Procès-Verbal Du Conseil Communautaire Du 4 Mars 2014
Total Page:16
File Type:pdf, Size:1020Kb
Procès-Verbal du Conseil Communautaire du 4 mars 2014 Présents : BOURRIER Claude, THIERRY Bernard, THIERRY Thomas, FOUQUET Jean-Pierre, ROUSSEL Claudy, PARRA Denis, PATÉ Pierre, BIDON Maurice, TEUSCHER Gilles, COLINET Patrice, MARTARESCHE Philippe, BOUDOT Christian, LAMY Jean-Marie, TRUCHOT Pierre, GUILLAUME Christian, ANGELOT Jean-Marc, GOUSSEREY Yvonne, EUVRARD Jacques, MAUPIN Jean-Pierre, GENIN Geneviève, VALETTE Annick, LOUVOT Jean-Pierre, CHONÉ Olivier, LAPLANCHE René, BOHAN Nadine, BONNAVENTURE Jean-Claude, RICHARDOT Fabienne, COLINET Alain, MERCIER Marie-Paule, KELLER Jacques, BLANDIN Christiane, VILQUIN Guy, BRUSSEY Michel, MAIROT Elisabeth, BALZ Odette, CARTERET Jean-Paul, TAMISIER Éric, CRETENET Sandrine, POINSOT Guy, RACLOT Bernard, PRUNEAU Monique, GARNERY Joël, CHEVILLOT Guy, FRANCHEQUIN Jean-Pierre, ALBIN Michel, NICOT Alain, CRUCET Christian, DENARIÉ Michel, THABOUREY Jean-Pierre, ATTALIN Michel, LIQUET René, HYENNE Roger, NOLY Jean, FOISSOTTE Pierre, BELLIGEON Alain, TACLET Jean-Pierre, BEDIN Jean-Marie, MUNIER Gustave, ALLEMAND Jean, PULICANI Hervé, ROBIN Bruno, GRANDMONTAGNE Claude, GAUTHIER Charles, LAVAITTE Ludovic, BESANÇON Frédéric, COLAS Denise. Excusés : NOBLOT Edwige, HUMBERT Lucien, HUTINET Max, SALOMON Claudine, GRANTE Dominique. Le Président remercie les membres du Conseil pour leur ponctualité et ouvre la séance à 20h00. 1) Approbation du PV du Conseil Communautaire du 4 février 2014 Le Procès-Verbal du Conseil Communautaire du 4 février est approuvé à l’unanimité. Le Président tient à souligner la qualité de rédaction des PV établis par les services administratifs de la CC4R. 2) Compte-rendu des délibérations du Bureau Gilles TEUSCHER rend compte des subventions attribuées par le Bureau : Subvention « Habiter Mieux » : - JOUOT Nicolas, CHAMPLITTE 500 € - CIBIL Daniel, MERCEY SUR SAÔNE 500 € - RAVRY Simone, LEFFOND. 500 € Subvention Internet Haut Débit : (480 €) - BERGELIN Jacques, MERCEY SUR SAÔNE - BROUILLET Jacques, FRANCOURT - WESSELING Janneke et MANDERSLOOT Franck, LEFFOND - MILLERAND David, FRANCOURT. Amortissements : Le Bureau a décidé que la durée de subvention d’investissement pour la déchetterie de Lavoncourt serait de 99 ans. Charles GAUTHIER précise que, sur les budgets de type M4*, obligation est faite d’amortir les subventions reçues. Dans le cas présent il a été décidé d’établir l’amortissement sur la même durée que l’équipement correspondant, soit 99 ans. [* Plan comptable M4, applicable aux Services Publics locaux à caractère Industriel et Commercial (SPIC).] 1 Concernant les subventions, Charles GAUTHIER rappelle que le principe des aides versées par la CC4R dans le cadre de la politique « Internet Haut Débit » a été rétabli par délibération en date du 4 février 2014, ce dans l’attente du relais qui sera pris par le Syndicat mixte « Haute-Saône Numérique », qui assurera ensuite ce type de financement. Gilles TEUSCHER poursuit l’énoncé des subventions : Manifestations : - Théâtre pour enfants organisé par le Croq’Loisirs en février 2014 : 500 €. (Manifestation initialement prévue en novembre 2013) 3) Budgets prévisionnels 2014 - (Budget général -Budgets annexes : OM - SPANC - ZAE des Theillières - ZAE Côte Renverse) I. Budget général : Le Président présente le tableau synoptique des propositions budgétaires du Bureau pour le Budget Principal de l’année 2014 reprenant sur une colonne le Compte Administratif et, sur la colonne de droite, la proposition du Budget Prévisionnel. Donnant lecture de ce budget, le Président apporte les précisions suivantes : A. Section de fonctionnement du Budget Principal a) Sur les Dépenses : - Fonctionnement CC4R Pour les charges de personnel (salaires & charges) le Président signale qu’un montant de 353 000 € a été budgétisé ce qui laisse un peu de marge puisque la dépense pour l’année 2013 était de l’ordre de 310 075.07 € ; Á la ligne des indemnités des élus, le Président précise que la somme de 50 000 € a été inscrite sachant que cela correspond à l’indemnité à 100 % du président de la Communauté de Communes et de 3 vice-présidents, et il ajoute qu’à partir du 15 avril les membres du nouveau Conseil Communautaire statueront sur l’organisation et les délégations qui seront attribuées aux vice-présidents ainsi que sur le montant des indemnités qu’ils alloueront au Président et aux vice-présidents. Alain BELLIGEON demande quel peut être le nombre maximal de vice-présidents. Charles GAUTHIER répond que, de façon générale, ce nombre est encadré par la loi : il est limité à 30 % du nombre de conseillers, mais que pour la CC4R ses statuts disposent que nous en avons 31. Jean-Paul CARTERET pense qu’on peut avoir plus de 3 vice-présidents dans un Établissement Public de Coopération Intercommunale de plus de 10 000 habitants. Charles GAUTHIER dit qu’il convient de se reporter à nos statuts. Concernant la location des locaux du siège administratif, la somme de 14 000 € correspond au loyer des nouveaux locaux de la CC4R, dont le montant mensuel (versé à Action 70) est de 1258 € TTC. Le Président ajoute que cette somme sera remboursée par l’assurance ; A la ligne « Réceptions » le Président précise que la somme de 5 500 € comprend la cérémonie des vœux de ce début d’année ; La ligne 60/64 regroupe les frais de carburant du Kangoo de la CC4R, les frais d’études pour les permis de construire, les taxes foncières, les frais de déplacement des personnels de la CC4R, 1 Statuts de la CC4R : Article 5 - Fonctionnement : Le Conseil communautaire est régi par les mêmes règles que les Conseils Municipaux (convocation, quorum, validité des délibérations). Il est institué un bureau exécutif du Conseil Communautaire composé de : un Président, trois vice-présidents, huit membres. Sans préjudice des modalités légales régissant son élection par les conseillers communautaires il sera veillé à ce que le Bureau soit représentatif des territoires composant la Communauté. Afin de préparer les travaux du Bureau et du Conseil, des Commissions thématiques et géographiques sont instituées. Leur nombre, leur composition et leur fonctionnement sont fixés par délibération du Conseil. 2 les chèques Cadhoc du personnel à l’occasion de Noël, les insertions au Journal Officiel, les abonnements, l’indemnité du percepteur, les fournitures d’entretien etc. ; Le Président ajoute que le total des charges de fonctionnement est de 525 130.00 €, ce qui est extrêmement raisonnable. - Reversement de la fiscalité et intérêt des emprunts Le reversement au FNGIR [Fonds National de Garantie Individuelle des Ressources], dont le montant est de 851 000.00 €, n’a pas bougé ; Concernant les attributions de compensation reversées aux communes, dont le montant est de 500 000.00 €, le Président souhaite revenir sur un point important : les attributions de compensation correspondent aux charges qui ont été transférées par les communes à la Communauté de Communes. Le Président explique qu’auparavant la CC4R était sous le régime de la fiscalité additionnelle. 4 impôts directs locaux, dits « ménages », étaient prélevés : la Taxe d’Habitation, la Taxe Foncière sur le Bâti, la Taxe Foncière sur le Non-Bâti et la Taxe Professionnelle [qui ne concernait que les entreprises]. Depuis 2002, date à laquelle la CC4R est passée sous le régime fiscal de la Taxe Professionnelle Unique [TPU] et a supprimé la fiscalité « ménage », la Communauté de Communes des 4 Rivières perçoit la totalité des taxes professionnelles qui étaient auparavant perçues par les communes. Le Conseil Communautaire a décidé de restituer aux communes la différence entre ce que leurs administrés payaient à la Communauté de Communes (via les 4 taxes telles qu’évoquées) et le montant de la TP qu’ils versent à la CC4R (à travers la TPU) en invitant les communes à baisser leurs propres taxes du même taux. Pour les communes qui ne percevaient pas de Taxe Professionnelle, le Président ajoute que si avant 2002 les habitants versaient, par exemple, 2 850 €, ces communes avaient une attribution négative d’un montant équivalent, soit 2 850 €. Le Président ajoute d’autre part que la loi interdit formellement de reverser davantage que ladite part à une commune qui a eu la chance de voir de nouvelles entreprises s’implanter sur son territoire, et évoque notamment le cas de la commune de Framont, et, dans une moindre mesure, celui de la commune de Delain. En revanche, lorsqu’une commune percevait 2 000 € de T.P d’une entreprise et que celle-ci a déposé le bilan, la Communauté de Communes peut continuer à lui reverser cette même somme, soit 2 000 €. Olivier CHONÉ ne trouve pas que cela soit normal. Charles GAUTHIER répond qu’il s’agit là de la stricte application de la loi. Olivier CHONÉ signale avoir déjà demandé si une révision des reversements de Taxe Professionnelle serait faite et dit qu’une réponse positive lui avait été donnée. Charles GAUTHIER affirme avec force qu’il est strictement impossible que cette réponse lui ait été faite. Olivier CHONÉ indique qu’à Delain il y eu des installations d’entreprises mais que la commune ne bénéficie pas de la TP qui en résulte. Charles GAUTHIER répond que c’est partout pareil et cite pour exemple le cas d’une entreprise qui versait 20 000 € de T.P. Sur cette somme, un montant de 10 000 € était reversé à la commune. Aujourd’hui, cette entreprise verse 70 000 € de T.P, et bien c’est toujours la somme de 10 000 € qui sera reversée à la commune. Charles GAUTHIER ajoute que la mutualisation des ressources de la Taxe Professionnelle permet de partager le coût des charges de communauté, ce qui permet à la CC4R de faire