Hfa38 (Free Pdf) Uncanny X-Men Vol. 3: the Good, the Bad, the Inhuman Online
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hfa38 (Free pdf) Uncanny X-Men Vol. 3: The Good, The Bad, The Inhuman Online [hfa38.ebook] Uncanny X-Men Vol. 3: The Good, The Bad, The Inhuman Pdf Free Par Brian Bendis ebooks | Download PDF | *ePub | DOC | audiobook Download Now Free Download Here Download eBook Détails sur le produit Rang parmi les ventes : #404649 dans eBooksPublié le: 2014-05-07Sorti le: 2014-05- 07Format: Ebook Kindle | File size: 56.Mb Par Brian Bendis : Uncanny X-Men Vol. 3: The Good, The Bad, The Inhuman before purchasing it in order to gage whether or not it would be worth my time, and all praised Uncanny X-Men Vol. 3: The Good, The Bad, The Inhuman: Commentaires clientsCommentaires clients les plus utiles1 internautes sur 1 ont trouvé ce commentaire utile. "Un hommage à Chris Claremont ?" ou "Les comics et la vie" (!)Par ThéosCe volume est composé de différentes petites histoires "complètes", mais qui font avancer peu à peu l'intrigue.Elles sont dans le plus pur esprit de Chris Claremont et de ses récits en un épisode, de la sortie de l'élément féminin de l'équipe pour s'amuser un peu à des récits plus sérieux ayant parfois un caractère inquiétant.Tout comme Claremont , Bendis prend le temps de présenter ses différents nouveaux personnages, les rendant plus attachant au fur et à mesure, et semant pendant ce temps différents indices mystérieux qui sont autant de promesses pour l'avenir et constituent un élément dynamique non négligeable.Bendis ayant plutôt l'habitude de planifier à l'avance pour aboutir à de gros événements, on se doute bien que ces différentes intrigues trouveront leur aboutissement dans le futur.Tout ça donne au résultat une lecture extrêmement agréable, bien dosée à la fois au niveau de l'humour, de l'action, et du traitement des personnages, sans sensationnalisme outre mesure (enfin, pour une série comme les x-men).La capacité de s'extraire du développement d'intrigues en cours pour se focaliser soudain de façon imprévue sur un personnage était une des qualités de Claremont que j'appréciais le plus.Les comics étant des médiums de la continuité, les séries qu'ils développent sont comme de larges flots qui ne cessent de couler, et présentent donc le temps ou plutôt la vie dans sa durée (ce que ne peut faire aucun autre médium, bien que certains auteurs s'y essayent en publiant un journal personnel toute leur vie.) Je dis plutôt la vie que le temps parce qu'on sent mieux la subjectivité d'un concept comme la vie, et justement, l'écoulement d'une vie est rarement semblable à un flot s'écoulant sur un débit uniforme. Il y a des moments de rupture, des périodes courtes bien plus riches que des périodes longues, des retours en arrière, des moments de stagnation. Rien n'est jamais complètement fini, des événements en engendrent d'autres, certains développements restent sans conclusion, même passagère.C'est pour moi le principe même de l'esthétique du comics, et Bendis en joue avec bonheur.3 internautes sur 3 ont trouvé ce commentaire utile. Coup de grâce !Par Bruce TringaleCe commentaire portera sur les trois premiers arcs de la série soit Révolution, Broken et The good, the bad and the inhumans.Lorsque j’ai commencé l’année, jamais je n’aurai pensé devoir détruire Bendis pour chaque article le concernant.En ce qui me concerne l’homme est artistiquement perdu depuis sa fin du run de Daredevil où pointait déjà son goût pour les partouzes marveliennes.Entendons par là détruire les familles des héros Marvel pour créer des équipes qui ne font rien, balancent des blagues et s’en vont.Jusque là rien de grave… Bendis n’est rien d’autre qu’un tâcheron spécialisé dans événementiel comme l’histoire des Comics en est parsemé.Tout ceci serait bien anodin, si ce type ne détruisait pas égoïstement le travail des autres plus talentueux que lui pour livrer des histoires insipides.Les habitués de la maison se rappelleront tout le mal que l’on pense de ses nouveaux Xmen. On ne rentrera pas dans les détails d’arguments développés ici et là.Comme Chris Claremont et Scott Lobdell avant lui, Brian Bendis a donc l’honneur de superviser les deux séries principales des mutants.All New Xmen est censé suivre le destin des anciens Xmen tandis qu’ Uncanny Xmen porterait sur la fuite et les projets révolutionnaire de Scott Summers et ses potes Magnéto, Emma Frost et Illyana Raspoutine.Sauf que comme d’habitude Bendis est incapable de respecter son cahier des charges et recommence son échangisme éreintant. Lorsque la série commence, le jeune Angel rejoint l’équipe, tout le monde est ravi de le voir et il prononce à peine 10 mots en 10 épisodes. Puis plus aucun pour les épisodes restants.Après le crossover Battle of Atom Bendis rapatrie ses nouveaux Xmen pique l’adorable Kitty Pryde à Jason Aaron et brise par là même l’adorable idylle avec Bobby Drake, sûrement la plus joliment écrite depuis les amours contrariées de Rogue et Gambit. Pour quoi ? Encore une fois pour rien…On apprend que pour échapper au SHIELD et et à Wolverine, Cyclops se planque dans le laboratoire de Weapon X.Encore un tour de passe-passe dont Bendis a le secret. Se cacher dans un lieu classé Top Secret et au passé si chargé c’est un peu comme si après la guerre des nazis s’étaient planqués à Auschwitz…Bendis multiplie les pistes qu’il n’arrive pas à exploiter : Magnéto, agent double avec le Shield, vraiment ? Maria Hill est elle si stupide qu’elle oublie que Magnus déteste les humains ? Et de croire qu’il serait prêt à trahir Scott Summers qui a accompli ce qu’il a toujours rêvé sous prétexte qu’il a tué Charles Xavier son vieil ami qu’il a souvent essayé de trucider ?Bendis écrit plutôt bien Cyclope : malin, charismatique, capable de soulever les foules lors de manifestation politique. Encore faudrait il qu’il rouvre son dictionnaire à la page Révolution et applique à son leader un projet politique défini. Cette révolution Cyclope la prône à longueur d’épisodes, les gens le suivent ou le détestent sans qu’il explique une seconde en quoi consiste sa vision politique.Illyana Raspoutine est peut être la plus gâtée dans tout ce foutoir. Deux épisodes lui sont consacrés au début du run.Emma Frost sert définitivement de potiche, son rôle consistant à rappeler à Scott Summers qu’elle reste son ex dévouée, à des années lumières de la femme excentrique que sa personnalité suppose. Tout comme les Cuckoos Sisters dont la grande évolution est qu’une des trois choque ses frangines en se teignant en brune…Bendis, avec l’aide de Bachalo ne se contente pas de massacrer ses personnages sur le papier. Son dessinateur se fait une joie de les affubler de look improbable. Magneto se rase la tête façon Charles Xavier tout ça pour maintenir le suspense durant le premier épisode : qui est ce chauve vu de dos qui veut trahir les Xmen ?Son costume blanc (qu’il a déjà porté chez Claremont il y a 30 ans ) va totalement à l’encontre de la mouvance révolutionnaire de Scott Summers. Le rouge du costume de Magnus a toujours symbolisé le sang des victimes de la guerre raciale et la colère de l’ancien Sonderkommando. Que fait il fringué en blanc à l’aube d’une nouvelle guerre idéologique. Peut-être a t’il perdu un pari avec la reine blanche habillée en…noir…Et Cyclope ? Le malheureux est affublé d’un costume grotesque où ses yeux ne sont pas alignés sur son costume et sans visière de quartz rubis apparente…Ses rafales semblent être situées…près de son nez…Enfin carton rouge pour le créateur de Generation X. Sans la frange sur les yeux, il n’y a aucun moyen de différencier l’Emma Frost de Bachalo d’Illyana Raspoutine. Les deux semblent avoir une vingtaine d’année et être des sœurs jumelles.En guise d’armée révolutionnaire Bendis nous offre des mutants aux pouvoirs les plus absurdes les uns que les autres, le pompon revenant bien évidement à celui qui balance des boulets en or dont Bendis ne nous fait même l’honneur de nous expliquer la provenance.Alors que Scott Summers a vécu, combattu et couché avec des mutants alpha, il doit vraiment ne pas y voir clair pour penser accomplir une révolution avec des tocards pareils…Et les vilains ? Ils ne servent à rien !Bendis ne prend même pas la peine de se centrer sur un vilain qui viendrait contrer les projets de Scott. Il essaie sporadiquement avec Mystique et des machinations gouvernementales qui doivent être aussi opaques pour son créateur que son lecteur.Lorsque Mystique et Sabretooth serrent la paluche de Magneto en tentant de le recruter dans la confrérie, on croit rêver…Comment Erik Leinsherr, un vilain aux principes moraux si forts pourrait il se compromettre avec une barbouze comme Raven qui représente tout ce qu’il déteste ?Comment lui qui condamna Gambit pour son implication dans le mutant massacre pourrait il pactiser avec Sabretooth ? Bendis s’en fout et écrit cette scène comme si le trio se connaissait de longue date.Uncanny Xmen paradoxalement se lit agréablement et s’oublie tout aussi vite. Alors que je pourrai vous réciter par coeur des histoires lues il y a 30 ans, je serai bien incapable de vous résumer les Xmen de Bendis lus il y a 40 minutes. Un run qui se veut politique sans jamais insinuation à la dimension raciale de la série,sans aucune métaphore ou double lecture.Une série appelé Xmen alors qu’il s’agit d’avantage d’un quatuor.