Commune SALIÈS

COMPTE-RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 14 DÉCEMBRE 2020

Le 14 décembre 2020 à 20 heures 30, les membres du Conseil Municipal de la ville de Saliès se sont réunis dans la Salle du Conseil de la mairie, sous la présidence de M. Jean-François ROCHEDREUX, Maire, pour la séance à laquelle ils ont été convoqués par le Maire individuellement et par écrit le 8 décembre 2020.

Etaient présents : Jean-François ROCHEDREUX, Lucien GRAUBY, Jacky MIQUEL, Thierry VAREILLES, Bruno GASCON, Nathalie BRULANT, David FERRÉ, Florence CABROL, Florence VOGEL, Raymond CHAPPERT, Virginie GOURMANEL, Bernard TOMINET et Bruno LACHENAUD.

Absente : Valérie JACQUET

Florence CABROL a été désignée en qualité de secrétaire de séance.

Monsieur le Maire déclare la séance ouverte à 20h37 dans la mesure où le quorum est atteint.

Approbation du compte rendu du conseil du 14 septembre 2020. En l’absence de commentaire, le compte-rendu est adopté à l’unanimité.

RAPPEL DE L’ORDRE DU JOUR

1. Création d’un emploi permanent 2. Modification du tableau des effectifs des emplois communaux 3. Prêt de broyeur de végétaux aux particuliers 4. Convention avec le SDET pour la valorisation des Certificats d’Economie d’Energie issus d’opérations réalisées sur les bâtiments publics 5. Adoption du rapport de la CLECT et fixation des attributions de compensation 2020 6. Fixation de la durée d’amortissement du budget principal des frais d’étude non suivis de travaux 7. Décision Modificative N°1 du budget communal 8. Décision Modificative N°2 du budget communal 9. Cession amiable de parties de terrains communaux à la Barratié 10. Le Club des Territoires Un Plus Bio

Questions diverses

Subventions aux associations

1- Création d’un emploi permanent

Vu la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984, modifiée et notamment ses articles 34 et 3-3 Vu le budget, Vu le tableau des emplois et des effectifs, Vu le courrier de l’Esat Tricat Service daté du 17 novembre dernier mettant fin à la mise à disposition de M Rémi BEZIN le 23 décembre 2020,

Le Maire informe l’assemblée : Conformément à l’article 34 de la loi du 26 janvier 1984, susvisé les emplois de chaque collectivité ou établissement sont créés par l’organe délibérant de la collectivité ou de l’établissement. Il appartient donc au Conseil Municipal de fixer l’effectif des emplois nécessaires au fonctionnement des services. Considérant la nécessité d’assurer les missions suivantes de : aide à la plonge durant le service de cantine, nettoyage de la salle des fêtes, nettoyage des locaux administratifs, techniques ou spécialisés durant les vacances scolaires,

Le Maire propose à l’assemblée :

La création d’un emploi de chargé de propreté des locaux à temps complet de 12,54/35ème à compter du 28 décembre 2020, pour assurer les missions d’aide à la plonge durant le service de cantine (2,5 heures 4 fois/semaine), nettoyage de la salle des fêtes (3h/semaine), nettoyage des locaux administratifs, techniques ou spécialisés durant les vacances scolaires (122 heures/an). Cet emploi est ouvert aux fonctionnaires relevant du grade d’adjoint technique.

Par dérogation, l'emploi pourra être pourvu par un agent contractuel sur le fondement de l'article 3-3 4° de la loi du 26 janvier 1984 : - 3-3 4° Pour les autres collectivités territoriales ou établissements mentionnés à l'article 2, pour tous les emplois à temps non complet, lorsque la quotité de temps de travail est inférieure à 50 % ;

En cas de recours à un agent contractuel en application des dispositions ci-dessus énoncées, celui-ci exercera les fonctions définies précédemment.

Son niveau de recrutement et de rémunération seront définis comme suit : - la rémunération mensuelle est calculée sur la base de l'indice brut 350, indice majoré 327 du grade de recrutement. - Durée hebdomadaire de travail : L’agent devra effectuer 592 heures et 35 minutes dont 2 heures 35 minutes non rémunérées au titre de la participation à la journée de solidarité. Le temps de travail hebdomadaire annualisé est de 12 heures 54 minutes et la rémunération est fixée à 12,90 heures par semaine tout au long de l’année.

Après en avoir délibéré, le conseil municipal adopte à l’unanimité ces propositions, ainsi que la modification du tableau des emplois et des effectifs. Les crédits nécessaires sont inscrits au budget de la collectivité.

Monsieur le maire est chargé de signer tous les documents relatifs à ce dossier et de procéder au recrutement.

2- Modification du tableau des effectifs

Monsieur le Maire rappelle à l’assemblée :

Vu le code général des collectivités territoriales, Vu la loi n°83-634 du 13 juillet 1983 modifiée, portant droits et obligations des fonctionnaires, Vu la loi n°84-53 du 26 janvier 1984 modifiée, portant dispositions statutaires relatives à la Fonction Publique Territoriale, Considérant la délibération modifiant le tableau des emplois en date du 14 septembre 2020, Considérant la délibération portant création d’un emploi permanent en date du 14 décembre 2020,

Monsieur le Maire propose à l’assemblée :

D’adopter les modifications du tableau des emplois suivants :

- Création d’un emploi de chargé de propreté à temps non complet à raison de 12,54/35ème à compter du 28 décembre 2020.

DUREE HEBDOMADAIRE DE CADRES OU EMPLOIS CATEGORIE EFFECTIF SERVICE FILIÈRE ADMINISTRATIVE B 1 1 poste à 35 heures Rédacteur principal 1ère classe C 1 1 poste à 14 heures Adjoint administratif principal ère 1 classe C 1 1 poste à 35 heures FILIÈRE TECHNIQUE C 1 1 poste à 35 heures Adjoint technique

ème Adjoint technique principal 2 1 classe Non titulaire 1 poste à 12 h 54 mn

Contractuel emploi permanent

FILIÈRE MÉDICO- C 1 poste à 35 heures SOCIALE 1

ATSEM principal 1ère classe

6 TOTAL

Le conseil municipal, après en avoir délibéré et à l’unanimité :

DÉCIDE d’adopter le tableau des emplois ainsi proposé qui prendra effet à compter du 28/12/2020.

PRÉCISE que les crédits nécessaires à la rémunération et aux charges des agents nommés dans ces emplois seront inscrits au budget de Saliès.

3- Prêt de broyeur de végétaux aux particuliers

En 2018, la commune a acquis un broyeur de végétaux compact pour un montant de 5 160 euros TTC.

Monsieur le Maire informe les membres du conseil municipal que la mairie a été sollicitée par plusieurs habitants de la commune qui auraient souhaité pouvoir l’utiliser.

Si le conseil décide d’organiser ce genre de prêt, il est impératif d’en fixer les règles et notamment de définir les points suivants : - Retrait et retour du matériel - Faire un contrat de prêt - Faire un guide d’utilisation - assurance - Durée du prêt - Fourniture d’équipement de protection individuelle ? (casque forestier avec visière, casque anti-bruit, gants anti coupure) - Chèque de caution avec retenue en cas de non restitution du broyeur, de non-respect des conditions de prêt entraînant une dégradation majeure du matériel. Les frais de réparation du broyeur et du petit matériel fournis pourraient être facturés à l’usager selon une grille tarifaire approuvée par le conseil municipal. Dans le cas de réparations mineures ou de remplacement du petit matériel, la caution serait restituée à l’usager sous réserve d’avoir acquitté la facture.

Une discussion s’engage entre les membres du Conseil municipal.

Au-delà de tout aspect de dangerosité, Raymond CHAPPERT n’est pas favorable aux prêts de matériel communal en général et pense que cela pourrait entraîner des demandes sans fin.

La proposition de faire des apports de végétaux et que l’employé communal soit en charge du broyage est faite.

David FERRÉ pense que la gestion des EPI est complexe et non hygiénique. Il pense préférable que les particuliers s’engagent à les porter en nous dégageant de cette responsabilité.

Messieurs TOMINET et MIQUEL ne sont pas contre le prêt de matériels municipaux en général. L’idée de lancer une consultation auprès de l’assurance de la commune est lancée. Jacky MIQUEL ajoute aussi que prêter ce broyeur aux particuliers pourraient les inciter à des changements de pratiques pour une gestion à la parcelle des végétaux et de réduire le tonnage de déchets verts apporté en déchetterie, ce qui est en cohérence avec leur programme.

Bruno GASCON conclue en affirmant que ce matériel qu’il connaît pour l’avoir utilisé n’est pas adapté au grand public et ne souhaite donc pas donner suite à cette proposition de prêt. Il pense qu’il est inutile de lancer une consultation auprès des assurances pour le prêt de ce broyeur.

Monsieur le Maire propose de ne pas donner suite à cette délibération du prêt de ce broyeur et de continuer la réflexion du problème du broyage en nous rapprochant également de la C2A.

4- Convention avec le SDET pour la valorisation des Certificats d’Economie d’Energie issus d’opérations réalisées sur les bâtiments publics

Monsieur le Maire rappelle que le dispositif a été introduit par la loi sur l’énergie du 13/07/2005 (loi POPE) avec pour objectif de réaliser des économies d’énergie dans les secteurs diffus : le bâtiment, la petite et moyenne industrie, l’agriculture ou encore les transports. Les obligés du dispositif CEE sont les acteurs soumis à une obligation d’économies d’énergie. Il s’agit :

 Des fournisseurs d’électricité, de gaz, de fioul domestique, de chaleur et de froid dont les ventes dépassent un seuil minimum (ex : EDF, Engie, CPCU…) ;  des distributeurs de carburant dont les ventes dépassent un certain seuil (compagnies pétrolières et entreprises de la grande distribution telles que Total, BP, SIPLEC…).

L’obligation globale est répartie entre ces obligés au prorata de leurs ventes d’énergie aux consommateurs finaux.

Pour respecter cette obligation, trois voies s’offrent aux obligés :  ils peuvent tout d’abord inciter les consommateurs à investir dans des équipements économes en énergie et obtenir en échange des CEE ;  les obligés peuvent aussi faire appel au marché et y acheter des CEE ;  les obligés peuvent investir financièrement dans des programmes éligibles et recevoir en contrepartie des CEE.

Pour finir, les obligés peuvent choisir de déléguer, partiellement ou entièrement, leur obligation à une structure tierce, appelée délégataire, lequel devient obligé à la place du déléguant, et dispose des mêmes droits et obligations qu’un obligé.

Le dispositif est ouvert à d’autres acteurs, appelés les éligibles, qui peuvent également obtenir des CEE pour leurs opérations d’économies d’énergie, créant ainsi les conditions d’un marché d’échange de CEE.

Sont éligibles les acteurs suivants :

 les collectivités ;  l’Agence nationale de l’habitat (ANAH), les bailleurs sociaux et les sociétés d’économies mixtes (SEM) exerçant une activité de construction ou de gestion de logements sociaux ;  les SEM et sociétés publiques locales (SPL) dont l’objet est l’efficacité énergétique.

Vu le Code général des collectivités territoriales, notamment l’article L. 2224-34,

Vu le Code de l’Energie et notamment ses articles L.221-1 et suivants,

Vu l’arrêté du 4 septembre 2014 fixant la liste des éléments d’une demande de certificats d’économies d’énergie et les documents à archiver par le demandeur,

Vu la convention jointe en annexe,

Considérant qu’il est dans l’intérêt de la commune de Saliès de signer cette convention d’habilitation, afin de promouvoir les actions de maîtrise de la demande d’énergies réalisées par la commune de Saliès et de les valoriser par le biais de l’obtention de certificats d’économies d’énergie,

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré et, à l’unanimité :

APPROUVE la convention proposée entre le SDET et les bénéficiaires éligibles au dispositif des Certificats d’Economies d’Energie.

AUTORISE Monsieur le Maire ou son représentant à signer et à exécuter la Convention, entre le SDET et la commune de Saliès, d’adhésion au dispositif des Certificats d’Economies d’Energie, ainsi que toutes pièces à venir.

5- Adoption du rapport de la CLECT et fixation des attributions de compensation 2020

Le transfert d’une compétence est un transfert de charges des communes vers l’établissement public de coopération intercommunale (EPCI) : les communes n’ont plus à assumer le financement de la compétence qui incombe à l’EPCI à compter du transfert effectif.

Afin de neutraliser le transfert de ces charges, l’attribution de compensation que verse l’EPCI à chaque commune membre est diminuée à due concurrence des sommes transférées.

Le rôle de la CLECT est défini à l’article 1609 nonies C – IV du Code Général des Impôts (CGI). Les EPCI soumis de plein droit à la fiscalité propre unique doivent mettre en place une commission dont la mission consiste à évaluer le montant des charges transférées par les communes à l’EPCI. Le rôle de cette commission est permanent puisqu’elle intervient non seulement lors du transfert des charges initial mais aussi à chaque nouveau transfert de compétences. Le rôle de la CLECT est donc d’évaluer pour chaque commune membre les transferts de compétences réalisés afin de permettre le calcul de l’attribution de compensation versée par l’EPCI à chacune de ses communes membres. La CLECT doit faire une proposition pour l’évaluation des charges utilisée pour le calcul des attributions de compensation.

La détermination des montants définitifs de charges transférées peuvent :  Soit revenir aux conseils municipaux, par délibérations concordantes et à la majorité qualifiée  Soit être décidée par le conseil communautaire qui peut fixer librement le montant de l’attribution de compensation et les conditions de sa révision, en respectant la méthodologie d’évaluation retenue par la CLECT. Depuis sa création, la communauté d’agglomération a toujours privilégié la seconde solution, ce qui a permis la prise en compte de cas particuliers dans certaines communes et une plus grande latitude dans la méthodologie d’évaluation utilisée. Par ailleurs des clauses de « revoyure » peuvent être introduites lors de l’évaluation pour permettre de vérifier a posteriori la pertinence des montants évalués et de les corriger le cas échéant. Une clause de « revoyure » a été introduite lors du transfert de la voirie et des médiathèques en 2010 (revoyure fin 2013) et lors de la création des services communs (revoyure en 2018).

La commission locale d’évaluation des charges transférées (CLECT) a pour mission de procéder à l’évaluation des charges transférées par des communes à un groupement ayant pour cadre fiscal la fiscalité professionnelle unique (FPU). La CLECT s’est réunie le 26 novembre dernier. Les points à l’ordre du jour étaient les suivants : - Compétences eau potable et défense incendie, - Périmètre du service commun administration droit des sols, - Plans locaux d’urbanismes communaux,

Le détail des évaluations par compétence ainsi que le rapport de la CLECT sont annexés à la présente délibération.

I. Compétences eau potable et défense incendie Depuis le 1er janvier 2020 et conformément aux dispositions de la loi portant Nouvelle Organisation Territoriale de la République dite loi NOTRe du 7 août 2015, la communauté d’agglomération de l’Albigeois exerce la compétence « eau potable » sur la totalité de son périmètre communautaire. Quatre communes membres de la communauté d’agglomération de l’Albigeois exerçaient la compétence sous forme de régie : , Arthès, Lescure et Saint-Juéry. Sur le périmètre de ces quatre communes, l’agglomération a créé une régie dotée de la seule autonomie financière (budget annexe eau potable). Pour le reste du territoire, l’agglomération s’est substituée aux communes au sein des syndicats du Dadou (, , Fréjairolles, Dénat, , Saliès, , Rouffiac, Le Séquestre et ) et du Gaillacois (Castelnau de Lévis et Marssac) au 1er janvier 2020. Le coût de la compétence eau potable n’est pas à évaluer par la CLECT puisqu’il s’agit d’un service public industriel et commercial, dont le transfert des charges est en principe couvert par le transfert des recettes versées par les usagers. Toutefois, des charges doivent être évaluées : - Compte tenu du financement préexistant de la compétence eau potable sur le territoire du syndicat du Dadou, les communes membres versaient une contribution budgétaire (dite « taxe capitaire ») au syndicat depuis leur budget principal. La ville d’Albi, non membre de ce syndicat, versait également cette contribution au titre de ses habitants desservis par le syndicat du Dadou. Depuis le 1er janvier, c’est la communauté d’agglomération qui s’est substituée aux communes pour le paiement de cette contribution. Cette dernière est versée depuis le budget général de l’agglomération. - Car, sur la défense incendie, si l’agglomération est compétente depuis le 18 décembre 2012, l’évaluation des charges transférées a porté uniquement sur la contribution financière au Service Départemental d’Incendie et de Secours (SDIS). Il s’agit donc de compléter l’évaluation avec les charges liées à la gestion et l’entretien des réseaux d’incendie, mission étroitement liées à la gestion de l’eau potable. Trois cas de figure ont été distingués en fonction de l’exercice de la compétence eau potable pour l’évaluation des charges transférées : - Communes qui assuraient la compétence eau potable en régie ; - Communes membres du syndicat du Gaillacois ; - Communes membres du syndicat du Dadou. Par ailleurs, en 2012 et 2015, la CLECT avait évalué des charges liées aux services communs système d’information géographique (SIG), ressources humaines et parc auto qui concernaient la seule ville d’Albi. Ces services étaient partiellement affectés à la compétence eau potable et refacturés par la ville à son budget annexe eau potable. Cette compétence devenant communautaire au 1er janvier 2020, les réductions d’attribution de compensation liées à la compétence eau potable n’ont plus lieu d’être. Les charges relatives à ces services sont directement refacturées par l’agglomération à son budget annexe eau potable. Enfin, il convient de noter que la CLECT évalue les charges transférées, et non les renforcements de réseaux à venir, ni la pose de nouveaux poteaux incendie, ni la création de bâches à incendie. Les dépenses correspondantes relèveront des aménageurs qu’ils soient privés ou publics. Elles n’incluent pas également les charges relatives aux obligations liées aux pouvoirs de police des maires. L’impact du transfert de la défense incendie sur les attributions de compensation prend en principe effet dès 2020, compte tenu de l’exercice de la compétence par l’agglomération depuis le 1er janvier 2020. Toutefois, pour les communes en régie et celles membres du SMAEP du Gaillacois, l’agglomération n’ayant supporté aucune charge en 2020 au titre de la défense incendie, il est proposé de réduire les attributions de compensation seulement à compter de 2021. CHARGES A RETENIR SUR L'AC AU TITRE CHARGES VENANT DE LA DEFENSE INCENDIE MAJORER L'AC TOTAL DECI CHARGES Taxe capitaire DECI communes SMAEP NETTES = (A) + SIAH du Services communs (D) en régie (B) Gaillacois ( (B) + ( C) - (D) Dadou (A) C) Albi 6 783 60 170 0 62 363 4 590 Saint-Juéry 0 8 250 0 0 8 250 Lescure-d'Albigeois 0 7 590 0 0 7 590 Puygouzon 10 497 0 0 0 10 497 Marssac-sur- 0 0 4 700 0 4 700 Arthès 0 3 410 0 0 3 410 Cambon 6 531 0 0 0 6 531 5 349 0 0 0 5 349 Castelnau-de-Lévis 0 0 1 200 0 1 200 Cunac 4 833 0 0 0 4 833 Fréjairolles 4 083 0 0 0 4 083 Terssac 3 615 0 0 0 3 615 Saliès 2 514 0 0 0 2 514 Dénat 2 421 0 0 0 2 421 Carlus 2 121 0 0 0 2 121 Rouffiac 1 926 0 0 0 1 926 TOTAL 50 673 79 420 5 900 62 363 73 630 II. Périmètre du service commun ADS A la suite de la création du service commun autorisation du droit des sols (ADS), les agents transférés par la commune d’Albi ont continué d’accomplir des missions communales (accueil guichet et complétude des dossiers notamment). Sur ce temps de travail « communal », les agents étaient remis à disposition de la ville d’Albi. Ce temps de remise à disposition avait été évalué à 2,4 ETP (1,9 ETP de catégorie C et 0,5 ETP de catégorie A) pour un coût global annuel de 99 000 €. Le coût de cette remise à disposition est prélevé chaque année sur l'attribution de compensation de la ville d’Albi. Pour des questions d’organisation internes à la ville d’Albi, ces temps de mise à disposition se sont arrêtés à partir du 1er juillet 2020. 2 agents de catégorie C ont notamment été re transférés à la ville d’Albi à cette date et la mise à disposition à hauteur de 0,5 ETP de l’agent de catégorie A est également arrêtée. Les activités particulières qui relèveront désormais d’une mise à disposition seront traitées dans le cadre des conventions de mise à disposition. Il convient donc de majorer l’attribution de compensation de la ville d’Albi du montant des charges initialement évaluées à compter du 1er juillet 2020 : 49 500 € en 2020 et 99 000 € à partir de 2021. Majoration d’attribution de compensation suite à l’arrêt des mises à disposition du service ADS Majoration sur AC en 2020 (au prorata de Majoration sur AC à la date d'arrêt des partir de 2021 MAD) Albi 49 500,00 € 99 000,00 € TOTAL 49 500,00 € 99 000,00 €

III. Documents d’urbanisme : révisions et finalisations des PLU communaux Lors de sa séance du 15 décembre 2015, le conseil communautaire a décidé de prescrire l’élaboration d’un plan local d’urbanisme intercommunal (PLUI) sur l’ensemble du territoire de la communauté d’agglomération. La communauté d’agglomération prend également en charge les procédures de révision et de finalisation des documents d’urbanisme communaux jusqu’à l’adoption du PLUI. Le coût de ces procédures de révision doit rester à la charge des communes. Décision de la CLECT du 19 septembre 2017 : retenir chaque année sur l’attribution de compensation des communes le montant des dépenses supportées par la communauté d’agglomération en année N-1 (2019 pour le calcul des attributions de compensation 2020), jusqu’à l’adoption définitive du PLUI. Retenues sur attributions de compensation 2020 Total retenues sur Frais détudes AC 2020 (= Publications (investissement) FCTVA (3) Dépenses nettes (1) (2) 2019) = (1) + (2) - (3) Albi 4 638,94 € 5 785,20 € 949,00 € 9 475,14 € Lescure d'Albigeois 0,00 € 1 399,20 € 229,52 € 1 169,68 € Saint-Juéry 0,00 € 333,60 € 54,72 € 278,88 € TOTAL 4 638,94 € 7 518,00 € 1 233,25 € 10 923,69 €

VI. Calcul des attributions de compensation 2020 Compte tenu des propositions effectuées précédemment, les attributions de compensation s’élèveront au total à 4 064 264,37 euros en 2020. Attributions de compensation après la CLECT du 26 novembre 2020

AC avant CLECT 2020 Après CLECT 2020 2020 2021 à partir 2022 2021 à partir 2022 2019 (définitif) 2020 (définitif) (prévisionnel) (prévisionnel) (prévisionnel) (prévisionnel) (prévisionnel) Albi 4 092 769,43 4 019 241,04 4 019 240,04 4 018 175,04 4 114 845,90 4 113 650,04 4 112 585,04 Arthès 110 005,54 110 005,54 110 004,54 107 692,54 110 005,54 106 594,54 104 282,54 Cambon -177 215,30 -177 215,30 -177 216,30 -177 969,30 -183 746,30 -183 747,30 -184 500,30 Carlus -42 714,07 -42 714,07 -42 715,07 -44 045,07 -44 835,07 -44 836,07 -46 166,07 Castelnau de Lévis -27 522,80 -27 522,80 -27 523,80 -24 773,80 -27 522,80 -28 723,80 -25 973,80 Cunac -101 205,30 -42 205,30 -42 205,30 -39 344,30 -47 038,30 -47 038,30 -44 177,30 Dénat -64 291,53 -64 291,53 -64 292,53 -61 891,53 -66 712,53 -66 713,53 -64 312,53 Fréjairolles -85 061,55 -84 658,84 -84 657,84 -86 332,84 -88 741,84 -88 740,84 -90 415,84 Lescure d'Albigeois -46 642,13 -46 301,06 -46 301,06 -49 080,06 -47 470,74 -53 891,06 -56 670,06 Marssac 209 624,88 209 624,88 209 624,88 207 675,88 209 624,88 204 924,88 202 975,88 Puygouzon 54 738,26 55 270,75 55 271,75 59 107,75 44 773,75 44 774,75 48 610,75 Rouffiac -60 654,49 -65 376,49 -65 376,49 -64 176,49 -67 302,49 -67 302,49 -66 102,49 Saint Juéry -358 190,49 -356 471,78 -356 470,78 -362 895,78 -356 750,66 -364 720,78 -371 145,78 Saliès -30 136,25 -30 136,25 -30 135,25 -31 752,25 -32 650,25 -32 649,25 -34 266,25 Le Séquestre 337 277,64 337 277,64 337 278,64 347 124,64 331 928,64 331 929,64 341 775,64 Terssac 214 587,38 219 471,93 219 472,93 216 483,93 215 856,93 215 857,93 212 868,93 4 025 369,22 € 4 013 998,36 € 4 013 998,36 € 4 013 998,36 € 4 064 264,67 € 4 039 368,36 € 4 039 368,36 €

L’article 1609 nonies C du code général des impôts fixe les conditions de révision des attributions de compensation : « Le montant des attributions de compensation et les conditions de leur révision peuvent être fixés librement par délibérations concordantes du conseil communautaire, statuant à la majorité des deux tiers, et des conseils municipaux des communes membres intéressées, en tenant compte du rapport de la commission locale d’évaluation des transferts de charges ».

Le conseil municipal de la commune de Saliès,

VU le code général des collectivités territoriales,

VU le code général des impôts et notamment son article 1609 nonies C,

VU le rapport de la commission locale d’évaluation des charges transférées en date du 26 novembre 2020,

APPROUVE le rapport 2020 de la commission locale d’évaluation des charges transférées. APPROUVE les montants d’attribution de compensation ci-dessous à compter de l’exercice 2020 :

Après CLECT 2020 2021 à partir 2022 2020 (définitif) (prévisionnel) (prévisionnel) Albi 4 114 845,90 4 113 650,04 4 112 585,04 Arthès 110 005,54 106 594,54 104 282,54 Cambon -183 746,30 -183 747,30 -184 500,30 Carlus -44 835,07 -44 836,07 -46 166,07 Castelnau de Lévis -27 522,80 -28 723,80 -25 973,80 Cunac -47 038,30 -47 038,30 -44 177,30 Dénat -66 712,53 -66 713,53 -64 312,53 Fréjairolles -88 741,84 -88 740,84 -90 415,84 Lescure d'Albigeois -47 470,74 -53 891,06 -56 670,06 Marssac 209 624,88 204 924,88 202 975,88 Puygouzon 44 773,75 44 774,75 48 610,75 Rouffiac -67 302,49 -67 302,49 -66 102,49 Saint Juéry -356 750,66 -364 720,78 -371 145,78 Saliès -32 650,25 -32 649,25 -34 266,25 Le Séquestre 331 928,64 331 929,64 341 775,64 Terssac 215 856,93 215 857,93 212 868,93 4 064 264,67 € 4 039 368,36 € 4 039 368,36 €

ANNEXES Retenues sur AC 2020

Défense Périmètre Périmètre Périmètre Périmètre Défense incendie Révision des PLU Taxe capitaire incendie TOTAL retenues sur service service service service PARC communes en communaux syndicat du Dadou SMAEP AC 2020 commun ADS commun SIG commun RH AUTO régie Gaillacois ALBI 49 500,00 € 31 217,00 € 25 818,00 € 5 328,00 € -9 475,14 € -6 783,00 € 95 604,86 € ARTHES 0,00 € CAMBON -6 531,00 € -6 531,00 € CARLUS -2 121,00 € -2 121,00 € CASTELNAU DE LEVIS 0,00 € CUNAC -4 833,00 € -4 833,00 € DENAT -2 421,00 € -2 421,00 € FREJAIROLLES -4 083,00 € -4 083,00 € LESCURE D’ALBIGEOIS -1 169,68 € -1 169,68 € MARSSAC-SUR-TARN 0,00 € PUYGOUZON -10 497,00 € -10 497,00 € ROUFFIAC -1 926,00 € -1 926,00 € SAINT-JUERY -278,88 € -278,88 € SALIES -2 514,00 € -2 514,00 € LE SEQUESTRE -5 349,00 € -5 349,00 € TERSSAC -3 615,00 € -3 615,00 € TOTAL 49 500,00 € 31 217,00 € 25 818,00 € 5 328,00 € -10 923,69 € -50 673,00 € 0,00 € 0,00 € 50 266,31 €

Lecture : Chiffre négatif : minoration d’attribution de compensation Chiffre positif : majoration d’attribution de compensation

Retenues sur AC à partir 2021

Défense Périmètre Périmètre Périmètre Périmètre Défense incendie Révision des PLU Taxe capitaire incendie TOTAL retenues sur service service service service PARC communes en communaux syndicat du Dadou SMAEP AC 2021 commun ADS commun SIG commun RH AUTO régie Gaillacois ALBI 99 000,00 € 31 217,00 € 25 818,00 € 5 328,00 € -6 783,00 € -60 170,00 € 94 410,00 € ARTHES -3 410,00 € -3 410,00 € CAMBON -6 531,00 € -6 531,00 € CARLUS -2 121,00 € -2 121,00 € CASTELNAU DE LEVIS -1 200,00 € -1 200,00 € CUNAC -4 833,00 € -4 833,00 € DENAT -2 421,00 € -2 421,00 € FREJAIROLLES -4 083,00 € -4 083,00 € LESCURE D’ALBIGEOIS -7 590,00 € -7 590,00 € MARSSAC-SUR-TARN -4 700,00 € -4 700,00 € PUYGOUZON -10 497,00 € -10 497,00 € ROUFFIAC -1 926,00 € -1 926,00 € SAINT-JUERY -8 250,00 € -8 250,00 € SALIES -2 514,00 € -2 514,00 € LE SEQUESTRE -5 349,00 € -5 349,00 € TERSSAC -3 615,00 € -3 615,00 € TOTAL 99 000,00 € 31 217,00 € 25 818,00 € 5 328,00 € 0,00 € -50 673,00 € -79 420,00 € -5 900,00 € 25 370,00 €

Lecture : Chiffre négatif : minoration d’attribution de compensation Chiffre positif : majoration d’attribution de compensation

6- Fixation de la durée d’amortissement du budget principal des frais d’étude non suivis de travaux

Monsieur le Maire rappelle à l’assemblée que comme le dispose les articles L 2321-2-27° et L 2321-2-28° du Code Général des Collectivités, les communes dont la population est égale ou supérieure à 3 500 habitants et les groupements de communes dont la population totale est égale ou supérieure à ce seuil, sont tenus d’amortir. Il est précisé que l’amortissement est une technique comptable qui permet, chaque année, de constater forfaitairement la dépréciation des biens et de dégager des ressources destinées à les renouveler. Ce procédé permet donc de faire apparaître à l’actif du bilan la valeur réelle des immobilisations et d’étaler dans le temps la charge relative à leur remplacement.

Pour les communes de moins de 3 500 habitants ne sont obligatoires que les dotations aux amortissements des subventions d’équipement versées, comptabilisées au compte 204 ainsi que les frais d’études s’ils ne sont pas suivis de réalisation comptabilisés au compte 203.

Article R2321-1 « Les durées d'amortissement des immobilisations sont fixées pour chaque bien ou catégorie de biens par l'assemblée délibérante, qui peut se référer à un barème fixé par arrêté du ministre chargé des collectivités locales et du ministre chargé du budget, à l'exception toutefois : – des frais relatifs aux documents d'urbanisme mentionnés à l'article L. 132-15 qui sont amortis sur une durée maximale de dix ans ; – des frais d'étude et des frais d'insertion non suivis de réalisation qui sont amortis sur une durée maximale de cinq ans ; – des frais de recherche et de développement qui sont amortis sur une durée maximale de cinq ans ; – des brevets qui sont amortis sur la durée du privilège dont ils bénéficient ou sur leur durée effective d'utilisation si elle est plus brève ; – des subventions d'équipement versées, qui sont amorties sur une durée maximale de cinq ans lorsque la subvention finance des biens mobiliers, du matériel ou des études, de trente ans lorsque la subvention finance des biens immobiliers ou des installations, et de quarante ans lorsque la subvention finance des projets d'infrastructure d'intérêt national ; les aides à l'investissement des entreprises ne relevant d'aucune de ces catégories sont amorties sur une durée maximale de cinq ans.

La délibération relative à la durée d'amortissement est transmise au comptable. »

La commune de Saliès est donc tenue d’amortir uniquement les dépenses liées aux subventions d’équipement versées et aux frais d’études non suivis de réalisation mais peut sur délibération du conseil municipal décider d’autres catégories de dépenses à amortir.

Après en avoir délibéré, à l’unanimité le conseil municipal de la commune de Saliès,

DÉCIDE d’adopter les amortissements tels qu’ils sont indiqués dans le tableau suivant : Biens Durées d’amortissement Frais d’études 1 an Frais d’insertion 1 an

CHARGE Monsieur le Maire de l’exécution de la présente délibération.

7- Décision Modificative N°1 du budget communal

Monsieur le Maire expose :

Il convient d’intégrer les études qui ont été suivies de travaux en réalisant une opération budgétaire (émission d’un mandat au compte 2313-041 et émission d’un titre au compte 2031-041) et donc prévoir les crédits au chapitre 041.

Une étude sur la rénovation thermique des bâtiments avait été réalisée en 2018 pour un montant de 3 000 euros ainsi que des frais d’insertion pour un montant de 864 euros sont concernés.

Monsieur le Maire expose :

Eu égard la nécessité d’équilibrer les écritures comptables relatives aux dépenses et aux recettes d’investissement (crédits budgétaires), et inscrites au budget primitif communal 2020 ;

Eu égard la nécessité d’être en conformité totale avec les recommandations des services de la Trésorerie d’Albi Ville et Périphérie, afin d’être en accord avec les dispositions légales en vigueur ;

Les membres du conseil municipal, sur proposition de Monsieur le Maire, après en avoir délibéré et à l’unanimité :

DECIDENT et AUTORISENT la décision modificative budgétaire suivante (D.M. N°1) :

Dépenses investissement Recettes investissement 2313-041 3 864,00 2031-041 3 864,00

Total chapitre 041 3 864,00 Total chapitre 041 3 864,00

8- Décision Modificative N°2 du budget communal

Monsieur le Maire expose :

Les frais d’études préalables à la réalisation de travaux, sont initialement payés en investissement au compte 2031. Toutefois, une règle comptable prévoit que le compte 2031 n’est pas un compte définitif, aussi, deux situations peuvent se présenter : -Les études sont suivies de travaux, alors les montants sont basculés au compte 23 puis au compte 21 -Les études ne sont pas suivies de travaux, alors les montants doivent être rebasculés en fonctionnement au travers d’une opération comptable d’amortissement sur 1 an.

Le compte 2031 présente aujourd’hui une étude d’installation de panneaux photovoltaïque qui n’a pas été suivie de travaux, aussi il convient de la basculer en fonctionnement sur 1 an. Le montant de cet amortissement n’ayant pas été prévu au budget primitif, il convient d’effectuer une décision modificative pour permettre de réaliser cette opération.

Les membres du conseil municipal, sur proposition de Monsieur le Maire, après en avoir délibéré et à l’unanimité :

ACCEPTENT la décision modificative budgétaire suivante (D.M. N°2) :

Dépenses Recettes Diminution de Augmentation de Diminution de Augmentation de crédits crédits crédits crédits FONCTIONNEMENT 022 – Dépenses 3 900 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € imprévues 6811/042 : Dotations aux amortissements des immobilisations 0,00 € 3 900 0,00 € 0,00 € incorporelles et corporelles TOTAL 3 900 € 3900 € 0,00 € 0,00 € FONCTIONNEMENT INVESTISSEMENT 020 – Dépenses 0,00 € 0,00 € 3900 0,00 € imprévues 28031/040 : Amortissement des frais 0,00 € 0,00 € 0,00 € 3900 d’études TOTAL 3 900 € 3 900 € INVESTISSEMENT

9- Cession amiable de parties de terrains communaux à la Barratié

Monsieur le Maire informe les membres du Conseil Municipal que les futurs habitants du 25 de la rue du Pré de l’Evêque souhaiteraient acquérir une partie de 2 parcelles communales qui prolongent leur jardin et qui correspondait à l’alignement du terrain de leurs 2 voisins (les numéros 27 et 29).

Il s’agirait donc de diviser 2 parcelles non constructibles situées à la Barratié et classées en zone NR au Plan Local d’Urbanisme approuvé en date du 27 mars 2017 et modifié le 28 septembre 2017 : - Environ 30 m2 seraient cédés sur la parcelle B604 d’une superficie totale actuelle de 4 565m2 et - Environ 100m2 seraient cédés sur la parcelle B383 d’une superficie totale actuelle de 3 307m2.

Ces parcelles appartiennent au domaine privé communal. Il n’y a donc pas lieu de procéder à l’ouverture d’une enquête publique. De plus, au vu des critères de cette acquisition (seuils des montants et commune de moins de 2 000 habitants), il n’est pas nécessaire de saisir le service des domaines.

Il est proposé le principe d’une cession à titre onéreux à Madame TRESSOL au prix de vente valable 1 an de 6 euros/m2, avec frais inhérents à l’opération à la charge exclusive de l’acquéreur.

Afin de mettre en concordance le cadastre avec la réalité des lieux, il est donc proposé de céder, après bornage, deux parties des parcelles B604 et B383, appartenant au domaine privé de la commune, pour une surface d’environ 130 m2 à Madame TRESSOL au prix de 6 euros/m2.

Après avoir entendu l’exposé qui précède et en avoir délibéré, à l’unanimité

Le Conseil Municipal décide :

- D’accepter la vente amiable de deux parties des parcelles B604 et B383, après bornage, d’une surface d’environ 130 m2 appartenant au domaine privé de la commune au bénéfice des acquéreurs de la maison située au 25 de la rue du Pré de l’Evêque, au prix de 6 euros/m2 euros, étant entendu que les frais se rapportant à la vente seront pris en charge par les acquéreurs ; - De désigner Monsieur le Maire aux fins de signature de l’acte pris en la forme administrative emportant transfert de propriété.

10- Le club des Territoires Un Plus Bio

Les objectifs et les valeurs portés par le « Club des Territoires Un Plus Bio » rejoignent les engagements portés par la commune de Saliès dans le cadre de sa politique alimentaire.

En adhérant à ce Club des Territoires, la commune : - engagera son service de restauration, quel que soit son point de départ, dans une démarche de progression en faveur d’une alimentation biologique et donnera une place importante à la qualité de l’alimentation dans ses missions auprès de la population, - soutiendra une politique nationale ambitieuse de développement de la restauration collective Bio et véhiculera des valeurs fortes favorisant les démarches collectives, transversales, cohérentes et durables, permettant de changer notre rapport à l’alimentation, - participera aux échanges et au partage d’expertises entre territoires sur des problématiques communes autour de l’alimentation et bénéficiera de retours d'expériences sur des démarches territoriales dans des contextes comparables, - participera aux travaux menés aux échelles nationales et régionales pour la promotion d’une restauration collective de qualité, respectueuse de la santé des hommes et de l’environnement.

La cotisation annuelle est de 225 €.

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré et, à l’unanimité :

AUTORISE l’adhésion au Club des Territoires Un Plus Bio”.

Questions diverses – Points information

 Le Conseil Départemental vote une enveloppe annuelle globale, le Fonds de développement territorial (FAVIL) pour les communes de moins de 2000 habitants pour la réalisation de travaux de gros entretien sur les voies d’intérêt local ou les travaux neufs de modernisation de réseau local. La commune de Saliès dispose d’un favil d’environ 7 200 € HT plafonné à 45% soit environ 16 000 € de travaux HT à réaliser. Il a été décidé de rajouter un « à charge » d’environ 10 700 € pour réaliser : - Un aménagement de place de parking entre le Champ des Rossignols et la Grande Feuilleraie. - Un renforcement de l’écluse au bas de la rue du Coustou - Une placette impasse Charles d’Aragon

 La commission Association a décidé de geler les subventions pour l’année 2020 avec report du budget possible l’année prochaine au vue des différentes reprises et situations de chaque association.

 La commune a obtenu 2 nouveaux labels : Label APIcité® 2020, 1 Abeille – « Démarche reconnue » et la reconnaissance de l’engagement de la commune de Saliès dans la charte régionale « Objectif/Engagé zéro phyto » au niveau 3.

 Aucune préemption ne sera au final réalisée sur les bâtiments DUBOIS situés rue du Coustou. Pour info, la démolition des garages s’élève à 116 000 euros et à 88 000 pour la biscuiterie.

Séance levée à 23h15

Jean-François ROCHEDREUX Lucien GRAUBY Jacky MIQUEL

Nathalie BRULANT Bruno GASCON David FERRÉ

Thierry VAREILLES Florence CABROL Florence VOGEL

Raymond CHAPPERT Virginie GOURMANEL Bernard TOMINET

Bruno LACHENAUD