Monsieur le sous-préfet, directeur de cabinet

ARRETE

Article 1er: L’agrément départemental est délivré à compter du 14 octobre 2011 au Club Montbrison pour une durée de deux ans soit jusqu’au 14 octobre 2013, en application des dispositions du titre II de l’arrêté du 8 juillet 1992 susvisé;

Article 2: L’association susvisée est autorisée à assurer les formations suivantes : ➢ Formation au Brevet National de Sécurité et de Sauvetage Aquatique (B.N.S.S.A.) ➢ Recyclage au Brevet National de Sécurité et de Sauvetage Aquatique.

Article 3: L’agrément accordé par le présent arrêté peut être retiré en cas de non respect de toutes les conditions fixées par l’arrêté du 8 juillet 1992 susvisé.

Article 4 : Le Secrétaire Général et le Directeur de Cabinet sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera inséré au recueil des actes administratifs de la Préfecture.

Fait à Saint-Etienne, le 14 octobre 2011 Pour le préfet, et par délégation Le sous-préfet, directeur de cabinet Rodrigue FURCY

DIRECTION DE LA CITOYENNETE ET DES LIBERTES PUBLIQUES

Bureau des Elections et de la Réglementation

ARRETE DU 07/10/2011 PORTANT HABILITATION DANS LE DOMAINE FUNERAIRE Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur

VU le Code Général des Collectivités Territoriales et notamment les articles L 2223-19, L 2223-23 et suivants, R 2223-56 et suivants ; VU l'arrêté préfectoral du 8 octobre 2010 habilitant pour un an, l'EURL DEMAISON FUNERAIRE - ROC-ECLERC sise 13 place Saint-Pierre à Saint-Chamond ; VU la demande formulée le 5 août 2011 par Monsieur DEMAISON Max pour l'EURL DEMAISON FUNERAIRE - ROC-ECLERC, sise 13 place Saint-Pierre à Saint-Chamond, dont il est le gérant ;

101 CONSIDERANT que l'intéressé remplit les conditions requises ; SUR PROPOSITION de M. le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire ;

ARRETE

ARTICLE 1er : L'EURL DEMAISON FUNERAIRE - ROC-ECLERC susvisée, sise à SAINT-CHAMOND, 13 place Saint-Pierre, exploitée par Monsieur DEMAISON Max est habilitée pour exercer sur l'ensemble du territoire, les activités funéraires suivantes :

− Transport de corps avant mise en bière − Transport de corps après mise en bière − Organisation des obsèques − Soins de conservation (qui devront uniquement être pratiqués par M. Arnaud CARDON, titulaire du diplôme national de thanatopracteur) − Fourniture des housses, des cercueils et de leurs accessoires intérieurs et extérieurs, ainsi que des urnes cinéraires − Fourniture des corbillards − Fourniture de personnel et des objets et prestations nécessaires aux obsèques, inhumations, exhumations et crémations

ARTICLE 2 : Le numéro d'habilitation est : 11 10 42 03 06.

ARTICLE 3 : La durée de la présente habilitation est fixée à : UN AN

ARTICLE 4 : Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.Fait à SAINT ETIENNE, le 7 octobre 2011

Saint-Etienne, le 7 octobre 2011 Pour le Préfet et par délégation Le Secrétaire Général signé : Patrick FERIN

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ARRÊTE DU 18/10/2011 PORTANT RETRAIT D'HABILITATION DANS LE DOMAINE FUNERAIRE Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur

VU le Code Général des Collectivités Territoriales et notamment les articles L 2223-19, L 2223-23 et suivants, R 2223-56 et suivants ; VU l’arrêté préfectoral du 11 décembre 2008, habilitant pour six ans la société BONNET Daniel sise à Chazeau, MALLEVAL ; VU la lettre en date du 10 octobre 2011 de Madame BONNET ; VU l'acte de décès de Monsieur Daniel Louis BONNET, gérant de la société Bonnet Daniel sise à Chazeau, MALLEVAL ; SUR PROPOSITION de M. le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire ;

ARRETE

ARTICLE 1 er : L’arrêté sus-visé concernant l’habilitation funéraire de la société BONNET Daniel est abrogé suite à la cessation d’activité de cet établissement ;

ARTICLE 2 : Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs. Fait à SAINT ETIENNE, le 18 octobre 2011 Pour le Préfet et par délégation Le Secrétaire Général signé : Patrick FERIN

102 DIRECTION DES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET DES AFFAIRES JURIDIQUES

Bureau du Contrôle de Légalité, de l'Intercommunalité et des Enquêtes Publiques

ARRETE N° 420/2011 DU 03/10/2011 AUTORISANT L'EXTENSION DES COMPÉTENCES OPTIONNELLES DU SYNDICAT INTERCOMMUNAL D'ÉNERGIES DU DÉPARTEMENT DE LA LOIRE (SIEL) Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d' Honneur

Vu le code général des collectivités territoriales et notamment les articles L.5721-1 à L.5721-7 ; Vu l'arrêté préfectoral du 13 juin 1950 portant création du Syndicat Intercommunal d'Énergies du département de la Loire ( SIEL) ; Vu les arrêtés préfectoraux des 3 décembre 1951, 28 mai 1953, 1er décembre 1954, 1er juillet 1957, 7 novembre 1979, 19 mars 1997, 16 janvier 1998, 8 janvier 1999, 16 juillet 1999, 26 novembre 1999, 17 mai 2000, 26 janvier 2001, 3 décembre 2001, 1er août 2002, 27 mars 2003, 30 septembre 2003, 14 juin 2004, 27 décembre 2004, 9 mai 2005, 24 avril 2008, 18 décembre 2008, 2 juillet 2009, 14 août 2009, 20 août 2009, 10 décembre 2009 et 11 juin 2010 autorisant l'adhésion de nouveaux membres au SIEL ; Vu l'arrêté préfectoral du 26 janvier 2010 autorisant le retrait de trois syndicats mixtes du SIEL ; Vu les arrêtés préfectoraux des 7 décembre 1959, 6 juillet 1989, 29 septembre 1993, 19 septembre 1995, 16 janvier 1998, 30 novembre 2006, 10 décembre 2009 et 24 février 2011 autorisant la modification des statuts du SIEL ; Vu la délibération du comité syndical du SIEL en date du 27 juin 2011 approuvant le principe d'une compétence optionnelle « infrastructures de charge pour véhicules décarbonnés » et la modification de statuts qui en découle ; Considérant que cette extension des compétences optionnelles du SIEL a été approuvée à la majorité des deux tiers des membres qui composent le comité syndical, conformément aux statuts du syndicat et à l'article L.5721-2-1 du code général des collectivités territoriales ; Sur proposition de M. le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire

ARRETE

Article 1er : Les statuts du SIEL sont complétés comme suit :

« Article 2-2- Compétences optionnelles

2-2-5- Équipements

2-2-5-c) Le Syndicat assure pour les Collectivités adhérant à cette compétence, la création et l'entretien d'infrastructures de charge nécessaires à l'usage de véhicules électriques ou hybrides rechargeables ou la mise en place d'un service comprenant la création, l'entretien et l'exploitation des infrastructures de charge nécessaires à l'usage des véhicules électriques ou hybrides rechargeables. »

Le reste est sans changement

Article 2 : Un exemplaire des statuts modifiés est annexé au présent arrêté.

Article 3 : Le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Lyon (184 rue Duguesclin 69433 LYON cedex 03) dans un délai de 2 mois à compter de sa publication ou notification.

103 Article 4 : Le secrétaire général de la préfecture de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire et dont copie sera adressée à : - M. le président du SIEL, - M. le sous-préfet de Montbrison, - M. le sous-préfet de Roanne, - M. le receveur municipal de Saint Etienne, receveur du syndicat, - M. le Directeur Départemental des Finances Publiques, - M. le Directeur Départemental des Territoires.

Fait à Saint-Etienne, le 3 octobre 2011 Pour le Préfet et par délégation Le Secrétaire Général signé : Patrick FERIN

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ARRETE N° 409 DU 05/10/2011 PORTANT DISSOLUTION DE L ASSOCIATION SYNDICALE AUTORISEE DE L'IMPASSE DU DEPOT A ROANNE Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur,

Vu le Code Rural, Vu l'ordonnance n°2004-632 du 1er juillet 2004 relative aux associations syndicales de propriétaires, et notamment ses articles 40, 41 et 42, Vu le décret n° 2006-504 du 3 mai 2006 portant application de l'ordonnance n°2004-632 du 1er juillet 2004 relative aux associations syndicales de propriétaires, Considérant la demande de dissolution de l'Association Syndicale Autorisée de l'Impasse du Dépôt à Roanne émanant du Trésorier Municipal de Roanne du 28 décembre 2009, Vu les courriers en date du 6 juillet 2011 et du 2 septembre 2011 de l'Administrateur des finances publiques, receveur des finances de Roanne, Vu la balance générale des comptes visée par le Trésorier Municipal de Roanne, présentant un solde nul à la date du 3 décembre 2010, Vu l'avis en date du 12 août 2011 par lequel le Directeur Départemental des Territoires n'émet aucune observation sur la dissolution de cette ASA, Considérant que l'association est depuis plus de trois ans, sans activité réelle en rapport avec son objet, Considérant que de ce fait est remplie l'une des conditions prévues à l'article 40 de l'ordonnance précitée pour une dissolution d'office de l'association, Sur proposition du secrétaire général de la préfecture de la Loire,

ARRETE

Article 1er : L'Association Syndicale Autorisée de l'impasse du Dépôt à Roanne est dissoute d'office par le présent arrêté.

Article 2 : Le compte au Trésor de l'Association Syndicale Autorisée de l'impasse du Dépôt présente un solde nul.

Article 3 : Conformément à l'article 15 de l'ordonnance n°2004-632 du 1er juillet 2004, le présent arrêté sera affiché en mairie de Roanne pendant deux mois.

Article 4 : Le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux auprès du tribunal administratif de Lyon (184 Duguesclin 69433 LYON Cédex 03) dans un délai de 2 mois à compter de sa publication ou sa notification.

104 Article 5 : le secrétaire général de la préfecture de la Loire, le Sous-Préfet de Roanne, le Maire de Roanne et la Trésorière Principale Municipale de Roanne, sont chargés chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs et affiché en préfecture et sous-préfecture de Roanne pendant deux mois.

Fait à Saint-Etienne, le 5 octobre 2011 Pour le préfet et par délégation Le Secrétaire Général signé : Patrick FERIN

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ARRETE N° 410 DU 05/10/2011 PORTANT DISSOLUTION DE L ASSOCIATION SYNDICALE AUTORISEE DE CHAMPROMIS A ROANNE Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur, Vu le Code Rural, Vu l'ordonnance n°2004-632 du 1er juillet 2004 relative aux associations syndicales de propriétaires, et notamment ses articles 40, 41 et 42, Vu le décret n° 2006-504 du 3 mai 2006 portant application de l'ordonnance n°2004-632 du 1er juillet 2004 relative aux associations syndicales de propriétaires, Considérant la demande de dissolution de l'Association Syndicale Autorisée de Champromis à Roanne émanant du Trésorier Municipal de Roanne du 28 décembre 2009, Vu les courriers en date du 6 juillet 2011 et du 2 septembre 2011 de l'Administrateur des finances publiques, receveur des finances de Roanne, Vu la balance générale des comptes visée par le Trésorier Municipal de Roanne, présentant un solde nul à la date du 3 décembre 2010, Vu l'avis en date du 12 août 2011 par lequel le Directeur Départemental des Territoires n'émet aucune observation sur la dissolution de cette ASA, Considérant que l'association est depuis plus de trois ans, sans activité réelle en rapport avec son objet, Considérant que de ce fait est remplie l'une des conditions prévues à l'article 40 de l'ordonnance précitée pour une dissolution d'office de l'association, Sur proposition du secrétaire général de la préfecture de la Loire,

ARRETE

Article 1er : L'Association Syndicale Autorisée de Champromis à Roanne est dissoute d'office par le présent arrêté.

Article 2 : Le compte au Trésor de l'Association Syndicale Autorisée de Champromis présente un solde nul.

Article 3 : Conformément à l'article 15 de l'ordonnance n°2004-632 du 1er juillet 2004, le présent arrêté sera affiché en mairie de Roanne pendant deux mois.

Article 4 : Le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux auprès du tribunal administratif de Lyon (184 rue Duguesclin 69433 LYON Cédex 03) dans un délai de 2 mois à compter de sa publication ou sa notification.

Article 5 : le secrétaire général de la préfecture de la Loire, le Sous-Préfet de Roanne, le Maire de Roanne et la Trésorière Principale Municipale de Roanne, sont chargés chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs et affiché en préfecture et sous-préfecture de Roanne pendant deux mois.

Fait à Saint-Etienne, le 5 octobre 2011 Pour le préfet et par délégation Le Secrétaire Général signé : Patrick FERIN

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105 ARRETE N° 411 DU 05/10/2011 PORTANT DISSOLUTION DE L'ASSOCIATION SYNDICALE AUTORISEE VICTOR DUPRE A ROANNE Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur,

Vu le Code Rural, Vu l'ordonnance n°2004-632 du 1er juillet 2004 relative aux associations syndicales de propriétaires, et notamment ses articles 40, 41 et 42, Vu le décret n° 2006-504 du 3 mai 2006 portant application de l'ordonnance n°2004-632 du 1er juillet 2004 relative aux associations syndicales de propriétaires, Considérant la demande de dissolution de l'Association Syndicale Autorisée Victor Dupré à Roanne émanant du Trésorier Municipal de Roanne du 28 décembre 2009, Vu les courriers en date du 6 juillet 2011 et du 2 septembre 2011 de l'Administrateur des finances publiques, receveur des finances de Roanne, Vu la balance générale des comptes visée par le Trésorier Municipal de Roanne, présentant un solde nul à la date du 3 décembre 2010, Vu l'avis en date du 12 août 2011 par lequel le Directeur Départemental des Territoires n'émet aucune observation sur la dissolution de cette ASA, Considérant que l'association est depuis plus de trois ans, sans activité réelle en rapport avec son objet, Considérant que de ce fait est remplie l'une des conditions prévues à l'article 40 de l'ordonnance précitée pour une dissolution d'office de l'association, Sur proposition du secrétaire général de la préfecture de la Loire,

ARRETE

Article 1er : L'Association Syndicale Autorisée Victor Dupré à Roanne est dissoute d'office par le présent arrêté.

Article 2 : Le compte au Trésor de l'Association Syndicale Autorisée Victor Dupré présente un solde nul.

Article 3 : Conformément à l'article 15 de l'ordonnance n°2004-632 du 1er juillet 2004, le présent arrêté sera affiché en mairie de Roanne pendant deux mois.

Article 4 : Le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux auprès du tribunal administratif de Lyon (184 rue Duguesclin 69433 LYON Cédex 03) dans un délai de 2 mois à compter de sa publication ou sa notification.

Article 5 : le secrétaire général de la préfecture de la Loire, le Sous-Préfet de Roanne, le Maire de Roanne et la Trésorière Principale Municipale de Roanne, sont chargés chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs et affiché en préfecture et sous-préfecture de Roanne pendant deux mois.

Fait à Saint-Etienne, le 5 octobre 2011 Pour le préfet et par délégation Le Secrétaire Général signé : Patrick FERIN

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ARRETE N° 412 DU 05/10/2011 PORTANT DESIGNATION DU LIQUIDATEUR DE L'ASSOCIATION SYNDICALE AUTORISEE DU FUYANT DE L'OUDAN A ROANNE Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur,

Vu le Code Rural, Vu l'ordonnance n°2004-632 du 1er juillet 2004 relative aux associations syndicales de propriétaires, et notamment ses articles 40, 41 et 42, Vu le décret n° 2006-504 du 3 mai 2006 portant application de l'ordonnance n°2004-632 du 1er juillet 2004 relative aux associations syndicales de propriétaires, et ,notamment son article 71, Vu l'arrêté préfectoral du 5 janvier 1935 constituant l'Association Syndicale Autorisée,

106 Considérant la demande de dissolution de l'Association Syndicale Autorisée du Fuyant de l'Oudan à Roanne émanant du Trésorier Municipal de Roanne du 28 décembre 2009, Vu les courriers en date du 6 juillet 2011 et du 2 septembre 2011 de l'Administrateur des finances publiques, receveur des finances de Roanne, Considérant que l'association est depuis plus de trois ans, sans activité réelle en rapport avec son objet, Considérant que les dispositions prévues à l'article 40 (b) de l'ordonnance précitée sont réelles et constatées, et qu'en conséquence rien ne s'oppose à procéder à la dissolution d'office de l'Association Syndicale Autorisée du Fuyant de l'Oudan à Roanne, Considérant qu'en application des dispositions de l'article 42 de l'ordonnance précitée, les conditions dans lesquelles l'association syndicale autorisée est dissoute ainsi que la dévolution du passif et de l'actif sont déterminées, à défaut du syndicat, par un liquidateur nommé par l'autorité administrative, Considérant que le compte au trésor de l'Association présente un solde créditeur de 541,94 euros, Sur proposition du secrétaire général de la préfecture de la Loire,

ARRETE :

Article 1er : M. Alain BERAUD, trésorier de BOEN en retraite, domicilié 500 chemin Charra à Saint-Germain-Laval est désigné comme liquidateur de l'Association Syndicale Autorisée du Fuyant de l'Oudan à ROANNE.

Article 2 : le secrétaire général de la préfecture de la Loire, le Sous-Préfet de Roanne, le Maire de Roanne et la Trésorière Principale Municipale de Roanne, sont chargés chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs et affiché en préfecture et sous-préfecture de Roanne pendant deux mois.

Fait à Saint-Etienne, le 5 octobre 2011 Pour le préfet et par délégation Le Secrétaire Général signé : Patrick FERIN

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ARRETE N°436 EN DATE DU 19/10/2011 PORTANT MODIFICATION DE L'ARRETE N°243 DU 27 MAI 2008 CONSTATANT LA COMPOSITION NOMINATIVE DU CONSEIL D'ADMINISTRATION DE L'ETABLISSEMENT PUBLIC D'AMENAGEMENT DE SAINT ETIENNE (EPASE) Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur,

VU le code de l'urbanisme, notamment ses articles L 321-1 à L 321-9, R 321-2 à R 321-4, R 321-6 à R 321-11 et R 321-20 à R 321-25, VU le décret n°94-582 du 12 juillet 1994 relatif aux conseils et aux dirigeants des établissements publics et entreprises du secteur public, VU le décret n°2007-88 du 24 janvier 2007 portant création de l'établissement public d'aménagement de Saint Etienne et notamment son article 3, VU l'arrêté préfectoral n°243 du 27 mai 2008 modifié constatant la composition nominative du conseil d'administration de l'Etablissement Public d'Aménagement de Saint-Etienne (EPASE), VU l'arrêté du 5 juillet 2011 du ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l'Etat portant nomination de Mme Marion OECHSLI, administratrice civile à la direction du budget, membre titulaire du conseil d'administration de l'Etablissement public d'aménagement de Saint-Etienne, en qualité de représentant de l'Etat désigné par le ministre chargé du budget, en remplacement de Mme Magali BAILLIET. Sur proposition de M. le secrétaire général de la préfecture de la Loire,

ARRETE

Article 1er : L'article 1er (1er alinéa) de l'arrêté préfectoral n°243 du 27 mai 2008 est modifié ainsi qu'il suit :

– pour le ministère du budget : lire « Mme Marion OECHSLI » au lieu de « Mme Magali BAILLIET ».

107 Article 2 : Le secrétaire général de la préfecture de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture et dont copie sera adressée à :

M. le Ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l'Etat Mme et MM. les membres du conseil d'administration; M. le directeur général de l'EPASE; M. le directeur départemental des finances publiques; M. le receveur percepteur, comptable de l'EPASE; M. le directeur départemental des Territoires

Fait à Saint-Etienne, le 19 octobre 2011 Pour le Préfet et par délégation, le Secrétaire Général, Patrick FERIN

SECRETARIAT GENERAL AUX AFFAIRES ADMINISTRATIVES ET ECONOMIQUES

ARRETE N° 2011-042 DU 21/10/2011 PORTANT SUR LA DECONSIGNATION DES FONDS ISSUS DES CONVENTIONS DE REVITALISATION MUTUALISEES Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

Vu les articles L 1233-84 à L 1233-88 et D 1233-37 à D 1233-44 du Code du travail, Vu les articles L 518-17 et L 518-19 du Code monétaire et financier, Vu les conventions de revitalisation signées entre l'État et respectivement les sociétés ÅKERS SAS, SIEMENS VAI MT SAS et ThyssenKrupp Mavilor le 15 novembre 2010, Vu l'arrêté préfectoral de consignation n° 2011-021 du 30 juin 2011, Sur proposition du Secrétaire général de la Préfecture,

ARRETE

Article 1er Autorise la Caisse des Dépôts et Consignations à déconsigner du compte n° 2116741 intitulé « Convention de revitalisation mutualisée Loire Sud » les sommes indiquées dans le tableau ci-dessous, au bénéfice des sociétés dont les noms et adresses figurent en regard du montant alloué.

Les différents versements seront effectués par virement au vu du Relevé d'Identité Bancaire de chacune des sociétés bénéficiaires.

Société Montant ATINOX Zone Artisanale de Moulin Picon - 42580 L'Etrat 6 000,00 € AUTOM'ELEC INDUSTRIE 467 Rue Antoine Primat - 42000 Saint-Etienne 12 000,00 € CAPRICORN AUTOMOTIVE 81 rue de la Tour - 42 042 Saint-Etienne 3 000,00 € DINATEC 20 avenue de l'Industrie - Z.I. du Triolet - 42390 Villars 6 000,00 € ELECTRORACK 2 allée fourneyron - 42350 La Talaudière 3 000,00 € ETABLISSEMENTS J. CHAVOT ET Rue Antoine Primat - Lotissement du Reveux - 42000 Saint- 3 000,00 € COMPAGNIE Etienne

108 GM DEVELOPPEMENT 9 rue Thimonier - 42100 Saint-Etienne 3 000,00 € MATRA - MACHINES Zone Industrielle Plateau des Forges - 5 allée Mathieu 3 000,00 € APPLICATIONS TOLERIE RHONE MURGUE - 42100 Saint-Etienne ALPES MECANIQUE GENERALE 36 rue Mathieu de la Drome - 42000 Saint-Etienne 6 000,00 € MODERNE (MECAGEMO) SOCIETE D'EXPLOITATION DES Rue Louis Blanchard - 42290 Sorbiers 3 000,00 € ETABLISSEMENTS MONTABONEL PERE ET FILS VISUOL TECHNOLOGIES 8 rue des Feivres - Bâtiment A - 57074 Metz 3 000,00 € TOTAL 51 000,00 €

Article 2 Le Secrétaire général de la Préfecture de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté.

Saint-Étienne, le 21 octobre 2011 Pour le Préfet et par délégation le Secrétaire Général Patrick FERIN

SOUS-PREFECTURE DE ROANNE

ARRETE N° 97/2011 DU 21/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT, POUR UNE PÉRIODE DE QUATRE ANS, DE L'HOMOLOGATION DU CIRCUIT DE MOTOCROSS SIS À SAINT PIERRE LA NOAILLE, «LA GOUTTE DU CHARME», ENREGISTRÉ SOUS LE N° 26 Le Préfet de la Loire Chevalier de la légion d’honneur

VU le Code du Sport ; VU le décret n° 2006-554 du 16 mai 2006 relatif aux concentrations et manifestations organisées sur les voies ouvertes ou dans les lieux non ouverts à la circulation publique et comportant la participation des véhicules terrestres à moteur ; VU l'arrêté ministériel du 07 août 2006 pris pour application du décret susvisé ; VU l'arrêté préfectoral du 27 octobre 1995 homologuant, sous le numéro 26, le circuit de motocross sis à Saint Pierre la Noaille, « la goutte du charme » ; VU l'arrêté préfectoral n° 107/09 du 06 mai 2009 portant renouvellement de l'homologation précitée pour une nouvelle durée de quatre ans ; VU l'arrêté préfectoral en date du 24 octobre 2011, portant délégation de signature à M. Joël MATHURIN, sous- préfet de Roanne ; VU la demande formulée par Monsieur Arnaud COIFFARD, président du Moto Club Saint Pierre (siège social : 73 rue de Borchamp – 71110 MARCIGNY), par laquelle il sollicite le renouvellement de l'homologation du circuit après la modification du circuit intervenue notamment au niveau de la grille de départ et des accès au circuit ; VU la transmission en date du 28 septembre 2011 du nouveau règlement intérieur d'utilisation du terrain de moto cross de Saint Pierrre la Noaille ; VU le plan et la notice descriptive de la piste ; VU l'avis du maire de Saint Pierre la Noaille, des services de gendarmerie de Roanne, du délégué de la fédération française de motocyclisme, du délégué UFOLEP, du directeur départemental des services d'incendie et de secours Loire, du directeur départemental des territoires, du directeur départemental de la cohésion sociale ; VU l'avis émis par la section spécialisée pour l'autorisation d'organisation d'épreuves ou compétitions sportives de la commission départementale de la sécurité routière, réunie le mardi 17 mai 2011 ; VU le relevé de décisions de la visite sur site afin d'examiner les conditions de sécurité mises en oeuvre pour l'utilisation du terrain de motocross, organisée le jeudi 26 mai 2011 ; SUR PROPOSITION du secrétaire général de la sous-préfecture de Roanne ;

109 ARRETE

Article 1 :L'homologation du circuit de motocross sis à Saint Pierre la Noaille, « La goutte du charme », enregistré sous le n° 26, est renouvelée pour une période de quatre ans.

Article 2 : Le circuit est interdit aux sides-cars et aux quads.

Article 3 : Le règlement intérieur du circuit (annexe 1) devra être respecté.

L'utilisation de la piste, hors les compétitions, est limitée dans les conditions suivantes :

➢ de 10 h 00 à 20 h 00 le mercredi, le dimanche et les jours fériés, (avec une pause ➢ de deux heures à midi), avec un minimum de deux pilotes ou être accompagné lors de l'entraînement, ➢ les responsables du circuit ne devront remettre les clefs du site qu'aux seuls adhérents munis d'un téléphone portable en état de marche et devront systématiquement s'en assurer, ➢ l'accès sous le tunnel ne devra plus être utilisé, ni pour l'entrée, ni pour la sortie des pilotes.

Article 4 : La piste doit être maintenue dans un état conforme au plan présenté à l'appui de la demande et annexé au présent arrêté (annexe II).

En permanence, le poste de secours doit être équipé d'une trousse de premiers secours.

Article 5 : En ce qui concerne les émissions sonores, l'utilisation des structures et les activités annexes doivent respecter en permanence, sur les propriétés habitées de tiers voisins, les valeurs d'émergence admises par le décret n°95-408 du 18 avril 1995 qui sera appliqué sans que les conditions d'exercice fixées par le présent arrêté puissent faire obstacle.

Article 6 : Le site doit réglementairement faire l'objet d'une étude acoustique permettant de vérifier que les conditions de sécurité et de tranquillité publiques sont assurées (arrêté ministériel du 07 août 2006 et arrêté préfectoral du 10 avril 2000). Elle devra être transmise, au plus tard le 31 décembre 2011, aux services de la sous-préfecture de Roanne.

Article 7 : L'organisation éventuelle de compétitions est soumise à l'obtention préalable d'une autorisation préfectorale.

Article 8 : Les conditions d'utilisation sont affichées à l'entrée du terrain.

Article 9 :Le sous-préfet de Roanne, le maire de Saint Pierre la Noaille, le commandant la compagnie de gendarmerie de Roanne, le directeur départemental de la cohésion sociale, le directeur départemental des services d’incendie et de secours, sont chargés chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs et dont une copie restera déposée en mairie où tout intéressé aura le droit d'en prendre connaissance.

Un extrait sera affiché pendant une durée minimum d'un mois à la mairie. Il sera dressé un procès-verbal de l'accomplissement de cette formalité.

Roanne, le 21 octobre 2011 Pour le Préfet, et par délégation, le sous-préfet de Roanne, Joël MATHURIN

110 SOUS-PREFECTURE DE MONTBRISON

ARRÊTÉ N° 11/65 DU 17/06/2011 PORTANT HABILITATION DANS LE DOMAINE FUNÉRAIRE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

VU le Code Général des Collectivités Territoriales ; VU la loi n° 93-23 du 8 Janvier 1993 relative à la législation dans le domaine funéraire ; VU le décret n° 95-330 du 21 Mars 1995 relatif aux modalités et à la durée de l'habilitation dans le domaine funéraire ; VU l'arrêté préfectoral n° 11-37 du 22 avril 2011 donnant délégation de signature à M. Bernard LE MENN, sous- préfet de Montbrison ; VU l'arrêté préfectoral n° 09/122 du 28 juillet 2009 habilitant l'entreprise « Pompes Funèbres Montrondaises » exploitée par M. Stéphane DELORME, sise 6 route de Roanne à Montrond-les-Bains à exercer sur l'ensemble du territoire les activités funéraires suivantes : transport de corps avant et après mise en bière, organisation des obsèques, fourniture des housses, des cercueils et leurs accessoires intérieurs et extérieurs ainsi que des urnes cinéraires, fourniture des corbillards, fourniture des voitures de deuil, fourniture de personnel et des objets et prestations nécessaires aux obsèques, inhumations, exhumations et crémations ; VU la demande présentée le 14 décembre 2010 et complétée les 24 février, 19 avril et 15 juin 2011 par M. Stéphane DELORME, aux fins d'obtenir le renouvellement de l'habilitation funéraire ; VU la création de la SARL « POMPES FUNEBRES MONTRONDAISE DELORME PAYSAGE (P.F.M.D.P)», dont le gérant est M. Stéphane DELORME, sise Chemin de Ravatey à MONTROND-LES-BAINS qui se substitue à l'entreprise « Pompes Funèbres Montrondaises » ; VU les pièces du dossier ;

A R R E T E

Article 1er : La SARL « POMPES FUNEBRES MONTRONDAISE DELORME PAYSAGE (P.F.M.D.P)» exploitée par M. Stéphane DELORME sise Chemin de Ravatey à MONTROND LES BAINS est habilitée pour exercer sur l'ensemble du territoire les activités funéraires suivantes :

 Transport de corps avant mise en bière  Transport de corps après mise bière  Organisation des obsèques  Fourniture des housses, des cercueils et leurs accessoires intérieurs et extérieurs ainsi que des urnes cinéraires  Fourniture des corbillards  Fourniture des voitures de deuil  Fourniture de personnel et des objets et prestations nécessaires aux obsèques, inhumations, exhumations et crémations

Article 2 : Le numéro de l'habilitation est (11) 07-42-01-2.

Article 3 : La durée de la présente habilitation est fixée à SIX ANS.

Article 4 : M. le Sous-Préfet de MONTBRISON est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Fait à Montbrison, le 17 juin 2011 Le Préfet, par délégation Le Sous-Préfet, Bernard LE MENN

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111 ARRÊTÉ N° 11/100 DU 05/09/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D'HABILITATION DANS LE DOMAINE FUNÉRAIRE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

VU le Code Général des Collectivités Territoriales ; VU la loi n° 93-23 du 8 Janvier 1993 relative à la législation dans le domaine funéraire ; VU le décret n° 95-330 du 21 Mars 1995 relatif aux modalités et à la durée de l'habilitation dans le domaine funéraire ; VU l'arrêté préfectoral n° 11-45 du 5 septembre 2011 donnant délégation de signature à M. Jean Michel PORCHER, sous-préfet de Montbrison ; VU l'arrêté préfectoral n°279-05 du 5 septembre 2005 habilitant la commune de ST HILAIRE CUSSON LA VALMITTE à exercer les activités funéraires de fourniture de personnel et des objets et prestations nécessaires aux obsèques, inhumations, exhumations et crémations ; VU la demande de renouvellement d'habilitation formulée le 18 Aout 2011 par M. le Maire de ST HILAIRE CUSSON LA VALMITTE ; VU les pièces du dossier ;

A R R E T E

Article 1er : La commune de ST HILAIRE CUSSON LA VALMITTE est habilitée pour exercer les activités funéraires suivantes :

➢ Fourniture de personnel et des objets et prestations nécessaires aux obsèques, inhumations, exhumations, crémations

Article 2 : Le numéro de l'habilitation est (11) 96-42-01-33.

Article 3 : La durée de la présente habilitation est fixée à SIX ANS.

Article 4 : M. le Sous-Préfet de MONTBRISON est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Fait à Montbrison, le 5 septembre 2011 Le Préfet, par délégation Le Sous-Préfet, Jean Michel PORCHER

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ARRÊTÉ N° 11/110 DU 06/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D'HABILITATION DANS LE DOMAINE FUNÉRAIRE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

VU le Code Général des Collectivités Territoriales ; VU la loi n° 93-23 du 8 Janvier 1993 relative à la législation dans le domaine funéraire ; VU le décret n° 95-330 du 21 Mars 1995 relatif aux modalités et à la durée de l'habilitation dans le domaine funéraire ; VU l'arrêté préfectoral n° 11-45 du 5 septembre 2011 donnant délégation de signature à M. Jean-Michel PORCHER, sous-préfet de Montbrison ; VU l'arrêté préfectoral n° 09/143 du 12 août 2009 habilitant la commune de BOISSET-SAINT-PRIEST à exercer les activités funéraires de fourniture de personnel et des objets et prestations nécessaires aux obsèques, inhumations, exhumations et crémations ; VU la demande de renouvellement d'habilitation formulée le 26 septembre 2011 par M. le Maire de BOISSET- SAINT-PRIEST ; VU les pièces du dossier ;

112 A R R E T E

Article 1er : La commune de BOISSET-SAINT-PRIEST est habilitée pour exercer les activités funéraires suivantes :

➢ Fourniture de personnel et des objets et prestations nécessaires aux obsèques, inhumations, exhumations, crémations

Article 2: Le numéro de l'habilitation est (11) 07-42-01-1.

Article 3 : La durée de la présente habilitation est fixée à SIX ANS.

Article 4 : M. le Sous-Préfet de MONTBRISON est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Fait à Montbrison, le 6 octobre 2011 Le Préfet, par délégation Le Sous-Préfet, Jean Michel PORCHER

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ARRETE N° 2011-105 DU 23/09/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT DE L'HOMOLOGATION DE LA PISTE DE KARTING PERFORMANCE DRIVE A SAINT CYPRIEN POUR UNE DUREE DE QUATRE ANS Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

VU le Code du Sport et notamment ses articles L 331-5 à L 331-10, D 331-5, R 331-35 à R 331-44, R 331-45, A 331-18, A 331-32 VU le Code Général des Collectivités Territoriales, et notamment ses articles L 2212-1 et suivants, L 2215-1, L 3221- 4, L 3221-5 VU le Code de la Route et notamment ses articles L 411-7, R 411-5, R 411-10, R 411-18, R 411-30, R 411-31, R 411- 32 , VU le Code de l'Environnement et notamment son article R 414-19, VU l'arrêté préfectoral du 8 octobre 2007 portant homologation de la piste de karting « Performance Drive » à SAINT CYPRIEN, VU la demande présentée le 20 juillet 2011 par M. Pierre VEROT, gérant de l'EURL P2R en vue d'obtenir le renouvellement de l'homologation de la piste de karting Performance Drive située à ST CYPRIEN, Route des Chirraux, VU l'évaluation d'incidences sur les objectifs de conservation des sites Natura 2000, VU le plan du circuit et la notice descriptive, VU l'avis du maire de ST CYPRIEN en date du 10 août 2011, VU l'avis de la Commission Départementale de la Sécurité Routière section spécialisée pour l'autorisation d'épreuves ou de compétitions sportives réunie le 21 septembre 2011 sur le circuit,. VU l'arrêté préfectoral n°11-45 du 5 septembre 2011 donnant délégation de signature à M. Jean Michel PORCHER, Sous Préfet de Montbrison,

ARRETE

Article 1er : La piste de karting située Route des Chirraux à ST CYPRIEN exploitée par l'EURL P2R d'une longueur de 830 mètres et d'une largeur maximale de 6,5 mètres est homologuée pour une durée de quatre ans.

Article 2 : La piste devra être aménagée conformément au plan et au dossier présentés à l'appui de la demande. La protection des participants sera assurée par des pneus et des filets. Le public n'aura pas accès à la piste, une seule zone étant délimitée pour assister aux rotations.

Article 3 : L'utilisation de la piste sera limitée :

- la semaine de 9 h à 12 h et de 13 h à 19 h - le dimanche et jours fériés de 10 h à 12 h et de 13 h à 19 h

113 Le nombre de karts dont dispose cette société est de 20 karts de 270 cm3 moteur 4 temps et de 8 karts de 120 cm3 moteur 4 temps (enfant). La totalité des karts ne pourra fonctionner en même temps. Des mesures de bruit pourront être vérifiées par un sonomètre.

ARTICLE 4 : La présence d'au moins 2 personnes est obligatoire lors de l'utilisation du circuit. Ces personnes devront disposer d'un moyen de communication.

Le poste de secours devra être équipé en permanence d'un téléphone, d'extincteurs à poudre et à eau et d'une trousse de premier secours.

ARTICLE 5 :

APPEL ET MISE EN ŒUVRE DES SECOURS PUBLICS

Lorsque les moyens de secours privés présents sur le site s'avèrent insuffisants, les organisateurs devront faire appel aux secours publics dans les conditions suivantes :

• L'organisateur sollicite auprès du Centre de Traitement de l'Alerte (CTA) par téléphone (18) les secours nécessaires au sinistre. • Le CTA déclenche le ou les centres d'incendie et de secours concernés et informe le centre 15 • Les secours se rendent au point de rendez-vous fixé par le CTA en liaison avec l'organisateur.

ARTICLE 6 : Copie de cet arrêté sera transmise à :

− M. le Préfet de la Loire − M. le Président du Conseil Général – Délégation au Développement Durable − M. Alain LAURENDON représentant les élus départementaux à la CDSR − Mme Monique REY, représentant les élus comunaux à la CDSR − M. le Maire de SAINT CYPRIEN' − M. le Commandant de la Compagnie de Gendarmerie de MONTBRISON − M. le Directeur Départemental de la Cohésion Sociale − M. le Directeur départemental des Territoires − M. le Directeur départemental des Services d'Incendie et de Secours − M. Michel COUPAT, Président de l'Automobile Club Inter Entreprise − M. Yves GOUJON, Automobile Club du Forez − M. Daniel BERTHON, délégué de la Fédération Française du Sport Automobile − M. Jacques PERRIN, Président Défense Permis.com − M. Pierre VEROT, gérant de l'Eurl P2R sont chargés chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des Actes Administratifs et dont une copie restera déposée en Mairie ou tout intéressé pourra en prendre connaissance.

Montbrison, le 23 septembre 2011 Pour le Préfet et par délégation Le Sous-Préfet, Jean-Michel PORCHER

114 AUTRES SERVICES DE L'ETAT DANS LE DEPARTEMENT

DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES

ARRETE PREFECTORAL N° DT-11-743 DU 17/10/2011 AU TITRE DE L'ARTICLE L. 214-3 DU CODE DE L'ENVIRONNEMENT CONCERNANT LA MODIFICATION DU SEUIL DE PORTES SUR LE COURS D'EAU L'ANZON COMMUNE DE SAINT-SIXTE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

VU le code de l'environnement et notamment ses articles L. 211-1, L. 214-1 à L. 241-6 et R. 214-1 à R. 214-56 ; VU le schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) Loire-Bretagne, approuvé le 18 novembre 2009 ; VU l'arrêté préfectoral relatif au captage de Prés de Portes sur la commune de SAINT-SIXTE déclarant d'utilité publique les travaux autorisant l'utilisation de l'eau en vue de la consommation humaine et instaurant les périmètres de protection et les servitudes s'y rapportant du 30 juin 1998 ; VU la demande de régularisation référencée 42-1998-90388 relative au seuil de Portes et à la prise d'eau associée sur la commune de SAINT-SIXTE; VU le dossier de demande d'arrêté complémentaire d'autorisation complet et régulier déposé au titre de l'article L. 214-3 du code de l'environnement reçu le 1er février 2011, présenté par la SARL ESCALON Père et Fils, représentée par Monsieur Escalon, enregistré sous le n° 42-2011-00206 et relatif à l'opération susvisée ; VU l’avis de l’office national de l’eau et des milieux aquatiques en date du 6 juin 2011 ; VU le rapport rédigé par le service police de l'eau en date du 22 août 2011 ; VU l'avis favorable émis par le conseil départemental de l'environnement et des risques sanitaires et technologiques de la Loire en date du 12 septembre 2011 ; VU l'invitation faite au déclarant de présenter ses observations sur le projet d'arrêté en date du 15 septembre 2011 ; Considérant que le pétitionnaire n'a pas émis d'avis dans le délai de 15 jours qui lui est réglementairement imparti sur le projet d'arrêté d'autorisation qui lui a été transmis par courrier du 15 septembre 2011 ; Considérant que le projet ne présente pas d’impact notable sur les écoulements et la morphologie du cours d’eau L'Anzon et qu’il permet d’assurer le franchissement piscicole du seuil de Portes ; Considérant que les données de la station hydrologique de l'Anzon de Débats-Rivière-d'Orpra, située à environ 50 m en amont du seuil de Portes, sont représentatives des débits au droit dudit seuil et que le débit réservé défini à l'article L. 214-18 du code de l'environnement peut donc être fixé au plancher du quarantième du module de cette station jusqu'au 31 décembre 2013 ; Considérant que les prescriptions du présent arrêté permettent de garantir une gestion globale et équilibrée de la ressource en eau ; Sur proposition du secrétaire général de la préfecture de la Loire ;

ARRETE

Titre I : OBJET DE L'AUTORISATION

Article 1 Objet de l'autorisation La SARL ESCALON, sise RN 89, Portes, à Saint Sixte (42130), est autorisée en application de l'article L. 214-3 du code de l'environnement, sous réserve des prescriptions énoncées aux articles suivants, à poursuivre l'exploitation du :

Seuil de Portes sur le cours d'eau l'Anzon sur la commune de SAINT-SIXTE.

Les rubriques définies au tableau de l'article R. 214-1 du code de l'environnement concernées par cet ouvrage sont les suivantes :

115 Rubrique Intitulé Régime 1.2.1.0 A l'exception des prélèvements faisant l'objet d'une convention Autorisation avec l'attributaire du débit affecté prévu par l'article L.214-9 du code de l'environnement, prélèvements et installations et ouvrages permettant le prélèvement, y compris par dérivation, dans un cours d'eau, dans sa nappe d'accompagnement ou dans un plan d'eau ou canal alimenté par ce cours d'eau ou cette nappe : 1° D'une capacité totale maximale supérieure ou égale à 1 000 m3/heure ou à 5 % du débit du cours d'eau ou, à défaut, du débit global d'alimentation du canal ou du plan d'eau (A) 2° D'une capacité totale maximale comprise entre 400 et 1 000 m3/heure ou entre 2 et 5% du débit du cours d'eau ou, à défaut, du débit global d'alimentation du canal ou du plan d'eau (D) 3.1.1.0 Installations, ouvrages, remblais et épis, dans le lit mineur d'un Autorisation cours d'eau, constituant : 1° un obstacle à l'écoulement des crues (A) 2° un obstacle à la continuité écologique a) entraînant une différence de niveau supérieure ou égale à 50 cm, pour le débit moyen annuel de la ligne d'eau entre l'amont et l'aval de l'ouvrage ou de l'installation (A) b) entraînant une différence de niveau supérieure à 20 cm mais inférieure à 50 cm, pour le débit moyen annuel de la ligne d'eau entre l'amont et l'aval de l'ouvrage ou de l'installation (D) Au sens de la présente rubrique, la continuité écologique des cours d'eau se définit par la libre circulation des espèces biologiques et par le bon déroulement du transport naturel des sédiments.

La localisation de l'ouvrage est reportée en annexe 1 du présent arrêté.

Article 2 Caractéristiques des ouvrages 2.1. Seuil Le seuil de Portes a les caractéristiques suivantes :

Nature des matériaux Pierres maçonnées Longueur déversante 24 mètres Hauteur moyenne 1,90 mètres

Il sera équipé d'un dispositif de franchissement piscicole décrit dans les mesures correctrices et compensatoires.

2.2. Prélèvement d'eau Le seuil est équipé en rive gauche d'un dispositif de prise d'eau destiné à dériver une partie du débit du cours d'eau dans un bief. Un seuil en entrée du bief sera installé de façon à retrouver la côte NGF de la crête du seuil (405,00 m) pour permettre l'écoulement systématique du débit réservé par l'échancrure amont de la passe à poissons en rive opposée.

Titre II : PRESCRIPTIONS

Article 3 Prescriptions générales Le pétitionnaire doit respecter les prescriptions générales définies dans : – L’arrêté du 11 septembre 2003, modifié par l'arrêté du 7 août 2006, portant application du décret n° 96-102 du 2 février 1996 et fixant les prescriptions générales applicables aux prélèvements soumis à autorisation en application des articles L. 214-1 à L. 214-3 du code de l'environnement et relevant des rubriques 1.1.2.0, 1.2.1.0, 1.2.2.0, 1.3.1.0, de la nomenclature définie au tableau de l'article R214-1 du Code de l'environnement et joint à la présente autorisation.

Article 4 : Prescriptions spécifiques à la phase chantier Lors de la réalisation du dispositif de franchissement piscicole, des précautions devront être prises.

116 4.1. Précautions vis-à-vis du milieu aquatique Pendant la durée des travaux, le pétitionnaire veille à ne pas entraver l'écoulement des eaux. Pendant la durée des travaux, tout apport de polluant ou de charge solide, immédiat ou différé, est proscrit. Le pétitionnaire prend toutes les dispositions nécessaires à cet égard, en particulier les travaux doivent être réalisés avec le souci constant de l'environnement et des milieux aquatiques. En particulier : 1. Une attention particulière est apportée à la mise en place des bétons afin que les pertes de laitance de ceux-ci ne polluent pas les eaux ; 2. Les produits susceptibles de porter atteinte à la qualité des eaux sont stockés hors d'atteinte de celles-ci.

4.2. Dérivation provisoire du cours d'eau Durant les travaux, la zone sera mise en assec par la réalisation d'un batardeau en amont dérivant les eaux en rive droite de l'Anzon sur une longueur d'environ 25 mètres linéaires.

4.3. Période d'interdiction des travaux en cours d'eau Les travaux directs sur les cours d'eau sont proscrits pendant les périodes de reproduction des espèces présentes dans le milieu. L'Anzon étant classé en première catégorie piscicole, la période autorisée est : • du 15 mai au 30 octobre.

4.4. Fin des travaux A la fin des travaux, il sera observé une phase transitoire visant à vérifier le bon fonctionnement du dispositif de répartition des débits. Des ajustements pourront être effectués et il sera ensuite procédé au récolement des ouvrages. Les plans de récolements de l'ouvrage objet de la présente autorisation seront adressés au service chargé de la police de l'eau. Article 5 : Prescriptions spécifiques au débit réservé Le dispositif de maintien du débit réservé sera commun avec le dispositif de franchissement piscicole. Le débit à maintenir dans la rivière, immédiatement en aval de la prise d'eau (débit réservé), sera de 67 litres par seconde ou égal au débit naturel du cours d'eau en amont de la prise d’eau si celui-ci est inférieur.

Ce dispositif aura les caractéristiques suivantes : Cote NGF IGN seuil entrée du bief 405,00 mètres Hauteur depuis la crête du seuil 0,26 mètre Largeur 0,20 mètre Après récolement des ouvrages, une échelle indiquant le débit réservé sera installée de manière à assurer une lecture facile du débit transitant par l'échancrure.

Article 6 : Mesures correctives et compensatoires Une passe à poissons sera installée dans le prolongement de l'échancrure créée pour le maintien du débit réservé en rive gauche. La passe sera composée de 6 bassins successifs. Ses caractéristiques seront les suivantes :

Espèces cibles Truite fario, ombre commun Hauteur de chute entre bassins 0,24 mètre Nombre de chutes 6 Volume des 6 premiers bassins 4 m3 Post bassin amont En pierres maçonnées Pré bassin aval En blocs Le schéma de principe de l'aménagement est présenté en annexe 2 du présent arrêté.

Article 7 : Moyens d'analyses, de surveillance et de contrôle (y compris auto contrôle) 7.1. Suivi de l'efficacité du dispositif de franchissement La passe à poissons devra être équipée d'un système permettant de suivre son efficacité (points d'ancrage pour nacelle). Un suivi de l'efficacité de la passe devra avoir lieu dans l'année suivant sa mise en œuvre à une période appropriée.

117 7.2. Entretien et surveillance des ouvrages Les ouvrages seront régulièrement entretenus de manière à garantir le bon écoulement des eaux, la stabilité du seuil et le bon fonctionnement du dispositif de franchissement piscicole.

7.3. Réajustement du débit réservé La valeur du débit réservé ayant été fixée au quarantième du module du cours d'eau, le pétitionnaire devra proposer au service chargé de la police de l'eau avant le 30 juin 2013 la valeur de débit réservé et le dispositif le garantissant aux fins de mise en conformité avec les dispositions de l'article L. 214-18 du code de l'environnement, soit la mise en place d'un débit minimal garantissant en permanence la vie, la circulation et la reproduction des espèces vivant dans l'eau.

Titre III : DISPOSITIONS GENERALES

Article 8 Caractère de l’autorisation L'autorisation est accordée à titre personnel, précaire et révocable sans indemnité de l'état exerçant ses pouvoirs de police. Faute pour le pétitionnaire de se conformer dans le délai fixé aux dispositions prescrites, l'administration pourra prononcer la déchéance de la présente autorisation et, prendre les mesures nécessaires pour faire disparaître aux frais du permissionnaire tout dommage provenant de son fait, ou pour prévenir ces dommages dans l'intérêt de l'environnement de la sécurité et de la santé publique, sans préjudice de l'application des dispositions pénales relatives aux contraventions au code de l'environnement. Il en sera de même dans le cas où, après s'être conformé aux mesures prescrites, le permissionnaire changerait ensuite l'état des lieux fixé par cette présente autorisation, sans y être préalablement autorisé, ou s'il ne maintenait pas constamment les installations en état normal de bon fonctionnement.

Article 9 : Déclaration des incidents ou accidents Le pétitionnaire est tenu de déclarer au préfet, dès qu'il en a connaissance, les accidents ou incidents intéressant les installations, ouvrages, travaux ou activités faisant l'objet de la présente autorisation, qui sont de nature à porter atteinte aux intérêts mentionnés à l'article L 211-1 du code de l'environnement. Sans préjudice des mesures que pourra prescrire le préfet, le permissionnaire devra prendre ou faire prendre les dispositions nécessaires pour mettre fin aux causes de l'incident ou accident, pour évaluer ses conséquences et y remédier. Le permissionnaire demeure responsable des accidents ou dommages qui seraient la conséquence de l'activité ou de l'exécution des travaux et de l'aménagement.

Article 10 : Accès aux installations Les agents chargés de la police de l’eau et des milieux aquatiques auront libre accès aux installations, ouvrages, travaux ou activités autorisés par la présente autorisation, dans les conditions fixées par le code de l’environnement. Ils pourront demander communication de toute pièce utile au contrôle de la bonne exécution du présent arrêté.

Article 11 : Droit des tiers Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés.

Article 12 : Autres réglementations La présente autorisation ne dispense en aucun cas le pétitionnaire de faire les déclarations ou d’obtenir les autorisations requises par d’autres réglementations.

Article 13 : Publication et information des tiers Un avis au public faisant connaître les termes du présent arrêté sera publié à la diligence des services de la Préfecture de la LOIRE, et aux frais du demandeur, en caractères apparents, dans deux journaux locaux ou régionaux diffusés dans le département de la LOIRE. Une copie du présent arrêté sera transmise pour information au conseil municipal de la commune de : • SAINT-SIXTE Un extrait du présent arrêté énumérant notamment les motifs qui ont fondé la décision ainsi que les principales prescriptions auxquelles cette autorisation est soumise sera affiché en mairie de SAINT-SIXTE pendant une durée minimale d’un mois. Un exemplaire du dossier de demande d'arrêté complémentaire d'autorisation sera mis à la disposition du public pour information à la Préfecture de la LOIRE, ainsi qu’à la mairie de la commune de SAINT-SIXTE. Le présent arrêté sera à disposition du public sur le site Internet de la préfecture de la LOIRE pendant une durée d’au moins 1 an.

118 Article 14 : Voies et délais de recours Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif de LYON (184 rue Duguesclin 69433 LYON CEDEX 03) à compter de sa publication au recueil des actes administratifs par le pétitionnaire dans un délai de deux mois suivant sa notification et par les tiers dans un délai de un an suivant sa notification dans les conditions de l’article L. 514-6 du code de l’environnement. Dans le même délai de deux mois, le pétitionnaire peut présenter un recours gracieux. Le silence gardé par l’administration pendant plus de deux mois sur la demande de recours gracieux emporte décision implicite de rejet de cette demande conformément à l’article R. 421-2 du code de justice administrative.

Article 15 : Exécution ➢ Le Secrétaire général de la préfecture de la LOIRE, ➢ Le Maire de la commune de SAINT-SIXTE, ➢ Le Directeur départemental des territoires de la LOIRE, ➢ Le Responsable du service départemental de l’Office National de l’Eau et des Milieux Aquatiques, ➢ Le Commandant du Groupement de gendarmerie départementale de la Loire, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la LOIRE, et dont une copie sera tenue à la disposition du public en mairie de SAINT-SIXTE.

A Saint-Etienne, le 17 octobre 2011 Le Préfet de la Loire Pierre SOUBELET

Les documents annexés au présent arrêté, peuvent être consultés à la Direction Départementale des Territoires de la Loire.

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ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N° DT-11-765 DU 19/10/2011 PROLONGEANT LA DURÉE DE LA DÉCLARATION D'INTÉRÊT GÉNÉRAL DES TRAVAUX D'ENTRETIEN SUR LES BASSINS VERSANTS DE LA MARE ET DU BONSON Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU le Code général des collectivités territoriales ; VU le Code rural et de la Pêche maritime notamment les articles L 151-36 à L 151-40 et les articles R.151-41 à R 15149 pris pour leur application ; VU le Code de l'environnement, en particulier les articles L 211-7, L 215-15, L 215-18, R 214-88 à R 214-104 ; VU le Schéma Directeur d'Aménagement et de Gestion des Eaux du Bassin Loire Bretagne approuvé le 18 novembre 2009 ; VU l'arrêté préfectoral n° 11-53 du 19 septembre 2011 portant délégation de signature à M. Philippe Estingoy ; VU l'arrêté préfectoral du 13 septembre 2006 portant déclaration d'intérêt général des travaux de restauration et d'entretien des cours d'eau des bassins versants de la Mare et du Bonson sur le territoire de la communauté d'agglomération Loire-Forez ; VU la demande de prolongation de la durée de la déclaration d'intérêt général présentée par le président de la communauté d'agglomération Loire-Forez en date du 11 août 2011 ; Considérant que, suite à des difficultés de financement, la communauté d'agglomération Loire-Forez n'a engagé les travaux qu'au mois de septembre 2008, que la demande de prolongation de deux ans a pour objet de terminer ce même programme de travaux ayant fait l'objet de l'enquête publique et de l'autorisation du 13 septembre 2006 ; Sur proposition du directeur départemental des territoires de la Loire ;

ARRÊTE

Article 1er - Durée de la déclaration d'intérêt général : La déclaration d'intérêt général des travaux de restauration et d'entretien des cours d'eau des bassins versants de la Mare et du Bonson est prolongée pour une durée de 2 ans. Son échéance est donc le 12 septembre 2013.

119 Article 2 - Recours : La présente décision peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le Tribunal Administratif de Lyon (184 rue Duguesclin – 69003 Lyon) dans les deux mois à partir de sa publication).

Article 3 - Publication : Le présent arrêté sera affiché aux lieux habituels d’affichage des actes administratifs de la communauté d'agglomération et des communes de Boisset-les-Montrond, Boisset-Saint-Priest, Bonson, Chazelles-sur-, , Gumières, Lavieu, Lézigneux, L'Hopital-le-Grand, Margerie-Chantagret, Périgneux, Précieux, Saint- Cyprien, Saint-Georges-Haute-Ville, Saint-Just-Saint-Rambert, Saint-Marcellin-en-Forez, Saint-Romain-le-Puy, Saint-Thomas-la-Garde, Sury-le-Comtal et Verrières-en-Forez pendant une durée minimum d'un mois. Il sera en outre publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture et mis en ligne sur le site internet de la préfecture de la Loire (http//www.loire.pref.gouv.fr ).

Article 4 - Exécution • Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, • Le président de la communauté d'agglomération Loire Forez, • Les maires des communes de Boisset-les-Montrond, Boisset-Saint-Priest, Bonson, Chazelles-sur-Lavieu, Craintilleux, Gumières, Lavieu, Lézigneux, L'Hopital-le-Grand, Margerie-Chantagret, Périgneux, Précieux, Saint-Cyprien, Saint-Georges-Haute-Ville, Saint-Just-Saint-Rambert, Saint-Marcellin-en-Forez, Saint-Romain- le-Puy, Saint-Thomas-la-Garde, Sury-le-Comtal et Verrières-en-Forez, • Le directeur départemental des Territoires de la Loire, sont chargés, chacun en ce qui le concerne de l'exécution du présent arrêté.

Saint Etienne, le 19 octobre 2011 Le Directeur départemental des Territoires, Philippe ESTINGOY

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ARRETE PREFECTORAL N° DT-11-744 DU 04/10/2011 FIXANT LES PRESCRIPTIONS DE LIMITATION DE CERTAINS USAGES DE L’EAU DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur

VU le Code de l’Environnement et notamment ses articles L 211-3, R 211-66 à R 211-70 ; VU le Code de la Santé Publique ; VU le Code Général des Collectivités Territoriales et notamment l’article L 2212-2 5°) ; VU l’arrêté n° DT-10-488 en date du 05 août 2010, arrêté-cadre sécheresse pour le département de la Loire ; VU l’arrêté n° DT-11-636 en date du 19 août 2011 fixant les prescriptions de limitation de certains usages de l'eau dans le département de la Loire VU le Schéma Directeur d’Aménagement et de Gestion des Eaux du bassin Loire-Bretagne ; VU le réseau d’observation de crise des assecs (ROCA) mis en œuvre par le service départemental de l'office national de l'eau et des milieux aquatiques de la Loire ; Considérant que les débits de certains cours d’eau sont suivis de façon permanente et que Météo France établit des prévisions climatiques quotidiennes ; Considérant que les manœuvres des ouvrages hydrauliques et les prélèvements incontrôlés sont de nature à aggraver la situation hydrologique des cours d’eau en période d’étiage ; Considérant que parmi les usages de l’eau, l’alimentation en eau destinée à la consommation humaine et à l’abreuvement des animaux d’élevage constituent une priorité ; Considérant que les usages agricoles doivent bénéficier d’une attention particulière eu égard à la sensibilité au stress hydrique de certaines cultures, notamment celles à haute valeur ajoutée ; Considérant que les aquifères des alluvions de la Loire, Sables et Marnes du Tertiaire de la Plaine du Forez conservent un niveau piézométrique bas et qu’il est nécessaire, pour anticiper toute dégradation future, de poursuivre les mesures de limitation des usages de l’eau à partir des ressources souterraines ; Considérant qu'à la date du 26 septembre 2011, le cours d’eau « la Coise » conserve un débit faible, sous le seuil de pénurie de l'arrêté cadre du secteur n° 3 « Monts du Lyonnais, que les prévisions météorologiques n’annoncent pas de pluie significative avant plusieurs jours, qu’en conséquence il convient de maintenir des mesures de restriction d’usages de l’eau; Sur proposition du secrétaire général de la Préfecture de la Loire ;

120 ARRÊTE

Article 1 : L'article 7 de l'arrêté n° DT-11-636 en date du 19 août 2011 est modifié comme suit: « Durée de validité: les dispositions du présent arrêté sont applicables à compter du lendemain de sa date de signature et jusqu’au 31 octobre 2011 ». Article 2 : Délai et voie de recours : Le présent arrêté peut être déféré au tribunal administratif de Lyon (184 Rue Duguesclin -69003 Lyon) dans un délai de 2 mois à compter de sa publication. Article 3 : Publication : Le présent arrêté sera affiché dans les mairies des communes figurant en annexe en un lieu accessible à tout moment. Le présent arrêté sera publié sur le site internet de la préfecture de la Loire. Le présent arrêté sera publié au registre des actes administratifs du département de la Loire. Un extrait du présent arrêté sera également publié dans deux journaux d’annonces légales du département. Article 4 : Exécution : Le secrétaire général de la préfecture de la Loire, Le sous-préfet de Roanne, Le sous-préfet de Montbrison, Le Directeur Départemental des Territoires, Le Directeur Départemental de la Protection des Populations, Le Directeur Régional de l’Environnement de l'Aménagement et du Logement, Le délégué territorial de la Loire de l'agence régionale de Santé Les Maires des communes de la Loire figurant en annexe, Le Commandant du Groupement de Gendarmerie Départemental, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique, Le chef du service départemental de l'Office National de l'Eau et des Milieux Aquatiques, Le chef du service départemental de l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, sont chargés, chacun en ce qui les concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Saint-Etienne, le 4 octobre 2011 Le préfet de la Loire, Pierre SOUBELET

ANNEXE

COMMUNES DU SECTEUR N°3 : MONTS DU LYONNAIS

ANDREZIEUX-BOUTHEON JAS BALBIGNY BELLEGARDE-EN-FOREZ BUSSIERES CHAMBOEUF MARCLOPT CHATELUS CHAZELLES-SUR-LYON CHEVRIERES MONTROND-LES-BAINS NERONDE PANISSIERES CUZIEU POUILLY-LES-FEURS EPERCIEUX-SAINT-PAUL RIVAS ESSERTINES-EN-DONZY ROZIER-EN-DONZY FEURS SAINT-ANDRE-LE-PUY FONTANES SAINT-BARTHELEMY-LESTRA

121 SAINT-BONNET-LES-OULES SAINT-CHRISTO-EN-JAREZ SAINT-CYR-LES-VIGNES VEAUCHE SAINT-DENIS-SUR-COISE SAINTE-AGATHE-EN-DONZY SAINT-GALMIER SAINT-HEAND SAINT-LAURENT-LA-CONCHE SAINT-MARCEL-DE-FELINES SAINT-MARTIN-LESTRA SAINT-MEDARD-EN-FOREZ SALT-EN-DONZY

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ARRETE PREFECTORAL N° DT-11-734 DU 28/09/2011 MODIFIANT L'ARRETE PREFECTORAL N°2009-301 MODIFIE PORTANT RENOUVELLEMENT ET MODIFICATION DE LA COMPOSITION DE LA COMMISSION DEPARTEMENTALE DE LA NATURE, DES PAYSAGES ET DES SITES Le Préfet de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur,

VU le Code de l'environnement, et notamment les articles L.341-16 à L.341-18 et R.341-16 et suivants; VU le code général des collectivités territoriales; VU l'arrêté préfectoral n°2006-309 du 24 juillet 2006 modifié portant création de la Commission Départementale de la Nature, des Paysages et des Sites (CDNPS); VU l'arrêté préfectoral n°2009-301 du 30 décembre 2009 modifié portant renouvellement et modification de la composition de la Commission Départementale de la Nature, des Paysages et des Sites; VU la demande présentée par M. le Président du BTP LOIRE en date du 8 septembre 2011, suite à la démission de Monsieur Christophe FERRAGNE, société RICHARD TP 42; CONSIDERANT qu'il convient : - de modifier la désignation des représentants des exploitants de carrières et des utilisateurs de matériaux de carrière (4ème collège) de la formation spécialisée dite "des carrières"; SUR PROPOSITION de M. le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire,

A R R E T E

Article 1 er : L'article 3 de l'arrêté préfectoral du 30 décembre 2009 modifié est modifié ainsi qu'il suit : Formation spécialisée dite « des carrières» : 4ème collège : représentants des exploitants de carrières et des utilisateurs de matériaux de carrière : - M. Pascal DETREZ, SOGRAP c/o EIFFAGE Travaux Publics RA (suppléant : M. Gilles RICHARD, société CARRIERES RICHARD) - M. Bernard NAULIN, société NAULIN (suppléant : M. Yves CHAUX, société CARRIERES DE LA LOIRE) - M. Eric MAISONHAUTE, société FOREZIENNES D'ENTREPRISES (suppléant : M. Laurent THOMAS, entreprise BETON SERVICE LOIRE) - M. Franck VIAL, entreprise CARRIERES VIAL (suppléant : M. Hubert DESMOTS, entreprise TPCF)

Article 2 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture et dont une copie sera adressée aux membres de la commission départementale de la nature, des paysages et des sites (formation spécialisée dite « des carrières »).

Fait à Saint-Etienne, le 28 septembre 2011 Pierre SOUBELET

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122 ARRETE PREFECTORAL N°DT-11-747 DU 05/10/2011 AUTORISANT LA CAPTURE D'ESPECES PISCICOLES A DES FINS SCIENTIFIQUES Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur

VU le Code de l’Environnement ; VU l’arrêté préfectoral n°11-53 en date du 19 septembre 2011 portant délégation de signature à M. Philippe ESTINGOY, Directeur départemental des Territoires de la Loire ; VU l’arrêté préfectoral n°DT-11-719 en date du 20 septembre 2011 portant subdélégation de signature pour les compétences générales et techniques ; VU la demande présentée par Madame la Présidente du Syndicat Mixte pour la valorisation du Renaison, de l'Oudan et de leurs affluents en date du 15 septembre 2011 ; VU l’avis du Président de la Fédération de la Loire pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique en date du 22 septembre 2011 ;

ARRETE

Article 1 e r : bénéficiaire de l’opération

Madame la Présidente du Syndicat Mixte pour la valorisation du Renaison, de l'Oudan et de leurs affluents (SYMIROA) Place Antoine Déroche 42155 POUILLY LES NONAINS est autorisée à capturer des poissons à des fins scientifiques sous les réserves précisées aux articles suivants du présent arrêté.

Article 2 : objet

Suivi de la passe à poissons du seuil de Neubourg sur le Renaison sur la commune de SAINT LEGER SUR ROANNE .

Article 3 : responsables de l’exécution matérielle

FLACHAT Bertrand Technicien du SYMIROA BARRET René Technicien du SYMIROA FORGE Florian Technicien du SYMITEYS

Article 4 : validité

La présente autorisation est valable jusqu'au 31 décembre 2011.

Article 5 : moyens de capture autorisés

Est autorisé le moyen suivant : nasse.

Article 6 : cours d'eau concernés

Le cours d'eau le Renaison sur la commune de SAINT LEGER SUR ROANNE.

Article 7 : destination du poisson capturé

Les poissons capturés seront remis à l’eau au niveau de la station, ou détruits s’ils appartiennent à des espèces susceptibles de provoquer des déséquilibres biologiques.

Article 8 : accord du (des) détenteur (s) du droit de pêche

Le bénéficiaire ne peut exercer les droits qui sont liés à la présente autorisation que s’il a obtenu l’accord du (des) détenteur (s) du droit de pêche. Celui-ci est joint à l’original de la déclaration préalable prévue à l’article 8 du présent arrêté.

123 Article 9 : déclaration préalable

Deux semaines au moins avant l'opération, le bénéficiaire de la présente autorisation est tenu d’adresser une déclaration écrite précisant le programme, les dates et lieux de capture, ainsi qu’une copie de la présente autorisation au Préfet (DDT), à l'ONEMA et au Président de la Fédération de la Loire pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique.

Article 10 : compte-rendu d’exécution

Dans un délai d’un mois après l’exécution de chaque opération, le bénéficiaire de la présente autorisation est tenu d’adresser un compte-rendu précisant la date, le cours d’eau, la localisation X et Y du point aval, les résultats des captures (espèces, effectifs, poids, classes de taille) : • l’original au Préfet de la Loire (DDT) • une copie au Président de la Fédération pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique • une copie au service départemental de l'ONEMA.

Article 11 : rapport annuel

Dans un délai de six mois à compter de l’expiration de la présente autorisation, le bénéficiaire adresse un rapport de synthèse sur les opérations réalisées, indiquant les lieux, dates, objets et résultats obtenus : • l’original au Préfet de la Loire (DDT) • une copie au Président de la Fédération pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique • une copie au service départemental de l'ONEMA.

Article 12 : présentation de l’autorisation

Le bénéficiaire, ou le responsable matériel de l’opération, doit être porteur de la présente autorisation lors des opérations de capture et de transport. Il est tenu de la présenter à toute demande des agents commissionnés au titre de la police de la pêche.

Article 13 : retrait de l’autorisation

La présente autorisation est personnelle et incessible. Elle peut être retirée à tout moment sans indemnité si le bénéficiaire n’en respecte pas les clauses ou les prescriptions qui lui sont liées.

Article 14 : publication

Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs.

Article 15 : délai de recours

Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif territorialement compétent à compter de sa publication au recueil des actes administratifs de la préfecture dans un délai de deux mois.

Article 16 : exécution

M. le directeur départemental des Territoires de la Loire, sont chargés, chacun en ce qui les concerne, de l’exécution du présent arrêté. Une ampliation est adressée à M. le responsable du service départemental de l’Office National de l’Eau et des Milieux Aquatiques, M. le Chef du service départemental de la garderie de l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, à Monsieur le Président de la Fédération de la Loire pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique.

Saint-Etienne, le 5 octobre 2011 P. le préfet et par délégation P. le directeur départemental des territoires L'Ingénieur de la cellule Politiques et Police de l'Eau Philippe MOJA

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124 ARRETE PREFECTORAL N° DTT-11-750 DU 17/10/2011 RELATIF A LA CREATION DE ZONE DE DEVELOPPEMENT DE L'EOLIEN DITE « FORÊT DE TAILLARD » Le préfet de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur

VU le code de l'énergie ; VU la loi n° 2000-108 du 10 février 2000 modifiée relative à la modernisation et au développement du service public de l'électricité, notamment son article 10-1 ; VU la circulaire interministérielle du 19 juin 2006 relative à la création des zones de développement de l'éolien ; VU la demande de la communauté de communes des Monts du Pilat en date du 17 mars 2011 , en vue d'obtenir la création d'une zone de développement de l'éolien sur son territoire, complétée le 12 avril 2011 et déclarée complète le 21 avril 2011 ; VU l'avis favorable de la commission départementale de la nature, des paysages et des sites de la Loire en date du 9 septembre 2011 ; VU l'avis favorable du conseil départemental de l'environnement, des risques sanitaires et technologiques de la Loire en date du 12 septembre 2011 ; VU les avis des communes limitrophes et des EPCI limitrophes ; VU les avis des services et organismes consultés ; VU le rapport de la direction régionale de l’environnement, de l'aménagement et du logement de la région Rhône Alpes du 7 octobre 2011 ;

CONSIDERANT que : • le gisement éolien est suffisant, • le potentiel de raccordement est suffisant, • la ZDE est compatible avec les enjeux de sécurité publique, • la ZDE est compatible avec la préservation de la biodiversité, • la ZDE est compatible avec les enjeux relatifs au patrimoine archéologique connu, • la ZDE est compatible avec la préservation du paysage, du patrimoine et des sites remarquables et protégés , CONSIDERANT que la cohérence départementale des zones de développement de l'éolien est assurée ; SUR la proposition de la direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement de la région Rhône-Alpes ;

A R R E T E

ARTICLE 1er : Une zone de développement de l'éolien est créée sur les communes de et Saint Sauveur en Rue selon le tracé porté sur la carte annexée.

ARTICLE 2 : Les puissances installées minimale et maximale des installations produisant de l'électricité à partir de l'énergie mécanique du vent dans le périmètre précisé au précédent article sont respectivement de 0 mégawatt et 30 mégawatts.

ARTICLE 3 : Le présent arrêté sera affiché au siège de la communauté de communes des Monts du Pilat et à la mairie de chaque commune, dont tout ou partie du territoire est compris dans le périmètre de la zone de développement de l'éolien et des communes limitrophes à celles dont tout ou partie du territoire est compris dans le périmètre de la zone de développement de l'éolien pendant un mois.

ARTICLE 4 : La création de la zone de développement de l'éolien ne préjuge pas de l'obtention ultérieure des autorisations nécessaires pour l'implantation des aérogénérateurs.

ARTICLE 5 : Le présent arrêté ne peut être déféré qu’au tribunal administratif de Lyon. Le délai de recours est de 2 mois à compter de la publication dudit arrêté.

125 ARTICLE 6 : Le secrétaire général de la préfecture de la Loire, le directeur régional de l'environnement, de l'aménagement et du logement de la région Rhône-Alpes, le directeur départemental des territoires de la Loire, le président de la communauté de communes des Monts du Pilat, les maires des communes de Burdignes, de Saint Saint Sauveur en Rue, de Bourg Argental, de , de Saint Régis du Coin, de Riotord, de Vanosc, d'Annonay, de Boulieu les Annonay, de Saint Marcel les Annonay, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs, et dont copie sera adressée au président du conseil général de la Loire et au président du conseil régional de la région Rhône-Alpes.

Saint Étienne, le 17 octobre 2011 Pour Le préfet et par délégation Le Secrétaire Général, Patrick FERIN

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ARRETE PREFECTORAL N° DT-11-786 DU 24/10/2011 LEVANT LES RESTRICTIONS DE CERTAINS USAGES DE L'EAU DANS LE DEPARTEMENT DE LA LOIRE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur

VU le Code de l’Environnement et notamment ses articles L 211-3, R 211-66 à R 211-70 ; VU le Code de la Santé Publique ; VU le Code Général des Collectivités Territoriales et notamment l’article L 2212-2 5° ; VU l’arrêté n° DT-10-488 en date du 05 août 2010, arrêté-cadre sécheresse pour le département de la Loire ; VU l’arrêté préfectoral n° DT-11-744 du 04 octobre 2011 fixant les prescriptions de limitation de certains usages de l’eau dans le département de la Loire VU le Schéma Directeur d’Aménagement et de Gestion des Eaux du bassin Loire-Bretagne ; VU le réseau d’observation de crise des assecs (ROCA) mis en œuvre par le service départemental de l'office national de l'eau et des milieux aquatiques de la Loire ; Considérant que les prévisions météorologiques de Meteo-France pour les prochains jours annoncent d'une part, des pluies pour les prochains jours, d'autre part des températures en dessous des normales saisonnières , Considérant que les débits du cours d'eau la Coise se maintient au-dessus du seuil de pénurie défini dans l'arrêté cadre ; Sur proposition du secrétaire général de la Préfecture de la Loire ;

ARRETE

Article 1 Levée des restrictions d'usage de l'eau : L'arrêté n° DT-11-744 de restriction de certains usages de l'eau en date du 04 octobre 2011 et concernant les communes listées en annexe est abrogé.

Article 2 Validité : Les dispositions du présent arrêté sont applicables à compter du lendemain de sa date de signature.

Article 3 Délai et voie de recours : Le présent arrêté peut être déféré au tribunal administratif de Lyon (184 Rue Duguesclin -69003 Lyon) dans un délai de 2 mois à compter de sa publication.

Article 4 Publication : Le présent arrêté sera affiché dans les mairies des communes figurant en annexe en un lieu accessible à tout moment. Le présent arrêté sera publié sur le site internet de la préfecture de la Loire. Le présent arrêté sera publié au registre des actes administratifs du département de la Loire. Un extrait du présent arrêté sera également publié dans deux journaux d’annonces légales du département.

126 Article 5 Exécution : Le secrétaire général de la préfecture de la Loire, le sous-préfet de Roanne, le sous-préfet de Montbrison, le Directeur Départemental des Territoires, le Directeur Départemental de la Protection des Populations, le Directeur Régional de l’Environnement de l'Aménagement et du Logement, le délégué territorial de la Loire de l'agence régionale de Santé les Maires des communes de la Loire figurant en annexe, le Commandant du Groupement de Gendarmerie Départemental, le Directeur Départemental de la Sécurité Publique, le chef du service départemental de l'Office National de l'Eau et des Milieux Aquatiques, le chef du service départemental de l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, sont chargés, chacun en ce qui les concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Saint-Etienne, le 24 octobre 2011 Le Secrétaire Général Patrick FERIN

ANNEXE

COMMUNES DU SECTEUR N°3 : MONTS DU LYONNAIS

ANDREZIEUX-BOUTHEON POUILLY-LES-FEURS AVEIZIEUX RIVAS BALBIGNY ROZIER-EN-DONZY BELLEGARDE-EN-FOREZ SAINT-ANDRE-LE-PUY BUSSIERES SAINT-BARTHELEMY-LESTRA CHAMBOEUF SAINT-BONNET-LES-OULES CHATELUS SAINT-CHRISTO-EN-JAREZ CHAZELLES-SUR-LYON SAINT-CYR-LES-VIGNES CHEVRIERES SAINT-DENIS-SUR-COISE CIVENS SAINTE-AGATHE-EN-DONZY COTTANCE SAINT-GALMIER CUZIEU SAINT-HEAND EPERCIEUX-SAINT-PAUL SAINT-LAURENT-LA-CONCHE ESSERTINES-EN-DONZY SAINT-MARCEL-DE-FELINES FEURS SAINT-MARTIN-LESTRA FONTANES SAINT-MEDARD-EN-FOREZ GRAMMOND SALT-EN-DONZY JAS SALVIZINET LA FOUILLOUSE VALEILLE LA GIMOND VEAUCHE MARCENOD VIRICELLES MARCLOPT VIRIGNEUX MARINGES MONTCHAL MONTROND-LES-BAINS NERONDE PANISSIERES

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127 ARRETE PREFECTORAL DU 14/10/2011 PORTANT REGLEMENTATION PERMANENTE DE LA CIRCULATION SUR LA COMMUNE DE VEAUCHE - INSTALLATION DE FEUX TRICOLORES À L’INTERSECTION RD 1082 X CHEMIN DE JOURCEY X RUE DE LA GUILLONNIÈRE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur

Conjointement

Madame le MAIRE DE VEAUCHE

Vu le décret n° 82-389 du 10 mai 1982 relatif aux pouvoirs des Préfets, et à l’action des Services et Organismes Publics de l’Etat dans les Départements, Vu le Code de la Route, et notamment l’article L110-3 définissant les Routes à Grande Circulation et l’article R411-7 déterminant la compétence en agglomération sur carrefours à feux de signalisation lumineux. Vu l’arrêté interministériel du 6 novembre 1992, et modifiée relatif à la signalisation routière. Vu la demande présentée par la mairie de Veauche en date du 27 mai 2011 Vu l’avis favorable du Conseil Général de la Loire en date du 6 avril 2011 Considérant qu’il y a lieu d’améliorer la sécurité des usagers de la route et la traversée des piétons , et que de ce fait il convient de modifier la réglementation, à l’intersection de la RD 1082 x Chemin de Jourcey x rue de la Guillonnière

ARRETE

ARTICLE 1 Le carrefour de la RD 1082 x Chemin de Jourcey x rue de la Guillonnière est équipé de feux tricolores selon le principe de fonctionnement suivant : • Le feu sur la RD 1082 est prioritaire et fonctionne en synchronisation avec les autres carrefours de la RD 1082. • Les feux du chemin de Jourcey et de la rue de la Guillonnière sont équipés de radars de présence.

ARTICLE 2 : En cas de neutralisation des feux les usagers du chemin de Jourcey et de la rue de la Guillonnière doivent céder le passage aux usagers circulant sur la RD 1082.

ARTICLE 3 Cette réglementation sera matérialisée par la pose de panneaux conformément à l’arrêté interministérielle visé ci dessus.

ARTICLE 4 Cette réglementation entrera en vigueur dès la signature du présent arrêté et la pose de la signalisation correspondante

ARTICLE 5 Copie du présent arrêté sera adressée à : • Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture • Madame le maire de Veauche • Monsieur le Directeur Départemental des Territoires • Monsieur le Président du Conseil Général • Monsieur le Colonel Commandant du Groupement de Gendarmerie de la Loire • Monsieur le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Loire

Chargés, chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des actes Administratifs du Département.

Fait à Veauche, le 21 octobre 2011 Fait à Saint-Etienne, le 14 octobre 2011 Madame le Maire Le Préfet de la Loire Monique GIRARDON Pierre SOUBELET

128 DELEGATION TERRITORIALE DE L'AGENCE REGIONALE DE SANTE

ARRETE ARS N° 2011-3827 DU 28/09/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DE L’ACCUEIL DE JOUR « ALOESS » AU CHAMBON FEUGEROLLES POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Au titre de l’exercice 2011, la tarification de l’accueil de jour « ALOESS » au CHAMBON FEUGEROLLES dont le N° FINESS est 420 003 808 est fixée comme suit :

Dotation globale de soins 114 006.24 €

Article 2 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 4 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 28 septembre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

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129 ARRETE ARS N° 2011-3825 DU 28/09/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DU FOYER LOGEMENT « LE MAIL » À FIRMINY POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Au titre de l’exercice 2011, la tarification du foyer logement « Le Mail » à FIRMINY dont le N° FINESS est 420 788 176 est fixée comme suit :

Dotation globale de soins 115 276.21 €

Article 2 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 4 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 28 septembre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

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ARRETE ARS N° 2011-3824 DU 28/09/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DU FOYER LOGEMENT « LE PARC » AU COTEAU POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ;

130 Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Au titre de l’exercice 2011, la tarification du foyer logement « Le Parc » au COTEAU dont le N° FINESS est 420 784 449 est fixée comme suit :

Dotation globale de soins 121 894.54€

Article 2 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 4 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 28 septembre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

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ARRETE ARS N° 2011-3826 DU 28/09/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DU FOYER LOGEMENT « LE PARC » À ROCHE LA MOLIERE POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

131 Article 1 : Au titre de l’exercice 2011, la tarification du foyer logement « Le Parc » à ROCHE LA MOLIERE dont le N° FINESS est 420 784 498 est fixée comme suit :

Dotation globale de soins 109 873.11 €

Article 2 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 4 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 28 septembre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

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ARRETE ARS N° 2011-3820 DU 28/09/2011 MODIFIANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DE L’EHPAD « MARCEL SICRE » À ANDREZIEUX BOUTHEON POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Vu la convention tripartite signée le 29 décembre 2009 entre le représentant de l’Etablissement Hébergeant des personnes âgées, Monsieur le Préfet de Département et Monsieur le Président du Conseil Général de la Loire ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Au titre de l’exercice 2011, la tarification de l’EHPAD « Marcel SICRE » à ANDREZIEUX BOUTHEON dont le N° FINESS est 420 781 775 est fixée comme suit :

Dotation globale de soins 1 226 077.66 €

Article 2 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

132 Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 4 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 28 septembre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

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ARRETE ARS N° 2011-3821 DU 28/09/2011 MODIFIANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE À L’EHPAD « VILLA D’ALBON » À ROANNE POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Vu la convention tripartite signée le 1er janvier 2011.entre le représentant de l’Etablissement Hébergeant des personnes âgées, Monsieur le Directeur général de l’ARS et Monsieur le Président du Conseil Général de la Loire ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Au titre de l’exercice 2011, la tarification de l’EHPAD « Villa d’Albon » à ROANNE dont le N° FINESS est 420 009 888 est fixée comme suit : Dotation globale de soins 877 998.16 €

Répartie de la manière suivante : Hébergement complet 785 606.75 € Hébergement temporaire 92 391.41 €

Article 2 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

133 Article 4 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 28 septembre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

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ARRETE ARS N° 2011-3822 DU 28/09/2011 MODIFIANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE À L’EHPAD « MAISON DE RETRAITE DÉPARTEMENTALE DE LA LOIRE » À ST JUST ST RAMBERT POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Vu la convention tripartite signée le 29 décembre 2009 entre le représentant de l’Etablissement Hébergeant des personnes âgées, Monsieur le Préfet de Département et Monsieur le Président du Conseil Général de la Loire ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Au titre de l’exercice 2011, la tarification de l’EHPAD « Maison de retraite départementale de la Loire » à St Just St Rambert dont le N° FINESS est 420 780 769 est fixée comme suit :

Dotation globale de soins 7 115 602.32 € Répartie de la manière suivante :

Hébergement complet 6 993 002.65 € Dont 891.27 € de crédits non reconductibles

Hébergement temporaire 10 822.67 €

Accueil de jour 111 777.00 €

Article 2 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

134 Article 4 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 28 septembre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

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ARRETE ARS N° 2011-3823 DU 28/09/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD MAINTIEN A DOMICILE DU FOREZ À ANDREZIEUX BOUTHEON POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD Maintien à Domicile du Forez à Andrézieux Bouthéon (N° FINESS 42 001 173 6) sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 474 773.84 € Dont dotation personnes âgées 452 714.74 € Dont dotation personnes handicapées 22 059.10 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante :

Personnes âgées : Groupes fonctionnels Crédits Crédits non TOTAL reconductibles reconductibles en €uros Groupe I (montants (montants 17 599,00 17 599,00 Dépenses d'exploitation courante Groupe II 374 572,09 374 572,09 Dépenses afférentes au personnel Dépenses Groupe III 67 643,65 67 643,65 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 459 814,74 0,00 459 814,74 Groupe I 452 714,74 Produits de la tarification 452 714,74 Groupe II 7 100,00 7 100,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 Total des recettes 459 814,74 0,00 459 814,74

135 Personnes handicapées : Groupes fonctionnels Crédits Crédits non TOTAL reconductibles reconductibles en €uros Groupe I (montants (montants 0,00 Dépenses d'exploitation courante Groupe II 20 730,75 20 730,75 Dépenses afférentes au personnel Dépenses Groupe III 1 328,35 1 328,35 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 22 059,10 0,00 22 059,10 Groupe I 22 059,10 Produits de la tarification 22 059,10 Groupe II 0,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 22 059,10 0,00 22 059,10

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 28 septembre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

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ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3852 DU 03/10/2011 FIXANT LE MONTANT ET LA RÉPARTITION POUR L’EXERCICE 2011 DE LA DOTATION GLOBALISÉE COMMUNE PRÉVUE AU CONTRAT PLURIANNUEL D’OBJECTIFS ET DE MOYENS APPLICABLES AUX SERVICES ET ÉTABLISSEMENTS MÉDICO-SOCIAUX GÉRÉS PAR L’ASSOCIATION DÉPARTEMENTALE DES AMIS ET PARENTS DE PERSONNES DÉFICIENTES INTELLECTUELLES (ADAPEI) Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes

VU le Code de l’Action Sociale et des Familles, notamment les articles L.312-1, L.314-1,L.313-8, L.313-11 et L.314- 3 à L.314-8 et R.314-1 à R.314-207 ; VU le Code de la Sécurité Sociale ; VU la loi n°2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la Sécurité Sociale pour 2011 ; VU le décret n° 2010-336 du 31 mars 2010 portant création des agences régionales de santé ; VU le décret du 1er avril 2010 portant nomination de Monsieur Denis MORIN en qualité de directeur général de l’agence régionale de santé de la région Rhône-Alpes ; VU l’arrêté du 22 octobre 2003 modifié fixant les modèles de documents prévus aux articles R.314-10, R.314-13, R.314-17, R.314-19, R.314-20, R.314-48 et R.314-82 du Code de l’Action Sociale et des Familles ;

136 VU l’arrêté du 23 décembre 2009 fixant le montant du forfait journalier hospitalier prévu à l’article L.174.4 du Code de la Sécurité Sociale à 18 € à compter du 1er janvier 2010 ; VU l’arrêté ministériel du 9 mai 2011 publié au Journal Officiel du 13 mai 2011 fixant pour l’année 2011 la contribution des régimes d’assurance maladie, l’objectif de dépenses et le montant total annuel des dépenses pour les établissements et services relevant de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie mentionnés à l’article L. 314- 3 du code de l’action sociale et des familles et fixant le montant mentionné à l’article L. 314-3-4 du même code ; VU la décision du directeur de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie en date du 18 mai 2011 publiée au Journal Officiel du 22 mai 2011 fixant pour l’année 2011 le montant des dotations régionales limitatives mentionnées à l’article L. 314-3 du code de l’action sociale et des familles ; VU la circulaire interministérielle n°DGCS/5C/DSS/ 1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes handicapées et des personnes âgées ; VU l’instruction du 5 mai 2011 de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie portant fixation du cadre de mise en œuvre de la campagne budgétaire personnes âgées/personnes handicapées 2011 ; VU la décision n° 2011/2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé au Délégué territorial du département de la Loire ; VU le contrat pluriannuel d’objectifs et de moyens en date 21 décembre 2007 entre l’ADAPEI de la Loire et la direction des affaires sanitaires et sociales du département de la Loire et l'avenant n°1 de ce CPOM en date du 9 août 2010 ; VU le document présentant la répartition de la DGC 2011 par structure, transmise par l’ADAPEI ; Considérant les échanges réalisés lors de la réunion du Comité de Suivi en date du 24 juin 2011 ; Sur proposition du délégué territorial du département de la Loire de l’Agence Régionale de Santé,

ARRETE

Article 1 er : Pour l'année 2011, la dotation globalisée commune des établissements et services médico-sociaux financés par l'assurance maladie, gérés par l’ADAPEI dont le siège social est situé 11-13 rue Grangeneuve à Saint- Etienne, est fixée en application des dispositions du contrat pluriannuel d’objectifs et de moyens susvisé à 16 907 330 €.

Ce montant correspond à la dotation globalisée commune 2010 de référence (16 339 836 €) ; - complétée des crédits reconductibles permettant l’extension en année pleine des 15 places du FAM Pôle Autistes installées le 1er septembre 2010 (249 695 €) ; - majorée du taux défini par la CNSA pour la campagne budgétaire 2011 de 0,75 % (soit 124 421 €) ; - ajustée de crédits reconductibles supplémentaires permettant les extensions en année pleine (EAP) des montants alloués en 2010 pour financer les frais de transport en MAS et FAM en accueil de jour (33 292 €) ; - ajustée de crédits reconductibles supplémentaires permettant le renforcement des postes de dépenses relatifs aux frais de transport et aux fournitures médicales (160 086 €).

Article 2 : Cette dotation globalisée commune est répartie entre les établissements et services, de la façon suivante :

Dotation Etablissements FINESS reconductible de CNR TOTAL référence 2011 IME Le Sentier des Mômes 42 078 082 7 777 563 € 777 563 € IME La Grand Croix 42 078 096 7 561 005 € 561 005 € IME de Grangeneuve 42 001 050 6 956 284 € 956 284 € IME de Méons 42 078 083 5 945 720 € 945 720 € IME Les Petits Princes 42 078 093 4 1 932 406 € 1 932 406 € IME Les Campanules 42 078 822 6 1 392 999 € 1 392 999 € IME Le Mayollet 42 078 024 9 868 504 € 868 504 € Section Spécialisée de l’IME Le 42 078 823 4 589 350 € 589 350 € Mayollet IME de St Cyr-Les-Vignes 42 078 368 0 1 639 854 € 1 639 854 € IME de St-Nizier-sous-Charlieu 42 078 028 0 766 420 € 766 420 € Sous-total IME 10 430 105 € 10 430 105 € SESSAD de l’Alauda 42 000 426 9 184 703 € 184 703 €

137 Sous-total SESSAD 184 703 € 184 703 € MAS Les Marronniers 42 078 674 1 2 588 475 € 2 588 475 € MAS Les Tulipiers 42 078 910 9 617 240 € 617 240 € MAS Les Jardins d’Asphodèles 42 000 417 8 1 639 689 € 1 639 689 € Sous-total MAS 4 845 404 € 4 845 404 € FAM FAM Les Iris 42 078 931 5 697 195 € 697 195 € FAM Les Primevères 42 000 935 9 376 603 € 376 603 € FAM Pôle Autistes 42 000 997 9 373 320 € 373 320 € Sous-total FAM 1 447 118 € 1 447 118 € TOTAL GENERAL 16 907 330 € 16 907 330 €

Article 3 : Pour l'exercice budgétaire 2011, la dotation globalisée commune à la charge de l’assurance maladie relative au CPOM s’élève à 16 907 330 €. La fraction forfaitaire égale au douzième de la dotation globalisée commune est arrêtée à : 1 408 944,17 €

Article 4 : La fraction forfaitaire égale au douzième de la dotation globalisée commune (DGC) est fixée, pour chaque établissement de la façon suivante :

Etablissement FINESS D.G.C 1/12 de la DGC IME Le Sentier des Mômes 42 078 082 7 777 563 € 64 796,92 € IME La Grand Croix 42 078 096 7 561 005 € 46 750,42 € IME de Grangeneuve 42 001 050 6 956 284 € 79 690,33 € IME de Méons 42 078 083 5 945 720 € 78 810,00 € IME Les Petits Princes 42 078 093 4 1 932 406 € 161 033,83 € IME Les Campanules 42 078 822 6 1 392 999 € 116 083,25 € IME Le Mayollet 42 078 024 9 868 504 € 72 375,33 € Section Spécialisée de l’IME Le Mayollet 42 078 823 4 589 350 € 49 112,50 € IME de St Cyr-Les-Vignes 42 078 368 0 1 639 854 € 136 654,50 € IME de St-Nizier-sous-Charlieu 42 078 028 0 766 420 € 63 868,33 € Sous-total IME 10 430 105 € 869 175,42 € SESSAD de l’Alauda 42 000 426 9 184 703 € 15 391,92 € Sous-total SESSAD 184 703 € 15 391,92 € MAS Les Marronniers 42 078 674 1 2 588 475 € 215 706,25 € MAS Les Tulipiers 42 078 910 9 617 240 € 51 436,67 € MAS Les Jardins d’Asphodèles 42 000 417 8 1 639 689 € 136 640,75 € Sous-total MAS 4 845 404 € 403 783,67 € FAM FAM Les Iris 42 078 931 5 697 195 € 58 099,58 € FAM Les Primevères 42 000 935 9 376 603 € 31 383,58 € FAM Pôle Autistes 42 000 997 9 373 320 € 31 110,00 € Sous-total FAM 1 447 118 € 120 593,17 € TOTAL GENERAL 16 907 330 € 1 408 944,17 €

Article 5 : Pour les MAS « Les Marronniers », « Les Tulipiers », « Les Jardins d’Asphodèles », établissement pour adultes, le montant de la dotation globalisée commune n'inclut pas le forfait journalier versé pour l'internat. Celui-ci est fixé à 18 € par arrêté ministériel du 29 décembre 2009. L’association gestionnaire facturera à l'Assurance Maladie les forfaits journaliers concernant les bénéficiaires de la Couverture Maladie Universelle.

Article 6 : Les tarifs journaliers opposables entre régimes d’assurance maladie, et aux conseils généraux en application de l’article L.242-4 du code de l’action sociale et des familles, sont fixés à :

• IME relevant de l’annexe XXIV : • En internat : au produit de 23,88 fois le montant horaire du salaire minimum de croissance soit 214,92 euros ; • En semi-internat : au produit de 16 fois le montant horaire du salaire minimum de croissance soit 144 euros ; • IME relevant de l’annexe XXIV ter (polyhandicap) :

138 • En semi-internat : au produit de 28,73 fois le montant horaire du salaire minimum de croissance soit 258,57 euros ; • MAS : • En internat : au produit de 25,54 fois le montant horaire du salaire minimum de croissance soit 229,86 euros ; • En semi-internat : au produit de 16,67 fois le montant horaire du salaire minimum de croissance soit 150,03 euros. • FAM : • En internat : au produit de 7,29 fois le montant horaire du salaire minimum de croissance soit 65,61 €.

Article 7 : En 2012, sans préjudice de la campagne budgétaire pour 2012, la dotation globalisée commune provisoire aura pour base la dotation globalisée de référence reconductible 2011, soit 16 907 330 €. Dans l’attente de la fixation de la dotation globalisée commune 2012, le 1/12éme de la dotation reconductible de chaque établissement sera applicable à compter du 1er janvier 2012.

Article 8 : Une copie de la présente décision sera notifiée à l’association gestionnaire, signataire du CPOM.

Article 9 : Les recours dirigés contre la présente décision doivent être portés devant le Tribunal Interrégional de la Tarification Sanitaire et Sociale sis DRJSCS Rhône Alpes 245 rue Garibaldi 69422 LYON CEDEX 03 dans un délai d’un mois à compter de sa publication, ou, pour les personnes auxquelles elle sera notifiée, à compter de sa notification.

Article 10 : En application des dispositions du III de l’article R.314-36 la présente décision sera publiée aux recueils des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture de la Loire.

Article 11 : Monsieur le directeur général de l’Agence Régionale de Santé de Rhône Alpes et Monsieur le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision.

Saint-Etienne, le 3 octobre 2011 P/ le DGARS, et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

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ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3853 DU 03/10/2011 FIXANT LE MONTANT ET LA RÉPARTITION POUR L’EXERCICE 2011 DE LA DOTATION GLOBALISÉE COMMUNE PRÉVUE AU CONTRAT PLURIANNUEL D’OBJECTIFS ET DE MOYENS APPLICABLES AUX ÉTABLISSEMENTS ET SERVICES D’AIDE PAR LE TRAVAIL GÉRÉS PAR L’ASSOCIATION DÉPARTEMENTALE DES AMIS ET PARENTS DE PERSONNES DÉFICIENTES INTELLECTUELLES (ADAPEI) Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes

VU le Code de l’Action Sociale et des Familles, notamment les articles L.312-1, L.314-1, L.313-8 et L.314-3 à L.314-8 et R.314-1 à R.314-207 ; VU la loi n° 2010-1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011 publiée au Journal Officiel du 30 décembre 2010 ; VU l’arrêté du 22 octobre 2003 modifié fixant les modèles de documents prévus aux articles 9, 12, 16, 18, 19, 47 et 83 du décret 2003-1010 du 22 octobre 2003 relatif à la gestion budgétaire, comptable et financière et aux modalités de financement et de tarification des établissements et services sociaux et médico-sociaux mentionnés au I de l’article L.312-1 du Code de l’Action Sociale et des Familles ; VU l’arrêté ministériel du 24 juin 2011 pris en application de l’article L.314-4 du CASF fixant les dotations régionales limitatives aux frais de fonctionnement des ESAT publics et privés ; VU l’arrêté ministériel du 24 juin fixant les tarifs plafonds prévus au 2ème alinéa de l’article L.314-4 du CASF applicable aux ESAT publics et privés ; VU la circulaire DGCS/SMS3b/2011/260 du 24 juin 2011 relative à la campagne budgétaire des ESAT pour 2011 ; VU le décret n° 2010-336 du 31 mars 2010 portant création des agences régionales de santé ; VU le décret du 1er avril 2010 portant nomination de Monsieur Denis MORIN en qualité de directeur général de l’agence régionale de santé de la région Rhône-Alpes ; VU la décision n° 2011/2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé au Délégué territorial du département de la Loire ;

139 VU le contrat pluriannuel d’objectifs et de moyens en date 21 décembre 2007 entre l’ADAPEI de la Loire et la direction des affaires sanitaires et sociales du département de la Loire et l'avenant n°1 de ce CPOM en date du 9 août 2010 ; VU l’arrêté n° 85-288 du 21 novembre 1985 portant la capacité de l’ESAT de Bel-Air à 80 places ; VU l’arrêté n° 96-300 du 8 juillet 1996 création de l’ESAT de Molina avec une capacité de 60 places dont 10 places d’atelier protégé ; VU l’arrêté n° 2009-103 du 21 avril 2009 portant la capacité de l’ESAT de Charlieu à 55 places ; VU l’arrêté n° 2009-104 du 21 avril 2009 portant la capacité de l’ESAT du Coteau à 36 places ; VU l’arrêté n° 2009-283 du 30 juin 2009 portant la capacité de l’ESAT de à 107 places ; VU l’arrêté n° 2009-284 du 30 juin 2009 portant la capacité de l’ESAT de Feurs à 51 places ; VU l’arrêté n° 2009-286 du 30 juin 2009 portant la capacité de l’ESAT de Grand-Croix à 71 places ; VU l’arrêté n° 2009-287 du 30 juin 2009 portant la capacité de l’ESAT de Saint-Chamond à 97 places ; VU l’arrêté n° 2009-288 du 30 juin 2009 portant la capacité de l’ESAT Stéphanois à 98 places ; VU l’arrêté n° 2010-103 du 31 mars 2010 portant la capacité de l’ESAT Montbrison à 71 places ; VU l’arrêté n° 2010-1569 du 1er septembre 2010 portant la capacité de l’ESAT du Dorlay à 41 places ; VU l’arrêté n° 2010-1570 du 1er septembre 2010 autorisant le regroupement des ESAT de Joubert et de l’Ondaine et l’augmentation de capacité à hauteur de 4 places portant ainsi la capacité totale de l’ESAT à 153 places ; VU l’arrêté n° 2010-3810 du 30 novembre 2010 fixant le montant et la répartition pour l’exercice 2010 de la dotation globalisée commune prévue au contrat pluriannuel d’objectif et de moyens applicable aux établissements et services d’aide par le travail gérés par l’Association Départementale des Amis et Parents de personnes déficientes Intellectuelles (ADAPEI) ; VU le document présentant la répartition de la DGC 2011 par structure, transmise par l’ADAPEI ; Considérant les échanges réalisés lors de la réunion du Comité de Suivi en date du 24 juin 2011 ; Sur proposition du délégué territorial du département de la Loire de l’Agence Régionale de Santé,

ARRETE

Article 1 er : Pour l'année 2011, la dotation globalisée commune des établissements et services d’aide par le travail (ESAT), gérés par l’ADAPEI de la Loire, dont le siège social est situé 11-13 rue Grangeneuve à Saint-Etienne, est fixée en application des dispositions du contrat pluriannuel d’objectifs et de moyens susvisé à 10 078 760 €. Ce montant correspond à la dotation globalisée commune 2010 de référence soit 10 043 691 €, - majorée du taux d’évolution en reconduction fixé par circulaire susvisée et notamment son annexe 2 à hauteur de 0,33 % soit 33 144, euros portant ainsi la DGC 2011 de référence à 10 076 835 €, - complétée de crédits complémentaires non reconductibles relevant de l’action expérimentale Passerelle vers le Milieu Ordinaire (PASSMO) alloués à l’ESAT de Feurs, pour la période du 1er février au 31 décembre 2011, à hauteur de 1 925 euros. Article 2 : Cette dotation globalisée commune est répartie entre les établissements et services, de la façon suivante :

Dotation Etablissements FINESS reconductible de CNR TOTAL référence 2011 ESAT de Charlieu 42 078 652 7 691 369 € 0 € 691 369 € ESAT de Riorges 42 078 382 1 1 127 621 € 0 € 1 127 621 € ESAT 42 000 808 8 411 619 € 0 € 411 619 € ESAT de Feurs 42 078 746 7 540 803 € 1 925 € 542 728 € ESAT de Montbrison 42 078 381 3 704 611 € 0 € 704 611 € ESAT Le Stéphanois 42 079 236 8 1 157 828 € 0 € 1 157 828 € ESAT de Bel-Air 42 079 385 4 974 327 € 0 € 974 327 € ESAT Les Ateliers de l’Ondaine 42 078 625 3 1 564 212 € 0 € 1 564 212 € ESAT Molina 42 000 259 4 564 895€ 0 € 564 895€ ESAT du Dorlay 42 078 387 0 558 376 € 0 € 558 376 € ESAT Grand Croix 42 078 379 7 695 520 € 0 € 695 520 € ESAT de Saint-Chamond 42 078 383 9 1 085 654 € 0 € 1 085 654 € TOTAL GENERAL 10 076 835 € 1 925 € 10 078 760 €

Article 3 : Pour l'exercice budgétaire 2011, la fraction forfaitaire mensuelle financée par l’Etat, en application de l’article R.314-106 à R.314-110 du Code de l’Action Sociale et des Familles, est égale au douzième de la DGC et s’établit à 839 896,67 euros.

140 Article 4 : La fraction forfaitaire égale au douzième de la dotation globalisée commune (DGC) est fixée, pour chaque établissement de la façon suivante :

Etablissements FINESS DGC 1/12 de la DGC ESAT de Charlieu 42 078 652 7 691 369 € 57 614,08 € ESAT de Riorges 42 078 382 1 1 127 621 € 93 968,42 € ESAT Le Coteau 42 000 808 8 411 619 € 34 301,58 € ESAT de Feurs 42 078 746 7 542 728 € 45 227,33 € ESAT de Montbrison 42 078 381 3 704 611 € 58 717,58 € ESAT Le Stéphanois 42 079 236 8 1 157 828 € 96 485,67 € ESAT de Bel-Air 42 079 385 4 974 327 € 81 193,92 € ESAT Les Ateliers de l’Ondaine 42 078 625 3 1 564 212 € 130 351,00 € ESAT Molina 42 000 259 4 564 895€ 47 074,58 € ESAT du Dorlay 42 078 387 0 558 376 € 46 531,33 € ESAT Grand Croix 42 078 379 7 695 520 € 57 960,00 € ESAT de Saint-Chamond 42 078 383 9 1 085 654 € 90 471,17 € TOTAL GENERAL 10 078 760 € 839 896,67€

Article 5 : En 2012, sans préjudice de la campagne budgétaire pour 2012, la Dotation Globalisée Commune provisoire aura pour base la Dotation Globalisée de référence reconductible 2011 soit 10 076 835 €. Dans l’attente de la fixation de la dotation globalisée commune 2012, le 1/12éme applicable à compter du 1er janvier 2012 s’élève à 839 736,25 euros (10 076 835/12).

Article 6 : Conformément aux dispositions de l’article R. 314-43-1 du code de l’action sociale et des familles, la DGC sera versée à l’association gestionnaire (références bancaires : LYONNAISE DE BANQUE 10096 18517 00024352428 32) par fractions forfaitaires égales au douzième de son montant, soit pour l’ensemble des 12 ESAT : 839 896,67 €. Le versement des crédits correspondants est effectué mensuellement par l’Agence de Services et de Paiement.

Article 7 : Les recours par les tiers dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le Tribunal Interrégional de la Tarification Sanitaire et Sociale sis Immeuble Le Saxe- 119 avenue Maréchal de Saxe-69427 LYON CEDEX 03 dans un délai d’un mois à compter de sa publication.

Article 8 : En application des dispositions du III de l’article R.314-36 du CASF, le présent arrêté sera publié aux recueils des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture de la Loire.

Article 9 : Monsieur le directeur général de l’Agence Régionale de Santé de Rhône-Alpes et Monsieur le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifiée à l’ADAPEI.

Saint-Etienne, le 3 octobre 2011 P/ le DGARS, et par délégation, Le délégué territorial MARC MAISONNY

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MENTION DE L'ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N° 2011-056 EN DATE DU 30/06/2011, SIGNÉ PAR M. PIERRE SOUBELET, PREFET DE LA LOIRE, DÉCLARANT D’UTILITÉ PUBLIQUE LES TRAVAUX DE PRÉLÈVEMENT D’EAU, LA MISE EN COMPATIBILITÉ DU PLAN LOCAL D’URBANISME DE LA COMMUNE DE ST MICHEL SUR RHÔNE, AUTORISANT LE SYNDICAT DE PRODUCTION DU CANTON DE PÉLUSSIN À UTILISER L’EAU EN VUE DE LA CONSOMMATION HUMAINE, ET INSTAURANT LES PÉRIMÈTRES DE PROTECTION DES PUITS JASSOUX 1 ET 2, ET LES SERVITUDES S’Y RAPPORTANT

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141 ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011- 4147 DU 19/10/2011 MODIFIANT L’ARRÊTÉ N° 2011-3218 DU 4 AOÛT 2011 QUI PORTAIT FIXATION DES FORFAITS GLOBAUX ANNUELS DE SOINS POUR L’ANNÉE 2011 DU FAM « CENTRE MUTUALISTE DES HANDICAPS » DE FEURS ET DU FAM « RÉSIDENCE ALPHA » DE CHAMPDIEU Le directeur général par intérim de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes,

VU le Code de l’Action Sociale et des Familles, notamment les articles L312-1, L314-1, L.313.8, L.314.3 à L.314.8, et R.314-1 à R.314-207 ; VU le Code de la Sécurité Sociale ; VU la loi n° 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la Sécurité Sociale pour 2011 ; VU le décret n° 2010-336 du 31 mars 2010 portant création des agences régionales de santé ; VU le décret du 14 octobre 2011 portant nomination de Monsieur Christian DUBOSQ en qualité de directeur général par intérim de l’agence régionale de santé de la région Rhône-Alpes ; VU l’arrêté du 22 octobre 2003 modifié fixant les modèles de documents prévus aux articles R.314-10 , R.314-13, R.314-17, R.314-19, R.314-20, R.314-48 et R.314-82 du Code de l’Action Sociale et des Familles ; VU l’arrêté ministériel du 9 mai 2011 publié au Journal Officiel du 13 mai 2011 fixant pour l’année 2011 la contribution des régimes d’assurance maladie, l’objectif de dépenses et le montant total annuel des dépenses pour les établissements et services relevant de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie mentionnés à l’article L. 314- 3 du code de l’action sociale et des familles et fixant le montant mentionné à l’article L. 314-3-4 du même code ; VU la décision du directeur de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie en date du 18 mai 2011 publiée au Journal Officiel du 22 mai 2011 fixant pour l’année 2011 le montant des dotations régionales limitatives mentionnées à l’article L. 314-3 du code de l’action sociale et des familles ; VU l’arrêté du Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé n° 2011-3218 du 4 août 2011 fixant la tarification applicable au FAM de Feurs et au FAM de Champdieu pour 2011 ; VU la circulaire interministérielle n°DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes handicapées et des personnes âgées ; VU l’instruction du 5 mai 2011 de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie portant fixation du cadre de mise en œuvre de la campagne budgétaire personnes âgées/personnes handicapées 2011 ; VU la décision n° 2011/4103 du 17 octobre 2011 portant délégation de signature du directeur général par intérim de l’agence régionale de santé au Délégué territorial du département de la Loire ; Considérant la procédure budgétaire 2011 appliquée selon les termes de la circulaire budgétaire 2011 précitée ; Considérant le mémoire en réponse de la Mutualité Française Loire pour une demande de crédits supplémentaires en vue d’abonder les dépenses de personnel autorisées au titre de l’année 2011 transmise par courrier reçu le 22 juillet 2011 à la délégation territoriale du département de la Loire ; Considérant la possibilité d’allouer ponctuellement des crédits non reconductibles au titre de l’exercice budgétaire 2011 ; SUR proposition du délégué territorial,

Article 1er : L’arrêté n° 2011-3218 du 4 août 2011 est modifié.

Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du FAM « Centre Mutualiste des Handicaps » de Feurs (n° finess : 420 002 735), géré par la Mutualité Française Loire, sont autorisées comme suit pour la partie soins :

Crédits Crédits non reconductibles TOTAL Groupes fonctionnels reconductibles (montants en €uros (montants en €) en €) Groupe I 43 930 € 0 € 43 930 € Dépenses d’exploitation courante Groupe II 467 208 € 22 353 € 489 561 € Dépenses afférentes au personnel Groupe III 0 € 3 530 € 3 530 € Dépenses Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0 € 0 € 0 €

Total des dépenses 511 138 € 25 883 € 537 021 €

142 Groupe I 511 138 € 25 883 € 537 021 € Produits de la tarification Groupe II 0 € 0 € 0 € Autres produits relatifs à l’exploitation Groupe III Recettes Produits financiers et produits non 0 € 0 € 0 € encaissables Reprise d’excédents 0 € 0 € 0 €

Total des recettes 511 138 € 25 883 € 537 021 €

Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du FAM « Résidence Alpha » de Champdieu (n° finess : 420 002 586), géré par la Mutualité Française Loire, autorisées pour la partie soins restent inchangées:

Article 2 : Pour l’exercice budgétaire 2011, la tarification du FAM « Centre Mutualiste des Handicaps » de Feurs est fixée comme suit pour la partie soins :

• forfait global annuel de soins : 537 021 € • forfait journalier afférent aux soins : 65,32 €

Article 3 : La fraction forfaitaire du FAM « Centre Mutualiste des Handicaps » de Feurs, en application de l’article R.314-107 du CASF, égale au douzième du forfait global de soins versée par l’assurance maladie, s’établit ainsi à 44 751,75 €.

Article 4 : L’article 4 de l’arrêté du 4 août 2011 reste inchangé.

Article 5 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le Tribunal Interrégional de la Tarification Sanitaire et Sociale sis DRJSCS Rhône Alpes 245 rue Garibaldi 69422 LYON CEDEX 03, dans un délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles elle sera notifiée, à compter de sa notification.

Article 6 : Une copie du présent arrêté sera notifiée à l’établissement concerné.

Article 7 : En application des dispositions du III de l’article R.314-36 le présent arrêté sera publié aux recueils des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Article 8 : Monsieur le directeur général par intérim de l’agence régionale de santé de Rhône Alpes et Monsieur le délégué territorial du départemental de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Saint-Etienne, le 19 octobre 2011 P/ le DGARS, et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

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ARRÊTÉ N° 2011/3940 EN DATE DU 06/102011 PORTANT AUTORISATION DE FONCTIONNEMENT DU LABORATOIRE DE BIOLOGIE MÉDICALE MULTI SITES LBM « SYNERBIO-PROGRES» Le directeur général de l’Agence Régionale de Santé Rhône-Alpes,

Vu le livre II de la sixième partie du code de la santé publique ; Vu la loi n° 2009-879 du 21 juillet 2009 portant réforme de l’hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires, et notamment son article 69 ; Vu l’ordonnance n° 2010-49 du 13 janvier 2010 relative à la biologie médicale et notamment son article 7 relatif aux dispositions transitoires et finales ; Vu le décret n° 2010-344 du 31 mars 2010 tirant les conséquences, au niveau règlementaire, de l’intervention de la loi n° 2009-879 susvisée, et notamment son article 208 ;

143 Vu l’arrêté du 26 novembre 1999 modifié relatif à la bonne exécution des analyses de biologie médicale ; Vu la décision 2010/832 du 30 juin 2010 portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes ; Vu l’arrêté préfectoral n° 2005-205 en date du 12 mai 2005 portant enregistrement de la SELARL « SYNERBIO- PROGRES » dont le siège social est situé 4, rue Traversière à SAINT ETIENNE (42000), sous le n° 42-10 sur la liste des sociétés d’exercice libéral du département de la Loire ; Vu les arrêtés modifiant l’arrêté précité, dont le dernier en date est l’arrêté n° 2011-186 du 13 janvier 2011 de Monsieur le directeur général de l’Agence Régionale de Santé Rhône-Alpes enregistrant la transformation de la SELARL « SYNERBIO-PROGRES » en SELAS ; Vu les arrêtés préfectoraux d’autorisation de fonctionnement des laboratoires d’analyses de biologie médicale concernés se transformant en sites du laboratoire de biologie médicale ; Vu le courrier en date du 11 mars 2011 par lequel la SELAS « SYNERBIO-PROGRES » a demandé l’autorisation de fonctionner en laboratoire de biologie médicale multi-sites ; Vu la copie du procès verbal des décisions collectives des associés de la SELAS « SYNERBIO-PROGRES » en date du 11 mai 2011 ; Vu la convention signée entre les associés, le règlement intérieur en date du 19 mai 2011et la copie des statuts de la SELAS « SYNERBIO-PROGRES » mis à jour le 11 mai 2011 ; Vu le formulaire de demande de modification d’inscription de la SELAS « SYNERBIO-PROGRES » au Tableau de la section G de l’ordre des pharmaciens ; Vu les différents ordres de mouvement intervenus entre les associés et la SELAS « SYNERBIO-PROGRES » ; Vu l’avis du Conseil Central de la section G de l’Ordre National des Pharmaciens en date du 24 juin 2011 ; Considérant que le laboratoire de biologie médicale sis 2 et 4, rue Traversière à SAINT ETIENNE (42000) résulte de la transformation de 4 laboratoires existants et autorisés préalablement à la publication de l’ordonnance du 13 janvier 2010 susvisée ; Sur proposition de monsieur le directeur de l’efficience de l’offre de soins ;

Arrête

Article 1er : Sont retirées les autorisations de fonctionnement délivrées aux laboratoires de biologie médicale suivants :

- Laboratoire d’analyses de biologie médicale « LABORATOIRE SYNERBIO » 2 et 4, rue Traversière – 42000 SAINT ETIENNE N° d’inscription sur la liste des laboratoires de la Loire : 42-005 FINESS : 42 079 437 22

- Laboratoire d’analyses de biologie médicale « LABORATOIRE PROGRES - CHPL » 39, boulevard de la Palle - 42100 SAINT ETIENNE N° d’inscription sur la liste des laboratoires de la Loire : 42-077 FINESS : 42 000 667 8

- Laboratoire d’analyses de biologie médicale « LABORATOIRE DU PARC » 77, avenue Albert Raimond – 42270 SAINT PRIEST EN JAREZ N° d’inscription sur la liste des laboratoires de la Loire : 42-075 FINESS : 42 000 592 8

- Laboratoire d’analyses de biologie médicale « LABORATOIRE DES SUCS 7, avenue Georges Clémenceau – 43200 YSSINGEAUX N° d’inscription sur la liste des laboratoires de la Haute-Loire : 43-24 FINESS : 43 000 604 9

Article 2 : Le laboratoire de biologie médicale dont le siège social est situé 2 et 4, rue Traversière à SAINT ETIENNE, dirigé par les biologistes co-responsables suivants : - Monsieur Georges BELOT, pharmacien biologiste ; - Madame Sophie BERETTA, pharmacien biologiste ; - Monsieur Patrick GUARDIOLA, pharmacien biologiste ; - Monsieur Charles LECLERC, médecin biologiste ; est autorisé à fonctionner en multi sites, sous le numéro 42-005 sur la liste des laboratoires de la Loire, sur les sites cités en annexe.

144 Article 3 : Ce laboratoire multi sites sera exploité par la SELAS « SYNERBIO-PROGRES » enregistrée sous le n° 42-10 de la liste des SEL de la Loire.

Article 4 : Dans les deux mois suivant sa notification ou sa publication, le présent arrêté peut faire l’objet : • d’un recours gracieux auprès de Monsieur le Directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, • d’un recours administratif auprès de Monsieur le Ministre chargé de la santé, • d’un recours contentieux devant le tribunal administratif de Lyon - 184, rue Duguesclin - 69433 LYON Cedex 3.

Article 5 : Le directeur de l’efficience de l’offre de soins et le délégué territorial du département de la Loire, de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié au demandeur et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du département de la Loire.

Lyon, le 6 octobre 2011 Le Directeur général, Pour le directeur général et par délégation, Le directeur général adjoint, signé : Christian DUBOSQ

ANNEXE DE L’ARRÊTÉ ARS RHÔNE-ALPES N° 2011-3940 EN DATE 06 OCTOBRE 2011

Entité juridique :

SELAS « SYNERBIO-PROGRES » 4, rue Traversière – 42000 SAINT ETIENNE N° d’inscription sur la liste des SEL de la Loire : 42-10 Ancien n° FINESS : 42 000 662 9 Nouveau FINESS : 42 001 293 2

Sites de l’entité juridique :

Site principal :

- LBM SYNERBIO-PROGRES 4, rue Traversière – 42000 SAINT ETIENNE

N° d’inscription sur la liste des laboratoires de la Loire : 42-005 Ouvert au public Catégories d’analyses pratiquées : biochimie, hématologie, bactériologie, virologie, parasitologie, immunologie

Ancien n° FINESS : 42 079 437 2 Nouveau FINESS : 42 001 294 0

Sites secondaires :

- LBM SYNERBIO-PROGRES 39, boulevard de la Palle – 42030 SAINT ETIENNE Cedex 2

N° d’inscription sur la liste des laboratoires de la Loire : 42-077

Ouvert au public Catégories d’analyses pratiquées : biochimie, hématologie, bactériologie, parasitologie, immunologie.

Ancien n° FINESS : 42 000 667 8 Nouveau FINESS : 42 001 296 5

- LBM SYNERBIO-PROGRES 77, avenue Albert Raimond – 42270 SAINT PRIEST EN JAREZ

N° d’inscription sur la liste des laboratoires de la Loire : 42-075

145 Ouvert au public Catégories d’analyses pratiquées : biochimie, hématologie, bactériologie, parasitologie, analyses manuelles d’auto- immunité.

Ancien n° FINESS : 42 000 592 8 Nouveau FINESS : 42 001 295 7

- LBM SYNERBIO-PROGRES 7, avenue Georges Clémenceau – 43200 YSSINGEAUX

N° d’inscription sur la liste des laboratoires de la Haute-Loire : 43-24

Ouvert au public Catégories d’analyses pratiquées : biochimie, hématologie, bactériologie, parasitologie.

Ancien n° FINESS : 43 000 604 9 Nouveau FINESS : 43 000 806 0

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ARRÊTÉ N° 2011/3939 EN DATE DU 06/102011 PORTANT MODIFICATION DE L’AGRÉMENT DE LA SOCIÉTÉ D’EXERCICE LIBÉRAL DE BIOLOGISTES MÉDICAUX SELAS «SYNERBIO-PROGRES» SISE À SAINT ETIENNE Le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes

Vu le livre II de la sixième partie du code de la santé publique et notamment les articles R. 6212-72 à R. 6212-92 ; Vu l’ordonnance n° 2010-49 du 13 janvier 2010 relative à la biologie médicale et notamment son article 7 relatif aux dispositions transitoires et finales ; Vu la loi n° 90-1258 du 31 décembre 1990 modifiée relative à l’exercice sous forme de sociétés des professions libérales soumises à un statut législatif ou réglementaire ou dont le titre est protégé ; Vu le décret n° 92-545 du 17 juin 1992 relatif aux sociétés d’exercice libéral de directeurs et directeurs adjoints de laboratoires d’analyses de biologie médicale ; Vu la décision 2010/832 du 30 juin 2010 portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, Vu l’arrêté préfectoral n° 2005-205 en date du 12 mai 2005 portant enregistrement de la SELARL « SYNERBIO- PROGRES » dont le siège social est situé 4, rue Traversière à SAINT ETIENNE (42000), sous le n° 42-10 sur la liste des sociétés d’exercice libéral du département de la Loire ; Vu les arrêtés modifiant l’arrêté précité, dont le dernier en date est l’arrêté n° 2011-186 du 13 janvier 2011 de Monsieur le directeur général de l’Agence Régionale de Santé Rhône-Alpes enregistrant la transformation de la SELARL « SYNERBIO-PROGRES » en SELAS ; Vu les arrêtés portant autorisation de fonctionnement du laboratoire d’analyses de biologie médicale «LABORATOIRE SYNERBIO » sis 2 et 4, rue Traversière à SAINT ETIENNE (42000), inscrit sous le n° 42-005 sur la liste des laboratoires en exercice de la Loire, et dont le dernier en date est l’arrêté préfectoral n° 2009-83 en date du 03 avril 2009 ; Vu les arrêtés portant autorisation de fonctionnement du laboratoire d’analyses de biologie médicale «LABORATOIRE PROGRES CHPL» sis 39, boulevard de la Palle à SAINT ETIENNE (42100), inscrit sous le n° 42-077 sur la liste des laboratoires en exercice de la Loire, et dont le dernier en date est l’arrêté ARS n° 2011/1090 en date du 19 avril 2011 ; Vu les arrêtés portant autorisation de fonctionnement du laboratoire d’analyses de biologie médicale « LABORATOIRE DU PARC » sis 77, avenue Albert Raimond à SAINT PRIEST EN JAREZ (42270), inscrit sous le n° 42-075 sur la liste des laboratoires en exercice de la Loire, et dont le dernier en date est l’arrêté ARS n° 2011/1091 du 19 avril 2011 ; Vu les arrêtés portant autorisation de fonctionnement du laboratoire d’analyses de biologie médicale « LABORATOIRE DES SUCS » sis 7, avenue Georges Clémenceau à YSSINGEAUX (43200), inscrit sous le n° 43- 24 sur la liste des laboratoires en exercice de la Haute-Loire, et dont le dernier en date est l’arrêté préfectoral n° 2007/271 du 24 mai 2007 ; Vu le courrier en date du 11 mars 2011 par lequel la SELAS « SYNERBIO-PROGRES » a demandé l’autorisation de fonctionner en laboratoire de biologie médicale multi-sites ; Vu la copie du procès verbal des décisions collectives des associés de la SELAS « SYNERBIO-PROGRES » en date du 11 mai 2011 ;

146 Vu la copie des statuts de la SELAS « SYNERBIO-PROGRES » mis à jour le 11 mai 2011 ; Vu l’avis du Conseil Central de la section G de l’Ordre National des Pharmaciens en date du 24 juin 2011 ; Sur proposition de Monsieur le Directeur de l’efficience de l’offre de soins ;

Arrête

Article 1er : Les dispositions de l’arrêté n° 2011-186 du 13 janvier 2011 susvisé relatif à l’enregistrement de la société d’exercice libéral par actions simplifiée (SELAS) «SYNERBIO-PROGRES » sont remplacées par les dispositions suivantes :

« La société d’exercice libéral par actions simplifiée (SELAS) «SYNERBIO-PROGRES » agréée sous le numéro 42- 10 sur la liste des sociétés d’exercice libéral de la Loire, dont le siège social est à SAINT ETIENNE (42000) – 4, rue Traversière – exploite le laboratoire de biologie médicale «SYNERBIO-PROGRES» sis 2 et 4, rue Traversière à SAINT ETIENNE (42000), inscrit sous le numéro 42-005 de la liste des LBM de la Loire, implanté sur les sites suivants :

- 2 et 4, rue Traversière à SAINT ETIENNE (42000) ; - 39, boulevard de la Palle à SAINT ETIENNE (42100) ; - 77, avenue Albert Raimond à SAINT PRIEST EN JAREZ (42270) ; - 7, avenue Georges Clémenceau à YSSINGEAUX (43200).

Article 2 : Dans les deux mois suivant sa notification ou sa publication, le présent arrêté peut faire l’objet : • d’un recours gracieux auprès de Monsieur le Directeur général de l’Agence Régionale de Santé Rhône-Alpes, • d’un recours administratif auprès de Monsieur le Ministre chargé de la santé, • d’un recours contentieux devant le tribunal administratif de Lyon - 184, rue Duguesclin - 69433 LYON Cedex 3.

Article 3 : Le directeur de l’efficience de l’offre de soins et le délégué territorial de la Loire, de l’Agence Régionale de Santé Rhône-Alpes, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié au demandeur et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du département de la Loire.

Lyon, le 6 octobre 2011 Le Directeur général, Pour le directeur général et par délégation, Le directeur général adjoint, signé : Christian DUBOSQ

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ARRÊTÉ N° 2011/132 DU 14/10/2011 PORTANT SUR L’ÉQUIPEMENT ET LA MODIFICATION DES VÉHICULES DE SOS MÉDECINS SAINT ETIENNE Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes

Vu le code de la route, notamment les articles R 311-1, R 313-27 Vu le décret 2007-786 du 10 mai 2007 relatif aux véhicules d’intérêt général et modifiant le code de la route Vu le courrier en date du 7 octobre 2011, de l’association de permanence des soins « SOS MEDECINS SAINT ETIENNE », 7 rue Voltaire – 42031 Saint Etienne cedex 2, faisant connaître le changement du véhicule du Docteur Jean Louis POIZAT, Sur proposition du délégué territorial du département de la Loire

Arrête

Article 1er : Le précédent arrêté n°2011/084 est modifié comme suit,

Article 2 : Les véhicules, ci-après, peuvent être équipés de feux spéciaux à éclats et d’avertisseurs sonores, trois tons. Ce dispositif sera amovible et mis en place uniquement pendant les périodes d’utilisation des véhicules pour l’activité de soins d’urgence dans le cadre de l’association SOS médecins.

147 MEDECIN MODELE IMMATRICULATION BERGER Christophe Seat altea 251 AJH 42 BIRYNCZYK Pierre Peugeot 207 BM 218 TA BLANC Sophie Toyota yaris 428 AGB 42 CHALABI Naïma Peugeot 207 338 ADS 42 GULIAN Jean Luc Nissan qashqai AT 548 TX LAFONT Jacques Peugeot 107 AN 738 AH MAINSEL Frédéric Peugeot 207 13 ADZ 42 MARCOUX Alban Opel agila AM 128 HH POIZAT Jean Louis Renault clio BS 022 QQ SOLTANE Nasser Peugeot bipper AM 634 HA THIBAUT Matthieu Peugeot 3008 AT 425 KA

Article 3 : Le délégué territorial du département de la Loire est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs du département de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 14 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation Le délégué territorial Signé Marc MAISONNY

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ARRÊTÉ N° 2011 /127 DU 14/10/2011 PORTANT MODIFICATION D’AGRÉMENT D’UNE ENTREPRISE DE TRANSPORTS SANITAIRES PRIVÉS Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes

Vu le code de la santé publique, notamment les articles L. 6312-1 à L. 6312-5; L. 6313-1 et R. 6312-1 à R. 6312-43 Vu l’arrêté du 23 septembre 1988 relatif à la composition du dossier d’agrément des personnes effectuant des transports sanitaires terrestres et au contrôle des véhicules affectés aux transports sanitaires terrestres, Vu l’arrêté du 26 janvier 2006 relatif aux conditions de formation de l’auxiliaire ambulancier et au diplôme d’ambulancier Vu les arrêtés du 10 février 2009 et du 28 août 2009 fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectées aux transports sanitaires terrestres, Vu les arrêtés préfectoraux 2004-116 et 117 du 10 mars 2004 approuvant le cahier des charges départemental ATSRU/DDASS42 sur la permanence des transports sanitaires dans le département de la Loire et la carte de sectorisation Vu l’arrêté en date du 11 octobre 2010 agréant l’entreprise « Tal’ Ambulance » gérée par Monsieur Patrice REOCREUX Vu la demande de Monsieur Patrice REOCREUX, gérant de l’entreprise « Tal’ Ambulance », faisant connaître le changement d’un VSL et la transformation d’un agrément VSL en ambulance Vu l’avis favorable émis par le sous comité des transports sanitaires au cours de la séance du 6 /09/2011 Considérant que les conditions d’agrément sont remplies, Sur proposition du délégué territorial du département de la Loire

Arrête

Article 1er : Le précédent arrêté du 11 octobre 2010 est modifié comme suit,

Article 2 : L’agrément de l’entreprise : TAL’ AMBULANCE, 2 rue du stade – 42350 LA TALAUDIERE est fixé conformément à l’annexe T.A. n°42/11/01 ci-jointe.

Article 3 : Cette décision peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté, d’un recours : - administratif auprès de monsieur le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes ou du ministre de la santé et des sports – contentieux auprès du tribunal administratif – 184, rue Duguesclin – 69433 LYON cedex 3. –

148 Article 4 : Le délégué territorial du département de la Loire est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs du département de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 14 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation Le délégué territorial Signé Marc MAISONNY

ANNEXE T.A. N° 42/11/01 DE L’ARRÊTÉ D’AGRÉMENT N°2011/127

TAL’ AMBULANCE 2 rue du stade 42350 LA TALAUDIERE

Gérant : Monsieur Patrice REOCREUX

Personnel de l’entreprise agréée

Ambulanciers Auxiliaires ambulanciers REOCREUX Patrice BRUN Agnès CHALAYE Rémi LABEILLE Grégory FAVIER Maryse

Liste des véhicules

Ambulances – type A munies des feux, des dispositifs de signalisation complémentaire et des V.S.L. avertisseurs spéciaux prévus aux articles R. 313-27, 31 et 34 du code de la route Peugeot capella 836 AEQ 42 Peugeot 308 BS 412 PX

Fiat 2768 YN 42

Fait à Saint-Etienne, le 14 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation Le délégué territorial Signé Marc MAISONNY

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ARRÊTÉ N° 2011/125 DU 14/10/2011 PORTANT MODIFICATION D’AGRÉMENT D’UNE ENTREPRISE DE TRANSPORTS SANITAIRES PRIVÉS Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes

Vu le code de la santé publique, notamment les articles L. 6312-1 à L. 6312-5; L. 6313-1 et R. 6312-1 à R. 6312-43 Vu l’arrêté du 23 septembre 1988 relatif à la composition du dossier d’agrément des personnes effectuant des transports sanitaires terrestres et au contrôle des véhicules affectés aux transports sanitaires terrestres, Vu l’arrêté du 26 janvier 2006 relatif aux conditions de formation de l’auxiliaire ambulancier et au diplôme d’ambulancier Vu les arrêtés du 10 février 2009 et du 28 août 2009 fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectées aux transports sanitaires terrestres, Vu les arrêtés préfectoraux 2004-116 et 117 du 10 mars 2004 approuvant le cahier des charges départemental ATSRU/DDASS42 sur la permanence des transports sanitaires dans le département de la Loire et la carte de sectorisation

149 Vu l’arrêté en date du 6 septembre 2011 agréant l’entreprise « S.O.S. Ambulances » gérée par Monsieur Roger BOYER Vu la demande de Monsieur Roger BOYER, gérant de l’entreprise « S.O.S. Ambulances », faisant connaître le changement d’un véhicule Considérant que les conditions d’agrément sont remplies, Sur proposition du délégué territorial du département de la Loire

Arrête

Article 1er : Le précédent arrêté du 6 septembre 2011 est modifié comme suit,

Article 2 : L’agrément de l’entreprise : S.O.S. Ambulances, 22 rue Antoine Durafour – 42100 SAINT ETIENNE est fixé conformément à l’annexe S.O.S. A. n°42/11/04 ci-jointe.

Article 3 : Cette décision peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté, d’un recours : - administratif auprès de monsieur le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes ou du ministre de la santé et des sports - contentieux auprès du tribunal administratif – 184, rue Duguesclin – 69433 LYON cedex 3.

Article 4 : Le délégué territorial du département de la Loire est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs du département de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 14 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation Le délégué territorial Signé Marc MAISONNY

ANNEXE S.O.S. A. N° 42/11/04 DE L’ARRÊTÉ D’AGRÉMENT N°2011/125

S.O.S. AMBULANCES 22 rue Antoine Durafour 42100 SAINT ETIENNE

Gérant : Monsieur Roger BOYER

Personnel de l’entreprise agréée

Ambulanciers Auxiliaires ambulanciers BOYER Roger DJEBBAR Sidi Mohammed CELLE Sylvain (tp) BOUDEN Nadia (tp) BOURBON Karine CARTALAS Serge DUMAS Jérémy GUMY Jacques (tp) GIBOT Christophe PIGET Stéphane OTMANI Abdelaziz SOULIER Aurélie En attente formation auxiliaire et validation AFGSU 2

TERRAILLON Romain BOBLENZ Anthony VINCENT Luc SADOT Julien

150 Liste des véhicules Ambulances – type A V.S.L. munies des feux, des dispositifs de signalisation complémentaire et des avertisseurs spéciaux prévus aux articles R. 313-27, 31 et 34 du code de la route Volkswagen T5 8273 ZP 42 Volkswagen touran BP 825 ZY

Mercedes vito BF 624 DP Skoda octavia BS 949 AD

Fiat Scudo AH 401 ZX Volkswagen golf AZ 529 SK

Fait à Saint-Etienne, le 14 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation Le délégué territorial Signé Marc MAISONNY

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ARRÊTÉ N° 2011 /126 DU 14/10/2011 PORTANT MODIFICATION D’AGRÉMENT D’UNE ENTREPRISE DE TRANSPORTS SANITAIRES PRIVÉS Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes

Vu le code de la santé publique, notamment les articles L. 6312-1 à L. 6312-5; L. 6313-1 et R. 6312-1 à R. 6312-43 Vu l’arrêté du 23 septembre 1988 relatif à la composition du dossier d’agrément des personnes effectuant des transports sanitaires terrestres et au contrôle des véhicules affectés aux transports sanitaires terrestres, Vu l’arrêté du 26 janvier 2006 relatif aux conditions de formation de l’auxiliaire ambulancier et au diplôme d’ambulancier Vu les arrêtés du 10 février 2009 et du 28 août 2009 fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectées aux transports sanitaires terrestres, Vu les arrêtés préfectoraux 2004-116 et 117 du 10 mars 2004 approuvant le cahier des charges départemental ATSRU/DDASS42 sur la permanence des transports sanitaires dans le département de la Loire et la carte de sectorisation Vu l’arrêté en date du 6 septembre 2011 agréant l’entreprise « BOURG ARGENTAL Ambulance » gérée par Madame Lucienne BARTASSON Vu le dossier transmis par Madame Lucienne BARTASSON, gérante de l’entreprise « BOURG ARGENTAL Ambulance » faisant connaître le changement d’un véhicule Considérant que les conditions d’agrément sont remplies, Sur proposition du délégué territorial du département de la Loire

Arrête

Article 1er : Le précédent arrêté du 6 septembre 2011 est modifié comme suit,

Article 2 : L’agrément de l’entreprise : BOURG ARGENTAL Ambulance, 8 rue du docteur Moulin – 42220 BOURG ARGENTAL est fixé conformément à l’annexe B.A.AMB. n°42/11/03 ci-jointe.

Article 3 : Cette décision peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté, d’un recours : - administratif auprès de monsieur le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes ou du ministre de la santé et des sports - contentieux auprès du tribunal administratif – 184, rue Duguesclin – 69433 LYON cedex 3.

Article 4 : Le délégué territorial du département de la Loire est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs du département de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 14 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation Le délégué territorial Signé Marc MAISONNY

151 ANNEXE B.A.AMB. N° 42/11/03 DE L’ARRÊTÉ D’AGRÉMENT N°2011/126

BOURG ARGENTAL AMBULANCE 8, rue du Dr Moulin 4222O BOURG-ARGENTAL

Gérante : Madame Lucienne BARTASSON

Personnel de l’entreprise agréée

Ambulanciers Auxiliaires ambulanciers BARTASSON Lucienne GUERDENER Marie Claude BARTASSON Fabrice MOREL Alain COSTA Alexandre MERLE Pascal

Liste des véhicules

Ambulance – type A V.S.L. munie des feux, des dispositifs de signalisation complémentaire et des avertisseurs spéciaux prévus aux articles R. 313-27, 31 et 34 du code de la route Renault master 350 ZK 42 Skoda octavia BA 381 QP

Volkswagen passat BR 023 SQ

Fait à Saint-Etienne, le 14 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation Le délégué territorial Signé Marc MAISONNY

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ARRÊTÉ N° 2011 129 DU 14/10/2011 PORTANT MODIFICATION D’AGRÉMENT D’UNE ENTREPRISE DE TRANSPORTS SANITAIRES PRIVÉS Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes

Vu le code de la santé publique, notamment les articles L. 6312-1 à L. 6312-5; L. 6313-1 et R. 6312-1 à R. 6312-43 Vu l’arrêté du 23 septembre 1988 relatif à la composition du dossier d’agrément des personnes effectuant des transports sanitaires terrestres et au contrôle des véhicules affectés aux transports sanitaires terrestres, Vu l’arrêté du 26 janvier 2006 relatif aux conditions de formation de l’auxiliaire ambulancier et au diplôme d’ambulancier Vu les arrêtés du 10 février 2009 et du 28 août 2009 fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectées aux transports sanitaires terrestres, Vu les arrêtés préfectoraux 2004-116 et 117 du 10 mars 2004 approuvant le cahier des charges départemental ATSRU/DDASS42 sur la permanence des transports sanitaires dans le département de la Loire et la carte de sectorisation Vu l’arrêté en date du 10 juin 2011 agréant l’entreprise « Ambulance CH. LEROUX » gérée par Monsieur Christophe LEROUX Vu la demande de Monsieur Christophe LEROUX, gérant de l’entreprise « Ambulance CH. LEROUX », faisant connaître le changement d’un véhicule Considérant que les conditions d’agrément sont remplies, Sur proposition du délégué territorial du département de la Loire

152 Arrête

Article 1er : Le précédent arrêté du 10 juin 2011 est modifié comme suit,

Article 2 : L’agrément de l’entreprise : Ambulance CH. LEROUX, 19 rue Denfert Rochereau – 42260 SAINT GERMAIN LAVAL est fixé conformément à l’annexe AMB.L. n°42/11/02 ci-jointe.

Article 3 : Cette décision peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté, d’un recours : - administratif auprès de monsieur le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes ou du ministre de la santé et des sports - contentieux auprès du tribunal administratif – 184, rue Duguesclin – 69433 LYON cedex 3.

Article 4 : Le délégué territorial du département de la Loire est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs du département de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 14 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation Le délégué territorial Signé Marc MAISONNY

ANNEXE AMB.L. N° 42/11/02 DE L’ARRÊTÉ D’AGRÉMENT N°2011/129

AMBULANCE CH. LEROUX 19 rue Denfert Rochereau 42260 SAINT GERMAIN LAVAL

Gérant : Monsieur Christophe LEROUX

Personnel de l’entreprise agréée

Ambulanciers Auxiliaires ambulanciers GIRARD Marc LEROUX Christophe CHERVIN Florent DESPLACES Jacques

Liste des véhicules

Ambulance – type A V.S.L. munie des feux, des dispositifs de signalisation complémentaire et des avertisseurs spéciaux prévus aux articles R. 313-27, 31 et 34 du code de la route Renault BP 669 BB Renault mégane BT 574 ZQ

Renault mégane AX 162 PX

Fait à Saint-Etienne, le 14 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation Le délégué territorial Signé Marc MAISONNY

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153 ARRÊTÉ N° 2011/133 DU 14/10/2011 PORTANT MODIFICATION D’AGRÉMENT D’UNE ENTREPRISE DE TRANSPORTS SANITAIRES PRIVÉS Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes

Vu le code de la santé publique, notamment les articles L. 6312-1 à L. 6312-5; L. 6313-1 et R. 6312-1 à R. 6312-43 Vu l’arrêté du 23 septembre 1988 relatif à la composition du dossier d’agrément des personnes effectuant des transports sanitaires terrestres et au contrôle des véhicules affectés aux transports sanitaires terrestres, Vu l’arrêté du 26 janvier 2006 relatif aux conditions de formation de l’auxiliaire ambulancier et au diplôme d’ambulancier Vu les arrêtés du 10 février 2009 et du 28 août 2009 fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectées aux transports sanitaires terrestres, Vu les arrêtés préfectoraux 2004-116 et 117 du 10 mars 2004 approuvant le cahier des charges départemental ATSRU/DDASS42 sur la permanence des transports sanitaires dans le département de la Loire et la carte de sectorisation Vu l’arrêté en date du 6 septembre 2011 agréant l’entreprise « Forez ambulance » gérée par Monsieur Antoine HERBADJI Vu le courrier de Monsieur Antoine HERBADJI, gérant de l’entreprise « Forez ambulance », faisant connaître le changement d’un véhicule Considérant que les conditions d’agrément sont remplies, Sur proposition du délégué territorial du département de la Loire

Arrête

Article 1er : Le précédent arrêté du 6 septembre 2011 est modifié comme suit,

Article 2 : L’agrément de l’entreprise : Forez ambulance, 81 rue du onze novembre – 42450 SURY LE COMTAL est fixé conformément à l’annexe F.A.M. n°42/11/05 ci-jointe.

Article 3 : Cette décision peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté, d’un recours : - administratif auprès de monsieur le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes ou du ministre de la santé et des sports - contentieux auprès du tribunal administratif – 184, rue Duguesclin – 69433 LYON cedex 3.

Article 4 : Le délégué territorial du département de la Loire est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs du département de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 14 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation Le délégué territorial Signé Marc MAISONNY

ANNEXE F.A.M. N° 42/11/05 DE L’ARRÊTÉ D’AGRÉMENT N°2011/133

FOREZ AMBULANCE 81 rue du onze novembre 42450 SURY LE COMTAL

Gérant : Monsieur Antoine HERBADJI

Personnel de l’entreprise agréée

Ambulanciers Auxiliaires ambulanciers HERBADJI Antoine ROBIN Clothilde CHABANNY Chrystelle ROCHETTE Sandrine

154 Liste des véhicules

Ambulance – type A V.S.L. munie des feux, des dispositifs de signalisation complémentaire et des avertisseurs spéciaux prévus aux articles R. 313-27, 31 et 34 du code de la route Volkswagen vasp 5464 YB 42 Kia sportage BS 666 KE

Renault scenic 9664 ZG 42

Fait à Saint-Etienne, le 14 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation Le délégué territorial Signé Marc MAISONNY

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ARRÊTÉ N° 2011 /135 DU 24/10/2011 PORTANT MODIFICATION D’AGRÉMENT D’UNE ENTREPRISE DE TRANSPORTS SANITAIRES PRIVÉS Le directeur général par intérim de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes

Vu le code de la santé publique, notamment les articles L. 6312-1 à L. 6312-5; L. 6313-1 et R. 6312-1 à R. 6312-43 Vu l’arrêté du 23 septembre 1988 relatif à la composition du dossier d’agrément des personnes effectuant des transports sanitaires terrestres et au contrôle des véhicules affectés aux transports sanitaires terrestres, Vu l’arrêté du 26 janvier 2006 relatif aux conditions de formation de l’auxiliaire ambulancier et au diplôme d’ambulancier Vu les arrêtés du 10 février 2009 et du 28 août 2009 fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectées aux transports sanitaires terrestres, Vu les arrêtés préfectoraux 2004-116 et 117 du 10 mars 2004 approuvant le cahier des charges départemental ATSRU/DDASS42 sur la permanence des transports sanitaires dans le département de la Loire et la carte de sectorisation Vu l’arrêté en date du 14 octobre 2011 agréant l’entreprise « Tal’ Ambulance » gérée par Monsieur Patrice REOCREUX Vu la demande de Monsieur Patrice REOCREUX, gérant de l’entreprise « Tal’ Ambulance », faisant connaître une modification de son personnel Considérant que les conditions d’agrément sont remplies, Sur proposition du délégué territorial du département de la Loire

Arrête

Article 1er : Le précédent arrêté du 14 octobre 2011 est modifié comme suit,

Article 2 : L’agrément de l’entreprise : TAL’ AMBULANCE, La Ronzière – 42570 SAINT HEAND est fixé conformément à l’annexe TAL.StH n°42/11/03 ci-jointe.

Article 3 : Cette décision peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté, d’un recours : - administratif auprès de monsieur le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes ou du ministre de la santé et des sports - contentieux auprès du tribunal administratif – 184, rue Duguesclin – 69433 LYON cedex 3.

Article 4 : Le délégué territorial du département de la Loire est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs du département de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 24 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation Le délégué territorial Signé Marc MAISONNY

155 ANNEXE TAL.STH N° 42/11/03 DE L’ARRÊTÉ D’AGRÉMENT N°2011/135

TAL’ AMBULANCE La Ronzière 42570 SAINT HEAND

Gérant : Monsieur Patrice REOCREUX

Personnel de l’entreprise agréée

Ambulanciers Auxiliaire ambulancier ROUSSET Lydie MEYER Yoan GAUZE Bernard STARON Carole

Liste des véhicules

Ambulance – type A munie des feux, des dispositifs de signalisation complémentaire V.S.L. et des avertisseurs spéciaux prévus aux articles R. 313-27, 31 et 34 du code de la route Fiat Scudo AD 627 JL Peugeot 308 BT 590 EV

Fait à Saint-Etienne, le 24 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation Le délégué territorial Signé Marc MAISONNY

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ARRETE ARS N° 2011-4123 DU 17/10/2011 MODIFIANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE À L’ACCUEIL DE JOUR « MAINTIEN À DOMICILE DU FOREZ » À ANDREZIEUX BOUTHEON POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-4103 du 17 octobre 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : La dotation globale de soins 2011 de l’accueil de jour de Maintien à domicile du Forez à Andrézieux Bouthéon (N° FINESS 42 000 889 8) est fixée comme suit :

Dotation globale de soins 118 916.72 €

156 Article 2 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 4 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 17 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le Délégué territorial Marc MAISONNY

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ARRETE ARS N° 2011-4122 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DE L’ACCUEIL DE JOUR « SOS MAINTIEN À DOMICILE » À RIVE DE GIER POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-4103 du 17 octobre 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Au titre de l’exercice 2011, la tarification de l’accueil de jour « SOS Maintien à domicile » à RIVE DE GIER dont le N° FINESS est 420 007 569 est fixée comme suit :

Dotation globale de soins 165 995.61€

Article 2 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

157 Article 4 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 17 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le Délégué territorial Marc MAISONNY

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ARRETE ARS N° 2011-4125 DU 17/10/2011 MODIFIANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE À L’ACCUEIL DE JOUR DE L’ADMR À USSON EN FOREZ POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-4103 du 17 octobre 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : La dotation globale de soins 2011 de l’accueil de jour de l’ADMR à Usson en Forez (N° FINESS 42 001 241 1) est fixée comme suit :

Dotation globale de soins 76 204.95 €

Article 2 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 4 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 17 octobre 2011 Pour le directeur généralet par délégation, Le Délégué territorial Marc MAISONNY

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158 ARRETE ARS N° 2011-4124 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DE L’ACCUEIL DE JOUR « AIMV » À ST ETIENNE POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-4103 du 17 octobre 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Au titre de l’exercice 2011, la tarification de l’accueil de jour « AIMV » à ST ETIENNE dont le N° FINESS est 420 003 469 est fixée comme suit : Dotation globale de soins 62 218.96 €

Article 2 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 4 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 17 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le Délégué territorial Marc MAISONNY

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ARRETE ARS N° 2011-4110 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD ROANNE ACSAR POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ;

159 Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-4103 du 17 octobre 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD ROANNE ACSAR (N° FINESS 42 079 228 5) sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 456 466.74 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante :

Crédits Crédits non reconductibles reconductibles Groupes fonctionnels (montants (montants TOTAL en €) en €) en €uros

Groupe I 19 920,00 19 920,00 Dépenses d'exploitation courante

Groupe II 410 276,00 410 276,00 Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 26 270,74 26 270,74 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 456 466,74 0,00 456 466,74 Groupe I 456 466,74 Produits de la tarification 456 466,74 Groupe II 0,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 456 466,74 0,00 456 466,74

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 17 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le Délégué territorial Marc MAISONNY

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160 ARRETE ARS N° 2011-4121 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD MONTAGNES DU MATIN À BALBIGNY POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD MONTAGNES DU MATIN à BALBIGNY (N° FINESS 42 078 848 1) sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 914 517.99 €

Dont dotation ssiad personnes âgées 903 541.17 € Dont dotation ssiad personnes handicapées 10 976.82 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante :

Personnes âgées :

Groupes fonctionnels Cré dits Crédits non TOTAL reconductibles reconductibles e n €uros Groupe I (m onta nts (m onta nts 107 048,00 107 048,00 Dépenses d'exploitation courante Groupe II 729 398,00 729 398,00 Dépenses afférentes au personnel Dé pe nse s Groupe III 119 822,00 119 822,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 956 268,00 0,00 956 268,00 Groupe I 903 541,17 Produits de la tarification 903 541,17 Groupe II 52 726,83 52 726,83 Autres produits relatifs à l’exploitation Re ce tte s Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 956 268,00 0,00 956 268,00

161 Personnes handicapées : Groupes fonctionnels Crédits Crédits non TOTAL reconductibles reconductibles en €uros Groupe I (montants (montants 0,00 Dépenses d'exploitation courante

Groupe II 12 750,00 12 750,00 Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 0,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 12 750,00 0,00 12 750,00 Groupe I 10 976,82 Produits de la tarification 10 976,82 Groupe II 1 773,18 1 773,18 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 12 750,00 0,00 12 750,00

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 17 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le Délégué territorial Marc MAISONNY

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ARRETE ARS N° 2011-4119 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD LA PLAINE À MONTROND LES BAINS POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-4103 du 17 octobre 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

162 ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD LA PLAINE à MONTROND LES BAINS (N° FINESS 42 078 730 1) sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 247 385.28 € Dont dotation ssiad personnes âgées 236 408.46 € Dont dotation ssiad personnes handicapées 10 976.82€

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante :

Personnes âgées : Groupes fonctionnels Crédits Crédits non TOTAL reconductibles reconductibles en €uros (montants (montants Groupe I 22 056,00 22 056,00 Dépenses d'exploitation courante Groupe II 181 429,00 181 429,00 Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 35 806,00 35 806,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 239 291,00 0,00 239 291,00 Groupe I 236 408,46 Produits de la tarification 236 408,46 Groupe II 2 882,54 2 882,54 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 239 291,00 0,00 239 291,00 Personnes handicapées : Groupes fonctionnels Crédits Crédits non TOTAL reconductibles reconductibles en €uros (montants (montants Groupe I 0,00 Dépenses d'exploitation courante Groupe II 12 594,00 12 594,00 Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 0,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 12 594,00 0,00 12 594,00 Groupe I 10 976,82 Produits de la tarification 10 976,82 Groupe II 1 617,18 1 617,18 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 12 594,00 0,00 12 594,00

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

163 Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 17 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le Délégué territorial Marc MAISONNY

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ARRETE ARS N° 2011-4118 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE LA COTE ROANNAISE À RENAISON POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-4103 du 17 octobre 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD de la COTE ROANNAISE à RENAISON (N° FINESS 42 078 849 9) sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 630 255.80 € Dont dotation personnes âgées 564 342.64 € Dont dotation personnes handicapées 65 913.16 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante :

Personnes âgées : Groupes fonctionnels Crédits Crédits non TOTAL reconductibles reconductibles en €uros Groupe I (montants (montants 69 669,00 69 669,00 Dépenses d'exploitation courante Groupe II 433 867,00 433 867,00 Dépenses afférentes au personnel Dépenses Groupe III 77 540,00 77 540,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 581 076,00 0,00 581 076,00 Groupe I 564 342,64 Produits de la tarification 564 342,64 Groupe II 16 733,36 16 733,36 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 581 076,00 0,00 581 076,00

164 Personnes handicapées : Groupes fonctionnels Crédits Crédits non TOTAL reconductibles reconductibles en €uros Groupe I (montants (montants 0,00 Dépenses d'exploitation courante Groupe II 74 180,00 74 180,00 Dépenses afférentes au personnel Dépenses Groupe III 0,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 74 180,00 0,00 74 180,00 Groupe I 65 913,16 Produits de la tarification 65 913,16 Groupe II 8 266,84 8 266,84 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 74 180,00 0,00 74 180,00

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 17 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le Délégué territorial Marc MAISONNY

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ARRETE ARS N° 2011-4120 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DES CANTONS DE SAINT JUST EN CHEVALET ET NOIRETABLE POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées,

165 Vu la décision 2011-4103 du 17 octobre 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD du CANTON DE SAINT JUST EN CHEVALET ET NOIRETABLE (N° FINESS 42 000 596 9) sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 313 638.86 €

Article 2 :

La répartition par groupe fonctionnel est la suivante :

Crédits Crédits non reconductibles reconductibles Groupes fonctionnels (montants (montants TOTAL en €) en €) en €uros

Groupe I 38 841,00 38 841,00 Dépenses d'exploitation courante

Groupe II 236 685,00 236 685,00 Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 53 113,00 53 113,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 328 639,00 0,00 328 639,00 Groupe I 313 638,86 Produits de la tarification 313 638,86 Groupe II 15 000,14 15 000,14 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 328 639,00 0,00 328 639,00

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 17 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le Délégué territorial Marc MAISONNY

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166 ARRETE ARS N° 2011-4116 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DES CANTONS DE SAINT GENEST MALIFAUX ET MARLHES POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-4103 du 17 octobre 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD des CANTONS DE SAINT GENEST MALIFAUX ET MARLHES (N° FINESS 42 000 600 9) sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 190 437.93 €

Article 2 :

La répartition par groupe fonctionnel est la suivante :

Crédits Crédits non reconductibles reconductibles Groupes fonctionnels (montants (montants TOTAL en €) en €) en €uros

Groupe I 29 380,00 29 380,00 Dépenses d'exploitation courante

Groupe II 134 495,00 134 495,00 Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 28 063,00 28 063,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 191 938,00 0,00 191 938,00 Groupe I 190 437,93 Produits de la tarification 190 437,93 Groupe II 1 500,07 1 500,07 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 191 938,00 0,00 191 938,00

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

167 Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 17 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le Délégué territorial Marc MAISONNY

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ARRÊTÉ N°2011-4001 DU 10/10/2011 MODIFIANT LA COMPOSITION NOMINATIVE DU CONSEIL DE SURVEILLANCE DU CENTRE HOSPITALIER DE SAINT PIERRE DE BOEUF

Article 1 : Le conseil de surveillance du centre hospitalier de Saint Pierre de Boeuf établissement public de santé de ressort communal est modifié ainsi qu’il suit :

I Sont membres du conseil de surveillance avec voix délibérative : 1°) en qualité de représentant du personnel médical et non médical - Monsieur Gilles Rancurel, représentant de la commission de soins infirmiers, de rééducation et médico-techniques, - Alinéas 2 et 3 sans changement,

Article 2 : La durée des fonctions des membres du conseil de surveillance est fixée à cinq ans sous réserve des dispositions particulières prévues à l’article R.6143-12 du code de la santé publique.

Article 3 : Un recours contre la présente décision peut être formé auprès du tribunal administratif dans un délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté. A l’égard des tiers, ces délais courent à partir de la date de publication de la décision au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et au recueil des actes administratifs de la préfecture du département de la Loire.

Article 4 : le Directeur de l’efficience de l’offre de soins et le délégué territorial départemental de la Loire de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes sont chargés, chacun pour ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Lyon, le 10 octobre 2011 Le Directeur général, Pour le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes et par délégation, Le directeur général adjoint, signé : Christian DUBOSQ

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MENTION DE L'ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N° 2011-091 EN DATE DU 08/08/2011, SIGNÉ PAR M. PATRICK FERIN, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE LA PRÉFECTURE DE LA LOIRE, DÉCLARANT D’UTILITÉ PUBLIQUE LES TRAVAUX DE PRÉLÈVEMENT D’EAU, LA MISE EN COMPATIBILITÉ DU PLAN LOCAL D’URBANISME DE LA COMMUNE DE NOIRÉTABLE, AUTORISANT LA COMMUNE DE NOIRÉTABLE À UTILISER L’EAU EN VUE DE LA CONSOMMATION HUMAINE, ET INSTAURANT LES PÉRIMÈTRES DE PROTECTION DES FORAGES F2 ET F3, ET LES SERVITUDES S’Y RAPPORTANT

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168 ARRETE ARS N° 2011-4112 DU 17/10/2011 ANNULANT ET REMPLAÇANT L’ARRÊTÉ N°2010-1669 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE CHAZELLES SUR LYON POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-4103 du 17 octobre 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD de CHAZELLES SUR LYON (N° FINESS 42 078 691 5) sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 356 644,68 €

Dont dotation personnes âgées 345 789.74 € Dont dotation personnes handicapées 10 854.94 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante :

Personnes âgées :

Groupes fonctionnels Crédits Crédits non TOTAL reconductibles reconductibles en €uros Groupe I (montants (montants 25 060,00 25 060,00 Dépenses d'exploitation courante Groupe II 298 286,74 298 286,74 Dépenses afférentes au personnel Dépenses Groupe III 25 405,00 25 405,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 348 751,74 0,00 348 751,74 Groupe I Produits de la tarification 345 789,74 345 789,74 Groupe II 0,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 2 962,00 2 962,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 348 751,74 0,00 348 751,74

169 Personnes handicapées : Groupes fonctionnels Crédits Crédits non TOTAL reconductibles reconductibles en €uros Groupe I (montants (montants 0,00 Dépenses d'exploitation courante Groupe II 10 854,94 10 854,94 Dépenses afférentes au personnel Dépenses Groupe III 0,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 10 854,94 0,00 10 854,94 Groupe I Produits de la tarification 10 854,94 10 854,94 Groupe II 0,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 10 854,94 0,00 10 854,94

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 17 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le Délégué territorial Marc MAISONNY

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ARRETE ARS N° 2011-4108 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD SOS MAINTIEN A DOMICILE À RIVE DE GIER POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-4103 du 17 octobre 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

170 ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD SOS Maintien à Domicile à RIVE DE GIER (N° FINESS 42 079 452 1) sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 772 401.14 € Dont dotation personnes âgées 687 779.38 € Dont dotation personnes handicapées 84 621.76 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante :

Personnes âgées : Groupes fonctionnels Crédits Crédits non TOTAL reconductibles reconductibles en €uros Groupe I (montants (montants 64 980,82 64 980,82 Dépenses d 'exploitation courante Groupe II 584 708,94 584 708,94 Dépenses afférentes au personnel Dépenses Groupe III 92 924,61 92 924,61 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 742 614,37 0,00 742 614,37 Groupe I 687 779,38 Produits de la tarification 687 779,38 Groupe II 29 824,79 29 824,79 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 25 010,20 25 010,20 encaissables Reprise d’excédents 0,00 Total des recettes 742 614,37 0,00 742 614,37

Personnes handicapées : Groupes fonctionnels Crédits Crédits non TOTAL reconductibles reconductibles en €uros Groupe I (montants (montants 9 120,00 9 120,00 Dépenses d 'exploitation courante Groupe II 70 155,76 70 155,76 Dépenses afférentes au personnel Dépenses Groupe III 13 044,00 13 044,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 92 319,76 0,00 92 319,76 Groupe I 84 621,76 Produits de la tarification 84 621,76 Groupe II 4 186,00 4 186,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 3 512,00 3 512,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 92 319,76 0,00 92 319,76

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

171 Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 17 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le Délégué territorial Marc MAISONNY

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ARRETE ARS N° 2011-4114 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE ROCHE LA MOLIERE POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD de ROCHE LA MOLIERE (N° FINESS 42 000 441 8) sont autorisées comme suit : Dotation globale de financement 413 234.99 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante :

Crédits Crédits non reconductibles reconductibles Groupes fonctionnels (montants (montants TOTAL en €) en €) en €uros

Groupe I 7 915,20 7 915,20 Dépenses d'exploitation courante

Groupe II 382 019,69 382 019,69 Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 23 300,10 23 300,10 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 413 234,99 413 234,99 Groupe I 413 234,99 Produits de la tarification 413 234,99 Groupe II 0,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 413 234,99 0,00 413 234,99

172 Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 17 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le Délégué territorial Marc MAISONNY

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ARRETE ARS N° 2011-4117 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DU HAUT FOREZ À SAINT JEAN SOLEYMIEUX POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-4103 du 17 octobre 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD HAUT FOREZ à SAINT JEAN SOLEYMIEUX (N° FINESS 42 078 847 3) sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 776 323.17 €

Dont dotation ssiad personnes âgées 754 317,31 Dont dotation ssiad personnes handicapées 22 005.86

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante :

173 Personnes âgées : Crédits Crédits non TOTAL Groupes fonctionnels reconductibles reconductibles en €uros Groupe I 79 052,00 79 052,00 Dépenses d'exploitation courante Groupe II 617 291,00 617 291,00 Dépenses afférentes au personnel Dépenses Groupe III 98 051,00 98 051,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 794 394,00 0,00 794 394,00 Groupe I 754 317,31 Produits de la tarification 754 317,31 Groupe II 40 076,69 40 076,69 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 794 394,00 0,00 794 394,00

Personnes handicapées : Crédits Crédits non TOTAL Groupes fonctionnels reconductibles reconductibles en €uros Groupe I 0,00 Dépenses d'exploitation courante Groupe II 26 929,00 26 929,00 Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 0,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 26 929,00 0,00 26 929,00 Groupe I 22 005,86 Produits de la tarification 22 005,86 Groupe II 4 923,14 4 923,14 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 26 929,00 0,00 26 929,00

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire. Saint-Etienne, le 17 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le Délégué territorial Marc MAISONNY

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174 ARRETE ARS N° 2011-4115 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DU PAYS DU GAND ET DU RHINS À SAINT SYMPHORIEN DE LAY POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-4103 du 17 octobre 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD du PAYS DU GAND ET DU RHINS à SAINT SYMPHORIEN DE LAY (N° FINESS 42 079 287 1) sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 399 563.81 €

Dont dotation personnes âgées 366 528.94 € Dont dotation personnes handicapées 33 034.87 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante :

Personnes âgées : Groupes fonctionnels Cré dits Crédits non TOTAL reconductibles reconductibles e n €uros Groupe I (m onta nts (m onta nts 51 696,00 51 696,00 Dépenses d'exploitation courante Groupe II 272 197,00 272 197,00 Dépenses afférentes au personnel Dé pe nse s Groupe III 57 528,00 57 528,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 381 421,00 0,00 381 421,00 Groupe I 366 528,94 Produits de la tarification 366 528,94 Groupe II 14 892,06 14 892,06 Autres produits relatifs à l’exploitation Re ce tte s Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 381 421,00 0,00 381 421,00

175 Personnes handicapées : Groupes fonctionnels Crédits Crédits non TOTAL reconductibles reconductibles en €uros Groupe I 5 170,00 5 170,00 Dépenses d'exploitation courante Groupe II 27 220,00 27 220,00 Dépenses afférentes au personnel Dépenses Groupe III 5 753,00 5 753,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 38 143,00 0,00 38 143,00 Groupe I 33 034,87 Produits de la tarification 33 034,87 Groupe II 5 108,13 5 108,13 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 38 143,00 0,00 38 143,00

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 17 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le Délégué territorial Marc MAISONNY

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ARRETE ARS N° 2011-4113 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DU CENTRE HOSPITALIER DE BOEN SUR LIGNON POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-4103 du 17 octobre 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

176 ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD du centre hospitalier de BOEN SUR LIGNON (N° FINESS 42 078 898 6) sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 774 491.91 €

Article 2 :

La répartition par groupe fonctionnel est la suivante :

Crédits Crédits non reconductibles reconductibles Groupes fonctionnels (montants (montants TOTAL en €) en €) en €uros

Groupe I 113 900,00 113 900,00 Dépenses d'exploitation courante

Groupe II 626 749,74 626 749,74 Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 39 642,17 39 642,17 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 780 291,91 0,00 780 291,91 Groupe I 774 491,91 Produits de la tarification 774 491,91 Groupe II 4 200,00 4 200,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 1 600,00 1 600,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 780 291,91 0,00 780 291,91

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 17 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le Délégué territorial Marc MAISONNY

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177 ARRETE ARS N° 2011-4111 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DU CENTRE HOSPITALIER DE ROANNE POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-4103 du 17 octobre 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD de Centre Hospitalier de Roanne dont le N° FINESS (Entité juridique) est : 420780033 sont fixées comme suit :

Dotation globale de financement 697 745,69 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante :

Titres Montant en € Total en €

Titre I : charges d'exploitation courante 111 754,00

Dépenses Titre II : charges de personnel 551 491,69 697 745,69

Titre III : charges de structure 34 500,00

Titre I : produits de la tarification 697 745,69

Titre II : autres produits relatifs à Recettes 0,00 697 745,69 l'exploitation Titre III : produits financiers et produits 0,00 non encaissables

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

178 Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 17 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le Délégué territorial Marc MAISONNY

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ARRETE ARS N° 2011-4109 DU 17/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DU CENTRE HOSPITALIER DE MONTBRISON POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-4103 du 17 octobre 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD de Centre Hospitalier de MONTBRISON dont le N° FINESS est : 42 078 958 8 sont fixées comme suit :

Dotation globale de financement 560 350.18 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante :

Titres Montant en € Total en €

Titre I : charges d'exploitation courante 60 000,00

Dépenses Titre II : charges de personnel 474 125,18 561 350,18

Titre III : charges de structure 27 225,00

Titre I : produits de la tarification 560 350,18

Titre II : autres produits relatifs à Recettes 0,00 561 350,18 l'exploitation

Titre III : produits financiers et produits 1 000,00 non encaissables

179 Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 17 octobre 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le Délégué territorial Marc MAISONNY

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MENTION DE L'ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N° 2011-094 EN DATE DU 25/08/2011, SIGNE PAR M. PATRICK FERIN, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE LA PRÉFECTURE DE LA LOIRE, DÉCLARANT D’UTILITÉ PUBLIQUE LES TRAVAUX DE PRÉLÈVEMENT D’EAU, AUTORISANT LA COMMUNE DE LA VALLA EN GIER À UTILISER L’EAU EN VUE DE LA CONSOMMATION HUMAINE, ET INSTAURANT LES PÉRIMÈTRES DE PROTECTION DE LA SOURCE "LES BIAIS", ET LES SERVITUDES S’Y RAPPORTANT

DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS

ARRETE DU 03/10/2011 PORTANT COMPOSITION DU COMITÉ DÉPARTEMENTAL DE LUTTE CONTRE LA FRAUDE DE LA LOIRE Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur

VU le décret n° 2008-371 du 18 avril 2008 modifié relatif à la coordination de la lutte contre les fraudes et créant une délégation nationale à la lutte contre la fraude, VU l’arrêté du 25 mars 2010 fixant la composition dans chaque département des comités de lutte contre la fraude, SUR proposition de Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture,

ARRETE

Article 1 er – Le Comité Départemental de Lutte contre la Fraude du département de la Loire est présidé conjointement par le Préfet et le Procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance de Saint-Etienne .

Article 2 – Sont membres du Comité Départemental de Lutte contre la Fraude : Au titre des services de l’Etat : - le Procureur de la République, près le Tribunal de Grande Instance de Roanne - le Sous-Préfet de l’arrondissement de Roanne - le Sous-Préfet de l’arrondissement de Montbrison

180 - le Directeur du Cabinet de la Préfecture de la Loire - le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Loire - le Commandant du Groupement de Gendarmerie de la Loire - le Chef du Service Départemental des Douanes de la Loire ou son représentant - le Chef de l’unité de la Loire de la Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi (DIRECCTE) ou son représentant - le Directeur Départemental des Finances Publiques de la Loire ou son représentant - le Chef de l’unité de la Loire de la Direction Régionale de l’Environnement de l’Aménagement et du Logement (DREAL) ou son représentant - le Directeur de la Délégation Territoriale Départementale de la Loire de l’Agence Régionale de Santé (ARS) ou son représentant - le Directeur Départemental de la Protection des Populations de la Loire (DDPP) - le Directeur Départemental des Territoires de la Loire (DDT) - le Directeur Territorial de Pôle Emploi Loire ou son représentant - le Directeur de la Citoyenneté et des Libertés Publiques à la préfecture de la Loire Au titre des organismes de sécurité sociale et de protection sociale : - le Directeur de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de la Loire - le Directeur de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie du Rhône et de l’URCAM, responsable coordonateur, désigné par la CNAM - le Directeur de la Caisse d’Allocations Familiales de la Loire - le Directeur de la Caisse du Régime Social des Indépendants - le Directeur de la Mutualité Sociale Agricole - le Directeur de la Caisse Assurance Retraite et Santé au Travail du Rhône - le Directeur de l’URSSAF de la Loire Est membre associé, avec voix consultative : - le Président du Conseil Général ou son représentant

Article 3 – Le secrétariat permanent du CODAF est assuré par : - l’Unité territoriale de la DIRECCTE pour les réunions restreintes - la DDPP pour les réunions plénières

Article 4 – L’arrêté préfectoral n° 20 du 31 mai 2010 modifié portant composition du Comité Départemental de Lutte contre la Fraude est abrogé.

Article 5 – Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, le Directeur Départemental de la Protection des Populations, le Chef de l’Unité Territoriale de la Direction Régionale des Entreprises sont chargés de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Fait à Saint-Etienne, le 3 octobre 2011 Pierre SOUBELET

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ARRETE N° 402-DDPP-11 DU 12/10/2011 PORTANT ATTRIBUTION DU MANDAT SANITAIRE PROVISOIRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur

VU le code rural et de la pêche maritime, et notamment ses articles R.221-4 à R.221-20, R.241-16 à R.241-24 ; VU l’arrêté préfectoral n° 11-41 du 23 juin 2011 portant délégation de signature à Monsieur Didier PERRE, Directeur départemental de la protection des populations de la Loire ; VU l’arrêté préfectoral n° 227-DDPP-11 du 23 juin 2011 portant subdélégation de signature pour les compétences générales et techniques ; VU la demande présentée par Monsieur Grégory COISNE ; SUR proposition de Monsieur le Directeur départemental de la protection des populations,

ARRETE

181 Article 1er - Le mandat sanitaire prévu à l'article R.221-7 du code rural et de la pêche maritime susvisé, est attribué pour une période allant du 1er août 2011 au 31 juillet 2012 à Monsieur Grégory COISNE . Monsieur Grégory COISNE exerce en qualité d’assistant des Docteurs FREMIN GEAY MOLINA PERROT STALARS à Saint Symphorien de Lay (42).

Article 2 – Monsieur Grégory COISNE est tenu de respecter les prescriptions techniques relatives à l'exécution des opérations de prophylaxie collective des maladies des animaux dirigées par l'Etat et des opérations de police sanitaire, ainsi que toutes les instructions du Directeur Départemental de la Protection des Populations.

Article 3 - Les manquements ou fautes commises dans le cadre de l’exercice du mandat sanitaire relèvent de la compétence de la commission de discipline prévue par l’article R.221-13 du code rural et de la pêche maritime.

Article 4 - Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur départemental de la protection des populations sont chargés de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Saint-Etienne, le 12 octobre 2011 Pour le préfet et par délégation Le directeur départemental de la protection des populations, Didier PERRE

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ARRETE N° 392-DDPP-11 DU 27/09/2011 PORTANT ATTRIBUTION DU MANDAT SANITAIRE PROVISOIRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur

VU le code rural et de la pêche maritime, et notamment ses articles R.221-4 à R.221-20, R.241-16 à R.241-24 ; VU l’arrêté préfectoral n° 11-41 du 23 juin 2011 portant délégation de signature à Monsieur Didier PERRE, Directeur départemental de la protection des populations de la Loire ; VU l’arrêté préfectoral n° 227-DDPP-11 du 23 juin 2011 portant subdélégation de signature pour les compétences générales et techniques ; VU la demande présentée par Monsieur Benjamin ESTIENNE ; SUR proposition de Monsieur le Directeur départemental de la protection des populations,

ARRETE

Article 1er - Le mandat sanitaire prévu à l'article R.221-7 du code rural et de la pêche maritime susvisé, est attribué pour une période allant du 1er septembre 2011 au 31 août 2012 à Monsieur Benjamin ESTIENNE. Monsieur Benjamin ESTIENNE exerce en qualité d’assistant des Docteurs PERRIN BUISSON BROSSE à Saint- Galmier (42).

Article 2 – Monsieur Benjamin ESTIENNE est tenu de respecter les prescriptions techniques relatives à l'exécution des opérations de prophylaxie collective des maladies des animaux dirigées par l'Etat et des opérations de police sanitaire, ainsi que toutes les instructions du Directeur Départemental de la Protection des Populations.

Article 3 - Les manquements ou fautes commises dans le cadre de l’exercice du mandat sanitaire relèvent de la compétence de la commission de discipline prévue par l’article R.221-13 du code rural et de la pêche maritime.

Article 4 - Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur départemental de la protection des populations sont chargés de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Saint-Etienne, le 27 septembre 2011 Pour le préfet et par délégation Le directeur départemental de la protection des populations, Didier PERRE

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182 ARRETE N° 393-DDPP-11 DU 27/09/2011 PORTANT ATTRIBUTION DU MANDAT SANITAIRE PROVISOIRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur

VU le code rural et de la pêche maritime, et notamment ses articles R.221-4 à R.221-20, R.241-16 à R.241-24 ; VU l’arrêté préfectoral n° 11-41 du 23 juin 2011 portant délégation de signature à Monsieur Didier PERRE, Directeur départemental de la protection des populations de la Loire ; VU l’arrêté préfectoral n° 227-DDPP-11 du 23 juin 2011 portant subdélégation de signature pour les compétences générales et techniques ; VU la demande présentée par Monsieur Pierre-Yves GRIVAUD ; SUR proposition de Monsieur le Directeur départemental de la protection des populations,

ARRETE

Article 1er - Le mandat sanitaire prévu à l'article R.221-7 du code rural et de la pêche maritime susvisé, est attribué pour une période allant du 1er octobre 2011 au 30 septembre 2012 à Monsieur Pierre-Yves GRIVAUD . Monsieur Pierre-Yves GRIVAUD exerce en qualité d’assistant des Docteurs FREMIN GEAY MOLINA PERROT STALARS à Saint Symphorien de Lay (42).

Article 2 – Monsieur Pierre-Yves GRIVAUD est tenu de respecter les prescriptions techniques relatives à l'exécution des opérations de prophylaxie collective des maladies des animaux dirigées par l'Etat et des opérations de police sanitaire, ainsi que toutes les instructions du Directeur Départemental de la Protection des Populations.

Article 3 - Les manquements ou fautes commises dans le cadre de l’exercice du mandat sanitaire relèvent de la compétence de la commission de discipline prévue par l’article R.221-13 du code rural et de la pêche maritime.

Article 4 - Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur départemental de la protection des populations sont chargés de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Saint-Etienne, le 27 septembre 2011 Pour le préfet, et par délégation Le directeur départemental de la protection des populations, Didier PERRE

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ARRETE N° 390-DDPP-11 DU 06/10/2011 PORTANT ATTRIBUTION DU MANDAT SANITAIRE PROVISOIRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur

VU le code rural et de la pêche maritime, et notamment ses articles R.221-4 à R.221-20, R.241-16 à R.241-24 ; VU l’arrêté préfectoral n° 11-41 du 23 juin 2011 portant délégation de signature à Monsieur Didier PERRE, Directeur départemental de la protection des populations de la Loire ; VU l’arrêté préfectoral n° 227-DDPP-11 du 23 juin 2011 portant subdélégation de signature pour les compétences générales et techniques ; VU la demande présentée par Mademoiselle Justine GUIHARD ; SUR proposition de Monsieur le Directeur départemental de la protection des populations,

ARRETE

Article 1er - Le mandat sanitaire prévu à l'article R.221-7 du code rural et de la pêche maritime susvisé, est attribué pour une période allant du 5 septembre 2011 au 5 septembre 2012 à Mademoiselle Justine GUIHARD . Mademoiselle Justine GUIHARD exerce en qualité d’assistance des Docteurs Donjon Outters et Bellis à Saint Germain Lespinasse.

183 Article 2 – Mademoiselle Justine GUIHARD est tenue de respecter les prescriptions techniques relatives à l'exécution des opérations de prophylaxie collective des maladies des animaux dirigées par l'Etat et des opérations de police sanitaire, ainsi que toutes les instructions du Directeur Départemental de la Protection des Populations.

Article 3 - Les manquements ou fautes commises dans le cadre de l’exercice du mandat sanitaire relèvent de la compétence de la commission de discipline prévue par l’article R.221-13 du code rural et de la pêche maritime.

Article 4 - Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur départemental de la protection des populations sont chargés de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Saint-Etienne, le 6 octobre 2011 Pour le préfet, et par délégation Le directeur départemental de la protection des populations, Didier PERRE

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ARRETE N° 391-DDPP-11 DU 06/10/2011 PORTANT ATTRIBUTION DU MANDAT SANITAIRE PROVISOIRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur

VU le code rural et de la pêche maritime, et notamment ses articles R.221-4 à R.221-20, R.241-16 à R.241-24 ; VU l’arrêté préfectoral n° 11-41 du 23 juin 2011 portant délégation de signature à Monsieur Didier PERRE, Directeur départemental de la protection des populations de la Loire ; VU l’arrêté préfectoral n° 227-DDPP-11 du 23 juin 2011 portant subdélégation de signature pour les compétences générales et techniques ; VU la demande présentée par Mademoiselle Sarah HUE ; SUR proposition de Monsieur le Directeur départemental de la protection des populations,

ARRETE

Article 1er - Le mandat sanitaire prévu à l'article R.221-7 du code rural et de la pêche maritime susvisé, est attribué pour une période allant du 15 avril 2011 au 14 avril 2012 à Mademoiselle Sarah HUE. Mademoiselle Sarah HUE exerce en qualité d’assistance du Docteur Pascale BLANC à Saint-Chamond (42).

Article 2 – Mademoiselle Sarah HUE est tenue de respecter les prescriptions techniques relatives à l'exécution des opérations de prophylaxie collective des maladies des animaux dirigées par l'Etat et des opérations de police sanitaire, ainsi que toutes les instructions du Directeur Départemental de la Protection des Populations.

Article 3 - Les manquements ou fautes commises dans le cadre de l’exercice du mandat sanitaire relèvent de la compétence de la commission de discipline prévue par l’article R.221-13 du code rural et de la pêche maritime.

Article 4 - Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur départemental de la protection des populations sont chargés de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Saint-Etienne, le 6 octobre 2011 Pour le préfet, et par délégation Le directeur départemental de la protection des populations, Didier PERRE

184 DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA COHESION SOCIALE

ARRETE PREFECTORAL DU 04/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE DE FINANCEMENT DU CENTRE D’ACCUEIL POUR DEMANDEURS D’ASILE DE L’OUDAN À ROANNE GÉRÉ PAR ADOMA Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur

VU le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-3 à L.314-7, R.314-1 à R.314- 110 et R.314-150 à R314-157 VU l’ordonnance n°2010-177 du 23 février 2010 de coordination avec la loi n°2009-879 du 21 juillet 2009 portant réforme de l’hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires, VU le décret N°2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l’Etat dans les régions et départements, VU le décret n°2004-1085 du 14 octobre 2004 relatif à la délégation de gestion dans les services de l’Etat, VU l’arrêté du 22 octobre 2003 fixant les modèles de documents prévus aux articles 9,12, 16, 18, 19, 47 et 83 du décret n°2003-1010 du 22 octobre 2003 relatif à la gestion budgétaire, comptable et financière, et aux modalités de financement et de tarification des établissements et services sociaux et médico-sociaux mentionnés au I de l’article L312-1 du code de l’action sociale et des familles VU l’arrêté du 7 septembre 2011 modifiant l’arrêté du 2 mai 2011 pris en application de l’article L.314-4 du code de l’action sociale et des familles fixant les dotations régionales limitatives relatives aux frais de fonctionnement des centres d’accueil pour demandeurs d’asile et centres de transit, publié au Journal Officiel du 15 septembre 2011, VU la convention de délégation de gestion du 20 décembre 2010 entre M. le Préfet de la région Rhône Alpes et M. le Préfet de la Loire confiant au Préfet de la Loire, en son nom et pour son compte, la réalisation de l’ensemble des actes afférents à la procédure budgétaire des établissements et services, VU les délégations de crédits reçues imputées sur le programme 303 du budget de l’Etat – Ministère de l’Intérieur, de l’Outre-Mer, des Collectivités Territoriales et de l’Immigration VU le courrier transmis le 26 octobre 2010 par lequel la personne ayant qualité pour représenter le CADA ADOMA a adressé ses propositions budgétaires et leurs annexes pour l’exercice 2011, VU la procédure contradictoire prévue par l’article R.314-24 du Code de l’Action Sociale et des Familles, modifié par le décret n°2006-422 du 7 avril 2006, Sur proposition de M. le Directeur Départemental de la Cohésion Sociale,

ARRETE

Article 1er : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du CADA de l’Oudan géré par ADOMA sont autorisées comme suit :

Groupes fonctionnels Montants en Euros Total en Euros Groupe I 55 230€ Dépenses afférentes à l’exploitation courante Groupe II Dépenses 388 342€ 832 853€ Dépenses afférentes au personnel Groupe III 389 281€ Dépenses afférentes à la structure Groupe I 829 853€ Produits de la tarification Groupe II Recettes 3 000€ 832 853€ Autres produits relatifs à l’exploitation Groupe III 0€ Produits financiers et produits non encaissables

Article 2 : Pour l’exercice budgétaire 2011, la dotation globale de financement du CADA ADOMA est fixée à 829 853€.

185 La fraction forfaitaire, en application de l’article R.314-107 du Code de l’action sociale et des familles, égale au douzième de la dotation globale de financement, est fixée à 69 154.41€.

Les versements seront effectués au compte n°30004 00274 00021295787 58 auprès de la BNP.

Article 3 : A compter du 1er janvier 2012, sans préjudice de la campagne budgétaire 2011, la dotation globale de financement reconductible est fixée à 829 853€.

La fraction forfaitaire égale au douzième de la dotation globale de financement est arrêtée à : 69 154.41€.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sis 119, avenue Maréchal de Saxe – Lyon cedex 03, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il sera notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : Une copie du présent arrêté sera notifiée à l’établissement ou au service concerné.

Article 6 : Le Directeur Départemental de la Cohésion Sociale est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des actes administratifs.

Saint-Etienne, le 4 octobre 2011 Le Préfet, Pierre SOUBELET

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ARRETE PREFECTORAL DU 04/10/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE DE FINANCEMENT DU CENTRE D’ACCUEIL POUR DEMANDEURS D’ASILE GÉRÉ PAR L’ASSOCIATION ENTRAIDE PIERRE VALDO Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur

VU le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-3 à L.314-7, R.314-1 à R.314- 110 et R.314-150 à R314-157 VU l’ordonnance n°2010-177 du 23 février 2010 de coordination avec la loi n°2009-879 du 21 juillet 2009 portant réforme de l’hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires, VU le décret N°2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l’Etat dans les régions et départements, VU le décret n°2004-1085 du 14 octobre 2004 relatif à la délégation de gestion dans les services de l’Etat, VU l’arrêté du 22 octobre 2003 fixant les modèles de documents prévus aux articles 9,12, 16, 18, 19, 47 et 83 du décret n°2003-1010 du 22 octobre 2003 relatif à la gestion budgétaire, comptable et financière, et aux modalités de financement et de tarification des établissements et services sociaux et médico-sociaux mentionnés au I de l’article L312-1 du code de l’action sociale et des familles VU l’arrêté du 7 septembre 2011 modifiant l’arrêté du 2 mai 2011 pris en application de l’article L.314-4 du code de l’action sociale et des familles fixant les dotations régionales limitatives relatives aux frais de fonctionnement des centres d’accueil pour demandeurs d’asile et centres de transit, publié au Journal Officiel du 15 septembre 2011, VU la convention de délégation de gestion du 20 décembre 2010 entre M. le Préfet de la région Rhône Alpes et M. le Préfet de la Loire confiant au Préfet de la Loire, en son nom et pour son compte, la réalisation de l’ensemble des actes afférents à la procédure budgétaire des établissements et services, VU les délégations de crédits reçues imputées sur le programme 303 du budget de l’Etat – Ministère de l’Intérieur, de l’Outre-Mer, des Collectivités Territoriales et de l’Immigration VU les courriers transmis les 29 octobre 2010, 20 juin 2011 et 28 septembre 2011 par lequel la personne ayant qualité pour représenter le CADA ENTRAIDE PIERRE VALDO a adressé ses propositions budgétaires et leurs annexes pour l’exercice 2011, VU la procédure contradictoire prévue par l’article R.314-24 du Code de l’action sociale et des familles, modifié par le décret n°2006-422 du 7 avril 2006, Sur proposition de M. le Directeur Départemental de la Cohésion Sociale,

ARRETE

186 Article 1er : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du CADA ENTRAIDE PIERRE VALDO de la Loire sont autorisées comme suit :

Groupes fonctionnels Montants en Euros Total en Euros Groupe I 347 879€ Dépenses afférentes à l’exploitation courante Groupe II 889 167€ 2 338 646€ Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 1 101 600€ Dépenses afférentes à la structure Groupe I 2 305 146 Produits de la tarification Groupe II Recettes 8 500€ 2 338 646€ Autres produits relatifs à l’exploitation Groupe III 25 000€ Produits financiers et produits non encaissables

Article 2 : Pour l’exercice budgétaire 2011, la dotation globale de financement du CADA ENTRAIDE PIERRE VALDO est fixée à 2 305 146€.

La fraction forfaitaire, en application de l’article R.314-107 du Code de l’Action Sociale et des Familles, égale au douzième de la dotation globale de financement est fixée à 192 095.50€.

Les versements seront effectués au compte n°42559 00017 21028860201 75 auprès du Crédit Coopératif.

Article 3 : A compter du 1er janvier 2012, sans préjudice de la campagne budgétaire 2011, la dotation globale de financement reconductible est fixée à 2 305 146€.

La fraction forfaitaire égale au douzième de la dotation globale de financement est arrêtée à : 192 095.50€.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sis 119, avenue Maréchal de Saxe – Lyon cedex 03, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il sera notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : Une copie du présent arrêté sera notifiée à l’établissement ou au service concerné.

Article 5: Le Directeur Départemental de la Cohésion Sociale est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des actes administratifs.

Saint-Etienne, le 4 octobre 2011 Le Préfet, Pierre SOUBELET

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ARRETE PREFECTORAL DU 05/10/2011 MODIFIANT L’ARRÊTÉ PRÉFECTORAL DU 14 JUIN 2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE DE FINANCEMENT DU CHRS SOS VIOLENCES CONJUGALES 42POUR L’ANNÉE 2011 Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur

VU le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.312-1, L.314-1, L.314-4 et R.314-3 à R.314- 110 et R.314-150 à R.314-57, VU la loi n°2009-879 du 21 juillet 2009 portant réforme de l’hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires, VU l’ordonnance n°2010-177 du 23 février 2010 de coordination avec la loi n°2009-879 du 21 juillet 2009 portant réforme de l’hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires, VU le décret n°2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l’Etat dans les régions et départements,

187 VU le décret n°2004-1085 du 14 octobre 2004 relatif à la délégation de gestion dans les services de l’Etat, VU la convention de délégation de gestion du 20 décembre 2010 entre M. le Préfet de la région Rhône Alpes et M. le Préfet de la Loire confiant au Préfet de la Loire, en son nom et pour son compte, la réalisation de l’ensemble des actes afférents à la procédure budgétaire des établissements et services, VU l’arrêté du 22 octobre 2003 fixant les modèles de documents prévus aux articles 9,12, 16, 18, 19, 47 et 83 du décret n°2003-1010 du 22 octobre 2003 relatif à la gestion budgétaire, comptable et financière, et aux modalités de financement et de tarification des établissements et services sociaux et médico-sociaux mentionnés au I de l’article L312-1 du code de l’action sociale et des familles VU l’arrêté du 22 mars 2011 pris en application de l’article L.314-4 du code de l’action sociale et des familles fixant les dotations régionales limitatives relatives aux frais de fonctionnement des centres d’hébergement et de réinsertion sociale publié au Journal Officiel du 1er avril 2011, VU l’arrêté préfectoral du 14 juin 2011 fixant la dotation globale de financement du CHRS SOS VIOLENCES CONJUGALES 42, VU le protocole relatif aux modalités de visa par le contrôleur financier des dépenses de dotations globales de financement établi entre la Direction Régionale de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale Rhône Alpes et le contrôleur financier en région Rhône Alpes en date du 10 mai 2011, VU les délégations de crédits reçues imputées sur le programme 177 du budget de l’Etat – Ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement durable et de la Mer – Mission interministérielle Ville et Logement, Sur proposition de M. le Directeur Départemental de la Cohésion Sociale de la Loire,

ARRETE

Article 1er : Le tableau figurant à l’article 1er de l’arrêté du 14 juin 2011 est modifié. Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du CHRS SOS VIOLENCES CONJUGALES 42 sont autorisées comme suit :

Groupes fonctionnels Montants en Euros Total en Euros Groupe I 61 500 Dépenses afférentes à l’exploitation courante Groupe II Dépenses 347 513 495 131 Dépenses afférentes au personnel Groupe III 86 118 Dépenses afférentes à la structure Groupe I 463 988 Produits de la tarification Groupe II Recettes 31 143 495 131 Autres produits relatifs à l’exploitation Groupe III 0 Produits financiers et produits non encaissables

Article 2 : Pour l’exercice budgétaire 2011, la dotation globale de financement du CHRS SOS VIOLENCES CONJUGALES 42 est fixée à 463 988€.

La fraction forfaitaire, en application de l’article R.314-107 du Code de l’Action Sociale et des Familles, égale au douzième de la dotation globale de financement, est fixée à 38 665.66€

Les versements seront effectués au compte n°10278 07303 0005781140 33 auprès du Crédit Mutuel.

Article 3 : A compter du 1er janvier 2012, sans préjudice de la campagne budgétaire 2011, la dotation globale de financement reconductible est fixée à 453 534€.

La fraction forfaitaire égale au douzième de la dotation globale de financement est arrêtée à : 37 794.50€.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sis 119, avenue Maréchal de Saxe – Lyon cedex 03, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auquel il sera notifié, à compter de sa notification.

188 Article 5 : Une copie du présent arrêté sera notifiée à l’établissement ou au service concerné.

Article 6 : Le Directeur Départemental de la Cohésion Sociale est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des actes administratifs.

Saint-Etienne, le 05 octobre 2011 Le Préfet Pierre SOUBELET

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ARRETE N° 2011-03 DU 14 /10/2011 PORTANT AGREMENT DE GROUPEMENT SPORTIF Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

VU la loi du 1er juillet 1901 modifiée relative au contrat d’association VU l’article L 121-4 du Code du Sport VU la loi n° 2000-321 du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec les administrations, notamment ses articles 21 et 23 ; VU le décret n° 2002-488 du 9 Avril 2002 relatif à l’agrément des groupements sportifs VU la délégation de signature donnée à Monsieur Bruno FEUTRIER, Directeur Départemental de la Cohésion Sociale de la Loire par Monsieur le Préfet de la Loire en date du 9 septembre 2011. Considérant la demande des associations

A R R E T E

ARTICLE 1er - L'agrément Ministériel prévu par l’article L 121-4 susvisé est accordé aux Associations Sportives dont les noms suivent pour la pratique des Activités Physiques et Sportives prévues

N° FEDERATIONS NOM DE L'ASSOCIATION ADRESSE DU SIEGE D'AGREMENT D'AFFILIATION

31 rue des Bullieux ANDREZIEUX BOUTHEON FEDERATION FRANÇAISE 42 S 003.011 42160 ANDREZIEUX BADMINTON CLUB DE BADMINTON BOUTHEON

Mme GOUBIER Véronique 4, espace Marguerite Gonon FEDERATION FRANÇAISE 42 S 003.012 BADMINTON MARCELLINOIS 42680 ST MARCELLIN EN DE BADMINTON FOREZ

2 route du stade FEDERATION FRANÇAISE 42 S 005.139 SAINT JOSEPH BASKET 42800 SAINT JOSPEH DE BASKET BALL

23 rue de la fabrique FEDERATION FRANÇAISE PETANQUE DE L’ENVOL 42160 ANDREZIEUX 42 S 130.067 DE PETANQUE ET JEU ANDREZIEUX BOUTHEON BOUTHEON PROVENÇAL

Résidence du théâtre FEDERATION FRANÇAISE SAINT ETIENNE TAEKWONDO 42 S 077.001 45 rue Tarentaize DE TAEKWONDO ET KABLAN 42000 SAINT ETIENNE DISCIPLINES ASSOCIES

22 rue Karl Marx FEDERATION FRANÇAISE 42 S 025.015 TIR À L’ARC 42240 UNIEUX DE TIR À L’ARC

189 ARTICLE 2 - Le préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture. Saint-Etienne, le 14 octobre 2011 Pour le Préfet de la Loire et par délégation, Pour le Directeur Départemental de la Cohésion Sociale, Le Chef de service sports, jeunesse et vie associative Aude REYGADE

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ARRETE PREFECTORAL DU 14/10/2011 MODIFIANT L’ARRÊTÉ PRÉFECTORAL DU 04 OCTOBRE 2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE DE FINANCEMENT DU CENTRE D’ACCUEIL POUR DEMANDEURS D’ASILE DE L’OUDAN À ROANNE GÉRÉ PAR ADOMA Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur

VU le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-3 à L.314-7, R.314-1 à R.314- 110 et R.314-150 à R314-157 VU l’ordonnance n°2010-177 du 23 février 2010 de coordination avec la loi n°2009-879 du 21 juillet 2009 portant réforme de l’hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires, VU le décret N°2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l’Etat dans les régions et départements, VU le décret n°2004-1085 du 14 octobre 2004 relatif à la délégation de gestion dans les services de l’Etat, VU l’arrêté du 22 octobre 2003 fixant les modèles de documents prévus aux articles 9,12, 16, 18, 19, 47 et 83 du décret n°2003-1010 du 22 octobre 2003 relatif à la gestion budgétaire, comptable et financière, et aux modalités de financement et de tarification des établissements et services sociaux et médico-sociaux mentionnés au I de l’article L312-1 du code de l’action sociale et des familles VU l’arrêté du 7 septembre 2011 modifiant l’arrêté du 2 mai 2011 pris en application de l’article L.314-4 du code de l’action sociale et des familles fixant les dotations régionales limitatives relatives aux frais de fonctionnement des centres d’accueil pour demandeurs d’asile et centres de transit, publié au Journal Officiel du 15 septembre 2011, VU l’arrêté préfectoral du 4 octobre 2011 fixant pour l’année 2011 la dotation globale de financement du C.A.D.A. géré par ADOMA à Roanne, VU la convention de délégation de gestion du 20 décembre 2010 entre M. le Préfet de la région Rhône Alpes et M. le Préfet de la Loire confiant au Préfet de la Loire, en son nom et pour son compte, la réalisation de l’ensemble des actes afférents à la procédure budgétaire des établissements et services, VU les délégations de crédits reçues imputées sur le programme 303 du budget de l’Etat – Ministère de l’Intérieur, de l’Outre-Mer, des Collectivités Territoriales et de l’Immigration Sur proposition de M. le Directeur Départemental de la Cohésion Sociale,

ARRETE

Article 1 : Les modalités de versement figurant à l’article 2 de l’arrêté préfectoral du 4 octobre 2011 sont modifiées conformément à l’article 3 du présent arrêté.

Article 2 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du CADA de l’Oudan géré par ADOMA sont autorisées comme suit :

Groupes fonctionnels Montants en Euros Total en Euros Groupe I 55 230€ Dépenses afférentes à l’exploitation courante Groupe II Dépenses 388 342€ 832 853€ Dépenses afférentes au personnel Groupe III 389 281€ Dépenses afférentes à la structure Groupe I 829 853€ Produits de la tarification Groupe II Recettes 3 000€ 832 853,00 € Autres produits relatifs à l’exploitation Groupe III 0€ Produits financiers et produits non encaissables

190 Article 3 : Pour l’exercice budgétaire 2011, la dotation globale de financement du CADA ADOMA est fixée à 829 853€. La fraction forfaitaire, en application de l’article R.314-107 du Code de l’action sociale et des familles, égale au douzième de la dotation globale de financement, est fixée à 69 154.41€. Les versements seront effectués au compte n°30004 00274 00021302092 58 auprès de la BNP PARIBAS Montparnasse.

Article 4 : A compter du 1er janvier 2012, sans préjudice de la campagne budgétaire 2011, la dotation globale de financement reconductible est fixée à 829 853€. La fraction forfaitaire égale au douzième de la dotation globale de financement est arrêtée à : 69 154.41€.

Article 5 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sis 119, avenue Maréchal de Saxe – Lyon cedex 03, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il sera notifié, à compter de sa notification.

Article 6 : Une copie du présent arrêté sera notifiée à l’établissement ou au service concerné.

Article 7 : Le Directeur Départemental de la Cohésion Sociale est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des actes administratifs.

Saint-Etienne, le 14 octobre 2011 Le Préfet Pierre SOUBELET

UNITE TERRITORIALE DE LA DIRECTION REGIONALE DES ENTREPRISES, DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION, DU TRAVAIL ET DE L'EMPLOI

ARRETE N° 11-48 DU 20/09/2011 PORTANT AGREMENT – QUALITE – D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° N-20.09.11-F-042-Q-039 Le Préfet de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur

VU la loi n° 2005-8421 du 26 juillet 2005 relative au développement des emplois de services à la personne et portant diverses mesures en faveur de la cohésion sociale, VU les articles L.7231-1 à L.7233-3, R.7232-1 à 17, D.7231-1, D.7231-2 et D.7233-1 à 5 du Code du Travail, VU les articles L.313-1-1, L.347-1, L.347-2 et D.347-1 à D.347-3 du Code de l’Action Sociale et des Familles, VU l’arrêté du 24 novembre 2005 fixant le cahier des charges relatif à l’agrément « qualité » prévu au premier alinéa de l’article L.7231-1 du Code du Travail, VU le décret n° 2007-854 du 14 mai 2007 relatif aux services à la personne, VU la circulaire ANSP/DGEFP/DGAS n° 1-2007 du 15 mai 2007 relative à l’agrément de services à la personne, VU l’arrêté préfectoral n° 10-22 du 11 février 2010 accordant délégation de signature à Monsieur Michel DELARBRE, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’Emploi de la région Rhône-Alpes, VU l’arrêté n° 10-015 du 21 juin 2010 de Monsieur Michel DELARBRE, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Madame Aline GADALA, Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes, VU l’arrêté n° 09-14 du 6 octobre 2009 portant agrément simple n° N-06.10.09-F-042-S-036 à la SARL FREE DOM’ SAINT-ETIENNE – sise 8 square Violette – 42000 SAINT-ETIENNE pour l’activité prestataire de services à la personne, VU le dossier de demande d’agrément qualité présenté le 20 juin 2011 par la SARL FREE DOM’ SAINT- ETIENNE – sise 8 square Violette – 42000 SAINT-ETIENNE pour l’activité mandataire et prestataire de services à la personne, VU l’avis du Conseil Général de la Loire du 20 septembre 2011,

191 CONSIDERANT que les conditions de l’agrément définies par les articles du Code du Travail et du Code de l’Action Sociale et des Familles ci-dessus cités et par le cahier des charges prévues par l’arrêté du 24 novembre 2005 sont remplies, CONSIDERANT l’engagement de la structure à apporter un service de qualité auprès des publics âgés, dépendants ou handicapés qu’elle prend en charge dans le cadre de leur garde ou leur maintien à domicile et l’engagement de la structure à développer en propre ou au sein d’un réseau les moyens humains, matériels et financiers nécessaires à la montée en charge des autres activités ci-dessous agréées, Sur proposition de Madame la Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

A R R E T E

ARTICLE 1 er : La SARL FREE DOM’ SAINT-ETIENNE – sise 8 square Violette – 42000 SAINT-ETIENNE est agréée (agrément simple et qualité) comme organisme de services à la personne, conformément aux dispositions des textes ci-dessus référencés.

ARTICLE 2 : Le présent agrément est accordé pour une durée de cinq ans à compter du 20 septembre 2011.

ARTICLE 3 : La SARL FREE DOM’ SAINT-ETIENNE – sise 8 square Violette – 42000 SAINT-ETIENNE est agréée en qualité d’organisme de services à la personne : sur le territoire national, en mode prestataire pour les activités suivantes : • Entretien de la maison et travaux ménagers • Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage • Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » • Garde d’enfants à domicile de plus de 3 ans sur le département de la Loire, en mode prestataire et mandataire, pour la fourniture des prestations suivantes : • Garde d’enfants à domicile de moins de 3 ans

ARTICLE 4 : L’arrêté n° 09-14 du 6 octobre 2009 est abrogé.

ARTICLE 5 : Le Secrétaire Général de la Préfecture, la Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 20 septembre 2011 Le Préfet de la Loire, Par délégation, Le DIRECCTE, Par subdélégation, La Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire, Par délégation, Le Directeur Adjoint, Jean-Claude VERSTRAET

Voies de recours : Dans un délai de deux mois à compter de sa notification, la présente décision peut faire l’objet d’un recours : - soit gracieux devant le Préfet de la Loire (par délégation, la Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes - 11 rue Balaÿ - 42021 SAINT-ETIENNE CEDEX 1), - soit hiérarchique auprès de Madame le Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi - Direction Générale de la compétitivité, de l’industrie et des services - Mission des services à la personne - Immeuble Bervil - 12 rue Villiot - 75572 PARIS CEDEX 12, - soit contentieux devant le Tribunal Administratif - 184 rue Duguesclin - 69433 LYON CEDEX 03. ***************

192 AVIS RELATIF À L'EXTENSION D’UN AVENANT SALARIAL À LA CONVENTION COLLECTIVE DÉPARTEMENTALE DE TRAVAIL DES EXPLOITATIONS AGRICOLES DE QUELQUE NATURE QU'ELLES SOIENT, LES EXPLOITATIONS D'ÉLEVAGE, LES EXPLOITATIONS DE CULTURES SPÉCIALISÉES (HORTICULTURE, MARAÎCHERS, PÉPINIÈRES DE TOUTE NATURE) DU DÉPARTEMENT DE LA LOIRE DU 1ER JUILLET 1965 (IDCC 9421) Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur envisage de prendre, en application des articles L.2261-26, R.2231-1, D.2261-6 et D.2261-7 du code du travail, un arrêté tendant à rendre obligatoires pour tous les employeurs et salariés compris dans le champ d’application professionnel et territorial de la convention collective susmentionnée, les dispositions de l’avenant à ladite convention ci-après indiqué.

Texte dont l’extension est envisagée :

Avenant n°100 du 5 avril 2011

Signataires :

• la Fédération départementale des syndicats d'exploitants agricoles,

• la Chambre professionnelle horticole du département de la Loire,

• le Syndicat des pépiniéristes sylviculteurs,

• le Syndicat des maraîchers, et

• le Syndicat des ouvriers agricoles C.F.D.T.,

• le Syndicat des ouvriers agricoles C.G.T.-F.O.,

• le Syndicat des ouvriers agricoles C.F.T.C.

Dépôt :

Unité territoriale de la Loire de la Direccte Rhône-Alpes à St Etienne

Le texte de cet avenant pourra être consulté dans l’unité territoriale concernée.

Dans un délai de quinze jours, les organisations professionnelles et toutes personnes intéressées sont priées de faire connaître observations et avis au sujet de l'extension envisagée. Leurs communications devront être adressées à la Préfecture de la Loire.

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ARRETE N° 11-49 DU 20/09/2011 PORTANT AGREMENT – QUALITE – D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° N-20.09.11-F-042-Q-037 Le Préfet de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur

VU la loi n° 2005-8421 du 26 juillet 2005 relative au développement des emplois de services à la personne et portant diverses mesures en faveur de la cohésion sociale, VU les articles L.7231-1 à L.7233-3, R.7232-1 à 17, D.7231-1, D.7231-2 et D.7233-1 à 5 du Code du Travail, VU les articles L.313-1-1, L.347-1, L.347-2 et D.347-1 à D.347-3 du Code de l’Action Sociale et des Familles, VU l’arrêté du 24 novembre 2005 fixant le cahier des charges relatif à l’agrément « qualité » prévu au premier alinéa de l’article L.7231-1 du Code du Travail, VU le décret n° 2007-854 du 14 mai 2007 relatif aux services à la personne,

193 VU la circulaire ANSP/DGEFP/DGAS n° 1-2007 du 15 mai 2007 relative à l’agrément de services à la personne, VU l’arrêté préfectoral n° 10-22 du 11 février 2010 accordant délégation de signature à Monsieur Michel DELARBRE, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’Emploi de la région Rhône-Alpes, VU l’arrêté n° 10-015 du 21 juin 2010 de Monsieur Michel DELARBRE, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Madame Aline GADALA, Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes, VU le dossier de demande d’agrément qualité présenté le 20 juin 2011 par la SARL GENERATIONS – sise 10 rue du Moulin Populle – 42300 ROANNE pour l’activité mandataire et prestataire de services à la personne, VU la saisine du Conseil Général de la Loire en date du 27 juin 2011, CONSIDERANT que les conditions de l’agrément définies par les articles du Code du Travail et du Code de l’Action Sociale et des Familles ci-dessus cités et par le cahier des charges prévues par l’arrêté du 24 novembre 2005 sont remplies, CONSIDERANT l’engagement de la structure à apporter un service de qualité auprès des publics âgés, dépendants ou handicapés qu’elle prend en charge dans le cadre de leur garde ou leur maintien à domicile et l’engagement de la structure à développer en propre ou au sein d’un réseau les moyens humains, matériels et financiers nécessaires à la montée en charge des autres activités ci-dessous agréées, Sur proposition de Madame la Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

A R R E T E

ARTICLE 1 er : La SARL GENERATIONS – sise 10 rue du Moulin Populle – 42300 ROANNE est agréée (agrément simple et qualité) comme organisme de services à la personne, conformément aux dispositions des textes ci-dessus référencés.

ARTICLE 2 : Le présent agrément est accordé pour une durée de cinq ans à compter du 20 septembre 2011.

ARTICLE 3 : La SARL GENERATIONS – sise 10 rue du Moulin Populle – 42300 ROANNE est agréée en qualité d’organisme de services à la personne : sur le territoire national, en mode prestataire pour les activités suivantes :

• Entretien de la maison et travaux ménagers • Préparation de repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions • Garde d’enfants à domicile de plus de 3 ans • Accompagnement d’enfants de plus de 3 ans dans leurs déplacements, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile • Soins et promenades d’animaux de compagnie, à l’exclusion des soins vétérinaires et du toilettage, pour les personnes dépendantes • Assistance administrative à domicile sur le département de la Loire, en mode prestataire et mandataire, pour la fourniture des prestations suivantes :

• Assistance aux personnes âgées, aux personnes handicapées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux

• Garde malade, à l’exclusion des soins

• Aide à la mobilité et transports de personnes ayant des difficultés de déplacement lorsque cette activité est incluse dans une offre de service d’assistance à domicile

194 ARTICLE 4 : Le Secrétaire Général de la Préfecture, la Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 20 septembre 2011 Le Préfet de la Loire, Par délégation, Le DIRECCTE, Par subdélégation, La Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire, Par délégation, Le Directeur Adjoint, Jean-Claude VERSTRAET

Voies de recours :

Dans un délai de deux mois à compter de sa notification, la présente décision peut faire l’objet d’un recours :

- soit gracieux devant le Préfet de la Loire (par délégation, la Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes - 11 rue Balaÿ - 42021 SAINT-ETIENNE CEDEX 1), - soit hiérarchique auprès de Madame le Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi - Direction Générale de la compétitivité, de l’industrie et des services - Mission des services à la personne - Immeuble Bervil - 12 rue Villiot - 75572 PARIS CEDEX 12, - soit contentieux devant le Tribunal Administratif - 184 rue Duguesclin - 69433 LYON CEDEX 03.

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ARRETE N° 11-50 DU 19/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D’AGREMENT SIMPLE D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° R-19.10.11-F-042-S-040 Le Préfet de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur

VU la loi n° 2005-8421 du 26 juillet 2005 relative au développement des emplois de services à la personne et portant diverses mesures en faveur de la cohésion sociale, VU les articles L.7231-1 à L.7233-3, R.7232-1 à 17, D.7231-1, D.7231-2 et D.7233-1 à 5 du Code du Travail, VU les articles L.313-1-1, L.347-1, L.347-2 et D.347-1 à D.347-3 du Code de l’Action Sociale et des Familles, VU le décret n° 2007-854 du 14 mai 2007 relatif aux services à la personne, VU la circulaire ANSP/DGEFP/DGAS n° 1-2007 du 15 mai 2007 relative à l’agrément de services à la personne, VU l’arrêté préfectoral n° 10-22 du 11 février 2010 accordant délégation de signature à Monsieur Michel DELARBRE, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Rhône-Alpes, VU l’arrêté n° 11-024 du 1er octobre 2011 de Monsieur Michel DELARBRE, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Monsieur Jean-Daniel CRISTOFORETTI, Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes, VU l’agrément simple n° 2006-1-42-017 accordé le 19 octobre 2006 à l’EURL JANETE ET PLUMO sise La Bâtie – 1431 Chemin de l’Oiseau – 42800 SAINT-ROMAIN-EN-JAREZ pour l’activité prestataire de services à la personne, VU le dossier de demande de renouvellement de cet agrément présenté le 27 juillet 2011 par l’EURL JANETE ET PLUMO sise La Bâtie – 1431 Chemin de l’Oiseau – 42800 SAINT-ROMAIN-EN-JAREZ, CONSIDERANT que les conditions définies par les articles du Code du Travail, du Code de l’Action Sociale et des Familles ci-dessus définis sont remplies, CONSIDERANT l’engagement de la structure à apporter un service de qualité auprès des publics pour lesquels elle s’engage et à développer en propre ou au sein d’un réseau les moyens humains, matériels et financiers nécessaires à la montée en charge des activités ci-dessous agréées, Sur proposition de Monsieur le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

195 A R R E T E

ARTICLE 1 er : L’EURL JANETE ET PLUMO sise La Bâtie – 1431 Chemin de l’Oiseau – 42800 SAINT- ROMAIN-EN-JAREZ est agréée comme organisme prestataire de services à la personne, conformément aux dispositions des textes ci-dessus référencés.

ARTICLE 2 : Le présent agrément est accordé pour une durée de cinq ans à compter du 19 octobre 2011.

ARTICLE 3 : L’EURL JANETE ET PLUMO sise La Bâtie – 1431 Chemin de l’Oiseau – 42800 SAINT- ROMAIN-EN-JAREZ est agréée en qualité d’organisme prestataire pour la fourniture de services à la personne sur l’ensemble du territoire national et pour les prestations suivantes :

• Entretien de la maison et travaux ménagers • Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » • Préparation de repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions

ARTICLE 4 : Le Secrétaire Général de la Préfecture, le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 19 octobre 2011 Le Préfet de la Loire, Par délégation, Le DIRECCTE, Par subdélégation, Le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire, Jean-Daniel CRISTOFORETTI

Voies de recours :

Dans un délai de deux mois à compter de sa notification, la présente décision peut faire l’objet d’un recours :

- soit gracieux devant le Préfet de la Loire (par délégation, le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes - 11 rue Balaÿ - 42021 SAINT-ETIENNE CEDEX 1), - soit hiérarchique auprès de Madame le Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi - Direction Générale de la compétitivité, de l’industrie et des services - Mission des services à la personne - Immeuble Bervil - 12 rue Villiot - 75572 PARIS CEDEX 12, - soit contentieux devant le Tribunal Administratif - 184 rue Duguesclin - 69433 LYON CEDEX 03.

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ARRETE N° 11-51 DU 19/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D’AGREMENT SIMPLE D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° R-19.10.11-F-042-S-041 Le Préfet de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur

VU la loi n° 2005-8421 du 26 juillet 2005 relative au développement des emplois de services à la personne et portant diverses mesures en faveur de la cohésion sociale, VU les articles L.7231-1 à L.7233-3, R.7232-1 à 17, D.7231-1, D.7231-2 et D.7233-1 à 5 du Code du Travail, VU les articles L.313-1-1, L.347-1, L.347-2 et D.347-1 à D.347-3 du Code de l’Action Sociale et des Familles, VU le décret n° 2007-854 du 14 mai 2007 relatif aux services à la personne, VU la circulaire ANSP/DGEFP/DGAS n° 1-2007 du 15 mai 2007 relative à l’agrément de services à la personne, VU l’arrêté préfectoral n° 10-22 du 11 février 2010 accordant délégation de signature à Monsieur Michel DELARBRE, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Rhône-Alpes, VU l’arrêté n° 11-024 du 1er octobre 2011 de Monsieur Michel DELARBRE, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Monsieur Jean-Daniel CRISTOFORETTI, Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

196 VU l’agrément simple n° 2006-1-42-016 accordé le 19 octobre 2006 à l’entreprise individuelle PLUCHE Christine sise 4 rue Léon Blum – 42270 SAINT-PRIEST-EN-JAREZ pour l’activité prestataire de services à la personne, VU le dossier de demande de renouvellement de cet agrément présenté le 7 septembre 2011 par l’entreprise individuelle PLUCHE Christine sise 4 rue Léon Blum – 42270 SAINT-PRIEST-EN-JAREZ, CONSIDERANT que les conditions définies par les articles du Code du Travail, du Code de l’Action Sociale et des Familles ci-dessus définis sont remplies, CONSIDERANT l’engagement de la structure à apporter un service de qualité auprès des publics pour lesquels elle s’engage et à développer en propre ou au sein d’un réseau les moyens humains, matériels et financiers nécessaires à la montée en charge des activités ci-dessous agréées, Sur proposition de Monsieur le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

A R R E T E

ARTICLE 1 er : L’entreprise individuelle PLUCHE Christine sise 4 rue Léon Blum – 42270 SAINT-PRIEST- EN-JAREZ est agréée comme organisme prestataire de services à la personne, conformément aux dispositions des textes ci-dessus référencés.

ARTICLE 2 : Le présent agrément est accordé pour une durée de cinq ans à compter du 19 octobre 2011.

ARTICLE 3 : L’entreprise individuelle PLUCHE Christine sise 4 rue Léon Blum – 42270 SAINT-PRIEST- EN-JAREZ est agréée en qualité d’organisme prestataire pour la fourniture de services à la personne sur l’ensemble du territoire national et pour les prestations suivantes :

• Soutien scolaire à domicile

ARTICLE 4 : Le Secrétaire Général de la Préfecture, le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 19 octobre 2011 Le Préfet de la Loire, Par délégation, Le DIRECCTE, Par subdélégation, Le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire, Jean-Daniel CRISTOFORETTI

Voies de recours :

Dans un délai de deux mois à compter de sa notification, la présente décision peut faire l’objet d’un recours :

- soit gracieux devant le Préfet de la Loire (par délégation, le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes - 11 rue Balaÿ - 42021 SAINT-ETIENNE CEDEX 1), - soit hiérarchique auprès de Madame le Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi - Direction Générale de la compétitivité, de l’industrie et des services - Mission des services à la personne - Immeuble Bervil - 12 rue Villiot - 75572 PARIS CEDEX 12, - soit contentieux devant le Tribunal Administratif - 184 rue Duguesclin - 69433 LYON CEDEX 03.

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ARRETE N° 11-52 DU 19/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D’AGREMENT SIMPLE D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° R-19.10.11-F-042-S-042 Le Préfet de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur

VU la loi n° 2005-8421 du 26 juillet 2005 relative au développement des emplois de services à la personne et portant diverses mesures en faveur de la cohésion sociale, VU les articles L.7231-1 à L.7233-3, R.7232-1 à 17, D.7231-1, D.7231-2 et D.7233-1 à 5 du Code du Travail, VU les articles L.313-1-1, L.347-1, L.347-2 et D.347-1 à D.347-3 du Code de l’Action Sociale et des Familles, VU le décret n° 2007-854 du 14 mai 2007 relatif aux services à la personne, VU la circulaire ANSP/DGEFP/DGAS n° 1-2007 du 15 mai 2007 relative à l’agrément de services à la personne,

197 VU l’arrêté préfectoral n° 10-22 du 11 février 2010 accordant délégation de signature à Monsieur Michel DELARBRE, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Rhône-Alpes, VU l’arrêté n° 11-024 du 1er octobre 2011 de Monsieur Michel DELARBRE, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Monsieur Jean-Daniel CRISTOFORETTI, Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes, VU l’agrément simple n° 2006-1-42-018 accordé le 19 octobre 2006 à l’EURL IMPEC’LOGIS SERVICES sise 28 rue de la République – 42350 LA TALAUDIERE pour l’activité prestataire de services à la personne, VU le dossier de demande de renouvellement de cet agrément présenté le 12 septembre 2011 par l’EURL IMPEC’LOGIS SERVICES sise 28 rue de la République – 42350 LA TALAUDIERE, CONSIDERANT que les conditions définies par les articles du Code du Travail, du Code de l’Action Sociale et des Familles ci-dessus définis sont remplies, CONSIDERANT l’engagement de la structure à apporter un service de qualité auprès des publics pour lesquels elle s’engage et à développer en propre ou au sein d’un réseau les moyens humains, matériels et financiers nécessaires à la montée en charge des activités ci-dessous agréées, Sur proposition de Monsieur le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

A R R E T E

ARTICLE 1 er : L’EURL IMPEC’LOGIS SERVICES sise 28 rue de la République – 42350 LA TALAUDIERE est agréée comme organisme prestataire de services à la personne, conformément aux dispositions des textes ci- dessus référencés.

ARTICLE 2 : Le présent agrément est accordé pour une durée de cinq ans à compter du 19 octobre 2011.

ARTICLE 3 : L’EURL IMPEC’LOGIS SERVICES sise 28 rue de la République – 42350 LA TALAUDIERE est agréée en qualité d’organisme prestataire pour la fourniture de services à la personne sur l’ensemble du territoire national et pour les prestations suivantes : • Entretien de la maison et travaux ménagers • Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage • Préparation de repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions • Collecte et livraison à domicile de linge repassé, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile • Livraison de courses à domicile, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile • Maintenance, entretien et vigilance temporaires, à domicile, de la résidence principale et secondaire • Assistance administrative à domicile

ARTICLE 4 : Le Secrétaire Général de la Préfecture, le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Loire. Fait à Saint-Etienne, le 19 octobre 2011 Le Préfet de la Loire, Par délégation, Le DIRECCTE, Par subdélégation, Le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire, Jean-Daniel CRISTOFORETTI

Voies de recours : Dans un délai de deux mois à compter de sa notification, la présente décision peut faire l’objet d’un recours : - soit gracieux devant le Préfet de la Loire (par délégation, le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes - 11 rue Balaÿ - 42021 SAINT-ETIENNE CEDEX 1), - soit hiérarchique auprès de Madame le Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi - Direction Générale de la compétitivité, de l’industrie et des services - Mission des services à la personne - Immeuble Bervil - 12 rue Villiot - 75572 PARIS CEDEX 12, - soit contentieux devant le Tribunal Administratif - 184 rue Duguesclin - 69433 LYON CEDEX 03. ***************

198 ARRETE N° 11-58 DU 20/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D’AGREMENT SIMPLE D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° R-20.10.11-A-042-S-048 Le Préfet de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur

VU la loi n° 2005-8421 du 26 juillet 2005 relative au développement des emplois de services à la personne et portant diverses mesures en faveur de la cohésion sociale, VU les articles L.7231-1 à L.7233-3, R.7232-1 à 17, D.7231-1, D.7231-2 et D.7233-1 à 5 du Code du Travail, VU les articles L.313-1-1, L.347-1, L.347-2 et D.347-1 à D.347-3 du Code de l’Action Sociale et des Familles, VU le décret n° 2007-854 du 14 mai 2007 relatif aux services à la personne, VU la circulaire ANSP/DGEFP/DGAS n° 1-2007 du 15 mai 2007 relative à l’agrément de services à la personne, VU l’arrêté préfectoral n° 10-22 du 11 février 2010 accordant délégation de signature à Monsieur Michel DELARBRE, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Rhône-Alpes, VU l’arrêté n° 11-024 du 1er octobre 2011 de Monsieur Michel DELARBRE, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Monsieur Jean-Daniel CRISTOFORETTI, Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes, VU l’agrément simple n° 2006-1-42-021 accordé le 20 octobre 2006 à l’association intermédiaire ASSOCIATION POUR LA PROMOTION DE L’EMPLOI DANS LE HAUT FOREZ – Rue du 21 Août 1944 – 42380 ESTIVAREILLES pour l’activité prestataire de services à la personne, VU le dossier de demande de renouvellement de cet agrément présenté le 13 octobre 2011 par l’association intermédiaire ASSOCIATION POUR LA PROMOTION DE L’EMPLOI DANS LE HAUT FOREZ – Rue du 21 Août 1944 – 42380 ESTIVAREILLES, CONSIDERANT que les conditions définies par les articles du Code du Travail, du Code de l’Action Sociale et des Familles ci-dessus définis sont remplies, CONSIDERANT l’engagement de la structure à apporter un service de qualité auprès des publics pour lesquels elle s’engage et à développer en propre ou au sein d’un réseau les moyens humains, matériels et financiers nécessaires à la montée en charge des activités ci-dessous agréées, Sur proposition de Monsieur le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

A R R E T E

ARTICLE 1 er : L’association intermédiaire ASSOCIATION POUR LA PROMOTION DE L’EMPLOI DANS LE HAUT FOREZ – Rue du 21 Août 1944 – 42380 ESTIVAREILLES est agréée comme organisme prestataire de services à la personne, conformément aux dispositions des textes ci-dessus référencés.

ARTICLE 2 : Le présent agrément est accordé pour une durée de cinq ans à compter du 20 octobre 2011.

ARTICLE 3 : L’association intermédiaire ASSOCIATION POUR LA PROMOTION DE L’EMPLOI DANS LE HAUT FOREZ – Rue du 21 Août 1944 – 42380 ESTIVAREILLES est agréée en qualité d’organisme prestataire pour la fourniture de services à la personne sur l’ensemble du territoire national et pour les prestations suivantes :

• Entretien de la maison et travaux ménagers

• Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage

• Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains »

• Livraison de courses à domicile, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile

199 ARTICLE 4 : Le Secrétaire Général de la Préfecture, le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 20 octobre 2011 Le Préfet de la Loire, Par délégation, Le DIRECCTE, Par subdélégation, Le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire, Jean-Daniel CRISTOFORETTI

Voies de recours :

Dans un délai de deux mois à compter de sa notification, la présente décision peut faire l’objet d’un recours :

- soit gracieux devant le Préfet de la Loire (par délégation, le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes - 11 rue Balaÿ - 42021 SAINT-ETIENNE CEDEX 1), - soit hiérarchique auprès de Madame le Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi - Direction Générale de la compétitivité, de l’industrie et des services - Mission des services à la personne - Immeuble Bervil - 12 rue Villiot - 75572 PARIS CEDEX 12, - soit contentieux devant le Tribunal Administratif - 184 rue Duguesclin - 69433 LYON CEDEX 03.

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ARRETE N° 11-53 DU 20/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D’AGREMENT SIMPLE D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° R-20.10.11-A-042-S-043 Le Préfet de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur

VU la loi n° 2005-8421 du 26 juillet 2005 relative au développement des emplois de services à la personne et portant diverses mesures en faveur de la cohésion sociale, VU les articles L.7231-1 à L.7233-3, R.7232-1 à 17, D.7231-1, D.7231-2 et D.7233-1 à 5 du Code du Travail, VU les articles L.313-1-1, L.347-1, L.347-2 et D.347-1 à D.347-3 du Code de l’Action Sociale et des Familles, VU le décret n° 2007-854 du 14 mai 2007 relatif aux services à la personne, VU la circulaire ANSP/DGEFP/DGAS n° 1-2007 du 15 mai 2007 relative à l’agrément de services à la personne, VU l’arrêté préfectoral n° 10-22 du 11 février 2010 accordant délégation de signature à Monsieur Michel DELARBRE, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Rhône-Alpes, VU l’arrêté n° 11-024 du 1er octobre 2011 de Monsieur Michel DELARBRE, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Monsieur Jean-Daniel CRISTOFORETTI, Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes, VU l’agrément simple n° 2006-1-42-025 accordé le 20 octobre 2006 à l’association intermédiaire TREMPLIN 42 – 9 rue des Docteurs Charcot – 42100 SAINT-ETIENNE pour l’activité prestataire de services à la personne, VU le dossier de demande de renouvellement de cet agrément présenté le 18 août 2011 par l’association intermédiaire TREMPLIN 42 – 9 rue des Docteurs Charcot – 42100 SAINT-ETIENNE, CONSIDERANT que les conditions définies par les articles du Code du Travail, du Code de l’Action Sociale et des Familles ci-dessus définis sont remplies, CONSIDERANT l’engagement de la structure à apporter un service de qualité auprès des publics pour lesquels elle s’engage et à développer en propre ou au sein d’un réseau les moyens humains, matériels et financiers nécessaires à la montée en charge des activités ci-dessous agréées, Sur proposition de Monsieur le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

A R R E T E

ARTICLE 1 er : L’association intermédiaire TREMPLIN 42 – 9 rue des Docteurs Charcot – 42100 SAINT- ETIENNE est agréée comme organisme prestataire de services à la personne, conformément aux dispositions des textes ci-dessus référencés.

ARTICLE 2 : Le présent agrément est accordé pour une durée de cinq ans à compter du 20 octobre 2011.

200 ARTICLE 3 : L’association intermédiaire TREMPLIN 42 – 9 rue des Docteurs Charcot – 42100 SAINT- ETIENNE est agréée en qualité d’organisme prestataire pour la fourniture de services à la personne sur l’ensemble du territoire national et pour les prestations suivantes : • Entretien de la maison et travaux ménagers • Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage • Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » • Préparation de repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions • Livraison de repas à domicile, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile • Collecte et livraison à domicile de linge repassé, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile • Livraison de courses à domicile, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile • Soins et promenades d’animaux de compagnie, à l’exclusion des soins vétérinaires et du toilettage, pour les personnes dépendantes • Maintenance, entretien et vigilance temporaires, à domicile, de la résidence principale et secondaire • Garde d’enfants à domicile de plus de 3 ans • Soutien scolaire à domicile • Cours à domicile • Assistance informatique et Internet à domicile • Assistance administrative à domicile

ARTICLE 4 : Le Secrétaire Général de la Préfecture, le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 20 octobre 2011 Le Préfet de la Loire, Par délégation, Le DIRECCTE, Par subdélégation, Le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire, Jean-Daniel CRISTOFORETTI

Voies de recours :

Dans un délai de deux mois à compter de sa notification, la présente décision peut faire l’objet d’un recours : - soit gracieux devant le Préfet de la Loire (par délégation, le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes - 11 rue Balaÿ - 42021 SAINT-ETIENNE CEDEX 1), - soit hiérarchique auprès de Madame le Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi - Direction Générale de la compétitivité, de l’industrie et des services - Mission des services à la personne - Immeuble Bervil - 12 rue Villiot - 75572 PARIS CEDEX 12, - soit contentieux devant le Tribunal Administratif - 184 rue Duguesclin - 69433 LYON CEDEX 03.

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ARRETE N° 11-54 DU 20/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D’AGREMENT SIMPLE D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° R-20.10.11-A-042-S-044 Le Préfet de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur

VU la loi n° 2005-8421 du 26 juillet 2005 relative au développement des emplois de services à la personne et portant diverses mesures en faveur de la cohésion sociale, VU les articles L.7231-1 à L.7233-3, R.7232-1 à 17, D.7231-1, D.7231-2 et D.7233-1 à 5 du Code du Travail, VU les articles L.313-1-1, L.347-1, L.347-2 et D.347-1 à D.347-3 du Code de l’Action Sociale et des Familles, VU le décret n° 2007-854 du 14 mai 2007 relatif aux services à la personne, VU la circulaire ANSP/DGEFP/DGAS n° 1-2007 du 15 mai 2007 relative à l’agrément de services à la personne, VU l’arrêté préfectoral n° 10-22 du 11 février 2010 accordant délégation de signature à Monsieur Michel DELARBRE, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Rhône-Alpes,

201 VU l’arrêté n° 11-024 du 1er octobre 2011 de Monsieur Michel DELARBRE, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Monsieur Jean-Daniel CRISTOFORETTI, Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes, VU l’agrément simple n° 2006-1-42-022 accordé le 20 octobre 2006 à l’association intermédiaire STAF 42 – 22 rue de la Paix – 42000 SAINT-ETIENNE pour l’activité prestataire de services à la personne, VU le dossier de demande de renouvellement de cet agrément présenté le 22 août 2011 par l’association intermédiaire STAF 42 – 22 rue de la Paix – 42000 SAINT-ETIENNE, CONSIDERANT que les conditions définies par les articles du Code du Travail, du Code de l’Action Sociale et des Familles ci-dessus définis sont remplies, CONSIDERANT l’engagement de la structure à apporter un service de qualité auprès des publics pour lesquels elle s’engage et à développer en propre ou au sein d’un réseau les moyens humains, matériels et financiers nécessaires à la montée en charge des activités ci-dessous agréées, Sur proposition de Monsieur le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

A R R E T E

ARTICLE 1 er : L’association intermédiaire STAF 42 – 22 rue de la Paix – 42000 SAINT-ETIENNE est agréée comme organisme prestataire de services à la personne, conformément aux dispositions des textes ci-dessus référencés.

ARTICLE 2 : Le présent agrément est accordé pour une durée de cinq ans à compter du 20 octobre 2011.

ARTICLE 3 : L’association intermédiaire STAF 42 – 22 rue de la Paix – 42000 SAINT-ETIENNE est agréée en qualité d’organisme prestataire pour la fourniture de services à la personne sur l’ensemble du territoire national et pour les prestations suivantes : • Entretien de la maison et travaux ménagers • Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage • Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » • Préparation de repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions • Livraison de courses à domicile, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile • Garde d’enfants à domicile de plus de 3 ans • Soutien scolaire à domicile • Assistance informatique et Internet à domicile • Assistance administrative à domicile

ARTICLE 4 : Le Secrétaire Général de la Préfecture, le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 20 octobre 2011 Le Préfet de la Loire, Par délégation, Le DIRECCTE, Par subdélégation, Le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire, Jean-Daniel CRISTOFORETTI

Voies de recours :

Dans un délai de deux mois à compter de sa notification, la présente décision peut faire l’objet d’un recours :

- soit gracieux devant le Préfet de la Loire (par délégation, le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes - 11 rue Balaÿ - 42021 SAINT-ETIENNE CEDEX 1), - soit hiérarchique auprès de Madame le Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi - Direction Générale de la compétitivité, de l’industrie et des services - Mission des services à la personne - Immeuble Bervil - 12 rue Villiot - 75572 PARIS CEDEX 12, - soit contentieux devant le Tribunal Administratif - 184 rue Duguesclin - 69433 LYON CEDEX 03.

****************

202 ARRETE N° 11-55 DU 20/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D’AGREMENT SIMPLE D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° R-20.10.11-A-042-S-045 Le Préfet de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur

VU la loi n° 2005-8421 du 26 juillet 2005 relative au développement des emplois de services à la personne et portant diverses mesures en faveur de la cohésion sociale, VU les articles L.7231-1 à L.7233-3, R.7232-1 à 17, D.7231-1, D.7231-2 et D.7233-1 à 5 du Code du Travail, VU les articles L.313-1-1, L.347-1, L.347-2 et D.347-1 à D.347-3 du Code de l’Action Sociale et des Familles, VU le décret n° 2007-854 du 14 mai 2007 relatif aux services à la personne, VU la circulaire ANSP/DGEFP/DGAS n° 1-2007 du 15 mai 2007 relative à l’agrément de services à la personne, VU l’arrêté préfectoral n° 10-22 du 11 février 2010 accordant délégation de signature à Monsieur Michel DELARBRE, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Rhône-Alpes, VU l’arrêté n° 11-024 du 1er octobre 2011 de Monsieur Michel DELARBRE, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Monsieur Jean-Daniel CRISTOFORETTI, Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes, VU l’agrément simple n° 2006-1-42-020 accordé le 20 octobre 2006 à l’association intermédiaire S.O.S. PETITS BOULOTS – 2 route de Saint-Paul – 42740 SAINT-PAUL-EN-JAREZ pour l’activité prestataire de services à la personne, VU le dossier de demande de renouvellement de cet agrément présenté le 6 octobre 2011 par l’association intermédiaire S.O.S. PETITS BOULOTS – 2 route de Saint-Paul – 42740 SAINT-PAUL-EN-JAREZ, CONSIDERANT que les conditions définies par les articles du Code du Travail, du Code de l’Action Sociale et des Familles ci-dessus définis sont remplies, CONSIDERANT l’engagement de la structure à apporter un service de qualité auprès des publics pour lesquels elle s’engage et à développer en propre ou au sein d’un réseau les moyens humains, matériels et financiers nécessaires à la montée en charge des activités ci-dessous agréées, Sur proposition de Monsieur le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

A R R E T E

ARTICLE 1 er : L’association intermédiaire S.O.S. PETITS BOULOTS – 2 route de Saint-Paul – 42740 SAINT-PAUL-EN-JAREZ est agréée comme organisme prestataire de services à la personne, conformément aux dispositions des textes ci-dessus référencés.

ARTICLE 2 : Le présent agrément est accordé pour une durée de cinq ans à compter du 20 octobre 2011.

ARTICLE 3 : L’association intermédiaire S.O.S. PETITS BOULOTS – 2 route de Saint-Paul – 42740 SAINT- PAUL-EN-JAREZ est agréée en qualité d’organisme prestataire pour la fourniture de services à la personne sur l’ensemble du territoire national et pour les prestations suivantes :

• Entretien de la maison et travaux ménagers • Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage • Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » • Préparation de repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions • Garde d’enfants à domicile de plus de 3 ans

ARTICLE 4 : Le Secrétaire Général de la Préfecture, le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 20 octobre 2011 Le Préfet de la Loire, Par délégation, Le DIRECCTE, Par subdélégation, Le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire, Jean-Daniel CRISTOFORETTI

203 V oies de recours :

Dans un délai de deux mois à compter de sa notification, la présente décision peut faire l’objet d’un recours : - soit gracieux devant le Préfet de la Loire (par délégation, le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes - 11 rue Balaÿ - 42021 SAINT-ETIENNE CEDEX 1), - soit hiérarchique auprès de Madame le Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi - Direction Générale de la compétitivité, de l’industrie et des services - Mission des services à la personne - Immeuble Bervil - 12 rue Villiot - 75572 PARIS CEDEX 12, - soit contentieux devant le Tribunal Administratif - 184 rue Duguesclin - 69433 LYON CEDEX 03.

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ARRETE N° 11-56 DU 20/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D’AGREMENT SIMPLE D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° R-20.10.11-A-042-S-046 Le Préfet de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur

VU la loi n° 2005-8421 du 26 juillet 2005 relative au développement des emplois de services à la personne et portant diverses mesures en faveur de la cohésion sociale, VU les articles L.7231-1 à L.7233-3, R.7232-1 à 17, D.7231-1, D.7231-2 et D.7233-1 à 5 du Code du Travail, VU les articles L.313-1-1, L.347-1, L.347-2 et D.347-1 à D.347-3 du Code de l’Action Sociale et des Familles, VU le décret n° 2007-854 du 14 mai 2007 relatif aux services à la personne, VU la circulaire ANSP/DGEFP/DGAS n° 1-2007 du 15 mai 2007 relative à l’agrément de services à la personne, VU l’arrêté préfectoral n° 10-22 du 11 février 2010 accordant délégation de signature à Monsieur Michel DELARBRE, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Rhône-Alpes, VU l’arrêté n° 11-024 du 1er octobre 2011 de Monsieur Michel DELARBRE, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Monsieur Jean-Daniel CRISTOFORETTI, Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes, VU l’agrément simple n° 2006-1-42-024 accordé le 20 octobre 2006 à l’association intermédiaire UTILE SUD FOREZ – Le Forum – 28 rue Emile Reymond – 42160 ANDREZIEUX-BOUTHEON pour l’activité prestataire de services à la personne, VU le dossier de demande de renouvellement de cet agrément présenté le 3 octobre 2011 par l’association intermédiaire UTILE SUD FOREZ – Le Forum – 28 rue Emile Reymond – 42160 ANDREZIEUX- BOUTHEON, CONSIDERANT que les conditions définies par les articles du Code du Travail, du Code de l’Action Sociale et des Familles ci-dessus définis sont remplies, CONSIDERANT l’engagement de la structure à apporter un service de qualité auprès des publics pour lesquels elle s’engage et à développer en propre ou au sein d’un réseau les moyens humains, matériels et financiers nécessaires à la montée en charge des activités ci-dessous agréées, Sur proposition de Monsieur le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

A R R E T E

ARTICLE 1 er : L’association intermédiaire UTILE SUD FOREZ – Le Forum – 28 rue Emile Reymond – 42160 ANDREZIEUX-BOUTHEON est agréée comme organisme prestataire de services à la personne, conformément aux dispositions des textes ci-dessus référencés.

ARTICLE 2 : Le présent agrément est accordé pour une durée de cinq ans à compter du 20 octobre 2011.

ARTICLE 3 : L’association intermédiaire UTILE SUD FOREZ – Le Forum – 28 rue Emile Reymond – 42160 ANDREZIEUX-BOUTHEON est agréée en qualité d’organisme prestataire pour la fourniture de services à la personne sur l’ensemble du territoire national et pour les prestations suivantes : • Entretien de la maison et travaux ménagers • Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage • Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » • Préparation de repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions

204 • Livraison de repas à domicile, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile • Collecte et livraison à domicile de linge repassé, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile • Livraison de courses à domicile, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile • Soins et promenades d’animaux de compagnie, à l’exclusion des soins vétérinaires et du toilettage, pour les personnes dépendantes • Maintenance, entretien et vigilance temporaires, à domicile, de la résidence principale et secondaire • Garde d’enfants à domicile de plus de 3 ans • Accompagnement d’enfants de plus de 3 ans dans leurs déplacements, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile • Soutien scolaire à domicile • Cours à domicile • Assistance informatique et Internet à domicile • Assistance administrative à domicile • Activités qui concourent directement et exclusivement à coordonner et délivrer les services à la personne

ARTICLE 4 : Le Secrétaire Général de la Préfecture, le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 20 octobre 2011 Le Préfet de la Loire, Par délégation, Le DIRECCTE, Par subdélégation, Le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire, Jean-Daniel CRISTOFORETTI

Voies de recours :

Dans un délai de deux mois à compter de sa notification, la présente décision peut faire l’objet d’un recours :

- soit gracieux devant le Préfet de la Loire (par délégation, le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes - 11 rue Balaÿ - 42021 SAINT-ETIENNE CEDEX 1), - soit hiérarchique auprès de Madame le Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi - Direction Générale de la compétitivité, de l’industrie et des services - Mission des services à la personne - Immeuble Bervil - 12 rue Villiot - 75572 PARIS CEDEX 12, - soit contentieux devant le Tribunal Administratif - 184 rue Duguesclin - 69433 LYON CEDEX 03.

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ARRETE N° 11-57 DU 20/10/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D’AGREMENT SIMPLE D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° R-20.10.11-A-042-S-047 Le Préfet de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur

VU la loi n° 2005-8421 du 26 juillet 2005 relative au développement des emplois de services à la personne et portant diverses mesures en faveur de la cohésion sociale, VU les articles L.7231-1 à L.7233-3, R.7232-1 à 17, D.7231-1, D.7231-2 et D.7233-1 à 5 du Code du Travail, VU les articles L.313-1-1, L.347-1, L.347-2 et D.347-1 à D.347-3 du Code de l’Action Sociale et des Familles, VU le décret n° 2007-854 du 14 mai 2007 relatif aux services à la personne, VU la circulaire ANSP/DGEFP/DGAS n° 1-2007 du 15 mai 2007 relative à l’agrément de services à la personne, VU l’arrêté préfectoral n° 10-22 du 11 février 2010 accordant délégation de signature à Monsieur Michel DELARBRE, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Rhône-Alpes, VU l’arrêté n° 11-024 du 1er octobre 2011 de Monsieur Michel DELARBRE, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Monsieur Jean-Daniel CRISTOFORETTI, Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

205 VU l’agrément simple n° 2006-1-42-023 accordé le 20 octobre 2006 à l’association intermédiaire RELAIS ONDAINE – 44 rue de la Tour de Varan – 42700 FIRMINY pour l’activité prestataire de services à la personne, VU le dossier de demande de renouvellement de cet agrément présenté le 11 octobre 2011 par l’association intermédiaire RELAIS ONDAINE – 44 rue de la Tour de Varan – 42700 FIRMINY, CONSIDERANT que les conditions définies par les articles du Code du Travail, du Code de l’Action Sociale et des Familles ci-dessus définis sont remplies, CONSIDERANT l’engagement de la structure à apporter un service de qualité auprès des publics pour lesquels elle s’engage et à développer en propre ou au sein d’un réseau les moyens humains, matériels et financiers nécessaires à la montée en charge des activités ci-dessous agréées, Sur proposition de Monsieur le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

A R R E T E

ARTICLE 1 er : L’association intermédiaire RELAIS ONDAINE – 44 rue de la Tour de Varan – 42700 FIRMINY est agréée comme organisme prestataire de services à la personne, conformément aux dispositions des textes ci-dessus référencés.

ARTICLE 2 : Le présent agrément est accordé pour une durée de cinq ans à compter du 20 octobre 2011.

ARTICLE 3 : L’association intermédiaire RELAIS ONDAINE – 44 rue de la Tour de Varan – 42700 FIRMINY est agréée en qualité d’organisme prestataire pour la fourniture de services à la personne sur l’ensemble du territoire national et pour les prestations suivantes :

• Entretien de la maison et travaux ménagers • Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage • Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » • Préparation de repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions

ARTICLE 4 : Le Secrétaire Général de la Préfecture, le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 20 octobre 2011 Le Préfet de la Loire, Par délégation, Le DIRECCTE, Par subdélégation, Le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire, Jean-Daniel CRISTOFORETTI

Voies de recours :

Dans un délai de deux mois à compter de sa notification, la présente décision peut faire l’objet d’un recours :

- soit gracieux devant le Préfet de la Loire (par délégation, le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes - 11 rue Balaÿ - 42021 SAINT-ETIENNE CEDEX 1), - soit hiérarchique auprès de Madame le Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi - Direction Générale de la compétitivité, de l’industrie et des services - Mission des services à la personne - Immeuble Bervil - 12 rue Villiot - 75572 PARIS CEDEX 12, - soit contentieux devant le Tribunal Administratif - 184 rue Duguesclin - 69433 LYON CEDEX 03.

206 II – ARRETES CONJOINTS

207 ARRETE N° 371/2011 DU 06/10/2011 PORTANT MODIFICATION DES STATUTS DU SYNDICAT INTERCOMMUNAL D'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF (SIANC) DU PILAT

Le Préfet de la Loire Le Préfet de la région Rhône-Alpes Chevalier de la Légion d'Honneur Préfet du Rhône Officier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

Vu le code général des collectivités territoriales et notamment ses articles L. 5216-7, L. 5711-1 et L.5711-3 ; Vu l’arrêté interdépartemental en date du 17 décembre 2004 portant création du syndicat intercommunal à vocation unique pour le contrôle des systèmes d’assainissement non collectif (SIANC) du Pilat ; Vu l’arrêté interdépartemental en date du 9 décembre 2005 portant modification des statuts et du périmètre du syndicat ; Vu les arrêtés interdépartementaux en date du 24 avril 2006, du 3 novembre 2006 et du 28 mars 2007 portant modification du périmètre du syndicat ; Vu l'arrêté interdépartemental en date du 9 octobre 2009 portant modification des statuts du syndicat ; Vu l'arrêté n° 516/2010 en date du 27 décembre 2010 étendant les compétences de la communauté d'agglomération de Saint Etienne Métropole à l'assainissement ; Considérant que la communauté d'agglomération de Saint Etienne Métropole se substitue aux communes de , , la Valla en Gier, , Sainte Croix en Jarez et Saint Paul en Jarez, pour la compétence Assainissement Non Collectif au sein du SIANC du Pilat ; Vu le courrier du préfet de la Loire en date du 27 décembre 2010 invitant la présidente du SIANC du Pilat à mettre à jour les statuts du syndicat ; Vu la délibération du comité syndical du SIANC du Pilat en date du 16 mars 2011 approuvant la modification de ses statuts ; Vu les délibérations des conseils municipaux des communes membres du syndicat approuvant la modification des statuts : du 7 avril 2011, du 13 avril 2011, Saint Pierre de Boeuf du 19 avril 2011, Marlhes et Loire sur Rhône du 20 avril 2011, La Versanne, , Tarentaise et Echalas du 21 avril 2011, Bourg Argental du 22 avril 2011, Saint Régis du Coin et Longes du 26 avril 2011, Trèves du 27 avril 2011, Colombier du 6 mai 2011, Saint Romain les Atheux du 20 mai 2011, du 23 mai 2011, Condrieu du 23 mai 2011, et les Haies du 30 mai 2011 ; Vu les délibérations des conseils municipaux des communes de Ampuis du 30 mai 2011 et de Burdignes du 26 juin 2011 s'abstenant sur la modification de statuts du SIANC du Pilat ;

Considérant qu'à défaut de délibération des autres collectivités membres dans le délai de trois mois à compter de la notification de la délibération du comité syndical, leur avis est réputé favorable ;

Considérant que les communes membres du syndicat ont approuvé la modification des statuts du SIANC du Pilat dans les conditions de majorité requises par le code général des collectivités territoriales ;

Sur proposition du secrétaire général de la préfecture de la Loire et de la secrétaire générale de la préfecture du Rhône,

ARRETENT

Article 1 : Les statuts du SIANC du Pilat sont modifiés suite à la substitution de la communauté d'Agglomération de Saint Etienne Métropole aux communes de Doizieux, Farnay, Pavezin, Saint Paul en Jarez, Sainte Croix en Jarez et la Valla en Gier.

Article 2 : Un exemplaire des statuts modifiés est annexé au présent arrêté.

Article 3 : Le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Lyon (184 rue Duguesclin 69433 LYON cedex 03) dans un délai de 2 mois à compter de sa publication ou notification.

208 Article 4 : Les secrétaires généraux des préfectures de la Loire et du Rhône sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un extrait sera publié au recueil des actes administratifs des préfectures de la Loire et du Rhône et copie adressée à : Mme la présidente du SIANC du Pilat M. le Président de Saint Etienne Métropole Mesdames et Messieurs les maires des communes adhérentes M. le Directeur Départemental des Finances Publiques de la Loire M. le receveur municipal de Pélussin , comptable du syndicat M. le Directeur Départemental des Territoires de la Loire.

Fait à Saint Etienne, le 6 octobre 2011 Fait à Lyon, le 26 septembre 2011 Le préfet de la Loire, Le préfet du Rhône Pour le préfet et par délégation Pour le préfet et par délégation Le secrétaire général La Secrétaire Générale signé : Patrick FERIN signé : Josiane CHEVALIER

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ARRETE INTERDEPARTEMENTAL N° 372 DU 06/10/2011AUTORISANT LE RETRAIT DE LA COMMUNE DES SALLES DU SYNDICAT MIXTE DES « PAYS DU FOREZ »

Le Préfet de la Loire Le Préfet de la Région Auvergne, Chevalier de la Légion d’Honneur Préfet du Puy de Dôme Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

Vu le code général des collectivités territoriales et notamment les articles L. 5711-1 et L.5211-19 ; Vu l'arrêté interdépartemental n°638 en date du 20 décembre 2004 portant création du syndicat mixte des Pays du Forez ; Vu les arrêtés interdépartementaux en date du 3 octobre 2005 et du 26 janvier 2011 portant modification des statuts du syndicat mixte des Pays du Forez ; Vu l'arrêté préfectoral en date du 5 août 2010 portant intégration de la commune des Salles à la communauté de communes du Pays d'Urfé ; Vu la délibération du conseil municipal de la commune des Salles du 12 octobre 2010, sollicitant son retrait du syndicat mixte du Pays du Forez ; Vu la délibération du comité syndical du syndicat mixte des Pays du Forez en date du 25 mars 2011, approuvant le retrait de la commune des Salles du syndicat et la modification des statuts qui en découle ; Vu les délibérations par lesquelles les conseils communautaires des communautés de communes de Feurs en Forez (le 13 avril 2011), des Montagnes du Haut-Forez (le 20 avril 2011), des Collines du Matin (le 21 avril 2011), du Pays de Saint Bonnet le Château (le 29 avril 2011), de la Vallée de l'Ance (le 3 mai 2011), du Pays de Saint Galmier (le 8 mai 2011), et de la communauté d'agglomération Loire Forez (le 28 juin 2011), approuvant le retrait de la commune des Salles du syndicat mixte des Pays du Forez et la modification des statuts qui en découle ; Considérant que les conditions de majorité requises par le code général des collectivités territoriales sont respectées ; Sur proposition de M. le secrétaire général de la préfecture de la Loire et de M. le secrétaire général de la préfecture du Puy de Dôme

ARRETENT :

Article 1er : Le retrait de la commune des Salles du syndicat mixte des Pays du Forez est autorisé.

Article 2 : Les statuts du syndicat mixte des Pays du Forez sont modifiés.

Article 3 : Un exemplaire des statuts modifiés est annexé au présent arrêté.

Article 4 : Le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif compétent dans un délai de 2 mois à compter de sa publication ou notification.

209 Article 5 : Les secrétaires généraux des préfectures de la Loire et du Puy de Dôme, les sous-préfets d'Ambert et de Montbrison sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs des préfectures de la Loire et du Puy de Dôme et copie adressée à : MM. les présidents des établissements publics de coopération intercommunale concernés, M. le maire de la commune des Salles, M. le Directeur Départemental des Finances Publiques, M. le receveur municipal de Boën, comptable du syndicat M. le Directeur Départemental des Territoires de la Loire

Fait à Saint Etienne le 6 octobre 2011

Le Préfet de la Loire, Le Préfet du Puy de Dôme, Pour le Préfet et par délégation Pour le préfet et par délégation Le Secrétaire Général Le Secrétaire Général signé : Patrick FERIN signé : Jean-Bernard BOBIN

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ARRETE INTERPREFECTORAL N° 373 DU 06/10/2011 PORTANT MODIFICATION DES STATUTS DU SYNDICAT INTERCOMMUNAL DE LA VALLÉE DE L'ONDAINE (SIVO)

Le Préfet de la Loire Le Préfet de la Haute-Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Chevalier de l'Ordre National du Mérite

VU le code général des collectivités territoriales et notamment ses articles L. 5216-7, L. 5711-1 et L. 5711-3 ; VU l'arrêté préfectoral du 29 octobre 1969 portant création du syndicat intercommunal de la vallée de l'Ondaine (SIVO) ; VU les arrêtés préfectoraux des 3 et 26 décembre 1969, 8 janvier 1970, 15 avril 1971, 29 mai 1985, 25 août 1988, 6 août 1996, 7 juin 2000, 25 avril 2001, 19 mars 2004 et 24 mars 2005 portant modification des statuts du syndicat intercommunal ; VU l'arrêté n°516/2010 en date du 27 décembre 2010 étendant les compétences de la communauté d'agglomération de Saint Etienne Métropole à l'assainissement ; Considérant que le transfert de la compétence assainissement à la communauté d'agglomération de Saint Etienne Métropole a pour conséquence la substitution de la communauté d'agglomération aux communes de Firminy, Fraisses, le Chambon Feugerolles, Roche la Molière, Saint Paul en Cornillon et Unieux pour la compétence « assainissement collectif » au sein du SIVO qui devient syndicat mixte et la disparition de la compétence « assainissement non collectif » du syndicat ; VU le courrier du préfet de la Loire en date du 27 décembre 2010 invitant le président du SIVO à mettre à jour les statuts du syndicat ; VU la délibération du conseil syndical du SIVO en date du 30 mai 2011, sollicitant la modification de ses statuts ; VU les délibérations des conseils municipaux des communes membres du syndicat approuvant la modification des statuts : Çaloire du 17 juin 2011, Unieux du 17 juin 2011, Roche La Molière du 20 juin 2011, Saint Paul en Cornillon du 21 juin 2011, Fraisses du 29 juin 2011, Le Chambon Feugerolles du 29 juin 2011, La Ricamarie du 30 juin 2011, et de Firminy du 4 juillet 2011 ; Considérant qu'à défaut de délibération des autres collectivités membres dans le délai de trois mois à compter de la notification de la décision du comité syndical, leur avis est réputé favorable ; Considérant que les communes membres du syndicat ont approuvé la modification des statuts du SIVO dans les conditions de majorité requises par le code général des collectivités territoriales ; SUR proposition de M. le secrétaire général de la préfecture de la Loire et de M. le secrétaire général de la Haute- Loire

ARRETENT :

Article 1er : Les statuts du SIVO sont modifiés.

Article 2 : Un exemplaire des statuts est annexé au présent arrêté.

Article 3 : Le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif compétent

210 dans un délai de 2 mois à compter de sa publication ou notification.

Article 4 : Le secrétaire général de la Préfecture de la Loire et le secrétaire général de la Préfecture de la Haute-Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un extrait sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire et de la Haute-Loire et copie adressée à :

M. le président du SIVO, M. le Président de Saint Etienne Métropole, Mesdames et Messieurs les maires des communes adhérentes, M. le Directeur Départemental des Finances Publiques de la Loire, M. le percepteur du Chambon Feugerolles, receveur du syndicat, M. le Directeur Départemental des Territoires de la Loire.

Fait à Saint Etienne le 6 octobre 2011

Pour le Préfet de la Loire, Pour le Préfet de la Haute-Loire Le Secrétaire Général Le Secrétaire Général signé : Patrick FERIN signé : Robert ROUQUETTE

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ARRETE N° 375/2011 DU 06/10/2011 PORTANT MODIFICATION DES STATUTS DU SYNDICAT INTERCOMMUNAL POUR L'ASSAINISSEMENT DE LA MOYENNE VALLÉE DU GIER (SIAMVG)

Le Préfet de la Loire Le Préfet de la région Rhône-Alpes Chevalier de la Légion d'Honneur Préfet du Rhône Officier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

Vu le code général des collectivités territoriales et notamment ses articles L.5216-7, L.5711-1 et L.5711-3 ; Vu l'arrêté préfectoral du 10 février 1976 portant création du Syndicat Intercommunal pour l'Assainissement de la Moyenne Vallée du Gier (SIAMVG) ; Vu les arrêtés préfectoraux du 13 février 1986, du 10 avril 1989, du 15 avril 1992, du 21 août 1996, du 9 février 2004 et du 28 septembre 2007 portant modification des statuts du syndicat ; Vu l'arrêté n°516/2010 en date du 27 décembre 2010 étendant les compétences de la communauté d'agglomération de Saint Etienne Métropole à l'assainissement ; Considérant que la communauté d'agglomération de Saint Etienne Métropole se substitue aux communes de , Chateauneuf, , Farnay, , la Grand-Croix, l'Horme, Lorette, Rive de Gier, Saint-Joseph, Saint-Martin- la-Plaine, Saint-Paul-en-Jarez et pour la compétence Assainissement Collectif au sein du SIAMVG ; Vu le courrier du préfet de la Loire en date du 27 décembre 2010 invitant le président du SIAMVG à mettre à jour les statuts du syndicat ; Vu la délibération du conseil syndical du SIAMVG en date du 31 janvier 2011, sollicitant la modification de ses statuts ; Vu les délibérations des conseils municipaux des communes de Trêves en date du 23 mars 2011 et de Saint Maurice sur Dargoire du 1er avril 2011 et approuvant la modification des statuts du SIAMVG ; Considérant qu'à défaut de délibération du conseil communautaire de la communauté d'agglomération de Saint Etienne Métropole dans le délai de trois mois à compter de la notification de la décision du comité syndical, son avis est réputé favorable ; Considérant que les conditions de majorité requises par le code général des collectivités territoriales sont respectées ; Sur proposition de M. le secrétaire général de la Loire et de Mme la secrétaire générale de la préfecture du Rhône

ARRETENT

Article 1er : Les statuts du syndicat sont modifiés suite à la substitution de la communauté d'agglomération de Saint Etienne Métropole aux communes de Cellieu, Chateauneuf, Dargoire, Farnay, Génilac, la Grand-Croix, l'Horme, Lorette, Rive de Gier, Saint-Joseph, Saint-Martin-la-Plaine, Saint-Paul-en-Jarez et Tartaras.

211 Article 2 : Un exemplaire des statuts modifiés est annexé au présent arrêté. Article 3 : Le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Lyon (184 rue Duguesclin 69433 LYON cedex 03) dans un délai de 2 mois à compter de sa publication ou notification. Article 4 : Les secrétaires généraux des préfectures de la Loire et du Rhône sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un extrait sera publié au recueil des actes administratifs des préfectures de la Loire et du Rhône et copie adressée à : M. le Président du SIAMVG, M. le Président de Saint Etienne Métropole, MM. les maires des communes membres, MM. les Directeurs Départementaux des Finances Publiques de la Loire et du Rhône, M. le trésorier principal de Rive de Gier, receveur du syndicat, MM. les Directeurs Départementaux des Territoires de la Loire et du Rhône.

Fait à Saint Etienne, le 6 octobre 2011 Fait à Lyon, le 26 septembre 2011 Le préfet de la Loire, Le préfet du Rhône Pour le préfet et par délégation Pour le préfet et par délégation Le secrétaire général La Secrétaire Générale signé : Patrick FERIN signé : Josiane CHEVALIER

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ARRETE INTERPREFECTORAL N° DT-11-738 DU 17/10/2011 CONSTITUANT LE COMITE DE RIVIERE ONDAINE - LIZERON

Le Préfet de la Loire Le Préfet de la Haute Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Chevalier de l’Ordre National du Mérite

VU le code de l'environnement, et notamment son livre II ; VU le Schéma Directeur d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SDAGE) Loire-Bretagne ; VU la circulaire du 30 janvier 2004 du Ministère de l'Ecologie et du Développement Durable concernant la procédure relative aux contrats de rivière ou baie ; VU l'avis favorable émis par le Comité de Bassin Loire-Bretagne le 7 juillet 2011 sur le dossier sommaire de candidature du contrat de rivière Ondaine - Lizeron ; Sur proposition de MM. Les Secrétaires Généraux des préfectures de la Loire et de la Haute-Loire ;

ARRETE

Article 1er La définition des objectifs du contrat de rivière résulte d’une réflexion collective et d'une réelle concertation avec les différents acteurs locaux. A cet effet, il est institué un comité de rivière « Ondaine - Lizeron».

Article 2 Le comité de rivière pilote l’élaboration du contrat de rivière et approuve le dossier définitif. Une fois le contrat agréé et signé, le comité de rivière :

• apprécie l’état d’avancement du contrat, valide le programme annuel et propose des orientations, • contrôle la bonne exécution du contrat, • assure la promotion et valorise les opérations du contrat de rivière, • veille au respect des engagements financiers des partenaires et des maîtres d’ouvrage, et du calendrier prévisionnel de réalisation des actions, • assure la cohérence des aménagements et des mesures de gestion intervenant sur les bassins versants, • se coordonne avec les autres organismes et collectivités chargés de suivre les procédures d’aménagement et de gestion du territoire qui ont des interfaces avec le contrat de rivière (par exemple le PPRI, les SCOT, le SAGE Loire en Rhône Alpes …), • évalue le bilan en fin de contrat grâce au suivi des indicateurs.

212 Article 3 Le comité de rivière est composé comme suit :

Représentants des collectivités territoriales des EPCI des bassins versants : M. le Président du Conseil Régional de la région Rhône-Alpes ou son représentant M. le Président du Conseil Régional de la région Auvergne ou son représentant M. le Président du Conseil Général de la Loire ou son représentant M. le Président du Conseil Général de la Haute-Loire ou son représentant M. le Président de la Communauté d'Agglomération de Saint-Etienne Métropole ou son représentant M. le Président de la Communauté de Communes Loire Semène ou son représentant M. le Président de la Communauté de Communes des Monts du Pilat ou son représentant M. le Président du Syndicat Intercommunal de la Vallée de l'Ondaine ou son représentant M. le Président du Syndicat des Eaux Cotatay Ondenon ou son représentant M. le Président du Syndicat des Barrages ou son représentant M. le Président du Syndicat des eaux de la Semène ou son représentant M. le Président du Syndicat Intercommunal d'Aménagement de la Loire et de ses affluents ou son représentant M. le Président du Syndicat Mixte d'Aménagement des Gorges de la Loire ou son représentant M. le Président du SCOT du Sud Loire ou son représentant M. le Président du SCOT de la Jeune Loire ou son représentant M. le Président de la Commission Locale de l’Eau du SAGE Loire en Rhône-Alpes ou son représentant Mme la Présidente du Parc Naturel Régional du Pilat ou son représentant M. le Président du Syndicat des Eaux du Lignon ou son représentant M. le Président du Syndicat Intercommunal d’Assainissement Non Collectif du Pilat ou son représentant Messieurs et Mesdames les Maires ou leurs représentants des communes des bassins versants de l'Ondaine et du Lizeron : Le Chambon-Feugerolles, Firminy, Fraisses, , La Ricamarie, Roche-La-Molière, Saint-Didier-en-Velay, Saint-Etienne, Saint-Ferréol-d'Auroure, Saint-Genest-Malifaux, Saint-Just-Malmont, Saint-Paul-en-Cornillon, Saint- Romain-Les-Atheux, Unieux.

Représentants des usagers de l'eau et des milieux aquatiques : M. le Président de la Chambre de Commerce et de l'Industrie de Saint Etienne/Montbrison ou son représentant M. le Président de la Chambre de Commerce et de Haute-Loire ou son représentant M. le Président de la Chambre des Métiers de la Loire ou son représentant M. le Président de la Chambre des Métiers de la Haute-Loire ou son représentant M. le Président de la Chambre consulaire départementale d’Agriculture de la Loire ou son représentant , M. le Président de la Chambre consulaire départementale d’Agriculture de la Haute Loire ou son représentant M. le Président de la Fédération de la Loire pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique ou son représentant M. le Président de la Fédération de la Haute-Loire pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique ou son représentant M. le Président de l'Association Agréée pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique (AAPPMA) « L'amicale des pêcheurs » ou son représentant M. le Président de l'Association Agréée pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique (AAPPMA) « Les Amis de la Gaule » ou son représentant M. le Président de l'Association Agréée pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique (AAPPMA) « Les Martins Pêcheurs Rouchons » ou son représentant M. le Président de l'Association Agréée pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique (AAPPMA) « La truite du Grand Bois » ou son représentant M. le Président du Comité Départemental du tourisme de la Loire ou son représentant M. le Président du Comité Départemental du tourisme de la Haute-Loire ou son représentant M. le Président de la Fédération Rhône-Alpes de Protection de la Nature ou son représentant M. le Président de la Ligue de Protection des Oiseaux ou son représentant M. le Président du Club des entrepreneurs de l'Ondaine M. le Directeur du Centre Régional de la Propriété Forestière (CRPF) ou son représentant

Représentants de l’Etat et de ses établissements publics : M. le Préfet de la Loire ou son représentant M. le Préfet de la Haute-Loire ou son représentant M. le Directeur Régional de Rhône-Alpes de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement ou son représentant

213 M. le Directeur Régional d'Auvergne de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement ou son représentant M. le Directeur Départemental des Territoires de la Loire ou son représentant M. le Directeur Départemental des Territoires de la Haute-Loire ou son représentant M. le Délégué territorial Loire de l'Agence Régionale Rhône-Alpes de Santé ou son représentant M. le Délégué territorial Haute-Loire de l'Agence Régionale Auvergne de Santé ou son représentant M. le Directeur Départemental de la Protection des Populations de la Loire ou son représentant M. le Directeur Départemental de la Protection des Populations de la Haute-Loire ou son représentant M. le Directeur de l’Agence de l’Eau Loire-Bretagne ou son représentant Mme la Déléguée Régionale Rhône-Alpes de l’Office National de l’Eau et des Milieux Aquatiques ou son représentant M. le Délégué Régional Auvergne de l’Office National de l’Eau et des Milieux Aquatiques ou son représentant M. le Directeur Régional de l’Office National des Forêts ou son représentant M. le Directeur de Réseau Ferré de France Rhône-Alpes Auvergne ou son représentant

Article 4 La présidence du comité de rivière est assurée par un élu d'une des communes des bassins versants de l'Ondaine et du Lizeron. Les membres du collège des collectivités territoriales et des établissements publics locaux désignent le Président lors de la première séance du comité.

Article 5 Le comité peut constituer un bureau restreint et inviter des personnalités (administrations, élus et personnes compétentes) si besoin est. Il peut, s’il le souhaite, mettre en place un règlement intérieur.

Le comité de rivière se réunit au moins une fois par an à l’initiative de son président.

Il établit chaque année le compte-rendu des opérations effectuées dans le cadre du contrat et le programme des opérations à effectuer au cours de l’année suivante.

Article 6 Un comité de pilotage, se réunissant au moins avant chaque comité de rivière, et, éventuellement des commissions thématiques ou territoriales constituées en fonction des besoins, assurent les missions suivantes :

• suivre la réalisation des études, en élaborer les cahiers des charges et en valider les résultats techniques pour les soumettre au comité de rivière, • examiner la programmation annuelle des actions, • préparer les séances du comité de rivière et notamment le bilan annuel d’avancement du contrat.

Article 7 Le secrétariat du comité de rivière et du comité de pilotage sera assuré par Saint-Etienne Métropole dont le siège est situé 2 avenue Gruner CS 80257 42006 Saint-Etienne cedex1.

Article 8 Le présent arrêté peut être déféré au Tribunal Administratif territorialement compétent (tribunal administratif de Lyon – 184 rue Duguesclin – 69003 Lyon) dans un délai de deux mois à compter de sa publication.

Article 9 MM. les Secrétaires Généraux des Préfectures de la Loire et de la Haute-Loire, sont chargés de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs des deux préfectures, notifié à l’ensemble des membres du comité de rivière et affiché dans les mairies concernées.

Saint-Etienne, le 17 octobre 2011 Le Puy en Velay, le 17 octobre 2011 Le Préfet de la Loire Le Préfet de la Haute-Loire Pierre SOUBELET Robert ROUQUETTE

214 III- ACTES DES AUTRES AUTORITES

215 DIRECTION INTERDEPARTEMENTALE DES ROUTES CENTRE-EST SERVICE REGIONAL D'EXPLOITATION DE MOULINS

ARRÊTÉ N° 2011-M-42-079 DU 05/10/2011 PORTANT MISE EN PLACE DE RÉSINE SUR DEUX LONGRINES RN82 PR 16+900 À 16+970 COMMUNE DE BALBIGNY - RÉGLEMENTATION TEMPORAIRE DE LA CIRCULATION » Le Préfet du département de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

VU le code de la Route, VU le code de la voirie routière, VU le code général des collectivités territoriales VU l’arrêté interministériel du 24 novembre 1967 modifié relatif à la signalisation des routes et autoroutes, VU l'arrêté du 6 novembre 1992 modifié approuvant les nouvelles dispositions du livre I de l'instruction interministérielle sur la signalisation routière (huitième partie), VU l'arrêté préfectoral n°11-22 du 10 février 2011 portant délégation de signature à monsieur le Directeur interdépartemental des Routes Centre-Est, VU la circulaire n°96-14 du 6 février 1996 relative à l'exploitation sous chantier, VU la circulaire du 3 janvier 2011 relative au calendrier des jours « hors chantier » pour l'année 2011, VU le dossier d'exploitation présenté par le District de Moulins le 04 octobre 2011, VU la demande de l'entreprise NGE GENIE CIVIL DEMATHIEU ET BARD en date du 22 septembre 2011 Considérant que pendant les travaux d'étanchéité sur le passage supérieur, du PR16+900 au PR16+970 section à 3 voies de la RN82, commune de Balbigny, il y a lieu de réglementer la circulation afin de prévenir tout risque d'accident, de faciliter la bonne exécution des travaux et d'assurer un écoulement satisfaisant du trafic, Considérant que la section concernée par les travaux est située hors agglomération, Sur proposition de Monsieur le Directeur interdépartemental des routes Centre-Est,

ARRÊTE

ARTICLE 1 - Pendant l'exécution des travaux sur la section à 3 voies de la RN82 du PR16+900 au PR16+970, la circulation de tous les véhicules s’effectuera dans les conditions suivantes :

Phase 1: Pour les usagers circulants dans le sens Sud-Nord: – Neutralisation de la voie de circulation, entre le PR 16+970 et le PR 16+900, – Circulation sur les zébras de la voie médiane au droit du chantier, Pour les usagers circulants dans les 2 sens: – Réduction de largeur au droit du chantier, – Limitation de vitesse à 50 km/h au droit du chantier avec interdiction de dépasser. Phase 2: Pour les usagers circulants dans le sens Nord-Sud: – Neutralisation de la voie de circulation, entre le PR 16+900 et le PR 16+970, – Circulation sur les zébras de la voie médiane au droit du chantier, Pour les usagers circulants dans les 2 sens: –Réduction de largeur au droit du chantier, –Limitation de vitesse à 50 km/h au droit du chantier avec interdiction de dépasser.

ARTICLE 2 - Les dispositions du présent arrêté s'appliqueront:

Phase 1: du lundi 10 octobre 2011 au mercredi 19 octobre 2011. Le balisage de chantier sera déposé tous les soirs et week-end compris. Phase 2: du jeudi 20 octobre 2011 au vendredi 28 octobre 2011. Le balisage de chantier sera déposé tous les soirs et week-end compris. Si les travaux ne sont pas terminés à la période ci-avant définie, un arrêté prolongeant le délai devra être établi.

216 ARTICLE 3 - Certaines phases préparatoires ou de mise en place de la signalisation du chantier pourront nécessiter des réductions momentanées de chaussée ou des interruptions courtes de circulation.

ARTICLE 4 - Sur le parcours des sections soumises à ces restrictions provisoires, les conducteurs des véhicules devront le cas échéant, se conformer aux indications des forces de l'ordre et des agents de la Direction Interdépartementale des Routes Centre-Est, tant en ce qui concerne le trajet à suivre que l'arrêt s'il leur est prescrit.

ARTICLE 5 - Le passage de convois exceptionnels nécessitera l'interruption momentanée de la circulation, commandée par les forces de l'ordre, escortes des dits convois.

ARTICLE 6 - La signalisation temporaire réglementaire, conforme à l'instruction interministérielle (Livre I - 8ème partie) approuvée par arrêté interministériel le 6 novembre 1992 et aux manuels du chef de chantier, Volume 1 schéma CF14 sera mise en mise en place par la l'entreprise exécutant les travaux, sous contrôle de la DIR Centre-Est/SREX de Moulins /District de Moulins (CEI de Roanne).

ARTICLE 7 - Les infractions au présent arrêté seront constatées par procès-verbaux dressés par les Forces de l'ordre.

ARTICLE 8 - Lors de l'achèvement des travaux et avant le rétablissement normal de la circulation, la chaussée devra être propre et satisfaire aux conditions normales de sécurité.

ARTICLE 9 - Le présent arrêté sera affiché aux abords immédiats du chantier.

ARTICLE 10 - ➢ Le Commandant du Groupement de Gendarmerie de la Loire, ➢ Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Loire, ➢ Le Chef du PC de Moulins de la DIR Centre-Est, ➢ Le Chef du District de Moulins de la DIR Centre-Est,

et tous les agents de la Force Publique, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, dont copie sera adressée au :

• Préfet de la Loire, • Directeur Départemental des Territoires de la Loire, • Président du Conseil Général de la Loire, • Monsieur le Directeur de l'entreprise, • Responsable de la division Transports du CRICR Rhône-Alpes Auvergne, • Chef du Service Régional d'Exploitation de Moulins de la DIR Centre-Est, • Chef du Service SES – Mission Politiques d'Exploitation de la DIR Centre-Est,

Moulins, le 5 octobre 2011 Pour le Préfet et par délégation, Pour le Directeur Interdépartemental des Routes Centre-Est et par délégation, L'ingénieur en Chef des Travaux Publics de l'État, Chef du Service Régional d'Exploitation de Moulins, Thierry MARQUET

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217 ARRETE N° 2011-M-42-081 DU 06/10/2011 TRAVAUX DE REFECTION DE LA COUCHE DE ROULEMENT RN9082 DANS LES DEUX SENS DU PR 0 AU PR 7 COMMUNE DE NEULISE ET VENDRANGES – REGLEMENTATION TEMPORAIRE DE LA CIRCULATION Le Préfet du département de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

VU le code de la Route, VU le code de la voirie routière, VU le code général des collectivités territoriales VU l’arrêté interministériel du 24 novembre 1967 modifié relatif à la signalisation des routes et autoroutes, Vu l'arrêté du 6 novembre 1992 modifié approuvant les nouvelles dispositions du livre I de l'instruction interministérielle sur la signalisation routière (huitième partie), VU l'arrêté préfectoral n°11-22 du 10 février 2011 portant délégation de signature à monsieur le Directeur interdépartemental des Routes Centre-Est, VU la circulaire n°96-14 du 6 février 1996 relative à l'exploitation sous chantier, VU la circulaire du 3 janvier 2011 relative au calendrier des jours « hors chantier » pour l'année 2011, VU la demande du Conseil Général de la Loire en date du 20 septembre 2011, Considérant que pendant les travaux de réfection de la couche de roulement sur la RN9082 (ex RN82), du PR 0 au PR 7 dans les deux sens, communes de Neulise et Vendranges, il y a lieu de réglementer la circulation afin de prévenir tout risque d'accident, de faciliter la bonne exécution des travaux et d'assurer un écoulement satisfaisant du trafic, Considérant que la section concernée par les travaux est située hors agglomération, Sur proposition de Monsieur le Directeur interdépartemental des routes Centre-Est,

ARRÊTE

ARTICLE 1 - Pendant l'exécution des travaux sur la RN9082, la circulation de tous les véhicules s’effectuera dans les conditions suivantes :

Phase 1, réfection de la couche de roulement giratoire ouest et du PR 6+350 au PR 7+000 de la RN9082:

-Fermeture à la circulation de la bretelle de sortie de l'échangeur 72 sur la RN82 dans le sens nord- sud, ainsi que la section de la RN9082 entre le PR 6+350 et le PR 7+000 dans les 2 sens. -Déviation par RN82 jusqu'à l'échangeur 73, puis RD282, direction Neulise.

Phase 2, réfection ponctuelle de la couche de roulement du PR 0+000 au PR 6+350 de la RN9082:

-Alternat par feux tricolores de type KR11 ou piquets K10, d'une longueur maximale de 500 mètres.

ARTICLE 2 - Les dispositions du présent arrêté s'appliqueront:

Phase 1: Du 13 au 14 Octobre 2011 de 07h00 à 18h00.

Phase 2: Du 10 au 21 Octobre 2011.

Les deux phases ne devront pas se faire simultanément. Si les travaux ne sont pas terminés à la période ci-avant définie, un arrêté prolongeant le délai devra être établi.

ARTICLE 3 - Certaines phases préparatoires ou de mise en place de la signalisation du chantier pourront nécessiter des réductions momentanées de chaussée ou des interruptions courtes de circulation.

ARTICLE 4 - Sur le parcours des sections soumises à ces restrictions provisoires, les conducteurs des véhicules devront le cas échéant, se conformer aux indications des forces de l'ordre et des agents de la Direction Interdépartementale des Routes Centre-Est, tant en ce qui concerne le trajet à suivre que l'arrêt s'il leur est prescrit.

218 ARTICLE 5 - Les passages de convois exceptionnels seront interdits durant la phase 1.

ARTICLE 6 - La signalisation temporaire réglementaire, conforme à l'instruction interministérielle (Livre I - 8ème partie) approuvée par arrêté interministériel le 6 novembre 1992 et aux manuels du chef de chantier, sera mise en mise en place par la DIR Centre-Est/SREX de Moulins/District de Moulins (CEI de Roanne) sur la RN82, et par le Conseil Général de la Loire pour la RN9082 et la signalisation de déviation, qui en assureront, sous leur responsabilité, le contrôle et la maintenance.

ARTICLE 7 - Les infractions au présent arrêté seront constatées par procès-verbaux dressés par les Forces de l'ordre.

ARTICLE 8 - Lors de l'achèvement des travaux et avant le rétablissement normal de la circulation, la chaussée devra être propre et satisfaire aux conditions normales de sécurité.

ARTICLE 9 - Le présent arrêté sera affiché aux abords immédiats du chantier.

ARTICLE 10 - ➢ Le Commandant du Groupement de Gendarmerie de la Loire ➢ Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Loire, ➢ Le Chef du PC de Moulins de la DIR Centre-Est, ➢ Le Chef du District de Moulins de la DIR Centre-Est

et tous les agents de la Force Publique, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, dont copie sera adressée au :

• Préfet de la Loire, • Directeur Départemental des Territoires de la Loire, • Président du Conseil Général de la Loire, • Maire de la commune de Neulise, • Maire de la commune de Vendranges • Responsable de la division Transports du CRICR Rhône-Alpes Auvergne, • Chef du Service Régional d'Exploitation de Moulins de la DIR Centre-Est, • Chef du Service SES – Mission Politiques d'Exploitation de la DIR Centre-Est,

Moulins, le 6 octobre 2011 Pour le Préfet et par délégation, Pour le Directeur Interdépartemental des Routes Centre-Est et par délégation, L'ingénieur en Chef des Travaux Publics de l'État, Chef du Service Régional d'Exploitation de Moulins, Thierry MARQUET

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ARRÊTÉ N° 2011-M-42-089 DU 20/10/2011 PORTANT RÉFECTION DE LA COUCHE DE ROULEMENT RN7 SENS SUD/NORD DU PR. 31+700 AU PR 28+650 COMMUNES DE MABLY ET ROANNE RÉGLEMENTATION TEMPORAIRE DE LA CIRCULATION » Le Préfet du département de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

VU le code de la Route, VU le code de la voirie routière, VU le code général des collectivités territoriales VU l’arrêté interministériel du 24 novembre 1967 modifié relatif à la signalisation des routes et autoroutes, VU l'arrêté du 6 novembre 1992 modifié approuvant les nouvelles dispositions du livre I de l'instruction interministérielle sur la signalisation routière (huitième partie),

219 VU l'arrêté préfectoral n°11-22 du 10 février 2011 portant délégation de signature à monsieur le Directeur interdépartemental des Routes Centre-Est, VU la circulaire n°96-14 du 6 février 1996 relative à l'exploitation sous chantier, VU la circulaire du 3 janvier 2011 relative au calendrier des jours « hors chantier » pour l'année 2011, VU le dossier d'exploitation présenté par le District de Moulins le 11 octobre 2011, VU l'avis réputé favorable du président du conseil général, VU l'avis favorable du maire de Mably en date du 12 octobre 2011, VU l'avis favorable du maire de Riorges en date du 14 octobre 2011, VU l'avis favorable du maire de Roanne en date du 12 octobre 2011, Considérant que pendant les travaux de réfection de la couche de roulement sur la RN7, du PR 28+650 au PR 31+700 dans le sens Sud / Nord, communes de Mably et Roanne, il y a lieu de réglementer la circulation afin de prévenir tout risque d'accident, de faciliter la bonne exécution des travaux et d'assurer un écoulement satisfaisant du trafic, Considérant que la section concernée par les travaux est située hors agglomération, Sur proposition de Monsieur le Directeur interdépartemental des routes Centre-Est,

ARRÊTE

ARTICLE 1 - Pendant l'exécution des travaux sur la RN7, la circulation de tous les véhicules s’effectuera dans les conditions suivantes :

Phase 1: travaux jours de semaine

- Dans le sens Sud Nord, la RN7 sera fermée à la circulation du PR 31+700 au PR 28+650. Une déviation à l'attention des usagers sera mise en place par la Direction Interdépartementale des Routes Centre-Est / CEI de Roanne. Les usagers emprunteront la déviation à partir de l'échangeur 66 jusqu'au giratoire de la demi lieue. Pour cela, il faudra prendre la rue Montretout, l'avenue du Polygone, le boulevard Maréchal Joffre, l'avenue Charles de Gaulle, l'avenue Alfred de Musset puis la RD207 jusqu'au giratoire de la demi lieue.

- Les bretelles d'entrées et de sortie dans le sens Sud Nord des échangeurs 64 et 65 de la RN7 seront fermées.

- Le sens Nord-Sud n'est pas affecté par les travaux.

Phase 2: week-ends et jour férié

- Basculement de la circulation du sens Sud Nord de la RN7 sur la voie rapide du sens Nord Sud à partir du PR 31+730 au PR 28+1100, circulation bidirectionnelle sur les voies du sens Nord Sud avec limitation de vitesse à 70 km/h pour les deux sens de circulation et à 50 km/h dans les zones de basculement.

- Les bretelles des échangeurs 64 et 65 de la RN7 resteront fermées dans le sens Sud Nord.

ARTICLE 2 - Les dispositions du présent arrêté s'appliqueront:

Phase 1: du 24 octobre au 10 novembre 2011, sauf week-ends et jour férié, la durée des travaux n'excédant pas 10 jours sur cette période.

Phase 2: du 28 octobre au soir au 02 Novembre 2011 au matin et du 04 novembre au soir au 07 novembre 2011 au matin.

Si les travaux ne sont pas terminés à la période ci-avant définie, un arrêté prolongeant le délai devra être établi.

ARTICLE 3 - Certaines phases préparatoires ou de mise en place de la signalisation du chantier pourront nécessiter des réductions momentanées de chaussée ou des interruptions courtes de circulation.

220 ARTICLE 4 - Sur le parcours des sections soumises à ces restrictions provisoires, les conducteurs des véhicules devront le cas échéant, se conformer aux indications des forces de l'ordre et des agents de la Direction Interdépartementale des Routes Centre-Est, tant en ce qui concerne le trajet à suivre que l'arrêt s'il leur est prescrit.

ARTICLE 5 - Le passage de convois exceptionnels de grande largeur nécessitera l'interruption momentanée de la circulation, commandée par les forces de l'ordre, escortes des dits convois.

ARTICLE 6 - La signalisation temporaire réglementaire, conforme à l'instruction interministérielle (Livre I - 8ème partie) approuvée par arrêté interministériel le 6 novembre 1992 et aux manuels du chef de chantier, sera mise en mise en place par la DIR Centre-Est/SREX de Moulins/ District de Moulins (CEI de Roanne), qui en assurera, sous sa responsabilité, le contrôle et la maintenance

ARTICLE 7 - Les infractions au présent arrêté seront constatées par procès-verbaux dressés par les Forces de l'ordre.

ARTICLE 8 - Lors de l'achèvement des travaux et avant le rétablissement normal de la circulation, la chaussée devra être propre et satisfaire aux conditions normales de sécurité.

ARTICLE 9 - Le présent arrêté sera affiché aux abords immédiats du chantier.

ARTICLE 10 - ➢ Le Commandant du Groupement de Gendarmerie de la Loire, ➢ Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Loire, ➢ Le Chef du PC de Moulins de la DIR Centre-Est, ➢ Le Chef du District de Moulins de la DIR Centre-Est

et tous les agents de la Force Publique, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, dont copie sera adressée au :

• Préfet de la Loire, • Directeur Départemental des Territoires de la Loire, • Directeur du Service Départemental Incendie et Secours de la Loire, • Chef du SAMU • Président du Conseil Général de la Loire, • Maire de la Commune de Mably, • Maire de la Commune de Roanne, • Maire de la Commune de Riorges • Responsable de la division Transports du CRICR Rhône-Alpes Auvergne, • Chef du Service Régional d'Exploitation de Moulins de la DIR Centre-Est, • Chef du Service SES – Mission Politiques d'Exploitation de la DIR Centre-Est,

Moulins, le 20 octobre 2011 Pour le Préfet et par délégation, Pour le Directeur Interdépartemental des Routes Centre-Est et par délégation, L'ingénieur en Chef des Travaux Publics de l'État, Chef du Service Régional d'Exploitation de Moulins, Thierry MARQUET

221 DIRECTION INTERREGIONALE DE LA PROTECTION JUDICIAIRE DE LA JEUNESSE CENTRE-EST

ARRÊTÉ DU 07/10/2011 PORTANT TARIFICATION 2011 DU CENTRE EDUCATIF FERMÉ « LA PLAINE DU FOREZ »IMPLANTÉ AU LIEU-DIT « LE DOMAINE DE LA TOUR » 42100 L’HÔPITAL LE GRAND GÉRÉ PAR LE PRADO RHÔNE-ALPES Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

VU le code de l’action sociale et des familles ; VU l’ordonnance n°45-1845 du 18 août 1945 relative au remboursement aux institutions privées des frais d'entretien et d'éducation des mineurs délinquants ; VU le décret n°2003-1010 du 22 octobre 2003 relatif à la gestion budgétaire, comptable et financière, et aux modalités de financement et de tarification des établissements et services sociaux et médico-sociaux mentionnés au I de l'article L. 312-1 du code de l'action sociale et des familles, et des établissements mentionnés au 2° de l'article L. 6111-2 du code de la santé publique ; VU l’arrêté du Ministre de la justice en date du 19 décembre 2003 relatif aux modes de tarification applicables aux prestations d’action éducative délivrées par les établissements et services concourant à la protection judiciaire de la jeunesse et sous compétence tarifaire exclusive du représentant de l’État dans le département ; VU l’arrêté préfectoral en date du 13 mai 2004 autorisant la création d’un Centre Educatif Fermé dénommé « La Plaine du Forez » sis au lieu-dit « Le Domaine de la Tour », 42210 L’Hôpital Le Grand et géré par l’association PRADO Rhône-Alpes dont le siège social est situé 200 rue du Prado, 69270 Fontaines St Martin ; VU l’arrêté préfectoral en date du 8 juin 2004 habilitant le Centre Educatif Fermé « La Plaine du Forez » au titre du décret n°88-949 du 6 octobre 1988 modifié relatif à l'habilitation des personnes physiques, établissements, services ou organismes publics ou privés auxquels l'autorité judiciaire confie habituellement des mineurs ou l’exécution de mesures les concernant ; VU l’arrêté préfectoral en date du 28 janvier 2008 autorisant l’extension de capacité du Centre Educatif fermé « La Plaine du Forez » ; VU les propositions budgétaires et leurs annexes présentées, au titre de l’exercice 2011, par l’association gestionnaire « PRADO Rhône-Alpes » pour l’établissement mentionné à l’article 1er du présent arrêté ; VU les propositions de modifications budgétaires transmises par courrier du Directeur Interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse de la région centre-est ; VU l’accord exprimé par la personne ayant qualité pour représenter le Centre Éducatif Fermé « La Plaine du Forez » ; SUR RAPPORT de Monsieur le Directeur Interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse ; SUR PROPOSITION de Monsieur le Secrétaire Général de la préfecture de la Loire ;

ARRÊTE

Article 1 er : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du Centre Educatif Fermé « La Plaine du Forez » sont autorisées comme suit :

Groupes fonctionnels Montants Total en Euros en Euros Groupe I 179 249,92 € Dépenses afférentes à l’exploitation courante Groupe II : 1 289 231,27 € 2 018 091,98 € Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III : 549 610,79 € Dépenses afférentes à la structure Groupe I : 2 010 726,28 € Produits de la tarification Recettes 2 018 091,98 € Groupe II : 7 365,70 € Autres produits relatifs à l’exploitation Groupe III : 0,00 € Produits financiers et produits non encaissables

222 Article 2 : Pour l’exercice budgétaire 2011, la tarification des prestations du Centre Educatif Fermé « La Plaine du Forez » est fixée comme suit à compter du 1er septembre 2011 :

Type de prestation Montant en Euros du Montant en euros du prix de journée prix de journée et de la 2011 mesure à compter du 1er septembre 2011 Exécution de journées 593,32 € 328,96 €

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sis 119, avenue Maréchal de saxe, 69427 Lyon Cedex 03, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auquel il sera notifié, à compter de sa notification.

Article 4 : Une ampliation du présent arrêté sera notifiée au Centre Educatif Fermé « La Plaine du Forez ».

Article 5 : En application des dispositions du III de l’article 35 du décret du 22 octobre susvisé, le ou les tarifs fixés à l’article 2 du présent arrêté seront publiés au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire.

Article 6 : Le Secrétaire Général de la préfecture et le Directeur Interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté.

Saint-Etienne, le 7 octobre 2011 Le Préfet, Pierre SOUBELET

CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE SAINT-ETIENNE

DÉCISION N°2011-132 DU 20/09/2011 RELATIVE AU RECOUVREMENT DES CREANCES Le Directeur Général du Centre Hospitalier Universitaire de Saint-Etienne,

VU le code de la santé publique et notamment ses articles L6143-1 et L6143-7 ; CONSIDERANT que Monsieur le Trésorier Principal de l’établissement est réglementairement chargé du recouvrement des créances et qu’il a fait parvenir divers états des créances jugés irrécouvrables et justifiés, soit par des procès-verbaux de perquisition et/ou de carences de recherche ; CONSIDERANT que toutes les voies de recours concernant ces créances sont épuisées ; CONSIDERANT la réforme comptable et financière des établissements publics de santé ; CONSIDERANT l’état 2011-101700217 transmis par Monsieur le Trésorier Principal joint en annexe

DECIDE

ARTICLE 1- OBJET

La somme de 36 561.91 Euros est admise en non valeur conformément à la liste jointe.

ARTICLE 2- MISE EN OEUVRE

Monsieur le Directeur des Affaires Financières, est chargé de l’exécution de la présente décision et de bien vouloir mandater la somme inscrite à l’article 1. Cette décision sera également portée à la connaissance de Monsieur le Trésorier Principal du Centre Hospitalier Universitaire de Saint-Etienne.

Fait à Saint-Etienne, le 20 septembre 2011 Le Directeur Général, Frédéric BOIRON ***************

223 DÉCISION N°2011-133 DU 20/09/2011 RELATIVE AU RECOUVREMENT DES CREANCES Le Directeur Général du Centre Hospitalier Universitaire de Saint-Etienne,

VU le code de la santé publique et notamment ses articles L6143-1 et L6143-7 ; CONSIDERANT que Monsieur le Trésorier Principal de l’établissement est réglementairement chargé du recouvrement des créances et qu’il a fait parvenir divers états des créances jugés irrécouvrables et justifiés, soit par des procès-verbaux de perquisition et/ou de carences de recherche ; CONSIDERANT que toutes les voies de recours concernant ces créances sont épuisées ; CONSIDERANT la réforme comptable et financière des établissements publics de santé ; CONSIDERANT l’état 2011-85860817 transmis par Monsieur le Trésorier Principal joint en annexe

DECIDE

ARTICLE 1- OBJET

La somme de 218 035.87 Euros est admise en non valeur conformément à la liste jointe.

ARTICLE 2- MISE EN OEUVRE

Monsieur le Directeur des Affaires Financières, est chargé de l’exécution de la présente décision et de bien vouloir mandater la somme inscrite à l’article 1. Cette décision sera également portée à la connaissance de Monsieur le Trésorier Principal du Centre Hospitalier Universitaire de Saint-Etienne.

Fait à Saint-Etienne, le 20 septembre 2011 Le Directeur Général, Frédéric BOIRON

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DÉCISION N°2011-134 DU 20/09/2011 RELATIVE AU RECOUVREMENT DES CREANCES Le Directeur Général du Centre Hospitalier Universitaire de Saint-Etienne,

VU le code de la santé publique et notamment ses articles L6143-1 et L6143-7 ; CONSIDERANT que Monsieur le Trésorier Principal de l’établissement est réglementairement chargé du recouvrement des créances et qu’il a fait parvenir divers états des créances jugés irrécouvrables et justifiés, soit par des procès-verbaux de perquisition et/ou de carences de recherche ; CONSIDERANT que toutes les voies de recours concernant ces créances sont épuisées ; CONSIDERANT la réforme comptable et financière des établissements publics de santé ; CONSIDERANT l’état 2011-99900517 transmis par Monsieur le Trésorier Principal joint en annexe

DECIDE

ARTICLE 1- OBJET

La somme de 36 045.93 Euros est admise en non valeur conformément à la liste jointe.

ARTICLE 2- MISE EN OEUVRE

Monsieur le Directeur des Affaires Financières, est chargé de l’exécution de la présente décision et de bien vouloir mandater la somme inscrite à l’article 1. Cette décision sera également portée à la connaissance de Monsieur le Trésorier Principal du Centre Hospitalier Universitaire de Saint-Etienne.

Fait à Saint-Etienne, le 20 septembre 2011 Le Directeur Général, Frédéric BOIRON

224 IV – INFORMATION

225 DECISIONS DE LA COMMISSION DEPARTEMENTALE D'AMENAGEMENT COMMERCIAL DU 14/09/2011

Au cours de sa réunion du 14 septembre 2011, la Commission Départementale d'Aménagement Commercial de la Loire a décidé par 2 voix favorables, 1 voix défavorable et 3 abstentions :

2 voix pour : M. PARTRAT, M. LAURENDON 1 voix contre : M. DARDOUILLER 3 abstentions : M. FAVERJON, M. JACQUES, M. GROS de refuser à la société SCI LING, représentée par Monsieur Michel DESGOUTTES, l'autorisation de procéder à la création d'un ensemble commercial composé de 11 cellules, d'une surface de vente totale de 8 993 m², lieudit Le Porchon sur la commune de LA FOUILLOUSE.

La décision de la Commission Départementale d'Aménagement Commercial sera affichée à la porte de la mairie de LA FOUILLOUSE pendant un mois.

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Au cours de sa réunion du 14 septembre 2011, la Commission Départementale d'Aménagement Commercial de la Loire statuant en matière cinématographique a décidé par 4 voix favorables et 6 voix défavorables :

4 voix pour : M. KIZIRIAN, M. RIOULT, M. GROS, M. JACQUES 6 voix contre : M. OCTROY, M. JOASSARD, M. FAVERJON, M. ZIEGLER, M. VALOUR, M. AUCLAIRE de refuser à la SARL ALBIGEOISE DE SPECTACLES, représentée par Monsieur Raymond KLEBER, l'autorisation de procéder à la création d'un cinéma de 10 salles et 1 998 fauteuils, à l'enseigne MEGA CGR, ZAC de la Varizelle à SAINT-CHAMOND.

La décision de la Commission Départementale d'Aménagement Commercial statuant en matière cinématographique sera affichée à la porte de la mairie de SAINT CHAMOND pendant un mois.

DIVERS CONCOURS

DECISION N° 2011-678 DU 13/10/2011 PORTANT OUVERTURE D'UN CONCOURS SUR TITRES POUR LE RECRUTEMENT DE DEUX OUVRIERS PROFESSIONNELS QUALIFIES DE LA FONCTION PUBLIQUE HOSPITALIERE Le Directeur du Centre Hospitalier de TARARE

VU la Loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, VU la Loi n° 86-33 du 9 janvier 1986 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la Fonction Publique Hospitalière, VU le décret n° 91-45 du 14 janvier 1991 portant statuts particuliers des personnels ouvriers, des conducteurs ambulanciers et des personnels d'entretien et de salubrité de la fonction publique hospitalière,

DECIDE

Article 1 : Un concours sur titres pour le recrutement de deux ouvriers professionnels qualifiés de la Fonction Publique Hospitalière est organisé au Centre Hospitalier de Tarare.

226 Article 2 : Peuvent faire acte de candidature, les personnes remplissant les conditions énumérées à l'article 5 de la Loi 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, et à l'article 13 du décret n° 91-45 du 14 janvier 1991, portant statut particulier des personnels ouvriers, des conducteurs ambulanciers et des personnels d'entretien et de salubrité de la fonction publique hospitalière.

Article 3 : Les dossiers de candidatures doivent être adressés (le cachet de la poste faisant foi) ou remis, au plus tard le 19 novembre 2011, à Monsieur le Directeur du Centre Hospitalier de Tarare, Direction des Ressources Humaines, 1 boulevard Jean-Baptiste Martin, 69170 Tarare.

Tarare, le 13 octobre 2011 La Directrice des Ressources Humaines Marie-Christine DEGILA

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ARRETE N° 2011/032 DU 25/10/2011

Le Directeur Général du Centre Hospitalier Universitaire de GRENOBLE,

Vu la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983, modifiée, portant droits et obligations des Fonctionnaires, Vu la loi n° 86-33 du 9 janvier 1986, modifiée, portant dispositions statutaires relatives à la Fonction Publique Hospitalière, Vu le Décret n° 91-45 du 14 Janvier 1991, modifié, portant statuts particuliers des personnels ouvriers, des Conducteurs Ambulanciers et des personnels d'Entretien et de Salubrité de la Fonction Publique Hospitalière, (article 10 – 1°), Vu la circulaire DH/8D/91 n° 46 du 10 Juillet 1991 relative à l'application du Décret n°91-45 du 14 Janvier 1991 susvisé, Vu le Décret n° 2006-227 du 24 février 2006 modifié relatif à l’organisation des carrières des fonctionnaires hospitaliers de catégorie C et la circulaire n° DHOS/P2/2006/145 du 28 mars 2006 relative à la mise en œuvre du décret n°2006-227 du 24 février 2006 relatif à l’organisation des carrières des fonctionnaires hospitaliers de catégorie C, ARRETE

ARTICLE I : Un concours interne sur épreuves pour l'accès au grade d’Agent de maîtrise est ouvert au C.H.U. de Grenoble à partir du 7 décembre 2011* en vue de pourvoir 1 poste vacant dans l'Etablissement au Pôle Achat Patrimoine – secteur courses et transports

Spécialité : logistique-transport :1 poste

(* la date définitive du concours sera fixée en fonction des disponibilités du jury)

ARTICLE II :

Peuvent faire acte de candidature : • les maîtres ouvriers • les conducteurs ambulanciers de 1ère catégorie • les OPQ ayant sept ans d’ancienneté dans leur grade au 31.12.2010 • les conducteurs ambulanciers 2ème catégorie ayant sept ans d’ancienneté dans leur grade au 31.12.2010. • les aides de laboratoire de classe supérieure ayant sept ans d’ancienneté dans leur grade au 31.12.2010. • les aides d’électro-radiologie de classe supérieure ayant sept ans d’ancienneté dans leur grade au 31.12.2010. • les aides de pharmacie de classe supérieure ayant sept ans d’ancienneté dans leur grade au 31.12.2010.

ARTICLE III :

Les candidatures formulées par écrit, accompagnées : 1. D'une lettre de candidature manuscrite (préciser en référence le n° d’arrêté du concours), 2. D'un curriculum vitae détaillé, avec éventuellement une copie conforme des diplômes obtenus

227 3. Un relevé ou attestation de votre situation administrative actuelle (précisant votre grade et échelon et ancienneté dans le grade – à demander à votre gestionnaire de pôle). 4. De la photocopie de la carte d’identité ou du passeport doivent être adressées, au plus tard le 30 novembre 2011, par écrit, au Directeur des Ressources Humaines, par lettre recommandée le cachet de la poste faisant foi, ou remises en mains propres au service des concours de la DRH 2ème étage du Pavillon Dauphiné (de 8h à 12 h et de 13h 15 à 15h 30) :

Direction des Ressources Humaines – Service concours Bureau D 229 Pavillon Dauphiné 2ème étage C.H.U. de Grenoble B.P. 217 – 38043 GRENOBLE CEDEX 09

Auprès duquel peuvent être obtenus tous les renseignements complémentaires pour la constitution du dossier.

ARTICLE IV :

Le Jury du concours est composé comme suit :

1. Le Directeur Général du Centre Hospitalier Universitaire de Grenoble, Président ou son représentant.

2. Deux agents hospitaliers, Technicien hospitalier (ex Agent Chef) ou Technicien Supérieur hospitalier ou Ingénieur Hospitalier dont au moins un soit d’un Etablissement extérieur au CHU de Grenoble.

ARTICLE V :

Le concours comporte les épreuves suivantes :

• Epreuve d'Admissibilité : Durée 2 H. – Coefficient 1 –

Epreuve consistant en la résolution d'un cas pratique, d’un exercice de réflexion et d’un questionnaire sur les métiers concernés par le concours.

• Epreuve d'Admission : Durée 15 minutes – Coefficient 1 –

Entretien oral avec le Jury sans préparation.

Chaque épreuve est notée de 0 à 20. La note attribuée est multipliée par le coefficient concerné. Seuls les candidats ayant obtenu un nombre de points égal à 10 sur 20 à l’épreuve d’admissibilité seront autorisés à subir l’épreuve orale d’admission.

ARTICLE VI :

A l'issue des épreuves le Jury délibère et établit par ordre de mérite la liste des candidats admis et le cas échéant la liste complémentaire.

ARTICLE VII :

Les candidats disposent d’un délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté pour déposer un recours gracieux auprès de Monsieur le Directeur général du CHU de Grenoble ou un recours contentieux devant le Tribunal Administratif de Grenoble. Le recours gracieux suspend le délai imparti pour présenter un recours contentieux.

Fait à La Tronche, le 25 octobre 2011 P/le Directeur General ET PAR DÉLÉGATION, LE DIRECTEUR ADJOINT DES RESSOURCES HUMAINES, M. PASSAVANT

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